Causeries juillet 2020


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Le 1er juillet 2020

CAUSERIE ET INFOS

Pondichéry 17h26.

J'avais encore commis des erreurs dans les adresses de certains fichiers, je les ai corrigées.

J'ai mis en ligne 14 documents et 3 vidéos dans les rubriques suivantes :

- Documents d'actualité - Dossier coronavirus
- Dossier La "Grande réinitialisation" (Great Reset en anglais)
- Documents d'actualité
- Réchauffement climatique - article divers.
- Comment fonctionne leur vieux monde.

J'ai également créé des sous-sections dans plusieurs rubriques accessibles directement. J'ai un peu éclairci la présentation au passage.

La causerie mise en ligne ce matin.

Il arrive que j'oublie de formater un paragraphe, et pourtant je relis tout au moins deux fois !Je m'en excuse, il arrive un moment où je ne vois plus rien à l'écran, on vieillit et on fatigue ! On ajoutera des documents dans la journée, je m'excuse du retard. La causerie de juin est disponible au format pdf, 114 pages.

Il pleut depuis quelques jours, quel bonheur ! Donc il y a de nombreuses coupures de courant, dont une toute une nuit, nuit blanche avant-hier, j'ai récupéré un peu en dormant de 6h à 11h du matin, j'ai été cassé le restant de la journée. Quand je me lève, j'ai la tête qui tourne, c'est pour dire, mais on tient le coup, on est plus déterminé que jamais, on ira jusqu'au bout ! Il va quand même falloir que je me repose un peu.

Mon seul souci, c'est le cerveau, la machine à tout faire, le poste de commandement, si on le néglige, on est foutu ! Le pire ce n'est pas de tomber malade, c'est la médecine ! Le pire, ce n'est pas l'exploitation, mais ceux qui parlent au nom des exploiteurs en se faisant passer pour des représentants des exploités. C'est la même chose quand les médecins roulent pour les trusts pharmaceutiques.

Cette causerie comporte encore trois parties.

Même pas peur, et la prochaine fois ? Quand la psychopathie a pris une tournure pandémique, fanatique.

- Chine : des chercheurs découvrent un virus de grippe porcine propice à une pandémie - Franceinfo 30 juin 2020

Sadisme ordinaire. Ils se font assurément un malin plaisir à balancer ce genre d'infos pour alimenter la psychose collective qui ne doit pas faiblir, et vous convaincre que désormais tout espoir de vivre dans une société meilleure est vain. Cessez de résister ou d'y croire, laissez-vous guider par ceux qui détiennent un pouvoir de vie ou de mort sur vous, eux seuls peuvent vous sauver de la catastrophe annoncée, car il n'existe pas d'autres alternatives.

Ici on vous en propose une, à vous de la saisir ou de la laisser filer.

Ne vous attendez pas à une présentation du deuxième tour des élections municipales qui viennent d'avoir lieu en France qui soit conforme à la norme, notre aversion pour l'ordre établi et notre indépendance vous ont réservé une autre lecture. Je précise qu'en dehors des articles de presse publiés sur Internet, je n'ai rien lu d'autres, donc je n'ai subi l'influence d'aucun courant politique, ce qui explique ma liberté de ton et d'interprétation.

Je suis allé à l'essentiel. Il me manque des éléments sur la situation sociale que je compense par des signes révélateurs de l'état d'esprit des travailleurs. Je me dis qu'en dehors de forces organisées, atomisés il ne peut pas se passer grand chose, en dehors de soubresauts ou de sursauts quand on est directement menacé de tout perdre en perdant son boulot. Je connais cela, je me suis retrouvé un jour à aller bosser sans bouffer pendant trois jours, c'était en 1976. Avec les quelques centimes qu'il me restait, j'avais acheté une tranche de jambon aussi fine qu'une feuille de papier à cigarette à mon chat, 70 grammes, je m'en souviens encore, voilà qui va faire plaisir à Paul.

On a eu des échanges sur la pauvreté, on l'a testée quand nous étions jeunes et cela a provoqué plus tard chez nous la même réaction, nous nous sommes radicalisés politiquement. En voilà un espoir que nos ennemis ne pourront pas nous ravir, et il nous habite toujours, à 64 et 74 ans (Paul), en direction de la jeunesse déstabilisée par la tournure de la situation, où elle voit toutes ses illusions s'envoler d'un seul coup sans autre espoir que vivre dans un monde toujours plus cauchemardesque et liberticide.

La jeunesse peut tirer comme leçon de notre expérience politique de 44 et 56 ans (Paul), qu'en demeurant constant dans les idées de justice et de liberté qui nous animaient quand nous étions jeunes, on peut se donner les moyens de les conserver et de les transformer à nouveau en révolte générale contre la société capitaliste.

Partout dans la société il existe des travailleurs ou travailleuses - là je suis obligé de mentionner le féminin, qui ne pensent qu'à renouer avec les aspirations à la liberté de leur jeunesse, comment pourrait-il en être autrement, qui en douterait ? Il ne s'agit pas de sombrer dans un optimisme béat pour contrebalancer le pessimisme général, on essaie de prendre en compte tous les facteurs qui composent la situation, il est dommage que ceux qui nous permettraient d'aller de l'avant ne soient pas pris en considération, mais il ne faut pas désespérer.

En 3 ans à peine ils ont littéralement essoré Macron et LREM ! Ils n'en sont pas encore au goutte à goutte, mais ils pourraient très bien se retrouver en salle de réanimation si les masses optaient pour la désobéissance civile, qui pourrait être le préambule d'un soulèvement généralisé qu'ils auraient toute les peines du monde à contenir, la haine remplaçant la peur se retournant contre eux.

Ils croyaient sans doute tirer davantage de Macron et LREM, mais leur attelage n'aura pas fait long feu, un assemblage fait de bric et de broc, instable, inefficace ou manquant d'entrain, construit sur des sables mouvants ou avec des planches pourries, ils ont surestimé leur capacité à hypnotiser les masses même s'ils contrôlent la situation. Ils doivent se douter qu'ils vont avoir du mal à changer leur image catastrophique, il faut donc préparer la relève, mais laquelle ? Un scénario à l'allemande ? Improbable ou intenable, la situation économique n'est pas du tout la même, l'Allemagne fait partie des pays du nord avec la Grande-Bretagne, les monarchies du nord de l'Europe, les pays baltes, l'Autriche et la Suisse, la France destinée à en faire partie pourrait rejoindre les pays du sud voué au chaos ou à connaître le même sort que la Grèce (ou le Liban). La Grande-Bretagne l'a déjà expérimenté, donc elle méritait bien son Brexit, elle avait été une bonne élève avant l'heure avec M. Thatcher.

Tout les pays du nord ne sont pas amenés à se soumettre de la même manière au diktat de la finance mondiale, du moment que leur contribution est consistante chacun dans son domaine, ils peuvent supporter quelques anicroches à leur projet, d'autant plus qu'elles servent leur image de philanthropes ou de bienfaiteurs de l'humanité.

On pourrait retomber dans le classique gauche droite replâtré, à gauche sous le masque de l'écologie, à droite en rassurant les souverainistes, mais sans aucune marge de manoeuvre et surtout sans bataillons, celui qui serait au pouvoir serait consumé en un rien de temps ! Reste à savoir ce que l'oligarchie va nous sortir dans 6 mois. Quant aux moyens, ils n'ont que l'embarras du choix entre le terrorisme, le climat et un virus ou un effondrement contrôlé de la Bourse, une guerre ici ou là, un coup tordu ou une provocation apte à provoquer un consensus national...

J'ignore si le chômage va prendre les proportions annoncées. Si c'était le cas, il faudrait encore attendre quelques mois avant que ses conséquences explosent, que ceux qui avaient des économies les aient épuisées, que ceux qui n'ont pas réussi à se refaire une santé financière mettent la clé sous la porte, que ceux qui croulent sous les dettes ne puissent plus les rembourser, qu'il soit devenu impossible à une famille de vivre avec un seul salaire, que ceux qui croyaient hier encore s'en sortir individuellement n'y croient plus, autant de cas individuels qui peuvent conduire les uns et les autres à se poser des questions sur le destin que leur réserve cette société infâme, encore faudrait-il qu'ils se transforment en cause collective et les conduire à se mobiliser pour la renverser, à condition que ce soit dans la bonne direction et non en suivant des populistes ou des charlatans, et là ce n'est pas gagné d'avance, car il faudrait qu'une nouvelle direction émerge qui renoue avec le socialisme, on n'en est manifestement pas encore là, hélas ! Mais nous y travaillons ardemment.

A part la paupérisation grandissante des classes moyennes et les coups portés à l'aristocratie ouvrière, on ne voit pas ce qui pourrait conduire leurs éléments les plus avancés à rompre avec le capitalisme... Pour nous, chaque crise n'est pas une catastrophe, mais une opportunité pour passer à l'offensive et rassembler nos forces. Chaque lutte doit être exploitée dans cet unique objectif politique, à condition que ce soit la classe ouvrière qui en soit à l'initiative et non l'oligarchie.

Autrefois on disait que chaque lutte avait un contenu politique, mais de nos jours on doit veiller à ce qu'elle ne soit pas instrumentalisée par l'oligarchie auquel cas elle serait destinée à en tirer partie, d'où la nécessité aussi de combattre les populistes qui leur servent d'agents au sein du mouvement ouvrier, en réalité tous les partis et syndicats, à ma connaissance.

De ce fait, il ne serait pas raisonnable d'espérer quoi que ce soit de ces partis, l'avant-garde organisée n'existe plus, c'est donc à la lisière du mouvement ouvrier parmi les classes moyennes et les éléments inorganisés de la classe ouvrière demeurés fidèle au socialisme, que peut émerger une nouvelle direction résolument déterminée à affronter le régime, sachant que des centaines ou des milliers de militants et cadres de ces partis la rejoindrait sur la base du programme de la révolution socialiste mondiale.

On y oeuvre inlassablement en sapant systématiquement les illusions des intellectuels dans le régime en place, en leur montrant l'incohérence de leurs analyses ou l'inanité de leurs conclusions. Sachant qu'ils ne nous connaissent pas ou ne se connecteront pas à notre portail, quand j'ai leur adresse électronique je leur envoie des courriels où j'en fais la démonstration. Le tout est d'être patient. Si des militants collaboraient à notre démarche nous pourrions en contacter un plus grand nombre. Nous pourrions aussi contacter une multitude de blogs dont les auteurs sont engagés dans la lutte de classes au côté des travailleurs, qui sait si certains ne seraient pas intéressés par notre démarche et nos propositions.

Notre démarche est parfaitement claire et honnête. Elle repose sur les faits, sur l'observation de ce qui se passe réellement, et non sur des a priori doctrinaires ou théoriques destinés à se substituer à la réalité, du coup ce qui s'impose à chacun, ce n'est pas une interprétation des faits mais leur déroulement, que l'on peut saisir ou nier selon les intentions qui nous animent, plaçant chacun face à ses responsabilités et mettant en lumière les contradictions éventuels des uns et des autres ou leurs erreurs de perception de la réalité que chacun peut corriger sans faire appel à une milice de la pensée, la question étant de savoir ce que l'on veut vraiment et si on est prêt à tout faire pour qu'il se réalise.

Sommes-nous oui ou non convaincus que la satisfaction des besoins sociaux et les aspirations démocratiques des travailleurs du monde entier, la sauvegarde de notre planète, est incompatible avec la survie du capitalisme, et si oui, sommes-nous prêts à lutter jusqu'à son éradication de la surface de la Terre, telle doit être la base de notre engagement politique. Ceux qui refusent de poser cette question, qui refusent d'y répondre ne sont pas digne de confiance.

Cependant des imposteurs peuvent se glisser parmi eux. Certes, on y a pensé évidemment, mais de nos jours ils se démasqueront eux-mêmes avant même qu'on ait eu besoin de le faire. Tenez, un exemple pris dans l'actualisé, lisez plus loin l'article où figure en détail la véritable nature de Black Lives Matter, le deuxième ou troisième que nous publions depuis début juin, le plus complet, des articles disponibles sur le Net et que tout le monde a pu lire. Dès lors, ceux qui ont appelé à participer à cette opération instrumentalisée par l'oligarchie financière savaient pertinemment à quoi s'en tenir, à qui et à quoi elle devait servir, certainement pas à lutter contre le racisme, elle était plutôt destinée à l'alimenter pour semer le chaos, chaos dont profitent ceux qui gouvernent évidemment. Ils ont donc manipulé sciemment travailleurs et militants pour le compte de notre pire ennemi, le clan de l'oligarchie financière le plus extrémiste, fanatique, va-t-en-guerre, barbare, responsable de la situation actuelle des peuples sur tous les continents. Dès lors, comment pourrions-nous leur attribuer de lutter pour la satisfaction des besoins sociaux et les aspirations démocratiques des travailleurs du monde entier, un peu de sérieux.


27 pages au format pdf

PREMIERE PARTIE

Elections municipales en France. Un hold-up électoral pour le compte du Forum économique mondial et du Green New Deal.

Le contexte.

- Il y a 525 000 élus municipaux en France.

- 16,5 millions d'électeurs appelés à voter dans les 4820 et 157 000 candidats étaient concernés par ce scrutin.

Au premier tour, le 15 mars, l'abstention s'était élevée à 55,25%, ce qui représentait déjà un record.

- 1 250 villes avaient vu leur maire élu avec moins de 25 % des inscrits.

Pour rappel, lors du second tour des élections municipales de 2014, le taux d'abstention était de 37,87%. francetvinfo.fr 29 juin 2020

Qu'est-ce que c'est EELV ?

A lire ou relire : Etude sur la nature des mouvements écologistes (1999)

http://www.luttedeclasse.org/dossier50/Etude_nature_mouvements_ecologistes.pdf

EELV = Une imposture.
EELV = L'autre masque de la gauche de la finance.
EELV = Le capitalisme vert.
EELV = L'écologie néolibérale.
EELV = Un agent du Forum économique mondial.
EELV = Des juristes, avocats, chefs d'entreprise, ongistes...

EELV - LREM, c'est dire à quel point ils sont compatibles.

- Selon une enquête Harris interactive pour TF1, LCI et RTL dimanche soir, une majorité de Français, ils sont 59% à vouloir des ministres d'EELV dans le gouvernement en cas de remaniement. - AFP 29 juin 2020

Aviez-vous flairé le lièvre ? Cautionner un nouveau coup d'Etat imaginé par les artisans du Green New Deal.

- Climat : Emmanuel Macron adopte 146 mesures sur 149 - franceinfo.fr 30 juin 2020

Dès dimanche 28 juin, l'Élysée a annoncé qu'Emmanuel Macron allait répondre de manière forte à l'attente des Français en matière d'écologie. Des gages ont d'ores et déjà été donnés.

Lundi 29 juin, le chef de l'État Emmanuel Macron a retenu quasiment toutes les propositions de la Convention citoyenne pour le climat, soit 146 mesures sur 149 et une enveloppe de 15 milliards d'euros supplémentaires.

À l'inverse, plusieurs idées ont été écartées, notamment la taxation des dividendes. franceinfo.fr 30 juin 2020

Devinette à deux balles.

Elections municipales 2020 : quels programmes vont appliquer les candidats écologistes dans les grandes villes conquises ? - franceinfo.fr 30 juin 2020

LVOG - Des mesures cosmétiques destinées à améliorer les conditions de vie des classes moyennes qui vivent dans les centres villes, la classe ouvrière en a été expulsée depuis longtemps...

Sur le plan social, aucun changement, comment pourrait-il en être autrement ?

Le social était un faux prétexte, qui en doutait ?

- "je ne crois pas que c'est un retour à la gauche plurielle", a souligné David Cormand car "la force propulsive de ces élections, c'est l'écologie". AFP 29 juin 2020

L'écologie "ne plaît qu'à une classe de fait privilégiée".

- C'est "une vraie victoire", analyse Vanessa Jérôme, spécialiste de l'écologie politique en France. - francetvinfo.fr 29 juin 2020

"A un moment où la transition écologique est vue comme une évidence, EELV a profité d'un contexte porteur, reprend Vanessa Jérôme. La crise du Covid est aussi évidemment passée par là. Des électeurs ont ouvert les yeux et se sont sentis concernés par les enjeux qui pouvaient jusque-là leur paraître éloignés."

"Qu'ils n'oublient pas non plus qu'ils gagnent aussi et surtout grâce à des alliances. Donc on peut aussi considérer, au-delà du fait que les idées écologistes progressent, que c'est une victoire de toute la gauche."

Il revient aussi à EELV d'"accrocher des électeurs qui ne sont pas forcément les plus convaincus. Je pense aux précaires, aux ouvriers, plus globalement aux 'gilets jaunes'. Tous ne sont pas forcément irréconciliables. Mais ça va demander un vrai travail de pédagogie". Sinon ? "Sinon, ils se feront 'corneriser' comme avant, certains se chargeront de les résumer à une écologie punitive, qui ne plaît qu'à une classe de fait privilégiée, selon Vincent Tiberj, chercheur en sociologie électorale et professeur à Sciences Po Bordeaux. francetvinfo.fr 29 juin 2020

Quelques enseignements politiques.

- Aucun élu n'est légitime.

- Peu importe qui a été élu, ils appliqueront tous la politique dictée par l'oligarchie à Bruxelles.

- Le rejet massif, majoritaire des institutions de la Ve République, de tous les partis qui y participent.

Qu'est-ce que vous voulez que cela me fasse d'aller travailler à pied, à vélo, à cheval, en voiture, en tram, en bus, en métro ou en train, si mes conditions de travail ne cessent de se dégrader, si mon salaire demeure misérable, etc. ?

Les écologistes sont les grands gagnants, vraiment ?

EELV incarne l'ongination de la politique ou l'emprise des ONG sur les classes moyennes, leur dislocation ou putréfaction politique pour mieux les dissocier, les écarter de la classe ouvrière ou les dresser contre elle, les réduire à l'impuissance politique, de manière à ce qu'il se substitue au PS à la suite de sa débâcle annoncée et canalise les voix de ces classes pour le compte de l'oligarchie, au côté du nouveau parti de l'ordre, LREM, qui capterait les couches supérieures des classes moyennes et de la grande bourgeoisie.

EELV, c'est le parti des nantis, des petits bourgeois qui soutiennent le régime en place, et qui exigent en contrepartie qu'il contribue à l'amélioration de leurs conditions d'existence déjà privilégiées, en abandonnant à leur triste sort tous ceux qui ont un statut inférieur aux leurs ou appartiennent aux catégories de travailleurs les plus défavorisés. EELV essaie de les enrôler, mais cela ne fonctionne pas, car la classe ouvrière à d'autres préoccupations sociales prioritaires ou urgentes à satisfaire, incompatibles avec leur programme. Alors il se rabat sur la jeunesse réputée faible et malléable, qu'il tente de manipuler cyniquement en se servant des craintes qu'elle exprime pour son avenir. Ce sont des imposteurs ou des escrocs aussi pourris qu'au PS, LREM ou LR.

Bref, ce sont des réactionnaires puisqu'il faut bien les caractériser politiquement, car contrairement à ce que certains croient, ce ne sont ni des progressistes, ni des humanistes.

Pour ceux qui l'aurait oublié.

EELV s'était distingué en allant en Ukraine supporter le coup d'Etat de l'Otan-UE place Maidan réalisé grâce à des milices fascistes. EELV est aligné sur l'impérialisme français ou il a soutenu toutes ses guerres. Il est aussi le porte-parole de l'UE, de l'ONU, du GIEC et de l'OMS, du Green New Deal, etc. n'en jetez plus la poubelle est pleine et elle pue !

C'est le PS, Générations, le PCF, LFI et le POI notamment qui ont permis à EELV d'enlever de nombreuses grandes villes porté par les médias-oligarques les jours précédents le scrutin.

AFP- Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Marseille... sont toutes passées dimanche soir de la droite aux mains des Verts, grâce aux alliances tissées entre EELV, le PS ou le PCF.

Pour sa part, le PS conforte ses positions à Paris, Nantes, Rennes, Lille, Villeurbanne, Dijon, Le Mans, Bourges ou encore Nancy et Montpellier. Là aussi, l'alliance à gauche a constitué la formule gagnante, ouvrant la voie à "un bloc social-écologique", selon le patron du PS Olivier Faure.

A priori, il semble que c'est bien l'alliance avec le PS et le PCF (presque partout), et parfois avec LFI qui leur a permis d'engranger autant de succès. AFP 29 juin 2020

Le NPA se devait d'en être.

- Malgré une très forte abstention, Alain Claeys, qui fût le maire PS de Poitiers de 2008 à 2020, vient de perdre. C’est Léonore Moncond’huy, de Poitiers Collectif, tête d’une liste rassemblant EELV, PCF, Génération.s et de nombreux/ses citoyenNEs, qui a gagné.

Le NPA a appelé à battre Claeys en utilisant le bulletin Poitiers Collectif. npa2009.org 28 juin 2020

LVOG - Tous les partis qui ont participé à cette élection avaient à leur actif le consensus sur les machinations climatiques et sanitaires sponsorisées par le Forum économique mondial, partant de là les seuls véritables perdants étaient à chercher ailleurs, dans le camp des abstentionnistes.

Les gagnants, peu importe que leurs représentants soient EELV, le PS ou LR puisqu'ils partagent tous la même orientation politique définie par l'oligarchie, il n'y a que leur présentation et la manière de la mettre en oeuvre qui présentent des nuances, qui accélèrent ou ralentissent le rythme de l'application de son programme dans des conditions qui s'imposent à tous.

Ils savaient pertinemment que cette élection n'était pas jouable pour Macron et LREM, alors la veille du scrutin tous les médias ont propulsé EELV comme ils l'avaient fait avec Macron et LREM en 2017, parce que cela collait avec leur agenda, le "Great Reset" destiné à appliquer le Green New Deal. EELV, c'est la caution de gauche des nantis qui ne pouvait pas émerger à LREM. C'est une combinaison semblable à celle des Verts avec le PS, qui a formé une grande partie des bataillons de LREM, donc ils sont en famille. EELV a intégré le programme du PS et de LREM, et comme cette fusion reprend à son compte le Green New Deal, vous savez qui a remporté cette élection, partant de là peu importe que ce soit ou non LREM, puisque Macron va continuer de gouverner pour les bénéficiaires du Green New Deal ou du Great Reset.

Quand on lit la déclaration qui a accompagné l'annonce d'un Great Reset à partir de janvier 2021, on s'aperçoit qu'ils ont présenté leurs intentions de manière à ce que tout le monde les partage, mais l'essentiel est ailleurs. Quand on se demande, qui est-ce qui a formulé ces intentions, la réponse fournit une idée assez précise de la nature de ceux qui sont destinés à en profiter, sachant qu'il s'agit des 1.000 plus puissants et riches de la planète, je me dis qu'ils doivent être satisfaits des 40% de votants, s'ils en conservent 25%, ils sont sûrs de garder le pouvoir pendant encore des années. Dans le monde entier il y a des millions d'élus qui n'ont aucune légitimité, parce qu'ils ont été élus avec seulement entre 20 et 25% des voix des électeurs, parfois beaucoup moins, c'est le cercueil du parlementarisme.

La question qui tue EELV.

Question d'un internaute à Franceinfo :

- "J'ai le souvenir de Jadot parlant d'illégitimité du Président Macron car, selon lui, mal élu. Dit-il la même chose des EELV aujourd'hui élus avec un taux d'abstention record ?"

Alors que le taux de participation a été de 41,6%, les commentateurs s'égosillent, matraquent :

- Une vague verte.
- Une vague verte a déferlé.
- Cette déferlante verte.
- "Une vague verte" qui "se lève en France".
- Une vague écologiste a déferlé en France.
- Ce soir c'est historique.
- Poussée historique des Verts.
- Victoire historique des écologistes.
- Une percée historique des écologistes.
- "Un immense élan se lève sur toute la France".
- Municipales 2020: Les écologistes font un "pas de géant" historique - Le HuffPost 29 juin 2020

LVOG - Quelle hystérie ! A croire qu'ils sont les seuls à y croire !

Mimétisme avec le Forum économique mondial. Changer de vie, pas de régime.

- "On a vu dans cette campagne une incroyable aspiration populaire à s'emparer de nouveau de sa vie", a réagi Yannick Jadot, député européen Europe Ecologie-Les Verts (EELV). "Ce qui se passe (...) nous oblige à aller beaucoup plus loin dans l'écologie", a déclaré Julien Denormandie, le ministre de la Ville et du Logement. AFP 29 juin 2020

Ils osent tout. "Une incroyable aspiration populaire à s'emparer de nouveau de sa vie"... avec un taux de participation de 41,6% !

- Municipales : un record d'abstention au second tour - franceinfo.fr 30 juin 2020

Jamais, sous la Ve République, le second tour d'une élection municipale n'avait si peu mobilisé.

Quels que soient les scores des uns et les autres, tous les partis sont perdants sur un point : ils n'ont pas réussi à mobiliser les électeurs.

Mathieu Gallard, directeur d'études à Ipsos, rapporte : "On a interrogé des abstentionnistes pour connaître les raisons de leur choix, et on en retire que pour la majorité d'entre eux, 43%, ça reste la peur du covid qui explique leur refus."

"Ensuite on a aussi des raisons plus traditionnelles de l'abstention, par exemple le fait d'avoir le sentiment que ces élections ne vont rien changer à leur vie, ou le fait d'être insatisfait par les candidats dans leurs communes. Et puis dans un contexte de déconfinement, de crise économique qui pointe à l'horizon, on a aussi toute une partie des abstentionnistes qui nous ont dit qu'ils n'avaient pas la tête à ses élections", rajoute Mathieu Gallard. franceinfo.fr 30 juin 2020

Des électeurs fantômes. Hier à coup de sondages truqués, ils affirmaient que les maires étaient les élus préférés des électeurs.

- Elections municipales 2020 : voici les 100 communes où le maire a été élu par le plus faible taux d'inscrits sur les listes - franceinfo.fr 30 juin 2020

En raison d'une très forte abstention et de la dispersion des listes, les vainqueurs ont été désignés avec les voix de moins de 15% des électeurs à Lille, Dijon ou Aix-en-Provence. D'Amiens à Nîmes, de Brest à Metz, en passant par Clermont-Ferrand, aucun de ces nouveaux maires ne peut se vanter d'avoir le soutien de plus de 15% du corps électoral. A Mulhouse, c'est moins de 10%.

Marquée par une très forte abstention, cette élection a couronné de nombreux autres maires élus avec une infime base électorale.

Une abstention dépassant parfois 80%

Dans une grande majorité de ces 100 communes, le niveau d'abstention record enregistré à l'échelle nationale (58,4%) a été dépassé. Dans un tiers des villes, la barre des 70% d'abstention a même été franchie. Cela a été le cas à Tourcoing (74,6% d'abstention), si bien que le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, s'est retrouvé élu au premier tour avec les voix de 15,05% des électeurs seulement. Même situation dans le 7e secteur de Marseille, où l'abstention a presque atteint 74% au second tour. Le candidat LR David Galtier l'a emporté d'une courte tête face au maire RN sortant Stéphane Ravier, grâce au maigre appui de 11,86% des inscrits.

Derrière Mulhouse, la plus faible proportion d'inscrits ayant voté pour le vainqueur a été enregistrée à Vénissieux (9,9%), dans la métropole de Lyon. L'abstention y a été de 74,4%, ce qui alarme la maire PCF réélue. Troisième ville où le taux d'inscrits "victorieux" a été le plus faible, Vaulx-en-Velin (10,4%)

Plus anecdotique, à Eckbolsheim, Herserange, Illzach et Vétraz-Monthoux, une seule liste était en course : le match était plié d'avance, peu d'intérêt à aller voter, d'où une abstention supérieure à 80% et des maires élus à 100% par une petite minorité de leurs administrés.

LVOG - En cause : "Il faut retrouver le sens de l'engagement et de l'intérêt général que les gens avaient à l'époque de l'industrie et des syndicats." confie à franceinfo Michèle Picard, maire PCF de Vénissieux.

A Vaulx-en-Velin suffrages exprimés 24.08%, abstentionnistes 75.92%, auxquels il faut ajouter 1.35% de votes blancs, conclusion: le nouveau maire a été élu avec 2,2% ou 2,4% des voix des électeurs.

A Vénissieux la participation a été de 25.59%, la candidate du PCF a été élu avec 40.02 % des suffrages exprimés, soit 10,02%.

Commentaires d'internautes.

1- Législatives 2017 abstention second Tour 57,36% soit quasiment le même score et sans covid. Je ne me rappelle pas avoir lu que la majorité présidentielle au parlement avait bien peu se légitimité, au contraire c'est dans cette légitimité que se drape Macron depuis 3 ans...

2- Que ceux qui se lamentent d'une abstention élevée aillent une fois voir chez nos voisins helvètes souvent considérés comme modèles de démocrates. Ils seront surpris de constater qu'en Suisse le taux des abstentions dépasse souvent allègrement les 60%. Ponctuellement même des taux autour de 80% se présentent. Et en Suisse ils ont l'habitude de considérer que les citoyens ne se déplacent pas puisqu'ils font tout simplement confiance à leurs autorités…

3- Bien sûr, mais 60% ou plus s'en foutent et s'abstiennent. Et en plus, les citoyens suisses suivent presque toujours les recommandations du gouvernement. Ils ont ainsi, par exemple, rejetés massivement l'augmentation des congés payés de 5 à 6 semaines et l'introduction d'un salaire minimum.

La débâcle de LREM.

- Pour cette dernière, le calvaire de la campagne s'est achevé par une ultime humiliation: faute de voix suffisantes dans son XVIIe arrondissement, ni l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn ni son porte-parole Gapard Gantzer ni la ministre Marlène Schiappa ne siégeront au Conseil de Paris. Il n’y aura pas de place non plus Cédric Villani, candidat dissident. Symbole d'un fiasco général pour La République en marche. francetvinfo.fr et Le HuffPost 29 juin 2020

- "Les résultats ont été vraiment très mauvais au premier tour : aucun député La République en marche n'a fait plus de 20% au premier tour. Souvent, ils faisaient moins de 10%"

- A l'issue du premier tour, le mouvement d'Emmanuel Macron comptait ainsi seulement 268 conseillers municipaux élus, contre 3 539 pour Les Républicains et 1 810 pour le Parti socialiste, ou encore 1 072 pour le Parti communiste français, note Libération

- Sur 296 listes "investies ou soutenues" par le mouvement et présentes au second tour "dans les villes de plus de 9 000 habitants (hors arrondissements Paris-Lyon-Marseille)", moins de la moitié (125) sont "autonomes ou alliées avec le centre". Par ailleurs, 33 se sont alliées avec la gauche, et pas moins de 76 ont dû trouver des accords avec la droite pour avoir une chance de gagner. Faire alliance avec la droite était "faire très peu de cas du fait qu'une majorité d'électeurs LREM en 2017 venaient de la gauche", analyse Olivier Costa. francetvinfo.fr 29 juin 2020

Mélenchon au chevet des institutions antidémocratiques de la Ve République.

- Cette abstention a également été commentée par Jean-Luc Mélenchon, qui s'est inquiété "d'une grève civique" des Français, "d'une forme d'insurrection froide contre toutes les institutions du pays". "C'est donc un moment compliqué, dangereux, de la vie de la nation qui se présente devant nous", a-t-il estimé. BFMTV 29 juin 2020

LVOG - Inquiétude partagée par Macron :

- Emmanuel Macron a "marqué sa préoccupation pour le faible taux de participation aux élections municipales", qui n'est "pas une très bonne nouvelle", a fait savoir l'Élysée dans la soirée. BFMTV 29 juin 2020

Comment ils ont trompé les travailleurs pour qu'ils deviennent des acteurs de leur propre malheur.

Éric Coquerel, député LFI à franceinfo : "Notre volonté, c'était de continuer à essayer de faire en sorte que les gens reviennent en politique ou deviennent des animateurs politiques pour préparer la suite". franceinfo.fr 29 juin 2020

LVOG - Il ne s'agissait pas pour eux "de faire en sorte que les gens reviennent en politique" au sens où nous l'entendons, c'est-à-dire en toute indépendance du régime pour l'affronter, non, exactement le contraire, en y faisant allégeance en participant à cette farce électorale.

Un boycott qui était doublement légitime. Il y a ceux qui restent debout, et les autres qui se "plient", s'agenouillent ou se couchent.

- Masque sur le visage et gel hydroalcoolique à disposition : les électeurs qui ont fait le déplacement se sont une nouvelle fois pliés aux dispositifs sanitaires mis en place.

Les bureaux de vote devaient être organisés de manière à respecter la distanciation physique, c'est-à-dire avec un mètre de distance entre chaque personne. Le nombre de personnes simultanément présentes était également limité.

Une "dérogation à l'obligation d'estampiller la carte électorale après la signature de la liste d'émargement" a aussi été mise en place pour "éviter les contacts".

Avant d'aller voter, certains électeurs ont également glissé un stylo dans leur poche pour limiter les risques de contamination. Des bureaux de vote avaient de leur côté prévu des stocks... francetvinfo.fr 29 juin 2020




DEUXIEME PARTIE

Le même acharnement des eugénistes de Big Pharma. Pourquoi la population est-elle en si mauvaise santé ?

LVOG - Chloroquine, homéopathie, herboristerie, au tour (à nouveau) des compléments alimentaires. Vous devez être en mauvaise santé ou le rester, et tenez-le vous pour dit, il n'existe pas de traitement pour le Covid-19, vous risquez tous de mourir et personne n'y peut rien. Quand vous êtes malade, surtout ne vous posez pas de questions, bourrez-vous de médicaments, faites-vous opérer, ne regardez pas à la dépense, c'est comme la dette, elle est socialisée, c'est gratuit ou presque, en fait vous le paierez et vos cotisations sociales augmenteront toujours plus parce que les profits, les seuls réels profits à en attendre sont privatisés, mais cela on ne vous le dira pas ou on ne s'attardera pas dessus...

Une association de consommateurs dénonce une arnaque aux compléments alimentaires - capital.fr 27 juin 2020

La Confédération consommation logement et cadre de vie (CLCV) a attaqué en justice le site Nutrilife Shop. Ce dernier est accusé d’avoir joué sur la peur de l’épidémie pour écouler des compléments alimentaires.

Certains n’hésitent pas à utiliser les peurs pour vendre leur produit. Le site Nutrilife Shop est visé par une action en justice pour sa campagne commerciale pour des compléments alimentaires, révèle Le Parisien. capital.fr 27 juin 2020

Les compléments alimentaires, un succès qui laisse la science sceptique - capital.fr 28 mars 2018

Ces compléments sont jugés "utiles pour lutter contre une alimentation déséquilibrée (manque de magnésium, de calcium...)" par 67% des sondés, et presque autant (64%) les trouvent "utiles à certaines périodes de l'année pour éviter et limiter les petits maux (rhume, grippe, fatigue régulière...)". Plus de la moitié (52%) estiment que "consommer des compléments alimentaires permet de prévenir ou ralentir certains problèmes de santé".

L'Agence nationale de sécurité sanitaire et de l'alimentation (Anses) a alerté à de multiples reprises sur ces produits qui, contrairement aux médicaments, ne sont pas soumis à une autorisation de mise sur le marché.

"Par définition, un complément alimentaire ne peut avoir, ni revendiquer d'effets thérapeutiques", lit-on sur son site internet. Et le danger, selon elle, est de dépasser les "limites de sécurité" de prises de vitamines ou minéraux.

Plusieurs études scientifiques ont conclu, pour la grande majorité des compléments en vitamines ou minéraux, à l'absence d'intérêt prouvé.

"Il n'y a aucune base scientifique à tout ce que prétendent prévenir ou guérir ces produits", estime le pharmacologue Jean-Paul Giroud, de l'Académie de médecine.

"Raisonnons en termes de sous-populations. Le déficit en vitamine D est extrêmement fréquent chez les personnes âgées, et les gériatres en font prendre à raison." capital.fr 28 mars 2018

LVOG - Prétendre que "par définition, un complément alimentaire ne peut avoir, ni revendiquer d'effets thérapeutiques", c'est comme dire que les aliments qui renferment les mêmes molécules n'en auraient aucun.

"Ce sont globalement des conditions de vie, et non des caprices d’un microbe quelconque dont dépend la santé."

COVID-19 – Saurons-nous tirer toutes les conséquences de cette crise? par Pascal Perrier - Mondialisation.ca, 29 juin 2020

Nous traversons une période de folie collective. Espérons que nous parviendrons un jour à ce constat, les crises permettant parfois, même si ce n’est qu’a posteriori, des prises de conscience salutaires. Espérons même que la singularité de ce confinement forcé puisse d’ors et déjà favoriser l’émergence d’une réflexion individuelle sur cette crise que nous traversons. (Le problème de toute "réflexion individuelle". Tout d'abord, c'est d'arriver à discerner dans quelle direction elle est orientée, sinon elle demeurera inutile ou improductive ; ensuite, il faut déterminer la nature des différentes orientations qui se présentent à nous, sachant que toutes ne bénéficient pas de la même publicité ou couverture médiatique ou certaines sont quasiment inconnues ou ont été dévoyées au point de les rendre méconnaissables ; pour enfin, si on a réussi à passer avec succès l'épreuve précédente, choisir celle qui correspond réellement ou le mieux à nos aspirations, et là ce n'est pas gagné d'avance parce que ceux qui sont censés l'incarnés l'ont détournée de leur objectif initial. - LVOG)

Il y a peu, de nombreux mouvements sociaux tendaient ici et là à mettre en lumière différents aspects d’une autre crise, une crise sociétale profonde, appelant des réponses concrètes et urgentes. Du jour au lendemain, tout cela a été disqualifié, marginalisé, anéanti même au profit d’une « union sacrée » de tous les « Enfants de la patrie », d’une « guerre » totale contre un virus. (Ceci explique cela, sinon, à quoi bon ! - LVOG)

De part cet écrasement soudain des perspectives, qualifier cette période présente de folie collective peut être perçu par beaucoup comme une dangereuse dissidence. Mais le pire en la circonstance, comme en bien d’autres, serait d’y laisser s’anéantir notre esprit démocratique, en refusant par exemple d’examiner ce qui motive cette expression. (...)

L’épreuve des faits

Or, parmi ces fondements, l’un des plus importants se trouve être la biologie. Parmi les sciences de la nature auxquelles nous devons des conquêtes si remarquables, c’est l’évolution des idées dans ce domaine, particulièrement au tournant des XIXème et XXème siècles, qui a ouvert la voie aux conceptions qui déterminent encore de nos jours cette agriculture dite conventionnelle dont le modèle s’est imposé. Ce qui peut-être, quitte à surprendre, montrera le mieux en quoi a consisté cette évolution des idées se dégagera de l’examen du principe de la vaccination. Citons à cet effet deux sources d’information :

a – Une étude menée en 2017, et publiée par des chercheurs du Département d’épidémiologie et de biostatistiques de l’université de Jackson (USA), portant sur des enfants vaccinés et non vaccinés, montre que les premiers sont très sensiblement plus sujets aux maladies que les seconds (1). Ces résultats sont d’ailleurs corroborés par d’autres études semblables aux USA (2).

b – En 2009 la mathématicienne Angelica Kögel-Schanz parvenait déjà, de façon très nette, à la même conclusion en analysant les données brutes (plus de 26 millions d’informations au total) d’une grande étude – appelée KIGGS – sur la santé physique et mentale de 17641 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans, réalisée de mai 2003 à mai 2006 par la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch (3). Nombre d’études similaires confirment d’ailleurs ce constat, menées en Autriche, en Guinée-Bissau, en Nouvelle-Zélande, en Hollande ou en Angleterre, parfois depuis le début des années 90 (4).

Pourquoi ces informations, parfaitement vérifiables et d’une importance capitale, n’ont eu aucun effet sur les responsables des institutions de santé publique (pas plus d’ailleurs que sur le corps médical dans son ensemble) ? Comment est-il possible qu’aucun des 200 articles scientifiques publiés à la suite de l’étude KIGGS n’ait relevé cette relation, pourtant on ne peut plus visible, entre le statut vaccinal et la santé ? (5)

Comment en vient-on à une telle situation, à une posture aussi anti-scientifique de la part de scientifiques ? Cela ne peut s’expliquer à première vue que pour deux motifs : 1 – lorsqu’on a affaire à une idéologie ; 2 – lorsque des intérêts financiers importants sont en jeu – la seconde restant assujettie à la première, mais ces deux propositions étant évidemment cumulables (6).

L’épreuve des faits

Or, parmi ces fondements, l’un des plus importants se trouve être la biologie. Parmi les sciences de la nature auxquelles nous devons des conquêtes si remarquables, c’est l’évolution des idées dans ce domaine, particulièrement au tournant des XIXème et XXème siècles, qui a ouvert la voie aux conceptions qui déterminent encore de nos jours cette agriculture dite conventionnelle dont le modèle s’est imposé. Ce qui peut-être, quitte à surprendre, montrera le mieux en quoi a consisté cette évolution des idées se dégagera de l’examen du principe de la vaccination. Citons à cet effet deux sources d’information :

a – Une étude menée en 2017, et publiée par des chercheurs du Département d’épidémiologie et de biostatistiques de l’université de Jackson (USA), portant sur des enfants vaccinés et non vaccinés, montre que les premiers sont très sensiblement plus sujets aux maladies que les seconds (1). Ces résultats sont d’ailleurs corroborés par d’autres études semblables aux USA (2).

b – En 2009 la mathématicienne Angelica Kögel-Schanz parvenait déjà, de façon très nette, à la même conclusion en analysant les données brutes (plus de 26 millions d’informations au total) d’une grande étude – appelée KIGGS – sur la santé physique et mentale de 17641 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans, réalisée de mai 2003 à mai 2006 par la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch (3). Nombre d’études similaires confirment d’ailleurs ce constat, menées en Autriche, en Guinée-Bissau, en Nouvelle-Zélande, en Hollande ou en Angleterre, parfois depuis le début des années 90 (4).

Pourquoi ces informations, parfaitement vérifiables et d’une importance capitale, n’ont eu aucun effet sur les responsables des institutions de santé publique (pas plus d’ailleurs que sur le corps médical dans son ensemble) ? Comment est-il possible qu’aucun des 200 articles scientifiques publiés à la suite de l’étude KIGGS n’ait relevé cette relation, pourtant on ne peut plus visible, entre le statut vaccinal et la santé ? (5)

Comment en vient-on à une telle situation, à une posture aussi anti-scientifique de la part de scientifiques ? Cela ne peut s’expliquer à première vue que pour deux motifs : 1 – lorsqu’on a affaire à une idéologie ; 2 – lorsque des intérêts financiers importants sont en jeu – la seconde restant assujettie à la première, mais ces deux propositions étant évidemment cumulables (6).

Or, qu’est-ce qu’une idéologie : c’est un ensemble d’idées, relativement cohérent, proposant dans un but pratique une certaine interprétation de la réalité. Depuis Aristote, la raison, la pensée rationnelle, qui prend appui sur la logique, s’est imposée comme l’outil indispensable à la construction de tout système d’interprétation – l’erreur fondamentale pour l’auteur d’un système quelconque étant de perdre de vue qu’il n’est justement que le fruit d’une certaine interprétation ; qu’à nous autres humains tributaires de nos organes sensoriels, la réalité n’est jamais directement accessible. D’où l’utilité de l’épistémologie, cette partie de la philosophie « qui a pour objet l’étude critique des postulats, conclusions et méthodes d’une science particulière, considérée du point de vue de son évolution, (…). » (CNRTL) (C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le marxisme n'est pas une "construction" ou un "système d’interprétation", mais une description scientifique des rapports dialectiques de cause à effet qui caractérisent le mouvement de la matière toutes manifestations confondues incluant les idées qui sont issues du cerveau des hommes... - LVOG)

De ce qui précède, nous devrions nous accorder à dire que tout scientifique honnête (au moins intellectuellement) doit se doubler d’un épistémologue, afin de veiller à mettre en question son idéologie partout où celle-ci viendrait d’expérience en contradiction avec la réalité. Fondement du principe de la vaccination, l’idée que toute maladie infectieuse a pour seule et unique cause un antigène de nature microbienne venu du milieu extérieur a été très tôt combattue, y compris par des médecins qui l’avaient au départ adoptée et loyalement appliquée. Une abondante littérature sérieusement documentée en témoigne (7). Mais on n’en a pas davantage tenu compte que de l’évidence de ces statistiques précitées, pourtant parfaitement fiables. Rien donc d’étonnant, selon ce parti pris, à ce qu’on trouve naturel de réserver aux vaccins un statut spécial en matière d’Autorisation de Mise sur le Marché (en effet, contrairement à tout autre substance, on ne compare pas les vaccins à des placebos réels, et aucune étude n’est faite des effets secondaires à long terme).

C’est à ces traits remarquables qu’on voit qu’une idéologie a muté en un dogme. Et c’est un fait d’autant plus dommageable qu’elle est à l’origine et à la base de cette branche de la médecine (qui en comprend de nombreuses) devenue médecine officielle de l’Etat et de la nation, et source exclusive de l’enseignement hospitalo-universitaire.

Passer de l’idéologie au dogme est une démarche qui relève de la psychologie, pour ne pas dire de la psychopathologie, mais qui se révèle d’autant plus aisée que la biologie moderne a été élevée, en tout arbitraire, au rang de science exacte – ce qui, pris au mot, revient à décréter ses valeurs comme universelles, et par là-même indiscutables.

C’est lorsque, quittant les chemins de la raison ordinaire, nous succombons à notre besoin proprement humain de trouver des réponses à nos éternelles questions sur le monde, à notre rêve de posséder un jour la clé des réponses à tout, que nous versons dans le théorisme, dans ce travers qui nous fait adopter une théorie, une idéologie comme définitive, allant par là-même, en l’occurrence, jusqu’à rompre avec les principes fondamentaux de la démarche scientifique telle que définie par la communauté scientifique internationale. (Un marxisme n'adopte pas aveuglément une théorie, il met en pratique une théorie et vérifie en permanence sa validité au contact de la réalité, si elle ne concorde pas avec la réalité, il adapte sa théorie à la réalité et non l'inverse. - LVOG)

Ce serait évidemment un moindre mal si cette idéologie incohérente avait été circonscrite à un domaine quelconque en marge de la vie sociale. Mais elle s’est imposée au contraire comme un paradigme en matière de santé publique et de santé tout court, placées d’office entre les mains d’experts, et adoptée en bloc par la grande majorité de la population éduquée au respect de l’autorité scientifique. (C'est bien la quasi totalité de la médecine qui est aujourd'hui gangrenée par l'idéologie néolibérale. - LVOG)

Pourtant, il ne s’agit pas de juger de la valeur d’une idéologie d’après des connaissances – qu’il faudrait d’abord s’approprier – il s’agit de juger d’après les faits. Et c’est même indispensable pour chaque adulte responsable lorsque ces faits impactent une société tout entière. Le principe de la vaccination pris pour modèle ici, suit une logique séduisante, établit une relation antigène-anticorps fort intéressante, mais le fait est là : dans la réalité, il ne marche pas.

Comme on l’a vu, des voix se sont toujours élevées pour alerter de la dangerosité de cet égarement contagieux de la science, mais on ne les entend pas (8). Ainsi, cette profonde vérité exprimée par Albert Einstein que «toute notre science, mesurée par rapport à la réalité, est primitive et enfantine», n’est absolument pas prise au sérieux. Mais le mal est tel qu’au mieux, en accordant quelque crédit à ces avertissements, on peut toujours continuer à se bercer de l’idée que notre matérialisme foncier laisse encore un peu de place à la rêverie, que nous n’avons pas tué toute spiritualité. Car dans la pratique, au contraire, nous sommes tellement attachés à cette illusion de maîtriser les faits que nous en étouffons la complexité dès qu’elle nous apparaît. (Si toute idéologie se rattache aux faits, ce qui les distingue en dernière analyse, ce sont les faits ou facteurs qu'elle privilégie sur les autres, pour l'idéologie capitaliste, le profit, l'hégémonie de classe, le règne de l'exploitation, pour l'idéologie socialiste, la satisfaction des besoins sociaux et des aspirations démocratiques de l'ensemble des citoyens, la justice de classe, l'émancipation de l'exploitation. - LVOG)

Le résultat en effet, c’est que nous sommes incapables de voir que c’est cette irrationalité même qui nous gouverne, que c’est actuellement à la panique que nous obéissons et non à un reste de raison. La dangerosité de cette conception irréelle ne peut donc, de part l’amateurisme qui lui est inhérent, qu’amener des maux pires que le mal qu’elle déclare combattre. Le confinement de masse est aux antipodes de ce qu’il faut faire ; le climat de terreur répandu sur la population, largement entretenu et amplifié par les médias, ne peut que faire basculer dans la maladie quantité de personnes faibles et aisément impressionnables. Mais aussi absurdes que soient les mesures qu’on aura imposées, communes d’ailleurs en bien des points avec l’élevage industriel, on clamera en haut lieu qu’elles ont démontré leur efficacité, et on s’apprêtera à les reproduire.

Avant même d’être une question médicale, une épidémie est une question sociale

On peut lire actuellement sur le site de l’Institut Pasteur : « Une épidémie de pneumonies d’allure virale d’étiologie inconnue a émergé dans la ville de Wuhan (province de Hubei, Chine) en décembre 2019 . » L’Institut nous dit bien : « d’étiologie inconnue », (autrement dit : « dont on ne connaît pas la cause ») mais curieusement, il n’y voit aucune contre-indication à désigner un peu plus loin le covid-19 comme « l’agent responsable de cette nouvelle maladie infectieuse respiratoire ». Etonnante faculté que celle qui ignore même la logique élémentaire lorsqu’il s’agit de faire entrer les faits dans la théorie ; qui permet d’écarter, au profit de son « agent responsable » microscopique tout « agent responsable » macroscopique que peuvent suggérer les faits.

Car pour ce qui est des faits, quiconque veut se documenter un peu sur cette mégapole qu’est Wuhan y découvrira des conditions de vie généralement incompatibles avec la conservation de la santé – notamment le cocktail toxique de sa pollution atmosphérique quasi permanente, facteur commun à des dizaines de villes chinoises caractérisées par une vitesse de développement industriel et urbanistique sans précédent.

