Causeries septembre 2020


janvier février  mars   avril   mai   juin  juillet  août  septembre octobre novembre décembre

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30                  



Le 3 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Le mot du jour : A qui profite le délire collectif auquel participe toutes les composantes du mouvement ouvrier ?

- Coronavirus: un délire collectif? Par Jean-Yves Jézéquel - Mondialisation.ca, 31 août 2020

https://www.mondialisation.ca/coronavirus-un-delire-collectif/5648847

On rajoutera des documents plus tard, dont l'article ci-dessus.

La ligne de fracture au sein du mouvement ouvrier et de l'ensemble de la société est la suivante : soit vous vous en tenez aux faits, soit vous vous réfugiez dans le déni de la réalité, tel que vous y invitent les psychopathes qui nous gouvernent. A chacun ses responsabilités.

Rejoignez La Voix de l’Opposition de Gauche !

44 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Comment l'avant-garde du mouvement ouvrier a rejoint les rangs de l'opportunisme.

Ses dirigeants ont décrété que :

- Les institutions du nouvel ordre mondial ne disposaient d'aucun pouvoir, partant de ce constat elles ne présentaient aucun intérêt pour la lutte de classe du prolétariat, en aucun cas elles ne constituaient une menace pour les travailleurs du monde entier, le mieux c'était encore d'ignorer leur existence...

- Lutter contre la guerre idéologique et psychologique menée par l'oligarchie contre les masses ne présentait aucun intérêt parce qu'elle n'avait aucun sens, elle n'avait aucune influence sur leur état d'esprit ou leur comportement, le mieux c'était encore d'ignorer son existence...

- L'unité à tous prix avec les opportunistes (PS et PCF et leurs satellites) devait être privilégiée au combat contre l'opportunisme, parce qu'il finirait par ne plus jouer aucun rôle politique ou il disparaîtrait de lui-même sans laisser de traces, le mieux c'était encore d'ignorer sa capacité de nuisance...

- Le combat pour le socialisme devait céder la place à la lutte pour des revendications sociales immédiates, le mieux c'était encore d'ignorer pourquoi les masses étaient aussi éloignées du socialisme...

Que ressort-il de ce constat, outre le fait qu'ils se sont perpétuellement fourvoyés ?

Leur orientation politique a reposé en permanence sur le déni de pans entiers de la réalité, ce qu'à un moment donné ils ont forcément pris conscience tellement leur discours était en contradiction avec les faits. Au passage, cela signifie qu'il n'y a absolument plus rien à attendre de ces dirigeants et de ces partis, ce que chacun devrait conserver à l'esprit pour la suite.

Comment cela s'est-il traduit, qu'ont-ils fait alors ?

Au lieu de l'admettre et de corriger leur orientation politique, ils se sont enfoncés un peu plus chaque jour dans le déni de la réalité épousant de plus en plus ouvertement l'interprétation qui en était donnée par la réaction ou son idéologie, ce qui devait les amener à cautionner les mesures liberticides imposées par Macron en réponse à une pandémie virale inexistante ou fabriquée par le Forum économique mondial (Davos) et ses médias.

A la question posée par un internaute : " C'est déprimant. On se sent impuissant. Comment lance-t-on une action collective?", nous sommes bien obligé de répondre que, puisqu'il existe un consensus national de l'extrême droite à l'extrême gauche avec l'extrême-centre de Macron ou LREM, incluant l'ensemble du mouvement ouvrier, les syndicats ouvriers et patronaux, l'ensemble des institutions de la Ve République, les conditions n'existent pas, hormis des acteurs à titre individuel, inorganisés ou des organisations marginales de tous bords politiques censurées, qui ne disposent d'aucun pouvoir pour lancer une telle action.

On vient d'en faire l'expérience le 29 août, où presque personne n'a répondu en France à l'appel à se mobiliser pour exiger le retrait de toutes les mesures liberticides imposées par Macron.

Aussi longtemps que ce consensus n'aura pas été brisé, la lutte de classe demeurera neutralisée au profit de la réaction. Qu'est-ce qui pourrait briser ce consensus ? Le soudain, violent et incontrôlable surgissement des masses qui ne supportent plus d'être bâillonnées, muselées, mouvement insurrectionnel qui serait rejoint par les dizaines de milliers de militants du mouvement ouvrier ou inorganisés qui sont actuellement les otages de ces dirigeants malfaisants, corrompus, et gageons qu'immédiatement ils seraient suivis par des centaines de milliers de travailleurs des classes exploitées et opprimées...

Si un courant politique pouvait exprimer consciemment ce processus révolutionnaire tout en lui fixant des objectifs politiques, il serait alors possible de construire le parti qui nous fait tant défaut aujourd'hui pour espérer pouvoir renverser le régime en place, rompre avec le capitalisme, abattre les institutions de la Ve République et proclamer la République sociale sur ses cendres.

La Voix de l'Opposition de Gauche se met à la disposition des militants qui partagent son analyse et son orientation politique, ses objectifs politiques.

Contrairement aux opportunistes et autres démagogues professionnels qui pendant des décennies vous ont dit, rejoignez-nous même si vous avez de profonds désaccords avec nous, peu importe on s'occupera de tout à votre place, autrement dit, on vous instrumentalisera et vous ne trouverez rien à redire parce que vous n'aurez pas le choix, nous affirmons qu'aucun parti ne peut fonctionner et se construire, prétendre conquérir la direction du mouvement révolutionnaire des masses et le mener à la victoire, autrement que sur la base d'une analyse de la situation, d'une orientation et d'une stratégie politique, un programme partagés et portés par l'ensemble de ses militants.

Nous ne sommes pas "ouvert" à l'opportunisme, nous ne sommes pas "ouvert" à tous les courants politiques qui peuvent exister, et qui incarnent à des degrés l'influence idéologique de la réaction ou de l'opportunisme. Nous devons construire un parti sur la base du marxisme et du socialisme. Nous le revendiquons, nous n'avons nullement besoin d'un parti où une partie des militants demeureraient bourrés d'illusions dans le capitalisme ou les voies empruntées par la social-démocratie ou le stalinisme, l'anarchisme. Vous avez pu observer où cela menait.

Notre parti doit incarner l'alternative au capitalisme et rien d'autres. C'est à prendre ou à laisser, notre indépendance, nos principes, notre méthode et notre mode de pensée, notre idéal, sont indissociables et ils ne sont pas négociables.

Regardez attentivement comment se disposent nos ennemis, vous observerez qu'ils avancent pas à pas vers leurs objectifs quand ils unissent toutes leurs forces et font preuve d'une détermination et d'une discipline sans faille, et bien nous devons les imiter, sinon nous n'arriverons jamais à rien. Le dilettantisme, l'amateurisme, l'éclectisme, l'état d'esprit conciliateur jusqu'à la compromission n'ont pas leur place ici.

Sur une barricade, il n'existe que deux côtés, mais chaque côté présente la particularité de ne pas être forcément construit avec les mêmes matériaux, et bien il doit en aller ainsi des courants du parti qui se situe du côté de la révolution socialiste. C'est l'objectif politique qu'on s'est fixé, le socialisme, qui détermine la nature du parti et non ses différents courants. Et si on confondait les deux, le parti serait voué à la dislocation, parce que le socialisme aurait été dilué sur le modèle des courants qui en étaient le plus éloigné. Non, on ne peut pas plaire à tous les travailleurs ou militants qui se disent anticapitalistes ou révolutionnaires, et qui en réalité ne maîtrisent pas suffisamment ni le matérialisme dialectique ni les enseignements de la lutte de classe du passé que nous ont légués les marxistes. On en veut pour preuve tous ceux qui de bonne foi ou inconsciemment participent à des opérations ou campagnes montées de toutes pièces par l'oligarchie, à laquelle ils rendent un fier service au lieu de servir notre cause.

S'il n'y a pas de révolution chimiquement pure, s'il n'existe pas de parti parfait, il n'en demeure pas moins qu'il n'existe que deux classes indépendantes aux intérêts irrémédiablement antagonistes ou opposés, deux idéologies qui s'affrontent, celle des capitalistes, dont les différentes versions ont en commun de perpétuer les rapports sociaux établis entre les classes, et celle de la classe ouvrière, le socialisme ou le communisme comme vous voudrez.

La comparaison s'arrête là, car si les différentes versions ou variantes de l'idéologie capitaliste correspondent à différents stades du développement du capitalisme et des crises qu'il a traversées, elles sont toutes orientées dans la même direction ou elles ont pour vocation de permettre à la classe dominante de demeurer hégémonique au sein de la société, et lorsque celle-ci est menacée, elles constituent un front uni contre la révolution socialiste, alors que de notre côté chacun sait ou devrait savoir que, si les différentes versions ou variantes de l'idéologie socialiste sont en quelque sorte les pendants de celles des capitalistes à différentes époques, une seule intègre la totalité des expériences et des enseignements de la lutte de classe du prolétariat mondial depuis plus de 2 siècles une fois débarrassée des illusions dans le capitalisme, que toutes les autres versions continuent de colporter, et qui pour cette raison ne peuvent en aucun cas nous servir de guide. Le plus court chemin pour rallier deux points entre eux, c'est la ligne droite, et il n'en existe pas d'autres.

J'appelle les lecteurs à devenir les porte-parole et les premiers militants de La Voix de l'Opposition de Gauche, à faire connaître ce courant politique autour d'eux.

Imaginons un instant que des dizaines ou des centaines de travailleurs ou militants répondent à cet appel, ce serait parmi eux que se dégageraient ses premiers cadres et dirigeants, rôle que je ne revendiquerais en aucune manière pour être trop loin du terrain ou ne pas être en mesure d'en assumer toutes les responsabilités.

La voix de son maître (Davos).

Dans le Fil d'infos de La Tribune des travailleurs (POID) (latribunedestravailleurs.fr)

- Covid 19 : plus de 25 millions de cas officiellement recensés dans le monde (L'écho de l'OMS ou Big Pharma ! - LVOG)

- Des classes et des écoles seront fermées pour le jour de la rentrée de 12,4 millions d’élèves le 1er septembre (Ils participent à la casse de l'école. - LVOG)

- À Washington, une marche contre le racisme dans le sillage de Martin Luther King (Organisée et financée par qui ? Chut ! - LVOG)

En complément dans la rubrique "À lire sur le site du : POID"

- COVID-19: et si la pandémie reprend demain ? (La stratégie de la peur, c'est aussi leur truc. - LVOG)

- Dans les écoles, le gouvernement s’oriente vers l’allégement du protocole sanitaire... (Quelle horreur tous ces gosses qui vont mourir comme des mouches ! - LVOG)

- Dans les entreprises, le gouvernement s’est contenté de rendre le port du masque obligatoire – mesure de protection indispensable pour les salariés... (Ce n'est Gates ou Rockefeller et leurs potes qui les désavoueront, au contraire. Question : Combien de travailleurs, parmi ceux qui ont continué d'aller travailler sans masque, sont-ils morts au cours des 6 derniers mois ? Aucun ou quelques-uns qui étaient en mauvaise santé. - LVOG)

LVOG - Des mesures liberticides, ils en redemandent, quel délire, quelle bande de réactionnaires ! La pandémie de populisme bat son plein en attendant, bravo !

Après cela l'éditorial de La Tribune des travailleurs du 2 septembre n'a pas de quoi tracasser Macron :

- Quand Macron craint de « raviver la lutte des classes »… Il en tremble déjà !

Après nous avoir annoncé pendant plusieurs décennies "l'imminence de la révolution" qui n'a jamais eu lieu comme chacun sait, voilà qu'on devrait faire face à "un massacre social imminent", rien que cela. Certes, qui sait, il pourrait avoir lieu, on demande à voir, peut-être comme il a déjà eu lieu en Grèce. Et après, la question est de savoir dans quelles conditions politiques il aurait lieu, le vide politique sidéral face à Macron, le dénouement est écrit d'avance, sauf évènement exceptionnel, lequel, je l'ignore, je ne suis pas devin contrairement à eux.

Dites-nous, on a connu la période du plein emploi, puis le démarrage du chômage de masse sous Mitterrand, on est passé successivement de 1 à 2, puis à 3, puis à 4 millions de chômeurs, le double en comptant les emplois en CDD, l'intérim, le temps partiel imposé, les stagiaires, les chômeurs non inscrits à Pôle Emploi, etc. Et alors ? Et alors, rien, la vie a continué comme avant, non, osez donc affirmer le contraire. Pourquoi ? Parce que les conditions étaient mûres pour qu'il en soit ainsi, pourquoi les travailleurs auraient-ils dû être motivés pour rejoindre le mouvement ouvrier qui n'avait eu de cesse de les trahir, de les abandonner à leur triste sort, comme ils disent de nos jours, ils ont fait preuve de "résilience". Ils se sont débrouillés pour survivre comme les travailleurs grecs plus tard, les retraités grecs qui ont vu leur retraite amputée de 40%. Ils n'ont pas eu le choix, puisqu'il n'existait aucune force politique organisée susceptible de rassembler l'ensemble des masses sur le mot d'ordre de l'abolition de la Constitution et des institutions nationales dans le cadre desquelles Tsipras avait donné plein pouvoir à la troïka pour les tondre. La multitude de manifestations n'ont strictement servi à rien, mais nous nous en avons tiré des enseignements politiques contrairement aux opportunistes.

En France, c'est la même chose, les travailleurs font face à une union nationale sans faille, un consensus allant de l'extrême droite à l'extrême gauche, de RN au POID, incluant la totalité des syndicats, sur l'ensemble des mesures liberticides à l'origine de la paralysie ou de l'effondrement de pans entiers de l'économie, des plans de licenciements à venir, tous les syndicats et les partis dits ouvriers en partagent la responsabilité, et ensuite comme ils osent tout, ils leur annoncent qu'il faudrait lutter pour interdire les licenciements. Les travailleurs voudraient-il résister ou s'organiser, vers qui pourraient-ils se tourner, vers ces partis (Ils nous avaient fait le coup en 81 ! Ils sont incurables.), à l'heure où de plus en plus de voix qui rejettent ces mesures totalitaires se font entendre, c'est une fable cynique et ridicule que seuls des mythomanes endurcis peuvent croire. N'allez pas croire qu'ils prendraient les travailleurs pour plus idiots qu'ils ne sont, non ou pas forcément. Ces gens-là auront passé leur vie à se raconter des histoires qu'ils furent les seuls à croire avec ceux qu'ils réussirent à embobiner quoi qu'il arrive, aujourd'hui parce qu'ils ne tiennent absolument pas à affronter Macron, hier et aujourd'hui le régime, à enrayer ou détruire le scénario que les commanditaires de l'oligarchie ont dicté à Macron.