Les autorités de santé publique nous le disent (sans rire) : 80 % des personnes « infectées » par ce coronavirus sont asymptomatiques – c’est à dire qu’elles ne présentent aucun symptôme, qu’elles ne s’éprouvent pas elles-mêmes malades. S’il y a une chose qu’on mesure clairement dans ce nombre, c’est le degré d’infantilisation de la population qui s’en remet docilement au « sachant » pour ce qui est de savoir si elle est malade ou pas. Le concept même de maladie, que ce critère illustre, peut ainsi se maintenir, aussi délirant soit-il, sans provoquer aucune réaction. Car si l’on tenait absolument à faire figurer ce virus dans ses observations, il faudrait dire plutôt, en toute logique : « La présence de ce virus est généralement un signe de bonne santé. » Une affirmation aussi irrecevable aujourd’hui que parfaitement juste. Une grippe n’est jamais autre chose qu’une « simple grippe » pour toute personne dotée au départ d’un état général satisfaisant. Aucun médecin sensé n’ira contre cette affirmation. C’est à la fois au regard et grâce à cette idéologie que cette épidémie – qu’elle s’abstient de comparer avec les précédentes – est particulière et particulièrement dangereuse. Toute autre approche médicale (parmi une grande richesse « alternative »(9)) est implicitement exclue du débat, réduit au choix binaire chloroquine ou vaccin.

Ainsi doit-on, de ce point de vue épidémiologique, si l’on ne veut pas déroger à la théorie, rester aveugle par principe à cette observation macroscopique que le choléra et la dysenterie suivent avec constance toutes les guerres (tout comme les pestes au Moyen-âge) ; écarter de l’étiologie au profit d’un microbe, la dénutrition, le défaut de structures sanitaires et d’hygiène, les traumatismes physiques et psychologiques, etc, qui sont de toute évidence les causes premières de ces maladies.

C’est grâce à un semblable processus mental, déconnecté de la réalité, que la raison d’être des épidémies de tuberculose a été au départ, puis définitivement, attribuée à un bacille plutôt qu’à ces phénomènes de société que sont la malnutrition, le logement insalubre, la promiscuité, l’épuisement au travail (en gros à l’extrême misère des populations déracinées, rejetées de leurs campagnes par les effets de la révolution industrielle). Sans aucune prétention d’exhaustivité, ne serait-il pas au moins utile de rapprocher l’importance de la pandémie de grippe espagnole de 1918 de la faiblesse, voire du délabrement physique et moral des populations concernées, après quatre années de guerre ? ; de relier l’accélération des transformations sociétales et écologiques, ainsi que la globalisation de l’économie avec la multiplication par dix des épidémies depuis les années quarante ?; de relier les taux de morbidité et de mortalité des populations d’origines africaine et hispanique (les plus touchées aux USA par la pauvreté et la malnutrition) de ceux nettement plus faibles de la population blanche ? ; de relier le record épidémique actuel de l’Italie du nord avec son record européen de pollution, comme on le voit nettement sur les cartes comparatives du site de l’Agence spatiale européenne, etc.

Rien de nouveau sous le soleil

Rien, au départ, ne fait de cette épidémie une spécificité parmi les grippes saisonnières, sinon au moins l’état chronique de dénuement de l’hôpital public soumis à l’accumulation de réformes libérales, la folie anxiogène et contagieuse des experts et des grands médias, et la radicalité et la forme autocratique de son traitement. Sous une avalanche quotidienne de chiffres, aucun élément de comparaison n’est apporté. – On a décompté en France 9 900 morts dans la période 2017-2018, et plus de 14 000 dans la précédente, attribuables à ces grippes ; un dénombrement qu’il faudrait encore nuancer du fait que, comme à présent, rares étaient les cas présentant une unique pathologie. Est-il devenu soudain inadmissible que des gens meurent – de la grippe ou d’autre chose ? Pourquoi n’avons-nous pas eu chaque année une crise planétaire d’une ampleur au moins aussi grande que celle-ci ?

Nous savons fort bien, au fond, que ce sont globalement des conditions de vie, et non des caprices d’un microbe quelconque dont dépend la santé. Si l’on suit bien la théorie officielle, nous avons là une partie du monde subvisuel, qui, contrairement à tout autre, n’obéit à aucune loi ; d’où provient un mal susceptible de frapper au hasard n’importe qui n’importe quand, qu’il soit jeune ou vieux, bien-portant ou malade ; un mal déresponsabilisant, tout extérieur, dans lequel nous ne serions pour rien. La peur de tout, de ce qu’on respire, de ce qu’on touche, de son voisin, de ses proches, l’oppression qui en résulte, le repliement et la perte de confiance en soi sont tous en eux-mêmes délétères. Quelles forces de vie et de guérison peut-il rester à ces vieux qu’on a privé de la présence de leurs proches, qui se voient, dans des hôpitaux débordés, manipulés avec des gants par des êtres revêtus de combinaisons, aux expressions effacées par des masques, et qui les regardent comme des pestiférés ? (Sachant que généralement chacun s'arrange avec sa conscience, si la confiance en soi a été une de leurs cibles, en la déstabilisant ils peuvent avoir contribué à remettre en cause bien des idées reçues adoptées par la population qui étaient opposées à ses intérêts... - LVOG)

Nous avons là tous les symptômes d’une maladie qui a pour nom phobie microbienne, et si nous ne voyons pas le ridicule de cette contagion irrationnelle, c’est bien la preuve que nous y avons perdu la raison. Car l’idéologie dont nous parlons a imbibé si profondément les esprits dans la population qu’elle en a expurgé jusqu’au simple bon sens – Le respect, voire la vénération hypnotique qu’on voue à ce prêt-à-penser tenant essentiellement au caractère scientifique dont il s’est auréolé, et qui lui confère, dans la personne de l’expert, l’autorité suprême. L’affaire de la chloroquine en témoigne où cette autorité va jusqu’à bafouer l’indépendance professionnelle du « simple » médecin, en faisant fi du Code de déontologie qui la protège.

A la réduction de la diversité d’un environnement, c’est à dire au confinement, correspond la réduction du potentiel de réaction des organismes qui y vivent – ce potentiel de réaction reposant sur ce qu’on nomme aujourd’hui le système immunitaire et autrefois les forces d’adaptation et de guérison, c’est à dire la capacité d’un organisme à maintenir son intégrité. – C’est d’abord dans des conditions de confinement similaires, mais tout aussi débilitantes, issues de calculs productivistes, qu’il faut chercher les causes réelles des grippes aviaires et porcines.

La réduction globale de la diversité est de toutes les manières un caractère majeur du système capitaliste libéral. La mainmise des grands bénéficiaires de ce dernier sur l’Etat leur ont permis, dès après la Révolution, de rendre l’organisation de la société conforme à leurs intérêts, et d’anéantir autant que possible l’alternative, la respiration sociale, quitte à rendre le monde malade. (Irrespirable ! - LVOG)

Cette réduction, cet appauvrissement, dangereux à tous points de vues, touchent physiquement autant que moralement les populations prises dans ce système globalisé. Et c’est bien d’abord ce facteur commun, et non le virus en soi (un symptôme biologique parmi d’autres), qui crée les conditions même de ce type de pandémie – ce que cette pseudo-science est dans l’incapacité intellectuelle de voir. Celle-ci ne sachant que brandir l’espoir de son prochain remède-miracle vaccinal, quand nous avons besoin planétairement d’un remède contre la pauvreté, de lutter non contre l’invisible mais contre de tangibles forces antidémocratiques. Le drame est là. Et il faut s’attendre malheureusement à d’autres crises semblables ou pires. (Le seul "remède contre la pauvreté" doit consister à en extraire la racine, les inégalités sociales qui servent de fondement au capitalisme, au système économique de l'exploitation de l'homme par l'homme, à la société divisée en classes, etc. bref, le socialisme. - LVOG)

Une crise de démocraties malades

Le mouvement de panique qui s’est visiblement emparé de l’Etat chinois (face sans doute à une très réelle catastrophe environnementale et sanitaire) reste typique de cette idéologie politico-scientifique qu’il partage assez largement avec l’occident. Rien d’étonnant donc dans le suivisme mimétique de nos nations respectives, en pleine émulation d’empilage de barricades sanitaires. Car cette crise est surtout bel et bien une crise de démocraties malades. A quelques rares exceptions près, proches de nous (dont l’Allemagne, la Suède ou l’Islande, restées plus modérées), un régime franchement autoritaire, liberticide, soutenu avec enthousiasme par les médias dominants, a remplacé et balayé d’un coup jusqu’aux fondements de nos constitutions : et tout ce qu’on trouve à lui reprocher, éventuellement, c’est de n’en faire pas assez (comme d’arroser rues et passants de détergent ?)

Tout régime totalitaire, établi ou s’employant à le devenir, rêve de l’adhésion du peuple qu’il domine à son idéologie. Cette science d’Etat offre en la matière un sésame irremplaçable. Macron l’a très bien vu, qui s’est posé, dès le début de son fameux discours guerrier, comme le messager de cette pseudo-science, s’appuyant dessus pour affermir l’idéologie sous-jacente qu’il sert en réactualisant le lexique de Sarkozy de 2008. C’est l’occasion inespérée de tester « in vivo » le degré de soumission d’une population à l’autorité de l’Etat, et spécialement de son chef, auto-promu chef suprême d’une union sacrée contre l’envahisseur microscopique, doté des pleins pouvoirs pour décréter ses mesures, dont le bien fondé sera à jamais invérifiable (puisque l’épidémie cessera de toutes façons), mais qui, en démolissant l’économie réelle, suscitera insécurité, individualisme, docilité et résignation dans la population ; augmentera automatiquement la dette et justifiera mesures d’austérité accrues, surveillance étatique et politique antisociale chères aux marchés et aux banques.

Ce sont des gens tels que ceux-ci, qui n’y comprennent rien, à qui revient sans partage la direction des opérations. (Détrompez-vous, ils ne comprennent peut-être pas tout ce que leurs parrains attendent d'eux, mais ils ont parfaitement conscience des conséquences qui en découlent. Généralement, les intellectuels qui dressent ce constat ne sont pas encore convaincus de la nécessité de les affronter, ils s'accrochent encore ou désespérément au capitalisme et ses institution, on va le vérifier un peu plus loin. - LVOG) Après les avoir regardés, sans trop réagir, démolir méthodiquement, pendant des dizaines d’années, services publics et acquis sociaux, nous leur conservons encore assez de crédit pour décider du bien et du mal en matière de santé, dicter à chacun d’entre nous son comportement, hors duquel il tombe sous le coup d’une « mise en danger de la vie d’autrui ». Mais cette aberration n’apparaît ni aux grands médias ni à la population : l’indignation exprimée par les syndicats d’avocats et de la magistrature face à l’atteinte récente aux libertés publiques par le Conseil d’Etat, décrétant ses mesures d’exception pour la justice, n’y a aucun écho. De plus en plus loin de l’état de droit, où l’Etat est soumis au droit et en particulier aux droits fondamentaux de l’homme, c’est ici l’Etat qui fait sa loi, semant hier comme demain le chaos et la confusion. (Voilà une "aberration" dont on se serait bien passé ! - LVOG)

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux », disait Benjamin Franklin.

L’idéal, pour les premiers bénéficiaires de nos régimes libéraux, pour qui les frontières, pas plus que la notion de nation, n’ont de valeur ; pour tous ces gens détenteurs du pouvoir réel, économique et financier, c’est de légitimer dans ces deux domaines leur idéologie commune d’après ce modèle qui a si bien fait ses preuves en façonnant « scientifiquement » médecine et agriculture modernes.

Car dès lors qu’on parvient à faire admettre des principes comme scientifiques, ils deviennent automatiquement incontestables. C’est pourquoi, au travers de ses cercles, (Fondation Saint-Simon, Terra Nova, Fondation Concorde, l’Institut Montaigne, l’iFrap et autres Fondation Jean Jaurès, La Fondapol, le groupe Les Gracques, France Stratégie, etc), l’idéologie libérale française se démène, comme ailleurs, à hisser au rang de sciences la finance et l’économie. Le projet prend forme ; L’augmentation croissante des normes et des exigences de standardisation, qui rendent peu à peu compatibles avec le modèle néo-libéral tous les secteurs de la vie sociale, s’appuie ainsi sur une rationalité technico-scientifique qui donne à ce processus une valeur objective. On peut imaginer qu’à défaut d’une volonté forte d’arracher l’humain à ces paradigmes mécanistes, c’est à une technocratie qu’auront bientôt fait place tous nos parlementarismes (10). (Eh bien débarrassons-nous du parlementarisme, assumons pleinement notre indépendance et avançons sur la voie du socialisme ! - LVOG)

La population alors, de même qu’elle obéit actuellement, aveuglément à ce que lui impose son gouvernement sur la caution du comité d’experts désignés à sa discrétion, obéira de même à ce qui lui sera dicté par les lois d’une science économique auto-proclamée. Abreuvé par les rabâchages des « fondés de pouvoir médiatique de l’oligarchie », elle nagera alors dans cet abrutissement bienheureux de la soumission volontaire des moutons de Georges Orwell.

Les obstacles à ce genre d’ambition sont peu nombreux : si l’intelligence consiste à élargir sans cesse sa connaissance, exercer son jugement propre et maintenir sans prévention sa disposition à le réviser, il faut bien admettre qu’elle ne peut être l’apanage d’aucun milieu. Elle ne peut naître que du désir individuel et sincère d’indépendance, de liberté. A peu près rien, dans nos sociétés ne nous y invite, et dans les grandes écoles moins qu’ailleurs. D’où vient que la fracture qu’on voit entre gauche et droite, techniciens et gens de lettres, universitaires et ouvriers, se comble aussitôt qu’il est question de science, où règne soudain le consensus ? (Cette "fracture" n'était-elle pas en grande partie factice, une imposture ? - LVOG)

On ne peut malheureusement pas compter qu’une science telle que celle-ci, installée depuis deux siècles comme science d’Etat, se réforme d’elle-même. Comme on peut le voir en s’informant un peu, le rejet de la critique qu’on y pratique est permanent et systématique. C’est à chacun des citoyens que nous sommes qu’il revient d’interroger sans prévention les sources de ses connaissances, de cesser de se confier aveuglément dans l’autorité, de voir enfin les conséquences réelles de cette idéologie étriquée et d’oeuvrer à son abolition, car cette idéologie tend à étouffer tout autre forme d’expression de la société. Cela ne sera envisageable que si nous sortons nos intellects de cette ornière évoquée par Einstein, qui consiste à tenter de résoudre « un problème avec les modes de pensées qui l’ont engendré ». (Vous ne pouvez pas abolir une idéologie sans abolir au préalable les rapports sociaux sur lesquels elle repose ou qu'elle incarne. - LVOG)

C’est pourquoi la question fondamentale qui se pose aujourd’hui n’est pas d’ordre sanitaire mais intellectuel et politique. (Social avant tout, puisque tout en découle dans la société. - LVOG) Intellectuel dans le sens où il ne peut y avoir de liberté sans une information pluraliste, une connaissance librement accessible et la possibilité d’un jugement autonome de l’individu – pas plus qu’il ne peut y avoir de justice sans l’indépendance et l’impartialité du juge ; Politique dans le sens où c’est notre Constitution même qui doit être interrogée : si le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, repris dans celle du 4 octobre 1958 en vigueur actuellement, est bien celui d’une démocratie, il n’a plus aujourd’hui qu’une valeur théorique. Car dans la pratique ce préambule n’a pas empêché une oligarchie de s’imposer. Dès lors, (r)établir dans les faits les conditions d’une démocratie revient en particulier à délimiter strictement le rôle de l’Etat ; Quelles sont les prérogatives qui doivent être attachées à cette institution, quels sont les pouvoirs de décisions qui doivent lui être retirés et remis entre les mains de l’ensemble des citoyens (11). Ce sont actuellement les droits des classes bourgeoises que défend l’Etat, quand sa mission première, dans une démocratie, serait d’être le garant des seuls Droits de l’hommes, de veiller à ce qu’aucune loi, dans tous les secteurs de la société, et donc y compris dans l’économie, ne viennent en contradiction avec ceux-ci. (En réalité, la démocratie est une fiction, qui n'a existé depuis 1789 que dans la tête de tous ceux qui ont cautionné l'ordre établi, puisque les masses exploitées n'ont jamais réellement détenu ou exercé le pouvoir politique, qui leur a été confisqué par les classes dominantes avec le concours des classes moyennes auxquelles doit appartenir l'auteur de cet article. - LVOG) Mondialisation.ca, 29 juin 2020

Notes :

1 – https://www.oatext.com/pdf/JTS-3-186.pdf – https://oatext.com/pdf/JTS-3-187.pdf

2.a – https://www.youtube.com/watch?v=Bjvjf4MnFqc&feature=youtu.be

Une évaluation des données de la clinique pédiatrique du Dr Paul Thomas, pédiatre étasunien a été réalisée en 2019 par un chercheur indépendant sur les 3345 patients suivis par le Dr Thomas depuis leur naissance. Ce dernier a demandé qu’on évalue ses données puisqu’il dit avoir constaté dans sa pratique que les vaccins sont une cause potentielle du trouble du spectre de l’autisme, et qu’on lui demande toujours de le prouver. Cela s’avère difficile en l’absence d’études adéquates sur le sujet.

Les cas d’autisme sur ses 3345 patients sont répartis de la manière suivante :

vaccinés selon le calendrier régulier du CDC : 1 sur 45
vaccinés selon le calendrier alternatif : 1 sur 440
non vaccinés : 1 sur 715

2.b – Lettre ouverte de Tetyana Obukhanych, docteure en immunologie, aux législateurs étasuniens concernant les fausses idées reçues sur la vaccination. La lettre a été écrite en 2015. https://healthimpactnews.com/wp-content/uploads/sites/2/2017/11/H.98_Dr.-Tetyana-Obukhanych_Written- Comments_4-22-2015.pdf

3 – http://s175833897.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2017/04/courrier_alis_75-27-35.pdf

4.a – http://whale.to/v/state_of_health_of_unvaccinated.html

4.b – https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5360569/

4.c – https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(17)30046-4/fulltext

4.d – https://vaccinesafetycouncilminnesota.org/new-study-vaccinated-children-have-2-to-5-times-more-diseases-and- disorders-than-unvaccinated-children/

4.e – https://www.bmj.com/content/322/7282/360.full

4.f – https://www.jp-petit.org/nouv_f/pandemie/absence_de_pharmacovigilance.pdf

4.g – https://wavesnz.org.nz/wp-content/uploads/2015/02/The-1992-IAS-NZ-Survey-of-Vaccinated-vs.-Unvaccinated- Children.pdf

5 – On peut noter en revanche la réaction de l’Institut Koch qui a annoncé, après avoir attaqué violemment et publiquement Angelica Kögel (mais sans fournir la preuve de ses allégations), la publication d’une interprétation contradictoire l’année suivante (que l’intéressée attend encore).

6 – https://documentcloud.adobe.com/link/track/?pageNum=1&uri=urn%3Aaaid%3Ascds%3AUS%3A3f860c44-c780- 40c1-b11f-1e92ce6bd6a2

7 – Notamment : Les vaccinations en question, collectif, Editions Frison-Roche, 2003 – Vaccinations, les vérités indésirables, Pr Michel Georget, Editions Dangles, 2011- L’intoxication vaccinale, Fernand Delarue, esssayiste, Edition du Seuil, 1977 – La Faillite du B.C.G, Dr Marcel Ferru, autoédition 1977, – Réimpression Témoignages d’hier et d’aujourd’hui, 1995 – Vaccins, abus de conscience, Dr Alain Perrier, Marco Pietteur Editeur, 2011.

8 – Ainsi de la déclaration récente du Dr Sucharit Bhakdi, spécialiste allemand en microbiologie.« Les mesures anti- COVID19 du gouvernement sont grotesques, absurdes et très dangereuses […] L’espérance de vie de millions de personnes est réduite. L’effroyable impact sur l’économie mondiale menace l’existence d’innombrables personnes. Les conséquences sur les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients dans le besoin sont réduits, les opérations annulées, les cabinets vides, le personnel hospitalier réduit. Tout cela aura un impact profond sur l’ensemble de notre société. Toutes ces mesures conduisent à l’autodestruction et au suicide collectif basé sur rien d’autre qu’un fantôme. » https://strategika.fr/2020/03/30/douze-experts-sinterrogent-sur-la-panique-autour-du- coronavirus-strategika/

9 – Cette médecine dite « conventionnelle », issue de cette idéologie dont nous parlons, a pour nom allopathie, ce qui signifie « autre médecine ». Par la désignation de celles qui l’ont précédée sous le vocable de « médecines alternatives » (« alter », autre), un renversement révélateur s’est donc opéré.

10 – https://www.cairn.info/revue-connexions-2010-2-page-49.htm

11 – Comme par exemple, pour sa valeur de symbole, la classification d’archives nationales.

http://www.afrase.org/2020/03/04/des-archives-des-guerres-coloniales-ont-ete-recemment-declarees-classifiees-et-sont- actuellement-rendues-inaccessibles-aux-chercheurs-dans-les-archives-publiques/

– mais avant tout les décisions de réformer le code du travail, le régime de Sécurité sociale ou celui des retraites, d’orienter l’économie ou de décider des programmes scolaires (l’Etat n’ayant aucun droit à s’ériger en dépositaire d’une culture nationale), ou de la privatisation pure et simple de l’Education nationale.




TROISIEME PARTIE

Black Lives Matter et Antifa : Qui financent, qui tirent les ficelles ?

Les États-Unis ont leur propre révolution de couleurs par F. William Engdahl - Mondialisation.ca, 28 juin 2020

Depuis les années 1980, la révolution de couleurs est le terme utilisé pour décrire une série d’opérations de changement de régime remarquablement efficaces menées par la CIA en utilisant des techniques développées par la RAND Corporation, les ONG « démocratie » et d’autres groupes . Elles ont été utilisées sous une forme rudimentaire pour faire tomber le régime communiste polonais à la fin des années 1980. Ces techniques ont ensuite été affinées et utilisées, avec de généreux pots-de-vin, pour renverser le régime de Gorbatchev en Union soviétique. Pour tous ceux qui ont étudié ces modèles de près, il est clair que les protestations contre les violences policières menées par des organisations amorphes portant des noms tels que Black Lives Matter ou Antifa sont plus que de simples mouvements de contestation spontanés. Des centaines de milliers de jeunes Étasuniens sont utilisés comme un boulet pour renverser non seulement un président étasunien, mais aussi, ce faisant, les structures mêmes de l’ordre constitutionnel étasunien.

Si nous prenons du recul par rapport aux vidéos montrant un policier blanc de Minneapolis enfonçant son genou sur le cou d’un homme noir, George Floyd, et si l’on regarde ce qui s’est passé dans tout le pays depuis lors, il est clair que certaines organisations ou certains groupes étaient bien préparés pour exploiter cet horrible événement pour leur propre finalités.

Les manifestations qui ont eu lieu depuis le 25 mai ont souvent commencé de manière pacifique pour être ensuite reprises par des individus violents bien entraînés. Deux organisations sont apparues régulièrement en relation avec les manifestations violentes : Black Lives Matter et Antifa (États-Unis). Les vidéos montrent des manifestants bien équipés, vêtus de noir et masqués (pas pour le coronavirus, bien sûr), vandalisant des voitures de police, brûlant des postes de police, brisant des vitrines de magasins avec des tuyaux ou des battes de baseball. L’utilisation de Twitter et d’autres médias sociaux pour coordonner les délits de fuite des foules de manifestants est évidente.

Ce qui s’est passé depuis l’événement déclencheur de Minneapolis a été comparé à la vague d’émeutes de protestation dans les ghettos noirs en 1968. J’ai vécu ces événements en 1968 et ce qui se passe aujourd’hui est bien différent. On le compare davantage à la révolutionne couleurs yougoslave qui a renversé Milosevic en 2000.

Gene Sharp : Modèle pour le renversement du régime

En 2000, le Département d’État étasunien, aidé par sa Fondation nationale pour la démocratie (National Endowment for Democracy – NED) et par certains agents de la CIA, a commencé à former secrètement un groupe d’étudiants universitaires de Belgrade dirigé par un groupe d’étudiants qui s’appelait Otpor ! (Résistance !). La NED et ses diverses ramifications ont été créés dans les années 1980 par le chef de la CIA Bill Casey comme un outil secret de la CIA pour renverser des régimes spécifiques dans le monde entier sous le couvert d’une ONG de défense des droits de l’homme. En fait, ils reçoivent leur argent du Congrès et de l’USAID.

Dans le cadre de la déstabilisation de la Serbie par le mouvement Otpor! en 2000, la NED et l’ambassadeur étasunien Richard Miles à Belgrade ont sélectionné et formé un groupe de plusieurs dizaines d’étudiants, dirigé par Srda Popovic, en utilisant le manuel « From Dictatorship to Democracy », traduit en serbe, du défunt Gene Sharp et de son Institution Albert Einstein. Dans un post mortem sur les événements en Serbie, le Washington Post a écrit :

« Les consultants financés par les États-Unis ont joué un rôle crucial dans les coulisses de pratiquement toutes les facettes de l’anti-démocratie, en organisant des sondages de suivi, en formant des milliers de militants de l’opposition et en aidant à organiser un décompte des votes parallèles d’une importance vitale. Les contribuables étasuniens ont payé les 5 000 bombes de peinture utilisées par les étudiants militants pour faire des graffitis anti-Miloševic sur les murs de toute la Serbie ».

Des escouades de militants formés ont été déployées dans les manifestations pour prendre le contrôle des pâtés de maisons à l’aide d’écrans vidéo intégrés à un « casque intelligent » (intelligence helmet) qui leur donnent une vue d’ensemble instantanée de leur environnement. Des bandes de jeunes convergeant vers des carrefours ciblés en communication constante sur les téléphones portables, allaient alors affronter la police. Le gouvernement étasunien a dépensé quelque 41 millions de dollars pour cette opération. Des groupes d’étudiants ont été secrètement formés aux techniques du manuel Sharp pour organiser des manifestations qui se moquaient de l’autorité de la police représentant le pouvoir, la montrant maladroite et impuissante face aux jeunes manifestants. Des professionnels de la CIA et du Département d’État étasunien les ont guidés dans les coulisses.

Le modèle de Révolution de couleur Optor! a été affiné et déployé en 2004 sous le nom de « Révolution orange » en Ukraine avec le logo et les écharpes de couleur, et en 2003 en Géorgie sous le nom de « Révolution rose ». Plus tard, la secrétaire d’État Hillary Clinton a utilisé ce modèle pour lancer le Printemps arabe. Dans tous les cas, la NED a été impliqué avec d’autres ONG, y compris les Fondations Soros.

Après le renversement de Milosevic, Popovic a créé un centre de formation sur la Révolution des couleurs, CANVAS ( Centre for Applied NonViolent Action and Strategies). Ce centre est une sorte de cabinet de conseil à but lucratif pour la révolution, et était personnellement présent à New York pour travailler avec Antifa pendant l’occupation de Wall Street, où l’argent de Soros a également été rapporté.

Antifa et BLM

Les protestations, émeutes, actions violentes et non-violentes qui ont balayé les États-Unis depuis le 25 mai, y compris une attaque aux portes de la Maison Blanche, commencent à prendre tout leur sens quand on comprend le manuel de la Révolution de couleurs de la CIA.

L’impact des manifestations n’aurait pas été possible sans le soutien d’un réseau de responsables au sein du Parti démocrate, au niveau local et national, au point que le maire démocrate de Seattle a ordonné à la police d’abandonner plusieurs rues au cœur du centre-ville occupées par les manifestants.

Ces dernières années, des fractions importantes du Parti démocrate à travers les États-Unis ont été tranquillement prises en charge par ce que l’on pourrait appeler des candidats de la gauche radicale. Souvent, ils gagnent avec le soutien actif d’organisations telles que Democratic Socialists of America ou Freedom Road Socialist Organizations. À la Chambre des représentants des États-Unis, le quart des nouveaux représentants qui s’expriment avec force autour d’Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), Rashida Tlaib et Ilhan Omar, représentant de Minneapolis, sont tous membres ou proches des Democratic Socialists of America. Il est clair que sans la sympathie des responsables démocrates dans les villes clés, les manifestations organisés, par exemple, par Black Lives Matter et Antifa n’auraient pas eu un impact aussi spectaculaire.

Pour mieux comprendre la gravité du mouvement de protestation actuel, nous devrions nous demander qui a versé des millions au BLM. L’Antifa est plus difficile à examiner en raison de sa forme d’organisation explicitement anonyme. Cependant, leur manuel en ligne recommande ouvertement que les « cellules » locales de l’Antifa se joignent aux chapitres du BLM.

OSRF : Suivez l’argent

Le BLM a vu le jour en 2013 lorsque trois amis militants ont créé le hashtag #BlackLivesMatter pour protester contre les allégations de coups de feu tirés sur un adolescent noir non armé, Trayvon Martin, par le gardien d’un quartier hispanique blanc, George Zimmermann. Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi étaient toutes liées et financées par des groupes de façade liés à une organisation appelée Freedom Road Socialist Organization, l’une des quatre plus grandes organisations de gauche radicale aux États-Unis, issue d’un mouvement appelé New Communist Movement qui s’est dissout dans les années quatre-vingt.

Le 12 juin 2020, la page internet de la Freedom Road Socialist Organization déclare :

« Le temps est venu de rejoindre une organisation révolutionnaire ! Rejoindre Freedom Road Socialist Organization… Si vous avez été manifester dans la rue ces dernières semaines, il y a de bonnes chances que vous ayez réfléchi à la différence entre le type de changement que ce système a à offrir et le type de changement dont ce pays a besoin. Le capitalisme est un système qui a échoué et qui prospère grâce à l’exploitation, l’inégalité et l’oppression. L’administration réactionnaire et raciste de Trump a aggravé la pandémie. La crise économique que nous traversons est la pire depuis les années 1930. Le capitalisme monopolistique est un système qui se meurt et nous devons y mettre un terme. Et c’est exactement ce à quoi travaille l’organisation socialiste Freedom Road ».

En bref, les protestations contre le meurtre présumé d’un homme noir par la police dans le Minnesota sont maintenant utilisées pour appeler à une révolution contre le capitalisme. La FRSO chapeaute des dizaines de groupes ambigus, dont Black Lives Matter ou BLM. Ce qui est intéressant dans les racines marxistes-léninistes de la Freedom Road Socialist Organization (FRSO), ce n’est pas tant leur politique de gauche que le financement de leur création par un groupe de fondations bien implantées et exonérées d’impôts.

Alicia Garza, du BLM, est également membre du conseil d’administration ou de la direction de cinq différents groupes de façade de Freedom Road, dont le président du conseil d’administration de Right to the City Alliance pour 2011, le membre du conseil d’administration de l’École de l’unité et de la libération (SOUL), de People Organized to Win Employment Rights (POWER), Forward Together et le directeur des projets spéciaux de la National Domestic Workers Alliance.

L’Alliance pour le droit à la ville (The Right to the City Alliance) a reçu 6,5 millions de dollars entre 2011 et 2014 de plusieurs fondations exonérées d’impôts et très bien établies, dont la Fondation Ford (1,9 million de dollars), les deux principales fondations exonérées d’impôts de George Soros, Open Society, et la Fondation pour la promotion d’une société ouverte (Foundation to Promote Open Society) (1,3 million de dollars). Egalement la Fondation Kellogg (cornflake-tied) pour 250 000 dollars, et curieusement, la Fondation Ben & Jerry’s (crème glacée) pour 30 000 dollars.

Garza a également obtenu d’importantes subventions en tant que directeur exécutif du FRSO, POWER, où l’ancien « tsar des emplois verts » d’Obama, Van Jones, un « communiste » autoproclamé et un « nationaliste noir turbulent », maintenant à CNN, était au conseil d’administration. Alicia Garza a également présidé l’Alliance de la droite pour la ville, un réseau de groupes militants qui s’opposent à l’embourgeoisement des villes. Depuis 2009, ce front a reçu 1,3 million de dollars de la Fondation Ford, ainsi que 600 000 dollars des fondations Soros et encore, Ben & Jerry’s (50 000 dollars). Et l’ÂME de Garza, qui prétend avoir formé 712 « organisateurs » en 2014, lorsqu’elle a cofondé Black Lives Matter, a reçu 210 000 dollars de la Fondation Rockefeller et 255 000 dollars de la Fondation Heinz (ketchup et famille John Kerry), entre autres. Avec le Forward Together du FRSO, Garza a siégé au conseil d’administration d’une « organisation multiraciale qui travaille avec des dirigeants et des organisations communautaires pour transformer la culture et la politique afin de catalyser le changement social ». Elle a officiellement reçu 4 millions de dollars en recettes de 2014 et, de 2012 à 2014, l’organisation a reçu un total de 2,9 millions de dollars de la Fondation Ford (655 000 dollars) et d’autres grandes fondations.

La cofondatrice de BLM, Opal Tometi, née au Nigeria, est également issue du réseau du FRSO. Opal Tometi a dirigé l’Alliance noire pour une immigration juste du FRSO. Curieusement, avec une « équipe » de deux personnes, elle a obtenu de l’argent de grandes fondations, dont la Kellogg Foundation pour 75 000 dollars et les fondations Soros pour 100 000 dollars, et, à nouveau, Ben & Jerry’s (10 000 dollars). Tometi a obtenu 60 000 dollars en 2014 pour diriger le groupe.

L’organisation socialiste Freedom Road, qui appelle désormais ouvertement à une révolution contre le capitalisme à la suite du meurtre de Floyd George, a une autre groupe, The Advancement Project, qui se décrit comme « une organisation de défense des droits civils multiraciaux de la prochaine génération ». Son conseil d’administration comprend un ancien directeur de la sensibilisation des communautés du département étasunien de l’éducation de Barack Obama et un ancien assistant du procureur général pour les droits civils de Bill Clinton. En 2013, l’Advancement Project du FRSO a reçu des millions de la part de grandes fondations étasuniennes exonérées d’impôts, dont Ford (8,5 millions de dollars), Kellogg (3 millions de dollars), la fondation Hewlett du fondateur de l’industrie de la défense HP (2,5 millions de dollars), la fondation Rockefeller (2,5 millions de dollars) et les fondations Soros (8,6 millions de dollars).

Major Money et ActBlue

En 2016, année de l’élection présidentielle où Hillary Clinton affrontait Donald Trump, Black Lives Matter s’était révélé comme un réseau bien organisé. Cette année-là, la Fondation Ford et Borealis Philanthropy ont annoncé la création du Black-Led Movement Fund (BLMF), « une campagne de six ans de mise en commun des donateurs visant à collecter 100 millions de dollars pour la coalition Movement for Black Lives » dont le BLM était un élément central. A cette époque, les fondations Soros avaient déjà accordé quelque 33 millions de dollars de subventions au mouvement Black Lives Matter. Il s’agissait là d’une somme importante pour les fondations.

Le BLMF s’est identifié comme ayant été créé par des fondations de prestige, dont la Ford Foundation, la Kellogg Foundation et les Soros Open Society Foundations. Elles ont décrit leur rôle ainsi :

« La BLMF fournit des subventions, des ressources pour la construction du mouvement et une assistance technique aux organisations qui travaillent à faire avancer le leadership et la vision des jeunes leaders noirs, queers, féministes et immigrants qui façonnent et dirigent une discussion au plan national sur la criminalisation, le maintien de l’ordre et la race aux États-Unis ».

La coalition Movement for Black Lives (M4BL), qui comprend Black Lives Matter, a déjà demandé en 2016 :

« le financement des services de police, des réparations basées sur la race, le droit de vote pour les immigrants illégaux, le désinvestissement des combustibles fossiles, la fin de l’enseignement privé et des écoles à charte, un revenu de base universel et un collège gratuit pour les noirs« .

Notamment, lorsque nous cliquons sur le site web de M4BL, sous leur bouton « donate », nous apprenons que les dons iront à quelque chose appelé ActBlue Charities. ActBlue facilite les dons aux « démocrates et aux progressistes ». en date du 21 mai, ActBlue avait donné 119 millions de dollars à la campagne de Joe Biden.

C’était avant les manifestations mondiales du 25 mai de Black Lives Matter (BLM). Maintenant, de grandes entreprises comme Apple, Disney, Nike et des centaines d’autres pourraient verser des millions de dollars non déclarés à ActBlue sous le nom de Black Lives Matter, des fonds qui peuvent en fait servir à financer l’élection d’un président démocrate, Joe Biden. C’est peut-être la véritable raison pour laquelle la campagne de Biden a été soutenue à ce point par des électeurs noirs. Ce qui est clair, rien qu’à partir de ce compte-rendu du rôle crucial des fondations à gros budget derrière les groupes de protestation comme Black lives Matter, c’est qu’il y a un programme bien plus complexe à la base des protestations qui déstabilisent maintenant les villes à travers les États-Unis. Le rôle des fondations exonérées d’impôts liées aux fortunes des plus grandes sociétés industrielles et financières telles que Rockefeller, Ford, Kellogg, Hewlett et Soros indique qu’il existe un motif bien plus profond et bien plus sinistre pour expliquer les manifestations en cours que le simple scandale spontané ne le suggère. Mondialisation.ca, 28 juin 2020

https://www.mondialisation.ca/les-etats-unis-ont-leur-propre-revolution-de-couleurs/5646915

Faites tomber les masques de la réaction : La gauche.

- Débat sur les masques face à la flambée du Covid-19 aux Etats-Unis - AFP 30 juin 2020

Se couvrir le visage est devenu un geste quasi-politique aux Etats-Unis: les démocrates appellent à rendre les masques obligatoires en public pour endiguer la pandémie.

Quant au masque, Donald Trump n'en porte pas en public, à l'inverse des démocrates, dont son adversaire pour la Maison Blanche, Joe Biden.

L'attitude se retrouve chez les Américains: les trois-quarts des démocrates disent porter régulièrement un masque dans les commerces, contre une moitié des républicains, selon un sondage Pew.

Les masques sont aujourd'hui obligatoires en public dans au moins 20 des 50 Etats américains, selon l'organisation ASTHO et l'AFP. Plusieurs gouverneurs démocrates (Californie, Nevada) l'ont décidé ces dernières semaines, et l'Oregon ce lundi. Ceux du Texas et de la Floride, républicains, l'encouragent mais refusent de le requérir.

Mais Jacksonville, en Floride, est la dernière grande ville en date à avoir décrété l'obligation, suivant d'autres agglomérations dont Miami.

Autre nouvelle mesure restrictive décidée au niveau local: toutes les plages du sud de la Floride, dont celles de Miami, seront fermées le long week-end prochain, dont vendredi qui est férié pour la fête nationale. Le maire de Miami Beach a rendu obligatoire le port du masque en public sous peine d'une amende de cinquante dollars et la ville de Miami a menacé d'au moins dix jours de fermetures les commerces ne respectant pas les consignes sanitaires.

En Californie, le comté de Los Angeles a lui aussi décidé de fermer temporairement ses plages le week-end prochain pour éviter un regain de contaminations.

Face au patchwork de décisions, les appels montent pour qu'une obligation nationale du masque dans les espaces publics intérieurs soit décrétée par Donald Trump, notamment d'Andrew Cuomo, le gouverneur démocrate de New York.

"La Maison Blanche est en déni sur le coronavirus depuis le début", a accusé Andrew Cuomo.

Les données confirment l'efficacité de la mesure, explique à l'AFP David Rubin, professeur de médecine et responsable d'un modèle épidémiologique à l'hôpital pour enfants de Philadelphie. Il cite Richmond où les contaminations ont nettement chuté après l'obligation imposée le 29 mai en Virginie.

C'est pour lui "la seule façon de créer une cohérence dans tout le pays pour réduire le risque posé par les gens qui voyagent d'une région à une autre".

Pour les épidémiologistes, il est urgent d'intervenir pour inverser la tendance. AFP 30 juin 2020

LVOG - Rappel. Le Pr. Raoult a expliqué que le masque ne servait à rien et que seul le lavage des mains était un geste sanitaire utile. Dans l'IHU de Marseille où sont passés plus de 5.000 personnes porteuses du virus ou testées positives, le personnel soignant ne portait pas de masque et aucun malade grave ou décès n'a été enregistré.

Leur humanisme est la politique des salauds, la preuve.

- Les USA commencent à priver Hong Kong de ses privilèges commerciaux - Reuters 30 juin 2020

- RDC : le roi des Belges exprime pour la première fois des "regrets" pour le passé colonial - Franceinfo 30 juin 2020

- Porter le plaidoyer contre le racisme sur la scène internationale est un "devoir moral" pour les pays africains - Franceinfo 30 juin 2020

- Kosovo: Le président Thaçi rejette les accusations de crimes de guerre - Reuters 30 juin 2020

Non grata !

- Maduro ordonne à l'émissaire de l'UE de quitter le Venezuela Reuters 30 juin 2020

Nicolas Maduro a ordonné lundi à l'émissaire de l'Union européenne de quitter le Venezuela, après que l'UE a annoncé des sanctions financières contre des représentants fidèles au président vénézuélien en leur reprochant d'avoir nui au fonctionnement de l'Assemblée, contrôlée par l'opposition.

Plus tôt ce mois-ci, l'Union a dit considérer comme illégitime la décision de la Cour suprême vénézuélienne de nommer un allié de Nicolas Maduro à la tête de l'Assemblée nationale, considérant que le chef de file de l'opposition, Juan Guaido, avait été élu à ce poste de manière légale en janvier.

Nicolas Maduro a donné 72 heures à l'émissaire de l'UE, Isabel Brilhante Pedrosa, pour quitter le pays après l'annonce plus tôt dans la journée des sanctions prises par le bloc communautaire.

"Un avion peut lui être prêté pour partir", a dit le dirigeant socialiste lors d'une apparition à la télévision publique.

Parmi les 11 représentants vénézuéliens sanctionnés par Bruxelles figurent Luis Parra, allié de Maduro désigné par la Cour suprême comme président de l'Assemblée nationale, Juan José Mendoza, président de la chambre constitutionnelle de la Cour suprême, et le général José Ornelas, qui dirige le Conseil national de défense.

L'UE leur reproche d'être "particulièrement responsables d'actions contre le fonctionnement démocratique de l'Assemblée nationale, notamment en privant d'immunité parlementaire plusieurs de ses membres". Reuters 30 juin 2020


Le 11 juillet 2020

CAUSERIE ET INFOS

La causerie comporte quatre parties.

La manipulation débridée des faits a atteint un tel niveau dans tous les domaines, qu'il n'est plus possible de se fier à ce qu'on lit sans devoir corriger en permanence ce qu'on écrit ou prendre le risque de publier malgré nous des conneries. Du coup, comme les informations se contredisent un jour sur l'autre ou qu'on en apprend un peu plus chaque jour au compte-gouttes, et encore, quand on ne passe pas à côté et à condition de les chercher, on est obligé d'attendre la suite, la confirmation ou la réfutation de ce qu'on a lu, sans savoir si elle viendra, ce qui est très désagréable et perturbe notre travail et la compréhension de ce qui se passe réellement.

C'est la raison pour laquelle il n'est plus possible de traiter à chaud un sujet. Par conséquent, il est préférable d'espacer nos causeries, ce qui n'est pas plus mal, car cela permet d'avoir une vue d'ensemble de la situation ou d'aborder plus à fond chaque sujet. Entre nous, c'est un truc de fou, ils voudraient rendre dingue la population qu'ils ne s'y prendraient pas autrement. Certains sont assez naïfs pour croire qu'ils ne le font pas exprès, on veut bien l'admettre dans certains cas isolés, mais dans la majorité des cas, c'est délibérément, pour être plus précis, c'est naturel chez eux et cela ne les gêne pas du tout, ce sont des psychopathes enragés, des personnages particulièrement malfaisants, des cinglés dont on doit se débarrasser au plus vite. Comment ? Hélas nous n'avons pas de réponse à cette question ou si, mais celle qu'on propose n'intéresse pratiquement personne !

Bref, réaliser cette causerie est devenue un véritable casse-tête. Imaginez un peu, j'ai dû y consacrer plus de 100 heures, et physiquement la machine donne des signes évidents de faiblesse que je ne peux plus ignorer plus longtemps, je vais donc devoir me reposer un peu ou espacer ces causeries. En Inde, je ne peux pas me permettre de jouer avec ma santé, d'ailleurs je n'en ai pas les moyens financiers. On continuera comme on pourra.

A lire sur les ONG :

Les périls du tout-humanitaire par Arundhati Roy. (10.2004)

Il existe de nombreuses vidéos en anglais sur le Net de cet écrivain indien (Ecrivaine indienne pour les féminisés à la mauvaise conscience.).

On a semble-t-il oublié qu'on vient à peine de sortir de l'alchimie ou qu'à bien des égards on y est encore !

Pour définir le niveau de la science de nos jours, on pourrait dire qu'elle a à peine commencé à prendre conscience de l'étendue de son ignorance, et qu'au lieu d'en tirer une leçon de modestie, elle s'en vante, ce qui n'augure rien de bon pour la suite sans un changement de régime économique.

Un internaute : "On avait peur du gros champignon radioactif, en fait ce sera un minuscule virus."

On avait oublié de le mentionner dans les précédentes causeries. C'est vrai que pendant plusieurs décennies ils ont combiné la peur du communisme à celle d'une guerre mondiale thermonucléaire ou à la prolifération nucléaire, et ils s'en servirent pour lancer les écologistes ou l'ongisation de la politique qui portera un coup fatal au mouvement ouvrier.

J'avais lu quelque part sans m'y attarder, qu'il existait de nombreuses similitudes entre les ONG, les partis et les syndicats du mouvement ouvrier. Il est vrai que dans les entreprises ou la fonction publique les syndicats font généralement davantage office d'assistante sociale, d'assistant du chef du personnel ou du DRH, de collaborateur de la direction ou du ministre, plutôt qu'opposants au capitalisme et à son Etat...

Si on questionnait l'ensemble des travailleurs syndiqués ou ayant été syndiqués un jour du secteur privé ou marchand, on s'apercevrait que 99% d'entre eux n'avaient jamais été anticapitalistes ou si peu de temps pour une infime minorité d'entre eux, et quant à ceux du secteur public ou les fonctionnaires, on s'apercevrait qu'ils n'avaient pas été plus nombreux à souhaiter le renversement de l'Etat des capitalistes, qu'ils n'avaient jamais considéré comme leur ennemi. Partant de là, avec un niveau de conscience politique aussi médiocre, il ne fallait pas s'attendre à des jours meilleurs ou cela préfigurait des jours bien pires dans l'avenir. Le nier était sans doute le meilleur moyen de ne pas y échapper.

Je rappelle que ce constat est toujours tabou de nos jours, ce qui n'est pas sans signification politique. Attention dès que vous abordez cette question sous cet angle-là, vous devenez systématiquement un ennemi de la classe ouvrière et du mouvement ouvrier. Pourquoi, que craignent-ils donc, car finalement on ne fait qu'observer, énoncer des faits, décrire la réalité, dire la vérité ? Certes, mais vous mettez en évidence pourquoi non seulement ils estiment inutile d'aider les travailleurs à élever leur niveau de conscience politique, mais aussi ou surtout pourquoi ils refusent de combattre quotidiennement à leur côté la propagande gouvernementale ou de l'oligarchie destinée à les déstabiliser psychologiquement et à les conditionner idéologiquement pour mieux les enchaîner au régime, car vous montrez qu'en laissant le champ libre à la réaction sur ce terrain-là, ils lui rendent un fier service au lieu de servir notre cause, et comme c'est tellement évident, leur masque marqué du sceau de l'imposture ou de l'infamie ne résiste pas longtemps et tombe.

En avaient-ils conscience ou non ? Peu importe ici, nous ne sommes pas dans un tribunal ou je ne pense pas que ce soit la bonne question qu'il faille se poser. On devrait plutôt se demander s'ils croyaient ou non dans le socialisme, s'ils croyaient ou non dans la capacité des masses à accomplir leur tâche historique, apparemment non.

D'ailleurs, si je me réfère à ma propre expérience qui n'a rien de glorieuse, quand j'ai soudain cessé de militer en 1981, j'ai démontré que je n'y croyais pas ou que j'ignorais ce que cela signifiait vraiment, la valeur de mon engagement politique pour sincère qu'il était, était manifestement médiocre ou reposait sur une grande part d'ignorance (ou d'illusions), que mes convictions ou mes bonnes intentions ne pourraient jamais suffire à combler.

Cela ne vous surprendra pas si je vous avoue que c'est seulement au cours des dernières années que je suis parvenu à en prendre conscience, en revenant sans cesse pendant 20 ans sur l'évolution de l'orientation politique des différents courants du mouvement ouvrier au cours du XXe siècle.


53 pages au format pdf

PREMIERE PARTIE

La nature l'emportera toujours sur l'homme, même quand il se croit supérieur aux autres espèces et les maltraite.

Il est extrêmement rare de rencontrer des homos sapiens qui ont en permanence à l'esprit qu'ils viennent au monde totalement ignorants, qui ne savent rien de rien de tout quand ils sortent du ventre de leur mère, et comme ils vont passer le restant de leurs jours à l'ignorer, cela va forcément en faire de dangereux déséquilibrés mentaux parvenus à l'âge adulte ou même avant, qui s'ignoreront évidemment.

On a cru que leur adaptation au milieu naturel dans lequel ils baignaient et sa transformation, témoignait du développement d'une forme d'intelligence supérieure qui n'existerait pas chez les autres espèces, ce qui d'ailleurs était erroné comme on le découvrira plus tard, alors qu'en réalité cette réaction était dictée uniquement par leur instinct de survie ou plus prosaïquement encore, par un processus biochimique qui était régi par ses propres lois, et qui une fois lancé se poursuivait jusqu'à l'accomplissement de sa destiné qui le ramènerait à sa condition biochimique initiale, sans qu'ils sachent comment ou pour tout dire sans s'en soucier ou en prendre conscience, puisqu'à l'article de la mort ils interprèteront leur existence comme ils l'avaient vécue et non comme elle s'était réellement déroulée, donc terminant leur vie comme ils l'avaient commencée, aussi ignorants qu'au premier jour à peu de choses près pour l'immense majorité d'entre eux.

Non satisfait d'être parvenus à devenir le plus grand prédateur de la planète, ils allaient littéralement l'envahir en se multipliant démesurément pour assurer la survie de leur espèce, qu'aucune autre ne menaçait véritablement à part la leur, les hommes faisant régner leurs lois ou la terreur sur Terre, jusqu'à ce que la nature les rappelle à ses bons souvenirs, ou qu'il existait depuis la nuit des temps une espèce de virus encore plus nuisible et dévastatrice que la leur, et contre laquelle ils demeureraient toujours impuissants tant ils lui ressemblaient.

Cette réflexion m'est venue à l'esprit en lisant à propos du Covid-19, que "la nouvelle vague est survenue dans le cadre d'un déconfinement rapide autorisé par les autorités" serbes (AFP 9 juillet 2020), parce qu'ils ont cru qu'en perturbant les voies par lesquelles le coronavirus se propageait, ils y échapperaient ou que cela suffirait à en modifier la destiné et la leur par voie de conséquence, alors qu'ils en ignoraient tout et n'apprendraient rien ou presque de cette expérience au cours des mois suivants, après avoir perdu leur temps à se livrer à une multitude d'expériences en laboratoire, ou à l'issue desquelles ils ne seraient toujours pas foutus de déterminer précisément comment se transmettait ce coronavirus, ce qui devait permettre aux chefs de ces psychopathes de les maltraiter ou de leur rappeler qu'ils n'étaient que des esclaves de leur condition en liberté surveillée, et que finalement ils n'avaient pratiquement pas évolué au cours des dizaines de milliers d'années écoulées.

Ce constat sans concession, on devrait peut-être plutôt dire sans compromission tellement c'est devenu un comportement généralisé, normal ou consensuel de nos jours, comporte un certain nombre de sous-entendus facilement repérables, dont on peut saisir la teneur pour peu qu'on fasse preuve d'honnêteté intellectuelle, de manière à en nuancer la portée ou tenir compte qu'il existe tout de même des hommes et des femmes plus évolués que la moyenne, bien que leurs connaissances présentent de très graves lacunes, ce qu'ils ignorent eux-mêmes, cela va de soi, mais on devait le préciser car on n'idéalise personne et on se range soi-même dans cette catégorie qui essaie de tirer en avant l'histoire ou ce qu'on appelle encore la civilisation humaine au lieu de concourir à sa régression et à son dépérissement. Personnellement plus j'observe le comportement de la population, et plus j'ai conscience de ne pas y ressembler. Ces réflexions me sont venues également à l'esprit après avoir reçu un courriel de ma soeur cadette (54 ans), apparemment très banal, mais en analysant le contenu, surréaliste, hallucinant, sidérant totalement délirant tellement on avait l'impression qu'il ne s'était rien passé au cours des mois précédents ou que c'était déjà oublié, que cela n'avait jamais eu lieu, en espérant seulement pouvoir partir en vacances à la fin du mois dans sa résidence secondaire au Portugal.

Ce qui était le plus frappant, c'est qu'à aucun moment j'ai eu l'impression qu'elle avait essayé de comprendre ce qui se passait ou s'était passé, en se contentant du discours officiel ou en ne pensant qu'à ses petites affaires, ses petits plaisirs, certes c'est légitime, mais cela ne l'est plus quand il n'existe rien d'autres et que notre comportement influera sur la suite des évènements. Je crois que c'est le cas de l'immense majorité des gens qui finalement n'apprennent ou ne retiennent jamais rien ou si peu des expériences qu'ils ont vécues, ou qui en tireront parfois des leçons quand il sera trop tard ou quand cela ne leur servira plus à rien, quand on devient vieux de préférence, cela m'arrive aussi et j'en ai pris conscience, ce n'est pas spécialement agréable et cela fait réfléchir, faut-il encore avoir la modestie de l'admettre.

Le tableau peu optimiste ou réjouissant que je viens de décrire, c'est finalement l'envers du décors de la lutte des classes que généralement on ne tient pas à vous montrer ou qu'on préfère ignorer parce qu'il plonge au-delà des origines économiques ou sociales de notre condition. Cela peut être déstabilisant sur le plan mental et sujet à instrumentalisation psychologique, voyez comment l'oligarchie s'en sert pour conditionner les masses et vous aurez compris pourquoi je l'aborde dans mes causeries, j'estime que cela fait partie de notre combat politique et doit être pris en compte dans notre conception de la lutte de classe.

On vous le cache pour ne pas vous démoraliser ou vous décourager quand vous rejoignez le mouvement ouvrier, car si vous preniez conscience de l'ampleur de la tâche à accomplir vous pourriez être choqué et renoncé à votre engagement politique. C'est là, donc dès le début, qu'on va commencer à vous raconter des blagues ou qu'on vous cachera une partie déterminante de la réalité que vous aurez à affronter, et comme malgré tout vous la prendrez en pleine gueule, vous ne serez pas en mesure de comprendre ce qui se passe, vous déserterez un jour ou l'autre ou vous vous laisserez corrompre idéologiquement sans même vous en rendre compte, vous ne progresserez plus jamais, vous serez définitivement perdu pour notre cause.

D'où la nécessité absolue de tout dire (encore faut-il le découvrir !) en remontant à l'origine de l'ensemble des manifestations de la nature dont nous faisons partie, et ensuite advienne que pourra, et si par endroit j'ai fait preuve de maladresse, tant pis pour nous, on fait ce qu'on peut.

Il n'y a pas de place pour les tricheurs dans la société des hommes.

Etes-vous "plus humains que vos prédécesseurs?

LVOG - Tiré d'un blog.

Victor Hugo ou Denis Diderot ?

Victor Hugo

« C’est la civilisation qui marche sur la barbarie. C’est un peuple éclairé qui va trouver un peuple dans la nuit. Nous sommes les grecs du monde, c’est à nous d’illuminer le monde. »

— Victor Hugo, Choses vues (1887).

L’objectif de la colonisation de l’Afrique, selon Hugo ?

« Refaire une Afrique nouvelle, rendre la vieille Afrique maniable à la civilisation, tel est le problème. L’Europe le résoudra. Allez, Peuples ! Emparez-vous de cette terre. Prenez-la. À qui ? À personne. Prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes. Dieu donne l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. […] Prenez-la non pour le canon, mais pour la charrue ; non pour le sabre, mais pour le commerce ; non pour la bataille, mais pour l’industrie ; non pour la conquête, mais pour la fraternité. » (Discours sur l’Afrique).

Ainsi prodigue-t-il quelques conseils aux dirigeants européens :

« Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires. Allez, faites ! faites des routes, faites des ports, faites des villes ; croissez, cultivez, colonisez, multipliez ; »

Hugo toujours :

« Faire l’éducation du genre humain, c’est la mission de l’Europe.

Chacun des peuples européens devra contribuer à cette sainte et grande œuvre dans la proportion de sa propre lumière […] Tous ne sont pas propres à tout.

La France, par exemple, saura mal coloniser et n’y réussira qu’avec peine […] Chose étrange à dire et bien vraie pourtant, ce qui manque à la France en Alger, c’est un peu de barbarie. Les Turcs allaient plus vite, plus sûrement et plus loin ; ils savaient mieux couper des têtes.

La première chose qui frappe le sauvage, ce n’est pas la raison, c’est la force.

Ce qui manque à la France, l’Angleterre l’a ; la Russie également.

[…] L’enseignement des peuples a deux degrés, la colonisation et la civilisation. L’Angleterre et la Russie coloniseront le monde barbare ; la France civilisera le monde colonisé. »

Et encore :

« La barbarie est en Afrique, je le sais, mais […] nous ne devons pas l’y prendre, nous devons l’y détruire ; nous ne sommes pas venus l’y chercher, mais l’en chasser. Nous ne sommes pas venus […] inoculer la barbarie à notre armée, mais notre civilisation à tout un peuple. »

Diderot.

« Discours aux Hottentots », tiré de l’Histoire des deux Indes (1770) :

« Vous riez avec mépris des superstitions de l’Hottentot. Mais vos prêtres ne vous empoisonnent-ils pas en naissant de préjugés qui font le supplice de votre vie, qui sèment la division dans vos familles, qui arment vos contrées les unes contre les autres ? Vos pères se sont cent fois égorgés pour des questions incompréhensibles. Ces temps de frénésie renaîtront, et vous vous massacrerez encore.

Vous êtes fiers de vos lumières : mais à quoi vous servent-elles ? De quelle utilité seraient-elles à l’Hottentot ? est-il donc si important de savoir parler de la vertu sans la pratiquer ? Quelle obligation vous aura le Sauvage, lorsque vous lui aurez porté des arts sans lesquels il est satisfait, des industries qui ne feraient que multiplier ses besoins et ses travaux, des lois dont il ne peut se promettre plus de sécurité que vous n’en avez !

Encore si, lorsque vous avez abordé sur ses rivages, vous vous étiez proposé de l’amener à une vie plus policée, à des mœurs qui vous paraissaient préférables aux siennes, on vous excuserait. Mais vous êtes descendues dans son pays pour l’en dépouiller. Vous ne vous êtes approchés de sa cabane que pour l’en chasser, que pour le substituer, si vous le pouviez, à l’animal qui laboure sous le fouet de l’agriculteur, que pour achever de l’abrutir, que pour satisfaire votre cupidité.

Fuyez, malheureux Hottentots, fuyez ! enfoncez-vous dans vos forêts. Les bêtes féroces qui les habitent sont moins redoutables que les monstres sous l’empire desquels vous allez tomber. Le tigre vous déchirera peut-être, mais il ne vous ôtera que la vie. L’autre vous ravira l´innocence et la liberté. Ou si vous vous en sentez le courage, prenez vos haches, tendez vos arcs, faites pleuvoir sur ces étrangers vos flèches empoisonnées. Puisse-t-il n’en rester aucun pour porter à leurs citoyens la nouvelle de leur désastre !

Mais hélas ! vous êtes sans défiance, et vous ne les connaissez pas. Ils ont la douceur peinte sur leurs visages. Leur maintien promet une affabilité qui vous en imposera. Et comment ne vous tromperait-elle pas ? c’est un piège pour eux-mêmes. La vérité semble habiter sur leurs lèvres. En vous abordant, ils s’inclineront. Ils auront une main placée sur la poitrine. Ils tourneront l’autre vers le ciel, ou vous la présenteront avec amitié. Leur geste sera celui de la bienfaisance ; leur regard celui de l’humanité : mais la cruauté, mais la trahison sont au fond de leur cœur. Ils disperseront vos cabanes ; ils se jetteront sur vos troupeaux ; ils corrompront vos femmes ; ils séduiront vos filles. Ou vous vous plierez à leurs folles opinions, ou ils vous massacreront sans pitié. Ils croient que celui qui ne pense pas comme eux est indigne de vivre.

Hâtez-vous donc, embusquez-vous ; et lorsqu’ils se courberont d’une manière suppliante et perfide, percez-leur la poitrine. Ce ne sont pas les représentations de la justice qu’ils n’écoutent pas, ce sont vos flèches qu’il faut leur adresser. Il en est temps ; Riebeck approche. Celui-ci ne vous fera peut-être pas tout le mal que je vous annonce ; mais cette feinte modération ne sera pas imitée par ceux qui le suivront. Et vous, cruels Européens, ne vous irritez pas de ma harangue. Ni l’Hottentot, ni l’habitant des contrées qui vous restent à dévaster ne l’entendront. Si mon discours vous offense, c’est que vous n’êtes pas plus humains que vos prédécesseurs ; c’est que vous voyez dans la haine que je leur ai vouée celle que j’ai pour vous. »

Stratégie de la terreur comme mode de gouvernance.

- Un chat meurt d'un virus rare en Italie, les autorités s'inquiètent - Yahoo 2 juillet 2020

- Djihadisme, séparatisme, violence politique : l'Europe reste sous la menace terroriste - LeFigaro.fr 2 juillet 2020

- Le premier semestre 2020, le plus chaud de France - euronews 2 juillet 2020

On est en droit de se poser cette question.

- "Quelle est la valeur d'une société composée d'individus nuls?", Aldous Huxley dans un entretien à une télévision canadienne en 1960, 3 ans avant sa mort. (Vidéo sur YouTube)

LVOG - Sans aller jusqu'à dire que la population est nulle, il faut lui reconnaître un manque certain de maturité ou de conscience, un euphémisme...

Ils se ruent chez les coiffeurs, dans les pubs, sur les plages, etc. les ventes de voitures et de biens immobiliers repartent et les voilà qui ne pensent plus qu'à leurs vacances comme si absolument rien ne s'était passé, c'est normal, c'est humain paraît-il, et si c'était vrai, hélas ! C'est une expression du conformisme ambiant...

L'épisode actuel a confirmé mon analyse. Il a démontré que les masses ne réagissaient pas à un évènement en fonction de leur conscience, mais de l'émotion qu'il suscitait chez elles. Le populisme a consisté à l'interpréter en ignorant une partie des faits de manière à pouvoir manipuler leurs émotions dans une direction donnée ou en fonction d'un but déterminé qui consista à les maintenir dans l'ignorance de ce qui se passait réellement pour qu'elles soient réduites à l'impuissance ou le subisse sans pouvoir réagir.

Dès qu'on s'écarte des principes fondamentaux, on s'égare, et plus on s'en éloigne, plus on régresse, encore faut-il avoir défini ce qu'on entendait par principes fondamentaux ou en avoir été réellement capable un jour, et là il est permis d'en douter fortement pour la plupart des gens. Car ce n'est pas quelque chose dont il suffirait de se saisir, bien que cela se passe sous nos yeux, comme tout ou presque d'ailleurs, c'est plutôt quelque chose que l'on doit chercher et découvrir à l'aide des lois de la dialectique. Voilà pour la première difficulté sur laquelle nous butons, parce que généralement nous sommes buté !

La seconde va résider dans la tendance à considérer que tout ce qui est acquis l'est définitivement ou à confondre ce qui est relatif et absolue, sachant que toute connaissance sera à la fois ou successivement l'un et l'autre pendant une durée déterminée qu'on ignore, mais sur laquelle on spécule parce que cela nous arrange ou permet d'apporter des réponses à des questions qu'on ne s'est même pas donné la peine de se poser ou qu'on préfère ne pas aborder pour diverses raisons.

Cette confusion va contribuer à produire un épais brouillard entre nous et la réalité rendant ces principes fondamentaux méconnaissables, au point de confondre la cause et la conséquence, le particulier et le général, la quantité et la qualité, la fin et les moyens.

La troisième difficulté qui découle de la précédente, donc de la confusion entre ces éléments logiques, va nous entraîner à substituer inconsciemment à la réalité celle que des hommes ont façonné intentionnellement, de sorte que ces principes fondamentaux seront devenus inaccessibles sous un amas d'amalgames, de contrevérités, d'éléments purement et simplement inventés ou fabriqués, autrement dit, toute trace des liens qui existaient entre des faits auront disparu ou seront devenus mystérieux autant que leur origine, rendant toute interprétation indépendante de la situation impossible.

C'est la conclusion à laquelle nous voulions arriver.

Un homme normalement constitué ou équilibré mentalement, réputé évolué ou instruit, devrait toujours se poser des questions élémentaires avant de se faire une idée sur quelque chose ou quelqu'un, sur la situation ou un évènement, or il en est en grande partie ou totalement incapable la plupart du temps.

Quant à ceux qui avaient commencé à évoluer, ils ont arrêté en cours de route, et désormais quand ils font appel à ces principes fondamentaux c'est uniquement pour tenter de justifier leur interprétation de la situation une fois épurée des éléments qui la contrediraient ou en torturant les faits pour leur faire dire ce qu'ils ont envie qu'ils disent et pas autres choses.

C'est toujours pour la bonne cause. Laquelle ?

C'est ainsi par exemple qu'ils passeront sous silence l'irruption officielle d'une épidémie virale moins de trois après que l'oligarchie en ait simulé une, pour ne pas dire simultanément. Pour eux, soit cela n'avait aucun rapport, soit c'était une pure coïncidence, et tant pis si elle avait été précédée d'autres coïncidences du même genre, et si par la suite elle s'accompagnerait d'une multitude de coïncidences. Ils décrèteront que rien ne doit entraver la lutte contre cette épidémie déclarée cause mondiale par l'OMS, autrement dit l'oligarchie avec laquelle au passage ils réaliseront un consensus contre tous les peuples.

Lorsqu'on observe pendant des années que les mêmes scénarios se reproduisent à l'identique dans différents pays ou à l'échelle mondiale lors de campagnes sur des thèmes tels que le racisme, l'antisémitisme, la xénophobie, l'homophobie, l'écologie, le cannabis, les droits des femmes, la lutte contre le terrorisme, etc. actionnés par les mêmes acteurs, soutenus par les mêmes institutions, financés par les mêmes milliardaires philanthropes, promus par les mêmes médias, il ne leur viendra pas à l'idée qu'elles pourraient être instrumentalisées et servir de tous autres buts que ceux affichés, impossible ou ils s'en moquent parce qu'ils ont décidé un jour que ces causes étaient justes quoiqu'il arrive, quelle que soit la manière dont les choses se passent.

Du 11 septembre au Covid-19 en passant par Charlie et la destruction de l'Irak, de la Libye et de la Syrie, chaque fois ces principes fondamentaux ont été piétinés ou ignorés au profit d'une sordide démagogie, qui désormais a été intégrée à la conception de la lutte des classes de la totalité des formations du mouvement ouvrier.

On est donc en droit d'en déduire, que leur conception de la lutte des classes était déjà pourrie ou complètement dévoyée pour se laisser ainsi influencer ou entraîner par la réaction et lui servir d'agents, on ne voit pas trop comment il aurait pu en être autrement partant de là ou quelle autre explication il pourrait y avoir.

Imposture consommée. Indispensable indépendance.

Indispensable indépendance, c'était le titre de l'éditorial de la Tribune de travailleurs (POID) du 1 juillet 2020.

LTT - "Pékin impose sa loi à Hong Kong".

LVOG - Une annonce de Washington, de la NED/CIA ? Non, du POID le 29 juin 2020 !

LTT - "Macron est isolé, et il le sait. "

LVOG - Vraiment ? Vérifions-le.

- Convention citoyenne pour le climat : Julien Bayou a "envie d’applaudir" Emmanuel Macron, mais "attend du concret" - Franceinfo 2 juillet 2020

LTT - Élections municipales : échec de La République en marche (LREM) du président Macron.

LVOG - Hier ou plutôt avant-hier il donnait du "dégage Macron", et maintenant il donne dans le "président Macron", passons, mais c'est révélateur.

La défaite, que dis-je la déroute de LREM était annoncée, inévitable, déjà actée lors du lancement du produit de marketing en 2016-2017, la date de péremption figurait même en caractère gras sur l'emballage avec l'avertissement suivant : Attention en fonction des conditions rencontrées elle pourrait être avancée ou la durée de vie de ce produit pourrait être réduite de moitié, à consommer rapidement de préférence.

Il était grillé avant même d'être élu.

Il en fut de même avec Sarkozy et Hollande, alors pourquoi Macron aurait-il dû y échapper ? Sans élus locaux, sans enracinement territorial, dans un contexte exacerbé qui imaginait un autre résultat, personne, c'était plié d'avance, alors pourquoi faire croire le contraire ?

Le contexte social n'ayant cessé de se dégrader et étant promis au pire dans les mois ou années à venir, la lutte des classes allait repartir de plus belle fournissant l'occasion de ranimer l'imposture ou le clivage artificiel gauche-droite, tandis que le centre ou l'extrême-centre allait se retrouver marginalisé, ainsi que l'extrême droite, pris entre le marteau et l'enclume, LREM allait se faire ratatiner sèchement, c'était plus que prévisible ou inévitable, c'était écrit.

Serait-ce un échec pour ses mentors de l'oligarchie ?

Pas du tout, bien au contraire, en propulsant EELV Macron va avoir les mains libres pour appliquer la suite de son programme, l'essentiel était de sauver la perspective tracée par LREM, objectif atteint. Que la majorité des électeurs n'aient pas été votés ne contrarie pas leur plan, elle l'avait intégré dans ses prévisions dès sa rédaction. Il était inévitable qu'après tous les coups qu'ils allaient prendre pendant trois ans, qui plus est sur fond de psychose collective, l'abstention serait massive ou majoritaire, peu importe puisque cela ne représenterait pas une force organisée qui menacerait le régime.

Parler de l'échec de Macron et LREM sous-entendait forcément que d'autres avaient remporté une victoire ou avaient triomphé, pas EELV, pas les abstentionnistes, le POID (et le POI) les méprise, qui d'autres sinon le cadavre de l'union de la gauche ressorti du placard...

LREM-LR-PS. Un remaniement : un nouveau coup d'Etat ou une provocation en forme de bras d'honneur.

Macron a nommé Jean Castex Premier ministre, un casseur de l'hôpital public, comme provocation ou bras d'honneur on ne pouvait imaginer plus sordide et cruel. Tous les dirigeants syndicaux sont prêts à discuter avec lui comme si rien ne s'était passé au cours des quatre derniers mois en France, on est déjà dans le consensus pour préserver "le vieux monde" capitaliste.

L'assassin Olivier Véran demeure en place aux Solidarités et à la Santé, son statut de ministre devrait le protéger de toutes poursuites judiciaires, idem pour Gérald Darmanin visé par une plainte pour viol promu ministère de l'Intérieur, ils pourront être défendus par Éric Dupond-Moretti dont la nomination au ministère de la Justice constitue "une déclaration de guerre" selon les syndicats de la magistrature. Et pour finir une chroniqueuse télé comme ministre de la Culture pour bien montrer le mépris qu'elle leur inspire, la prochaine fois il ferait mieux d'imiter les Américains qui ont supprimé ce ministère jugé inutile depuis belle lurette.

Ils ont recentré le gouvernement en direction de LR, sur lequel ils pourraient se reporter en 2022 au cas où LREM serait trop marginalisé pour être certain de l'emporter. Cela devrait leur permettre de racoler une partie des voix des retraités (15 millions d'électeurs) qui votent traditionnellement pour le parti officiel de l'ordre, et de s'appuyer sur le réseau des élus LR majoritaires parmi les communes de plus de 9.000 habitants, là où LREM est pratiquement inexistant, tout en conservant leurs liens avec le PS, Le Drian conservant le poste clé du ministère des Affaires Etrangère)

Compatible, soluble, révélateur, un peu trop !

- Emmanuelle Cosse a refusé d'entrer au gouvernement - LeFigaro.fr 8 juillet 2020

L'ex secrétaire nationale d'EELV et ministre du Logement sous François Hollande n'a pas voulu donner suite à la proposition. LeFigaro.fr 8 juillet 2020

Totalitarisme et corporatisme. Tartuferie. Comme il l'aime "le vieux monde". Quelle "plaie" cette racaille !

Discours d'Emmanuel Macron le 14 juillet : Force ouvrière attend de l"apaisement" et que le gouvernement ne remette pas "du sel sur la plaie" avec la réforme des retraites - Franceinfo 5 juillet 2020

Franceinfo : Qu'attendez-vous du discours d'Emmanuel Macron le 14 juillet ?

Yves Veyrier : Je ne sais pas...

LVOG - Traduisez : Il s'en contrefout !

Franceinfo : Croyez-vous au tournant social du gouvernement ?

Yves Veyrier : Moi, je ne crois en rien. Je suis athée, d'une manière générale. Je ne vais pas dire que je suis comme Saint Thomas, mais moi, ce qui m'importe, ce sont les actes. Ce sont les politiques qui vont être mises en œuvre et on va voir ce qu'il en sera. Je constate la volonté d'un habillage plus social avec la nomination de Jean Castex. Il se définit lui-même comme gaulliste social, donc c'est plutôt un peu le vieux monde qui reviendrait, mais dans sa forme moderne. Moi, je ne crois pas que le vieux monde soit derrière nous, soit défait. Je pense que le nouveau monde s'est plutôt fracassé sur les réalités ces jours derniers.

Franceinfo : Interrogé sur le remaniement, Yves Veyrier a semblé se réjouir du maintien de Bruno Le Maire à l'Économie. "Heureux ? Je ne sais pas, on va voir ce que ce seront les politiques qui seront mises en œuvre, les actes". francetvinfo.fr 7 juillet 2020

LVOG - Il croit tout de même dans les vertus du capitalisme. Oui mais c'est naturel chez lui, donc ce n'est pas une croyance ! Effectivement, ce qui l'importe "ce sont les actes" et cela en est un de soutenir le régime en place.

Franceinfo : Le Premier ministre Jean Castex dit vouloir tendre la main aux organisations syndicales. N'est-ce pas un bon point de départ ?

Yves Veyrier : J'attends de voir. J'ai entendu les paroles du Premier ministre. Il a dit que réexaminer n'est pas se renier, alors ça veut dire quoi ?

LVOG - Il préfère qu'on le prenne pour un crétin plutôt qu'un agent du régime, il doit estimer que ce serait moins compromettant...

Comment, vous ne le saviez pas encore ? C'est la vocation de Macron et son gouvernement de défendre "avec ardeur et conviction" les intérêts des travailleurs.

Prisons : FO Pénitentiaire "espère que le ténor du barreau" Éric Dupond-Moretti défendra "avec ardeur et conviction les personnels pénitentiaires" - Franceinfo 8 juillet 2020

LVOG - Avec de tels opposants, le régime de la Ve République est bien gardé.

Qui a dit : "On a un gouvernement nouveau, qui est nommé, avec un Premier ministre, et en général vous avez un discours de politique générale. Le gouvernement demande une majorité à l’Assemblée. Eh bien ce discours, ce ne sera que le 15 juillet, dans huit jours". Et, "Avant, on va faire des questions au gouvernement, on va continuer des lois, comme si de rien n’était, comme si finalement on connaissait le programme de ce gouvernement. Si c’est pas inédit, c’est de toute façon anormal et scandaleux."

Réponse : Eric Coquerel (LFI) mercredi matin sur Europe 1. Europe1 8 juillet 2020

LVOG - On a compris qu'il se fout de leur programme autant que Veyrier, donc ce n'est pas cela qui le dérange, que dis-je, qui le choque, c'est que l'esprit de la Ve République soit malmené.

Europe1 - Eric Coquerel voit là une nouvelle occasion de critiquer Emmanuel Macron, qui concentre selon lui tous les pouvoirs. "C’est une manière d’exacerber le caractère monarchiste de la Cinquième République, parce qu’en réalité un homme a tout décidé", a-t-il jugé. "Cet homme c’est Emmanuel Macron, qui a donné une interview le 3 juillet dans la presse quotidienne régionale où il a annoncé le programme du gouvernement. Il est président, Premier ministre à la fois et Monsieur Castex est son secrétaire général bis."

LVOG - Parce cela changerait tout pour nous si c'était le Premier ministre qui annonçait la suite du programme, car voyez-vous on est trop débile pour le deviner.

La soupe est toujours bonne pour les ouvriéristes, tiers-mondistes, quarts-mondistes.

Claire Hédon pour remplacer Jacques Toubon comme défenseure des droits - AFP 1 juillet 2020

Mme Hédon, âgée de 57 ans et dirigeante depuis 2015 de l'association ATD-Quart monde qui lutte contre l'extrême pauvreté.

Ancienne journaliste de radio (RFI, France inter), elle est aussi membre du Comité consultatif national d'éthique depuis 2017.

Mme Hédon avait accueilli M. Macron plusieurs heures dans un centre d'ATD-Quart Monde à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) en septembre 2018, en marge de la présentation de la stratégie gouvernementale de lutte contre la pauvreté. AFP 1 juillet 2020

En famille. On ne se croirait pas sous un régime fascisant. Tous acceptent de collaborer avec lui.

Mystification.

Retraites: Castex face au mur du refus des syndicats - lefigaro.fr 9 juillet 2020

Tous les partenaires sociaux, qui ont défilé ce jeudi dans le bureau du premier ministre, ont opposé une fin de non-recevoir à toute relance de la réforme.

Très déterminé, le chef du gouvernement a commencé à recevoir individuellement les partenaires sociaux à Matignon jeudi, en présence de la nouvelle ministre du Travail, Élisabeth Borne, qui récupère dans son périmètre ce dossier explosif. Les discussions doivent se boucler ce vendredi après-midi. Puis une réunion, où les partenaires sociaux seront tous réunis collectivement, est prévue «avant le 20 juillet», probablement vendredi prochain.

LVOG - En fait, les dirigeants syndicaux corrompus estiment tout comme le Medef, que remettre immédiatement sur le tapis la contre-réforme des retraites alors que la situation sociale devrait continuer de s'aggraver dans les mois à venir, ne leur permettrait peut-être pas de contenir leurs bases, ce qui pourrait perturber les affaires de leurs braves partenaires capitalistes. Lisez, ils le disent eux-mêmes, pour eux la priorité, c'est la "relance" de la machine capitaliste, sauvegarder le régime. D'ailleurs, ils n'ont pas dit non ou qu'ils y étaient opposés, et en précisant que ce n'était pas "le moment", en quelque sorte ils ont fourni un bon conseil à Macron et Castex pour la faire passer plus facilement plus tard.

Le Figaro - «On a clairement dit au premier ministre que la question des retraites ne devait pas venir polluer la question de la relance», a-t-il encore insisté, en soulignant que «la priorité aujourd’hui, c’est l’emploi». Pour les syndicats hostiles depuis le début à la réforme, l’opposition reste totale. «Ce n’est vraiment pas le moment», a martelé Yves Veyrier, secrétaire général de FO. «On lui a dit que c’était un sujet explosif qui allait diviser le pays. S’il démarre son mandat par ce genre de situation, ça laisse mal augurer de la suite», a réagi Philippe Martinez, son homologue de la CGT... lefigaro.fr 9 juillet 2020

LVOG - "Ca laisse mal augurer de la suite" pour qui ? Martinez qui s'inquiète du sort du nouveau Premier ministre...

Le président de la CFE-CGC, François Hommeril, a bien résumé l'ambiance de cette réunion de famille :

franceinfo - "J'ai la même priorité que tout le monde. Il n'y en a qu'une aujourd'hui, c'est la question économique, c'est la question des entreprises."

LVOG - Il a toutefois fourni un élément intéressant. franceinfo - "Notre syndicat était, dans tous les cas, radicalement opposé au principe même de la retraite universel par point, poursuit François Hommeril. Je rappelle que si on avait fait cette réforme il y a cinq ans, au coeur de la crise aujourd'hui, les pensions auraient été diminuées de 10 à 12 %. Donc on a l'exacte mesure de ce que représente le système par point. Ce n'est rien d'autre que la diminution des pensions." francetvinfo.fr 9 juillet 2020

Faites tomber les masques.

Dans l'éditorial du 8 juillet de la Tribune des travailleurs (POID), avant de s'épandre sur "la dramatique situation que connaît le pays" à la manière d'un populiste, Daniel Gluckstein devait saluer l'attitude responsable des partenaires sociaux de tous bords, relayant au passage les inquiétudes du Figaro et l'insouciance des " partis de « gauche » ", qui n'auraient rien à craindre non plus puisqu'une "solution conforme aux intérêts de la majorité de la population – celle qui n’a que son travail pour vivre – maintiendrait (voire abaisserait) l’âge de départ à la retraite à taux plein".

Vous avez bien lu, si "une politique ouvrière, politique pour la majorité par la majorité, un gouvernement de la classe ouvrière et de la démocratie" voyait le jour, il pourrait maintenir l'âge de départ à la retraite à taux plein, adieu le retour aux 37,5 annuités, adieu l'alignement du régime général sur les régimes spéciaux les plus avantageux ou le départ à la retraite dès 50 ans, et parfois ce serait encore trop tard.

La prochaine fois qu'il nous épargne le doute ou le conditionnel, et qu'il nous dise carrément que notre condition demeurerait inchangée si lui et ses amis parvenaient au pouvoir, à cause de "la dramatique situation que (connaîtrait) le pays".

Source : http://www.latribunedestravailleurs.fr/

Moi-y-a-vouloir-des-sous... pas la tête des assassins Macron-Véran-Salomon.

Le "Ségur de la santé" accouche au forceps d'un projet d'accord sur les salaires - AFP 10 juillet 2020

A l'issue d'une négociation marathon, le gouvernement a proposé jeudi un protocole d'accord à 180 euros net mensuels au moins pour les personnels hospitaliers, laissant entrevoir une avancée dans le "Ségur de la santé", et les discussions pourraient aussi se débloquer avec les médecins.

Le document, dont l'AFP a obtenu copie, prévoit 20 mesures, dont une hausse de salaire de 183 euros net mensuels pour l'ensemble des "personnels des établissements hospitaliers et des Ehpad" - à l'exception des médecins, qui font l'objet de négociations séparées.

Cette augmentation de salaire dite "socle" devra être votée en fin d'année dans le budget de la Sécu et interviendra en deux temps: une première revalorisation de 90 euros "avec un effet rétroactif" au 1er septembre et une autre de 93 euros au 1er mars 2021.

Le texte inclut également une "révision" des grilles de salaires pour certains métiers soignants (infirmiers, aides-soignants), médico-techniques (manipulateurs radio) et de rééducation (kinés), qui serait bouclée avant le printemps pour une "entrée en application" le 1er janvier 2022 au plus tard.

Selon le ministère, cela se traduirait par une rallonge de l'ordre de 35 euros net par mois en moyenne pour les agents concernés.

De nouvelles majorations sont en outre envisagées pour les heures supplémentaires, ainsi que le travail de nuit, du dimanche et des jours fériés.

Des "recrutements" sont enfin mentionnés, mais les 15.000 postes évoqués par plusieurs participants ne figurent pas noir sur blanc.

Les syndicats ont désormais jusqu'à lundi pour se prononcer sur ce texte, qui serait ensuite signé à Matignon.

Dans une réaction transmise à l'AFP, Olivier Véran a rappelé "son souhait d'aboutir à un accord" signé par une majorité de syndicats.

Mais la CGT-Santé, première organisation du secteur, considère que le gouvernement "ne cède que des miettes" et appelle dans un communiqué les personnels hospitaliers "à participer aux mobilisations prévues le 14 juillet".

SUD-Santé entend aussi manifester le 14 juillet, avec notamment un cortège à Paris entre République et Bastille. Le syndicat, qui avait quitté la négociation début juin, affirme que "le compte n'y est pas", au regard des 300 euros net revendiqués.

"D'autres choses" ont été obtenues "en compensation", a souligné Didier Birig, secrétaire général de FO-Santé, considérant que "ce protocole n'est pas parfait" mais que "7,5 milliards d'euros, ce n'est pas une petite somme".

Une partie de la manne serait toutefois destinée aux établissements privés, qu'ils soient associatifs ou à but lucratif, afin que leurs salariés non médicaux soient augmentés d'environ 160 euros net.

La numéro un de la CFDT-Santé, Eve Rescanières, a estimé qu'il s'agissait d'"un bon accord" qui "a le mérite d'exister", même s'il "n'est pas suffisant pour rattraper le retard accumulé depuis des décennies"

"Ca ne va pas aussi loin qu'on le voulait au départ, mais on a obtenu des avancées", a insisté Jean-Claude Stutz, secrétaire national de l'Unsa-Santé.

Du côté des médecins, qui font l'objet de négociations séparées, la situation était aussi en passe de se débloquer.

Après l'échec d'une précédente réunion mercredi, le gouvernement a concédé jeudi une rallonge de 50 millions d'euros, portant à 450 millions l'enveloppe pour revaloriser les fins de carrières et la prime d'engagement de service public exclusif, selon deux sources syndicales.

L'une d'elles prédit que plusieurs organisations pourraient donner leur accord à cette ultime proposition dès vendredi matin.

Avant ce rebondissement, deux syndicats (APH et Jeunes Médecins) avaient dénoncé un "mépris pour les praticiens hospitaliers" et appelé la profession "à se préparer à une mobilisation de grande ampleur".

Les internes et étudiants en médecine ont, pour leur part, obtenu une rallonge de 38 millions d'euros, portant à près de 200 millions le budget prévu pour améliorer leurs rémunérations.

Malgré le préavis de grève déposé par le principal syndicat d'internes (Isni), son président Justin Breysse s'est dit satisfait de ce montant, tout en rappelant ses "fortes attentes" sur les "conditions de travail et de formation".

Le ministère assure que d'autres mesures doivent permettre "un meilleur respect du temps de travail". AFP 10 juillet 2020

En complément

Quand je lis dans un tract "300 euros pour tous ! Des postes ! Dirigeants syndicaux, sortez de l’imposture du Ségur !", je ne vais pas plus loin pour ne pas perdre mon temps.

Mais..."la circulation des personnes" pourra être limitée.

Etat d’urgence sanitaire : Le Conseil constitutionnel valide la loi et précise les interdictions de circulation - 20 Minutes 9 juillet 2020

Le Conseil constitutionnel a validé jeudi la loi organisant la sortie de l'état d'urgence sanitaire à partir de samedi, mais précisé les interdictions de circulation des personnes, qui ne peuvent selon lui conduire à un confinement, même localisé.

LVOG - Faux. La preuve.

20 Minutes - Le texte permet des restrictions sur la circulation des personnes, l’accueil du public dans certains établissements ou les rassemblements. Le Conseil constitutionnel considère que « l’interdiction de circulation des personnes et des véhicules ainsi que l’interdiction d’accès aux moyens de transport collectif de voyageurs ne peut être édictée que dans les territoires où une circulation active du virus a été constatée ». 20 Minutes 9 juillet 2020

LVOG - Il suffit donc de décréter qu'"une circulation active du virus a été constatée" pour restreindre à nouveau "la circulation des personnes".

Il n'y a plus qu'à prononcer sa liquidation... ou à casquer, à moins que ce soit les deux à la fois !

Le Sénat vote le "trou de la Sécu", l'amorce d'une 5e branche et une "règle d'or" - AFP 2 juillet 2020

Avec ces deux textes (organique et ordinaire), votés mi-juin en première lecture par les députés, le gouvernement entend entériner l'ajout de 136 milliards d'euros de dettes au "trou de la Sécu" et poser le principe d'une nouvelle branche consacrée à la perte d'autonomie.

Députés et sénateurs tenteront de se mettre d'accord sur un texte commun en commission mixte paritaire. En cas d'échec une nouvelle lecture sera organisée dans les deux chambres, l'Assemblée nationale ayant le dernier mot.

Les sénateurs ont accepté le transfert à la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades) des déficits passés et à venir de la Sécurité sociale, jusqu'à l'exercice 2023, pour un montant maximal de 123 milliards d'euros.

Mais ils ont rejeté le transfert de la dette des hôpitaux (pour 13 milliards d'euros), estimant que l’État devait en assumer la charge car il s'agissait d'une dette "essentiellement immobilière".

Pour le secrétaire d'État auprès du ministre de la Santé Adrien Taquet, cette suppression "prive les hôpitaux d'une bouffée d'air (...) qui était très fortement attendue".

Les sénateurs ont aussi souhaité instaurer une "règle d'or" qui encadrerait les futures lois de financement de la Sécurité sociale. A partir de 2025, chacune de ces lois devrait ainsi assurer un équilibre des comptes de la Sécurité sociale sur cinq ans. AFP 2 juillet 2020

Retenez votre souffle, ne respirez plus : Vous avez atteint votre "quota carbone individuel", mourez !

LVOG - Pas encore carbonisés?

Environnement: des députés proposent un "quota carbone individuel" pour limiter l'usage de l'avion - AFP 30 juin 2020

Contre la pollution du transport aérien, les députés François Ruffin (LFI) et Delphine Batho (Ecologie, Démocratie, Solidarité) ont présenté mardi une proposition de loi qui entend instaurer un "quota carbone" par individu pour limiter les voyages en avion.

"A l'époque, on nous avait traités de fous, d’extrémistes, d'écolos radicaux", se souvient François Ruffin qui entend, avec sa nouvelle proposition de loi déposée mardi sur le bureau de l'Assemblée, "poser un principe pour l'avenir".

"L'objectif est de mettre en place un système de quota carbone individuel pour l'usage de l'avion (les déplacements professionnels ne sont pas concernés). Ce quota serait le même pour chacun. Cela limiterait la possibilité de prendre l'avion pour ceux qui le prennent beaucoup trop, chacun aura la possibilité d'accumuler des points carbone dans le temps pour pouvoir faire un voyage de temps en temps", a expliqué Delphine Batho. AFP 30 juin 2020

Voilà qui devrait les réjouir.

Aéronautique : le groupe Airbus annonce la suppression de 15 000 postes, dont 5 000 en France - Franceinfo 30 juin 2020

Le groupe Airbus a annoncé mardi 30 juin au soir la suppression de 15 000 postes dans le monde d'ici l'été 2021, évoquant son souhait "d'adapter ses effectifs à la crise du Covid-19". Le constructeur européen prévoit de supprimer 5 000 postes en France, 5 100 en Allemagne et 1 700 au Royaume-Uni.

Ces suppressions de postes devraient quasi exclusivement toucher la branche aviation commerciale du groupe – également présente dans la défense, l'espace et les hélicoptères – ainsi que plusieurs filiales comme la française Stelia Aerospace ou encore l'allemande Premium Aerotec.

Depuis plusieurs semaines, Guillaume Faury, le président exécutif du groupe aux 135 000 salariés, dont 81 000 dans sa branche d'avions commerciaux, prévenait que la crise engendrée par l'épidémie de coronavirus mettait en jeu la "survie d'Airbus".

"L'ampleur de la crise du Covid-19 pour notre secteur impose à Airbus de s'adapter. Cette adaptation signifie en fait une réduction significative du format de notre entreprise. Après des décennies de croissance ininterrompue, c'est une véritable épreuve. Elle nous contraint à des décisions amères", a-t-il écrit dans une lettre aux salariés.

Le groupe Airbus compte 49 000 salariés en France, 45 500 en Allemagne, 12 500 en Espagne et 11 000 au Royaume-Uni. Les suppressions de postes concerneraient donc plus de 10% des effectifs totaux. La branche Defense and Space d'Airbus, confrontée à un marché difficile, a déjà annoncé en février un plan de restructuration prévoyant 2 665 suppressions de postes. Franceinfo 30 juin 2020

Airbus, Hop !, Nokia, tous unis contre les licenciements - euronews.com 9 juillet 2020

C'est sur ce site même, près de Toulouse, que 3 500 emplois doivent être supprimés. Et ça, les salariés d'Airbus ne peuvent pas l'accepter. Ils ont manifesté ce mercredi matin contre le plan social annoncé par l'avionneur européen, qui menace quelques 5 000 postes en France, conséquence de la crise économique qui frappe le secteur aérien.

Jean François Knepper, Délégué FO Airbus : "Nous avons une revendication collective ici, c'est "pour deux départs, une embauche", sinon on va sacrifier en plus dans cette crise toute une génération de jeunes". (Il accepte donc 1 licenciement sur 2, gageons que ce délégué syndical patronal n'est pas concerné. - LVOG)

Autre entreprise mise à mal par les conséquences de la crise sanitaire, Air France KLM et sa filiale HOP. Plusieurs centaines de ses salariés se sont rassemblées à Morlaix (Finistère) devant le site local de HOP, où sont employées 280 personnes, pour protester contre sa fermeture. Selon le plan décidé par la direction d'Air France, 40% des 2 400 emplois de Hop doivent être supprimés.

Nokia est aussi sous le coup de menaces d'un plan social. Comme la semaine dernière, sur ces images à Lannion dans les Côtes d'Armor, plusieurs centaines de salariés de l'équipementier téléphonique finlandais ont défilé à Paris contre la suppression de 1 233 emplois en France. euronews.com 9 juillet 2020

Coronabusiness, ce devrait être un secret pour personne.

La raison secrète pour laquelle les riches aiment la pandémie - entelekheia.fr 19 juin 2020

Extrait.

Aux États-Unis, les milliardaires ont vu leur fortune grimper en flèche, avec une augmentation de 12,5 % depuis le début de la pandémie. L’Institute for Policy Studies a publié une étude « montrant que, dans les huit semaines entre le 18 mars et le 14 mai, les super-riches du pays ont ajouté 368,8 milliards de dollars supplémentaires à leurs fortunes déjà énormes ».

Bien avant que le coronavirus ne devienne un nom familier, les trois Américains les plus riches étaient plus riches que les 50% les plus pauvres de notre pays. Pour ceux d’entre vous qui savent calculer, cela représente 164 millions de personnes.

Outre ces inégalités surréalistes, les riches ne paient pas non plus leur juste part d’impôts. (Choqué ?) Ils ont reçu une réduction d’impôt géante de Donald Trump, et les super-riches cachent 32 billions de dollars dans des paradis fiscaux offshore du monde entier.

Pendant ce temps, pour les Américains moyens, les choses ne vont pas aussi bien. Comme l’écrit Alan Mcleod pour MintPress, « Un nombre record de 36 millions d’Américains ont déposé une demande d’assurance-chômage, des millions d’autres ont perdu leur assurance-santé dépendante de l’employeur, [1] et environ un tiers du pays ne peut plus payer son loyer.

Une fois que vous avez tout mis sur la table et que vous avez regardé les cartes qui nous ont été distribuées, vous n’avez pas d’autre choix que de vous demander : « Comment se fait-il que notre société ne s’effondre pas ? Comment se fait-il que beaucoup plus de choses ne soient pas incendiées ? Pourquoi le beurre de cacahuète est-il encore disponible dans les épiceries ? Pourquoi les gens continuent-ils à se promener en trottinette électrique en souriant sous leur masque de pandémie ? Pourquoi la bourse n’est-elle pas si basse qu’elle permette de voir mes chaussettes ?

Eh bien, une des raisons est que nous avons maintenant une ploutonomie – un terme utilisé par les analystes de Citigroup et d’autres pour décrire un système dans lequel les plus riches (les 1%) sont le moteur ainsi que les bénéficiaires de la croissance économique.

Au fond, dans l’Amérique d’aujourd’hui, seul compte ce que font les riches – ce qu’ils achètent, ce qu’ils vendent, ce dans quoi ils investissent, ce qu’ils baisent et ce qu’ils écoutent. Vous et moi n’avons tout simplement pas d’importance.

Quoi qu’il en soit, cette idée de ploutonomie a en fait été divulguée dans une note d’analyste de Citigroup, il y a plusieurs années. Ils ont accidentellement énoncé à voix haute, pour leurs clients super riches, ce qu’ils taisent normalement. On pouvait y lire :

Le monde est en train de se diviser en deux blocs – les ploutonomies, dont la croissance économique est alimentée et largement consommée par une riche minorité, et le reste. …Quels sont les moteurs les plus communs de la Ploutonomie ? Des gains de productivité dus à la technologie, une innovation financière créative, des gouvernements coopératifs favorables au capitalisme, … et des conquêtes à l’étranger qui stimulent la création de richesses, les États de droit et les brevets d’inventions.

Prenons un moment pour traduire ce que cela signifie en langage humain. Par exemple, « une innovation financière créative » se traduit par « de nouvelles façons de voler les gens ». Ensuite, « des gouvernements coopératifs favorables au capitalisme » doit être lu comme « des gouvernements contrôlés par les riches et conçus pour escroquer le peuple comme au coin d’un bois ». C’est ce que cela signifie quand un gouvernement « coopère » avec la Citibank. Et enfin, « les conquêtes à l’étranger qui stimulent la création de richesses, les États de droit et les brevets d’inventions ». Ce charabia signifie « envahir et prendre le contrôle d’autres nations et d’autres peuples, puis voler leurs ressources ».

C’est une bien belle langue qu’ils parlent là-bas à la Citibank, n’est-ce pas ?

La note de Citigroup se termine par : « Souvent, ces vagues de richesse impliquent une grande complexité, exploitée au mieux par les personnes riches et instruites du moment. » Ils disent que la ploutonomie est trop compliquée pour nous, les masses troglodytes, avec nos T-shirts avec des choses écrites dessus et nos pailles extra longues avec une petite cuillère au bout pour atteindre le fond de nos gobelets de boissons glacées Slush Puppie.

Revenons maintenant à l’article de Mintpress sur les gains époustouflants des riches – « Le fait que la richesse des milliardaires augmente si rapidement en période d’effondrement économique suggère que les gains des riches ne sont même plus reliés aux forces productives et qu’ils sont davantage liés à la quantité de richesse que l’on peut tirer des coffres publics ».

Vous voyez, il y a une lutte des classes depuis des années – perpétrée par les riches contre tous les autres. Dans une étude publiée dans les Proceedings de la National Academy of Sciences, des chercheurs ont découvert que l’appartenance à la classe sociale des possédants était un bon indicateur de comportements non éthiques. Ils ont montré que les riches sont plus susceptibles de prendre des décisions contraires à l’éthique, de voler les autres, d’enfreindre les règles du Code de la route et de tricher lors des concours. entelekheia.fr 19 juin 2020

https://inequality.org/billionaire-bonanza-2020-updates

Mise à jour du 18 juin 2020 : la richesse des milliardaires américains atteint 584 milliards de dollars, soit 20%, depuis le début de la pandémie

Depuis le 18 mars, la classe des milliardaires américains a vu sa richesse augmenter de 20%, soit 584 milliards de dollars, depuis le début de la pandémie, alors que 45,5 millions d'Américains ont déposé une demande de chômage et que l'économie a cratéré, selon une nouvelle analyse d'Americans for Tax L'équité (ATF) et l'Institut d'études politiques - Programme sur les inégalités (IPS), en s'appuyant sur le rapport IPS Billionaire Bonanza 2020.

Dans l'ensemble, entre le 18 mars - date approximative du début de la fermeture de la pandémie, lorsque la plupart des restrictions économiques fédérales et étatiques étaient en place - et le 17 juin, la valeur nette totale des plus de 640 milliardaires américains est passée de 2,948 billions de dollars à 3,531 milliards de dollars, selon sur l'analyse des données de Forbes par les deux groupes. Depuis le 18 mars, date à laquelle Forbes a publié son rapport annuel sur la richesse des milliardaires, les États-Unis ont ajouté 29 milliardaires supplémentaires, passant de 614 à 643. Au cours des trois mêmes mois, plus de 45,5 millions de personnes ont déposé une demande de chômage, selon le ministère du Travail.

Les cinq premiers milliardaires - Jeff Bezos, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Warren Buffett et Larry Ellison - ont vu leur richesse augmenter de 101,7 milliards de dollars, soit 26%. Ils ont capturé 17,4% de la croissance de la richesse totale des 600 milliardaires et plus au cours des trois derniers mois. La fortune de Bezos et de Zuckerberg a augmenté de près de 76 milliards de dollars, soit 13% du total de 584 milliards de dollars.

"Cette orgie de richesse montre à quel point notre système économique est fondamentalement défectueux", a déclaré Frank Clemente, directeur exécutif d'ATF. «En trois mois, environ 600 milliardaires ont augmenté leur richesse de bien plus que ce que les gouverneurs du pays disent que leurs États ont besoin d’une aide fiscale pour continuer à fournir des services à 330 millions de résidents. Leur richesse a augmenté deux fois plus que le gouvernement fédéral a versé en chèques uniques à plus de 150 millions d'Américains. Si cette pandémie révèle quelque chose, c'est à quel point notre société est devenue inégale et à quel point elle doit changer radicalement. »

"La dernière chose dont la société américaine a besoin, c'est d'une polarisation économique et raciale accrue", a déclaré Chuck Collins, directeur de l'Institute for Policy Studies Program on Inequality et co-auteur du rapport Billionaire Bonanza 2020. «L'augmentation de la richesse du milliardaire et le profit de la pandémie sapent l'unité et la solidarité dont le peuple américain aura besoin pour se rétablir et grandir ensemble, et non pour se séparer.»