Parole d'internaute.

- "Pas une oreille ne bouge, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite. Tous relaient docilement la propagande officielle et se plient à toutes les mascarades, se bornant à réclamer la gratuité du masque dont eux-mêmes bénéficient à l’Assemblée nationale."

LVOG - C'était déjà trop, bas les masques !

Tous les syndicats sont aussi sur la même longueur d'onde que Macron-OMS-FEM-Gates, tout est dans l'ordre des choses. A croire que le masque n'incarnerait pas au plus haut point l'oppression, un régime fascisant, ils en redemandent les scélérats ! Et vous comptez sur eux pour lutter à vos côtés, mais vous rêvez ou vous êtes fou à lier !

Je ne sais pas si c'est l'heure des comptes ou de la vérité qui a sonné. Cette épreuve est cruelle, car elle fait tomber le masque de tous ceux qui prétendaient vouloir affronter le régime, et qui font sous nos yeux la démonstration qu'ils y sont entièrement soumis en adoptant les mesures liberticides de Macron. Comme dirait l'autre, il n'y a pas photo, tout le monde en est témoin, personne ne peut affirmer le contraire.

Continuons notre inventaire.

La réaction maintint en vie artificiellement le PS et le PC pendant plus d'un demi-siècle, afin d'empêcher que le rejet du régime par des pans entiers de la classe ouvrière et des classes moyennes aboutissent au regroupement de leurs forces au sein d'un véritable parti ouvrier révolutionnaire.

Au nom des enseignements de la révolution russe de 1917, tous les courants se réclamant du trotskysme en furent les principaux fossoyeurs. Comment ?

Ils créèrent ainsi l'illusion que ces partis étaient de gauche aussi longtemps que l'héritage de la révolution d'Octobre était encore vivant, puis quand son processus de dislocation sera enclenché au début des années 80, ils continueront d'entretenir cette illusion jusqu'au tournant des années 90 qui marquera son achèvement, ensuite il faudra encore une décennie avant que cette illusion trompeuse se dissipe totalement et révèle le véritable visage ou la véritable nature réactionnaire de ce qu'ils avaient appelé la gauche. Dès lors, la classe ouvrière et les classes moyennes allaient se retrouver sans parti, sans représentation politique pour défendre leurs intérêts. A partir de ce moment-là, il n'existera plus aucune force politique organisée dans ce pays pour les rassembler et affronter le régime, qui de fait avait quartier libre pour passer progressivement au totalitarisme ou au fascisme à partir du milieu des années 2000, objectif qui sera finalement atteint 20 ans plus tard, ce dont le port obligatoire du masque témoigne notamment.

Tout au long de ces 8 dernières décennies, ceux qui prétendront construire ce parti ouvrier révolutionnaire s'emploieront à ménager le PS et le PC, à passer des alliances avec l'un ou l'autre ou les deux, de sorte qu'ils alimenteront l'illusion abordée au paragraphe précédent qui faisait le jeu ou les affaires de la réaction, processus qui constituera un obstacle ou une contradiction contre lesquels leurs militants viendront se fracasser, un puissant élément de dislocation de leurs forces dont les militants n'auront pas conscience, condamnant des milliers de militants restés fidèles au socialiste à demeurer inorganisés, à cesser le combat politique ou à dégénérer en cédant à la pression ongiste ou aux sirènes associatives, les rangs de ces partis ne comptant plus que des militants sclérosés ou décomposés en 2020, au point d'adopter sans broncher les mesures liberticides imposées par Macron dans le cadre d'une pandémie inexistante ou fabriquée par les sommets de l'oligarchie financière anglo-saxonne, que leurs dirigeants devaient soutenir non sans faire preuve d'un zèle pitoyable.

On comprend pourquoi ils ne tiennent absolument pas à ce qu'on fasse l'inventaire de la lutte de classe de cette longue période, car les conclusions auxquelles on arrive sont révélatrices ou correspondent au cruel constat que je viens de vous livrer, rien que l'évoquer déclenche chez eux une violente réaction épidermique, ils en deviennent hystériques ou ils perdent le contrôle d'eux-mêmes, j'en ai fais l'expérience à plusieurs reprises avec de vieux militants, cela m'a valu nombre d'insultes et j'en passe, ce qui ne m'a ni choqué ni perturbé parce que je m'y attendais. Il se trouve qu'autrefois j'étais passé par là moi aussi, sauf que j'en ai tiré des enseignements depuis ou j'ai appris que de bonne foi on pouvait être amené à être manipulé et à croire n'importe quoi ou n'importe qui aveuglément ou par ignorance tout simplement.

Un camarade, qui est un peu plus vieux que moi et auquel j'ai déjà soumis cette analyse, m'a confié qu'il s'y retrouvait entièrement. Je lui ai indiqué pour le soulager car je le sentais malgré tout très perturbé, qu'il n'y avait pas pour autant matière à culpabiliser ou à s'en vouloir de quoi que ce soit, car il n'est comptable que du combat courageux et sincère qu'il a mené au côté de la classe ouvrière pendant plus d'un demi-siècle, et quant aux erreurs qu'il a pu commettre ainsi que le bilan misérable de notre lutte de classe, il est à mettre exclusivement au compte de nos dirigeants qui ont agi ainsi délibérément ou en toute conscience, puisque lorsqu'on se fourvoie en politique ou dans la vie en général, il arrive toujours un moment où on va en prendre conscience, dès lors persister dans la même voie n'a plus tout à fait la même signification que précédemment, notre engagement politique change de nature, de révolutionnaire il devient réactionnaire.

Quand on a commis une erreur par ignorance et qu'on en prend conscience, à partir de ce constat si on la reproduit encore et encore en connaissance de cause ou comme si de rien n'était, on ne peut plus invoqué une erreur de nature accidentelle, cela devient un penchant, un comportement hypocrite, opportuniste, nuisible, qu'on adopte délibérément, dont on refusera d'assumer les conséquences généralement ou cela va de soi chez la plupart des individus.

Vous remarquerez qu'il n'est nullement question de morale ici, mais d'absence de logique, de discernement, d'intelligence si vous préférez, bien que ce soit un grand mot, pour ne pas dire un gros mot ou une insulte quand on observe le comportement des intellectuels en général qui sont plus prompts à rallier le régime plutôt que l'affronter.

A ceux qui entendent demeurer fidèle au socialisme, je les appelle à rejoindre La Voix de l'Opposition de Gauche.

On a besoin de militants et de dirigeants pour assurer la continuité du socialisme.

A ceux qui critiquent tous ces partis soi-disant de l'avant-garde, qui se plaignent d'être isolés, inorganisés, de faire face à une situation politique inextricable ou nous sommes réduits à l'impuissance, qui ne souhaitent plus s'organiser par crainte d'être manipulés ou bernés à nouveau par des dirigeants sans principes, qui ont avalé trop de couleuvres selon l'expression d'un militant et pour lesquels l'épisode actuelle est de trop, à tous ces militants ou cadres, je leur dis n'hésitez plus, la civilisation humaine est à la croisée des chemins comme vous avez dû le constater, et il n'est pas dit qu'elle devrait forcément disparaître, relevons ensemble ce défi !

Il y a ceux qui prétendent détenir la vérité, voyez où ils en sont arrivés affublés du masque de la réaction, où ils nous ont conduits... Et il y a ceux qui vous diront qu'on aurait tout essayé et qu'on n'arrivera jamais à rien, parce que la nature humaine serait ainsi faite, en réalité ils l'identifient inconsciemment à leur état d'esprit, à leur comportement confinant à l'impuissance, ils généralisent leur état de faiblesse, leur manque de volonté, et ils sèment la démoralisation autour d'eux rendant ainsi service à la réaction.

Ne pas avoir confiance dans la capacité des masses à accomplir leurs tâches historiques, prend naissance dans le manque de confiance en soi qu'on généralise. Mais tout ramener à soi est extrêmement dangereux, dans la mesure où la plupart des travailleurs ne se connaissent pas eux-mêmes. On va se leurrer sur soi-même et transposer son contenu sur les autres au point de les rendre également méconnaissables. Dans ces conditions, il est normal qu'il n'y ait rien à attendre des rapports faussés qu'on aurait avec eux, et comme très souvent lorsqu'on emprunte une mauvaise voie, il faut aller jusqu'au bout, finalement on tirera des conclusions erronées de cette expérience qu'on prendra pour la réalité. Sans patience et détermination, on n'arrive jamais à rien.

Et puis il faut bien dire, quand on examine attentivement le déroulement de notre existence, que sans initiative, là aussi on n'arrive à rien ou rien ne se produit qui sorte du conformisme dans lequel nous sommes confinés depuis notre naissance, sauf à s'en remettre au petit bonheur la chance mais je ne m'y risquerai pas, c'est un luxe hors de portée de notre idéal, on ne peut avoir qu'un destin à l'image de la société, médiocre.

Il faut donc oser prendre des initiatives dans la vie, cela vous évitera peut-être parvenu à son crépuscule de vous apercevoir que vous êtes passé à côté de quelque chose ou qu'elle ne méritait pas d'être vécue, comme m'en a témoigné amèrement un vieux camarade récemment, à qui je répète ici, qu'il n'a aucune raison de se tracasser ou de s'en vouloir. Une prise de conscience même tardive, vaut toujours mieux que pas de prise de conscience du tout. D'ailleurs, personne ne se permettrait de le juger ici, je le signale aux militants qui seraient intéressés par notre courant politique, c'est banni de notre comportement et on pratique la modestie, la fraternité à tous les niveaux, les démagogues et les procureurs ne sont pas les bienvenus.

Si nous avions un parti, c'est l'état d'esprit qui y règnerait et qu'on cultiverait. Quant au reste, les désaccords et les polémiques font partie de la vie, de la lutte des classes, et c'est uniquement sur ce plan politique que nous les règlerions. Les militants sont aussi des travailleurs, et les travailleurs sont aussi des hommes ou des femmes, pour l'avoir perdu de vue, voyez où sont arrivés nos valeureux dirigeants qui veulent nous imposer de porter le masque des esclaves des temps modernes, quelle ignominie ! L'humain d'abord, non, l'humain aussi, le socialisme d'abord, tel est notre devise ! Entre nous, quel dirigeant vous a-t-il tenu un jour ce discours, et surtout, en pratique quel dirigeant a-t-il respecté scrupuleusement cet engagement, ces principes ?

Qui assumera la poursuite de mise en oeuvre du programme du Forum économique mondial ?

Que la peste les emporte !

- Pour Mélenchon, Hollande est traité « comme un pestiféré » par le PS - LePoint.fr 30 août 2020

La foire du trône est de retour !

- Mélenchon se sent "une vocation de candidat commun" à gauche en 2022 - AFP 30 août 2020

- Olivier Faure veut un candidat commun pour toute la gauche en 2022 - LeFigaro.fr 29 août 2020

- A droite, une rentrée sous le signe du choix du candidat pour 2022 - AFP 29 août 2020

- Estrosi appelle la droite à "passer un accord" avec Macron pour la présidentielle de 2022 - BFMTV 31 août 2020

Pour Mélenchon, quel est "l'ennemi numéro un" ?

LVOG - Macron ? Non. Le capitalisme ? Non. Les institutions de la Ve République ? Non. L'oligarchie financière mafieuse et criminelle ? Non, perdu : L'abstention !

Mais qu'est-ce que l'abstention, sinon les millions de travailleurs qui estiment qu'ils ne peuvent avoir confiance dans aucun candidat se réclamant de la gauche, à juste titre, chat échaudé craint la pluie ou un homme averti en vaut deux !

Mieux ou pire encore dans le genre populisme débridé.

Qu'est-ce qui importe le plus pour un candidat à une élection, devinez ? Son programme ? Encore raté.

Voyez-vous selon ce charlatan, ce qui importe, "c'est de présenter et proposer des thèmes aux Français, qui rassemblent une majorité", non vous ne rêvez pas. Je vous dit chat, carotte, slip, bassine, vous aimez, alors votez pour moi !

Plus sérieusement, c'est la normalisation de la formule "en même temps" chère à Macron adoptée par ce qu'on peut appeler la droite sociale, LFI.

Il a très bien expliqué cela à sa manière.

AFP - Le député LFI des Bouches-du-Rhône a indiqué que la gauche peut "s'entendre" à l'occasion des élections "régionales, départementales" car "les contradictions qui nous opposent n'y sont pas présentes, par exemple la forme de l'Europe, l'Etat, la sixième République".

LVOG - Parce que les mesures ou directives adoptées par l'UE, Macron et le gouvernement, le Parlement, ne concerneraient ni les régions ni les départements, ni les communes, ni chaque foyer, ni chaque travailleur. Plus loin il s'est vendu.

AFP - "Il y a moyen de s'entendre avec ceux qui accepteraient un programme de rupture écologique et anticapitaliste, mais il ne faut pas raconter d'histoires pour ce qui est des grandes orientations, c'est le peuple français qui doit trancher", a-t-il assuré. Jean-Luc Mélenchon a estimé que "le problème avec les écologistes, c'est le social et c'est la rupture avec le capitalisme". D'après le leader de La France insoumise, "l'écologie politique n'est pas compatible avec le capitalisme du 21e siècle".

Jean-Luc Mélenchon s'est projeté par ailleurs en 2022, mettant en avant son expérience politique. "Je me sens une vocation de candidat commun parce que je l'ai déjà été pour les communistes et pour les milliers de socialistes qui ont voté pour moi à l'élection présidentielle", a-t-il affirmé. AFP 30 août 2020

LVOG - Merci, on savait que "les communistes" et "les milliers de socialistes" qui ont voté pour lui n'envisageaient pas plus que lui "la rupture avec le capitalisme". Ajoutons, pas davantage ceux qui avaient appelé à voter Mitterrand ou Hollande...

L'ordre totalitaire doit régner un point c'est tout !

- Pour Jean-Luc Mélenchon, le gouvernement a "créé la pagaille" avec les masques - Europe1 29 août 2020

Mélenchon - "Se mettre un masque sur la figure ne sert peut-être à rien mais ne pas en mettre reviendrait à prendre un risque. Je recommande donc de respecter la discipline sanitaire." Europe1 29 août 2020

La soumission, c'est LFI !

Quelques réflexions politiques.

Ah le réveil allait être un cauchemar, soudain, violent !

On en aurait presqu'oublié l'essentiel, à savoir que nous sommes en présence d'un processus historique inconscient, dont manifestement nos dirigeants n'ont jamais réellement compris la signification ou pris la mesure dans toute sa dimension... C'est devenu un euphémisme !

Sous leurs masques, ils étaient tous Charlie !

5 ans plus tard ils n'ont pas changé, ils ont même reçu le renfort de l'extrême droite favorable au port du masque.