Au cours de la même période d'environ trois mois, près de 2,1 millions d'Américains sont tombés malades du virus et environ 118 000 en sont morts. Parmi les autres victimes de la pandémie, 27 millions d'Américains pourraient perdre leur couverture de soins de santé fournie par l'employeur. Les travailleurs à bas salaires, les personnes de couleur et les femmes ont souffert de manière disproportionnée dans les crises médicale et économique combinées. Les milliardaires sont des hommes extrêmement blancs.

Fait remarquable, 12 milliardaires ont plus que doublé leur fortune au cours des trois derniers mois. L'un d'eux, Trevor Milton, le fondateur de Nikola Motor qui construit des semi-camions alimentés par des batteries et de l'hydrogène, a augmenté sa richesse plus de cinq fois.

Des décennies de réductions d'impôts pour les riches ont alimenté la croissance des milliardaires et leur richesse. Même au milieu de la plus grande urgence nationale depuis la Seconde Guerre mondiale, les versements d'impôts aux riches se sont poursuivis - plus récemment sous la forme de «Millionaire Giveaways» glissés dans la loi d'allégement de la pandémie CARES promulguée fin mars.

La loi House HEROES, récemment adoptée, abrogerait cet allégement fiscal qui donne une réduction d'impôt moyenne de 1,6 million de dollars cette année à 43 000 millionnaires et milliardaires, selon le Comité mixte de la fiscalité. JCT estime que la suppression de cette échappatoire générerait 246 milliards de dollars, une somme énorme qui pourrait être utilisée pour soulager une pandémie.

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Les banksters en action.

Ces centaines de millions d'euros que les banques prélèveraient indûment - LePoint.fr 2 juillet 2020 Selon l'UFC-Que choisir, les banques prélèveraient indûment près de 420 millions d'euros chaque année de frais d'incidents.

Selon ses calculs, pour la seule année 2018, les banques auraient indûment prélevé pas moins de 420 millions d'euros aux ménages français. Une somme qui serait semblable d'une année sur l'autre et qui correspondrait dans les faits aux doublons des frais de rejet de prélèvement, lorsque le compte d'un client est en manque de provision.

Ces frais de rejet sont facturés « en moyenne 20 euros », estime l'association de consommateurs et sont récupérés par la banque lorsqu'elle doit refuser le paiement d'une créance d'un client, car son compte n'est pas assez approvisionné. Toutefois, des surfacturations peuvent survenir notamment lorsqu'un nouvel ordre de prélèvement est issu par le créancier dans un délai de dix jours et que le client concerné n'a pas eu le temps d'alimenter son compte bancaire entre-temps. Ce sont ces doublons pour une même opération bancaire que dénonce l'UFC-Que choisir et qui, au total, représentent 420 millions d'euros.

Chaque année, au total, ces prélèvements de frais d'incidents rapporteraient aux banques pas moins de 6,7 milliards d'euros. Or, selon l'UFC-Que choisir, les établissements bancaires s'assureraient sur ces frais des « marges exorbitantes de 86 % en moyenne ». LePoint.fr 2 juillet 2020

L'Australie, l'autre bastion de l'Etat profond.

- Australie: une partie de Melbourne confinée pour éviter une recrudescence du coronavirus - AFP 1 juillet 2020

Des centaines de milliers d'habitants du nord et de l'ouest de Melbourne ont reçu mardi l'ordre de rester confinés chez eux pour contenir l'épidémie de coronavirus qui frappe la deuxième plus grande ville du pays. AFP 1 juillet 2020

- L'Australie va nettement accroître son budget de défense - Reuters 1 juillet 2020

L'Australie va augmenter ses dépenses en matière de défense de 40% au cours des dix prochaines années, avec l'achat d'équipements militaires de longue portée qui seront avant tout focalisés sur la région indo-pacifique, a déclaré mercredi le Premier ministre Scott Morrison.

Au cours d'un discours dont la teneur pourrait exacerber les tensions avec la Chine, le dirigeant a indiqué que le pays allait débourser plus de 270 milliards de dollars australiens (166 milliards d'euros) au cours de la prochaine décennie pour acquérir des forces de frappe aérienne, terrestre et maritime de longue portée.

"Nous voulons une région indo-pacifique libre de toute coercition et hégémonie", a-t-il déclaré dans une critique voilée visant la Chine. "Nous voulons une région où tous les pays, grands et petits, peuvent nouer librement des relations et être guidés par des lois et normes internationales".

Cette nouvelle posture, plus musclée, de Canberra tend à montrer la volonté de l'Australie de s'affirmer face à la Chine et d'être moins dépendante des Etats-Unis. Reuters 1 juillet 2020

- L'Australie va investir plus de 800 millions d'euros dans la cybersécurité - Reuters 1 juillet 2020

L'Australie va investir 1,35 milliard de dollars australiens (826,2 millions d'euros) dans la cybersécurité au cours des 10 prochaines années, a annoncé mardi le Premier ministre Scott Morrison, alors que Canberra s’efforce de lutter contre une vague de cyberattaques. Reuters 1 juillet 2020

- L'Australie suspend son traité d'extradition avec Hong Kong - Reuters 8 juillet 2020

Morrison a aussi annoncé des mesures destinées à aider les résidents de Hong Kong à venir s'installer en Australie pour y mener une nouvelle vie, et des critères d'immigration assouplis pour les étudiants hongkongais déjà présents sur le territoire australien.Les immigrés hongkongais disposant d'un permis de travail temporaire pourront le prolonger pour cinq ans et demander ensuite la résidence permanente, a ajouté le dirigeant. Reuters 8 juillet 2020




DEUXIEME PARTIE

Mais qui est aux commandes ?

Ils instrumentalisent tous les éléments qui permettent de distinguer les membres de notre espèce, genre, sexe (étendu aux pratiques sexuelles), corpulence ou morphologie, couleur de la peau, âge ou génération, régime alimentaire, statut social (dans une certaine limite seulement), us et coutumes, langue, culture, etc. pour les opposer les uns aux autres et créer un climat de haine généralisée, la distanciation sociale en constitue l'apothéose.

Seuls les rapports entre les classes doivent demeurés inchangés ou sont inattaquables, comme si leur existence était d'origine divine ou transcendait l'apparition de notre espèce ou elles existeraient de toute éternité.

Totalitarisme. Le gouvernement mondial vous informe et oeuvre pour votre bien-être.

LVOG - Question : Les 1000 oligarques, banquiers, hommes d'affaires, industriels les plus riches et les plus puissants de la planète vous tendent la main pour que vous participiez à leurs actions dans votre pays, vous laisserez-vous tenter ou est-ce déjà fait ?

Ne cherchez plus d'où viennent tous les maux qui vous accablent, toute cette propagande à vous rendre fou, vous avez la réponse sous les yeux, ouvrez-les et gardez-les bien ouverts et vous aurez tout compris ou presque.

The World Economic Forum is the International Organization for Public-Private Cooperation (https://www.weforum.org/)

Traduction : Le Forum économique mondial est l'Organisation internationale pour une coopération public-privé

La propagation de COVID-19 exige une coopération mondiale entre les gouvernements, les organisations internationales et le monde des affaires. Cette coopération multipartite est au cœur de la mission du Forum économique mondial en tant qu’Organisation internationale de coopération public-privé.

COVID-19

How green entrepreneurs can help the Great Reset: Nico Rosberg on this week's World Vs Virus podcast - 02 Jul 2020
Traduction - Comment les entrepreneurs verts peuvent aider à la Grande Réinitialisation

Will COVID-19 usher in a new culture of outdoor living and dining? - 03 Jul 2020
Traduction - COVID-19 inaugurera-t-il un nouveau mode de vie et d'alimentation ?

COVID-19 is the biggest setback to gender equality in a decade - 01 juil.2020
Traduction - COVID-19 est le plus grand recul de l'égalité des sexes depuis une décennie

Climate Change

Over 60% of Americans say climate change is affecting their community - 03 Jul 2020
Traduction - Plus de 60% des Américains disent que le changement climatique affecte leur communauté

2020 is predicted to be the hottest year on record, according to NASA - 02 Jul 2020
Traduction - 2020 devrait être l'année la plus chaude jamais enregistrée, selon la NASA

South pole warmed ‘three times faster’ than global average over past 30 years - 01 Jul 2020
Traduction - Le pôle Sud s'est réchauffé «trois fois plus vite» que la moyenne mondiale au cours des 30 dernières années

Systemic Racism

Have we finally reached a moment of promise and possibility on race? 02 Jul 2020
Traduction - Avons-nous enfin atteint le moment de tenir nos promesses sur le racisme?

'We ignore the power of symbols at our peril' - architect David Adjaye on why racist monuments must be replaced 03 Jul 2020
Traduction - «Nous ignorons le pouvoir des symboles à nos risques et périls» - l'architecte David Adjaye explique pourquoi les monuments racistes doivent être remplacés

The legacy of ‘redlining’. How earlier urban zoning reinforces racial segregation 03 Jul 2020
Traduction - L’héritage de la «redlining». Comment un zonage urbain antérieur renforce la ségrégation raciale

Peur, consentement, lobotomie, contrôle des populations, eugénisme, l'épidémie qui menace votre cerveau (brain) et votre liberté.

Réseau d'innovation en matière de ressources et d'analyses des mégadonnées épidémiques (EPI-BRAIN)

Les épidémies sont inévitables, cependant, dans la quatrième révolution industrielle, il est possible - si nous agissons collectivement - d'atténuer l'impact des épidémies en exploitant l'IA et l'intelligence épidémique pour prédire et prévoir les épidémies.

Il existe des exemples prometteurs où les données et les informations publiques et privées ont amélioré la préparation aux épidémies, mais l'innovation a généralement été ponctuelle, initiée uniquement autour des épidémies, cloisonnée, de courte durée et sous-intégrée.

Les investissements dans l'innovation des données n'ont pas été à la mesure de l'opportunité potentielle, ni de la menace croissante que les épidémies font peser sur les vies et les moyens de subsistance. Et, encore, la plupart des pays n'ont pas accès aux approches analytiques contemporaines.

Pour libérer tout le potentiel, il faudra une approche tout-en-un, comme lorsque la communauté internationale s'est engagée à créer le CERN.

Le réseau Epidemic Big Data Resource and Analytics Innovation Network (EPI-BRAIN) vise à être un écosystème d'innovation de données durable, partagé, accessible et intégré pour réduire l'impact des épidémies grâce à la prévision et à l'analyse prédictive.

Partners

Africa Centres for Disease Control and Prevention (Africa CDC)
American Heart Association
Bill & Melinda Gates Foundation
Cloudera
Coalition for Epidemic Preparedness and Innovations (CEPI)
Department of Foreign Affairs and Trade of Australia
Dharma
Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL)
Federal Ministry of Health of Germany
Flowminder
Gavi, the Vaccine Alliance (Gates)
Harvard University
Henry Schein
Imperial College London
Institute of Global Health, Geneva
International Air Transport Association (IATA)
Johnson & Johnson
Korea CDC
KT (Korea Telecom)
Malaria Atlas Project
Médecins Sans Frontières
Ministry of Health and Family Welfare of Bangladesh
Ministry of Health of Singapore
Ministry of Social Affairs and Health of Finland
MSD
Nielsen
Nigeria CDC
Novo Nordisk
Panorama
PATH
RESOLVE
Robert-Koch-Institut
Swiss Re
Telenor Group
United Nations Foundation
USAID - US Agency for International Development (CIA)
US Department of Health and Human Services
Vital Strategies
Wellcome Trust
World Bank (Banque mondiale)
World Health Organization (WHO) (OMS)

Pages connexes

Nations Unies
5 244 310 abonnés

Financial Times
4 038 920 abonnés

The Economist (Rothschild ou l'extrême-centre)
9 341 323 abonnés

En complément

Dans son livre Capitalisme, une histoire de fantômes, Arundhati Roy, une auteure et militante indienne, décrit ces processus :

« Ayant trouvé comment s’y prendre avec les gouvernements, les partis politiques, les élections, les tribunaux, les médias et l’opinion progressiste, l’establishment néolibéral fut confronté à un ultime défi : gérer l’agitation croissante, la menace du « pouvoir du peuple ». Comment l’apprivoise-t-on ? Comment transforme-t-on des protestataires en gentils toutous ? Comment canalise-t-on la colère des gens pour l’évacuer vers des voies sans issue ?

Là encore, les fondations et leurs organisations alliées ont une longue et célèbre histoire. Un exemple révélateur est leur rôle dans le désamorçage et la déradicalisation du mouvement afro-américain pour les droits civiques aux États-Unis pendant les années soixante et la transformation réussie du Black Power [« pouvoir noir »] en Black Capitalism [« capitalisme noir »].

La fondation Rockefeller, dans la lignée des idéaux de John D. Rockefeller, avait travaillé en étroite collaboration avec Martin Luther King Sr. (le père de Martin Luther King Jr.). Mais son influence déclina avec la montée des organisations plus militantes — le Student Non-Violent Coordinating Committee (SNCC) et les Panthères noires. Les fondations Ford et Rockefeller entrèrent en action. En 1970, elles firent un don de 15 millions de dollars aux organisations noires « modérées », à distribuer en subventions, bourses de toutes sortes, formations professionnelles pour ceux qui avaient abandonné leurs études, et mises de fonds initiales pour les entreprises appartenant à des Noirs. La répression, les luttes intestines et les sirènes du financement conduisirent à l’atrophie progressive des organisations noires radicales.

Martin Luther King Jr. fit des rapprochements tabous entre capitalisme, impérialisme, racisme et guerre du Vietnam. Du coup, après son assassinat, son souvenir même devint toxique, une menace pour l’ordre public. Les fondations et les entreprises ont travaillé dur pour remanier son héritage afin qu’il cadre avec le marché. Le Martin Luther King Jr. Center for Nonviolent Social Change, avec une subvention d’exploitation de 2 millions de dollars, a été créé, entre autres, par Ford, General Motors, Mobil, Western Electric, Proctor & Gamble, U.S. Steel et Monsanto. Le centre entretient la bibliothèque et les archives du mouvement pour les droits civiques. Parmi les nombreux programmes gérés par le centre King se trouvent des projets qui « travaillent étroitement avec le département de la Défense américain, le Comité des aumôniers des forces armées, et autres ». Il fut l’un des sponsors de la série de séminaires Martin Luther King Jr., intitulée : « Le système de libre entreprise : un agent pour le changement social non violent ».

Amen.

Un coup similaire fut réalisé dans la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud. En 1978, la fondation Rockefeller organisa une commission d’étude sur la politique américaine en Afrique australe (Study Commission on US Policy toward Southern Africa), dont le rapport mit en garde contre l’influence croissante de l’Union soviétique sur le Congrès national africain (ANC) et déclara que les intérêts stratégiques des États-Unis ainsi que les intérêts des entreprises américaines (c’est-à-dire l’accès aux minéraux d’Afrique du Sud) seraient mieux servis si le pouvoir politique était réellement partagé par toutes les races.

Les fondations commencèrent à soutenir l’ANC, qui ne tarda pas à attaquer les organisations plus radicales comme le Black Consciousness Movement [mouvement de la conscience noire] de Steve Biko et à les éliminer peu ou prou. Lorsque Nelson Mandela prit le pouvoir en tant que premier président noir d’Afrique du Sud, il fut canonisé de son vivant, non seulement pour avoir passé vingt-sept ans en prison en tant que combattant de la liberté, mais aussi pour s’être complètement plié au consensus de Washington. Le socialisme disparut du programme de l’ANC. La grande « transition pacifique » de l’Afrique du Sud, si louée et encensée, signifiait qu’il n’y aurait ni réformes agraires, ni demandes de réparations, ni nationalisation des mines du pays. Au lieu de cela, il y eut de la privatisation et de l’ajustement structurel. Mandela remit la plus haute distinction honorifique d’Afrique du Sud — l’ordre de Bonne Espérance — à son vieil ami et partisan, le général Suharto, le tueur de communistes en Indonésie. Aujourd’hui, l’Afrique du Sud est gouvernée par une poignée d’anciens radicaux et syndicalistes qui roulent en Mercedes. Mais c’est amplement suffisant pour perpétuer le mythe de la libération des Noirs. » partage-le.com 28 juin 2018

Démagogie assumée. Quand ceux qui instrumentalisent des mouvements sont ceux qui les répriment.

Investigaction.net - Extrait. L’actuel locataire de la Maison Blanche semblait avoir la voie libre pour sa réélection. Mais l’arrivée de la pandémie du coronavirus avec la catastrophe qu’elle représente pour les États-Unis et ses impacts sur l’économie nationale, et puis, maintenant, les protestations massives contre la violence policière, tout cela rend sa réélection beaucoup plus compliquée.

Cependant, la situation n’est pas facile non plus pour ses rivaux du Parti Démocrate. Historiquement, les Démocrates ont été aussi racistes que leurs collègues Républicains, même s’ils ont préconisé une politique plus subtile. Et c’est ainsi que l’instinct de «marquer des points politiques » contre Trump a refait surface aussitôt.

Mais en même temps, les Démocrates comprennent fort bien qu’il faut absolument écarter toute menace mettant en péril le statu quo. En outre, parmi tous les maires et gouverneurs qui ont déployé leurs forces de répression contre les manifestants, un grand nombre d’entre eux sont Démocrates. investigaction.net 25 Juin 2020

LVOG - Ici la "subitilité" consistait à ne pas dire aux lecteurs que c'était le Parti Démocrate qui était à l'origine de la propagation des manifestations contre le racisme relayé par les médias. Pour en savoir plus, lire les articles publiés dans les deux dernières causeries qui fournissent les preuves et les détails.

Des centaines d'anciens de la présidence Bush s'apprêtent à soutenir Biden face à Trump - Reuters 1 juillet 2020

Des centaines de responsables gouvernementaux qui ont travaillé pour l'administration républicaine de George W. Bush s'apprêtent à apporter leur soutien au démocrate Joe Biden, futur adversaire de Donald Trump lors de l'élection présidentielle du 3 novembre, a-t-on appris auprès de sources impliquées dans cette initiative. Reuters 1 juillet 2020

Conformément à la législation encadrant l'activité des comités d'action politique, ou Super PAC, les membres des 43 Alumni ne pourront pas travailler ou discuter avec l'équipe de campagne de Joe Biden mais pourront lever des fonds sans aucun plafond pour financer des campagnes publicitaires ou organiser des manifestations de soutien. Reuters 1 juillet 2020

Commentaire d'internautes.

1- C'est la preuve éclatante que l'hostilité envers Trump est due au fait qu'il n'a pas été assez belliciste.

2- Le monde comprend maintenant que la haine contre Trump n'a rien n'avoir avec les intérêts du pays mais pour celui d'une minorité se côtoyant dans les mêmes sectes, ayant le même programme et qui ne prospèrent que lorsque les US déclenchent des guerres dans le monde. Sinon d'un point de vue économique, Trump a fait mieux que ses prédécesseurs des vingt dernières années.

3- Les néocons voulaient installer Jeb Bush, le frère de Junior, à la présidence pour continuer leur guerre au moyen-orient. Malheureusement pour eux, Trump a gagné et leur à mis des bâtons dans les roues en stoppant ces dépenses inutiles. Ils misent donc maintenant sur Biden pour reprendre leurs actions néfastes."

Les GAFAM et les multinationales sont apolitiques, qui ne le savait pas ?

Marques contre le racisme: prise de conscience ou posture marketing? - Slate.fr 8 juillet 2020

L'Oréal n'est pas la seule. Campagnes sur les réseaux sociaux, promesses de dons, créations de comités inclusifs: la liste des actions prises -ou seulement annoncées- par les GAFAM, groupes de luxe et autres multinationales pour axer leur communication sur la lutte antiraciste ne fait que s'allonger depuis les décès de George Floyd et Ahmaud Arbery aux États-Unis.

Devant un fond neutre, en robe rouge vif, l'actrice afro-américaine Viola Davis fixe l'objectif de la caméra: «You're worth it» («Vous le valez bien») assène-t-elle. Dans la bouche d'une de ses rares égéries noires, le slogan vieux d'un demi-siècle du groupe français L'Oréal aimerait prendre un nouveau sens.

Diffusé quelques jours après le début des manifestations antiracistes qui secouent les États-Unis et le reste du monde, le spot publicitaire de la marque de cosmétique tombe à pic. «Comprenez-vous vraiment ce que cela veut dire? Il y a de la valeur en chacun d'entre nous -vous inclus.» Pendant deux minutes, l'actrice oscarisée déclame un texte qui résonne comme un nouvel engagement de la part de L'Oréal face à sa clientèle racisée.

Un tournant dans les stratégies de communication.

Quelques mois avant le début des manifestations, Hanneke Faber –la présidente de la branche Europe du groupe Unilever– avait annoncé la couleur sur le site du Marketing Journal: «L'activisme, c'est l'avenir du marketing», déclarait-elle.

La plupart du temps, s'exprimer sur des enjeux sociaux est une décision calculée pour les entreprises. «Même en les utilisant à des fins de communication, les marques donnent de la visibilité à ces causes, détaille-t-elle. Leur popularité permet de toucher des gens qui ne sont ni engagés politiquement, ni militants». Slate.fr 8 juillet 2020

Black Lives Matter : Une instrumentalisation expliquée par ceux qui sont aux manettes.

- Le slogan "Black Lives Matter" peint devant la tour Trump à New York - BFMTV 9 juillet 2020

Début juin à Washington, la maire démocrate avait également fait peindre ces mots dans une rue menant à la Maison Blanche. BFMTV 9 juillet 2020

- Black Lives Matter pourrait bien être le plus grand mouvement de l'histoire des États-Unis - slate.fr 5 juillet 2020

Selon le New York Times, au cours des dernières semaines, on estime que 15 à 26 millions d'Américains auraient participé à des manifestations à travers tout le pays.

LVOG - Vraiment ?

Slate - «Si l'on additionne toutes les manifestations qui ont eu lieu pendant cette période, on parle de centaines de milliers de personnes, mais pas de millions», rappelle Deva Woodly, professeure associée de politique à la New School.

LVOG - Bon, c'était une fake news. Alors où veulent-ils en venir ?

Slate - Avec une population totale de 328 millions à ce jour, les rassemblements concerneraient entre 4,5% et 8% des habitants des États-Unis. Selon une étude d'Erica Chenoweth portant sur les mouvements de contestations à travers le monde, les protestations visant à renverser le gouvernement ou à obtenir l'indépendance sont généralement couronnées de succès dès lors qu'elles impliquent 3,5% de la population totale d'un pays.

LVOG - Black Lives Matter financé par les oligarques qui soutiennent le parti démocrate aux commandes.

Slate - Bien que toutes les manifestations qui ont essaimé au cours des derniers mois pour protester contre le racisme institutionnel aux États-Unis n'aient pas nécessairement été organisées par Black Lives Matter, le mouvement a fourni un cadre, du matériel et des conseils pour les nouveaux et les nouvelles militantes, notamment par le biais des réseaux sociaux, ce qui a permis d'atteindre plus vite et plus efficacement un large public.

LVOG - Les couches les plus vulnérables de la société devaient leur servir de bataillons.

Slate - La moitié des personnes mobilisées a déclaré que c'était la première fois qu'elle s'engageait dans une forme d'activisme ou participait à une manifestation, et la tranche d'âge la plus représentée est celle des moins de 35 ans.

LVOG - Mais qui visaient-ils ? Le racisme et les violences policières ont servi de prétexte pour viser Trump et préparer l'élection du candidat de l'Etat profond, Joe Biden, c'est son porte-parole qui s'est chargé de le faire savoir.

Slate - D'après le New York Times, la présidence Trump a suscité plus de protestations que toute autre depuis la guerre froide. Entre la gestion désastreuse du Covid-19 et les controverses successives sur les discriminations raciales, l'immigration, le dérèglement climatique et les armes à feu, le contexte actuel est propice à la manifestation. slate.fr 5 juillet 2020

En complément.

- Deux expertes ont étudié les mouvements civils de lutte non violente. Les résultats de leurs recherches sont étonnants puisque la mobilisation de seulement 3,5% d’une population suffirait à renverser un gouvernement en place !

Maria J. Stephan est experte en désobéissance civile et directrice du programme d’action non violente à l’Institut de Paix des États-Unis. Erica Chenoweth est une chercheuse en violence politique et résistance citoyenne, notamment pour le compte de l’Université de Denver (États-Unis). Ces deux femmes ont collaboré à la rédaction de l’ouvrage Why Civil Resistance Works (Pourquoi la désobéissance civile fonctionne) publié en 2011. Dans ce livre de 320 pages, le duo a compilé et analysé les campagnes de résistance civile non violente entre 1900 et 2006.

Sources : La Relève et la Peste (Un blog d'extrême droite se présentant sous un faux drapeau. Lire plus loin. - LVOG)

Qui est Maria J. Stephan ?

Avant de travailler avec l'Institut de la paix des États-Unis, Stephan a travaillé au Département de la défense des États-Unis où elle était responsable des affaires étrangères pour le Bureau des opérations de conflit et de stabilisation et au siège de l'OTAN.

United States Institute of Peace (USIP)

L'Institut de paix des États-Unis (USIP) est une institution fédérale américaine chargée de promouvoir la résolution et la prévention des conflits dans le monde. Le président Ronald Reagan a signé le United States Institute of Peace Act en 1984.

L'USIP est financé annuellement par le Congrès américain. Pour l'exercice 2012, le Congrès a fourni 39 millions de dollars. [14] À l'occasion, l'USIP reçoit des fonds transférés d'organismes gouvernementaux tels que le Département d'État, l'USAID et le Département de la défense.

L'Institut est dirigé par un conseil d'administration, avec un nombre égal d'administrateurs républicains et démocrates nommés par le président des États-Unis et confirmés par le Sénat.

Mike Pompeo fait partie de ses membres. Wikipédia.org

Qui est Erica Chenoweth ?

Erica Chenoweth dirige le Program on Terrorism and Insurgency Research (Programme de recherche sur le terrorisme et l’insurrection) de l’université de Denver, aux USA, et est également une chercheuse au PRIO, Peace Research Institute Oslo (Institut de recherche sur la paix d’Oslo). Pour comprendre et/ou anticiper ce qui va suivre, précisons que le PRIO est financé par la Banque mondiale, l’UE et différentes fondations privées. partage-le.com 28 juin 2018

Le 5 novembre 2014, le site d’extrême droite Le Cercle des Volontaires annonçait la sortie prochaine d’une revue au titre mystérieux : La Relève et La Peste. infolibertaire.net 29-11-2017

Qu'est-ce que La Relève et la Peste ?

- Media et maison d'édition indépendant, La Relève et la Peste est fondée sur des valeurs humanistes, écologistes et antiracistes. mediapart.fr

- Parrainée par Edgar Morin, en partenariat avec Amnesty International... mrmondialisation.org mrmondialisation.org 29 juin 2020

LVOG - Florilège, extrait d'un article publié dans ce blog.

- Il est clair que les résistances à ce confinement relèvent bien souvent de l’ignorance (une méconnaissance totale du danger de contamination face à un ennemi invisible), mais aussi d’une forme de blocage psychologique (voire de nature psychiatrique !) émanant principalement des secteurs néo-fascistes de la société.

- Et nous ne devrions pas nous inquiéter quand les discours négationnistes sur les risques du Covid-19 viennent à proliférer parmi les dépossédés ?

- À partir de maintenant, il serait salutaire que les initiatives des partis de gauche puissent s’orienter vers une écologisation plus dynamique et que cela apparaisse clairement dans leurs agendas.

- La coopération internationale qui a pris forme pour le combat contre la pandémie doit aussi, par la pression de la société civile globale et des scientifiques, permettre de relancer l’accord climatique pour la transition énergétique.

- Il incombe ainsi aux réseaux de mouvements sociaux un rôle stratégique, celui de profiter de cette opportunité politique pour renforcer le débat sous de nouvelles formes pour défendre le sens de la vie sur notre planète.

A lire aussi sur le même sujet :

http://www.luttedeclasse.org/dossier47/USA_%20Srda_Popovic_Otpor_CANVAS_02042018.pdf

Dans quel monde totalitaire voudraient-ils nous projeter ?

Extrait de la causerie du 2 février 2017.

Le Meilleur des mondes - Aldous Huxley (1931)

Extraits - « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

« Sous la poussée d’une surpopulation qui s’accélère et d’une sur-organisation croissante et par le moyen de méthodes toujours plus efficaces de manipulation des esprits, les démocraties changeront de nature. Les vieilles formes pittoresques — élections, parlements, Cours suprêmes, et tout le reste — demeureront, mais la substance sous-jacente sera une nouvelle espèce de totalitarisme non violent. Toutes les appellations traditionnelles, tous les slogans consacrés resteront exactement ce qu’ils étaient au bon vieux temps. La démocratie et la liberté seront les thèmes de toutes les émissions de radio et de tous les éditoriaux. Entre temps, l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée de soldats, de policiers, de fabricants de pensée, de manipulateurs des esprits, mènera tout et tout le monde comme bon lui semblera. » (Le Meilleur des mondes - Aldous Huxley 1931) Aldous Huxley consacrera le reste de ses jours à combattre l’oligarchie et sa conception totalitaire du monde. 27 ans après la rédaction du Meilleur des mondes il nous livrera ses conclusions qui sont matières à réflexion et enseignements pour le combat que nous menons pour abattre le capitalisme et l'éradiquer de la surface de la terre.

Retour au Meilleur des mondes - Aldous Huxley -1958

Extrait - Arrivés à ce point, nous nous trouvons devant une question très troublante. Désirons-nous vraiment agir? Est-ce que la majorité de la population estime qu’il vaut bien la peine de faire des efforts assez considérables pour arrêter et si possible renverser la tendance actuelle vers le contrôle totalitaire intégral? Aux U.S.A. - et l’Amérique est l’image prophétique de ce que sera le reste du monde urbano-industriel dans quelques années d’ici - des sondages récents de l’opinion publique ont révélé que la majorité des adolescents au-dessous de vingt ans, les votants de demain, ne croient pas aux institutions démocratiques, ne voient pas d’inconvénient à la censure des idées impopulaires, ne jugent pas possible le gouvernement du peuple par le peuple et s’estimeraient parfaitement satisfaits d’être gouvernés d’en haut par une oligarchie d’experts assortis, s’ils pouvaient continuer à vivre dans les conditions auxquelles une période de grande prospérité les a habitués. Que tant de jeunes spectateurs bien nourris de la télévision, dans la plus puissante démocratie du monde, soient si totalement indifférents à l’idée de se gouverner eux-mêmes, s’intéressent si peu à la liberté d’esprit et au droit d’opposition est navrant, mais assez peu surprenant.“ Libre comme un oiseau ”, disons-nous, et nous envions les créatures ailées qui peuvent se mouvoir sans entrave dans les trois dimensions de l’espace, mais hélas, nous oublions le dodo. Tout oiseau qui a appris à gratter une bonne pitance d’insectes et de vers sans être obligé de se servir de ses ailes renonce bien vite au privilège du vol et reste définitivement à terre. Il se passe quelque chose d’analogue pour les humains. Si le pain leur est fourni régulièrement et en abondance trois fois par jour, beaucoup d’entre eux se contenteront fort bien de vivre de pain seulement - ou de pain et de cirque. “ En fin de compte ”, dit le Grand Inquisiteur dans la parabole de Dostoïevski, “ ils déposeront leur liberté à nos pieds et nous diront : faites de nous vos esclaves, mais nourrissez-nous. ” Et quand Aliocha Karamazov demande à son frère, celui qui raconte l’histoire, si ce personnage parle ironiquement, Ivan répond : “ Pas le moins du monde! Il revendique comme un mérite pour lui et son Eglise d’avoir vaincu la liberté dans le dessein de rendre les hommes heureux. ” Oui, pour rendre les hommes heureux. “ Car rien ”, assure-t-il, “ n’a jamais été plus insupportable pour un homme ou une société humaine que la liberté. ” Rien, si ce n’est son absence; en effet, lorsque les choses vont mal et que les rations sont réduites, les dodos rivés au sol réclament leurs ailes à tue-tête - pour y renoncer, une fois de plus, quand les temps deviennent meilleurs et les éleveurs plus indulgents, plus généreux. Les jeunes qui ont si piètre opinion de la démocratie combattront peut-être pour défendre la liberté. Le cri de “ Donnez-moi la télévision et des saucisses chaudes, mais ne m’assommez pas avec les responsabilités de l’indépendance ”, fera peut-être place, dans des circonstances différentes à celui de “ La liberté ou la mort ”. Si une telle révolution se produit, elle sera due en partie à l’action de forces sur lesquelles, même les gouvernants les plus puissants n’ont que très peu de pouvoir, en partie à l’incompétence de ces chefs, à leur manque d’efficacité dans le maniement des instruments de manipulation mentale que la technique et la science ont fournis et continueront à fournir aux aspirants dictateurs.

Si l’on considère leur ignorance et le peu de moyens dont ils disposaient, les Grands Inquisiteurs du passé ont obtenu des résultats remarquables. Mais leurs successeurs, les dictateurs bien informés et intégralement scientifiques de l’avenir, feront à n’en pas douter beaucoup mieux. Le Grand Inquisiteur reproche au Christ d’avoir appelé les hommes à la liberté et Lui dit “ Nous avons corrigé ton oeuvre et l’avons fondée sur le miracle, le mystère et l’autorité. ” Mais cette trinité n’est pas suffisante pour garantir la survie indéfinie d’une tyrannie.

Dans Le Meilleur des Monde, les dictateurs y avaient ajouté la science, ce qui leur permettait d’assurer leur autorité par la manipulation des embryons, des réflexes chez les enfants et des esprits à tous les âges. Au lieu de parler simplement de miracles et de glisser des allusions symboliques aux mystères, ils étaient en mesure, grâce à des drogues, d’en faire faire l’expérience directe à leurs sujets - de transformer la foi en connaissance extatique.

Les anciens dictateurs sont tombés parce qu’ils n’ont jamais pu fournir assez de pain, de jeux, de miracles et de mystères à leurs sujets; ils ne possédaient pas non plus un système vraiment efficace de manipulation mentale. Par le passé, libres penseurs et révolutionnaires étaient souvent les, produits de l’éducation la plus pieusement orthodoxe et il n’y avait rien là de surprenant. Les méthodes employées par les éducateurs classiques étaient et sont encore extrêmement inefficaces. Sous la férule d’un dictateur scientifique, l’éducation produira vraiment les effets voulus et il en résultera que la plupart des hommes et des femmes en arriveront à aimer leur servitude sans jamais songer à la révolution. Il semble qu’il n’y ait aucune raison valable pour qu’une dictature parfaitement scientifique soit jamais renversée.

En attendant, il reste encore quelque liberté dans le monde. Il est vrai que beaucoup de jeunes n’ont pas l’air de l’apprécier, mais un certain nombre d’entre nous croient encore que sans elle les humains ne peuvent pas devenir pleinement humains et qu’elle a donc une irremplaçable valeur. Peut-être les forces qui la menacent sont-elles trop puissantes pour que l’on puisse leur résister très longtemps. C’est encore et toujours notre devoir de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous opposer à elles. (Retour au Meilleur des mondes - Aldous Huxley)




TROISIEME PARTIE

Si certains lecteurs ont cru que je m'étais trouvé un nouveau gourou en la personne du Pr. Didier Raoult, ils se sont lourdement trompés, car après avoir fait référence à trois théoriciens du néolibéralisme, Milton Friedman, Friedrich Hayek et Karl Popper, et accessoirement à des personnalités de notre époque prônant la même idéologie mais particulièrement médiocres, BHL notamment, comment ne pas savoir à quoi s'en tenir sur le personnage et son orientation politique.

Si les mêmes lecteurs ou d'autres avaient pu croire précédemment que G. Orwell et accessoirement A. Huxley me servaient de gourous, et bien ils s'étaient également trompés. Au passage ne pas confondre G. Orwell et H.G. Orwell. J'ai déjà publié une mise au point sur G. Orwell pour qu'ils chassent cette idée de leur esprit, dans cette causerie on va aller beaucoup plus loin encore, bien qu'il reste des zones d'ombre à leur sujet, à ma connaissance j'entends, sans grande importance ou qu'on pourra relativiser à l'issue de mon analyse, vous comprendrez pourquoi en la lisant attentivement. G. Orwell est souvent présenté comme un socialiste démocratique, plus rarement comme un anarchiste. H.G. Orwell fut le type même du despote fanatique, là aucune confusion n'est permise. Quant A. Huxley, un temps proche de H.G. Orwell, peut-être horrifié par le scénario totalitaire qu'il appelait de ses voeux, il passera le restant de ses jours à le dénoncer sans toutefois se rapprocher du socialisme contrairement à G. Orwell.

C'est la lecture d'un commentaire au contenu frauduleux de type rouge/brun associant A. Huxley à G. Orwell et en confondant ce dernier à H.G. Orwell qui m'a fait réagir. En fait je connaissais assez peu ces trois personnages et j'ai passé des heures à en apprendre davantage sur chacun d'entre eux, jusqu'à là je ne connaissais assez bien que G. Orwell, très peu A. Huxley, et pas du tout H.G. Orwell.

Pour réussir à me manipuler avec les connaissances que j'ai accumulées, il faut dorénavant se lever de bonne heure. Cependant, on doit admettre que sous l'effet de la fatigue cela pourrait encore se produire en s'aveuglant soi-même par exemple. C'est une manière comme une autre de se débarrasser rapidement d'un sujet quand on n'a pas le temps de l'approfondir, en prenant le risque de passer à côté de quelque chose qui portée à notre connaissance nous amènerait à produire une toute autre analyse ou à parvenir à de toutes autres conclusions, c'est possible et on ne doit jamais l'exclure par principe. Bref, comme l'on dit, parfois il vaut mieux se reposer un peu au lieu de dire ou faire des conneries.

La République, la dialectique, la lutte des classes et le socialisme : Les ennemis du totalitarisme.

Karl Popper, The Open Society and Its Enemies (1945), cela ne vous dit-il pas quelque chose ?

La Société ouverte et ses ennemis. Dans cet ouvrage, Karl Popper tente de montrer comment ce qu'il appelle l'historicisme a conduit aux totalitarismes. Plus particulièrement, il s'attache à critiquer trois philosophes reconnus : Platon, Hegel et Karl Marx. Il leur reproche l'erreur fondamentale de mettre en place des systèmes philosophiques historicistes, centrés sur une loi « naturelle » d'évolution du monde : la décadence des choses réelles chez Platon, le développement de l'Esprit chez Hegel et la lutte des classes conduisant à la société sans classes chez Marx.

Friedrich Hayek voulait, que Popper soit recruté à la London School of Economics afin d'enseigner de la philosophie sociale.

La Open Society Foundations, créée par l'investisseur George Soros, a affirmé s'être inspiré du titre du livre de Popper pour nommer la fondation.

Les idées politiques de Popper sont fondamentalement sociales-libérales, libérales comme en témoigne sa participation à la fondation de la Société du Mont Pèlerin aux côtés de libéraux très engagés comme Ludwig von Mises, Milton Friedman et Friedrich Hayek, et aussi sociales dans son attachement à la lutte contre la pauvreté et l'aide aux défavorisés et aux minorités, telle que le défendit avec force Karl Marx auquel il reconnaît cet apport essentiel à la défense des valeurs humaines.

Comme le dit Jean Baudoin, dans son livre La philosophie politique de Karl Popper, Popper définit un cadre intellectuel et procédural dans lequel les groupements humains peuvent progresser dans la liberté et l’égalité sans tomber sous le coup d'une contrainte collective qui l’emporterait sur la responsabilité personnelle. Il propose en effet une vision du monde dans laquelle la liberté de l'homme est fondamentale et doit être protégée. En particulier, dans sa critique du marxisme et de l'historicisme hégélien, il combat une conception du monde dans laquelle l'homme serait impuissant face à la marche de l'histoire. Popper soutient au contraire que les idées influencent le monde et l'histoire, et que l'homme, en particulier les philosophes, ont une importante responsabilité. wikipedia.org

Cette idéologie repose sur une contrevérité, à savoir que tous les hommes seraient égaux en droit notamment, alors que c'est nullement le cas. Leur droit et leur faculté de déterminer ce qui doit faire office de droit dépend de la place ou du pouvoir qu'ils occupent ou détiennent au sein des rapports de production, ainsi il est impossible d'établir une égalité de droit entre exploiteurs et exploités, entre ceux qui vivent du travail des autres (le volent en réalité) et ceux qui vivent exclusivement de leur travail.

L'homme dépouillé de son appartenance à une classe sociale déterminée n'a donc aucune existence sur le plan historique, il n'est donc pas en mesure d'établir le droit, mais comme ce droit existe malgré tout, c'est qu'il provient d'un autre facteur qui ne peut être que le système économique en vigueur basé sur des inégalités sociales, plus précisément la classe dominante ou hégémonique qui impose sa conception du droit à tous les hommes, dont le contenu sera conforme à ses intérêts distincts de classe et s'opposera à ceux des autres classes excluant toute notion d'égalité de droit entre les hommes.

Ramener toute discussion ou réflexion à l'homme est particulièrement dangereux ou malsain parce que cela conduit infailliblement à privilégier les hommes qui détiennent le pouvoir ou à cautionner l'existence du capitalisme, l'exploitation de l'homme par l'homme, à nier la lutte des classes, à nier l'existence des classes, à nier qu'elles ont des intérêts opposés et inconciliables, et conduit finalement à la collaboration de classes, au corporatisme, au fascisme, au totalitarisme.

Effectivement, l'homme réduit à sa nature biologique ou atomisé dans la société "serait impuissant face à la marche de l'histoire", parce qu'en réalité l'histoire n'a pas été façonnée par des hommes qui seraient tous identiques entre eux, mais par des hommes doués de pouvoirs inégalement répartis entre eux, d'où découle deux idéologies contradictoires, celle qui le nie et profite de ce déni pour que ces rapports se perpétuent éternellement, celle des capitalistes, et celle qui prend en compte ces facteurs pour mettre fin un jour à ces rapports, l'idéologie des exploités, le socialisme.

De plus, l'homme exploité demeurerait "impuissant face à la marche de l'histoire" s'il ne prenait pas conscience d'appartenir à une classe sociale pour s'organiser et lutter pour modifier "la marche de l'histoire" en fonction de ses besoins ou aspirations, car non seulement il n'est pas confronté à d'autres hommes en général, mais à une classe sociale fortement structurée, organisée, disposant d'institutions, d'un Etat pour servir ses intérêts. Quand Popper s'en prenait à ce qu'il appela l'historicisme ou le déterminisme historique, c'est l'ensemble du processus historique matérialiste et dialectique qu'il visait, car il savait qu'il menaçait à terme l'existence du capitalisme dont il était un des idéologues ou théoriciens. Autrement dit, il fit oeuvre de faussaire ou de négationnisme juste pour servir ses maîtres qui en échangent bâtir sa notoriété.

A défaut de pouvoir réfuter une science, il la nie.

Lu dans un blog de philosophie.

- On convient généralement que les travaux de Marx comportent des observations et des raisonnements exacts, mais il s'agit d'un mélange associant des aspects politiques, sociaux, économiques et idéologiques dont la complexité rend l'évaluation difficile. Cependant, dans l'œuvre de Karl Marx, la théorie de la valeur comme quantité de travail social ou la théorie de la baisse tendancielle du taux de profit pourraient être quantifiées et soumises à des tests empiriques et ainsi réfutées ou corroborées. Le problème qui se pose est de savoir pourquoi la communauté savante en matière d'économie ne se charge pas de ce test ? La réponse est sociologique. La théorie économique marxiste est prise dans un débat politique qui empêche son évaluation d'un point de vue scientifique.

LVOG - La réponse n'était pas sociologique, mais idéologique. Le résultat du test validerait la théorie marxiste, donc trop compromettant pour les tenants de l'idéologie capitaliste. Et puis l'effondrement de la civilisation humaine en cours, ne serait-elle pas due à l'effondrement du capitalisme ?

Les ennemis du socialisme affirment que le marxisme aurait été réfuté parce que le capitalisme ne s'effondrerait pas, et les faux amis du socialisme en guise d'argument affirment qu'il s'effondrera un jour ou l'autre sans préciser ni quand ni pourquoi il ne s'est pas déjà effondré, ce qui revient finalement à donner raison à ses ennemis.

Nous, nous proposons une autre explication.

Avec un endettement mondial qui dépasse 250.000 milliards de dollars n'est-il pas déjà en train de s'effondrer ? Les faux monnayeurs en fabriquant plus de 50.000 milliards de dollars depuis le début des années 90 qu'ils se sont distribués lors de chaque crise au cours de ces 30 dernières années, n'ont-ils pas contribué à la fois à camoufler et à précipiter l'effondrement du capitalisme ?

Donc, mais vous êtes bien obligé de reconnaître que le capitalisme existe toujours, donc Marx s'était trompé. Force est de constater que ce sont les faux amis du socialisme qui fournissent des arguments à ses ennemis contre le marxisme, soit quand ils refusent d'admettre que le processus d'effondrement du capitalisme est déjà engagé, soit quand ils prétendent qu'il correspondrait à ce que Marx avait décrit, alors que c'est totalement impossible puisque les facteurs et les mécanismes auxquels recourt l'oligarchie financière n'existaient pas à l'époque de Marx, argumentation totalement indémontrable contribuant à ridiculiser ceux qui se réclament du socialisme.

C'est dans ce sens que ses faux amis rendent un fier service aux tenants du capitalisme. Ce qui n'est pas le cas quand on met en lumière que l'oligarchie recourt désormais à des moyens mafieux pour accompagner et contrôler l'effondrement du capitalisme en contournant ou en violant les lois de fonctionnement du capitalisme.

Comme on a pu l'observer depuis 30 ans, chaque fois que surgit une crise déclenchée spontanément ou télécommandée, crise liée au fonctionnement du capitalisme, l'oligarchie procède exactement de la même manière, ce qui signifie que dorénavant ce processus s'est banalisé ou qu'elle est parvenue à concentrer suffisamment de pouvoir pour l'imposer à tous les Etats sans avoir de compte à rendre à personne.

Dit autrement, ce système financier parasitaire issu du capitalisme a acquis son indépendance ou il fonctionne de nos jours selon ses propres lois échappant à tout contrôle ; c'est comme si en quelque sorte la notion de paradis fiscal avait été étendue aux banques centrales (et à l'ensemble du réseau bancaire bénéficiant de leur soutien), auxquelles les Etats doivent faire allégeance pour se financer puisqu'ils ne disposent plus du pouvoir de la création monétaire. Les Etats sont donc devenus des maillons de ce système mafieux, en fait c'est l'ensemble de l'économie qui se retrouve sous la coupe de ces gangsters de la finance mondiale. Les Etats et les institutions internationales leur servent d'entremetteurs ou de caution légale auprès des peuples pour piller ou ponctionner les richesses produites dans chaque pays, participant ainsi à l'effondrement général du capitalisme se traduisant par la détérioration, le dysfonctionnement ou la désintégration des services publics, et précipitant la régression sans fin du mode de vie et des conditions de travail...

On peut donc affirmer en conclusion au regard de ces éléments, qu'ils constituent les signes les plus visibles ou les preuves matérielles incontestables de l'effondrement en cours du capitalisme.

L'avantage de cette interprétation est triple, car d'une part elle démontre que le capitalisme est bien voué à s'effondrer comme l'avait décrit Marx et Engels, d'autre part elle intègre les mécanismes financiers mafieux créés par les gangsters de la finance qui n'existaient pas à l'époque où furent rédigés Le Capital et le Manifeste du parti communiste, de plus ou par conséquent, elle permet de les intégrer dans une stratégie politique qui s'inscrit dans la continuité de la lutte des classes et du socialisme.

Maintenant on ne peut pas parvenir à cette interprétation ou admettre son bien-fondé, donc renouer avec le marxisme et le socialisme, quand on nie l'effondrement en cours du capitalisme, quand on nie que l'oligarchie se serait dotée d'instruments et d'institutions pour contrôler l'économie mondiale et détenir le pouvoir politique.

A mon avis cela explique l'état d'impuissance auquel sont réduits les militants qui entendaient demeurés fidèles au socialisme, et plus généralement le populisme dans lequel sont tombés la plupart d'entre eux.

Partant de là je comprends parfaitement pourquoi certains lecteurs ou militants ont pu croire que je me serais éloigné du socialisme pour ne pas dire pire encore. Je ne leur en veux pas du tout, puisque je conçois que la situation se prête à bien des confusions.

Quand le capitalisme, la société telle qu'il l'a façonnée apparaît sous un jour toujours plus hideux dans absolument tous les domaines, quand on découvre ou feint de découvrir l'état de médiocrité ou de décomposition auquel sont parvenus tous les rapports dans la société au point de déteindre sur les idées et les comportements de chaque personne, quand on constate que tout ce qu'il produit ou touche est systématiquement asocial, antisocial, synonyme de pourriture, d'injustice, de cruauté, etc. on est obligé d'admettre qu'un processus de putréfaction menaçant l'existence de la civilisation humaine est déjà à l'oeuvre ou profondément engagé, par conséquent on ne peut pas admettre la théorie selon laquelle le capitalisme et la société demeureraient pour ainsi dire inchangés parce qu'ils fonctionneraient ou seraient organisés sur la base des mêmes facteurs ou rapports d'autrefois.

Le capitalisme pourrissant avait muté en impérialisme à l'occasion de la fusion de l'industrie et la banque au détour du XXe siècle, et moins d'un siècle plus tard le monstre allait se métamorphoser à son tour pour donner naissance à une créature plus impitoyable et monstrueuse encore destinée à détruire toute trace d'humanisme chez les hommes ou dans la société, pour qu'une infime minorité conservent leurs privilèges ou leur hégémonie sur le reste de l'humanité réduite en esclavage.

Ce qui est remarquable et révélateur, c'est l'extrême médiocrité des moyens auxquels les oligarques ou leurs représentants recourent dans leur discours pour parvenir à leur fin, imposture ou démagogie grotesque, mensonge ou hypocrisie insensée, contrevérité stupide, faux argument vulgaire, fait falsifié gros comme le nez au milieu du visage, témoignage relevant de la farce, crime à peine déguisé, etc. parce que sous le règne de la ploutocratie tout ce qui existe ou est produit est systématiquement destiné à être dénaturé, sali, enlaidi, trafiqué, pollué, intoxiqué, détruit, tué, sans que personne n'en tire le moindre profit ou la moindre satisfaction hormis pour ceux qui sont aux commandes de cet ordre mondial sordide ou immonde où il n'existe plus aucune trace d'humanité.

Pour qu'une telle transformation qualitative puisse se réaliser, il fallait forcément qu'un élément extérieur ou étranger ait été introduit dans le système économique, et que certains de ses facteurs internes aient fait l'objet d'une profonde modification. Cet élément extérieur est à mettre au compte du développement ou des découvertes scientifiques et technologiques qui ont facilité la dérèglement financière autant que le conditionnement et le contrôle de la population... Quant aux facteurs internes, le principal résida dans la dégénérescence du mouvement ouvrier ou son adaptation au capitalisme à partir desquelles tout devenait possible pour l'oligarchie, même le plus improbable ou le plus incroyable dont malheureusement on refusa de tenir compte, au point que la plupart des militants de nos jours préfèrent sombrer dans un déni suicidaire plutôt que l'admettre, j'ignore à quoi cela les avance, mais c'est ainsi.

Je pense avoir posé ici les bases d'une analyse de la situation qui demande à être approfondie ou complétée, afin de définir une stratégie politique pour combattre l'oligarchie et le capitalisme, leurs institutions, pour le socialisme. Quand on voit à quel point les uns et les autres se fourvoient en répondant présent aux opérations lancées par l'oligarchie, je me dis qu'il y a urgence à réagir, à réfléchir et à agir, non pas pour infléchir la situation parce que nous n'en aurions pas les moyens, mais pour commencer à reconstruire une avant-garde digne de ce nom, sous le drapeau de la révolution socialiste mondiale.

Ils ont été jusqu'à applaudir et faire applaudir le personnel soignant qui ont accompagné à la morgue des milliers de patients qui ont été littéralement assassinés par des médecins ou professeurs des hôpitaux, selon les professeurs Raoult et Perronne notamment, cela fait réfléchir sur l'état de pourriture du mouvement ouvrier.

Cela dit, à titre individuel puisque nous ne disposons pas de structure organisée, j'encourage les lecteurs ou militants isolés à participer à toutes les manifestations, soit en demeurant silencieux, soit en reprenant nos positions, là en l'occurrence on aurait manifesté les 16 et 30 juin dernier sur les mots d'ordre suivants : Macron, Véran, Salomon assassins, les coupables doivent être jugés : Dehors ! Abolition du Conseil de l'ordre des médecins ! Démantèlement des officines corrompues des autorités sanitaires ! Expropriation des trusts pharmaceutiques ! Pas un centime pour les banquiers et le CAC 40 ! Abolition du capitalisme et instauration d'une République sociale !

Nous aurions manifesté au côté du personnel soignant parce qu'il aurait été à l'initiative de cette mobilisation, mais en aucun cas nous aurions participé aux manifestations contre le racisme instrumentalisées par l'oligarchie.




QUATRIEME PARTIE

Même pas peur ! Tremble carcasse car chaque jour apporte son lot de terreur.

Un virus de grippe porcine capable de provoquer une nouvelle pandémie découvert en Chine - Sputnik 30 juin 2020

Selon une étude publiée par Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), un virus de grippe porcine a été découvert en Chine et qualifié comme propice à une prochaine pandémie. Cette souche qui descend du H1N1 semble avoir infecté des ouvriers chinois.

Des chercheurs ont découvert une souche de virus de grippe porcine en Chine présentant toutes les caractéristiques capables de provoquer une future pandémie, selon une étude parue le 29 juin dans la revue scientifique américaine PNAS.

Les virus s'appellent G4 et descendent génétiquement de la souche H1N1 à l'origine d'une pandémie en 2009: ils «possèdent tous les traits essentiels montrant une haute adaptabilité pour infecter les humains», écrivent les auteurs, des scientifiques issus d'universités chinoises et du Centre de prévention et de lutte contre les maladies chinois.

Le travail présenté est volumineux: de 2011 à 2018, 30.000 prélèvements nasaux ont été réalisés sur des porcs dans les abattoirs de 10 provinces chinoises et dans un hôpital vétérinaire, permettant d'isoler 179 virus de grippe porcine. La majorité était de la nouvelle variété, qui est devenue dominante chez les porcs depuis 2016.

Les chercheurs ont ensuite réalisé diverses expériences en laboratoire et sur des furets, des animaux très utilisés dans la recherche sur la grippe car leurs symptômes sont comparables à ceux des humains: ils ont de la fièvre, toussent et éternuent.

Ils ont observé que les virus G4 étaient plus infectieux, se répliquaient dans des cellules humaines et provoquaient chez les furets des symptômes plus graves que d'autres souches.

En outre, selon des tests in vitro, l'immunité obtenue après contact avec les virus humains de la grippe saisonnière ne protègerait pas contre le G4.

L'autre mauvaise nouvelle est que les ouvriers et personnes travaillant avec les porcs étaient relativement nombreux à avoir été infectés, 10,4%, selon des tests sanguins qui ont cherché la présence d'anticorps au virus. 4,4% de la population générale apparaissait également contaminée.

Le virus serait donc déjà passé chez les humains, rapportent les scientifiques, mais il n'y a pas de preuve qu'il peut être transmis d'humain à humain. C'est aujourd'hui leur crainte. Sputnik 30 juin 2020

«Ebola du lapin»: un nouveau virus mortel a déjà décimé des milliers d'animaux - Sputnik 01 juillet 2020

Des lapins aux États-Unis, ainsi qu’en France, en Australie et au Canada, ont été frappés par un virus mortel qui continue à se propager aux États-Unis et contre lequel les médecins n’ont pas de vaccin, fait savoir Business Insider. Il est précisé que, pour la première fois, le virus a été transmis des animaux domestiques aux sauvages.

Certains vétérinaires l'appellent l’«Ebola du lapin», car le virus s’attaque aussi aux organes et aux tissus des animaux, ce qui entraîne une hémorragie interne et la mort. Selon les médecins, souvent, le seul signe extérieur montrant que les lapins sont infectés apparaît après leur mort, quand le sang commence à couler du nez.

Dès le mois d'avril, le département américain de l'Agriculture a confirmé des cas de maladie RHDV2 dans plusieurs États, notamment l'Arizona, la Californie, le Colorado, le Nevada, l'Utah, le Texas et le Nouveau-Mexique.

Le virus se propage par le sang, les excréments et l'urine. En termes de danger, selon les vétérinaires, il est supérieur au nouveau type de coronavirus humain, car l'animal infecté meurt dans 90% des cas. En outre, il a été indiqué que RHDV2 ne présente pas de danger pour les humains, les chats et les chiens, mais peut survivre sur les surfaces et les vêtements pendant trois mois et demi.

D’après le média, le virus avait déjà été enregistré sur des lapins domestiques dans l'Ohio en 2018, puis dans l’État de Washington à l’été 2019 et celui de New York en février de cette année. L’Europe est aussi concernée

La France, l'Australie et le Canada ont également enregistré des cas de contamination. Cette infection est apparue pour la première en 1984, lorsque des lapins en Chine sont tombés malades.

L'épidémie actuelle est considérée comme particulièrement inquiétante par les scientifiques, car le virus a été transmis pour la première fois des animaux domestiques aux lapins sauvages et aux lièvres. Il n'y a toujours pas de vaccin contre le virus. Sputnik 01 juillet 2020

Totalitarisme. Ils vous y préparent psychologiquement.

- Coronavirus : vers une deuxième vague dès cet été ? - LePoint.fr 7 juillet 2020

Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, craint dans « Le Parisien » que le « laxisme » français conduise au pire. LePoint.fr 7 juillet 2020

Le « laxisme » français dit merde à ce laxatif!

- Castex veut "préparer la France à une seconde vague" du Covid-19, mais sans "reconfinement absolu" - BFMTV 8 juillet 2020

- Coronavirus : à quoi ressemblerait un reconfinement "ciblé" en France ? - Yahoo 9 juillet 2020

- Coronavirus : la situation en Espagne "est vraiment un signal d'alerte pour nous", avertit un épidémiologiste - francetvinfo.fr 7 juillet 2020

"C'est vraiment un signal d'alerte pour nous", a mis en garde lundi 6 juillet sur France Inter Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Institut Pasteur, et membre du Conseil scientifique sur le coronavirus, à propos des reconfinements localisés décidés en Espagne, à cause de la résurgence de l'épidémie de Covid-19.

"Il faut peut-être qu'on se ressaisisse un peu" en France, estime Arnaud Fontanet. Il craint aussi que "quand il recommencera à faire froid dans l'hémisphère nord, le virus reviendra".

Le coronavirus reviendra cet hiver. francetvinfo.fr 7 juillet 2020

Commentaire d'un internaute.

- Arnaud Fontanet est un épidémiologiste sans doute sérieux pourtant son analyse est surprenante. Monsieur Fontanet évoque une flambée des cas dans l'hémisphère sud en raison de l'hiver australe et averti d'une recrudescence des cas en Europe en octobre. Pourtant actuellement, les cas sont nombreux (probablement à cause des tests) aux Etats-Unis alors que l'été bat son plein. Les cas sont également nombreux en Inde où les températures dépassent à cette période les 40°.

L'épidémie a cours en Amérique Latine notamment au Brésil, certes le pays est dans l'hémisphère sud mais sous ces latitudes on est dans un climat tropical sans véritable saison, les températures actuelles sont entre 25 et 30°. Tout comme en Afrique du Sud ou à Madagascar.

Le seul exemple pertinent de Monsieur Fontanet est le cas de Melbourne, là bas le climat est hivernal à cette époque mais pour le moment le nombre de cas est assez limité et on ne peut pas parler de flambée épidémique.

Comme depuis le début de l'épidémie les membres du Conseil scientifique jouent aux cassandres sans vraiment connaître la dynamique épidémique. Certes il ne faut pas être angélique mais il ne sert à rien de prédire un avenir incertain avec des pseudo arguments climatiques.

LVOG - Surtout que dans l'hémisphère sud, c'est le virus de la grippe qui va prendre le relais, donc ils vont pouvoir s'en donner à coeur joie et manipuler les cadavres à tour de bras en les assimilant à ceux du Covid-19...

Vidéos

- Des mots et des chiffres - IHU Méditerranée Infection 7 juil. 2020
https://www.youtube.com/watch?v=og7doP37AI8&feature=emb_title

- Le Pr. Perronne balance sur « les magouilles et les attaques dégueulasses contre Raoult » - 2 juillet 2020
https://www.youtube.com/watch?v=D8hvDKHIxKw

- Covid-19 : Les masques et les "gestes barrières" sont inutiles (Prof. Denis Rancourt) - 30 mai 2020
https://www.youtube.com/watch?v=Fvp6uah-2hY&feature=emb_title

- Pierre Perret - Les confinis - 9 juin 2020
https://www.youtube.com/watch?v=zA2JjodD6IU

Pas de pitié envers les assassins.

Didier Raoult répond à l’AP-HP qui l’avait accusé de «faux témoignage» - Sputnik 3 juillet 2020

Le Pr Raoult a d’abord publié une vidéo montrant une intervention sur LCI d’Éric Caumes, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, affirmant à propos du taux de décès que «pour Paris, en réanimation, c’est de l’ordre de 40%». L’infectiologue marseillais a assuré devant les députés que ce chiffre était de 43% à Paris, contre 16% dans son propre institut.

Il a ensuite partagé une interview sur BFM TV dans laquelle Karine Lacombe, également chef de service d’un hôpital parisien, déclare que «c’est jamais un bon pronostic de passer en réanimation parce qu’on sait qu’à peu près 40 à 50% de ces personnes vont décéder». Un autre élément qui penche en faveur de Didier Raoult dans sa bataille des chiffres avec l’AP-HP.

Enfin, le virologue est revenu sur le premier patient décédé du Covid-19 sur le territoire français, dont il estime qu’il n’a pas été pris en charge correctement. Il s’agissait d’un ressortissant chinois de 80 ans, qui était également le premier cas en Europe.

D’après Didier Raoult, ce patient a été admis à la Pitié-Salpêtrière, a été ensuite renvoyé chez lui avant de revenir «sept jours après» pour «mourir dans un hôpital». Des faits contestés par Martin Hirsch.

Pour prouver ses dires, le Pr Raoult a mis en avant un article de CNews datant du 15 février et relatant les mêmes faits. Dans celui-ci, le Pr Yazdan Yazdanpanah, chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat à Paris, admettait lui-même que les médecins n’avaient «pas pu le détecter».

Après le développement de symptômes respiratoires chez ce patient, l’hypothèse du coronavirus avait finalement été posée. C’est ce cas qui a poussé Agnès Buzyn, ministre de la Santé de l’époque, à revoir les critères de définition des cas suspects, a également relaté l’article. Sputnik 3 juillet 2020

Il existe encore de vrais médecins.

Chloroquine : un long fleuve tranquille par le docteur Gérard Maudrux - blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr 8 juillet 2020

Extrait.

Depuis des mois nous assistons à un spectacle ahurissant qui montre la médecine administrée et les experts scientifiques du monde entier, sous un jour qui n’est pas fait pour nous rassurer en ce qui concerne notre future santé. La médecine a progressé depuis des siècles en toute liberté, mais administrée, réglementée, contrôlée et diffusée par des « hautes autorités scientifiques » nationales et internationales, n’est-elle pas en train de régresser ?

Pourquoi, dans certains pays, cette frénésie à vouloir abattre un vieux médicament qui a sauvé depuis sa naissance des millions de vies ? On a assisté à un florilège d’études bidons, orientées, manipulatrices, dangereuses. On a vu des politiques, des autorités scientifiques se précipiter pour montrer leur incompétence en vantant les mérites de ces études à charge qui n’avaient rien de scientifiques. On a vu la plus haute autorité du pays, le Ministre de la Santé, conseiller aux élus de mieux se renseigner en lisant un article que manifestement il n’avait pas lu lui-même, sinon il aurait pu lire que l’hydroxychloroquine, qu’il voulait interdire, avait été administrée aux cas les plus graves, telle une extrême onction ! Il est ensuite, toujours avec précipitation, immédiatement et sans réfléchir, tombé dans le panneau du LancetGate, ayant pris une étude publicitaire montée de toutes pièces, pour une étude scientifique de très haut niveau. La plus haute autorité internationale, l’OMS, a fait de même. Pire, elle a autorisé des études avec doses (volontairement ?) létales, pour « prouver » la dangerosité d’un médicalement, de plus dans de mauvaises indications, à un stade où il n’y a plus de virus mais ses complications létales, sur lesquelles n’importe quel ignare est capable de comprendre l’inutilité du traitement testé. The Lancet, soi-disant plus haute publication scientifique internationale devant apporter toutes les garanties de sérieux des publications a montré le niveau zéro de ses contrôles, jetant un doute sur toutes ses publications. A qui peut-on se fier maintenant, confier notre vie ?

Si on résume, en caricaturant à peine, le peuple a appris que des autorités sont capables d’interdire de traiter, en attendant le résultat d’études, dont on donnera les résultats quand il n’y aura plus besoin de traiter, où l’on exige de tirer au sort des patients, une moitié devant ne pas être traitée face à une maladie mortelle, l’autre moitié devant recevoir un traitement inutile, à des doses pouvant être mortelles. Est-ce cela la médecine de demain ? En tous cas c’est une partie de celle d’aujourd’hui, et aucun des responsables ne pense avoir tort, restant en place pour continuer. Et que dire de leurs propres études, ils critiquent celles des autres mais sont incapables de sortir Discovery, après avoir promis des résultats préliminaires pour il y a 4 mois ? Des difficultés pour manipuler les chiffres ? Les résultats ne leur plaisent pas et ils attendent l’effet de notre manque de mémoire collective ? Tous les doutes sont permis, car les patients de l’étude sont tous sortis, debout ou pieds devant, depuis bien longtemps.

En marge de tout cela, la chloroquine poursuit son petit bonhomme de chemin. Après la tempête organisée, arrive le calme. Nombre d’études plus sérieuses commencent à sortir, venant confirmer la première, celle de l’IHU de Marseille, comportant maintenant 3 737 cas, avec diminution plus que significative de la mortalité, que les intellectuellement aveugles ne veulent pas voir. Les 26 juin et 3 juillet, ce sont des études Portugaise et Chinoise, la première portant sur 26 815 patients traités par HCQ pour lupus, PR et autres affections auto-immunes, la seconde sur 6 223 PR, les deux montrant que ces patients voient leur risque de contacter la Covid divisé par deux.

Le 29 juin, c’est La Fondation Henri Ford qui possède de nombreux hôpitaux, et qui a traité dans 6 de ses hôpitaux à Detroit 2 541 patient avec HCQ+AZI, le taux de décès est diminué de 71%, aucun effet secondaire. Le 30 juin c’est une autre étude, dans 8 hôpitaux de New York, 6 493 patients dont 3 708 hospitalisés, avec encore division par 2 du nombre de décès, toujours sans effets secondaires. Cela complète les 88 patients français (« Laissez les prescrire », avec les 700 non publiés) et tous les exemples déjà cités. Avez-vous vu tout cela à la une des journaux, toujours prompts à publier les études douteuses dans l’autre sens ?

Et puis il y a encore ces pays qui traitent largement depuis le début, sans polémique, sans se poser de questions, comme le Sénégal, 8 morts par million d’habitants, ou plus près de chez nous la Grèce, 18 morts/million, contre 447 pour la France.

En fait on assiste à un conflit entre soignants, qui traitent, publient sans faire de chichis, en disant : voilà ce que j’ai fait, voilà ce que j’ai vu, et les scientifiques non soignants, dont on a vu qu’ils disaient et faisaient n’importe quoi. Lesquels faut-il croire à votre avis. Ceux qui constatent sont-ils tous menteurs ? Il en est maintenant de cette médecine, dans laquelle je ne me retrouve pas, comme de la justice : on cherche le vice de forme qui permet d’ignorer ensuite les faits qui deviennent inexistants.

Il y a aussi l’histoire que l’on renie, ce qui conduit immanquablement à reproduire les mêmes erreurs. La quinine est connue depuis le XVIè siècle, certainement avant chez les indiens d’Amérique du Sud, où l’arbre quiquina a été découvert au Pérou, son écorce étant réputée contre la fièvre et certains parasites. Savez-vous que la chloroquine, un dérivé, avait été utilisée contre la grippe espagnole ? Qu’elle est utilisée dans de nombreux pays contre la grippe, depuis plus d’un siècle (et dans plus de 60% des pays actuellement contre la Covid) ? Voici une affiche de 1889 vantant ses mérites dans la grippe et influenza.

Egalement un article du journal « Le Matin », du 22 octobre 1918 qui relate une enquête « prouvant » que les paludéens sont moins atteints par la grippe espagnole grâce à la quinine, dont « la valeur curative contre la grippe est incontestable et incontestée ». Déjà, selon un article du » Petit Parisien » du 20 décembre 1889, la Faculté conseillait le chlorhydrate de quinine pour la grippe, et « L’intransigeant » du 4 novembre 1918 : « La quinine à faible dose… sont des adjuvants utiles… Traités de la sorte, la plupart des patients guérissent vite et sans complications. »

La quinine a été officiellement découverte en 1820 par deux chimistes, Joseph Pelletier et Joseph Caventou qui ont extrait le principe actif de l’écorce du quinquina. Pourquoi n’est-elle pas mieux défendue ? Le journal « Le Constitutionnel » du 12 aout 1845 relate qu’ils ont refusé de « prendre un brevet d’invention qui eut fait leur fortune, ils ont doté gratuitement le monde entier d’un remède héroïque…. Leur désintéressement les a jetés dans l’oubli ; leur richesse aurait popularisé leur nom et leur découverte ».

Prémonitoire ? Histoire de gros sous ? En ce qui concerne les enjeux financiers, je vous invite à lire Laurent Mucchielli (1) (un autre billet est en préparation sur l’action Gilead), ou encore cela (2), sur ce concurrent miracle de la chloroquine, qui, dans les différentes publications, n’a pas dû sauver plus de 10 vies au total dans le monde entier, pour avoir les faveurs financières de nos « élites ». blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr 8 juillet 2020

1 - https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/060520/le-remdesivir-l-industrie-pharmaceutique-et-la-crise-du-covid

2 - http://www.francesoir.fr/remdesivir-pour-quelques-milliards-de-plus-producteur-gilead-participation-de-lagence-europeenne-du

LVOG - Ces articles sont disponibles dans la page d'accueil du portail.

Comment ils ont grossi le nombre de morts attribués au Covid-19 ? Ils le disent eux-mêmes, il suffit de savoir lire

AFP - Le réseau Balkan investigative Reporting Network a accusé les autorités d'avoir minimisé le nombre de morts en n'incluant pas dans son bilan tous les décès de patients testés positifs. AFP 8 juillet 2020

LVOG - La norme devrait être d'attribuer au Covid-19 la mort de toute personne seulement testée positive, autrement dit faire comme si elle en était morte alors que ce n'était pas le cas.

Le Covid-19 ne présentait pas plus de menace que le virus saisonnier de la grippe, il devait faire peu de morts en comparaison, alors pour obtenir un maximum de morts ils ont refusé de tester des personnes qui auraient dû l'être, ils ont refusé de soigner des malades avec la bithérapie préconisée par le Pr Raoult, ils ont laissé mourir des malades par dizaines ou centaines de milliers dans le monde, et comme cela ne suffisait pas encore, ils ont été jusqu'à trafiquer des certificats de décès. Quel acharnement dans la cruauté !

A bas le confinement !

- Serbie: manifestations tendues après l'annonce d'un couvre-feu anti virus - AFP 8 juillet 2020

La police a tiré mardi des gaz lacrymogènes à Belgrade pour disperser des milliers de manifestants furieux à l'annonce par les autorités d'un nouveau couvre-feu destiné à lutter contre une résurgence du coronavirus, ont rapporté des photographes de l'AFP.

Des milliers de manifestants en colère se sont rassemblés devant le Parlement de la capitale serbe après l'annonce par le président Aleksandar Vucic que les habitants allaient à nouveau rester enfermés chez eux pendant le weekend.

"Démission", "Arrêtez Vucic", scandaient les protestataires qui lançaient des cailloux contre les policiers, selon les images de la télévision locale. AFP 8 juillet 2020

- Coronavirus: nouvelle manifestation violente à Belgrade - AFP 9 juillet 2020

Des données et non des Big Data.

Traitement chronique par hydroxychloroquine et infection par le SRAS-CoV-2. medrxiv.org

Contexte: Le sulfate d'hydroxychloroquine (HCQ) fait l'objet d'un examen minutieux afin de le repositionner dans le traitement et la prévention de l'infection par le SRAS-Cov-2. Ce médicament antipaludique est également utilisé de façon chronique pour traiter les patients atteints de maladies auto-immunes.

Méthodes: En analysant les données anonymisées portugaises sur les prescriptions médicales privées et publiques, nous avons identifié tous les cas recevant HCQ de façon chronique pour la gestion de maladies telles que le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde et d'autres maladies auto-immunes.

De plus, nous avons détecté tous les cas d'infection à SARS-CoV-2 confirmés en laboratoire et tous les cas négatifs confirmés en laboratoire dans la population portugaise (enregistrés obligatoirement dans une base de données gérée de manière centralisée). Le croisement des deux ensembles de données nous a permis de comparer la proportion de traitement chronique HCQ (au moins 2 grammes par mois) dans les cas confirmés en laboratoire d'infection par le SRAS-CoV-2 avec les cas négatifs confirmés en laboratoire.

Résultats: Sur 26815 patients séropositifs pour le SRAS-CoV-2, 77 (0,29%) ont été traités de façon chronique par HCQ, tandis que 1215 (0,36%) sur 333489 patients négatifs l'ont reçu de façon chronique (P = 0,04). Après ajustement pour l'âge, le sexe et le traitement chronique avec des corticostéroïdes et / ou des immunosuppresseurs, le rapport de cotes de l'infection par le SRAS-CoV-2 pour le traitement chronique avec HCQ a été de 0,51 (0,37-0,70). Conclusions: Nos données suggèrent que le traitement chronique par HCQ confère une protection contre l'infection par le SRAS-CoV-2. medrxiv.org

On ne réhabilite pas les faussaires, on les achève !

Coronavirus : Une nouvelle étude scientifique est-elle en train de réhabiliter l’hydroxychloroquine ? 20minutes.fr 7 juillet 2020

Nouveau rebondissement dans le débat sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid ? Une étude réalisée en Chine et publiée le 3 juillet dans la célèbre revue scientifique The Lancet, prouverait que le taux de Covid 19 serait plus faible chez des patients prenant de l' hydroxycholoroquine. 20minutes.fr 7 juillet 2020

LVOG - Cependant pour 20minutes porte-parole de Big Pharma "le remède miracle contre le Covid n’est toujours pas arrivé", car "si l'étude publiée par The Lancet est bien réelle, elle ne dit en aucun cas que les patients soignés à l’hydroxychloroquine guérissent du Covid."

LVOG - L'AFP en rajoute une couche.

AFP - Il (Jair Bolsonaro) a précisé suivre un traitement à base de l'azithromycine (un antibiotique) et de l'hydroxychloroquine, un médicament controversé, un temps adopté par Donald Trump mais dont l'OMS a fini par conclure qu'il n'avait aucun effet bénéfique.

Une étude française, publiée mardi, fait valoir que les patients traités "au long cours" avec de la chloroquine ou de l'hydroxychloroquine, notamment pour des maladies auto-immunes, n'ont pas été moins touchés par des formes graves de Covid-19 durant l'épidémie. AFP 8 juillet 2020

Coronavirus : prendre de l'hydroxychloroquine "au long cours" ne protège pas des formes graves de Covid-19, selon une étude française - francetvinfo.fr 7 juillet 2020

En se basant sur des données de l'Assurance maladie, les chercheurs de l'Agence du médicament (ANSM) n'ont pas identifié de rôle préventif contre le Covid-19 pour cette molécule.

Réalisée par Epi-phare, structure réunissant l'Agence du médicament (ANSM) et l'Assurance maladie, l'étude a été menée à partir des données de cette dernière (en particulier les remboursements de médicaments) et des dossiers médicaux des hôpitaux (dates d'hospitalisation, diagnostics, actes médicaux et médicaments délivrés…). Les résultats de l'étude ne suggèrent "pas de rôle préventif de l'utilisation des antipaludéens de synthèse (APS) au long cours sur le risque de survenue d'une hospitalisation, d'une intubation ou d'un décès liés au Covid-19".

L'hydroxychloroquine, dérivée de l'antipaludéen chloroquine, est prescrite dans le traitement de maladies auto-immunes, comme le lupus et ou la polyarthrite rhumatoïde. Ainsi, les résultats mettent même en évidence "un sur-risque d'hospitalisation, d'intubation et de décès liés au Covid-19 parmi les patients sous APS au long cours par rapport à la population générale française". Mais "les analyses réalisées suggèrent que ce sur-risque est expliqué par les caractéristiques liées à la pathologie chronique sous-jacente" de ces patients, "notamment la co-médication par corticoïdes oraux, plutôt que par l'exposition aux APS elle-même". francetvinfo.fr 7 juillet 2020

LVOG - Les corticoïdes annulent les effets des APS selon le Pr. Raoult, donc les APS ne peuvent pas jouer un rôle préventif contre le Covid-19, fermez le banc, pas besoin d'être médecin pour le comprendre !

Mystification. L'UE : Une officine de Big Pharma.

Coronavirus: L'UE approuve sous condition le recours au remdesivir - Reuters 3 juillet 2020

La Commission européenne a approuvé vendredi sous conditions l'utilisation de l'antiviral remdesivir contre le Covid-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus, à la suite d'un examen accéléré.

La Commission a déclaré mercredi négocier avec Gilead pour obtenir des doses de remdesivir pour les 27 pays de l'UE.

Le département américain de la Santé a cependant annoncé avoir déjà obtenu l'intégralité de la production de Gilead prévue en juillet et 90% de celles d'août et septembre.

La demande est très forte pour le remdesivir depuis qu'il a contribué à réduire le délai de guérison dans les hôpitaux lors d'essais cliniques. Il est perçu comme plus efficace que d'autres moyens thérapeutiques comme la dexaméthasone, un corticoïde, dans le traitement plus précoce des patients.

Il doit cependant être administré par intraveineuse pendant au moins cinq jours et il est donc généralement réservé aux patients dans un état nécessitant une hospitalisation. Reuters 3 juillet 2020

Les Pieds nickelés récidivent. L'homme est enfin sorti de sa caverne ! Et un virus lunatique.

LVOG - Comment faire croire qu'un phénomène serait nouveau pour lui faire dire ce que l'on veut. Cela fait 10, 15, 20 ans que l'homme défriche, déforeste, parcourt tous les recoins de la planète et s'expose ainsi à toute sorte de bactéries et virus, cette version est reprise par une partie de l'extrême gauche, alors qu'en réalité cela fait des siècles ou des millénaires !

Dans un autre article tout aussi tordu, on pouvait lire une version plus proche de la réalité: "On est peut-être confronté à un virus qui est resté en sommeil à travers le monde et a émergé lorsque les conditions environnementales étaient propices à sa croissance”, a déclaré le chercheur au Telegraph. "Les agents pathogènes du virus ne viennent de nulle part et ne vont nulle part. Ils sont toujours là et quelque chose les enflamme”, selon Tom Jefferson l’une des pointures scientifiques de l’université d’Oxford (Yahoo 6 juillet 2020)

Des chercheurs alertent sur les «conditions épidémiques parfaites» créées par l’Homme - Sputnik 07.06

Selon des scientifiques de l’Université de Liverpool, l’ingérence de l’Homme dans la nature favorise l’apparition des épidémies. Comme «ce n’est pas la dernière à laquelle nous faisons face», ils ont élaboré un moyen de détection des agents les plus pathogènes.

L’humanité a créé des conditions très favorables pour la transmission de maladies qui viennent de la nature et pour leur propagation à travers le monde, rapporte la BBC se référant à des chercheurs de l’Université de Liverpool.

Selon eux, la déforestation et l’empiètement des humains sur divers habitats naturels aident les pathologies à se transmettre des animaux aux Hommes.

«Les écosystèmes transformés par l’Homme avec une biodiversité plus faible, tels que les paysages agricoles ou les plantations, sont souvent associés à un risque humain accru de nombreuses infections», estime la professeur Kate Jones de l’University College de Londres.

«La perte de biodiversité peut créer des zones qui favorisent le renforcement des contacts entre l’humain et la faune, ainsi que des risques de transmission de certains virus, bactéries et parasites aux humains», poursuit la professeur.

L’Homme a presque créé «des conditions parfaites» pour l’émergence de nouveaux agents pathogènes. Sputnik 07.06

LVOG - Les changements ou les variations climatiques tout comme l'existence ou l'émergence de virus sont des phénomènes naturels, ceux qui le nient sont des escrocs.

Au fait, les populations indigènes qui peuplent encore des forêts dans l'hémisphère sud, elles auraient dû toute disparaître depuis longtemps puisqu'elles étaient en contact avec ces virus ou bactéries. Les "parasites", ce sont ces pseudo-scientifiques, tous ces faussaires devraient être radiés à vie.

- Le Covid-19 ne viendrait pas de Chine selon un expert de l'Université d'Oxford - Yahoo 6 juillet 2020

Selon l’un des chercheurs principaux de l’université d’Oxford, le Covid-19 pourrait être resté en sommeil à travers le monde pendant un long moment avant d’avoir émergé lorsque les conditions étaient favorables à sa croissance.

Et si le nouveau coronavirus ne venait pas de Chine ? C’est en tout cas ce que suppose Tom Jefferson, l’une des pointures scientifiques de l’université d’Oxford. Selon lui, il existe de plus en plus de preuves que le virus était “partout” avant qu’il n’apparaisse en Chine au mois de décembre. “On est peut-être confronté à un virus qui est resté en sommeil à travers le monde et a émergé lorsque les conditions environnementales étaient propices à sa croissance”, a déclaré le chercheur au Telegraph.

En effet, des traces de Covid-19 ont été trouvées en Espagne, en Italie ou encore au Brésil bien avant la découverte du virus en Chine. Récemment, des virologues espagnols ont annoncé avoir trouvé des traces du virus dans des échantillons d’eaux usées collectés à Barcelone en mars 2019, soit neuf mois avant sa découverte à Wuhan et près d’un an avant qu’il ne frappe l’Europe. Selon les scientifiques, il serait passé sous le radar “parce que c’était la saison de la grippe et que personne ne le recherchait”. Des échantillons obtenus à Turin et Milan à la mi-décembre ont également montré des résultats positifs, tandis que des experts ont trouvé des traces au Brésil, à Florianopólis en novembre dernier. Yahoo 6 juillet 2020

LVOG - J'ai trouvé un article plus précis.

Le coronavirus circulait déjà dans les égouts de Barcelone... en mars 2019 - lindependant.fr 27 juin 2020

Des chercheurs de l'Université de Barcelone (UB) ont détecté la présence du SARS-CoV-2 dans des échantillons d'eaux usées collectés à Barcelone le 12 mars 2019.

Les chercheurs barcelonais ont fait cette découverte inattendue en relevant la concentration du coronavirus dans les matières fécales. En surveillant les eaux usées, les chercheurs ont mis au point un "outil potentiel d'alerte précoce" de la circulation du virus dans la population.

Du coup, en collaboration avec les services des eaux de la ville (Aigües de Barcelona), les chercheurs de l'Université de Barcelone ont commencé à étudier des échantillons hebdomadaires congelés provenant de deux usines de traitement des eaux usées.

Selon les chercheurs, "les niveaux de SARS-CoV-2 étaient très bas mais ils ont été clairement positifs avec un test PCR". lindependant.fr 27 juin 2020

LVOG - "Un outil potentiel d'alerte précoce" suivi d'un grand silence, qu'il soit permis d'en douter ! Pourquoi n'ont-ils pas alerté la communauté scientifique? Pourquoi l'IHU de Marseille n'a-t-il pas été informé ?

Test PCR dont la fiabilité est de 50%, test réel ou interprétation trafiquée ? On se demandera pourquoi l'épidémie n'a-t-elle pas commencé au printemps ou à l'automne 2019, puisque les conditions étaient identiques à celles du printemps 2020.

Quand ils citent l'Espagne, l'Italie et le Brésil, ils se livrent à un amalgame entre échantillons obtenus dans des conditions totalement différentes, des eaux usées et chez des patients, et par ailleurs, cela ne les dérange pas qu'entre les deux ils se soient passés environ 9 mois sans que personne ne s'aperçoive de l'existence de ce coronavirus, à moins que l'épidémie se soit développée et ait fait de nombreuses victimes similaires à ceux du virus de la grippe sans que personne ne s'en émeuve jusqu'au jour où le Forum économique mondial donne le départ de la pandémie.

Si c'était le cas, cela écarterait la piste américaine au profit d'une autre version tout aussi sordide.

Lors de la réunion du Forum économique mondial consacrée à une pandémie mondiale en octobre 2019, ils savaient déjà qu'un coronavirus était sur le point de déclencher une épidémie lors du printemps 2020, ce qui expliquerait pourquoi ils s'y sont préparés fébrilement pour prendre à temps la direction des opérations et imposer leurs mesures à la population mondiale, et pourquoi le gouvernement français a décidé d'interdire la vente libre de l'hydroxychloroquine ou la chloroquine le 13 janvier 2020 sachant que cette molécule était efficace contre d'autres virus.

Toutefois, l'hypothèse selon laquelle ce coronavirus n'avait pas pu faire le tour de la Terre sans être détecté par aucun laboratoire ou centre hospitalier dans le monde semble invraisemblable, d'autant plus que d'après leur dire cela concernait toutes les latitudes, en principe si tel avait été le cas l'épidémie aurait dû commencer dès l'hiver 2019 dans l'hémisphère sud et non dans l'hémisphère nord.

On pourrait aussi se demander si cette version n'aurait pas été motivée par des considérations politiques.

Sachant que Trump a axé sa campagne électorale sur la Chine, qui serait responsable de tous les malheurs qui accablent l'économie américaine, cette version présenterait l'avantage de briser nette son argumentation au profit de son adversaire, Joe Biden. Reste à voir comment cette information va être exploitée (ou non) aux Etats-Unis. A suivre.

Autre remarque.

Si le Covid-19 était déjà présent au printemps 2019, cela signifierait qu'on serait en présence d'un virus saisonnier ou qui ne disparaîtrait pas, donc cela signifierait qu'il pourrait ressurgir n'importe quand ou tous les ans, imaginez le cauchemar avec les psychopathes qui sont aux commandes.

Tenez, ils y viennent déjà.

- Jérôme Salomon appelle à «se préparer à une reprise de l’épidémie» de Covid-19 - sputniknews.com 8 juillet 2020

«Il faut se préparer à une reprise de l’épidémie (de Covid-19), voire à une deuxième vague», qui est possible «cet automne ou cet hiver», estime le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, dans le Figaro mercredi.

«Nous ne savons pas tout sur le comportement saisonnier de ce virus qui circule toujours», indique le N.2 du ministère de la Santé.

«Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce sont essentiellement nos comportements qui conditionnent la reprise épidémique: si nous voulons éviter cela, il faut que chacune et chacun continue de respecter les mesures barrières, les mesures d’hygiène, la distanciation physique et le port du masque, surtout en situation de promiscuité et dans un espace clos», poursuit le Pr Salomon. sputniknews.com 8 juillet 2020

LVOG - Ils tiennent exactement le même discours avec le réchauffement climatique, vous devez changer de comportement, de mode de vie, etc.

A l'OMS ils ne doutent de rien, ils osent tout.

L'OMS va enquêter à Wuhan sur les origines du SARS-CoV-2 - Reuters 7 juillet 2020

Des experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) se rendront ce week-end en Chine pour préparer une étude sur les origines du nouveau coronavirus apparu en décembre dans la province de Wuhan et sur la manière dont il a été transmis aux humains par les animaux.

"Le meilleur endroit pour commencer est évidemment celui où la maladie est pour la première fois apparue chez les humains, et c'est à Wuhan que la maladie a émergé, que les premiers clusters de pneumonies atypiques ont été observés", a expliqué le Dr Mike Ryan, directeur des programmes d'urgence de l'OMS. Reuters 7 juillet 2020

Quand les Pieds nickelés se transforment en girouette. Le Covid-19 aurait-il un don d'ubiquité ?

LVOG - Ce qui est publié par le New York Times n'est jamais anodin, il représente les intérêts de Big Pharma. Tout doit être fait pour que la psychose collective s'installe durablement parmi la population et que la menace du coronavirus persiste pour justifier la suite de leur programme liberticide, port du masque, traçage, vaccination si possible obligatoire.

J'en profite pour préciser que lorsqu'on a écrit des bêtises dans nos causeries depuis 4 mois, on avait fait que reproduire en toute bonne foi celles de médecins ou professeurs, y compris les plus éminents.

239 chercheurs alertent : le coronavirus serait bien aéroporté - capital.fr 6 juillet 2020

Selon eux, le coronavirus persiste dans l'air qui flotte dans une pièce et par conséquent peut contaminer les personnes qui se trouvent à proximité, rapporte le New York Times. Une donnée pourtant réfutée par l'OMS, qui soutient que le virus se propage principalement par de grosses gouttes après un éternuement ou par la toux.

Dans une lettre ouverte, adressée à l'OMS, qui sera publiée prochainement dans une revue scientifique, ces 239 scientifiques demandent à l'agence de réviser ses recommandations. Même dans sa dernière mise à jour sur le coronavirus, publiée le 29 juin, l'OMS assure que la transmission par voie aérienne du virus n'est possible qu'après des procédures médicales produisant des aérosols ou des gouttelettes.

D'après le Dr Benedetta Allegranzi, responsable technique de l'OMS dans la lutte contre les infections, les preuves de la propagation du virus par voie aérienne ne sont pas convaincantes. "Au cours des deux derniers mois, nous avons déclaré à plusieurs reprises que nous considérions la transmission aéroportée comme possible, mais certainement pas étayée par des preuves solides ou même claires. Il y a un fort débat à ce sujet", a-t-elle précisé, relayée par le New York Times.

Les conclusions des entretiens réalisés par le NYT avec près de 20 scientifiques - dont une douzaine de l'OMS - brossent un tableau d'une organisation qui, malgré de bonnes intentions, est en décalage avec la science. capital.fr 6 juillet 2020

LVOG - Et dès le lendemain, quelle aubaine !

Transmission du coronavirus par l'air : l'OMS reconnaît que des "preuves émergent" - Europe 1 07 juillet 2020

"Nous reconnaissons que des preuves émergent dans ce domaine et par conséquent nous devons être ouverts à cette possibilité et à ses implications, ainsi qu'aux précautions qui doivent être prises", a déclaré Benedetta Allegranzi, une responsable de l'OMS, lors d'une conférence de presse virtuelle.

Plus de 200 scientifiques internationaux ont exhorté lundi l'OMS et la communauté médicale internationale à "reconnaître le potentiel de transmission aérienne du Covid-19", dans un article publié dans la revue Clinical Infectious Diseases d'Oxford. L'OMS, déjà critiquée pour avoir tardé à recommander les masques, a été accusée de refuser de voir l'accumulation d'indices d'une propagation par l'air du virus. "Nous tentons de consolider les connaissances qui émergent autour de la transmission (du virus)", a ajouté une autre responsable, Maria Van Kerkhove, précisant que l'OMS publierait une fiche d'information à ce sujet "dans les prochains jours". 07 juillet 2020

239 scientifiques remettent en cause le mode de transmission du Covid-19 - voltairenet.org 07 juillet 2020

Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, on considère comme allant de soi qu’elle se transmet par des gouttelettes respiratoires à la fois dans l’air et par contact. C’est sur cette base que l’on a préconisé de nettoyer les poignées de porte, de porter un masque et de respecter des « distances sociales ».

Or, ce mode de transmission n’a jamais été prouvé.

Au contraire, si l’on considère la Covid-19 comme un virus respiratoire, on doit envisager qu’il se transmet exclusivement par aérosol comme toutes les autres maladies virales respiratoires. Dans un tel cas, il est absurde de nettoyer les poignées de porte, absolument inutile de porter des masques ou d’enfiler des combinaisons, ridicule de respecter des distances sociales. La seule et unique prévention est d’aérer le plus possible.

Ce mode de transmission n’a pas non plus été prouvé, mais il est beaucoup plus logique que l’hypothèse dominante.

Cette théorie est soutenue par de nombreux chercheurs depuis le début de l’épidémie, mais on ne leur donne pas la parole. C’est cette hypothèse qui avait conduit Thierry Meyssan à ironiser sur le port du masque et à le comparer aux masques anti-peste du XVIIème siècle [1]. voltairenet.org 07 juillet 2020

[1] « Panique et absurdité politique face à la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 avril 2020.

Documents joints "It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19", Clinical Infectious Diseases, July 2020 (PDF - 510.3 ko)

https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/10-1093_cid_ciaa939.pdf

Extrait du courriel que j'ai adressé avant-hier au Réseau Voltaire.

Je crois qu'il y a une confusion quelque part. Qu'est-ce qui est le plus dangereux, un virus qui se balade dans l'air et qui se dépose partout ou qu'on peut attraper partout quelles que soient les mesures préventives qu'on prenne, ou un virus qui se transmet essentiellement par des gouttelettes respiratoires à la fois dans l’air ou par contact et contre lequel on peut se protéger autant que faire se peut en portant un masque et en se lavant les mains ou en évitant tout contact physique avec d'autres personnes qui peuvent être déjà infectées ? Notez que je n'ai pas de parti pris, je n'ai jamais porté de masque, un mouchoir sur le visage à l'abord de policiers, j'ai forcé 3 barrages pour me rendre à Pondichéry ou aller faire des courses, et je me suis fait prendre une fois par un milicien zélé, j'ai été embarqué au commissariat de police et j'ai été relâché 15 minutes plus tard.

Ce qui me choque ici, c'est que la transmission par voie aéroportée est bien plus efficace ou redoutable que par gouttelettes respiratoire, et cela ne correspond pas à la réalité. A moins que ce soit moi qui n'aie rien compris, pourquoi pas, je suis épuisé !

Le Pr. Raoult a déjà démenti cette hypothèse en montrant chiffres à l'appui que parmi le personnel travaillant à l'IHU de Marseille où avaient circulé plus de 5.000 personnes porteuses du Covid-19 (testées ou certifiées), seuls 3,5% avaient attrapé ce coronavirus, alors qu'il ne portait pas de masque en permanence et ne pratiquait pas la distanciation sociale, seul le lavage des mains une multitude de fois par jour avait été pratiqué au cours des 4 ou 5 derniers mois par le personnel de l'IHU, ce qui leur avait évité d'être contaminé dixit Raoult dans une vidéo. D'ailleurs, presque toutes les fois où nous avons pu apercevoir le Pr. Raoult ou ses collaborateurs dans l'enceinte de l'IHU dans des vidéos, aucun ne portait de masque.

Si le Covid-19 se transmettait essentiellement par voie aéroportée, dans un lieu fermé comme l'IHU de Marseille, la contamination du personnel aurait été forcément très importante. Cela signifierait qu'il serait hyper contagieux, qu'il ne se contenterait pas de rester suspendu dans les airs, ils se seraient déposés partout, on en trouverait des traces partout, et dans ces conditions il aurait dû y avoir des millions de morts dans le monde.

Depuis les Pieds nickelés se sont faits magiciens.

Coronavirus : les anticorps disparaîtraient en quelques semaines pour de nombreux patients - Yahoo 9 juillet 2020

En effet, 14 % des personnes qui ont été testées positives aux anticorps du coronavirus lors d’une première série de tests n’en avaient plus deux mois plus tard. (Cela signifie que des personnes infectées une première fois auraient pu l'être une seconde fois deux mois plus tard, or aucun cas n'a été signalé dans le monde. Donc de deux choses l'une ou les deux à la fois, soit ces tests étaient foireux, soit c'est encore une étude fabriquée de toutes pièces. Pourquoi ? On y viendra plus loin. - LVOG)

Cette étude menée par le gouvernement espagnol en collaboration avec les plus grands épidémiologistes du pays note que 5% de la population ibérique a développé des anticorps contre la maladie et 95% de la population y reste donc sensible. Or, selon les experts, l’immunité collective ne serait atteinte que lorsque 60% de la population aurait été exposée et aurait développé des anticorps contre le SARS-CoV-2, un chiffre très loin d’être atteint. (Cela confirme que la transmission du Covid-19 n'est pas aéroportée, car si c'était le cas il pourrait être présent pratiquement partout et la majorité de la population aurait dû être testée positive. - LVOG)

Pas de symptômes, pas d’immunité ?

La disparition des anticorps a été principalement observée chez les patients qui présentaient peu ou pas de symptômes du coronavirus. “L’immunité peut être incomplète, elle peut être transitoire, elle peut durer un court instant puis disparaître”, a déclaré au Times Raquel Yotti, directrice de l'Institut espagnol de santé Carlos III, qui a codirigé l’étude. (Disparition ou absence d'anticorps ? De quel type d'anticorps s'agissait-il ? Symptômes du coronavirus ou d'un autre virus ? De quel virus, celui de la grippe ou du Covid-19 ? - LVOG)

Ian Jones, professeur de virologie à l’Université de Reading, en Grande-Bretagne en a donc tiré une conclusion quelque peu décourageante : “L’absence de symptômes suggère une infection légère, qui ne permet jamais vraiment au système immunitaire de fonctionner suffisamment bien pour générer une ‘mémoire immunologique’”. De plus, il tient à rappeler que toute personne positive au test de dépistage des anticorps ne doit pas se considérer comme protégée. (Bref, vous devrez vous faire vacciner, c'est là qu'ils voulaient en venir. - LVOG) Isabella Eckerle, directrice du Centre de Genève pour les maladies virales émergentes, et Benjamin Meyer, virologue à l’Université de Genève, ont été invités à commenter les résultats de cette enquête et estiment que toute approche proposée pour parvenir à l’immunité collective par infection naturelle, autrement dit sans vaccin, est “non seulement hautement contraire à l'éthique, mais aussi irréalisable”. Yahoo Actualités 9 juillet 2020

Commentaires d'internautes.

1- Bien sûr! Il faut bien tenter de justifier le projet de vaccination... sans compter que les virus respiratoires effectuent d'innombrables mutations qui rendent les vaccins obsoletes en quelques semaines ou moins!

2- Pour rappel, les tests actuels ont entre 2 et 50% de risques de faux-positif/négatif .

Donc 14 % d'anciens détectés qui ne sont plus détectables, ça rentre dans la frange de foirabilité des tests disponibles.

3- C'est stupide! Encore un/des scientifiques qui n'ont pas le temps de lire... Les anticorps disparaissent, cela ne signifie pas que le corps a oublié comment les synthétiser! Le principe de l'ADN est de s'adapter à l'environnement. Si l'environnement est propice, il n'y a pas de raison de synthétiser les anticorps nécessaires. Ils réapparaîtront quand le besoin se fera sentir.

4- Il n'y a pas que les anticorps dans l'immunité. Et ces cellules tueuses sont déclenchées aussi par l'immunité acquise lors d'une primo-infection.

Par contre impossible de savoir si on a acquis cette immunité là, au contraire des anticorps dont la présence est facile à tester

LVOG - Apparemment, si c'est facile de le savoir. Si lorsqu'une épidémie sévit à nouveau, vous êtes infecté mais vous ne tombez pas malade sans produire d'anticorps, c'est que vous avez été immunisé lors d'une primo-infection qui a agit comme un vaccin.

En l'absence de "preuve claire et certaine" pourquoi ne pas retenir le scénario le plus liberticide?

Si le coronavirus se transmet bien par l'air, qu'est-ce que cela change à nos vies ? - huffingtonpost.fr 8 juillet 2020

Il n’y a pas de preuve claire et certaine de transmission par l’air, mais il n’y a pas de preuve de l’inverse, explique Bill Hanage, professeur de santé publique à Harvard.

Pour comprendre ce que ce débat pourrait changer, il faut déjà comprendre ce que c’est qu’une contamination par aérosol. De manière générale, vous pouvez être infecté si vous êtes en contact avec des particules virales. Celles-ci sont rejetées par une personne infectée lorsqu’il tousse, éternue, respire, etc. Il est contenu dans de petites gouttelettes.

Au début de l’épidémie, la communauté scientifique pensait que le coronavirus Sars-Cov2 était présent dans de grosses gouttelettes, de plus de 5 microns (un dixième du diamètre d’un cheveu environ). Celles-ci, plus lourdes que l’air, tombent à quelques mètres de la personne infectée. C’est pour cela que l’on recommande de se laver les mains (si l’on a touché une surface contaminée) et de se tenir à 2 mètres d’une personne (car une grosse gouttelette ne devrait pas voler très loin).

La question, c’est de savoir si les particules virales existent également dans des gouttelettes plus petites. Comme elles sont plus légères, elles ne tombent pas et peuvent “voler” avec l’air. Dans une première étude en mars, le virus a été retrouvé en aérosol après quelques heures. Mais on ne savait pas à l’époque si ces particules étaient encore contaminantes.