Pas de masque à l'école, pas de masque en entreprise ! Quel parti ouvrier a-t-il adopté ce mot d'ordre conforme à la réalité sanitaire, aux intérêts ou à la santé des travailleurs et de leurs familles ? Aucun, ils font la démonstration sous nos yeux qu'ils sont tous atteints du déni de la réalité et corrompus par le régime.

Il y en a encore qui tombent des nus, renversant !

A ceux qui ont la mémoire courte ou sélective. Extrait de la causerie de janvier 2010.

- Consensus UMP-PS un vrai bonheur pour le gouvernement.

François Fillon s'est "réjoui", mercredi, de la position du Parti socialiste sur le dossier des retraites, après que Martine Aubry s'est déclaré prête à chercher un compromis avec le gouvernement.

"J'entends dire que le PS pourrait participer à la recherche d'une solution consensuelle : franchement je m'en réjouis", a déclaré le premier ministre dans un discours prononcé à l'occasion des voeux aux parlementaires. "En Allemagne, en Suède, en Finlande, au Danemark, mais aussi en Espagne, les forces politiques, les partenaires sociaux ont trouvé les moyens d'un consensus sur la question des retraites", a-t-il insisté. (Le Monde et AFP 20.01.2010)

- Quand l'UMP-PCF "transcendent les clivages"... de classes !

Eric Raoult, rapporteur de la mission parlementaire sur la burqa : "Lorsque André Gerin s'emporte c'est parce qu'il en a gros sur le coeur".

"Notre complicité ne date pas d'aujourd'hui. ". (Lexpress.fr 26.01.2010)

- Le 27 janvier 2010.

- Un régime de plus en plus liberticide.

- Etats-Unis. Quand la Fed détient le pouvoir...

- Le 1er février 2010.

- Et si la finance avait adopté la fraude pour éviter une crise fatale au système ?

Lu dans un blog suisse de professionnels de la santé par nature modérés.

- Tout glissement totalitaire[11] au nom du bien-commun est indéfendable dans une démocratie.

Note.

11 - Le mot totalitaire semble très fort. Pourtant, sa définition comporte plusieurs éléments inquiétants, à savoir :

– « la conception d’une vérité qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous »

– « le recours à la terreur »…

LVOG - Mais vous n'avez pas à vous excuser de l'avoir employé, il est approprié à la situation. Ceux qui doivent se poser des questions ou qui ont un problème politique, ce sont ceux qui n'osent pas l'employer...

Autres choses relevées ici ou là

- Un internaute : 2/3 des Français croient savoir et un seul tiers sait que la science est ignorante.

LVOG - Et combien parmi ce tiers de Français sait ce que la science ignore ? A mon avis la réponse doit être proche de zéro, chut !

- Un internaute : On parle de masques, de tests mais de soigner jamais ! Cela dépasse l’entendement !

LVOG - Vous aussi cela vous a choqué. En fait il n'y a pas de quoi puisqu'il n'y a pratiquement plus de malades, chut !

- Populisme en famille. La tragi-comédie de l'été en noir et blanc, eh oui, on régresse toujours un peu plus chaque jour !

Valeurs actuelles vient de fournir l'occasion aux représentants des esclavagistes des temps modernes et autres internationalistes démagogiques, de donner l'illusion qu'ils étaient de grands humanistes, bref, ces Charlie peuvent tous remercier ce torche-cul !

- Même pas peur, sauf du régime totalitaire en train de s'installer à l'échelle mondiale.

- Les infections respiratoires ou pneumonies ont tué 2, 55 millions de personnes dans le monde en 2017.

- Les maladies cardiovasculaires ont tué 18 millions de personnes dans le monde en 2017.

- Les cancers ont tué 10 millions de personnes dans le monde en 2017.

Totalitarisme. La stratégie de la terreur et de la peur.

Pour 0,4 mg. La terreur policière au quotidien racontée par G. Depardieu.

- “J’étais en scooter, j’étais en train de manger à mon couscous boulevard du Maine. Et là je fais comme tout le temps, chaque fois que je vais là-bas: (…) je fais mon demi-tour sur la ligne blanche. Et là, voiture bleu et rouge je me dis ‘c’est pas vrai’”, a raconté l’acteur, face aux chroniqueurs amusés.

“J’enlève le casque, il (l’agent de police, NDLR) me dit ‘vous avez vu ce que vous avez fait’, je lui dis ‘Oui je le fais toujours”. Il me dit ‘Oui mais il y a le feu’, je lui dis “Oui mais il n’y avait personne! Je ne vais pas m’amuser à passer devant une bagnole qui va m’écraser. J’ai pas la souplesse d’avant”.

L’éthylotest effectué, Gérard Depardieu est — ”à sa grande surprise” — contrôlé positif avec 0,29 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit 0,4 mg au-delà de la limite autorisée par la loi. “0,29, c’est une salade très vinaigrée. Je te fais une salade avec plein de vinaigre, je te fais souffler dans le machin”, a-t-il d’ailleurs plaisanté sur le plateau de C8.

Conduit au commissariat où il dit avoir discuté avec “deux Russes”, il réclame un deuxième test où il est contrôlé à 0,27 mg/litre d’air expiré. “Je me dis ‘Je reste 10 minutes de plus et il n’y a plus rien’” s’est-il amusé face à Cyril Hanouna.

Verbalisé, il a finalement dû repartir sans son scooter, qu’il a envoyé chercher le lendemain. Le HuffPost 1 septembre 2020

Totalitarisme. GAFAM. Un détecteur de mensonge préventif et à distance ou du présumé contaminé au présumé menteur.

- Science décalée : comment détecter une personne qui ment par SMS ? - Futura 31 août 2020

Faudra-t-il désormais chronométrer le délai de réponse des SMS qu'on reçoit pour vérifier s'ils contiennent des mensonges ou pas ?

Quant à cette étude, elle ne cherche pas à expliquer pourquoi ces contenus numériques sont plus longs à être envoyés. Le bon sens nous pousse à croire que ce délai supplémentaire correspond au temps de réflexion nécessaire pour fomenter toute une histoire fausse. Elle s'attelle uniquement à repérer les signaux caractéristiques retrouvés dans les messages numériques mensongers, pour aider au développement d'un outil capable de détecter les SMS peu fiables. Alors, les menteurs invétérés n'auront qu'à bien se tenir ! Futura 31 août 2020

LVOG - Si vous prenez le temps de réfléchir avant de répondre à un SMS, le "bon sens (...) pousse à croire" que forcément vous fomentiez "une histoire fausse", ils prennent décidément leur cas pour une généralité ces tyrans. Cela va bien au-delà l'infantilisme...

Ils n'en reviennent pas, quel dommage qu'il n'y ait pas davantage de morts !

- Covid-19 : pourquoi la mortalité n'augmente pas avec le nombre de cas - futura-sciences.com 31 août 2020

Malgré la forte progression du nombre de cas positifs au coronavirus, les hôpitaux sont loin de connaître l'affluence du mois d'avril et les décès ne repartent pas à la hausse. futura-sciences.com 31 août 2020

LVOG - Avec leur vaccin ils devraient combler cette affreuse lacune...

L'art de falsifier les chiffres

- La pandémie provoque un recul historique du PIB en Inde - latribune.fr 31 août 2020

Le PIB de la troisième économie asiatique a décroché de 23,9% en glissement annuel au premier trimestre de l'année budgétaire indienne, qui va du 1er avril 2020 au 31 mars 2021, selon des chiffres officiels publiés ce lundi. Au précédent trimestre, la croissance n'était déjà que 3,1% sur un an, ce qui constituait sa plus faible progression depuis 20 ans.

Le pays a recensé à ce jour 64.469 décès sur 3.621.245 cas déclarés de la maladie Covid-19. latribune.fr 31 août 2020

LVOG - Pour 1,380 milliard d'habitants, cela fait un taux de mortalité inférieur à 0,005% : Enorme !

Donc si je comprends bien, du 1er janvier 2019 au 1er janvier 2020 (Et non 2021 !), le PIB de l'Inde avait crû de 3,1%, et en prenant pour base de calcul du 1er avril 2019 au 31 mars 2020 (Et non 2021 !) il aurait chuté de 23,9%, sauf que ce n'est pas le PIB total qui a chuté de 23,9% mais le PIB entre le 1er janvier 2020 et le 31 mars 2020, donc en réalité il aurait continué de croître mais de 2,3% seulement, c'est sa croissance trimestrielle qui a ralenti de 23,9% tombant à 2,36%. Vous m'avertirez si j'avais un commis une erreur quelque part.

Etat policier. Des guerres préventives aux peines préventives. Pourquoi pas dès l'âge de 13 ans.

Violeur à Nantes : "Pour ce type de profil, le risque de récidive est systématique", estime Dati - Europe1 30 août 2020

L'ancienne garde des Sceaux, Rachida Dati, a réagi lundi matin sur Europe 1 au viol et au meurtre d'une jeune fille de 15 ans à Nantes, le 20 août dernier. Selon elle, pour les pédocriminels, le risque de récidive est si élevé qu'il faut mettre en place des peines plus strictes. Europe1 30 août 2020

Délinquance : Dati favorable à l'instauration d'une responsabilité pénale des mineurs dès 13 ans - BFMTV 30 août 2020

Rachida Dati a avancé plusieurs mesures, ce dimanche, dans Le Parisien, pour combattre la délinquance qui "explose depuis le début du quinquennat sans aucune action ferme" selon elle. BFMTV 30 août 2020

Boycottez les bars et restaurants (notamment) !

Bars et restaurants en Ile-de-France : “Une prise de température des clients va être en vigueur très prochainement” - covidinfos.net 30 août 2020

Selon Marcel Benezet, président de la branche des cafés, bars, brasseries du GNI-HCR et élu à la CCI Île-de-France, interviewé sur FranceInfos le 28 août : “Une prise de température des clients va être en vigueur très prochainement” dans les bars et restaurants franciliens. Extraits.

“franceinfo : Face à la circulation active du coronavirus, les professionnels du secteur craignent à Paris la fermeture dès 23h, comme à Marseille, de leurs établissements. Comment éviter cela ?

Marcel Benezet : Nous avons mis en place en concertation avec la mairie de Paris, une prise de température des clients qui va être en vigueur très prochainement et ensuite un cahier de rappel en cas de problème de Covid-19 dans nos établissements. Il n’y a pas d’obligation de remplir ce cahier, c’est une précaution qu’on demande aux clients de prendre en cas de problème. Il n’y a pas non plus d’obligation de prise de température, beaucoup d’établissements le font déjà et il n’y a pas de problème, au contraire cela se passe très bien. La prise de température, c’est une bonne chose, c’est d’une simplicité, c’est infrarouge, c’est très rapide. Les gens sont prêts à accepter ça pour continuer à vivre sur nos terrasses et dans nos établissements. covidinfos.net 30 août 2020

Lire l’intégralité de l’article :

– Bars et restaurants à Paris : “Une prise de température des clients va être en vigueur très prochainement”, annonce un syndicat

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/restauration-hotellerie-sports-loisirs/bars-et-restaurants-a-paris-une-prise-de-temperature-des-clients-va-etre-en-vigueur-tres-prochainement-annonce-un-syndicat_4087669.html

Une menace pire qu'un virus : Le fascisme ordinaire.

- Nice : une interpellation pour non-port du masque suscite la polémique - LeFigaro.fr 30 août 2020

La vidéo amateur, diffusée sur Twitter samedi soir, a été visionnée plus de 300.000 fois. «Un homme et une femme ont été arrêtés par la police pour non-port de masques ! Ils l'avaient à la main, ont voulu le mettre au vu de la police... Et voilà !», commente l'internaute qui a partagé les images. On y voit d'abord une femme, debout, munie d'un masque, menottée par deux policiers. Un peu plus loin, la caméra cadre sur un homme en train de gesticuler tandis que quatre policiers tentent de le plaquer au sol. La caméra zoom alors sur le visage de l'homme, front ensanglanté, s'écrier : «Vous avez mon identité, et vous me dites que je n'ai pas obtempéré ? C'est vraiment un scandale !».

«Même pour une interpellation de braqueurs ou de proxénètes dangereux qu'il m'a été donné de diriger en France ces 10 dernières années, je n'ai jamais assisté à ce déploiement de violence !», s'indigne ainsi l'ancien magistrat Albert Lévy.

«Ces policiers sont des malades !», a réagi pour sa part l'ancien conseiller de Paris Yves Pozzo di Borgo.

Mais que s'est-il passé exactement ? Ces images sont-elles fiables ? Apparemment, elles ont bien été capturées par le téléphone portable d'un passant samedi 29 août, lors du passage du Tour-de-France dans la cité des Anges. LeFigaro.fr 30 août 2020

- Paris : un jeune homme verbalisé pour avoir retiré son masque et mangé une friandise dans les escaliers du métro - Yahoo 1 septembre 2020

Lundi, à la Gare de Lyon, à Paris, un homme de 22 ans a été verbalisé alors qu'il descendait les escaliers menant au métro. Il avait retiré son masque pour manger rapidement une friandise.

135 euros d'amende pour avoir rapidement mangé un “kinder bueno” en pénétrant dans le métro parisien, ça fait cher la friandise. Robin n'oubliera pas de sitôt son retour de vacances, lundi matin, à la Gare de Lyon. Alors qu'il avait un petit creux, le jeune homme de 22 ans, qui vit en Seine-Saint-Denis, s'est mis à grignoter son “kinder bueno” dans l'escalier menant à la ligne 14 du métro.

D'abord réprimandé par une usagère, il s'est ensuite fait interpeller par deux policiers en civil, rapporte France Bleu. "Tout d'un coup, deux personnes m'interpellent assez brusquement, à ma grande surprise, pour me dire de remettre mon masque. Et il s'est avéré en sortant de cet escalier et en faisant comprendre à ces personnes que leur attitude était déplacée, que je me suis retrouvé face à des policiers en civil", raconte le jeune homme sur son compte Twitter, où il donne les détails de son "voyage en absurdie". Yahoo 1 septembre 2020

Coronavirus: à Londres, la police stoppe un spectacle de danse en plein air - AFP 1 septembre 2020

Alors que des danseurs du Royal Ballet donnent un spectacle gratuit en plein air à Londres, les spectateurs sont dispersés par la police qui mène des contrôles pour empêcher les rassemblements en raison de la pandémie de coronavirus. AFP 1 septembre 2020

Délation et milice au Canada.

Des attroupements sans masque ni distanciation - journaldemontreal.com 29 août 2020

TVA Nouvelles a obtenu des vidéos amateures d’un citoyen qui a filmé un attroupement important de plusieurs dizaines de jeunes adultes au parc Jarry, à Montréal, vendredi soir, vers 22h.