“Depuis, une autre étude a trouvé du virus viable, capable d’infecter les souris après 16 heures. Le Sars-Cov2 aurait même un potentiel d’aérosolisation un peu plus important que le Sars-Cov1 ou le Mers”, explique au HuffPost Christophe Bécavin, chercheur à université Côte d’Azur et à l’Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire du CNRS.

“Le virus est aérosol, mais on ne sait pas exactement à quel point”, rappelle Christophe Bécavin. C’est le nœud du débat. Car quand on parle de contamination par l’air, on peut avoir l’idée que vous pouvez être contaminé n’importe où. Sauf qu’il y a deux grandes inconnues, rappelle le chercheur.

La première, c’est qu’“on ne sait pas encore combien de charge virale il faut pour être infecté, par exemple il faut énormément de virus pour la grippe et très peu pour Ebola”. Si l’on reprend l’étude sur les souris, elles ont été exposées à énormément de virus, donc cela ne permet pas de trancher.

L’autre inconnue, c’est à quel point le virus survit dans ces toutes petites gouttelettes portées par l’air. “Les grosses gouttelettes sont liquides, alors que l’air est sec, quel est l’impact de cette différence sur la structure moléculaire de Sars-Cov2?”, s’interroge Christophe Bécavin.

“Quoi qu’il arrive, le coronavirus n’est pas autant aérosol que des virus comme la rougeole par exemple, où le R0 [le nombre théorique de personnes infectées par un malade, NDLR] est autour de 10 ou 15, alors qu’il n’a pas dépassé 3 ou 4 pour le coronavirus”, rappelle le chercheur. La rougeole, en effet, est extrêmement contagieuse, le virus peut survivre 24 heures dans l’air d’une pièce. Le taux de transmission de 50 à 90% dans un foyer, bien plus élevé que dans le cas du Covid-19, rappelle dans un blog le professeur Daniel Diekema, spécialiste des maladies infectieuses.

Celui-ci estime que le problème, c’est cette différence nette entre “gouttelettes” et “aérosol” faite par les scientifiques en général. Si le coronavirus peut contaminer par aérosol, il est très différent de ces autres maladies comme la rougeole ou la varicelle et il ne faudrait pas calquer, dans la lutte contre la pandémie, les mesures prises contre ce type de virus. huffingtonpost.fr 8 juillet 2020

Tous cela pour 0,97% de la population !

LVOG - 42,5% de 2,3% de la population = 0,9975%. C'est grave docteur ? Mentalement assurément.

Dans une ville du nord de l'Italie, 40% de porteurs du coronavirus n'avaient aucun symptôme - BFMTV 30 juin 2020

Plus de 40% des personnes habitant une ville italienne, testées positives au Covid-19, n'avaient aucun signe de maladie, selon une étude publiée mardi soulignant le potentiel de propagation du coronavirus.

Cette recherche montre l'importance des tests de masse et de l'isolement des porteurs du virus pour contenir les foyers de contamination ("clusters"), selon les auteurs dont les travaux sont parus dans la revue scientifique Nature .

Fin février, le premier décès d'Italie a été enregistré dans la ville de Vo' (3200 habitants), près de Padoue (région de Vénétie, dans le nord du pays). La ville a été mise immédiatement deux semaines en confinement, au cours duquel les chercheurs ont pu faire des tests virologiques chez plus de 85% de la population.

En début de quarantaine, 2,3% des habitants de Vo' étaient infectés contre 1,2% à la fin du confinement et 42,5% des gens testés positifs n'avaient aucun symptôme au moment du test, ni après. Selon les auteurs, leur étude montre que l'isolement rapide des cas et les tests de masse ont permis d'éliminer efficacement le virus de cette petite ville.

"Le dépistage de tous les citoyens, qu'ils présentent ou non des symptômes, permet de gérer la propagation de la maladie et d'empêcher les épidémies de devenir incontrôlables", selon Andrea Crisanti, du département de médecine moléculaire de l'Université de Padoue et du département de Sciences de la vie à l'Imperial College de Londres. "Malgré une transmission 'silencieuse' et généralisée, la maladie peut être contrôlée."

Une charge virale similaire aux personnes symptomatiques

Les porteurs asymptomatiques de l'infection avaient une charge virale similaire à ceux qui sont tombés malades, ce qui suggère que, même sans être eux-mêmes malades, ils peuvent propager le virus. "Même les infections asymptomatiques ont le potentiel de contribuer à la transmission", insiste Enrico Lavezzo, de l'Université de Padoue, co-auteur de l'étude.

Inconscientes de leur infection, les personnes asymptomatiques, peuvent, en effet, selon leur mode de vie et leur métier, rencontrer un grand nombre de gens sans modifier leur comportement (dont les gestes barrières: masque, distance physique, hygiène des mains).

En outre, aucun des enfants de moins de 10 ans n'était positif au test, même s'ils vivaient avec des adultes infectés, selon l'étude.

"L'étude Vo' démontre que l'identification précoce des foyers d'infection et l'isolement rapide des cas d'infections avec ou sans symptômes peuvent éliminer la transmission et enrayer une épidémie à ses débuts", renchérit une chercheuse co-auteure de l'étude, Ilaria Dorigatti, du MRC Center for Global Infectious Disease Analysis de l'Imperial College de Londres. BFMTV30 juin 2020

Climat délétère, c'est reparti !

À propos du record de chaleur enregistré en Sibérie le 20 juin 2020 - climato-realistes.fr 30 juin 2020

Samedi 21 juin une température de 38 °C a été relevée à Verkhoïansk, une ville de Sibérie d’environ 1300 habitants située dans la République de Sakha à 4 675 km de Moscou. L’événement a déclenché une tempête médiatique. Le Monde, donnant le ton, a titré : « chaleur record en Sibérie : 38 °C au-delà du cercle arctique ! ».

Verkhoïansk se situe à 67° de latitude donc au Nord du cercle arctique (66° 33' 47,445? de latitude Nord). Mais cela ne veut pas dire que le climat y soit nécessairement polaire. Malgré une croyance répandue, les vagues de chaleur dans les régions au Nord du cercle polaire ne sont pas exceptionnelles. Les variations annuelles de température y sont très importantes et les vagues de chaleur brèves mais marquées ne sont pas rares.

La région dans laquelle se trouve Verkhoïansk connaît un climat hypercontinental où il peut faire très chaud l’été et très froid en hiver. Ainsi Verkhoïansk est réputée pour être le point le plus froid de l’hémisphère Nord (avec un record à -69,8 °C.). La moyenne des maximales du mois de juillet est de 23 °C, mais Il n’est pas rare selon Météo France d’y mesurer de températures supérieures à 30 °C. Le précédent record de température pour Verkhoïansk était de 37,3 ° C en juillet 1988.

Commentant ce record de chaleur en Sibérie, Antony Watt rappelle que cette région est dominée une grande partie de l’année par des hautes pressions qui la coupe des influences du réchauffement en hiver et qui , associées à un manque de couverture nuageuse, entraînent un froid intense pendant les mois les plus froids. En été, c’est l’inverse qui se produit, conduisant à des températures excessivement élevées.

Dans ce même article Antony Watt indique que Fort Yukon, qui est également au- dessus du cercle polaire arctique a connu un record de température de 100 degrés Fahrenheit (37,78 °C) le 27 juin 1915 selon les documents officiels du National Weather Service dont les enregistrements remontent à 1904. Une anomalie de +0,8 C pour l’hémisphère Nord.

La carte du monde ci-dessous (Figure 2) permet de visualiser les anomalies de température (écart par rapport à la moyenne 1979-2010) le 22 juin 2020, à 2 mètres du sol pour l’hémisphère Nord.

On y voit une zone très chaude en Sibérie. Mais on y voit aussi d’autres régions du Monde marquées par des anomalies négatives, de sorte que l’anomalie moyenne pour l’hémisphère Nord n’était ce jour là que de 0,8°C.

Les températures sont revenues à des valeurs normales

Si l’on regarde maintenant les prévisions météorologiques à Verkhoïansk pour la semaine du 1 au 8 juillet, on voit des températures maximales s’étageant entre 9°C et 27°C.

Que conclure ?

La Sibérie est une vaste région dont une grande partie est peu observée, ce qui signifie qu’il existe peu de données directes sur les températures. Même s’il est admis que la Sibérie se réchauffe plus rapidement que la moyenne de la planète, la surréaction des médias à un événement météorologique isolé montre à quel point un débat rationnel sur le changement climatique devient au fil des années plus difficile. climato-realistes.fr 30 juin 2020


Le 14 juillet 2020

CAUSERIE ET INFOS

Les deux fichiers suivants sont disponibles, j'avais oublié de les charger dans le serveur.

- Covid-19_US_billionaire_18062020.pdf

- Grand_Moyen_Orient_30062020.pdf

Des conditions favorables m'ont permis d'actualiser le portail. Bon mardi !

Avertissement.

Je m'apprêtais à mettre en ligne une vidéo et sa transcription qui prétendait prouver scientifiquement l'inutilité du masque, jusqu'au moment où je suis tombé sur une énormité qui m'a fait comprendre que j'étais en présence d'un vulgaire manipulateur, un ex-professeur canadien de physique.

Chacun comprendra que ma réaction n'a pas été influencée par mes propres convictions ou des considérations personnelles, car bien que je sois un farouche opposant au port du masque, hormis en salle d'opération ou en laboratoire, théoriquement j'aurais dû accueillir favorablement cette vidéo, sauf que mes principes sont supérieurs à toute sorte de motivations, et que jusqu'à preuve du contraire ils demeurent les garants de mon honnêteté, donc j'y tiens plus que tout.

Sans entrer dans les détails car cela n'en vaut pas la peine, cet ex-physicien en est arrivé à affirmer que le masque ne servait à rien en salle d'opération, en chirurgie, pire, que toute opération se solderait forcément par des infections, ce qui est évidemment un faux grotesque. Si c'était le cas lorsque mon épouse a subi une opération du coeur de 12 heures en 2007, elle aurait largement eu le temps d'être infectée, or cela n'a pas été le cas.

Je n'ai pas visualisé cette vidéo, j'ai préféré lire attentivement sa transcription. Par curiosité j'ai lu une partie des centaines de commentaires qui figuraient à la suite de cette vidéo sur YouTube, et j'ai pu constater que l'immense majorité des internautes encensaient son auteur. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils avaient entendu ce qu'ils avaient envie d'entendre, parce qu'ils en avaient marre de devoir porter un masque dans les espaces publics clos, les transports en commun ou les commerces par exemple.

Tout peut faire l'objet d'une manipulation, de préférence tous les sujets qui portent à polémique ou à controverse, de manière à discréditer les analyses ou arguments les plus pertinents ou justes qui contredisent les théories officielles que la population doit adopter. Et on peut observer que cela fonctionne à merveille, hélas !

Il suffit sur un sujet donné au côté de personnes sérieuses, compétentes et honnêtes fournissant les preuves et les sources de ce qu'elles avancent, de donner la parole dans les médias ou les réseaux dits sociaux à des provocateurs professionnels ou des agents officiels de la réaction, des charlatans ou des escrocs patentés, des illuminés inconnus ou des ignares sujets à la mythomanie, ou encore toutes sortes de cinglés ayant une inclinaison au délire mégalomaniaque, ils pullulent, pour les mettre tous dans le même panier de crabes ou que personne ne soit en mesure de savoir quoi penser, de sorte que seule la version officielle restera en lice ou fera office de vérité.

Imaginons que j'ai mis cette vidéo en ligne dans notre portail, en écoutant son auteur déblatérer des énormités, les personnes, qui jusqu'à présent me manifestaient une certaine confiance ou estime, seraient amenés à se poser des questions ou à réviser leur jugement, et elles auraient raison de me cataloguer parmi les complotistes ou autres éberlué qui essaiment sur le Net.

Au cours des 6 derniers mois les occasions de se tromper sur certains aspects de la crise sanitaire artificiellement créée n'ont pas manqué, et comme tout le monde il m'est arrivé de reproduire des âneries, y compris du Pr. Raoult ou d'autres scientifiques parmi les plus respectables, mais sans doute moins que la moyenne et je me suis employé à les rectifier quand je m'en suis aperçu. Parfois ils ont avoué leur propre ignorance, mais parfois aussi pressés de répondre à des questions, ils se sont livrés à des démonstrations qui se sont avérées en partie fausses, du fait de leur complexité ou par manque de temps pour vérifier que l'ensemble des données qui existaient, n'avaient pas donner lieu à des interprétations qui ne se contredisaient pas, ce qui n'apparaîtrait clairement que plus tard, ce qu'on peut parfaitement comprendre sans les accuser d'avoir voulu nous manipuler délibérément, pour peu qu'on n'ait pas un esprit borné ou qu'on ne prétende pas tout connaître mieux que tout le monde.

Toujours est-il qu'on a pu aussi observer que tous ces scientifiques n'étaient pas d'accord entre eux sur des questions essentielles, contrairement à ce qu'on aurait pu croire au premier abord, ce qui avait de quoi en surprendre plus d'un. Par exemple, le Pr. Raoult a affirmé que les masques ne servaient à rien, alors que le Pr Perronne soutenait le contraire. On peut concevoir que ce soit déstabilisant, mais comme le citoyen lambda n'y comprend rien, finalement cela n'a pas tellement d'importance. L'immense majorité les soutient indistinctement, et quelque part c'est très bien ainsi puisque tous les deux soignent leurs patients au lieu de les laisser mourir. Cependant, il nous est impossible de d'imiter le citoyen lambda. Notre devoir est d'aborder chaque sujet séparément et de les traiter en fonction des connaissances disponibles, que l'un ou l'autre de ces professeurs en ignore une partie n'est pas notre affaire, on ne s'aligne pas sur l'un ou sur l'autre, on ne pratique pas le culte de la personnalité, on conserve notre indépendance en toute circonstance, c'est ce que les lecteurs attendent de nous, n'est-ce pas ? On ne fait pas partie de ces militants qui se prétendent indépendants, et qui à la première occasion démontrent le contraire, nos lecteurs ne nous le pardonneraient pas et ils auraient raison.

Ce qu'il faut avoir à l'esprit, c'est qu'il était impossible de traiter du Covid-19 sans mettre en relation un certain nombre de facteurs extrêmement complexes et leurs conséquences politiques ou sociales, le mode de transmission, la contagiosité, le taux de mortalité, les différents types d'immunité, les tests, quel traitement ou protocole, etc. le confinement, le masque, le traçage, la distanciation sociale, etc. le tout simultanément, à chaud, sans recul, parce que tout le monde exigeait des réponses immédiates et définitives au-delà du raisonnable parfois ou souvent, d'où certaines approximations ou erreurs qui ont été en grande partie corrigées par la suite...

Oui, on passe beaucoup de temps à se justifier, à expliquer les choses, cela me semble indispensable à une époque ou trônent l'imposture, la mystification, la charlatanerie... On sait que la confusion domine la plupart des esprits, et pour en venir à bout ou que nos explications soient accessibles au plus grand nombre, ce n'est pas toujours simple de trouver les mots ou les tournures de phrases les plus appropriés, je vous assure que cela nécessite une concentration hors du commun ou de se dépasser, quand on en est capable, ce qui n'est pas toujours le cas, cela apporte une certaine satisfaction, mais c'est épuisant !

Aux dernières nouvelles, compte tenu que sur les 30.000 morts attribués au Covid-19, entre un tiers ou la moitié sont imputables au virus de la grippe, car ils sont bien passés quelque part ces morts, ils ne se sont pas volatilisés, s'ils ne figurent pas dans les statistiques des morts attribués au virus de la grippe, c'est qu'ils ont été comptés parmi ceux attribués au Covid-19, et comme il y a chaque année entre 10 et 20.000 morts de la grippe, en prenant la moyenne de 15.000 on reste dans la norme. Alors ce qui se peut aussi, c'est que chez les enfants le coronavirus ait supplanté le virus de la grippe et qu'ils l'aient transmis de préférence à des adultes ou des vieux, ce qui expliquerait pourquoi il y a eu si peu de morts de la grippe. Il n'y a donc pas de surmortalité, ou alors elle a été délibérément provoquée comme en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Imaginez un instant que les enfants ne soient pas immunisés ou qu'ils n'aient pas les capacités de s'immuniser, cela aurait été une catastrophe entraînant une panique générale pire que celle qu'on a connue, les gosses mourant comme des mouches par dizaines de milliers, c'est tout un peuple qui aurait été dévasté.


24 pages au format pdf

Il y a un truc qui ne colle pas dans leur histoire.

Dans la dernière causerie, on a rendu compte qu'ils auraient découvert des traces du Covid-19 un peu partout dans le monde un an plus tôt, aux alentours du mois de mars 2019. Bien, mais alors comment expliquent-ils que l'épidémie se serait manifestée presque un an plus tard à Wuhan en Chine, pourquoi précisément à Wuhan et pas ailleurs ?

Admettons qu'en mars 2019 il aurait été trop tard pour que l'épidémie se déclenche en Espagne, en revanche rien n'explique pourquoi elle ne s'est pas déclenchée quand les conditions étaient favorables quelques mois plus tard dans l'hémisphère sud. S'agissait-il de la même souche et combien de fois auraient-elles muté ?

N'aurait-il pas été possible de répandre dans le monde à des époques de l'année bien précises en tenant compte des caractéristiques saisonnières de chaque continent, une souche mère peu active en prévision qu'elle mute au cours des mois suivants et que sa contagiosité augmente de manière à déclencher un début d'épidémie dans une région du monde précise, là où les conditions étaient particulièrement favorables compte tenu de la densité de sa population ?

Cette hypothèse est motivée par le fait qu'au même moment la Gates Foundation et le Forum économique mondial organisait un exercice de simulation de pandémie au nCoV-2019, cela ne tenait certainement pas du hasard, à moins de leur prêter des dons de devins, ce qui n'est pas notre cas. Comment pouvaient-ils savoir dès octobre 2019 que cette épidémie mondiale était sur le point d'éclater ? Sans une connaissance précise de ce coronavirus c'était totalement impossible.

Il se peut aussi que cette révélation tardive par les médias de l'existence de traces du Covid-19 dans le monde entier un an plus tôt, ait été purement et simplement fabriquée à partir d'interprétations erronées de tests. Car sachant que les différents coronavirus ou virus ont en commun certains éléments génétiques ou segments, il est facile d'instrumentaliser ces échantillons en attribuant les traces de virus trouvées lors des tests à n'importe quel coronavirus.

On a bien découvert tout récemment, qu'ils avaient instrumentalisé les morceaux de coronavirus découverts lors de tests PCR décrétés positifs en faisant croire que les porteurs étaient tous contagieux, alors qu'en réalité dans bien des cas il ne s'agissait que de traces ou de résidus inactifs du coronavirus chez des personnes qui avaient été précédemment contaminées mais qui ne l'étaient plus, donc qui n'étaient plus contagieuses, le tout histoire d'entretenir la psychose collective, opération facilitée en multipliant les tests parmi la population, forcément le nombre de personnes testées positives allaient fortement augmenter, sans que le nombre de morts n'augmentent, d'où leur focalisation sur le nombre de personnes infectées.

Comme de nombreux facteurs entrent en ligne de compte dans cette machination, il est difficile de trouver celui ou ceux qui l'emporteraient sur les autres ou quel est leur ordre de priorité, quels intérêts économiques ou politiques ils ont privilégiés, on en connaît plusieurs, Big Pharma, la situation politique aux Etats-Unis à quelques mois de l'élection présidentielle, les relations économiques avec la Chine... Sur un plan plus général on peut se demander comment cette opération s'inscrit dans leur stratégie à l'échelle mondiale, notamment dans la perspective du bouleversement mondial ou "great reset" annoncé pour janvier 2021, ce qui apparemment ne préoccupe pas grand monde ou tout le monde s'en fout, je crois que c'est l'aspect le plus préoccupant et dangereux de la situation.

Ces gens-là ne sont pas des dilettantes, ils ne font jamais rien sans en attendre quelque chose en retour. On sait qu'ils exploitent chaque crise pour renforcer leur pouvoir et augmenter leur fortune, et celle-ci n'a pas échappé à la règle, et sachant qu'elle a été programmées pour durer au-delà de décembre 2020, ils n'arrêtent pas de répéter que ses conséquences économiques et sociales vont se répercuter au moins jusqu'en 2022, alors la négliger ou la traiter comme les précédentes risque de réduire à néant notre capacité à affronter à partir de janvier 2021 la tempête qui se prépare.

Venons-nous d'assister à une répétition générale de ce qui nous attend par la suite en pire sur le plan social à partir de janvier 2021? On peut se poser légitimement la question. A quoi bon direz-vous peut-être.

Effectivement, si on ne modifie pas radicalement et immédiatement nos rapports au régime, aux institutions, à l'oligarchie, c'est parce qu'on estime qu'il ne s'est pratiquement rien passé au cours du premier semestre 2020, c'est d'ailleurs ce à quoi on assiste de la part de tous les acteurs politiques, y compris chez ceux qui hurlent à la catastrophe, car cela sert à couvrir leur incapacité ou leur refus de caractériser le régime, de l'affronter surtout, après qu'il ait choisi de ne pas traiter des milliers de malades qu'il a condamnés à mort, crime de masse incontestable qui pour nous a une signification politique, mais qu'eux considèrent insignifiant ou pas suffisant pour modifier leur caractérisation du régime, décision criminelle qu'on a tout lieu d'assimiler à une trahison qu'on pourrait qualifier de suicidaire sans s'en préoccupper si nous n'étions pas les premiers concernés, l'ensemble de la classe ouvrière.

A cette occasion, on peut observer que ceux qui parlent de rupture avec le capitalisme refusent obstinément de rompre avec l'opportunisme, ainsi ils préparent les conditions des pires défaites à venir pour la classe ouvrière ou l'avènement d'un régime mondial totalitaire. On a beau essayer de mettre en garde les travailleurs et militants, en vain. D'ailleurs je me demande s'il y en a encore beaucoup qui se connectent à notre portail ou courant politique, la plupart de ceux qui s'y sont connectés un jour l'ont déserté également depuis longtemps, parce qu'ils s'accommodaient aussi bien des sornettes que leur racontaient leurs dirigeants que du régime en place au lieu de le combattre réellement.

Unité, unité, travailleurs, travailleuses, la lutte, la lutte, créer un rapport de forces, patati et patata, voilà ce qu'ils n'ont cessé de répéter depuis 75 ans, et ils continuent, je le répète, exactement comme si rien ne venait de se passer ou rien ne se préparait de plus terrible encore, pour finalement un résultat nul qui se soldera de la même manière demain, à ceci près que notre espoir de changer de régime et de société se sera un peu plus éloigné ou aura pratiquement disparu, notre émancipation ou le socialisme sera devenu impossible à réaliser. Souhaitons que je me trompe.

Réglez vos comptes : Publicité, télévision, réseaux sociaux, fuyez-les comme la peste et vous vous porterez déjà mieux !

- Première explication invoquée par les femmes pour expliquer leurs complexes : l’influence de la publicité (86 %), suivie de près par celle de la télévision (84 %) ...et des réseaux sociaux (79 %). Cet impact se constate tristement parmi les réponses des Françaises interrogées : si 68 % de celles qui sont inscrites sur un réseau social type Facebook sont mal à l'aise avec leur physique, le chiffre chute à 49 % chez celles qui ne possèdent aucun compte en ligne. yahoo.com/femina.fr 9 juillet 2020

LVOG - Soyez naturelles mesdames au dehors comme au dedans, physiquement et dans votre tête, et vous vous porterez mieux spontanément. A quoi bon tricher avec la réalité, c'est une source de confusion et de malheur dans la vie. Ceux qui vous jugent d'après votre physique ne valent pas la peine que vous leur prêtiez la moindre attention. Et que celles qui sont victimes de cette discrimination, se disent qu'ils en existent de bien pire si cela peut les consoler. Il n'existe rien de supérieur à vos qualités humaines. Si vous n'en êtes pas convaincues, c'est peut-être parce que vous avez encore des efforts à faire de ce côté-là.

En tant qu'homme, j'ai toujours vécu avec des femmes auxquelles je prêtais certaines qualités humaines qu'elles n'avaient pas forcément, ce qui explique pourquoi j'ai dû en changer parfois ou notre relation se solda par une rupture, c'est tout du moins mon explication, qu'elles ne partageront pas forcément. On peut tolérer beaucoup de choses désagréables d'une personne pendant longtemps, mais rien ne peut remplacer chez elle l'absence de certaines qualités ou valeurs humaines, appelez cela comme vous voudrez.

Le problème dans la vie, c'est que ce n'est pas écrit sur son visage, on le découvrira plus tard quand elle nous pourrira l'existence, et quoiqu'on fasse n'y changera rien généralement ou envenimera encore nos rapports jusqu'à les rendre exécrables ou invivables, et dans ce cas-là, se raccrocher à ces valeurs n'y changera rien, car elles ne peuvent pas s'épanouir spontanément si on a cessé un jour de les cultiver ou de les mettre en pratique. Ce qui se passe habituellement, c'est qu'au départ on est rempli de bonnes intentions réciproques, et le temps passant nos intérêts individuels prennent le dessus sur ces valeurs humaines, qui, bien qu'elles soient universelles, nous irons jusqu'à accuser celui ou celle qui s'en réclame d'hypocrite, dès lors tout espoir de revenir à l'état d'esprit initial aura totalement disparu et la mauvaise entente ou la séparation sera rendue inévitable et souhaitable pour tous les deux, oui, je parle en connaissance de cause, hélas !

Qui a dit ?

Ils osent tout au-delà de tout ce qu'un individu normalement constitué peut imaginer, qui de ce fait sera porté à les croire sur parole et en sera la victime.

- "Si nous laissons les médicaments et les vaccins aller aux plus offrants, au lieu des gens là où on en a le plus besoin, nous aurons une pandémie plus longue, plus injuste et plus meurtrière".

- "Nous avons besoin de leaders afin de prendre des décisions fermes pour une distribution fondée sur l'équité et non juste sur des facteurs liés au marché".

- "Que ce soit le sida ou le Covid-19, la coopération mondiale et la détermination pour inventer des outils et les livrer là où on en a le plus besoin, sont cruciales"

LVOG - Assurément ces paroles sont celle d'un honnête homme, un homme de bien, bon et généreux, profondément humaniste, mais est-ce bien sûr ?

Réponse : Bill Gates dans une vidéo enregistrée à Seattle. (Source : BFMTV 12 juillet 2020)

LVOG - Lisez les discours des plus grands dictateurs du XXe siècle, le ton de leur discours était identique, Hitler, Mussolini, Franco ou Pinochet étaient des bienfaiteurs de l'humanité bénis par l'église catholique.

Capitalisme : Stop ou encore ? "60 à 80% des maladies dont souffre la population seraient évitables"... à condition de changer de régime!

Jean-Dominique Michel est anthropoloqgue médical.

Il vient de publier Covid: anatomie d’une crise sanitaire (éditions humensciences).

Jean-Dominique Michel - Comme le domaine de la santé est plein de non-dits, de demi-vérités et de conflits d’intérêt, j’ai ironisé en disant que je me réjouissais de l’entendre aussi rappeler que 60 à 80% des maladies dont souffre la population seraient évitables et sont le produit du laxisme de notre législation. La laissant exposée à cinq facteurs de risque majeurs: l’alimentation toxique, la pollution atmosphérique, les polluants chimiques, la sédentarité et le stress.

De grandes industries (comme l’agroalimentaire, la pétrochimie, les énergies fossiles ou les transports) se voient accorder des «permis de prospérer» en causant des dommages majeurs à la santé des gens.

790 000 personnes meurent chaque année de la pollution atmosphérique en Europe, soit bien plus que les victimes de la Covid. On n’a jamais que je sache imposé un «lock-down» ou interrompu les trafics aérien et routier pour éviter ces décès. Cette fois-ci, pour un virus nouveau mais bien moins grave comme problème de santé que les maladies tueuses chroniques, on a montré que faire quelque chose était possible! lefigaro.fr 12 juillet 2020

LVOG - A y regarder de plus près, on s'aperçoit qu'ils stigmatisent les malades et les vieux qui jusqu'à présent vivaient parmi nous, et qui dorénavant sous prétexte de l'existence d'un virus devraient changer de comportement et s'imposer des mesures liberticides, afin d'éviter d'être contaminés ou mourir prématurément, comme si délibérément la société vouée au profit ne sécrétait pas déjà une multitude d'éléments toxiques susceptibles de porter atteinte à leur santé ou de réduire leur espérance de vie, sans que personne ou presque n'y trouve rien à redire.

Mieux encore, et pour ne pas mettre en danger la vie de ces catégories de la population, leurs proches et tous ceux qui sont amenés à les approcher devraient aussi adopter ces mesures liberticides, éviter tout contact physique et porter un masque pour s'adresser à eux.

C'est ainsi qu'ils visent toutes les générations, bien-portants et malades, l'ensemble de la population. Demain ces sadiques accuseront un petit garçon d'avoir embrassé son grand-père et d'avoir causé sa mort, par exemple.

Comment peut-on vivre et espérer s'épanouir dans une telle société ? La classe dominante a développé ses activités criminelles dans tant de secteurs de la société, que sans avoir à fournir le moindre effort ou sans même avoir une bonne mémoire, on regorge de matériaux pour en faire le procès et lui adresser un certificat de décès.

Parole d'internaute.

- "...les vrais problèmes ne sont pas sur ce sujet, mais sur la privation de liberté à travers le confinement, car c'est un emprisonnement collectif pris pour mesurer le niveau de réaction des peuples. Depuis des décennies les gouvernements (occidentaux notamment) n'ont eu de cesse que de casser les liens sociaux en opposant les communautés, avec le covid-19 ils ont franchi une étape supérieure en imposant la distanciation individuelle. La dégringolade est réelle, du peuple au groupe, du groupe à l'individu. L'individu se retrouve seul face au gouvernement. Un gouvernement détenteur de la vérité et qui sait mieux que chacun de nous ce qui est bon pour nous..."

LVOG - Un gouvernement qui remet en cause la liberté de prescription des médecins est tyrannique.

Faites tomber les masques de l'opportunisme.

Noté dans le blog minable du POI.

IO 612

- Un nouveau Premier ministre. Toujours le même objectif

LVOG - Pardi, en voilà une info !

IO 611

- Un rejet général !

LVOG - Faux : 40% ont encore cautionné l'existence des institutions de la Ve République.

- Les hospitaliers ne veulent pas lâcher Macron et Véran !

LVOG - C'est une histoire d'amour que voulez-vous. Pour nous ce sera : Macron et Véran : Dehors !

Communiqué du POI du 7 juillet 2020

- Licenciements : "fatalité"... ou résistance ?

LVOG - Ou changement de régime, non ? Ce sera non.

La réaction en famille. Qui en doutait ?

Les maires écolos seront "des partenaires", assure Barbara Pompili - AFP 12 juillet 2020

Les maires écologistes nouvellement élus à la tête de plusieurs métropoles françaises seront "des partenaires" du gouvernement, comme tous les élus qui porteront des politiques vertes, a assuré samedi la nouvelle ministre de l'Environnement Barbara Pompili. AFP 12 juillet 2020

Contorsions d'un illusionniste.

Jean-Luc Mélenchon au JDD : "Macron est complètement dépassé par la situation" - Journal du Dimanche 12 juillet 2020

LVOG - On ne voit pas comment Macron pourrait être "complètement dépassé par la situation", sachant qu'il n'a aucun pouvoir. Il ne rate pas une occasion de le légitimer.

La gauche avait perdu "son identité collective", quand elle abandonna le socialisme.

Le communautarisme fait perdre son identité collective à la gauche (RT) — Tomasz Pierscionek - taibaweb.com 2 January 2019

Tomasz Pierscionek est médecin spécialisé en psychiatrie.

Extrait.

Le phénomène des communautarismes qui envahit le monde occidental est une stratégie de division et de conquête qui entrave l’émergence d’une véritable résistance aux élites.

L’un des principes fondamentaux du socialisme est l’idée d’une solidarité supranationale qui unit la classe ouvrière internationale et l’emporte sur tout facteur qui pourrait la diviser, comme la nation, la race ou le sexe. Les travailleurs de toutes les nations sont des partenaires, avec la même valeur et la même responsabilité dans la lutte contre les exploiteurs de leur cerveau et de leurs muscles.

Le capitalisme, surtout dans sa forme la plus aboutie, exploiteuse et dénuée d’états d’âme — l’impérialisme — a fait plus de tort à certains groupes de personnes qu’à d’autres. Les empires coloniaux réservaient leur pires brutalités aux peuples subjugués, alors que pour sa part, la classe ouvrière de ces nations impérialistes s’en sortait mieux, parce qu’elle se tenait plus près des miettes qui tombaient de la table de l’empire. La lutte internationale des classes vise à libérer tous les peuples du joug capitaliste, quel que soit leur degré d’oppression passé ou présent. L’expression ‘an injury to one is an injury to all’ [‘Une attaque contre un est une attaque contre tous’, slogan du syndicat étasunien fondé en 1905 Industrial Workers of the World, Travailleurs industriels du monde, NdT] résume cet état d’esprit et exclut de donner la priorité aux intérêts d’une faction de la classe ouvrière sur la collectivité.

Depuis la fin du XXe siècle, une tendance d’inspiration libérale infiltrée dans la gauche (du moins en Occident) encourage l’abandon d’une identité collectivité unique fondée sur la classe sociale en faveur de communautés multiples fondées sur le genre, la sexualité, la race ou tout autre vecteur de divisions. Chaque sous-groupe, de plus en plus distant de tous les autres, se concentre sur une identité partagée et les seules expériences de ses membres, et donne la priorité à sa propre émancipation. Toute personne extérieure à ce sous-groupe est admise, au mieux, au rang d’allié.

Mais il est beaucoup plus facile de « lutter » contre un groupe aussi opprimé, ou légèrement moins opprimé que le vôtre que de s’unir et de s’organiser contre l’ennemi commun – le capitalisme. La lutte contre l’oppression par le biais du communautarisme est au mieux une forme paresseuse, perverse et fétichiste de la lutte des classes. Elle est pilotée par des militants issus de la classe moyenne et de l’enseignement supérieur pour la plupart libéraux, et qui ne comprennent pas grand-chose à la théorie politique de gauche. Au pire, il s’agit d’un autre outil utilisé par les 1 % de l’élite économique pour diviser les 99 % restants en 99, ou en 999 groupes concurrents trop occupés à se battre entre eux pour remettre en question le statu quo. Sans surprise, l’un des principaux donateurs de cette fausse gauche communautariste est le milliardaire cisgenre blanc George Soros, dont les ONG ont aidé à orchestrer les manifestations de l’Euromaïdan en Ukraine, avec leur émergence de mouvements d’extrême droite et néo-nazis : le genre d’individus qui croient dur comme fer à une supériorité raciale et ne voient pas la diversité d’un bon œil.

Il existe une fausse idée largement diffusée, selon laquelle le communautarisme dériverait de la pensée marxiste. L’expression sans signification « marxisme culturel », qui a plus de rapport avec la culture libérale qu’avec le marxisme, est utilisée pour vendre cette ligne de pensée. [Aux USA, le « marxisme culturel » est une idéologie très à la mode émanée de l’École de Francfort, dont les travaux démarrés en 1923 avaient fini par déboucher sur une fusion entre le marxisme et l’idéologie bourgeoise. En France, nous en avons eu l’équivalent (sans l’étiquette marxiste) avec des intellectuels comme Derrida, Foucault, Deleuze, Guattari, etc. On notera que par exemple, le Français Raymond Aron faisait à la fois partie de l’École de Francfort et du Congress for Cultural Freedom, une officine implantée par la CIA en France (lien en français) dans les années 50, expressément pour faire la promotion d’une gauche anticommuniste, libérale-libertaire, capable d’éliminer l’influence du Parti communiste en Europe. [Mission accomplie, NdT].

Non seulement le communautarisme n’a rien de commun avec le marxisme, le socialisme ou tout autre courant de pensée traditionnelle de gauche, mais il en représente l’antithèse exacte.

L’idée selon laquelle le communautarisme fait partie de la pensée traditionnelle de gauche est diffusée par la droite, qui cherche à discréditer les mouvements de gauche, par les libéraux qui cherchent à les infiltrer, à les poignarder dans le dos et à les détruire, et par des jeunes radicaux malavisés qui ne connaissent rien à la théorie politique, et qui n’ont ni la patience ni la discipline nécessaires pour l’apprendre. Ces derniers cherchent à se donner à bon compte l’illusion d’ébranler les fondements du capitalisme alors qu’en réalité, ils les renforcent.

Le communautarisme est typiquement un phénomène moderne piloté par la classe moyenne [à la remorque des médias grand public, NdT] pour aider les dirigeants libéraux à diviser et distraire les masses. En Occident, vous êtes libre de choisir votre sexe ou votre sexualité, d’en changer à votre guise ou même de créer les vôtres, mais vous n’avez pas le droit de remettre en question les fondements du capitalisme ou du libéralisme. Le communautarisme est le nouvel opium du peuple et handicape sérieusement toute résistance organisée contre le système. Certains segments de la gauche occidentale pensent même que ces « libertés » susmentionnées sont un indicateur de progrès et de supériorité culturelle qui justifie leur exportation à l’étranger, que ce soit en douceur par l’intermédiaire d’ONG ou plus brutalement, par des révolutions de couleur et des changements de régime. taibaweb.com 2 January 2019

LVOG - Pas seulement "certains segments de la gauche occidentale", la totalité en incluant l'extrême gauche, à l'exception de quelques voix éparpillées qui dénoncent le communautarisme et qui ne sont pas de gauche pour la plupart d'entre elles.

Toujours dans le registre on va tous mourir. Leur dernière trouvaille destinée aux croyants.

Ouvrez les fenêtres et priez poliment le Covid-19, de sortir... et de ne pas entrer, c'est moi qui le précise.

Plus fort encore, mettez la climatisation en marche et laissez les fenêtres ouvertes, quel luxe ou c'est à se demander à quoi cela sert d'allumer la climatisation, si c'est pour laisser entrer l'air chaud !

La climatisation brasse de l'air, et au cas où le Covid-19 serait présent dans l'air, elle serait responsable de sa propagation. Quelle découverte ! Si vous étiez complexé parce que vous n'aviez pas fait d'études supérieures, cessez de l'être, 99,99% des chercheurs, scientifiques, professeurs et autres intellectuels des classes moyennes sont incapables de faire preuve de la logique la plus élémentaire ou ils sont rongés par l'ambition, quand ils ne sont pas influencés idéologiquement.

Remarque : C'est exactement la même chose qui se produit avec un ventilateur ou même un éventail ou lorsque vous créez un courant d'air dans une pièce en ouvrant une porte ou une fenêtre. Tout ce qu'il y a dans l'air va se trouver soudainement propulser aux alentours et ne sortira pas forcément par la fenêtre comme on a pu le lire ici ou là, ce qui était stupide, car on ne voit pas pourquoi un virus présent dans l'air se dirigerait obligatoirement vers l'extérieur.

Tout le monde a déjà fait l'expérience d'ouvrir les fenêtres de son habitation pour évacuer une odeur de friture ou de tabac par exemple, et chacun a pu constater que cela mettait un certain temps avant qu'elle ne disparaisse sans l'aide d'un ventilateur, mieux qu'elle persistait ou réapparaissait dès qu'on fermait les fenêtres parce qu'en réalité elle n'avait pas totalement disparu, donc durant tout ce temps on a eu largement le temps de l'inhaler, et dans le cas d'un virus de le respirer par le nez et la bouche.

On se marre en lisant que pour bien ventiler une pièce il faudrait ouvrir la ou les fenêtres entre 5 et 15 minutes plusieurs fois par jour, la ou les fenêtres ce n'est déjà pas la même chose, sans parler de la taille des fenêtres, leur location, en rez-de-chaussée ou au 4è étage, avec ou sans vis-à-vis, ce n'est pas non plus la même chose, leur orientation ou exposition, si elles sont situées au sud et que le vent souffle du nord, il ne risquera pas d'entrer dans cette pièce...

Et dans le cas qui nous occupe ici, vous pouvez aussi bien le faire sortir ou le faire entrer par les fenêtres puisque le virus peut être présent à l'intérieur ou à l'extérieur de votre habitation.

Chez nous dans notre petite maison il y a 11 fenêtres pour 4 pièces en comptant la salle d'eau/WC. Sauf celles de la chambre climatisée une partie de la nuit, toutes les fenêtres restent ouvertes la nuit jusqu'à 9h où on les ferme à cause de la chaleur extérieure, et on les rouvre vers 17h quand la température commence à descendre. Les fenêtres toutes équipées de moustiquaires donnent sur le jardin où se baladent toutes sortes d'animaux sauvages et virus, virus qui ne me demandent pas l'autorisation pour entrer dans la maison par les fenêtres ou avec lesquels je serai en contact dans le jardin. Bref, quoique je fasse, je ne peux pas y échapper, et je ne parle même pas dès que je vais en ville, là c'est le bain assuré, et comme tous les Indiens, miracle, malgré tous les virus que je me trimballe, je ne suis pas encore mort !

Conclusion : Ils multiplient les articles et les arguments aux apparences bien intentionnées ou soi-disant pour protéger la population d'une menace qu'ils s'emploient à instrumentaliser ou à amplifier uniquement pour entretenir un climat de psychose collective et justifier des mesures liberticides. Car si ce virus est présent dans l'air, il est destiné à se répandre absolument partout, aussi longtemps qu'il en a la force ou que les conditions atmosphériques le permettent.

Ces climatiseurs peuvent augmenter le risque d’attraper le Covid-19, selon le Telegraph - sputniknews.com 12 juillet 2020

Éteindre la climatisation est une bonne idée, estime un expert de l’Académie royale britannique d'ingénierie interrogé par le Telegraph, et ce alors que l'OMS a changé d'avis sur la possibilité de transmission du Covid-19 dans l’air.

Les climatiseurs qui font circuler le même air dans une pièce risquent d’aggraver la propagation des particules virales si une personne est infectée par le Covid-19, annonce le journal The Telegraph qui se réfère à Shaun Fitzgerald, expert de l’Académie royale britannique d'ingénierie.

Les climatiseurs qui n’ont pas de «source dédiée d’air extérieur […] pourraient être responsables de la propagation des particules virales aéroportées dans le chemin des utilisateurs socialement distanciés», expliquent les recommandations de la Chartered Institution of Building Service Engineers (CIBSE) que M.Fitzgerald a aidé à rédiger.

«Si vous avez un climatiseur split, la stratégie que nous recommandons consiste à ouvrir la fenêtre et renoncer à avoir un environnement froid ou plus frais. S'il y a un minimum de vent, il y aura un mouvement d’air. Si vous ne pouvez pas ouvrir une fenêtre, éteignez l'appareil», indique M.Fitzgerald.

D’après lui, cela pourrait aller à l'encontre de la sagesse conventionnelle et être plus cher, mais ouvrir une fenêtre pendant le fonctionnement du climatiseur serait le meilleur moyen d'atténuer les risques d’attraper le Covid-19. sputniknews.com 12 juillet 2020

LVOG - On croirait entre les "experts" du GIEC !

Même pas peur !

Une nouvelle pneumonie "plus mortelle" que le Covid-19 découverte ? - Yahoo 10 juillet 2020

La Chine s’inquiète d’une nouvelle “pneumonie inconnue” au Kazakhstan, plus mortelle que le Covid-19. Les autorités du pays réfutent ses accusations et plaident une différence de classement des maladies.

Si les autorités chinoises s’en inquiètent maintenant, c’est que le nombre de cas aurait bondi depuis la mi-juin, principalement dans les provinces d’Atyrau (au sud-ouest, près de la mer Caspienne) et Aktobe (au nord-ouest, près de la frontière russe), ainsi que dans la ville de Shymkent (au sud, près de la frontière avec l’Ouzbékistan).

Selon la Chine, près de 1 800 personnes seraient décédées de cette mystérieuse pneumonie depuis le début de l’année, dont plus de 600 rien qu’au mois de juin, comme le rapporte le South China Morning Post. Le nombre de cas enregistré le mois dernier serait ainsi deux fois plus élevé qu’à la même période en 2019, d’après l’agence de presse Kazinform. “300 personnes sont hospitalisées chaque jour avec une pneumonie”, a expliqué Saule Kisikova, cheffe du département de la santé à Astana (la capitale).

Pour autant, le gouvernement réfute totalement l’appellation de “nouvelle pneumonie”, avancée par la Chine, selon CNN. Le ministre de la Santé a reconnu qu’il y avait bien “une pneumonie virale dont la cause n’est pas spécifiée”, mais il a nié le fait que cette épidémie était inconnue ou nouvelle.

Selon les autorités kazakhs, c’est avec le terme “non spécifié” que seraient enregistrés les cas de pneumonie lorsque le Covid-19 est diagnostiqué chez un patient mais qu’il n’y a pas de confirmation par test, conformément aux indications de l’OMS. Yahoo 10 juillet 2020

La réaction sans masque.

LVOG - Ils tiennent absolument à vous garder à genoux, ils vous tiennent et ils ne veulent plus vous lâcher...

Coronavirus : "développer le port du masque est à l'étude", affirme Castex - Europe1 13 juillet 2020

En déplacement en Guyane, le Premier ministre Jean Castex a indiqué dimanche que "la question de développer le port du masque est à l'étude", notamment pour les lieux clos, afin de lutter contre l'épidémie de coronavirus. Europe1 13 juillet 2020

Leur humanisme est la politesse des salauds, face à laquelle toute incivilité est honorable.

Coronavirus : "Ne pas porter un masque c'est un geste d'incivilité" estime le président du syndicat de médecin MG France Franceinfo 13 juillet 2020

"Il faut que les gens se disent que ne pas porter un masque c'est un geste d'incivilité par rapport à la société dans laquelle on évolue dès lors qu'on ne peut pas garder une distance suffisante". Franceinfo 13 juillet 2020

Commentaire d'un internaute.

- "Aujourd'hui, on a des masques, il faut s'en servir" ... preuve que ce n'est donc plus de la médecine mais une décision politique, cqfd !

1) au pic de l'épidémie, les masques manquaient, ils étaient donc déclarés inutiles.

2) lorsque les masques ont été reçu en quantité, l'épidémie était réduite de moitié, et ils sont devenus conseillés.

3) maintenant que c'est terminé, l'Etat se retrouve avec les masques sur les bras, qu'il faut absolument écouler, donc ils deviennent obligatoires.

Qui peut encore faire confiance en nos dirigeants ?

Les moutons et les complices, et je ne suis ni l'un ni l'autre !

Que cet imposteur subventionné aille raconter ses mensonges ailleurs.

Des soignants sans masques et ils ne meurent pas, c'est donc que le masque est inutile. CQFD.

"Nos soignants n’ont toujours pas de masques", alerte le président des maires de Guyane avant la visite de Jean Castex - Europe1 12 juillet 2020

"Les chiffres, paraît-il, diminuent. Moi, je n’en suis pas certain. On en est à notre 26ème décès et on frôle les 6.000 cas", pointe au micro d’Europe 1 David Riché, le président de l’Association des maires de Guyane, qui avait demandé par courrier, début juin, un reconfinement. "Nos soignants n’ont toujours pas de masques", relève-il. Europe1 12 juillet 2020

Coronavirus : des médecins demandent le port du masque obligatoire en lieux fermés - Yahoo 10 juillet 2020

En Belgique, le port du masque est désormais obligatoire dans tous les magasins et musées, alors qu’en Catalogne, le masque est imposé dans tout l’espace public.

“Il y a un relâchement profond des Français sur les mesures de distanciation sociale et les gestes barrières”, alertait Jean-Francois Delfraissy, président du Conseil scientifique. Même au sommet de l’État, le port du masque et les gestes barrières ne sont plus respectés aussi scrupuleusement.

Pour l’instant, le port du masque est obligatoire dans les transports en commun, trains, avions, les gares et aéroports, pour les personnels de la restauration, pour les clients des restaurants durant leurs déplacements ou encore dans certains magasins.

Mais face aux décisions de la Catalogne et de la Belgique, plusieurs médecins souhaitent que la France étende l’obligation de port du masque, comme le professeur Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière à Paris. “Les masques doivent être rendus obligatoires dans tous les lieux publics fermés ET ouverts. Cela s’appelle le principe de précaution”, argumente-t-il.

Toujours dans l’hebdomadaire, Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des Médecins de France, s’appuie sur l’étude qui révèle que le Covid-19 pourrait se transmettre par voie aérienne pour renforcer le port du masque : “s'il s'avère que c'est le cas, ce serait une catastrophe et il faudrait impérativement imposer le masque en toutes circonstances”, argumente-t-il.

Des demandes qui semblent avoir un très léger écho au sein du gouvernement. À l’Assemblée, Olivier Véran, ministre de la Santé, a exhorté les députés à remettre leur masque lorsqu’ils s’invectivent.

Vendredi matin sur BFMTV, Olivier Véran a rappelé “l’importance des gestes barrières”, sans toutefois évoquer le port du masque.

Durant un déplacement à Dijon, le Premier ministre Jean Castex s’est exprimé sur ce sujet : "J'ai demandé à tous les acteurs de porter de plus en plus de masques pour nous prévenir au mieux d'une éventuelle deuxième vague de l'épidémie", a-t-il déclaré, lors d'une seconde allocution en fin de matinée. Et de prévenir: "la meilleure façon de la combattre, c'est de la prévenir", rapporte BFMTV.

Pour autant, le gouvernement n’évoque pas l’idée d’étendre l’obligation de port du masque dans les lieux clos. Santé publique France note dans son bulletin hebdomadaire "une tendance à l'augmentation de la circulation du virus en France métropolitaine". Ce qui pourrait changer la donne... Yahoo 10 juillet 2020

En totalitarisme il faut choisir entre le masque et le confinement, la sécurité et la liberté, l'emploi et le salaire.

Port du masque : "Dans les endroits clos où il y a du monde, c'est quelque chose de vraiment indispensable", explique Axel Kahn - Franceinfo 12 juillet 2020

Dans une tribune publiée dans Le Parisien, des médecins réclament que le port du masque soit obligatoire dans les lieux publics clos pour éviter que l'épidémie de coronavirus ne reparte. Parmi les signataires, le généticien Axel Kahn qui s'en est expliqué sur franceinfo samedi 11 juillet : "Pour que vraiment l'effort qu'on a accompli avec le confinement ne soit pas perdu, le port des masques dans les endroits clos où il y a du monde, c'est quelque chose qui est vraiment indispensable."

"Le fait qu'on ait accepté courageusement le confinement a fait énormément baisser la circulation du virus, poursuit Axel Kahn. Maintenant, si on est raisonnables et prudents avec des gestes de distanciation physique je suis persuadé qu'une deuxième vague peut être évitée." Franceinfo 12 juillet 2020

A bas toutes les mesures liberticides adoptées par les criminels Macron-Castex-Véran !

Lyon: un homme refuse de mettre un masque et agresse un contrôleur TCL - BFMTV 12 juillet 2020

L'individu se déplaçait dans les couloirs du métro, à la station Hôtel de Ville, sans porter de masque, pourtant obligatoire. Rappelé à l'ordre par des contrôleurs, il aurait prétexté souffrir de la chaleur. L'homme s'est alors mis en colère, poussant avec violence l'un des agents.

Il a été arrêté pour outrage et violence et placé en garde à vue. BFMTV 12 juillet 2020

LVOG - Ce sont eux qui sont responsables de la mort du chauffeur de bus à Bayonne.

Heurts à Athènes après un défilé pour défendre le droit de manifester - AFP 10 juillet 2020

Des milliers de Grecs manifestent contre une loi du gouvernement de droite visant à restreindre le droit de manifester. Ils craignent d'être muselés, alors qu'une grave récession s'annonce. AFP 10 juillet 2020

Israël: des milliers de manifestants contre la gestion de l'épidémie - AFP 12 juillet 2020

Des milliers de personnes se sont rassemblées samedi sur la place Rabin à Tel-Aviv pour protester contre la gestion de la pandémie de Covid-19 et de ses conséquence par le gouvernement israélien.

La manifestation a été organisée par des groupes de travailleurs indépendants, de petites entreprises mais aussi d'artistes, se sentant abandonnés par le gouvernement après la fermeture forcée de leur commerce et des lieux publics pendant la pandémie.

Les syndicats étudiants ont aussi participé au rassemblement pour exprimer leurs inquiétudes dans un contexte où de nombreux jeunes se retrouvent aujourd'hui sans travail.

Le taux de chômage en Israël a bondi ces derniers mois, passant de 3,4% en février à 27% en avril, avant de redescendre légèrement en mai à 23,5%. Les chiffres de juin n'ont pas encore été publiés.

Israël avait imposé mi-mars un strict confinement. Seuls les professionnels exerçant des métiers jugés essentiels étaient autorisés à travailler et tout rassemblement public était interdit.

Le gouvernement a levé certaines restrictions à la fin du mois de mai.

Le nombre de contaminations est toutefois reparti à la hausse, entraînant le rétablissement de restrictions comme la fermeture des bars, des boîtes de nuit, des salles de sports et des piscines publiques.

Si les salariés qui se sont retrouvés sans travail ont pu demander des allocations chômage, les travailleurs indépendants arguent que nombre d'entre eux attendent depuis des mois l'aide promise par le gouvernement.

Vendredi, le ministère de la Santé israélien a annoncé un nombre record de nouvelles contaminations, avec plus de 1.500 nouveaux cas enregistrés la veille.

Le pays, qui compte environ 9 millions d'habitants, a enregistré le premier cas de Covid-19 sur son sol le 21 février. Depuis, l'Etat hébreu a recensé plus de 36.000 contaminations, dont plus de 350 décès. AFP 12 juillet 2020

LVOG - Le taux de mortalité sur 9 millions d'habitants dû officiellement au Covid-19 est donc de 0,004%, c'est gigantesque !

Mascarade morbide

Covid-19 : l’étrange, le curieux et l’inexplicable - entelekheia.fr 5 juillet 2020

Malcolm Kendrick est médecin généraliste au sein du NHS britannique et auteur. Il a écrit « Doctoring Data – How to Sort Out Medical Advice from Medical Nonsense ».

Sources : South China Morning Post et Euronews.com

Extrait. Il a été presque impossible de donner un sens aux chiffres des décès du Covid -19 dans le monde entier. Le dicton dit que la première victime de la guerre est la vérité.

En bref, si l’on regarde le monde entier, on ne constate aucun schéma précis, et les taux de mortalité varient de plus de cent fois d’un pays à l’autre.

Au Royaume-Uni, on a conseillé aux médecins d’écrire oui, alors que dans d’autres pays, ils sont plus susceptibles d’écrire non. D’autre part, il a été rapporté que des médecins américains ont été amenés à écrire « Covid » sur presque tous les certificats de décès, parce que l’hôpital perçoit plus d’argent s’ils le font.

Cela signifie que se fier uniquement aux statistiques des décès enregistrés du Covid peut être très trompeur.

Quel pays fait des tests en masse, quel pays attribue des décès au Covid en l’absence de toute preuve ? Quel pays mélange décès directement imputables au Covid et décès avec le Covid, mais dus à d’autres facteurs ? Quel pays triche carrément sur ses chiffres, et dans quel sens ? Tout cela devrait être éclairci avec le temps, mais en attendant, prudence. entelekheia.fr 5 juillet 2020

Comment nomme-t-on un régime qui plébiscite le permis de tuer et interdit de guérir ?

COVID-19 – Remdesivir: permis de tuer. Hydroxychloroquine: interdiction de guérir. par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 12 juillet 2020

Le combat du Remdesivir contre l’Hydroxychloroquine (HCQ), c’est un peu le symbole du combat de la médecine des revues, des institutions corrompues contre la médecine de terrain, celle des médecins généralistes, nombreux, qui sont au chevet des malades.

Le Remdesivir est une molécule coûteuse, propriété d’une compagnie pharmaceutique, Gilead. Dans la course au traitement miracle du COVID-19, Gilead essaie de remporter la palme car cela peut lui rapporter gros [1].

L’Hydroxychloroquine est une molécule libre de droit, passée dans le domaine public et très peu coûteuse. Autrement dit, bien que fabriqué au départ par une compagnie pharmaceutique, Sanofi, ce traitement ne rapportera rien à l’industrie et donc rien à tous les gens corrompus par elle.

Le combat du Remdesivir contre l’Hydroxychloroquine, c’est le symbole du combat de la médecine mensongère, la médecine des gros sous, contre la médecine factuelle, une médecine qui peut rapporter gros au malade (sa santé), sans rien coûter ou presque à la société.

On dit que l’Hydroxychloroquine (traitement défendu par le professeur Raoult à Marseilles, France, entre autres) est inefficace dans le COVID-19, voire dangereux [2].

C’est faux.

Suffisamment d’indices laissent à penser que l’Hydroxychloroquine, associée ou non à l’azythromycine et au zinc, est efficace pour inhiber la réplication virale du SRAS-CoV-2, avec un profil de sécurité tout à fait satisfaisant en particulier pour des médecins habitués et habilités à le prescrire. Ces molécules, la chloroquine et l’Hydroxychloroquine, sont connues depuis des dizaines d’années [3]. Voilà la vérité.

Inversement, on dit que le Remdesivir est efficace et sans danger particulier.

C’est faux.

Le Remdesivir peut engendrer insuffisance rénale sévère (nécessitant dialyse, greffe rénale), insuffisance hépatique (foie), mutation génétique, problèmes cardiaques allant jusqu’à l’arrêt cardiaque, entre autres [4]. Voilà la vérité.

D’un côté, le Lancet essaie de démolir l’hydroxychloroquine [5], de l’autre, le New England Journal of Medicine fait l’éloge du Remdesivir [6-7].

Dans un article précédent, j’ai écrit que ce que les anciens rédacteurs en chef de ces revues disent ce qu’il faut en penser : corruption et mensonges à tous les étages [8].

Pour tous les médecins intègres, les véritables scientifiques, le public, cela pourrait même devenir un critère de discernement : quand une « grande » revue médicale encense un médicament, méfiez-vous ! Quand elle démolit un traitement, alors, vous feriez bien de vous y intéresser.

Remdesivir contre Hydroxychloroquine, c’est encore et toujours une histoire de gros sous.

La médecine, ce n’est plus que cela, à présent.

Le Remdesivir rapporterait 4500 dollars par traitement à Gilead [9].

L’hydroxychloroquine, même associé à l’Azithromycine, ne coûte que 10 euros par traitement et ne rapporte rien à l’industrie.

Au lieu de culpabiliser et de faire peur à tout le monde avec des chiffres de mortalité exagérés et des deuxièmes vagues qui n’existent pas, au lieu d’imposer des mesures aussi inefficaces que toxiques comme le port du masque partout pour tous, au lieu de faire croire aux gens que des médicaments efficaces et bon marchés sont dangereux et que des médicaments chers et dangereux sont la solution, au lieu de se prosterner devant la vaccination, Graal illusoire dans la lutte contre le COVID-19, voici ce que nos hautes autorités de santé devraient faire :

Prendre les conseils de scientifiques appelant à plus de calme et de réalisme sur le modèle du professeur John Ioannidis de Stanford

Observer et mesurer les faits réels, et non des modèles mathématiques statistiques

Ne pas confondre test RT-PCR positif et maladie COVID-19

Prévoir des mesures de protection drastiques seulement pour les personnes fragiles et à haut risque

Laisser circuler librement, sans masques, les personnes saines, en bonne santé et surtout, les jeunes et les enfants

Proposer à toute la population des prises en charge psychologiques adaptées pour gérer les états de stress post-traumatiques générés par les médias anxiogènes

Permettre à tous les médecins de première ligne de prescrire aux vrais malades du COVID-19, dès les premiers signes, l’association hydroxychloroquine-azythromycine-zinc, selon les modalités de sécurité bien établies depuis toutes ces années où ces médicaments sont prescrits dans leurs diverses indications

Ce n’est possible que si ces hautes autorités de santé ne sont pas corrompues par tout l’argent des compagnies pharmaceutiques telles que Gilead.

Pour le dernier point, numéro 6, le médecin généraliste bruxellois Éric Beeth et moi-même avons envoyé à tous les responsables concernés, ministre de la santé, membres du conseil COVID-19 au sein de SCIENSANO qui encadre le gouvernement dans la gestion de la crise, une lettre requérant la liberté pour tous les médecins belges de prescrire l’hydroxychloroquine dans le COVID-19 et surtout, la constitution au sein des pharmacies belges, d’un stock suffisant de ce médicament.

Nous attendons réponse. Mondialisation.ca, 12 juillet 2020

Notes :

[1] Une brève histoire du remdésivir (GS-5734), 17 juin 2020, mise à jour le 25 juin 2020

[2] Hydroxychloroquine versus Remdesivir, 8 juillet 2020

[3] Hot Topic, Chloroquine for the 2019 novel coronavirus SARS-CoV-2, International Journal of Antimicrobial Agents, February 2020

[4] L’entreprise Gilead aurait-elle dissimulé la vraie toxicité du Veklury© (remdesivir) ?, 8 juillet 2020, « Il semble donc qu’au regard des éléments présentés précédemment, nous puissions fortement penser que le Veklury (remdesivir) est un médicament nocif et que ces éléments ont été dissimulés par Gilead. Nous pensons que l’opération de lobbying conduite dans les médias et certaines instances de santé publique afin de décrédibiliser l’hydroxychloroquine, spécifiquement en milieu hospitalier, avait vocation à faire du Velkury (remdesivir) la seule solution dans cette situation. »

[5] RETRACTED: Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis

[6] Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe Covid-19, NEJM 10 avril 2020

[7] Remdesivir for the Treatment of Covid-19 — Preliminary Report, NEJM 22 mai 2020

[8] COVID-19: le côté obscur de la science révélé, « Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse, affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts* flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. »

[9] Remdésivir : une molécule d’intérêt thérapeutique très discutable sur le COVID-19

Si vous ne voulez pas vous faire taxer d'extrême droite, laissez-vous mourir !

Jair Bolsonaro annonce sur Facebook qu'il va "très bien" et recommande la chloroquine - BFMTV 10 juillet 2020

Le président d'extrême droite... BFMTV 10 juillet 2020

Comment ils ont instrumentalisé les tests et l'immunité.

Coronavirus: Pourquoi tout le monde s’est trompé. Il ne s’agit pas d’un « nouveau virus ». « Le conte de fée de l’absence d’immunité » par Dr Beda M Stadler - Mondialisation.ca, 10 juillet 2020

Extrait.

"Il était encore plus faux de prétendre que la population n'aurait pas déjà une certaine immunité contre ce virus." La réponse immunitaire au virus est plus forte que ce que tout le monde pensait

Beda M Stadler, est l’ancien directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Berne, biologiste et professeur émérite.

https://www.mondialisation.ca/coronavirus-pourquoi-tout-le-monde-sest-trompe-il-ne-sagit-pas-dun-nouveau-virus-le-conte-de-fee-de-labsence-dimmunite/5647271

LVOG - Je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a quelques mois en me basant sur ma propre expérience en Inde, j'avais affirmé qu'il était impossible que l'immense majorité de la population ne soit pas déjà naturellement immunisé contre le Covid-19 ou d'autres virus du fait du mode de vie des Indiens, de la surpopulation ou de la promiscuité dans laquelle ils vivent, le manque ou l'absence d'hygiène quasi généralisée dans le pays, et une alimentation déséquilibrée ou présentant d'importantes carences que ce soit en protéines, en vitamines ou en oligo-éléments, ainsi que la présence ou le contact avec un grand nombre d'animaux sauvages de différentes espèces, bref, l'ensemble de ces éléments était suffisant pour soutenir cette hypothèse, bien que je ne sois pas médecin.

Ce que j'avais voulu dire, c'est qu'on ne pouvait pas imaginer de meilleures conditions pour favoriser la propagation et la transmission des virus et bactéries d'animaux à des hommes et entre hommes ensuite, par conséquent, nous les partagions ou nous les portions tous sans le savoir et sans être malades parce que nous étions immunisés, dans le cas contraire la population se serait déjà éteinte depuis très longtemps tout simplement.

Maintenant, puisque le niveau de l'immunité ou notre capacité à en acquérir une dépendant essentiellement de notre état de santé ou de notre alimentation, de notre âge, quand la première est déficience ou quand on devient vieux notre immunité sera trop faible pour combattre virus ou bactéries et on pourra en mourir, voilà tout.

Ici on est littéralement envahi par des virus et des bactéries en tous genres, les Indiens, particulièrement les enfants et les personnes âgées, les premiers en guenilles, sales, qui marchent nus pieds, ne se lavent pas les mains qui sont crasseuses, qui se les mettent dans la bouche au moment du repas ou les doigts dans le nez, les seconds qui sont à peu près dans le même cas, ils devraient mourir comme des mouches, mais non, certains tombent malades toute l'année, d'autres plus nombreux au moment de la mousson ou des fortes pluies, sans plus. Je serais bien curieux de comparer le taux de mortalité de la grippe saisonnière en France avec celui relatif aux virus en Inde, je crois qu'on découvrirait qu'il y a plus de morts en France qu'en Inde, alors que les conditions de vie et d'hygiène sont incomparables ou favorables à la France.

Autre réflexion ou rappel.

Si avant de naître l'enfant ne bénéficiait pas de l'immunisation transmise par sa mère, il ne vivrait pas. J'avais aussi soutenu l'hypothèse que la plupart des virus au contact desquels les hommes avaient été en contact sur tous les continents étaient dorénavant présents partout dans le monde suivant la route des voyageurs et des marchandises.

Ne dites pas que tout cela serait connu ou banal, si vous avez plébiscité le confinement, la fermeture des écoles, le port du masque partout et l'absence d'immunité collective, vous étiez dans l'erreur. Personnellement, par manque d'informations claires sur les différents types d'immunisation j'ai failli me faire piéger sur ce point particulier.

On peut en déduire que la question du mode de transmission du Covid-19 était uniquement destinée à nous induire en erreur pour justifier toutes les mesures liberticides et antisociales imposées par l'OMS et les différents gouvernements à la solde de la ploutocratie qui trône au Forum économique mondial.

Plus généralement, c'est notre conception de la santé qui est complètement biaisée, parce qu'on ignore le fonctionnement biologique du corps humain. J'en veux pour preuve qu'on en arrive à avoir des réactions émotionnelles ou irrationnelles en présence de phénomènes naturels qu'on ne maîtrise pas, tel par exemple une simple fièvre qui nous met dans tous nos états, alors qu'il s'agit d'une manifestation clinique généralement bénigne ou anodine d'une infection contre laquelle l'organisme est en train de lutter par les moyens à sa disposition, dont l'élévation de la température du corps pour expulser l'intrus, et non le signe qu'on serait en danger de mort. Lorsque la fièvre est contrôlée ou inférieure à 40°, au lieu de ne pas paniquer et de la laisser tranquillement faire sont travail, on l'interrompt brutalement et on préfère se bourrer d'antibiotiques. C'est d'autant plus dommage, si je ne dis pas une bêtise, que c'est durant cette période que l'organisme se met à produire les anticorps dont il a besoin pour vaincre le virus, et on le privera peut-être des moyens de s'auto-immuniser, ce qui serait idiot, cela demande à être vérifié.

Beda M Stadler - Pourquoi tout le monde s’est trompé.

2. Le conte de fées de l’absence d’immunité

De l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à tous les virologistes de Facebook- tout le monde a affirmé que ce virus était particulièrement dangereux, parce qu’il n’y avait pas d’immunité contre lui, parce que c’était un nouveau virus.

Même Anthony Fauci, le plus important conseiller de l’administration Trump, a noté au début de chaque apparition publique que le danger du virus résidait dans le fait qu’il n’y avait pas d’immunité contre lui.

Prof. Beda Stadler: tout simplement faux.

- La réponse immunitaire humaine a été complètement sous-estimée

- Sans symptômes ? Alors vous ne pouvez pas infecter les autres.

Tony [Anthony Fauci] et moi étions souvent assis l’un à côté de l’autre lors de séminaires d’immunologie au National Institute of Health de Bethesda aux États-Unis, car nous travaillions alors dans des domaines connexes. Pendant un certain temps, je n’ai donc pas critiqué ses déclarations, car c’était un collègue respectable.

Le prix n’a baissé que lorsque j’ai réalisé que le premier test d’anticorps disponible dans le commerce [pour le Sars-CoV-2] avait été élaboré à partir d’un ancien test d’anticorps destiné à détecter le Sars-1.

Ce type de test permet d’évaluer s’il y a des anticorps dans le sang d’une personne et s’ils sont issus d’une lutte précoce contre le virus. Les scientifiques ont même extrait des anticorps d’un lama qui permettaient de détecter le Sars-1, le Sars-CoV-2 et même le virus de Mers. On a également appris que le Sars-CoV-2 avait un impact moins important dans les régions de Chine où le Sars-1 avait auparavant fait rage. Il s’agit là d’une preuve évidente et réelle suggérant que notre système immunitaire considère les Sars-1 et les Sars-Cov-2 comme étant en partie identiques et qu’un des virus pourrait probablement nous protéger de l’autre virus.

C’est alors que j’ai réalisé que le monde entier prétendait simplement qu’il n’y avait pas d’immunité, mais qu’en réalité, personne ne disposait d’un test prêt à prouver une telle affirmation. Ce n’était pas de la science, mais une pure spéculation basée sur un sentiment instinctif qui a ensuite été repris par tout le monde. À ce jour, il n’existe pas un seul test d’anticorps qui puisse décrire toutes les situations immunologiques possibles, telles que : si quelqu’un est immunisé, depuis quand, ce que les anticorps neutralisants ciblent et combien de structures existent sur d’autres coronaviri qui peuvent également conduire à l’immunité.

À la mi-avril, les travaux ont été publiés par le groupe d’Andreas Thiel à la Charité de Berlin. Un article avec 30 auteurs, dont le virologiste Christian Drosten. Il a montré que chez 34 % des Berlinois qui n’avaient jamais été en contact avec le virus Sars-CoV-2, les cellules T étaient néanmoins immunisées contre celui-ci (l’immunité des cellules T est un autre type de réaction immunitaire, voir ci-dessous). Cela signifie que nos cellules T, c’est-à-dire les globules blancs, détectent les structures communes apparaissant sur le Sars-CoV-2 et les virus du rhume ordinaire et les combattent donc toutes les deux.

Une étude de John P. A. Ioannidis de l’université de Stanford – selon la Fondation Einstein à Berlin, l’un des dix scientifiques les plus cités au monde – a montré que l’immunité contre le Sars-Cov-2, mesurée sous forme d’anticorps, est beaucoup plus élevée qu’on ne le pensait auparavant. Ioannidis n’est certainement pas un théoricien de la conspiration qui veut juste aller à contre-courant ; il est néanmoins critiqué aujourd’hui, car les tests d’anticorps utilisés n’étaient pas extrêmement précis. Ses détracteurs admettent qu’ils ne disposent pas encore de tels tests. En outre, John P. A. Ioannidis est une telle réputation scientifique que tous les autres virologistes allemands paraissent avoir un profil moins important.

3. L’échec des « modélisateurs » [spécifications]

Les épidémiologistes sont également tombés dans le mythe de l’absence d’immunité dans la population. Ils ne voulaient pas non plus croire que les coronaviri étaient des viri des saisons froides qui disparaîtraient en été. Sinon, leurs modèles de courbe auraient été différents. Lorsque les premiers scénarios les plus pessimistes ne se sont réalisés nulle part, certains s’accrochent encore aujourd’hui à des modèles prédisant une deuxième vague. Laissons-leur leurs espoirs – je n’ai jamais vu une branche scientifique qui s’est tant manœuvrée dans le hors-jeu. Je n’ai pas non plus encore compris pourquoi les épidémiologistes s’intéressaient tant au nombre de décès plutôt qu’au nombre de personnes qui pourraient être sauvées.

4. Immunologie du bon sens

En tant qu’immunologiste, je fais confiance à un modèle biologique, à savoir celui de l’organisme humain, qui a construit un système immunitaire adaptatif éprouvé. Fin février, en rentrant chez moi après l’enregistrement [d’un débat politique télévisé suisse], j’ai mentionné à Daniel Koch [ancien chef de la section fédérale suisse « Maladies transmissibles » de l’Office fédéral de la santé publique] que je soupçonnais une immunité générale de la population contre le Sars-Cov-2. Il a contesté mon point de vue.

Je l’ai quand même défendu par la suite, lorsqu’il a déclaré que les enfants n’étaient pas un facteur déterminant dans la propagation de la pandémie. Il soupçonnait que les enfants n’avaient pas de récepteur pour le virus, ce qui est bien sûr un non-sens. Nous avons quand même dû admettre que ses observations étaient correctes. Mais le fait que tous les scientifiques l’ont attaqué par la suite et ont demandé des études pour prouver son point de vue, était quelque peu ironique. Personne n’a demandé d’études pour prouver que des personnes de certains groupes à risque mouraient. Lorsque les premières statistiques de la Chine et, plus tard, les données mondiales ont montré la même tendance, c’est-à-dire que presque aucun enfant de moins de dix ans ne tombait malade, tout le monde aurait dû faire valoir que les enfants doivent clairement être immunisés. Pour toute autre maladie qui n’affecte pas un certain groupe de personnes, nous en viendrions à la conclusion que ce groupe est immunisé. Lorsque des personnes meurent tristement dans une maison de retraite, mais que d’autres retraités présentant les mêmes facteurs de risque sont laissés totalement indemnes, nous devrions également conclure qu’ils étaient probablement immunisés.

Mais ce bon sens semble avoir échappé à beaucoup, appelons-les des « négateurs de l’immunité » juste pour le plaisir. Cette nouvelle race de négationnistes a dû constater que la majorité des personnes ayant été testées positives pour ce virus, c’est-à-dire que le virus était présent dans leur gorge, ne sont pas tombées malades. Le terme de « porteurs silencieux » a été évoqué et on a prétendu que l’on pouvait être malade sans avoir de symptômes. Ce serait quelque chose ! Si ce principe était désormais naturalisé dans le domaine de la médecine, les assureurs santé auraient vraiment un problème, mais aussi les enseignants dont les élèves pourraient désormais prétendre avoir n’importe quelle maladie pour sécher l’école, si en fin de compte on n’avait plus besoin de symptômes pour être malade.

La blague suivante, que certains virologistes ont partagée, était l’affirmation que ceux qui étaient malades sans symptômes pouvaient encore transmettre le virus à d’autres personnes. Les malades « sains » auraient tellement de virus dans la gorge qu’une conversation normale entre deux personnes suffirait pour que la « personne saine » infecte l’autre personne saine. À ce stade, nous devons disséquer ce qui se passe ici : Si un virus se développe quelque part dans le corps, y compris dans la gorge, cela signifie que les cellules humaines meurent. Lorsque les cellules [humaines] meurent, le système immunitaire est immédiatement alerté et une infection est provoquée. L’un des cinq symptômes cardinaux d’une infection est la douleur. Il est compréhensible que les personnes atteintes de Covid-19 ne se souviennent pas de leur gorge irritée au départ et prétendent ensuite qu’elles n’avaient aucun symptôme il y a quelques jours à peine. Mais le fait que les médecins et les virologistes transforment cette histoire en une histoire de malades « sains », qui alimente la panique et a souvent été invoquée pour justifier des mesures de confinement plus strictes, montre à quel point la plaisanterie est mauvaise. Au moins, l’OMS n’a pas accepté l’allégation d’infections asymptomatiques et la conteste même sur son site internet.

Voici un bref résumé, en particulier pour les personnes qui nient l’immunité, de la façon dont les humains sont attaqués par les germes et de notre réaction à ceux-ci : S’il existe des virus pathogènes dans notre environnement, alors tous les humains – qu’ils soient immunisés ou non – sont attaqués par ce virus. Si une personne est immunisée, la bataille contre le virus commence. Nous essayons d’abord d’empêcher le virus de se fixer sur nos propres cellules à l’aide d’anticorps. Cela ne fonctionne normalement que partiellement, tous ne sont pas bloqués et certains viri s’attacheront aux cellules appropriées. Cela ne doit pas nécessairement entraîner de symptômes, mais ce n’est pas non plus une maladie. Parce que la deuxième garde du système immunitaire est maintenant appelée à agir. Il s’agit des cellules T mentionnées ci-dessus, les globules blancs, qui peuvent déterminer de l’extérieur dans quelles autres cellules le virus se cache maintenant pour se multiplier. Ces cellules, qui incubent maintenant le virus, sont recherchées dans tout le corps et tuées par les cellules T jusqu’à ce que le dernier virus soit mort.

Ainsi, si nous faisons un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais une petite partie brisée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments du virus. Correct : Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie même une infime fraction du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée]. C’est exactement ce qui s’est passé, quand on a appris dans le monde entier, même par l’OMS, que 200 Coréens qui avaient déjà subi le test Covid-19 ont été infectés une deuxième fois et qu’il n’y avait donc probablement pas d’immunité contre ce virus. L’explication de ce qui s’est réellement passé et les excuses n’ont été présentées que plus tard, lorsqu’il est apparu clairement que les Coréens immunisés étaient en parfaite santé et n’avaient eu qu’une courte bataille contre le virus. L’essentiel était que les particules du virus se soient inscrits au test trop sensible et soient donc revenus comme « positifs ». Il est probable qu’un grand nombre des chiffres quotidiens d’infection rapportés sont purement dus aux particules virales.

Le test PCR, avec son extrême sensibilité, était initialement parfait pour découvrir où le virus pouvait se trouver. Mais ce test ne peut pas identifier si le virus est toujours vivant, c’est-à-dire s’il est toujours infectieux. Malheureusement, cela a également conduit certains virologistes à assimiler la force d’un résultat de test à la charge virale, c’est-à-dire à la quantité de virus qu’une personne peut expirer. Heureusement, nos crèches sont restées ouvertes, mais pas tout à fait. Les virologistes allemands ont manqué cette partie, car, par principe, ils ne regardent pas ce que font les autres pays, même si le nombre de cas dans les autres pays diminue plus rapidement.

5. Le problème de l’immunité contre le coronavirus

Qu’est-ce que tout cela signifie dans la vie réelle ? Le temps d’incubation extrêmement long de deux à 14 jours – et les rapports de 22 à 27 jours – devrait réveiller n’importe quel immunologiste. Ainsi que l’affirmation selon laquelle la plupart des patients ne sécréteraient plus le virus après cinq jours. Les deux [affirmations] amènent à leur tour à la conclusion qu’il existe – en quelque sorte en arrière-plan – une immunité de base qui déforme les événements, par rapport à un cycle prévu [d’une infection virale] – c’est-à-dire qui conduit à une longue période d’incubation et à une immunité rapide. Cette immunité semble également être le problème pour les patients présentant une évolution grave de la maladie. Notre titre d’anticorps, c’est-à-dire la précision de notre système de défense, diminue au fur et à mesure que nous vieillissons. Mais les personnes qui ont une mauvaise alimentation ou qui sont mal nourries peuvent également avoir un système immunitaire affaibli, c’est pourquoi ce virus ne révèle pas seulement les problèmes médicaux d’un pays, mais aussi les questions sociales.

Si une personne infectée n’a pas assez d’anticorps, c’est-à-dire une faible réponse immunitaire, le virus se propage lentement dans tout le corps. Maintenant qu’il n’y a pas assez d’anticorps, il ne reste plus que la deuxième branche adaptative de notre réponse immunitaire : Les lymphocytes T commencent à attaquer les cellules infectées par le virus dans tout l’organisme. Cela peut conduire à une réponse immunitaire exagérée, essentiellement à un massacre massif ; c’est ce qu’on appelle une tempête de cytokines. Très rarement, cela peut également se produire chez les jeunes enfants, dans ce cas, on parle de syndrome de Kawasaki. Ce phénomène très rare chez les enfants a également été utilisé dans notre pays pour attiser la panique. Il est toutefois intéressant de noter que ce syndrome est très facile à soigner. Les enfants [affectés] reçoivent des anticorps de donneurs de sang sains, c’est-à-dire de personnes qui ont eu un rhume à coronavirus. Ce qui signifie que l’immunité de la population est en fait utilisée à des fins thérapeutiques.

Et maintenant ?

Le virus est parti pour l’instant. Il reviendra probablement en hiver, mais ce ne sera pas une deuxième vague, mais juste un rhume. Les jeunes gens en bonne santé qui se promènent actuellement avec un masque sur le visage feraient mieux de porter un casque, car le risque de chute sur la tête est plus grand que celui de contracter un cas grave de Covid-19.

Si nous observons une augmentation significative des infections en 14 jours [après que les Suisses aient assoupli le verrouillage], nous saurions au moins qu’une des mesures est utile. À part cela, je vous recommande de lire le dernier ouvrage de John P. A. Ioannidis, dans lequel il décrit la situation mondiale sur la base des données au 1er mai 2020 : Les personnes de moins de 65 ans ne représentent que 0,6 à 2,6 % de tous les cas de covariectomie mortels. Pour maîtriser la pandémie, nous avons besoin d’une stratégie qui se concentre uniquement sur la protection des personnes à risque de plus de 65 ans. Si c’est l’avis d’un expert de haut niveau, un deuxième verrouillage est tout simplement impossible.

Les "miracles" sont rarement suivis d'effets.

Artemisia: la plante "miracle" agit sur le Covid19 - parismatch.com 23 juin 2020

Après des mois d'analyses, l'Institut Max Planck de Potsdam en Allemagne a annoncé mercredi 24 juin que des extraits d'Artemisia séchée se sont révélés efficaces, en laboratoire, pour lutter contre le virus Covid19. Des essais cliniques sont sur le point d'être lancés aux Etats-Unis et au Mexique sur des patients atteints du coronavirus.

Après quatre heures de visite, Peter Seeberger et son adjoint, Kerry Gilmore, assoient leurs doubles mètres respectifs. Les deux colosses affichent leur confiance. « Si je n’étais pas optimiste, je n’aurais pas accepté que vous veniez jusqu’à nous », nous dit le directeur de l’Institut Max Planck, à Potsdam, en Allemagne. Son enthousiasme est contagieux. Le chercheur nous laisse entendre qu’un premier laboratoire aurait déjà livré des conclusions positives. Si le deuxième les confirme, alors… « Nous allons subir une pression énorme. » Au moment où il nous parle, début mai, il ignore qu'il lui faudra attendre presque deux mois avant de connaître la réponse. Le détail des résultats a enfin été communiqué lors d'une conférence de presse mercredi 24 juin. parismatch.com 23 juin 2020

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Artemisia-la-plante-miracle-agit-sur-le-Covid19-1690916

A qui profite le crime ? Aux criminels, pardi ! Chut !

L’économie s’effondre, les grandes fortunes prospèrent: «Une politique débile qui favorise les riches» - sputniknews.com 11 juillet 2020

La France s’enfonce dans la récession, mais le patrimoine des 500 plus grandes fortunes du pays a continué de s’accroître, malgré la crise du coronavirus. Un phénomène semblable s’observe aux États-Unis. Charles Gave, président de l’Institut des Libertés, analyse la situation pour Sputnik.

Alors que la Commission européenne prévoit désormais un plongeon historique du Produit intérieur brut français (PIB), qui devrait décroître de 10,6% en 2020, les citoyens les plus nantis de l’Hexagone ne connaissent pas la crise.

Le dernier classement de Challenges des 500 plus grandes fortunes de France est là pour le démontrer. Le montant cumulé de ces dernières atteint le niveau record de 730 milliards d’euros. Un chiffre en progression de 3% en 2020. Un magot qui représente «l’équivalent du tiers du PIB attendu cette année», d’après Challenges, qui note que cette part a été multipliée par dix depuis 1996.

Les politiques des Banques centrales responsables?

Comment expliquer de telles performances dans un contexte économique aussi morose? Pour l’essayiste, financier et entrepreneur français Charles Gave, la réponse est très simple:

«Les taux d’intérêt des Banques centrales sont extraordinairement bas, voire négatifs. Les riches possèdent des actifs. Ces derniers leur servent à emprunter auprès des banques en les mettant en garantie. L’argent emprunté servira donc à acheter d’autres actifs.»

La Banque centrale européenne (BCE) a en effet sorti la sulfateuse à liquidités pour lutter contre la crise économique. Avec un taux de refinancement à zéro, un taux de dépôt à -0,5% et un taux de prêt marginal à 0,25%, l’institut monétaire basé à Francfort a également mis en place un plan de rachat d’actifs pour un montant de 1.600 milliards d’euros.

«C’est une politique débile qui favorise les riches. Le prix des actifs monte. Personne ne fait d’investissements, car il est toujours plus facile d’acheter une maison ou un hôtel existant que d’en bâtir un nouveau. Le manque d’investissements fait baisser la productivité du travail et les pauvres deviennent plus pauvres», analyse Charles Gave. «Les taux bas sont une politique faite par les riches pour les riches et pour appauvrir les pauvres. Les Banques centrales sont au service des riches», poursuit-il.

La fortune professionnelle de Bernard Arnault a augmenté de 13% entre 2019 et 2020 et dépasse 100 milliards €.

«Si vous injectez des milliards dans les marchés, ils serviront à acheter des actions. Et tout cela avec des taux extrêmement bas. Encore une fois, tout cela est organisé de manière à rendre les riches encore plus riches», insiste Charles Gave.

D’après lui, la corrélation entre reprise des marchés actions et augmentation de la fortune des plus riches est évidente:

«Le contexte actuel permet aux individus d’acheter des produits qui offrent plusieurs pour cent de rentabilité tout en ayant emprunté à presque zéro. Les investisseurs se dirigent donc vers les actifs existants et plus personne ne cherche à créer de nouveaux actifs. Cela fait monter le prix des actifs et rend plus riches les riches.»

Point intéressant noté par Challenges: alors que la valeur cumulée des 500 plus grandes fortunes de France a augmenté pendant cette crise du coronavirus, elle avait chuté de 27% en 2009 en pleine crise des «subprimes». Un risque sur les monnaies?

Une fois encore, Charles Gave pense avoir trouvé l’explication: «Lors de la crise des “subprimes”, ce sont les banques commerciales qui avaient prêté l’argent. Quand elles “sautent”, elles rappellent leurs prêts et il est nécessaire que les investisseurs vendent leurs titres. Dans la crise actuelle, ce sont les Banques centrales qui prêtent avec de l’argent qui n’existe pas. Une bulle peut soit être financée par des banques commerciales et dans ce cas-là quand elle explose, elles “sautent”. Ou elle peut être financée par les Banques centrales et en cas de problème, ce sera la monnaie qui baissera.»

D’après le président de l’Institut des Libertés, c’est là que se situe le vrai danger des politiques actuelles des Banques centrales:

«Le risque est sur la dévaluation des monnaies et il existe une grande probabilité de voir plonger leur valeur par rapport à celle d’autres devises», conclut-il. sputniknews.com 11 juillet 2020


Le 17 juillet 2020

CAUSERIE ET INFOS

La causerie a été réalisée sans les infos du 16. Je peux vous envoyer les causeries au format pdf dès qu'elles sont publiées. Ce qui suit a été rédigé d'un trait ce matin.

Le masque du despotisme transforme des peuples entiers en zombis. Voilà un constat que les uns et les autres s'empressent de minimiser ou de nier parce qu'il est trop compromettant pour eux, de la même manière qu'ils refusent de caractériser le régime de totalitaire parce qu'ils collaborent avec lui. C'était prévisible après l'avoir caractérisé d'antidémocratique et de bonapartiste pendant plus d'un demi-siècle sans jamais rompre avec ses représentants et ses institutions.

Ils ont ignoré que la guerre de classe que menait la réaction était une guerre d'usure, et qu'étant donné qu'elle était aux commandes, l'évolution de la situation mondiale avec toutes ses contradictions joueraient en sa faveur. Par conséquent, si on ignorait ou on ne tenait pas compte des modifications qui allaient en découler au niveau des rapports entre les classes et de l'ensemble des facteurs économiques, de toute la société, on ne pourrait pas être en mesure de la combattre efficacement ou de progresser sur la voie du socialisme en terme d'organisation, donc fatalement on courrait au devant de lourdes défaites et finalement on serait vaincu.

Les dirigeants et partis qui se réclament du trotskysme ont oublié le principal enseignement du marxisme ou de la lutte de classes que nous ont transmis Marx et Engels, à savoir que c'était l'évolution du capitalisme qui déterminait la nature du parti que la classe ouvrière devait construire, ainsi que les objectifs politiques pour lesquels elle devait combattre, ce qui les amena à abandonner le socialisme au profit du communisme dès le milieu des années 40 au XIXe siècle, et Engels à déclarer après la dissolution de la Première Internationale que les partis de la IIe Internationale ne pourraient être que des partis communistes. Ce qui ne fut pas le cas, du coup la IIe Internationale était vouée à la faillite dès sa création. Toutefois, un courant d'un de ses partis qui se réclamait du communisme parviendra à accéder au pouvoir en Russie, le parti bolchevik de Lénine et Trotsky.

Certains militants pourraient être tentés de nous rétorquer que leur courant politique est demeuré fidèle aux enseignements du léninisme, ce qui est faux ou ce serait faire preuve d'ignorance, dans la mesure où leur courant politique a relégué au second plan ou aux oubliettes le combat pour la prise du pouvoir qui constituait l'axe de combat du parti bolchevik sous l'impulsion de Lénine durant toutes les années qui précèderont la révolution de 1917. Et il est significatif que ceux parmi les dirigeants bolcheviks qui s'en écarteront ou s'en détourneront, s'opposeront à la ligne politique définie par Lénine la veille de la révolution d'Octobre, la trahiront ensuite ou deviendront les pires ennemis du parti communiste, renégats ou staliniens. Eux aussi préféraient demeurer dans l'opposition, car verser dans le parlementarisme bourgeois teinté de républicanisme ou de démocratisme était relativement plus confortable et moins compromettant aux yeux de la réaction, qu'assumer les responsabilités du pouvoir avec tous les risques que comportait l'affrontement direct avec les forces de la réaction.

L'espoir de vaincre un jour la réaction tenait tout entier dans cet objectif de la prise du pouvoir, du renversement du régime en place, dès lors qu'on s'y tenait fermement ou que chaque lutte y était reliée, servait ou était subordonné à cet objectif, c'était ce qui cimentait les rangs du parti bolchevik, sans quoi cet espoir se serait évanoui et ce parti aurait ressemblé aux partis social-démocrates de la IIe Internationale passés du côté de la réaction en 1914. Et pourtant à l'époque les ouvriers et les paysans étaient plus arriérés, une grande partie d'entre eux étaient illettrés, et les classes moyennes n'étaient pas particulièrement enclines à leur témoigner plus de solidarité ou d'humanisme que de nos jours, donc rien ne les disposait plus qu'aujourd'hui à se tourner vers le socialisme. Cependant, les uns comme les autres espéraient encore vivre des jours meilleurs, ils ne pouvaient pas se résoudre au destin abominable auquel la réaction les condamnaient indéfiniment ; C'est une constante chez les hommes de se dresser contre leurs conditions d'esclaves, contre la tyrannie, contre l'exploitation et l'oppression, et c'est parce que le parti bolchevik incarnait au plus haut degré ce combat libérateur, qu'ils finiront par le rejoindre et le porter au pouvoir.

On peut toujours avancer que sans des circonstances exceptionnelles jamais cet objectif n'aurait pu être atteint. C'est exact, encore faut-il ne pas en oublier une ou un facteur déterminant, l'existence de ce véritable parti communiste, qui cessera d'exister dès la disparition de Lénine en 1924. Pour faire bref et répondre à ceux qui se demandent encore pourquoi il a disparu, nous répondrons que ce fut pratiquement le seul véritable parti communiste dans le monde, et aucun dirigeant n'aura la trempe de Lénine, la combinaison de ces facteurs et le fait que les circonstances exceptionnelles ne sont pas faites par définition pour durer indéfiniment, précipiteront la dégénérescence du parti bolchevik et de l'URSS vouée également à disparaître.

Une autre question émerge spontanément : Peut-on imaginer s'emparer du pouvoir politique en dehors de circonstances exceptionnelles réputées faussement n'arriver qu'une fois par siècle ? Pour répondre rapidement à cette question, disons qu'il faut commencer par définir ce qu'on appelle des circonstances exceptionnelles, mais on ne peut pas y parvenir sérieusement si on ne tient pas compte de l'évolution de tous les facteurs et rapports au sein du capitalisme et de la société depuis un siècle. Ensuite, il faut se demander s'il n'existe pas des facteurs qui pourraient suppléer dans une certaine mesure, et il faut déterminer comment ou à quel niveau, l'absence de circonstances favorables. Et enfin, on doit se demander s'il n'existerait pas un ou des facteurs qui constitueraient des handicaps à l'émergence de telles circonstances ou s'y opposeraient temporairement ou durablement.

J'ai envie de répondre que lorsqu'on vit dans une société fortement inégalitaire et injuste, ces circonstances exceptionnelles qui se manifestent par la capacité de dresser les masses exploitées contre le régime pour le renverser existent en permanence. Cela dit, il faut préciser que théoriquement de nos jours les moyens existent, même si on ne les exploite pas, parce que la lutte de classe du prolétariat a pris une tournure corporatiste. Je veux dire par là, qu'il existe des millions de travailleurs des différentes classes exploitées et opprimées qui n'acceptent pas le destin qu'on leur a réservé, de vivre dans une société aussi pourrie, et que parmi ces millions de travailleurs des centaines de milliers seraient prêts à engager le combat politique, à créer une dynamique entraînant des millions de travailleurs pour peu qu'ils soient persuadés que l'objectif de la prise du pouvoir est accessible.

Or, aucun parti n'a adopté cette orientation politique ou il n'existe plus aucun parti portant cet objectif politique, hormis glisser à la fin d'un article ou éditorial histoire de faire bonne figure, de la même manière que plus aucun parti ne fait la propagande du socialisme ou ne propose un changement radical de société par crainte de passer pour des fous ou parce qu'ils n'y croient plus eux-mêmes.

Dites demain on ferme la Bourse, on supprime les compagnies d'assurance, les notaires, on exproprie tous les banquiers, on saisit tous les biens et avoirs des plus riches, on les arrête et on les juge, on dissout l'armée et la police, tout l'appareil répressif de l'Etat, on supprime toutes les institutions de la Ve République, on confisque les terres de tous les grands propriétaires terriens, on dissout tous les médias liées à des oligarques, on crée une nouvelle monnaie, on annule les dettes de toute la population hormis celles des nantis, on réduit la semaine de travail hebdomadaire à 28 heures (4x7), on passe l'âge de la retraite entre 45 et 50 ans en fonction de la pénibilité du travail, on décrète hors la loi les OGM et tous les substances chimiques toxiques qui figurent dans les produits de l'agro-alimentaire et les médicaments, les vaccins, on démonte les éoliennes déjà implantées, on exploite toutes les technologies existantes pour réduire la pollution et le gaspillage de matières premières, on trie et recycle tous les déchets, on met en culture ou on reboise toutes les terres laissées à l'abandon, on réorganise le travail de telle sorte que chacun puisse travailler à proximité de son domicile, l'instruction, l'accès au soin et les transports en commun, ainsi que les cantines scolaires sont gratuits pour tous, tous les chômeurs et clochards sont pris en charge par l'Etat en attendant qu'ils soient réintégrés dans la société en tenant compte de leurs capacités et aspirations, le salaire minimum est fixé de telle sorte qu'il permette à chacun de vivre décemment, les loyers sont bloqués ou diminués, la TVA est supprimé, toutes les taxes ou impôts sont dégressifs ou établis en fonction des revenus de chaque ménage, toute la population est conviée à participer à la réorganisation de la société, à la vie de la collectivité quelques heures par semaine, c'est elle qui planifiera l'organisation de la production en fonction de ses besoins et qui contrôlera la répartition des richesses entre tous les membres de la société de manière à ce que pas un homme ou pas une femme ne soit laissé sur le bas du chemin, toutes les lois anti-ouvrières, antisociales, liberticides adoptées sont abolies, etc.

Dites cela et vos dirigeants vont en faire une syncope ou vous traiter de fou, eux ils en sont à réclamer des sous au gouvernement, à exiger l'interdiction des licenciements qui laisserait les patrons ou actionnaires maîtres de l'économie, et tout le reste est à l'avenant, mais cela n'a rien à voir avec le socialisme ou le communisme. Vous vous demandiez ce qu'était le socialisme ou le communisme, on vient de vous l'exposer. Oui effectivement, cela n'a pas grand chose à voir avec la société capitaliste que nous connaissons. Et alors, il faut savoir ce que l'on veut et s'y tenir. Quelle misère que nous ne soyons pas plus nombreux à combattre pour cet objectif politique !

Ceux qu'il effarouche ou qui y sont opposés vont nous dire : Mon Dieu, mais combien cela va-t-il coûter ? Quelle vulgarité ! On ferait comme la Fed ou la BCE pauvre pomme ! C'est irréaliste, etc. Vous êtes rongé par le conformiste. Assurément quand on n'est pas capable de penser autrement que dans le cadre du capitalisme, vous préférez peut-être vivre cette vie de merde jusqu'à votre dernier souffle, et tous les peuples à travers le monde qui au passage vous en remercie, soyez internationaliste jusqu'au bout s'il vous plaît. Nous, nous ne nous y résignerons jamais, parce que nous estimons que les hommes méritent mieux que ce triste sort, et que c'est matériellement possible. Notre motivation est humaniste tout simplement, et si le processus historique et notre idéologie correspondent à cet idéal, c'est qu'ils sont en phase et n'ont besoin d'aucune autre justification pour être partagés par tous les exploités et opprimés.

C'est ce facteur, l'élément qui pourrait suppléer l'absence de circonstances exceptionnels combiné à une situation sociale très dégradée et une situation politique délétère.

Moi je suis persuadé que les idées exposées ici pourraient intéresser de très nombreux travailleurs des différentes classes. Nos dirigeants n'y croient pas parce qu'ils ont cessé d'y croire, alors ils généralisent, ils croient que tout le monde leur ressemble, la preuve que non !

Les deux paragraphes suivants avaient été rédigés après le premier, et ils m'ont inspiré le long développement que vous venez de lire. Vous remarquerez au passage que j'ai toujours de la suite dans les idées, donc je ne suis pas encore grabataire !

Apparemment personne ne cherche à trouver l'origine de ce coronavirus, parce que la version officielle fait partie du consensus établi entre tous les acteurs politiques. Personne ne s'intéresse non plus au "Great Reset" annoncé par le Forum économique mondial pour janvier 2021, dans à peine six mois, et évidemment personne ne fera le lien entre les deux évènements, ainsi que le Green New Deal et la crise du capitalisme. C'est à croire que nos dirigeants aurait subi une lobotomie ou que le masque qu'ils portent si fièrement aujourd'hui sera le dernier et ils le savent.

Ne nous demandez pas de poser avec un masque, on ne sait pas faire. Vous prenez des risques nous dira-t-on. Cela témoigne au moins que le socialisme vit toujours, alors que ceux qui ont adopté le masque du servage sont déjà mort politiquement.

Bon week-end.


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Faites tomber les masques du totalitarisme.

Les coronavirus sont nombreux et l’ont toujours été, mais toute l’histoire officielle repose sur l’existence d’un nouveau virus. Si les gens savaient que notre corps comporte quelque 130.000 milliards de virus, dont 10 à 15% de coronavirus, ils auraient sans doute moins peur, mais il ne faut pas qu'ils cessent d'avoir peur, car pendant qu'ils ont peur, ils sont incapables de penser rationnellement et on peut leur imposer n'importe quelle restriction à leur liberté ou les inciter à changer de comportement.

Maintenant, pour alimenter la psychose collective, compte tenu que le nombre de morts journaliers est devenu dérisoire, ils se reportent sur le nombre de cas confirmés à tort ou à raison de contamination au Covid-19 qui augmentent logiquement puisqu'ils réalisent dorénavant 300 000 tests virologiques par semaine, et pour montrer qu'ils manipulent consciemment les esprits des gens, l'épidémiologiste Daniel Lévy-Bruhl l'a confirmé à sa manière dans Le Point en déclarant que "cette augmentation du nombre de tests explique peut-être aussi, en partie, la hausse du nombre d'infections que nous relevions précédemment", ainsi rien n'est laisser au hasard chez nos ennemis.

Ensuite, ils se servent de cet argument pour justifier le maintien de mesures liberticides, et pour entretenir la psychose, les tyrans au pouvoir "répètent qu'une seconde vague d'infections au Covid-19 se profile dès cet été".

Ils en ont un autre pour bien bourré le crâne des gens, le taux de reproduction du virus, le fameux « R effectif » (ou R), c'est un indice qui donne "une idée de la vitesse de propagation de la maladie", et quand elle augmente, cela "veut dire que le virus est à nouveau à l'offensive", à vous d'en déduire qu'il vous menace et que vous allez éventuellement mourir, qui sait, vous n'êtes peut-être pas en aussi bonne santé que vous le croyiez ou invulnérable, immortel, quelle brutale désillusion, si après tout cela vous n'avez pas été profondément choqué à un moment ou un autre, c'est que vous ne serez jamais lobotomisé, ce serait mauvais signe pour eux, mais qu'ils se rassurent ou ils le savent, l'affaire a fonctionné à merveille.