Un citoyen rapporte même que des bouteilles de boisson étaient fracassées sur des arbres. Il aurait contacté les policiers à deux reprises dans la soirée pour que le groupe, qui ne respectait pas les mesures de distanciation sociale, soit dissipé.

Un autre rassemblement du même genre a aussi eu lieu vendredi soir au parc Ahuntsic, à Montréal.

Les gens du quartier estiment que plus d’une centaine de fêtards était rassemblée pour fêter dans le parc.

Un citoyen a confirmé à TVA Nouvelles qu’il avait contacté le 911 à deux reprises au cours de la soirée.

Un autre rassemblement du genre a aussi eu lieu dimanche dernier au parc Arthur-Dumouchel à Boucherville, en Montérégie.

Quelque 200 adolescents étaient réunis pour faire la fête à cette occasion.

Une vidéo transmise à TVA Nouvelles montre une masse de personnes dans laquelle la distanciation physique est pratiquement inexistante. Peu d’entre eux portaient un masque.

Des parents concernés ont contacté le Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL) pour dénoncer le rassemblement.

Il aura fallu 45 minutes pour que les policiers arrivent sur place et dispersent la foule, selon des parents. journaldemontreal.com 29 août 2020

Comment refourguer un vaccin à une population déjà immunisée.

- Covid-19 : des anticorps 4 mois après l'infection - Yahoo 2 septembre 2020

Une étude islandaise, menée à grande échelle, révèle la présence d’anticorps, massive, quatre mois après l’infection.

L’étude, publiée dans “The New England Journal Of Medecine”, a mesuré la présence des anticorps chez les patients testés positifs au coronavirus au fil du temps. L’étude conclut que les anticorps contre le Covid-19 n’ont pas diminué dans les 4 mois suivant le diagnostic.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont mené des tests auprès de plus de 30 000 personnes en Islande. Les scientifiques ont utilisé deux types de tests de dépistage du coronavirus différents : les prélèvements nasaux, qui détectent des fragments de virus indiquant une infection, et des tests qui mesurent les anticorps dans le sang, ce qui permet de déterminer si une personne est actuellement infectée ou si elle l’a déjà été.

Parmi le groupe de personnes testées positives, des tests supplémentaires ont révélé que les anticorps avaient augmenté pendant deux mois après le diagnostic de leur infection, puis sont restés stables les deux mois suivants. Soit une présence avérée des anticorps quatre mois après l’infection.

Une immunité “peut être pas éphémère”

Pour expliquer le résultat de précédentes études, qui évoquaient une disparition rapide des anticorps après l’infection, les chercheurs émettent une hypothèse : ces études pourraient avoir examiné la première vague d’anticorps que le système immunitaire produit en réponse à une infection. Mais une deuxième vague d’anticorps se forme après un mois ou deux d’infection, et ceux-ci semblent plus stables et plus durables. D’où la présence, stable, d’anticorps quatre mois après l’infection.

Cette étude ne permet néanmoins pas d’expliquer les rares cas de réinfection observés dans certains pays, plusieurs mois après la première infection, ni d’établir si les patients atteints d’une forme grave de Covid-19 produisent davantage d’anticorps que les formes plus légères.

Plus d’anticorps chez les patients sévèrement atteints

Néanmoins, les scientifiques ont relevé des différences dans la présence des anticorps selon les patients. Ainsi, les taux d'anticorps étaient plus élevés chez les personnes âgées et celles qui étaient plus sévèrement touchées par le virus, alors que chez les femmes, qui ont tendance à ne pas tomber aussi malades que les hommes à cause du virus, le taux d'anticorps relevé était inférieur. Enfin, les fumeurs avaient des niveaux d’anticorps plus faibles que la moyenne des patients.

Si l’étude n’avance pas la quantité d’anticorps nécessaire pour être immunisé contre une infection, cette nouvelle donnée est importante dans la lutte contre le Covid-19, notamment en vue d’un potentiel vaccin. Comme l’écrivent des scientifiques de l’Université Harvard dans un commentaire qui accompagne l’étude, si un vaccin peut stimuler la production d’anticorps de longue durée comme semble le faire une infection naturelle, cela laisse espérer que “l’immunité contre ce virus imprévisible et hautement contagieux ne sera peut-être pas éphémère”.

LVOG - Si "une infection naturelle" permet d'aboutir à une immunité de longue durée, le vaccin qui arriverait trop tard ne servirait plus à rien, sauf à engraisser les trusts mafieux pharmaceutiques.

Les nostalgiques du régime de Vichy gesticulent.

Chloroquine: Raoult visé par une plainte à l'Ordre des médecins - Le HuffPost 3 septembre 2020

Parmi ses pairs, il en a agacé plus d’un. Au plus fort de la crise du coronavirus, le professeur Didier Raoult a émergé comme une figure singulière et une voix dissonante par rapport au reste de la communauté médicale. Notamment par sa promotion pour le moins décriée du recours à l’hydroxychloroquine face à la maladie.

La preuve: ce mercredi 2 septembre, Le Figaro révèle qu’une plainte a été déposée au mois de juillet au conseil départemental des Bouches-du-Rhône de l’Ordre des médecins contre le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire de Marseille. C’est la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) qui est à l’origine de cette manœuvre, assurant que le chercheur a enfreint neuf articles du code de déontologie médicale.

Si la plainte aboutit, ce qui est relativement rare dans ce genre de cas, les sanctions peuvent aller d’un simple avertissement à une radiation totale de l’Ordre des médecins. Fausses informations, mensonges et essais illégaux

Pour étayer cette plainte, la SPILF -qui regroupe 500 spécialistes des maladies infectieuses en son sein- liste les neuf manquements qu’elle a dénombrés. On y trouve notamment la promotion d’un traitement qui n’a pas démontré son efficacité, la réalisation d’essais cliniques dont la légalité reste à prouver ou encore la diffusion consciente de fausses informations au public.

Autant de chefs d’accusation sur lesquels l’Ordre devra se positionner, à partir des six pages d’arguments que lui a transmis la SPILF. On peut par exemple y lire, nous apprend toujours Le Figaro, que Didier Raoult a prescrit à foison un traitement à base d’hydroxychloroquine sans avoir la preuve de son efficacité et “en infraction avec les recommandations des autorités de santé”.

La société reproche également au professeur d’avoir manqué de prudence et de pondération dans ses propos en affirmant à moult reprises que l’épidémie était terminée, en particulier à Marseille, puis en mentant sciemment devant les députés à l’Assemblée nationale. Quant à ses essais cliniques jugés illégaux par les plaignants, une enquête de l’Agence du médicament est en cours pour déterminer ce qu’il en est réellement.

À l’heure actuelle, aucune étude scientifiquement approuvée n’est en mesure d’affirmer l’efficacité de la chloroquine contre le coronavirus. Pire pour le chercheur marseillais, les études et essais tendent à prouver l’inverse, c’est-à-dire qu’elle augmenterait la mortalité chez les personnes gravement atteintes. Le HuffPost 3 septembre 2020

Foire au test. Selon la sensibilité des testeurs, ils testent l'une ou l'autre souche du virus, fermez le banc.

Coronavirus : un Montpelliérain testé deux fois positif en quatre mois - lepoint.fr 29 août 2020

Cet homme a été contraint de se faire tester pendant le confinement pour pouvoir exercer son métier. Mais son résultat s'est révélé positif. Guéri, il a pu reprendre son travail pendant quatre mois avant de partir en vacances d'été. À son retour, comme le veut toujours le protocole, il a été testé. Une fois encore, le verdict est sans appel : il a de nouveau été contaminé.

Comme le relève Le Monde, le cas d'un malade originaire de Hongkong âgé de 33 ans est particulièrement parlant. Il aurait contracté le virus à deux reprises, mais sous deux formes différentes, sur une période s'étalant sur quatre mois et demi entre la première et la deuxième infection. lepoint.fr 29 août 2020

Dans la boule de cristal des modèles mathématiques. Un coup d'Etat sanitaire permanent.

Coronavirus : un pic probable d'une seconde vague "aux alentours du 1er janvier" - Europe1 29 août 2020

"Les premiers modèles mathématiques sont en cours - on n'a pas tous les chiffres en France - mais ils donnent un pic épidémique aux alentours du 1er janvier", indique Jean-François Timsit, chef du service de réanimation médicale et infectieuse à l'hôpital Bichat, à Paris, sur Europe 1 samedi. Europe1 29 août 2020

Serez-vous leurs prochains cobayes ?

Coronavirus: La FDA prête à accélérer l'homologation d'un vaccin, selon le Financial Times - Reuters 30 août 2020

Le numéro un de l'Autorité américaine du médicament (Food and Drug Administration) est prêt à accélérer la procédure d'homologation d'un vaccin contre le Covid, selon des propos qui lui sont attribués dans un entretien au Financial Times

Stephen Hahn déclare que son agence est prête à autoriser un vaccin avant que les essais de phase 3 ne soient terminés, selon le journal : https://www.ft.com/content/f8ecf7b5-f8d2-4726-ba3f-233b8497b91a. Reuters 30 août 2020

Un vaccin sur commande de Big Pharma en dépit des risques d'effets secondaires inconnus.

- Covid-19: les préparatifs pour la distribution d'un vaccin avant l'élection s'accélèrent aux Etats-Unis - AFP 3 septembre 2020

Le patron des CDC mentionne notamment la levée de restrictions administratives, ou la délivrance de permis et licences.

Il s'agit d'une nouvelle indication que la course au vaccin est lancée à toute allure dans le pays, qui a dépensé des milliards de dollars pour le développement et la production d'un remède au coronavirus.

Preuve supplémentaire que les Etats-Unis font tout pour rendre l'accès à un vaccin le plus rapide possible: le chef de l'Agence américaine des médicaments (FDA), Stephen Hahn, n'a pas écarté l'hypothèse de l'autorisation d'un vaccin via une procédure d'urgence, avant même la fin des essais cliniques.

Les autorités sanitaires "se préparent rapidement à la mise en oeuvre d'une distribution à grande échelle de vaccins contre le Covid-19 à l'automne 2020", a souligné dans sa lettre M. Redfield, le directeur des Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies (CDC).

Plusieurs documents visant à aiguiller les Etats dans la préparation de cette "immense tâche", selon les mots de M. Redfield, leur ont été envoyés en même temps que sa lettre.

L'un de ces documents élabore trois scénarios en fonction de l'avancée d'un "vaccin A" et d'un "vaccin B". Ceux-ci semblent correspondre aux vaccins développés par le laboratoire américain Pfizer et la biotech américaine Moderna, selon le New York Times.

Les Etats-Unis ont pré-commandé des millions de doses auprès de ces deux entreprises, mais aussi auprès des sociétés AstraZeneca, Johnson & Johnson, Novavax et Sanofi, afin de s'assurer des livraisons rapides de la part du candidat qui se révélera gagnant. AFP 3 septembre 2020

Coronabusiness. La roulette russe de l'hypothétique vaccin. Les criminelles bénéficieront de l'impunité. L'UE banquier des trusts pharmaceutiques.

- Vaccins contre la Covid : l’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus - capital.fr 29 août 2020

L’industrie pharmaceutique européenne assure ses arrières et obtient une protection financière en cas de problèmes avec les futurs vaccins.

La course au vaccin contre le coronavirus s’intensifie face à la reprise de la pandémie. Un traitement pourrait être disponible dès le premier trimestre 2021, ce qui serait un record. Le développement d’un vaccin prendrait alors douze à dix-huit mois, contre dix ans habituellement, note Le Figaro. Cette précipitation pourrait-elle engendrer des risques ? En tout cas, l’industrie pharmaceutique européenne fait tout pour se protéger en cas d’effets secondaires inattendus. Des questions se posent autour de la responsabilité des risques financiers et juridiques en cas de problèmes avec le futur vaccin Covid-19. Les membres de la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA) discutent avec les autorités et les gouvernements européens pour la définition d’un système complet d’indemnisation, selon le quotidien. "Il est possible que certaines personnes rencontrent des problèmes médiaux après la vaccination" avec le déploiement de milliards de doses de vaccins, selon la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques. Elle précise cependant au Figaro que "tous les médicaments et vaccins peuvent entraîner des effets secondaires chez certaines personnes", expliquant que les problèmes ne seraient pas propres au vaccin Covid-19. "Les vaccins ne seront approuvés pour utilisation que lorsque leur sécurité et l'efficacité seront démontrées aux autorités réglementaires en Europe", ajoute la Fédération. ("Autorités réglementaires en Europe" corrompues par les trusts pharmaceutiques. - LVOG)

Habituellement, la solidité du dossier clinique du vaccin protège la responsabilité civile du laboratoire, en cas de poursuites judiciaires. Car pour délivrer une autorisation de mise sur le marché, les autorités évaluent le ratio bénéfice/risque du vaccin, à partir des données cliniques. Cependant, la situation inédite à laquelle sont confrontés les états du monde change la donne. Le dossier clinique pourrait être moins élaboré selon le quotidien, qui cite l’expertise du fondateur et président de l’Institut Santé, Frédéric Bizard. "Les autorités européennes mettent désormais l'accent sur le bénéfice sociétal d'une arrivée rapide d'un vaccin", confie l’expert. (Le business ou le profit vaut davantage que votre santé, merci de le confirmer, on le savait déjà ! - LVOG)

Une branche de la Fédération, baptisée Vaccines Europe, exhorterait l’UE à assurer leur couverture légale et financière, selon une note dévoilée par le Financial Times. Cette note indique que "la vitesse et l'ampleur du développement et du déploiement du futur vaccin signifient qu'il est impossible de générer la même quantité de preuves sous-jacentes qui seraient normalement disponibles grâce à des essais cliniques approfondis". Vaccines Europe représente entre autres Sanofi, GlaxoSmithKline, AstraZeneca ou encore Janssen et Merck.

Sur le volet financier, des discussions se poursuivent. Le Figaro affirme que les autorités européennes indemniseront le fabricant si la responsabilité de ce dernier était mise en cause en cas de dommages futurs. La Commission européenne confirme au quotidien qu’en compensation pour les risques élevés pris pour la fabrication de vaccins, "les accords d'achat anticipé conclus avec certains laboratoires prévoient que les États membres indemnisent le fabricant pour certaines responsabilités encourues". capital.fr 29 août 2020

Un complément en prime.

- GB: Des hausses d'impôts envisagées face au Covid, selon la presse - Reuters 30 août 2020




DEUXIEME PARTIE

Contre-propagande.

Parole d'internaute.

- "Le port obligatoire du masque permet, sans coûter un centime au gouvernement, de faire croire au prolongement de l’épidémie et de préparer les populations au nouveau monde."

LVOG - J'ai constaté qu'on faisait la même confusion avec des sujets très divers. On croit d'une chose ou d'une technologie qu'elle représenterait un danger, alors que ce danger est exagéré ou d'existe pas, tandis qu'on passera à côté d'un danger bien réel censuré par les tenants de la pensée unique ou le ministère de la Vérité. C'est par exemple le cas avec la G5 qui doit permettre de pouvoir tracer toute la population ou plus et pire si affinité, si la population en est demandeur. C'est la même chose avec le vaccin contre le covid-19, en soi ou au départ ce n'est pas forcément une mauvaise idée, mais l'application telle qu'elle est annoncée devrait s'avérer particulièrement néfaste pour la population, donc on se prononce contre sans appel possible.

Dans le mouvement ouvrier ils ont un autre tabou avec la recherche, les sciences et les technologies. Ils sont sacrés, cela relève de la sorcellerie de se questionner sur leur utilité. C'est diabolique, machiavélique de penser que toutes les recherches, toutes les connaissances ou découvertes des sciences, toutes les développements technologiques ne seraient pas forcément utiles à la société, et ce ne sont pas les capitalistes qui les désavoueront, puisqu'ils sont les premiers intéressés, il ne faut pas être idiot.

Tout ce qui n'est pas indispensable au bien-être des hommes est nuisible, dont tout ce qui leur est imposé sans leur consentement.

Mobilisation. Faites tomber les masques.

Virus: protestations en Europe contre la "tyrannie médicale" - AFP 29 août 2020

AFP - Au total, quelque 38 000 personnes, selon les autorités, ont participé en majorité dans le calme à un rassemblement au cours duquel les organisateurs ont appelé « à la fin de toutes les restrictions en place » pour combattre la propagation de la COVID-19. Auparavant, la police avait interrompu un défilé, faute de respect des mesures sanitaires. « La distanciation minimum n’est pas respectée […] malgré les demandes répétées », ont indiqué les forces de l’ordre, « c’est pourquoi il n’y a pas d’autre possibilité que de dissoudre le rassemblement ».

À Londres, un millier de manifestants appelant à « la fin de la tyrannie médicale » se sont retrouvés sur le Trafalgar Square, tandis qu’à Zurich, ils étaient plus d’un millier selon la police à réclamer « un retour à la liberté ».

À Paris, 200 à 300 personnes ont protesté contre le port du masque obligatoire. AFP 29 août 2020

LVOG - D'après ce que j'ai compris, à 13 h les autorités allemandes ont donné l'ordre aux forces de police de disloquer la manifestation à Berlin, craignant qu'elle prenne l'ampleur de la précédente où environ 1 million de personnes avaient participé, 20.000 officiellement.

Le peu de personnes qui se sont mobilisées en France (et ailleurs) témoignent du niveau d'inconscience politique des masses, il faut dire que la totalité des acteurs politiques, y compris partis dits ouvriers et syndicats avaient boycotté cette manifestation, consensus oblige avec Macron.

Il faudra qu'on nous explique, comment on peut combattre les conséquences désastreuses d'une cause qu'on a soutenue.

En Allemagne

- “La peur est la seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves”… Discours de Robert Kennedy Jr à la manifestation de Berlin du 29 août 2020… - covidinfos.net 30 août 2020

“La seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur, et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire tout ce que vous voulez…” C’est ce qu’a affirmé Robert Kennedy Jr lors de son intervention en soutien à la manifestation “pour la liberté et la paix” organisée à Berlin pour lutter contre les lois “liberticides” ce 29 août. covidinfos.net 30 août 2020

Vidéo. Robert Kennedy Jr. Discours historique du 29 août 2020 à Berlin «Ich bin ein Berliner» - 29 août 2020

https://www.youtube.com/watch?v=2saebN1OU1o

En Grande-Bretagne.

Vidéo. Manif... Londres 100000 - 29 Août 2020 (en anglais)

https://www.youtube.com/watch?v=1Tgx7W-aqfk

En Belgique.

Lettre ouverte à nos responsables politiques : Il est urgent de revoir totalement la gestion de la crise Covid-19 - 27.08

https://www.lalibre.be/debats/opinions/lettre-ouverte-a-nos-responsables-politiques-il-est-urgent-de-revoir-totalement-la-gestion-de-la-crise-covid-19-5f467dfe7b50a677fb2b0d77?fbclid=IwAR3fT9pnbz3MkOQljWp5xnPvhbhAdIrWwGoHI807-eKpkvRiOnu_OEMx7TU

En Suisse.

Appel du Collectif soignant pour une politique sanitaire COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée. - 31 août 2020

https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/08/31/appel-du-collectif-soignant-pour-une-politique-sanitaire-cov-308661.html#more

En France

La fabrication du consentement semble toujours fonctionner à merveille sur fond de consensus national.

Coronavirus : les trois quarts des Français favorables au port du masque en extérieur dans toutes les villes, selon notre sondage - Franceinfo 31 août 2020

76% des Français se disent favorables à la généralisation du port du masque obligatoire en extérieur à toutes les villes de France pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro, publié dimanche 30 août.

Dans le détail, 44% y sont "tout à fait favorables", et 32% "plutôt favorables", selon l’enquête, alors que de plus en plus de villes en France l’imposent en extérieur. Parmi les opposants à cette mesure, 15% des Français se déclarent "plutôt opposés" à sa généralisation en extérieur partout, et 9% "tout à fait opposés".

Interrogés pour les 12 mois à venir, 81% des Français se disent pessimistes quant à la croissance économique en France et 80% s'agissant du pouvoir d'achat.

S'agissant de leur situation personnelle, 55% des personnes sondées font part de leur pessimisme et près d'un actif sur trois (32%) a peur pour son emploi. Cette inquiétude varie légèrement en fonction de la catégorie socio-professionnelle, 39% des actifs aux revenus les plus modestes ont peur de perdre leur emploi, ils sont 4 sur 10 chez les travailleurs indépendants et 41% du côté des ouvriers. Franceinfo 31 août 2020

Vidéo : Le vrai visage du COVID-19 par Dr Pascal Sacré et Prof Michel Chossudovsky - 29 août 2020

https://www.youtube.com/watch?v=x0qHpdhdgxg

L’avocat Régis de Castelnau dénonce des obligations “grotesques” et “la mise en place d’un système autoritaire un peu terrifiant” - covidinfos.net 30 août 2020

Interviewés sur le site Atlantico.fr, l’avocat Régis de Castelnau et le professeur de droit public Charles Boutin reviennent sur la légitimité et la légalité des mesures restrictives mises en place par le pouvoir, et discutent les éventuels recours dont dispose la population pour faire face. Extraits.

Régis de Castelnau : “Première réaction sur le fond, on a manifestement basculé dans une forme d’hystérie sanitaire. On ne reviendra pas sur la palinodie gouvernementale en matière de masques depuis le début de la pandémie, mais simplement souligner que l’usage de cet accessoire est d’après les spécialistes essentiellement nécessaire en intérieur, si tant est qu’il soit utile ce qui n’est pas très clair, pour prévenir la propagation de la pandémie. Il semble qu’il y ait deux motivations qui se combinent au niveau du pouvoir politique :

- Tout d’abord la peur d’engager sa responsabilité en ne prenant par toutes les précautions possibles. La crainte des suites judiciaires et des conséquences politiques tétanise les décideurs.

- Ensuite, il apparaît de façon assez incontestable que le pouvoir a emprunté une forme de pente naturelle qui est celle de la volonté de contrôle social, toutes ces mesures impliquent une docilité de la population, dont on attend que, surveillée par la police et la justice elle se tienne sage.” […]

Sur le plan juridique, dès lors que le pouvoir impose ces contraintes, il porte atteinte aux libertés fondamentales. Il ne peut le faire que si ces atteintes sont proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi. Ces mesures coercitives sont donc susceptibles d’être contestées devant le juge administratif. Ensuite, dès lors que l’on prend des mesures et qu’on impose à la population des obligations particulières, il est nécessaire de prévoir des sanctions en cas d’inobservation. Et là on bascule dans le domaine pénal qui a ses principes et ses règles particulières et le moins que l’on puisse dire c’est que dans les dispositif mis en place, ces principes et ces règles ne sont pas respectées. Cela présente également le défaut que l’on avait constaté avec les infractions au confinement, où les forces de l’ordre et surtout la gendarmerie se sont précipités dans une démarche de punition de la population considérée comme récalcitrante, et soyons clair comme moyen également de remplir les caisses au moment où la manne des infractions automobiles s’était tarie. Il faut savoir que pendant le confinement ce sont plus d’un million de procès-verbaux qui ont été dressés contre 9000 au Royaume-Uni… Cet écart est malheureusement très révélateur.

Christophe Boutin : […] “Il s’agit donc visiblement plus d’une mesure politique que d’une mesure sanitaire, s’ajoutant au bombardement quotidien d’informations contradictoires que subissent des Français pour lesquels ordres et contrordres se suivent en permanence – rappelons que le même ministre qui, aujourd’hui, visage soigneusement couvert d’un masque, nous annonce que son port sera obligatoire dans l’espace public sous peine de lourdes sanctions financières est bien celui-là même qui, il y a quelques mois, nous expliquait qu’à l’extérieur comme à l’intérieur le dit masque ne servait à rien.” […]

“Mais cette mesure est en même temps bien évidemment intenable, et il n’a fallu que quelques dizaines de minutes après l’heure fatidique du 28 août à huit heures du matin pour que la préfecture parisienne, dans un de ses rétropédalages qui semblent devenus la marque de fabrique du pouvoir actuel, revienne sur l’universalité du port du masque, avec des motifs qui laissent rêveurs. Dans une vision très écologiste d’abord, on nous expliqua que les cyclistes, citoyens éco-responsables indispensables à la baisse du taux de pollution atmosphérique dans la capitale, allaient devoir bien malgré eux reprendre un véhicule à moteur faute de pouvoir pédaler avec discernement, leurs lunettes embuées par le port du masque. Exit alors les cyclistes de l’obligation de port. Ce fut ensuite le caractère égalitaire entre sportifs qui prévalut : si les cyclistes pouvaient exercer leur activité sportive sans masques, les joggeurs devaient, à leur tour, bénéficier du même passe-droit. Exit ensuite les joggeurs.”

“Il n’est pas impossible que le but recherché soit d’ailleurs de faire perdre pied à la population face à ces savants mélanges d’arbitraire et d’incohérence. Bien sur, de telles mesures visent à dégager les élus ou l’administration de toute responsabilité face aux éventuelles recrudescences du virus – responsables, soit, mais jamais coupables, on le sait bien – et d’ouvrir pour cela moult parapluies. Mais, on peut se demander s’il ne s’agit pas aussi d’habituer chaque jour un peu plus les Français à respecter aveuglément n’importe quelle règle, aussi absurde soit-elle, dans une approche qui se situerait à mi-chemin entre le test de du seuil d’acceptabilité et le dressage. Et, comme le dit Hubert, les chiens doivent bien s’amuser en nous voyant passer avec nos muselières.” […] covidinfos.net 30 août 2020

Lire l’intégralité de l’interview :

– “Masque : quels recours quand obligations ou interdictions vont trop loin ?”

https://www.atlantico.fr/decryptage/3591950/masque--quels-recours-quand-obligations-ou-interdictions-vont-trop-loin--legislation-justice-contestation-villes-coronavirus-covid-19-legalite-base-juridique-loi-gestes-barrieres-police-gendarmes-regis-de-castelnau-christophe-boutin-

“La dramatisation actuelle est proprement sidérante” selon le Professeur Touboul - covidinfos.net 30 août 2020

Une tribune du Professeur en médecine Paul Touboul parue sur le site de la revue Front Populaire dénonce “une peur sournoise instillée dans les esprits” et affirme que la létalité du Coronavirus ne le “distingue pas particulièrement des virus respiratoires, notamment grippaux”. Extraits.

Nous vivons encore en ce mois d’août sous l’empire de ce coronavirus qui avait abordé nos rives en mars dernier et continue de faire la une de l’actualité. On aurait pu penser que la phase de déconfinement nous amènerait tout naturellement vers une sortie de crise.

Or c’est un autre scénario qui se déroule sous nos yeux dont on peut lister sans peine les aspects les plus parlants.

Des appels à la prudence n’ont cessé d’être lancés au prétexte que l’épidémie est loin d’être terminée et qu’une seconde vague est toujours à craindre.

Une campagne de tests à tout va a été entreprise pour dépister les sujets contaminés et dessiner ainsi la cartographie d’une épidémie souterraine prête à s’embraser de nouveau.

Dans le sillage d’une pensée aux abois, le port de masques dans les lieux clos a été imposé et des sanctions prévues en cas de non-respect. Les règles de distanciation physique continuent d’être prônées comme gestes-barrière déterminants.

Relayant celui des morts, le comptage des contaminés détectés fait la une des médias, participant à l’entretien d’un vécu de crise persistante. La survivance d’îlots épidémiques dans les pays voisins est complaisamment rapportée pour corroborer sans le dire la thèse d’une épidémie prête à ressurgir.

Les jeunes sont montrés du doigt comme de dangereux vecteurs de l’infection, laquelle, très souvent inapparente chez eux, n’en est que plus redoutable.

Une peur sournoise a été instillée dans les esprits, visible dans l’espace public où nombre de comportements en témoigne. S’embrasser entre proches est teintée désormais de mauvaise conscience assumée. […]

Alors que faut-il en penser ? On ne peut s’empêcher de constater que l’attitude alarmiste actuelle rencontre en fait bien des objections.

La courbe en cloche de l’épidémie dessinée par le nombre de contaminations en fonction du temps évolue vers un terme prochain sans montrer de nouveau rebond.

Le nombre de décès attribué à la virose est ridiculement bas sans commune mesure avec les chiffres du mois d’avril.

Des contaminés récemment détectés à la faveur du dépistage, rien n’indique l’ancienneté du comptage d’autant plus que les tests sont incapables de faire la distinction entre virus morts et vivants et seraient même en défaut dans 20% des cas au bas mot. Or aujourd’hui tout contaminé “dépisté“ est comptabilisé nouveau malade.

La persistance de “clusters“ dans l’ouest du pays peut traduire l’invasion tardive de ces régions en lien avec la direction suivie par la nuée virale. Que le grand Paris, par son étendue et la densité de population connaisse encore des îlots actifs, la chose peut se concevoir, sans tomber pour autant dans le catastrophisme. Pourtant les médias d’information ressassent à l’envi que les “clusters“ ont toute chance d’être les avant-postes d’une nouvelle vague.