Sinon ils ont encore un autre truc pour maintenir les esprits en alerte, ils répertorient les foyers (clusters) de contamination qui peuvent être nombreux, ce qu'ils se passeront de préciser évidemment, foyers qui en fait sont la suite logique du déconfinement, sans forcément constituer une menace d'après les données fournies par Daniel Lévy-Bruhl : "333 depuis le déconfinement… auxquels il convient d'ajouter 104 Ehpad, mais seuls 68 sont en cours d'investigation. Ce qui veut dire que tous les autres ne sont plus actifs", soit 80% qui ne présenteraient plus aucun danger, cela aurait été plus facile à dire ainsi, mais cela aurait incité les gens à penser que la situation s'améliorait et à se sentir mieux. Or, il ne faut surtout pas que la psychose retombe. Ils vont en avoir besoin pour aborder leur "Great Reset", leur grande réinitialisation de l'espèce humaine, un projet également eugéniste. Car c'est de cela dont il s'agit, et pour modeler l'espèce humaine à leur image il faut impérativement qu'elle soit devenue plus malléable, docile, servile.

L'espoir d'une vie meilleure un jour, vous êtes prié de l'abandonner définitivement, voilà ce qu'ils exigent de vous. Accepterez-vous, toute la question est là.

Vous me direz que la plupart des gens n'avaient déjà plus cet espoir depuis longtemps ou que cela leur était sorti de l'esprit sans qu'ils s'en aperçoivent, d'ailleurs ils seraient bien en peine d'en déterminer le moment ou l'époque, quand ils tournèrent la page de leur jeunesse peut-être, souvent, toujours est-il qu'ils n'y croyaient pas il y a 6 mois et nos ennemis le savaient, si bien qu'ils en ont usé et abusé, ce qui valide ce facteur que certains ont tendance à nier ou à sous-estimer. J'attache une pareille importance aux facteurs subjectifs qu'aux facteurs objectifs, car c'est le seul moyen de découvrir leurs rapports, donc l'origine du comportement des hommes. Et les femmes ?

Peu importe puisqu'ils partagent 4 lettres et ils n'ont qu'un seul phonème ou une seule syllabe [om] et [fam], et les deux premières lettres ne servent qu'à différencier leur sexe, elles n'ont aucune fonction sociale, puisqu'elle est comprise dans les 4 lettres qu'ils partagent rendant l'homme ou la femme générique selon le contexte dans lequel on les emploie, donc logiquement quand quelqu'un évoquer le sort des femmes en générale, je me sens concerné puisque je vis la même chose qu'elles, j'entends la même exploitation et oppression, car c'est ce qui détermine notre comportement et nos idées. Ce qu'on a écrit plus haut n'ai pas tout à fait exact dans la mesure où bien avant l'avènement de l'homo sapiens, c'est la différenciation qui a permis au primate que nous étions de progresser, et plus tard, c'est devenu un des facteurs essentiels de la connaissance et du développement scientifique, qui acquit une fonction sociale dans la société des hommes...

Vous m'excusez cette digression qui m'est venue soudain à l'esprit. C'est d'ailleurs ainsi que je fonctionne, je laisse ma pensée filer et j'observe sur quoi cela va déboucher et si c'est exploitable ou non, généralement je ne suis pas déçu, car c'est en la laissant libre qu'elle peut s'épanouir et donner le meilleur d'elle-même, en farfouillant dans notre inconscience, elle en fait remonter des morceaux à la surface qui sont autant de pièces manquantes au grand puzzle de la réalité ou on gagne en conscience, c'est toujours cela de pris qu'on ne pourra pas nous enlever. Le combat contre l'ignorance s'applique également à nous-même.

Où voulait en venir cet épidémiologiste digne de figurer dans la bande des Pieds nickelés de la science, à la nécessité "du respect des mesures barrières et de distanciation sociale" et du port du masque, pour continuer de vous pourrir la vie indéfiniment, car "le virus n'est pas parti. Il est toujours là. Nous devons apprendre à vivre avec et trouver un équilibre en reprenant une vie presque normale" (Source : Le Point.fr 12 juillet 2020)

Idéologiquement en phase.

- L'Organisation mondiale de la Santé a prévenu lundi qu'il n'y aurait "pas de retour à l'ancienne normalité dans un avenir prévisible". AFP 15 juillet 2020

La population mondiale pourrait décliner à la fin du siècle, selon une étude

LVOG - D'où sort cette étude ? Réponse :

Réponse :Les chercheurs de l'Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) prédisent un pic de population dès 2064 à 9,7 milliards de personnes, avant un déclin jusqu'à 8,8 milliards en 2100.

LVOG - Qui l'a financée ? Réponse

Réponse : L'IHME est un organisme financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, qui fait référence pour ses études mondiales en santé publique.

LVOG - Quels sont leurs objectifs, de quel pouvoir disposent-ils ?

Réponse : Les chercheurs anticipent une possible redistribution des cartes économiques et géopolitiques, même si la puissance d'un Etat ne se réduit pas nécessairement à la seule taille de sa population. (Source : franceinfo avec AFP 15 juillet 2020)

Qui dicte aux gouvernements ces mesures liberticides ?

Le monde au « temps du coronavirus ». Rockefeller et la solution finale. par Maryse Laurence Lewis - Mondialisation.ca, 14 juillet 2020

Extrait.

Certaines revues, à prétentions historiques, rapprochent Staline et le régime nazi. En réalité, tandis que de nombreux pays d’Europe adoptaient des lois eugénistes, au XXe siècle, L’URSS refusait d’en instituer, sous l’influence de l’agronome Trofim Lyssenko, lequel niait le déterminisme génétique. Par contre, il suffit de quelques lectures, d’ouvrages traitant d’eugénisme, pour constater que les mesures discriminatoires, instaurées aux États-Unis dès 1907, ont inspiré celles entreprises par les nazis, en 1935. La principale instance chargée d’approfondir cette question fut l’Eugenics Record Office, subventionnée par le magnat de l’acier Andrew Carnegie et celui du pétrole John Davison Rockefeller. Le biologiste Charles Davenport dirigeait le Cold Spring Harbor Laboratory de Long Island. En 1935, son collaborateur, Harry Laughlin, accepta un doctorat honoris causa pour « sa science du nettoyage ethnique », bien qu’il ne put se rendre en Allemagne, pour y recevoir cet honneur. ¹

Quand la philanthropie masque l’eugénisme

La Fondation Rockefeller est demeurée active et en lien avec les nazis, avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. En ce moment, les sceptiques et ceux qui sont las de se faire affubler du nom de conspirationniste, peuvent accéder au site de cette fondation. Un document y est consacré au coronavirus.² Le niveau de rédaction anglaise ne s’y avère pas très complexe et des illustrations accompagnent chaque texte, pour en assurer la compréhension. Je vous invite donc à consulter ce mémoire et à en méditer tout particulièrement la page 18.

Voici un petit résumé des mesures qui y sont exposées :

La création d’une brigade munie d’appareils électroniques et de thermomètres, afin de tester en permanence les promeneurs dans leur quartier, les automobilistes lors d’une traversée de barrage routier ou pont à péage, en pouvant obliger au confinement tout individu présumé porteur du virus, en s’autorisant à vérifier ses réseaux sociaux, afin de forcer au confinement toutes les personnes avec lesquelles ce citoyen aurait été en contact, ainsi que décider du temps de confinement de chacun et qui aura la permission de retourner au travail;

Le droit d’arrêter des gens suspects d’être des « asymptomatiques » potentiellement porteurs de virus, ce qui représente un abus de pouvoir envers quiconque déplaît aux autorités

On y affirme qu’un individu ayant été atteint par le coronavirus, en dépit du fait d’en être guéri, pourrait à nouveau s’en voir infecter, même suite une vaccination. Ce qui suppose un droit permanent à suspecter les gens et à les vacciner à répétition, tout en reconnaissant que ces injections ne garantissent pas l’éradication d’un virus;

On s’affaire à établir une plateforme mondiale, permettant de cibler les zones soi-disant à risque et d’y intervenir, au-delà des lois et des volontés des pays indépendants, ce qui donnerait l’aval à des éliminations eugénistes, sans que le gouvernement local puisse procéder à des investigations, puisque les fabricants des vaccins employés recevraient la promesse de ne jamais être poursuivis en Cour, quel que soit le résultat de la campagne de vaccination, le niveau sécuritaire de leurs soins ou le nombre de décès des gens traités;

L’imposition d’une carte d’identité sur laquelle des informations liées à la santé du détenteur seraient codifiées et disponibles en permanence aux autorités. Les individus ne possédant pas cette carte ne pourraient pas voyager à l’étranger, ni acheter des billets de transport régional, de spectacles ou de joutes sportives. (...)

Si ces faits ne sont pas suffisants pour les sceptiques, la question est la suivante : croyez-vous que les politiciens et affairistes qui ne voient aucune urgence à assainir l’environnement, lorsque les mesures à prendre semblent coûteuses, se préoccupent sincèrement de la santé des individus faibles et des vieillards, en promouvant une vaccination mondiale?

Pour se lancer dans une telle entreprise, il faut qu’elle soit lucrative. Et cette motivation est l’unique préoccupation de ces individus.

En fait de droits et de services sociaux, les États-Unis représentent le pire modèle au monde, compte tenu qu’on donne à ce pays l’épithète de riche. En conséquence, il est injustifiable de prétendre que l’on doive procéder à une vaccination mondiale, parce qu’une minorité de gens risquent déjà de mourir, de problèmes cardio-respiratoire, d’un cancer, du SIDA ou du diabète.

Cette éventuelle vaccination intensive d’individus, non atteints par le Covid-19, serait un acte totalitaire, ou soit un attentant contre tous les droits humains. D’autant plus lorsque l’on sait que ce vaccin pourrait entraîner le décès d’entre 10% et 15% de ceux qui le recevront et n’ayant pourtant aucun risque de périr du coronavirus.

Comment des États qui se prétendent démocratiques, « non dictatoriaux », peuvent-ils promouvoir une opération massive pouvant risquer la vie de centaines de milliers de gens sains, parce qu’un pourcentage à peine plus élevé de gens déjà faibles peuvent être contaminés?

Une société démocratique ne devrait jamais promouvoir la méfiance mutuelle et l’individualisme, en recommandant une distanciation sociale et de ne pas assister la victime d’une faiblesse ou d’une chute. Il est impératif de fortifier notre système immunitaire.

Porter un masque entrave la respiration et fait réabsorber le dioxyde de carbone nocif, éjecté à l’expiration.

Actuellement, les causes de mortalités qui, normalement, seraient corrélées aux troubles cardiorespiratoires, au SIDA, au diabète ou au cancer, sont attribuées sans vérification au coronavirus, afin de maintenir la population dans la croyance d’une menace plus importante qu’auparavant et qui serait permanente.

Au Québec, le gouvernement défraie une partie des indemnités aux compagnies d’assurance-vie. Certains décès sont donc attribués au Covid-19, ce qui permet aux assureurs de réduire leurs versements, auprès des familles des souscripteurs défunts. Mondialisation.ca, 14 juillet 2020

Références et notes :

1. The Harry H. Laughlin Papers, Truman State University

German letter from Heidelberg about H. Laughlin’s honorary degree

« P. G, » about German eugenics

« Classification standards, » by Harry H. Laughlin

2. Le site : TheRockefellerFoundation_WhitePaper_Covid19_4_22_2020

Comment ils s'emploient déjà à contenir la démographie mondiale.

La faim dans le monde s'est aggravée en 2019, et la situation devrait s'empirer en 2020 - BFMTV 13 juillet 2020

Près d'un humain sur neuf souffrait de sous-alimentation chronique en 2019, une proportion appelée à s'aggraver en raison de la pandémie de Covid-19, selon un rapport annuel de l'ONU publié ce lundi.

D'après les dernières estimations, la faim touchait l'an dernier environ 690 millions de personnes, soit 8,9% de la population mondiale, peut-on lire dans le rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), rédigé avec le concours du Fonds international pour le développement de l'agriculture, de l'Unicef, du Programme alimentaire mondial et de l'Organisation mondiale de la santé. BFMTV 13 juillet 2020

Ils peuvent mieux faire encore pour peu qu'on leur en donne les moyens.

Ces millionnaires qui demandent à payer plus d'impôts - le 13 juillet 2020

Dans une lettre ouverte, 83 millionnaires appellent lundi à taxer davantage, de manière immédiate et permanente, les plus riches de la planète, afin de lutter plus efficacement contre la pandémie de coronavirus. "Alors que le Covid-19 frappe le monde, les millionnaires comme nous avons un rôle essentiel à jouer pour guérir le monde", écrivent-ils.

"Nous avons de l'argent, beaucoup. On a absolument besoin d'argent maintenant et on continuera à en avoir besoin dans les années à venir" pour se remettre de la crise, dont l'impact "durera des dizaines d'années" et pourrait "pousser un demi-milliard de personnes dans la pauvreté".

Depuis des années, des milliardaires tels que Warren Buffett et Bill Gates demandent à être taxés davantage. Il y a un an, un petit groupe de milliardaires américains comprenant l'homme d'affaires George Soros, le co-fondateur de Facebook Chris Hughes et des héritiers des empires Hyatt et Disney entre autres, avaient également publié une lettre pour soutenir l'idée d'un impôt sur la fortune. Europe 1 avec AFP 13 juillet 2020

Coronabusiness = Green New Deal et "Great Reset"

Plan de relance : Jean Castex annonce 40 milliards d'euros pour l'industrie - Europe1 15 juillet 2020

- Le Premier ministre Jean Castex a annoncé que "40 milliards d'euros" du plan de relance seront consacrés à l'industrie, "pour que cela change". Europe1 15 juillet 2020

- "Produire en France sera moins cher": Bruno Le Maire annonce une baisse de 20 milliards d'euros des impôts de production Franceinfo 16 juillet 2020

Il s'agit d'une réduction significative, puisque le produit annuel de ces impôts représente plus de 70 milliards d'euros ? "Si vous voulez que les entreprises industrielles s'installent sur les territoires, il ne faut pas qu'elles paient, avant même qu'elles fassent des bénéfices, cinq fois plus d'impôts de production qu'en Allemagne. Produire en France sera moins cher, c'est aussi simple que ça", a-t-il ajouté.

Les industriels estiment que ces impôts, qui incluent également la cotisation foncière des entreprises (CFE) et la taxe sur le foncier bâti, nuisent à leur compétitivité. Franceinfo 16 juillet 2020

Jean Castex annonce 20 milliards d'euros pour l'environnement - Europe1 16 juillet 2020

La ploutocratie règne en maître absolu. La preuve (si nécessaire)

Affaire Apple : pourquoi la Commission a été désavouée - lepoint.fr 15 juillet 2020

La commissaire Vestager, qui avait mis l'Irlande en demeure de récupérer 13 milliards d'euros d'Apple, a subi un revers cinglant devant le Tribunal de l'UE.

À la veille d'un sommet européen où il va être question d'une taxe numérique sur les multinationales, la décision du tribunal de l'UE tombe comme un sacré pavé dans la mare et une gifle pour la commissaire Vestager, internationalement connue, depuis sa décision de 2016, comme la « tombeuse d'Apple ». Ainsi, l'Irlande aurait à juste titre permis au groupe Apple de payer un impôt minimum (13 milliards d'euros de ristourne selon la Commission) à travers ce qu'on appelle un rescrit fiscal (*). Depuis les années 1990, l'Irlande héberge deux succursales d'Apple (ASI et AOS) qui paient un impôt faible à l'État irlandais. Dublin tire avantage de cet hébergement au détriment de tous les autres pays dans lesquels Apple exerce son activité. Quand, en 2016, la Commission sanctionne cette pratique et impose à l'Irlande de récupérer 13 milliards d'avantages fiscaux à la firme de Cupertino, l'Irlande va se battre pour refuser cet argent. Pourquoi la justice européenne couvre-t-elle ce que beaucoup considèrent comme de l'optimisation fiscale agressive ?

Margrethe Vestager a réagi à l'arrêt du Tribunal de l'UE en rappelant ce qu'elle estime devoir être pris en compte : « une filiale irlandaise d'Apple avait, par exemple, enregistré des bénéfices européens de 22 milliards de dollars [soit environ 16 milliards d'euros] en 2011, dont seulement 50 millions d'euros environ avaient été considérés comme imposables en Irlande en vertu des dispositions de la décision fiscale correspondante. Si les États membres accordent à certaines entreprises multinationales des avantages fiscaux dont leurs concurrents ne bénéficient pas, cela nuit à la concurrence loyale dans l'UE. Cela prive également les finances publiques et les citoyens de fonds nécessaires pour des investissements indispensables – encore plus en période de crise. » La Commission peut toujours faire appel de la décision du Tribunal.

En tout cas, dans l'affaire Apple, l'Irlande remporte une bataille assez paradoxale vu le contexte. Comme beaucoup d'États européens, l'Irlande va sombrer économiquement avec la crise du Covid-19 et aurait besoin de cet argent. Le plan de relance de l'UE ne prévoit qu'une petite subvention pour Dublin (1,2 milliard d'euros), soit plus de 10 fois moins que ce que le litige Apple pourrait rapporter… Et pourtant, l'Irlande se bat pour ne pas récupérer cette somme. C'est aussi l'Irlande, avec le Danemark et la Suède, qui a bloqué la taxe numérique au Conseil Écofin de novembre 2018. À l'époque, le ministre des Finances irlandais, Paschal Donohoe, faisait valoir que les États-Unis ont considérablement modifié le paysage fiscal, si bien qu'il serait plus prudent d'en tenir compte et d'attendre…

Dernière conséquence : si la concurrence fiscale est admise comme « sauvage » entre les États membres, comment l'UE pourrait-elle objecter au Royaume-Uni qu'il ne puisse devenir un paradis fiscal à ses portes ? Si le fameux « level playing field » (la concurrence équitable) n'est pas déjà en place au sein de l'UE, pourquoi Londres – qui quitte l'Europe – devrait-il s'y plier ? Il y a donc, derrière l'arrêt irlandais, un enjeu bien plus important et un homme qui, de loin, s'en frotte les mains, le dénommé Boris Johnson… lepoint.fr 15 juillet 2020

Démystification de la machination au coronavirus.

99,5% ont survécu, quelle pandémie meurtrière!

- Et alors ? 13 millions de cas dans le monde. 12,5 millions de personnes ont survécu.

Pourquoi veulent-ils perpétuer leurs mesures liberticides ? Pour faire plus de morts encore si possible.

- La meilleure protection contre le covid19 semble être l’immunité collective, or toutes leurs mesures, confinement, masque, distanciation sociale, gants s'opposent entravent l'immunité collective.

Les faits sont accablants.

Réalité sur les décès covid 19 en France et dans le monde - Jean Laherrère 12 juillet 2020

Actuellement ayant mis sur internet (site aspofrance.org) depuis le 16 mars 33 papiers sur le covid19 sur le passé et les prévisions du nombre ultimes, je suis arrivé aux conclusions suivantes :

- Les données de cas covid 19 sont peu fiables et inutilisables, car le pourcentage de cas asymptomatiques est fort élevé et difficile à estimer

- Le nombre des décès covid est mal mesuré, notamment le weekend (les administratifs ne travaillent pas le weekend !) et confondu avec les autres morbidités : la date d’enregistrement n’est pas la date du décès

- Le pourcentage des décès covid19 pour les moins de 50 ans est de 1% : le risque de mortalité covid19 des moins de 50 ans est de l’ordre de celui des accidents

- Le pic des décès covid19 en hémisphère nord est bien passé et le déclin est bien assuré sauf pour l’Inde, en hémisphère sud Brésil, Chili, Argentine sont encore en plateau

- La covid 19 semble saisonnier, car tous les pays de l’hémisphère nord sont en déclin, mais on peut avoir une deuxième vague l’hiver prochain

- En France le pic des décès covid19 est le 1er avril et depuis le 1er mai le nombre de décès totaux journaliers est identique aux années précédentes (15 mai pour Belgique et Espagne, fin mai pour Suède)

- Pas de traitement efficace et les vaccins risquent d’arriver trop tard pour cette année (Affirmation fausse et espoir qu'on lui laisse. LVOG)

- Les affirmations de la majorité des scientifiques que le confinement a sauvé des millions de vies ne sont basées que sur des modèles et non des faits, contredites par la comparaison des décès ultimes de la France confinée et de la Suède non confinée qui ont similaires malgré les mauvaises mesures de protection des maisons de retraite suivant la ministre de santé suédoise

- Seules les données de tous les décès 2020 comparés à 2019 donnent la vérité sur les décès covid19 et de nombreux pays sont revenus au niveau de 2019, montrant que l’impact de la covid est terminé. Dans quelques années en regardant les données de 2020 il est probable que l’on dira que le monde s’est affolé et a pris les mauvaises décisions !

- La courbe des décès covid19 est dissymétrique alors que la courbe des décès excès2019 est symétrique : la première est basée sur des données douteuses et la seconde sur des données incontestables (si on attend un an). La première est montrée dans tous les médias, donnant une idée fausse d’une montée rapide et d’une descente lente, la seconde est rarement publiée dans les médias montrant que le monde est plutôt symétrique comme les modèles des courbes en cloche : courbe de Gauss (aléatoire) ou courbe de Verhulst (courbe logistique).

- Conclusion

La covid19 a perturbé le monde qui s’est affolé, dominé par la peur de la mort pour la population et pour les politiques d’être traînés en justice (comme pour le sang contaminé en France), les données chaotiques et fausses, les réseaux sociaux et les effets spectacle (hôpital monté en 10 jours et fermé un mois après, patients sur brancards transportés péniblement au-dessus des sièges de train TGV)

De nombreux politiciens et scientifiques affirment sans preuves que le confinement a sauvé des millions de vie, mais qu’il ne faut surtout pas recommencer, admettant que c’était une erreur.

Le risque de mortalité est faible pour les moins de 50 ans (1% des décès) et plus les moins de 50 ans auront été vaccinés naturellement, plus vite l’épidémie sera éteinte (immunité collective et croisée). Il ne faut se préoccuper que des plus âgés.

Pour certains pays et pour certains départements français la covid19 a été un non-événement et seule la chance semble être la meilleure explication pour les variations considérables des décès suivant les régions et les pays.

Les chiffres de morts covid19 sont sous-estimés avant le pic et surestimés après le pic : ils sont donc peu fiables et les chiffres de décès toutes causes en excès des années précédentes sont bien préférables, montrant que le retour à la normale apparaît plus rapide que l’examen des morts covid19.

Seuls les chiffres de tous les décès sont fiables (au bout d’un certain temps) et ils montrent des courbes plus symétriques que les courbes douteuses des décès covid19. Les chiffres de tous les morts sont revenus au niveau de 2019 en France depuis le 1er mai, en Europe depuis fin mai et aux US depuis fin juin. Il n’y a aucun signe de deuxième vague.

Il faut maintenant se préoccuper de faire redémarrer ce que les politiques ont arrêté. Ce n’est pas la crise de 2008 imposée par la déroute de l’économie devant les aberrations des banques (subprimes et titrisation), l’arrêt de l’économie en 2020 a été imposée par les politiques (s’appuyant sur les scientifiques) !

Commentaire d'un internaute.

- "La protection la plus efficace, en cas de saisonnalité (à ne pas confondre avec « deuxième vague ») c’est l’immunité collective. Pour ça, il faut en principe que le virus circule. En imposant le port du masque, quelques médecins médiatiques risquent de provoquer une catastrophe immunitaire, et pas seulement face au coronavirus.

Au-delà de votre intervention très pertinente, il faut constater la faillite du monde scientifique. Rien qu’hier, j’ai lu dans la presse deux comptes-rendus d’études (sans le moindre recul, les journalistes n’en étant pas capables). L’une postulait qu’un gros pourcentage de la population était déjà immunisé, et l’autre affirmait que l’immunité était très brève, ce qui impliquerait plusieurs prises de vaccin (inconnu à ce jour) pour tout le monde. J’ai parfois l’impression que tous les farfelus qui disposent de deux éprouvettes et d’un rat de laboratoire lancent des études visant à étayer des conclusions tirées avant la moindre recherche. Ce sentiment ne date pas de la crise. Depuis des années, on entend parler d’études faramineuses (sur le cancer, Parkinson, le diabète) qui annoncent des révolutions qu’on ne voit jamais arriver. Je sais qu’il faut du temps entre l’étude et le résultat, mais quand même…"

Faites tomber les masques du totalitarisme. La tyrannie est mondiale.

Ils en ont trouvé 26 en 3 jours !

- France. Coronavirus: 26 morts dans les hôpitaux depuis lundi - BFMTV 15 juillet 2020

1 ou 2 cas, c'est inquiétant !

- Coronavirus : Marseille, la Gironde, Melun... Où sont les situations inquiétantes en France ? - Yahoo 15 juillet 2020

C’est notamment le cas en Île-de-France et plus particulièrement à Melun, en Seine-et-Marne. Depuis trois semaines, l’hôpital de la ville voit arriver chaque jour un nouveau patient atteint du coronavirus, comme le rapporte France info. Ces derniers jours, ce sont même deux nouvelles contaminations quotidiennes qui ont été enregistrées.

Des situations à suivre, donc, alors que la question du port du masque obligatoire dans les lieux clos commence à se poser. Yahoo 15 juillet 2020

Quand ils manipulent taux d'infection et taux de contagiosité.

- Tokyo en alerte maximale face à l'envolée des cas de coronavirus - Reuters 15 juillet 2020

Le taux d'infection au nouveau coronavirus à Tokyo est désormais au niveau "rouge", le plus élevé sur une échelle de quatre, a ajouté la gouverneure, qui a dit s'appuyer sur l'analyse d'experts en santé publique selon lesquels les contaminations "dépassent les pics".

Yuriko Koike s'est engagée à intensifier le dépistage de la population en exploitant notamment le matériel utilisé dans les universités.

"D'après ce que je constate, nous sommes maintenant dans une situation plutôt grave", a-t-elle dit.

Face à la crainte d'une deuxième vague... Reuters 15 juillet 2020

Fanatisme même pas masqué.

Covid-19: reconfinements et masques obligatoires progressent dans le monde - AFP 15 juillet 2020

États-Unis: un sénateur proche de Trump sermonné par American Airlines pour non-port du masque - BFMTV 15 juillet 2020

L'exécutif pressé de trancher sur le port obligatoire du masque dans les lieux clos - LeFigaro.fr 14 juillet 2020

- Emmanuel Macron veut rendre le masque obligatoire "dans tous les lieux publics clos" - Europe1 14 juillet 2020

- Le port du masque obligatoire fait consensus, pas la date du 1er août - HuffPost 14 juillet 2020

LVOG - Consensus incluant l'extrême droite et l'extrême gauche il faut bien préciser...

- Quels sont les "lieux publics clos" où le port du masque sera obligatoire à partir du 1er août? BFMTV 14 juillet 2020

À partir du 1er août, le masque devrait être rendu obligatoire dans tous "les lieux publics clos" en vue d'éviter une reprise de l'épidémie de Covid-19. C'est le souhait formulé par Emmanuel Macron pendant son interview télévisée ce mardi 14 juillet.

Lors de cette intervention, le chef de l'État a suggéré aux Français de "porter le masque au maximum quand ils sont dehors et, a fortiori, quand ils sont dans un lieu clos". Jusqu'ici, le port du masque n'était obligatoire que dans les transports en commun (bus, trains, trams, gares, taxis et VTC) et ce depuis le déconfinement du 11 mai.

Début août, le port du masque obligatoire devrait être ainsi généralisé dans l'ensemble des espaces accessibles des services publics, à savoir les hôpitaux, mairies, préfectures, bibliothèques, ou encore la Poste.

Sont également considérés comme des établissements recevant du public les lieux de cultes, banques, établissements sportifs, musées, salles de concert et de cinéma comme des établissements recevant du public. Ils devraient ainsi être concernés par cette mesure, à l'image des parties accessibles au public des établissements de soins et maisons de retraite (Ehpad).

Les commerces de détail, centres commerciaux, bars, hôtels et autres restaurants font également partie de la liste des ERP. En somme, l'ensemble des établissements privés qui accueillent du public derrière un guichet.

En revanche, "une entreprise non ouverte au public, mais seulement au personnel, n'est pas un établissement recevant du public". Si l'exécutif s'en tient à cette définition pour établir la liste des lieux où le masque est obligatoire, un professionnel qui ne reçoit pas de clientèle dans son bureau pourrait ainsi ne pas être concerné. Le port du masque reste néanmoins fortement recommandé par les autorités sanitaires. BFMTV 14 juillet 2020

La France est devenu le pays le plus réactionnaire, le plus pourri de la planète, en voilà la confirmation, un camp de concentration, une prison, mais apparemment l'immense majorité des Français sont prêts à s'en accommoder. Quant au mouvement ouvrier, il ne s'en est pas encore rendu compte, ce qui signifie qu'il est aussi pourri, désolé !

Grande-Bretagne: Masque obligatoire dans les commerces à compter du 24 juillet - Reuters 13 juillet 2020

LVOG - Il faut dire qu'ils recensent tant de morts quotidiennement :

Le Royaume-Uni recense 11 décès supplémentaires liés au coronavirus - Reuters 13 juillet 2020

LVOG - Sur 66,65 millions d'habitants en 2019 , 44.830 décès attribués à raison ou à tort au Covid-19 ; Taux de mortalité = 0,07% de la population. 11 = 0.00002%

Coronavirus : Trois décès supplémentaires recensés en Allemagne - Reuters 15 juillet 2020

Le nombre de cas confirmés de contamination au coronavirus en Allemagne a grimpé à 199.726, soit 351 cas de plus que la veille, selon les données publiées mercredi par l'Institut Robert Koch (RKI) pour les maladies infectieuses. Reuters 15 juillet 2020

LVOG - Ils testent massivement, logique !

Il faut supprimer les ascenseurs !

Coronavirus : elle provoque un cluster de 71 personnes infectées en passant une minute dans un ascenseur - Yahoo 13 juillet 2020

LVOG - Oui, mais ils prendront tous les escaliers, qu'on les supprime aussi ! Qui ?

Coronabusiness pour tout le monde, mais pas toujours dans le même sens !

En Inde, les amendes pleuvent pour non port du masque - AFP 14 juillet 2020

L'épidémie de coronavirus fait actuellement rage en Inde, qui compte à ce jour 23.727 morts sur 906.752 cas déclarés de la maladie Covid-19. Les spécialistes estiment que le pic de l'épidémie n'est toujours pas atteint dans la deuxième nation la plus peuplée de la planète, où les chiffres grimpent rapidement.

Dans ce contexte de crise sanitaire, le gouvernement impose le port du masque dans l'espace public, dans les transports et au travail. Si la mesure semble globalement respectée dans les grandes villes, de nombreux Indiens portent cependant leur inconfortable masque de façon baroque, pendant à l'oreille, glissé sous le nez ou le menton.

Depuis mars, la police de Delhi a distribué plus de 42.000 amendes pour non port du masque ou non respect de la distanciation physique. À travers l'Inde, les forces de l'ordre ont ainsi récolté des centaines de milliers d'euros en contraventions, qui vont de 200 roupies à Bangalore (2,3 euros) à 1.000 roupies (11,7 euros) à Bombay.

Les amendes données pour non respect des mesures de protection sanitaire s'élèvent à près de 117.000 euros en un mois dans la ville de Bangalore (sud), a annoncé la semaine sur Twitter le chef de la police locale, Hemant Nimbalkar.

Dans la ville de Firozabad (nord), les contrevenants au port du masque n'écopent pas d'amende mais doivent suivre un cours de quatre heures sur la distanciation physique et recopier 500 fois "Un masque doit être porté". AFP 14 juillet 2020

LVOG - Et comment font-ils avec les centaines de millions d'illettrés ? Ce qui est certain, c'est que la police étant aussi corrompue que l'ensemble des institutions indiennes si ce n'est plus, les policiers ont récolté l'équivalent de centaines de milliers de roupies qui n'apparaîtront nulle part. Ici étrangement je n'en ai plus vu depuis au moins 2 ou 3 semaines, en fait je ne me souviens plus quand j'en ai croisés la dernière fois sur la route, et quand je sors je passe devant le poste de police, ils ont disparu, tant mieux !

Ce qui me fait marrer, c'est que du coup de nombreux Indiens ne portent plus le masque, alors que le nombre de cas a augmenté dans notre région. Ici on est habitué à mourir de toutes sortes de choses, la vie vaut encore moins qu'ailleurs...

Tests foireux ou interprétations erronées.

- Coronavirus : l'énigmatique contamination de marins argentins après 35 jours en mer - BFMTV 14 juillet 2020

Testés négatifs avant leur départ, sept marins ont été contaminés par le covid-19 après plus d'un mois en mer. Les autorités cherchent à comprendre comment ils ont pu être infectés.

L'Argentine cherche à résoudre ce qui s'apparente à une énigme : sept marins ont été contaminés au nouveau coronavirus alors qu'ils venaient de passer 35 jours en mer et que l'intégralité de l'équipage avait été testés négatifs avant de partir.

Le bateau de pêche Etchizen Maru est revenu au port après que certains de ses passagers ont présenté des symptômes typiques du Covid-19, a annoncé lundi le ministère de la Santé de la province argentine de la Terre de Feu (sud), confirmant sept cas positifs. BFMTV 14 juillet 2020

Tour de prestidigitation des Pieds nickelés de la science.

- Coronavirus : L’immunité pourrait disparaître en quelques mois, suggère une étude - 20minutes.fr 13 juillet 2020

L’immunité basée sur les anticorps, acquise après avoir guéri du Covid-19, disparaîtrait la plupart du temps en quelques mois, selon une nouvelle étude, ce qui risque de compliquer la mise au point d’un vaccin efficace à long terme.

« Ce travail confirme que les réponses en anticorps protecteurs chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 (…) semblent décliner rapidement », souligne lundi le Dr Stephen Griffin, professeur agrégé à l’Ecole de médecine de l’université de Leeds (Royaume-Uni). « Les vaccins en cours de développement devront soit générer une protection plus forte et plus durable par rapport aux infections naturelles, soit être administrés régulièrement », ajoute ce médecin qui n’a pas participé à l’étude.

« Si l’infection vous donne des niveaux d’anticorps qui diminuent en deux à trois mois, le vaccin fera potentiellement la même chose », et « une seule injection ne sera peut-être pas suffisante », indique la Dr Katie Doores, principale auteure de l’étude, dans le Guardian. L’étude du prestigieux King’s College de Londres, qui n’a pas encore fait l’objet d’une évaluation par des pairs, a été mise en ligne sur le site medrxiv.

LVOG - Mais, mais... tout et son contraire

- Les spécialistes font toutefois remarquer que l’immunité ne repose pas que sur les anticorps, l’organisme produisant également des cellules immunitaires (B et T) qui jouent un rôle dans la défense.

« Même si vous vous retrouvez sans anticorps circulants détectables, cela ne signifie pas nécessairement que vous n’avez pas d’immunité protectrice parce que vous avez probablement des cellules mémoire immunitaires qui peuvent rapidement entrer en action pour démarrer une nouvelle réponse immunitaire si vous rencontrez à nouveau le virus. Il est donc possible que vous contractiez une infection plus bénigne », avance la professeure d’immunologie virale Mala Maini, consultante à l’University College de Londres.

LVOG - Peu importe, vous devez continuer d'appliquer les mesures liberticides...

- En attendant d’en savoir plus, « même ceux qui ont un test d’anticorps positif – en particulier ceux qui ne peuvent pas expliquer où ils peuvent avoir été exposés – devraient continuer à faire preuve de prudence, de distanciation sociale et d’utiliser un masque approprié » avertit James Gill, professeur honoraire de clinique à la Warwick Medical School. 20minutes.fr 13 juillet 2020

C'était une mystification ou quand une épidémie peut en remplacer une autre.

Comment le coronavirus a stoppé net l'épidémie de grippe - futura-sciences.com 26 mai 2020

« Globalement, l'activité grippale est moins importante que prévu pour cette période de l'année. Dans la zone tempérée de l'hémisphère Nord, une forte baisse de l'activité grippale a été observée ces dernières semaines », note l'OMS.

LVOG - Et pourtant...

- La grippe 2020 s'annonçait pourtant particulièrement vigoureuse. En janvier, avant l'arrivée du Covid-19, l'épidémie avait débuté sur les chapeaux de roues, « bien partie pour être l'une des plus sévères depuis des décennies », indique Nature.

Il est enfin possible que des personnes âgées qui seraient normalement mortes de la grippe aient été emportées avant par le coronavirus.

La surmortalité globale est cependant bien supérieure en 2020.

LVOG - Mais, mais...

- Mais là encore, ne tirons pas des conclusions trop rapidement : « On pourrait constater un déficit de mortalité correspondant aux vies écourtées par l'épidémie, comme cela a pu être le cas après la canicule de 2003 », note l’Insee. De même, le pic de décès de janvier 2017 dû à la grippe avait été suivi par des points bas de mortalité en mars et avril. futura-sciences.com 26 mai 2020

LVOG - Confirmation en Italie.

- Un rapport dévoilé par le Ministère de la Santé italien avance une piste plus surprenante : la saison de la grippe, moins virulente cette année en raison de l'hiver très doux, aurait épargné davantage de personnes fragiles (en particulier ceux atteints de maladies cardiovasculaires et respiratoires) qui auraient du coup succombé au Covid-19.

Autrement dit, ces personnes qui seraient mortes de la grippe lors d'une saison normale ont survécu mais ont été finalement tuées par le coronavirus. « La mortalité [due à la grippe] dans les mois précédant l'épidémie de Covid-19 a été plus faible que prévu, avec une réduction de -6 % dans les villes du nord et de -3 % dans les villes du centre-sud », indique ainsi le rapport. C'est bien sûr loin d'être la seule explication, mais il est à noter que les plus de 70 ans représentent 85 % des morts en Italie, et que 99 % des personnes décédées souffraient au moins d'une pathologie existante. futura-sciences.com 28 avril 2020

LVOG - Ils ont même réussi à faire plus fort, si, si il faut leur reconnaître ce mérite, ils ont réussi à faire mourir ceux qui sinon seraient morts au cours de l'hiver 2020-2021

Si "99 % des personnes décédées souffraient au moins d'une pathologie existante", c'est qu'elles devaient mourir un peu plus tôt ou un peu plus tard, dont ils leur ont rendu service en abrégeant leur souffrance et en échange ils l'ont leur pandémie !

Totalitarisme. Trompettes de la mort. Les bruits de bottes gagnent en décibels ou les canons à son.

C'est le son de la police: le bruit aussi peut être une arme - slate.fr 14 juillet 2020

Au cours des manifestations de ces derniers mois inspirées par le mouvement Black Lives Matter, l'usage d'armes militaires comme les grenades assourdissantes et les canons à son (LRAD, pour Long-range Acoustic Device) s'est largement développé.

Ces armes sonores peuvent provoquer des lésions durables, notamment en perforant le tympan. Les grenades assourdissantes par exemple produisent des détonations de 170 décibels: à titre de comparaison, le bruit d'une fusée est de 180 décibels, et celui d'un avion à réaction de 150.

Si le bruit peut être utilisé pour blesser physiquement des foules ou les disperser, il est donc avant tout un outil de contrôle, qui vise à construire une certaine représentation de la criminalité ou de la déviance. Associés à différentes situations selon le contexte dans lequel ils sont employés, les sons produits par la police ont pour objectif de modifier les comportements de celles et ceux qui les entendent. slate.fr 14 juillet 2020

Le terrorisme d'Etat va-t-il à nouveau sévir ?

Laurent Nuñez va être nommé patron de la « task force » antiterroriste de l'Élysée - LePoint.fr 15 juillet 2020

L'ancien secrétaire d'État à l'Intérieur sera le nouveau coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme. LePoint.fr 15 juillet 2020

Comment l'esprit du régime ou son idéologie a infiltré le cerveau de tous nos dirigeants.

Editorial de La Tribune des travailleurs (POID) par Daniel Gluckstein - 15 juillet 2020

LTT- La relance réelle de l’économie suppose la confiscation des 460 milliards et leur affectation au maintien de tous les emplois. Soit les capitalistes s’en accommodent, quitte à sacrifier une part de leurs profits. Soit ils ne s’en accommodent pas. Dans ce cas, la préservation des intérêts vitaux de la majorité exigera de nationaliser sans indemnité ni rachat les entreprises concernées.

LVOG - En apparence cela sonne très bien, quel révolutionnaire Gluckstein, mais quand on réfléchit un instant on en arrive à la conclusion inverse, j'explique pourquoi.

Car un Etat ouvrier ou une République sociale ou socialiste rompant avec le capitalisme réorganiserait l'économie en fonction des besoins de la population et mettrait donc un terme à l'anarchie qui caractérisait la production ou s'émanciperait des règles imposées par le marché mondial dominé par le capitalisme qui ont structuré toutes les économies nationales, dont la division internationale du travail qui est le pendant de la concurrence non faussée s'imposant à toutes les économies, de sorte que la production et l'emploi dans un tel Etat ou République sociale ne ressembleraient pas du tout ou de très loin à ce qui existe aujourd'hui.

Ce n'est manifestement pas dans cette perspective que se place Gluckstein, car "la confiscation des 460 milliards et leur affectation au maintien de tous les emplois" signifierait que finalement il n'y aurait pas lieu de remettre en cause l'organisation de la production telle qu'elle existe de nos jours sous un régime capitalisme... On retrouve là la ligne politique adoptée par les staliniens depuis des lustres.

La question qui est posée à tous les travailleurs n'est pas de savoir si les capitalismes pourraient s'accommoder ou non de quoi que ce soit, mais uniquement de rassembler les forces pour les chasser du pouvoir et renverser les rapports sociaux, auquel cas la question précédente ne se poserait pas puisque les travailleurs l'auraient résolue à leur manière en expropriant les capitalistes.

LTT- Quant à ce régime de menteurs et de bonimenteurs (...) profitant du soutien apporté par les « partis de gauche », prétend imposer aux organisations syndicales une « concertation » sur toutes ses contre-réformes, il faudra bien le balayer.

LVOG - Là encore on est en présence d'une mystification ou double langage. Car Macron ne prétend pas "imposer aux organisations syndicales" quoi que ce soit puisqu'en réalité elles sont toutes sans exception acquises au régime, faire croire le contraire sert directement les intérêts de Macron dont Gluckstein se fait l'agent ici.

La ligne directrice de Gluckstein n'était pas difficile à cerner puisqu'il la partage avec tous les opportunistes qui se présentent comme des opposants à on ne sait quoi finalement, puisqu'ils refusent tous de remettre en cause l'existence du capitalisme.

La politique de Macron sert-elle à sauver les institutions de la Ve République ou le capitalisme en faillite ? On nous rétorquera peut-être qu'avant de pouvoir s'attaquer aux fondements du capitalisme il faut commencer par s'emparer du pouvoir politique ou chasser du pouvoir les représentants du capitalisme. Certes, c'est exact, à ceci près qu'il faudrait que les travailleurs le sachent ou qu'on leur dise clairement, ce qui n'est pas du tout le cas ici, bien au contraire, et la référence à la révolution bourgeoise de 1789 qui a consisté à mettre au capitalisme le pied à l'étrier confirme ce qui a été dit plus haut, alors que désormais il s'agit de l'abolir.

La fin pathétique de son éditorial va le prouver magistralement, lisez, c'est écrit noir sur blanc.

LTT- Oui, il faudra bien que le pouvoir passe à la majorité, celle qui n’a pas d’autre richesse que sa force de travail.

Retirer le pouvoir à la poignée de privilégiés qui s’accordent toujours plus sur le dos du peuple travailleur ; en finir avec cette Ve République de chômage et de misère ; établir une authentique démocratie : loin des ors de l’Élysée, l’urgence, en ce 14 juillet 2020, est que (re) vive la Révolution.

LVOG - Quelle révolution ? Apparemment plus celle socialiste de 1917 !

Qui a dit ?

Qui a salué la priorité donné à l’emploi des jeunes : "C’est un chantier sur lequel, bien évidemment, nous allons nous investir", même s’il redoute que les baisses de charges donnent lieu à des "effets d’aubaine".

Réponse : Michel Beaugas, secrétaire confédéral de Force ouvrière en charge de l’emploi et des retraites, sur franceinfo mercredi 15 juillet.(Source : francetvinfo.fr 15 juillet 2020)

LVOG - Alors faut-il ou non construire un nouveau syndicat ouvrier ?

Pourquoi Macron a-t-il hésité entre Castex et Mélenchon ?

Jean-Luc Mélenchon, chef de file de la France insoumise, revendique la paternité de la réhabilitation du Plan, jadis cher au général de Gaulle.

Et de lancer: “Faut-il rappeler qu’en France, le premier commissariat général au plan fonctionna sous la houlette de Jean Monnet? Il fallait reconstruire la France après la Seconde Guerre mondiale. Quant à De Gaulle, il parlait du plan comme d’une +ardente obligation+”, rappelle-t-il. (Il pue la réaction à plein nez ce salopard ! - LVOG)

Peu avant la déclaration de politique générale, le député LFI Bastien Lachaud s’était réjoui que “l’idée de la création d’un nouveau commissariat général du plan semble s’imposer” au sein de l’exécutif, y voyant là encore une “victoire culturelle” de LFI. Le HuffPost 15 juillet 2020

LVOG - Alors, LFI et le PG, de droite ou non ? Pourquoi réfléchissez-vous, Mélenchon vient de vous dire qu'il l'était et qu'il en était fier, c'est un vrai patriote, un authentique gaulliste... et atlantiste avec Jean Monnet, cela ne vous suffit-il pas ? Si vous n'y tenez pas, c'est peut-être parce que vous vous ressemblez ou vous êtes bourré d'illusions, ce qui revient au même ici. Que voulez-vous, il faut s'assumer.

Qui a dit à propos du masque obligatoire ?

A - «Je suis quand même étonné de voir que le gouvernement, en fonction de données, semble hésiter».

B - "C'est une bonne idée".

Réponse A : Éric Coquerel sur France Info lundi matin. (LeFigaro.fr 14 juillet 2020)

Réponse B : Adrien Quatennens, coordinateur de La France insoumise et invité d'Europe 1 mardi soir. (Europe 1 15 juillet 2020)

LVOG - Les miliciens du régime fascisant font du zèle...

Etait-ce encore des syndicats quand ils signent des accords avec un régime totalitaire ou fascisant ?

LVOG - Il y a fort à parier que la plupart des militants conditionnés par leurs dirigeants ou leur adaptation au capitalisme estimeront cette question totalement déplacée ou pire encore, de la même manière que les masses tout aussi dépourvues de conscience politique justifient les mesures liberticides imposées par Macron dans le cadre de la lutte contre une pandémie virale inexistante ou fabriquée de toutes pièces.

Autant dire tout de suite, que ce serait peine perdue d'avance d'essayer de nous influencer ou de vouloir nous contraindre à refuser de prendre en compte les rapports qui existent aujourd'hui entre les classes.

Nos principes et notre idéal ne sont pas à vendre, ne sont pas négociables.

Quelle est la nature sociale de ces rapports ?

Pour permettre d'imposer des mesures toujours plus antisociales ou liberticides destinées à accroître la fortune et le pouvoir politique de l'oligarchie, ces rapports reposent sur l'usage de la force ou de la répression, de la violence, ainsi que le collaboration de classe, le dialogue social, le corporatisme.

Dès lors comment doit-on caractériser un tel régime ?

Dès lors que tout espoir d'une vie ou d'une société meilleure ou plus juste à totalement disparu, que le progrès social est exclu, et que toutes les aspirations démocratiques des masses sont bâillonnées ou piétinées, un tel régime doit être caractérisé de totalitaire ou fascisant davantage par son contenu que par sa forme (provisoirement), où le pouvoir tyrannique des entreprises transnationales ou de l'oligarchie financière élevée au rang de ploutocratie remplace le nationalisme qui caractérisait autrefois le fascisme

Le volet salarial du "Ségur de la santé" signé, les manifestations se poursuivent - Journal du Dimanche 13 juillet 2020

Ce volet sur les rémunérations prévoient notamment :

7,5 milliards d'euros pour les personnels paramédicaux (infirmiers, aides-soignants) et autres non médicaux (techniciens, agents administratifs...), avec à la clé une hausse de salaire de 183 euros net mensuels pour les salariés. Cet accord a été signé par trois syndicats majoritaires : FO, la CFDT et l'Unsa. Les deux autres syndicats représentatifs (CGT et SUD) n'ont pas souhaité le valider.

450 millions pour les médecins, destinés principalement à augmenter l'indemnité de "service public exclusif", versée aux praticiens qui s'engagent à ne travailler que dans les hôpitaux publics. Trois syndicats majoritaires ont donné leur feu vert : l'INPH, le CMH et le Snam-HP. Les deux autres syndicats représentatifs (APH et Jeunes médecins) ont dénoncé des arbitrages "incompréhensibles" et un "simulacre de négociations". Journal du Dimanche 13 juillet 2020

Les riches se sont payés leur "vague verte".

À Strasbourg, la "vague verte" des municipales s'est-elle arrêtée aux banlieues ? - europe1.fr 13 juillet 2020

Si elle a suscité un véritable raz-de-marée dans l'hypercentre et les quartiers à la mode de Strasbourg, la "vague verte" semble s'arrêter à la banlieue, là où l'abstention a parfois atteint 85%, comme dans le quartier de Hautepierre. Résultat : lorsqu'on montre une photo de la nouvelle maire à ces habitants, les réponses se font hésitantes, et aucune des personnes interrogées ne la reconnaît. "Inconnue au bataillon", répond même un jeune homme au micro d'Europe 1. Un phénomène qui s'explique peut-être en partie parce que Jeanne Barseghian a eu beau recueillir 42% des suffrages le 28 juin dernier, elle n'a été élue que par 15% des électeurs seulement.

Dès lors, il n'est pas étonnant que certains points emblématiques de son programme, comme l'interdiction des véhicules diesel dès 2025, soient loin de faire l'unanimité dans ces quartiers. "Elle a pété les plombs ?" se demande un jeune homme qui estime qu'on "ne peut pas" mettre en place une telle mesure. "Elle a cru que les gens étaient tous riches ?", lance un autre habitant.

De là à dire que cette divergence cache une réelle fracture spatio-économique ? Oui, à en croire l’ancienne maire socialiste, et candidate malheureuse cette année, Catherine Trautmann. "J’ai rencontré beaucoup de gens dans les quartiers qui m’ont fait part de leur volonté d’être dans la rue, et que ce serait violent, si la fin du diesel était actée", rapporte-t-elle. "Les gilets jaunes étaient déjà l'expression d'un malaise social des couches sociales basses de la population, mais là on peut avoir un problème plus grave de tension si on regarde l'avenir". europe1.fr 13 juillet 2020