Enfin l’on sait maintenant que les enfants et adolescents, ayant pu rencontrer dans leur vie toutes sortes de coronavirus, sont pour la moitié d’entre eux au moins déjà immunisés contre l’actuel covid19. Ce constat établi, restent les explications à proposer pour rendre compte de telles dérives. C’est certainement la pratique de l’exercice la plus délicate tant la dramatisation actuelle est proprement sidérante et son ampleur inédite. Et pour commencer, pourquoi avoir fait le choix du scénario catastrophe, et ce contre l’évidence des données épidémiologiques recueillies jusqu’à ce jour ? […] covidinfos.net 30 août 2020

Lire l’intégralité de l’article :

FrontPopulaire.fr : “Coronavirus : Encore des questions”

https://frontpopulaire.fr/o/Content/co198752/coronavirus-encore-des-questions

- “Il n’y a pas de seconde vague. Les nouveaux cas sont bénins. Les soignants doivent réagir !” L’appel d’un collectif soignant au corps médical - covidinfos.net 1 septembre 2020

Voici un appel du Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste – réanimateur qui s’exprime ici pour le “Collectif soignant pour une politique sanitaire COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée”. Appel notamment publié sur le site de l’anthropologue J.D. Michel.

“Bonjour à tous,

A quoi joue le gouvernement ? A quoi jouent les médias ?

A quoi jouent les médecins ?

Quand réagissons-nous ?

Je lance ici un appel aux médecins, pharmaciens, soignants et administratifs de l’AP-HM de bonne volonté.

Il faut arrêter l’instauration et la pérennisation de lois d’exception liberticides.

Depuis quand le gouvernement se donne-t-il le droit de décider de ce que les médecins peuvent prescrire ?

Pourquoi les gens doivent-ils encore porter un masque aujourd’hui ? Pourquoi leur interdisait-on d’en acheter quand c’était utile ?

Pourquoi les pharmaciens n’ont pas eu le droit de vendre des masques quand c’était utile ?

Ce sont désormais les supermarchés qui le peuvent avec la complicité de l’État et de ses forces de répression ?

Ceux qui constatent l’écart croissant entre le réel et la narration médiatique et politique se doivent de réagir.

Ceux qui savent lire et interpréter sans peur des courbes épidémiques se doivent de parler en masse et de ne pas laisser seul l’IHU dans cette bataille.

Il n’y a pas de seconde vague.

Nous ne sommes depuis bien longtemps plus en situation épidémique selon les définitions habituelles des standards d’épidémie pour la grippe (plus de 150 cas/j/100000 hbts).

Cette définition a été changée tout bonnement pour la Covid dans un but qui nous échappe.

Le réel est remplacé par une narration douteuse. Les « informations » diffusées par les médias sont désormais décorrélées de la réalité sanitaire.

Les courbes épidémiques sont interprétées de manière fallacieuse.

L’État aurait-il modifié les seuils épidémiques habituels pour maintenir un discours alarmiste et justifier des restrictions de liberté ?

Les nouveaux cas sont bénins.

Ils sont à la hausse du fait de l’incrémentation du nombre des tests.

C’est très rassurant quant à la bénignité de l’infection au final.

Nous n’avons pas constaté en avril le dénominateur des cas totaux faute de pouvoir tester comme le bon sens nous le recommandait.

Aujourd’hui nous testons de manière quasi systématique sans rapport avec une quelconque symptomatologie.

Nous trouvons simplement ce que nous nous sommes interdits de voir en Mars, Avril et en Mai : le dénominateur et la foule des cas bénins.

Tous les partisans de la thèse de l’immunité collective devraient s’en réjouir.

Les hospitalisations en réanimation, les hospitalisations et les décès ne font que baisser tendanciellement !

Nous nous devons de sortir des polarisations politiques qu’on a voulu infliger au débat.

Nous devons retourner à des arguments de bon sens : médicaux en premier, scientifiques en second.

Merci à Jean François Toussaint, à Alexandra Henrion Caude, à Jean Dominique Michel, à Didier Raoult, à Philippe Parola, à Jean Christophe Lagier, à Christian Perronne et à tous les autres héros que j’oublie.

La Science, la médecine et la politique sont ternies de tant de conflits d’intérêt et de corruptions.

Le « Nous » de nos concitoyens va mal. Nous devons réinformer et réouvrir l’espace du dialogue et du débat quand il se ferme.

Il y a aujourd’hui plus de morts quotidiens de suicide que de COVID.

Les soignants doivent réagir.

Nous devons libérer nos concitoyens. Veiller à leur santé. Nous avons tous prêtés serment !

Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé publique France.

419 personnes de maladies cardio vasculaires / 460 de cancers / 110 morts de maladies respiratoires / 27 de suicides / 10 morts d’accidents de la route /

Pour la covid-19 : Sur les 15 premiers jours d’Août une moyenne de 8.3 morts hospitaliers /jour.

Je ne compte pas les morts en Epadh puisque nous ne savons de quoi ils sont morts. Vous constaterez avec le sourire que du 1er au 15 Aout, 10 personnes auraient d’ailleurs ressuscité selon le cumul des morts en Epadh.

Nous sommes devenus fous ?!

Merci à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour que l’AP-HM se réveille du mirage et agisse.

Merci à tous ceux qui ne sont pas d’accord et qui voudront renouveler l’espace du débat pour une discussion courtoise et constructive.

Bien confraternellement,

Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste – réanimateur.” covidinfos.net 1 septembre 2020

Source :

– Appel du Collectif soignant pour une politique sanitaire COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée.

https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/08/31/appel-du-collectif-soignant-pour-une-politique-sanitaire-cov-308661.html

- “Les masques vous rendent stupides” selon le psychologue Patrick Fagan, qui dénonce une “forme de déshumanisation” - covidinfos.net 2 septembre 2020

Cet article du psychologue comportementaliste Patrick Fagan paru dans le mensuel britannique The Critic explore les raisons pour lesquelles les masques “rendraient les gens stupides” et seraient une forme de “déshumanisation.” Extraits.

[…] “Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive – votre conscience.

Un excellent exemple nous vient d’une étude réalisée par Mathes et Guest (1976), qui ont demandé aux participants s’ils seraient prêts, et combien ils devraient être payés, pour porter une pancarte à la cafétéria de l’université disant “la masturbation, c’est chouette” Les résultats ont montré que lorsque les gens portaient un masque, ils étaient plus susceptibles de porter l’affiche et qu’il leur fallait moins d’argent pour le faire (30 dollars contre 48 dollars en moyenne).

Pendant ce temps, Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% du temps, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […]

Les effets désinhibiteurs du port d’un masque sont décrits par les psychologues en termes de suspension des mécanismes de contrôle du surmoi, permettant aux impulsions subconscientes de prendre le dessus. Saigre (1989) a écrit que les masques “raccourcissent” les systèmes de défense conscients et encouragent une “régression massive” vers un état plus primitif ; Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”. Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires.

Du point de vue de la neuro-imagerie, les masques sont connus pour inhiber l’identité et le contrôle des impulsions – tous deux associés à la fonction exécutive dans le cortex préfrontal (par exemple, Glannon, 2005 ; Tacikowski, Berger & Ehrsson, 2017). En d’autres termes, les masques font taire le Jiminy Cricket dans le cerveau.

Il n’est pas étonnant que le fait de se couvrir la bouche nous fasse taire psychologiquement. Des études ont montré que les vêtements ont un effet puissant sur notre façon de penser (ou non), via un principe connu sous le nom de cognition encapsulée : le port d’une blouse de laboratoire améliore la fonction cognitive (Adam & Galinsky, 2012), le port d’une blouse d’infirmière augmente l’empathie (López-Pérez et al., 2016), et le port de marques contrefaites augmente la probabilité de tricher dans un test (Gino, Norton & Ariely, 2010). De même, dans le monde du langage corporel, le fait qu’une personne mette sa main sur sa bouche est un signe qu’elle écoute attentivement : elle est prête à recevoir des informations, et non à les remettre en question.

Bien qu’aucune étude ne se soit penchée sur l’effet des masques sur le raisonnement verbal, on peut supposer sans trop se tromper que l’amorce d’un “silence” aurait un effet cognitif. Par exemple, les extravertis sont moins dociles que les introvertis (Cohen et al., 2004 ; Gudjonsson et al., 2004) ; le développement de la conscience chez l’homme est fortement lié à celui du langage (par exemple, Arbib, 2006) ; et la parole intérieure est fortement liée aux fonctions cognitives (Alderson-Day & Fernyhough, 2015). Le raisonnement verbal est étroitement lié au raisonnement moral (Hayes, Gifford & Hayes, 1998) : l’incapacité à “parler” réduit la capacité à déduire un comportement moral et immoral.

Il existe également une raison plus fondamentale pour laquelle les masques peuvent rendre stupide : la diminution du flux d’oxygène vers le cerveau. Les voiles faciaux réduisent la fonction ventilatoire à long terme (Alghadir, Aly & Zafar, 2012), et les masques chirurgicaux peuvent réduire l’oxygénation du sang chez les chirurgiens (Beder et al., 2008) : croyez-le ou non, se couvrir la bouche rend la respiration plus difficile. En examinant le masque facial N95, une étude de 2010 (Roberge et al.) a conclu que “les niveaux de dioxyde de carbone et d’oxygène étaient respectivement nettement supérieurs et inférieurs aux normes ambiantes du lieu de travail” à l’intérieur du masque. Une étude post-COVID a révélé que 81 % des 128 travailleurs de la santé qui portaient un masque ont développé des maux de tête à la suite du port d’un équipement de protection individuelle (Ong et al., 2020).

Non seulement les masques faciaux rendent la respiration difficile, mais les preuves qu’ils fonctionnent même pour arrêter la propagation du coronavirus sont au mieux limitées. Une marque populaire de masque porte même un avertissement sur son emballage indiquant qu’il “n’offrira aucune protection contre COVID-19” ; quant à la prévention des porteurs de la maladie, une méta-analyse a révélé, par exemple, que sur huit études d’essais contrôlés randomisés, six n’ont constaté aucune différence dans les taux de transmission entre les groupes de contrôle et d’intervention (tandis que l’une d’entre elles a constaté qu’une combinaison de masques et de lavage des mains est plus efficace que la pédagogie seule, et l’autre que les masques N95 sont plus efficaces que les masques chirurgicaux standard ; bin-Reza et al., 2012). Les masques non chirurgicaux, tels que les écharpes et les chiffons, sont presque inutiles (Rengasamy et al., 2010). Les masques peuvent même être malsains, provoquant une accumulation de bactéries autour du visage (Zhiqing et al., 2018).

Le fait que les masques ne fonctionnent probablement même pas nous amène à la dernière raison pour laquelle le port d’un masque inculque la stupidité et la conformité : à travers un bombardement de mensonges, de contradictions et de confusion, l’État submerge votre capacité à raisonner clairement.

Comme l’a écrit Theodore Dalrymple, “Dans mon étude des sociétés communistes, je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande communiste n’était pas de persuader ou de convaincre, ni d’informer, mais d’humilier ; et donc, moins elle correspondait à la réalité, mieux c’était. Lorsque les gens sont contraints de se taire lorsqu’on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire encore lorsqu’ils sont contraints de répéter eux-mêmes ces mensonges, ils perdent une fois pour toutes leur sens de la probité. Consentir à des mensonges évidents, c’est en quelque sorte devenir soi-même mauvais. La volonté de résister à quoi que ce soit est ainsi érodée, et même détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler”.

Le but des masques faciaux n’est pas de protéger les humains, mais de diminuer l’humanité – de voler aux gens leur ego, leur identité et leur autonomie. […]

Il est difficile de prédire comment la roue de la vie tournera dans les années à venir, mais tous les signes laissent présager des difficultés. Pendant les années de crise d’un cycle générationnel, une seule chose peut être garantie : l’importance d’un esprit clair. Pour cela, il faut se permettre la dignité, l’identité et le Logos de l’être humain – et ne jamais, jamais porter de masque.”

Lire l’article intégral (anglais) :

– The Critic : Face masks make you stupid

https://thecritic.co.uk/face-masks-make-you-stupid/

- “La mascarade généralisée est le moyen contemporain de contrôler la peur” selon le Pr Michel Maffesoli - covidinfos.net 1 septembre 2020

Une tribune de Michel Maffesoli, Professeur mérite à la Sorbonne et membre de l’Institut universitaire de France publiée sur le site Putsch évoque un “gouvernement de la terreur” et un “masque qui sert de protection à une bureaucratie voulant à tout prix maintenir son pouvoir”. Extraits.

“Le poème quelque peu apocalyptique de Lord Byron : Darkness, peut nous aider à comprendre un monde où le chaos tend à prévaloir. En effet l’empire des ténèbres se répand un peu partout. Et les protagonistes essentiels en sont ceux qui se réclament de la philosophie des Lumières. Ceux qui font la loi. Ceux qui d’une manière hypocrite ne veulent pas reconnaître les conditions troubles de la loi qu’ils imposent en promouvant les défilés de masques, qui outre le caractère ridicule de ces accoutrements, sont l’expression par excellence d’une mise en scène on ne peut plus fallacieuse.”[…]

“[…] Lieux communs répétés, ad nauseam, par les sophistes du moment. Mais lieux communs répétés maladroitement et sur un ton emphatique et n’arrivant plus à cacher l’aspect simpliste et sans profondeur des propos officiels. Ce sont des poncifs hypocrites, de ceux n’ayant aucune assise et n’étant amarrés à rien.”[…]

“Poncif d’une élite en perdition qui, pour perdurer met en scène une stratégie de la peur réclamant l’obéissance en faisant trembler. En la matière en agitant le fantasme d’une « pandémie » dont de nombreux scientifiques soulignent l’inanité, mais qui justifient un gouvernement de la terreur. Ce qui d’antique mémoire est le plus sûr moyen d’infantiliser puis de soumettre le peuple. Ce que résume bien Machiavel en rappelant que « celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».”[…]

“La mascarade généralisée est bien le moyen contemporain de contrôler la peur et, par là, sinon d’empêcher du moins de minimiser la résistance qui semble de plus en plus prête à s’exprimer.” […]

“Mais progressivement ce masque ne favorise plus la résistance. Bien au contraire il sert de protection à une bureaucratie voulant à tout prix maintenir son pouvoir et qui, gauche et droite confondues, se sent perdue quand elle ne trouve pas à portée de main ses charentaises et les lieux communs de la bienpensance qui l’accompagnent. Le masque étant pour elle le moyen d’assurer et d’assumer ce que Pascal nomme, judicieusement, le divertissement. La facinatio nugacitalis, cette fascination du frivole ou enchantement de la bagatelle.” […]

Lire l’intégralité de l’article :

– Putsch : Covid19 : « La mascarade généralisée est bien la cause et l’effet d’un empire des ténèbres se généralisant »

https://putsch.media/20200828/tribunes/la-culture-du-debat/covid19-la-mascarade-generalisee-est-bien-la-cause-et-leffet-dun-empire-des-tenebres-se-generalisant/

- “Ceci n’est plus acceptable !” Un collectif de soignants et civils dénonce les effets délétères de la gestion de la crise du Coronavirus en Belgique - covidinfos.net 1 septembre 2020

Publiée sur le site du quotidien belge Le Soir, cette tribune regroupe “une soixantaine de personnalités académiques et de la société civile qui demandent urgemment de nouveaux groupes de travail pour proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de la démocratie.” Extraits.

“La gestion actuelle de la crise sanitaire de la Covid-19 montre énormément de failles et trop d’inadéquation. Elle manque singulièrement de clarté et de transparence. Les questionnements qu’elle provoque restent désespérément sans réponse. Il faut dans les plus brefs délais mettre sur pied un ou plusieurs groupes de travail, indépendants du monde politique, constitués d’un large panel de personnes compétentes dans tous les secteurs impactés par cette crise […]

La crise est actuellement gérée par quelques experts dont les critères de sélection restent jusqu’ici inconnus et incompris. Leurs éventuels conflits d’intérêts ne sont pas déclarés. Trop de décisions ont été basées sur des données scientifiquement infondées et dont les conséquences directes et indirectes ont été sous-évaluées. […]

L’efficacité des mesures prises pour limiter la propagation du virus doit être évaluée. Il semble bien que les pays n’ayant pas pris des mesures aussi restrictives que les nôtres n’aient pas été confrontés à une mortalité différente, bien au contraire. Les faits n’ont jamais corroboré aucune des estimations catastrophistes du nombre de décès de certains biostatisticiens et modélisateurs, comme ils n’ont pas pu confirmer les effets espérés du confinement. Confiner les personnes saines n’a aucun fondement scientifique, et confiner les personnes malades avec les personnes saines aura pu favoriser les contaminations entre personnes vivant sous le même toit.

Sur le plan médical, le confinement a entraîné une surmortalité dans les autres pathologies. Des données récentes estiment cette surmortalité à au moins 30 % de la surmortalité globale, ce qui correspond précisément au nombre de patients « suspects de Covid-19 » et que le gouvernement belge, contrairement à ses voisins, a comptabilisé dans la mortalité liée au Covid-19, surestimant celle-ci de façon importante. […]

Sur le plan psychosocial, le confinement a généré de la violence conjugale et de la maltraitance infantile. Le taux de pauvreté explose et cette dernière est reconnue pour diminuer l’espérance de vie de plusieurs années. Le stress sous de nombreuses formes, généré par le confinement, aura sans aucun doute des effets néfastes sur la santé mentale.

Sur le plan économique, 50 milliards se sont évaporés. Jamais autant d’argent n’aura été investi pour « sauver » si peu de vies, même dans les estimations les plus folles du nombre de décès soi-disant évités (chiffre qui reste inconnu à ce jour). Tout cet argent ne pourra plus être investi dans des secteurs pourtant tout aussi indispensables comme la sécurité sociale, l’enseignement, la justice et les soins de santé eux-mêmes.

Sur le plan juridique, on constate que bon nombre de mesures, adoptées par l’exécutif, reposent sur des bases légales inadéquates et non valables. Celles-ci ne permettent pas de servir de fondement pour imposer, par exemple, le port obligatoire du masque, le traçage, la distanciation sociale ou interdire les rassemblements. […] Les règles changent sans cesse et ne sont même plus identifiables et ce au mépris de la sécurité juridique. La négligence des libertés fondamentales, de la démocratie et de l’Etat de droit est une porte ouverte à poursuivre ou réitérer cette négligence dans le futur pour d’autres prétextes, bons ou mauvais. Nous devons sérieusement nous interroger sur le principe de pouvoir porter atteinte à ces valeurs fondamentales quelle que soit la situation. […]

La justice a été mise à l’arrêt avec des conséquences néfastes pour de nombreuses victimes. La justice et la police ont été détournées de leurs missions habituelles pour faire respecter les directives gouvernementales.

Sur le plan éthique, les principes de justice distributive, de non-malfaisance et d’autonomie qui sont les bases de l’éthique médicale ont été bafoués. L’exemple le plus illustratif est celui des personnes âgées vivant en résidence, qui ont été enfermées contre leur gré, privées de relations sociales et de soins médicaux, soi-disant pour leur bien… Elles représentent la majorité de ces morts « suspects Covid-19 » dont on peut raisonnablement penser qu’ils sont décédés d’autres choses que l’on n’a tout simplement pas prises en charge. Chaque personne à risque devrait être libre de se protéger comme bon lui semble. Les experts et le gouvernement semblent ignorer que beaucoup de nos aînés préféraient mourir heureux et entourés que de vivre confinés les derniers mois de leur vie. […]

Le point actuellement le plus important à débattre est de définir précisément le but des mesures anti-Covid-19. Initialement, il fallait éviter la saturation des hôpitaux en aplatissant la courbe, ce qui était compréhensible. Toutefois, aucune donnée objective sur le bénéfice du confinement de l’entièreté de la population n’a été fournie à ce jour. Ensuite, les mesures ont été prolongées et il semble maintenant qu’il faille à tout prix éviter de se faire infecter par un virus dont la dangerosité ne dépasse pas celle de la grippe saisonnière que nous vivons chaque année dans la « quasi » indifférence générale. Cela ne nous paraît plus raisonnable. Le gouvernement a été jusqu’ici incapable d’organiser un dépistage massif, méthode pourtant reconnue efficace pour isoler les malades et limiter la propagation du virus. En lieu et place, les citoyens se voient à nouveau limités dans leurs libertés fondamentales. Ceci n’est plus acceptable.

Le vaccin nous a été présenté d’emblée comme l’unique solution à la fin de cette épidémie, alors que son innocuité, son efficacité et la durée de son éventuelle protection dans le temps sont incertaines. D’autres solutions à moyen ou long terme doivent être envisagées, comme l’immunité collective. En dehors des espaces où la distanciation physique ne peut être respectée, le port du masque n’a strictement aucun intérêt.

Les risques à long terme liés à l’excès d’hygiène doivent être pris en compte.

Il ne peut plus y avoir de victimes collatérales. Les enfants doivent pouvoir reprendre l’école maternelle, primaire et secondaire dans des conditions normales, moyennant des mesures d’hygiène de base comme le lavage des mains. Des restrictions d’espace et de temps de détente, de jeux ou de relations sociales ne doivent plus exister. Les recommandations très récentes du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies confirment que la fermeture et la réouverture des écoles n’ont pas eu d’impact significatif sur la transmission du virus dans la communauté. […]

En définitive, nous demandons la mise sur pied urgente de groupes de travail larges et multidisciplinaires qui puissent enfin proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées au regard des autres problèmes de société et de santé publique, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de l’Etat de droit, de la démocratie et des libertés individuelles. covidinfos.net 1 septembre 2020

Lire l’intégralité de la tribune :

«Il est nécessaire et urgent de revoir totalement la gestion de la crise Covid-19»

https://plus.lesoir.be/320906/article/2020-08-27/carte-blanche-il-est-necessaire-et-urgent-de-revoir-totalement-la-gestion-de-la

- “300 millions d’euros de masques vendus depuis le 4 mai en grandes surfaces” - covidinfos.net 1 septembre 2020

Selon un article publié sur le site 20Minutes.fr, la grande distribution aurait vendu pour 300 millions d’euros de masques vendus depuis le 4 mai. Et 14 millions d’euros pour la seule semaine du 17 au 23 août. Extraits.

“Le coronavirus rapporte gros. Les enseignes françaises de la grande distribution ont déjà vendu pour 300 millions d’euros de masques depuis le 4 mai, a révélé ce jeudi le spécialiste des études de marché, Nielsen.”

« Avec 14 millions d’euros lors de la semaine du 17 au 23 août, le chiffre d’affaires réalisé par la grande distribution » pour la vente de masques « atteint désormais la barre des 300 millions d’euros réalisés depuis le 4 mai », indique Nielsen dans un communiqué. Ces chiffres concernent les masques jetables et lavables vendus dans les hypermarchés, supermarchés, « drives » et magasins de proximité.”

“Hausse des ventes à venir

La vente « repart à la hausse, ce qui devrait se confirmer cette semaine et (la) semaine prochaine avec la rentrée scolaire », le masque étant obligatoire pour tous les adultes à l’école, et pour tous les élèves à partir du collège.” […]

Lire l’intégralité de l’article :

– “Coronavirus : 300 millions d’euros de masques vendus depuis le 4 mai en grandes surfaces” covidinfos.net 1 septembre 2020

https://www.20minutes.fr/societe/2848107-20200827-coronavirus-300-millions-euros-masques-vendus-depuis-4-mai-grandes-surfaces

- “L’Ordre des médecins doit être jugé pour manquements graves à l’éthique médicale” selon le Dr Crabbé - covidinfos.net 1 septembre 2020

“Discours apocalyptiques”, “hystérie collective”, “silence complice”… Le Dr Jean-Michel Crabbé a adressé le 27 août au Conseil de l’Ordre des médecins du Doubs une lettre recommandée dans laquelle il demande que l’Ordre des médecins soit “traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale.” Vous pouvez télécharger cette lettre ici,

https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/09/2020_08_27_JMC_Ordre-Medecins.pdf

elle faisait suite à une première lettre envoyée le 13 mai 2020 que vous pouvez télécharger ici.

https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/09/2020_05_13_Ordre-Medecins_V2.pdf

“Monsieur le président, mes chers confrères,

Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins lui-même.

1) Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes politiques et de soi-disant spécialistes, l’Ordre des médecins avait le devoir de rétablir la vérité et de fournir à l’ensemble des praticiens et au public les véritables chiffres issus des registres de l’État Civil et de différents services mortuaires hospitaliers ou autres : ces chiffres n’ont rien d’alarmant.

Au cours des vraies épidémies comme la peste ou la tuberculose, il y avait des malades et des morts dans chaque maison, dans chaque famille, nous sommes très loin d’une telle situation.

2) Face à la phobie du virus et à l’hystérie collective déclenchées par le risque de contamination par simple contact ou respiration à proximité des malades, l’Ordre des médecins devait rappeler que les professionnels de santé ne sont pratiquement jamais contaminés par leurs contacts multiples et répétés avec les malades, et que la contagion met en jeu d’autres facteurs mal connus.

3) L’Ordre des médecins, garant des bonnes pratiques médicales basées sur des études scientifiques, devait rappeler que le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine. Le bien fondé de ces mesures ne repose sur aucune évaluation objective du rapport bénéfice/risque, alors que leurs conséquences évidentes sont gravissimes pour la population sur le plan médical, humain et économique.

4) L’Ordre des médecin est le garant ultime de la bonne formation des praticiens en exercice, et la toxicologie est une discipline aussi importante que la bactériologie. L’Ordre des médecins ne peut pas ignorer que les praticiens sont privés de formation en toxicologie depuis des décennies, et incapables d’assurer la prévention et les diagnostics toxicologiques face à un nombre croissant de substances et de médicaments toxiques, ou encore face aux effets nocifs des radiations ionisantes, de la pollution de l’air et de l’eau, des ondes électromagnétiques, du bruit, etc. La pollution environnementale peut jouer un rôle important et négligé dans le contexte actuel «covid-19».

«Au service des médecins dans l’intérêt des patients», l’Ordre des médecins devait informer les praticiens d’une façon objective, dénoncer les mesures de prévention non validées scientifiquement et dangereuses, veiller à la formation des médecins dans ce domaine essentiel, la toxicologie, rassurer une population rendue hystérique par les déclarations mensongères des médias. Au lieu de cela, l’Ordre des médecins garde un silence complice des objectifs occultes d’un pouvoir politique au service d’une oligarchie mondialiste. Sous prétexte d’épidémie, une administration aveugle, des spécialistes dont l’expérience professionnelle reste à prouver, l’ensemble du système de santé sont instrumentalisés pour nuire à la population, la terroriser, la priver de liberté, de travail, de relations humaines.

En conclusion, l’Ordre des médecins doit être traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale.

Recevez mes meilleures salutations confraternelles et dévouées, Dr Jean-Michel Crabbé”

Source : Site du Dr Jean-Michel Crabbé

http://www.sitemed.fr

- “Jusqu’à 90 % des personnes testées positives” pourraient être porteuses d’une “quantité insignifiante” du virus selon un article du New York Times - covidinfos.net 2 septembre 2020

Un article paru le 29 août sur le site du New York Times baptisé “Votre test de dépistage du coronavirus est positif. Peut-être qu’il ne devrait pas l’être.” met en avant le problème de l’extrême sensibilité des tests PCR, qui pourraient non seulement “détecter des virus vivants, mais également des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent aucun risque particulier”. Extraits.

“Certains des plus grands experts en santé publique du pays [USA] soulèvent une nouvelle problématique dans le débat sans fin sur les tests de dépistage des coronavirus aux États-Unis : Les tests standard diagnostiquent un grand nombre de personnes qui pourraient être porteuses de quantités relativement insignifiantes du virus.”

“Le test de diagnostic le plus largement utilisé pour le nouveau coronavirus, appelé test PCR, fournit une simple réponse “oui-non” à la question de savoir si un patient est infecté. […] Mais “oui-non” ne suffit pas […] C’est la quantité de virus qui devrait dicter les prochaines étapes du traitement d’un patient infecté selon le Dr Michael Mina, épidémiologiste au Harvard T.H. Chan School of Public Health”

“Le test PCR amplifie la matière génétique du virus par cycles; moins il faut de cycles, plus la quantité de virus, ou charge virale, dans l’échantillon est élevée. Plus la charge virale est élevée, plus le patient est susceptible d’être contagieux.”

“Ce nombre de cycles d’amplification nécessaires pour trouver le virus, appelé seuil de cycle, n’est jamais inclut dans les résultats envoyés aux médecins et aux patients atteints de coronavirus, même s’il pourrait leur dire à quel point les patients sont infectieux.”

“Dans trois ensembles de données de test qui incluent des seuils de cycle, compilés par des responsables du Massachusetts, de New York et du Nevada, jusqu’à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement aucun virus, selon le Times.”

“La plupart des tests fixent la limite à 40, quelques-uns à 37. Cela signifie que vous êtes positif pour le coronavirus si le processus de test a nécessité jusqu’à 40 cycles, ou 37, pour détecter le virus.”

“Des tests avec des seuils si élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants, mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent aucun risque particulier – un peu comme trouver un cheveu dans une pièce longtemps après le départ d’une personne, a déclaré le Dr Mina.”

“Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible, a reconnu Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie à Riverside. «Je suis choquée que les gens pensent que 40 pourrait représenter un positif», a-t-elle déclaré.”

“Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35, a-t-elle ajouté. Le Dr Mina a dit qu’il fixerait le chiffre à 30, voire moins. Ces changements signifieraient que la quantité de matériel génétique dans l’échantillon d’un patient devrait être de 100 à 1 000 fois supérieure à la norme actuelle pour que le test renvoie un résultat positif […]”

“Le nombre de personnes avec des résultats positifs qui ne sont pas contagieux est particulièrement préoccupant, a déclaré le directeur de l’association des laboratoires de santé publique Scott Becker.” […]

Lire l’intégralité de l’article (en anglais) :

– “Your Coronavirus Test Is Positive. Maybe It Shouldn’t Be.”

https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html

- La modélisation qui annonce 60000 vies sauvées grâce au confinement démontée dans le Journal International de Médecine - covidinfos.net 6 mai 2020

Edouard Philippe l’a affirmé le 28 avril devant l’assemblée, le confinement aurait sauvé “plus de 60000 vies”. Cette affirmation est basée sur une modélisation des chercheurs de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique (EHESP).

Trois autres chercheurs ont analysé ladite modélisation et arrivent à la conclusion que ses résultats sont “systématiquement amplifiés” et que “personne ne peut s’appuyer raisonnablement sur ce type d’étude pour justifier” un confinement.

Les trois chercheurs en question, Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert et Jean-François Toussaint, expliquent dans le Journal International de Médecine que “les limites statistiques de cette modélisation ne sont probablement pas mineures.” […] Et que “la modélisation amplifie systématiquement les résultats à mesure que le temps passe.”

Les méthodes et résultats de la “modélisation utilisée […] diverge significativement des valeurs observées les deux derniers jours : elle surestime donc les variables mesurées.”

En extrapolant la méthode de la modélisation ils notent : “Poursuivre ce type de modélisation jusqu’au 11 mai aboutit à près de trois millions de décès hospitaliers. […] En ce qui concerne le nombre d’hospitalisations, peut-être aurait-on dépassé le 11 mai… la taille de la population française.”

Et de conclure : “l’utilisation [de cette méthode] doit donc rester prudente quant aux conclusions à en tirer et personne ne peut s’appuyer raisonnablement sur ce type d’étude pour justifier une mesure dont nous n’avons pas fini de mesurer les impacts sanitaires, économiques et sociaux. Alors que l’angoisse et la peine affectent des milliers de familles, il est sans doute préférable d’éviter d’induire de telles erreurs, surtout si elles altèrent la décision publique.” v

Lire l’article complet :

– Journal International de la médecine : Etude critique d’une modélisation des effets du confinement

https://www.jim.fr/medecin/jimplus/e-docs/etude_critique_dune_modelisation_des_effets_du_confinement__182808/document_edito.phtml




TROISIEME PARTIE

Bienvenue aux institutions du gouvernement mondial totalitaire.

Dans l'actualité du Forum économique mondial. (https://fr.weforum.org)

- 'Build back better': U.S. tree-planting push to curb warming, boost jobs af.reuters.com 28 août 2020

Plus de 20 villes, entreprises et organisations à but non lucratif ont annoncé la création du premier chapitre régional de la plateforme 1t.org du Forum économique mondial, dévoilé en janvier pour faire pousser, restaurer et conserver 1 milliard d'arbres dans le monde d'ici la fin de la décennie.

Les villes américaines et les grandes entreprises se sont engagés jeudi à planter plus de 800 millions d'arbres d'ici 2030 dans le cadre d'un effort mondial pour lutter contre le changement climatique, améliorer la santé et stimuler la création d'emplois dans les communautés sous le choc de la pandémie de coronavirus.

Les engagements initiaux au titre du chapitre américain, notamment de quatre villes et sociétés telles qu'Amazon, Mastercard et Microsoft, couvriront quelque 2,8 millions d'acres, selon les organisateurs.

Selon les premiers détails, le fabricant d'aliments et de boissons PepsiCo restaurera 1 million d'acres dans le bassin du Mississippi, tandis que le processeur de paiement Mastercard aidera à planter 100 millions d'arbres au cours des cinq prochaines années.

- Amid devastating forest fires, One Trillion Trees movement puts down U.S. roots greenbiz.com 28 août 2020

- Three ways Canada can lay the foundation for the workplaces of the future theglobeandmail.com 25 août 2020

Agenda Mondial

- Les minéraux des grands fonds marins pourraient répondre à la demande des chaînes d'approvisionnement de batteries - mais le devraient-ils ? Winnie Yeh 28 août 2020

Agenda de la NED/CIA (https://www.demdigest.org)

LVOG - La Biélorussie, la Russie, Navalny, la Chine, le féminisme...

- Belarus ‘on the edge’: How will the West respond? - DemDigest August 27, 2020

- Belarus reborn: But ‘unprecedented’ movement faces uphill battle DemDigest August 26, 2020

- Belarus a ‘litmus test and challenge’ to democracy - DemDigest August 25, 2020

- How to stop Covid disinformation promoting polarization - DemDigest August 27, 2020

- The terrible déjà vu of the Navalny poisoning - DemDigest August 26, 2020

- How Navalny revolutionized Russia’s opposition politics - DemDigest August 24, 2020

- Saving liberal democracy from China’s non-existential threat - DemDigest August 26, 2020

- Changing the face of politics on Women’s Equality Day - DemDigest August 26, 2020

Son complément policier et militaire pour l'Europe

Qu'est-ce que Globsec ?

GLOBSEC est une organisation non partisane et non gouvernementale [1] basée à Bratislava, en Slovaquie. L'une de ses principales activités est le Forum annuel sur la sécurité mondiale GLOBSEC Bratislava, qui existe depuis 2005. [2] [3] D'autres projets incluent la conférence au sommet des Tatras sur les affaires européennes ou le forum stratégique d'Europe centrale de Château Béla. Son groupe de réflexion appelé GLOBSEC Policy Institute [4] possède un vaste domaine de recherche basé sur quatre piliers (voir ci-dessous). Ses principaux résultats sont des documents d'orientation et des analyses sur différents sujets dans le domaine de la politique internationale et des questions de sécurité. Depuis 2016, GLOBSEC n'est pas seulement le nom de l'un des principaux forums sur la sécurité internationale dans le monde, mais aussi de l'entité juridique et de l'organisateur du Forum. [5]

Forum GLOBSEC Bratislava

Depuis sa création en 2005, le Forum GLOBSEC Bratislava se tient chaque année à Bratislava, la capitale de la République slovaque et est devenu l’une des cinq plus importantes conférences mondiales sur la sécurité. [6] [7] Son édition 2016 a accueilli plus de 1 000 participants de 70 pays. [8] [9] Ses principaux sujets comprennent la sécurité mondiale, la coopération transatlantique et les relations internationales [10]. Tout au long de son histoire, GLOBSEC a accueilli des orateurs de premier plan tels que David Cameron, [11] [12] Madeleine Albright, Anders Fogh Rasmussen, [13] Ursula von der Leyen, [14] Michael Chertoff, John McCain, Zbigniew Brzezinski [15] et beaucoup d'autres. [16]

L'histoire

L'organisation GLOBSEC s'appuie sur la tradition de la Commission atlantique slovaque (SAC), créée en 1993 par un groupe de diplomates slovaques. L'objectif de la SAC était de faciliter l'intégration de la Slovaquie à l'OTAN et à l'Union européenne. Ces objectifs ont été atteints en 2004 et un an plus tard, le SAC a été rejoint par un groupe d'étudiants de l'Université Matej Bel de Banská Bystrica, en Slovaquie. En 2005, ce groupe, dirigé par le futur président de GLOBSEC Róbert Vass, a créé le forum annuel de la sécurité mondiale GLOBSEC Bratislava. [17] Conseil stratégique d'Europe centrale

La Commission atlantique slovaque a progressivement élargi son champ d'activités et créé deux organisations sœurs - un groupe de réflexion appelé Institut politique de l'Europe centrale (CEPI) et le Centre des affaires européennes (CEA). [18] En 2013, Tatra Summit, une conférence annuelle sur les affaires et l'économie européennes, a été créée. [19] Ce réseau d'organisations a donc été réuni sous l'entité faîtière appelée Central European Strategy Council, l'ambassadeur Rastislav Kácer agissant en tant que président d'honneur et Róbert Vass en tant que PDG et vice-président exécutif.

GLOBSEC en tant qu'organisation

En 2016, lors du 11e Forum GLOBSEC annuel, Róbert Vass a annoncé que l'ensemble du réseau connu sous le nom de Central European Strategy Council serait rebaptisé GLOBSEC [20] [21] tout en élargissant ses activités pour atteindre une plus grande portée. Le groupe de réflexion CEPI est ainsi devenu GLOBSEC Policy Institute, élargissant son champ de recherche. GLOBSEC Policy Institute organise ses activités autour de quatre programmes principaux:

- Sécurité et défense
- Énergie
- L'avenir de l'Europe
- Voisinage européen

Activités

GLOBSEC Bratislava Global Security Forum

GLOBSEC Policy Institute; un groupe de réflexion qui mène des recherches, publie des enquêtes, des analyses, des documents de politique et des recommandations.

Forum des jeunes leaders du GLOBSEC (GYLF); organisé chaque année en parallèle avec le principal forum GLOBSEC, le GYLF rassemble des dizaines de jeunes de nombreux pays pour leur offrir la possibilité de s'informer sur l'élaboration des politiques, la diplomatie et d'interagir avec les participants de GLOBSEC. [22]

Sommet des Tatras; un forum annuel sur les affaires européennes. [23] [24]

Forum stratégique d'Europe centrale de Château Béla; un forum annuel tenu sous la règle de Chatham House. [25] [26]

Centre de l'Académie GLOBSEC; officiellement établi le 26 avril 2016, ce projet conjoint de GLOBSEC et de l'Université Matej Bel à Banská Bystrica vise à former la prochaine génération d'experts et d'analystes sur la sécurité mondiale et les affaires étrangères. [27] [28]

Prix transatlantique tchèque et slovaque (CSTA); Le prix transatlantique tchèque et slovaque est un projet conjoint de GLOBSEC et de l'ONG tchèque Jagello 2000. Depuis 2012, le prix récompense chaque année des personnalités qui ont contribué de manière significative à la qualité des relations transatlantiques. Certains de ses lauréats les plus importants comprennent Madeleine Albright, [29] Carl Bildt, Bronislaw Komorowski, David Petraeus et bien d'autres.

Relevé dans différents articles publiés par GLOBSEC.

- La résilience est devenue le mot du jour

- La crise a révélé la fragilité du monde dans lequel nous vivons, tout en soulignant la nécessité de concevoir de nouveaux modèles fonctionnels pour la société, l'économie et la politique.

- Le COVID-19 fera sans aucun doute partie de notre nouveau monde, dans lequel les anciennes catégories et réalités de la mondialisation 1.0 ne comptent plus.

Des alliances plus solides, car les défis mondiaux ne peuvent être résolus au niveau national, devraient être notre priorité numéro un, avec la transformation numérique de nos économies et sociétés, l'amélioration de la micro-gestion et le rétablissement de la confiance dans les experts pour la suite.

...le récit obsolète de la croissance de l'UE doit inclure une coopération renforcée entre les secteurs privé et public, tandis que les gouvernements devraient jouer un rôle plus actif dans l'utilisation des nouvelles technologies innovantes et dans la mise en œuvre de stratégies d'innovation.

- Les participants ont conclu que la crise économique induite par la pandémie de COVID-19 est également une opportunité pour la région d'Europe centrale et orientale de restructurer radicalement ses économies afin de les rendre plus fortes et plus résilientes.

- La pandémie de coronavirus a aggravé la nécessité d'une refonte majeure des économies d'Europe centrale et orientale.

- les limites des frontières et des États-nations lors de catastrophes et de crises comme le COVID19, soulignant à nouveau la nécessité de coopération et de reconsidération de la relation entre les élites et le public.

- l'Europe ne pourra jamais devenir un acteur mondial à elle seule et qu'elle aura besoin de démocraties partageant les mêmes idées pour y parvenir. (Entendez les Etats-Unis - LVOG)

- L'oligarchie cible souvent les poursuites et le pouvoir judiciaire en premier, ce qui conduit à des gains de pouvoir rapides sur l'ensemble du système.

- la manière dont les gens consomment les informations, la manière dont les campagnes sont menées et la manière dont les informations sont diffusées en ligne, en particulier l'impact de la désinformation et des théories du complot sur les réseaux sociaux.

- Le vrai paradoxe est que nous voyons un rôle plus important pour les gouvernements nationaux, mais pas nécessairement une plus grande gouvernance. L'UE, grâce à ses caractéristiques régionales, dispose encore d'importants mécanismes de coopération. À long terme, l'UE pourrait devenir un projet intergouvernemental lâche, mais certains États déléguant davantage de pouvoir à Bruxelles.

Le risque de fragmentation persiste dans la mesure où l'UE avait un programme de libéralisme économique conforme à la mondialisation et la crise a ravivé l'idée d'États-nations forts. Ce résultat entrave la possibilité de trouver un consensus commun aux niveaux institutionnel et national, et augmente finalement le risque de fragmentation.

- Les questions clés concernant la situation en Biélorussie - décrites comme au milieu d'une révolution - ont été discutées lors de la conversation exclusive et puissante avec Sviatlana Tsikhanouskaya, la principale candidate de l'opposition à l'élection présidentielle biélorusse de 2020.

- La première journée de la scène numérique GLOBSEC 2020 s'est conclue par une discussion sur la situation actuelle en Biélorussie. Les commentateurs, Amb. Michael Siebert, Carl Bildt et Amb. Daniel Fried, a convenu que l'unanimité de l'UE dans sa non-reconnaissance des résultats des élections et une indication rapide de la préparation des sanctions est un signal important pour le gouvernement et le peuple biélorusse. Une réponse coordonnée entre l'UE, les États-Unis, le Canada et d'autres pays démocratiques serait le message le plus efficace et la voie à suivre.

- L’agitation des derniers mois nous a obligés à nous «replier» dans le monde de l’espace en ligne. Cette nouvelle réalité a mis au jour à quel point la propagation de la désinformation et des complots est devenue un problème majeur.

Clare Melford, Rand Waltzman et Vladimir Bilcík ont souligné que le monde numérique devrait être réglementé autant que le monde hors ligne et que ce processus doit être dirigé par les décideurs politiques. Tous les participants affirment que les plates-formes, où la propagation de la désinformation se développe, doivent être tenues pour responsables et responsables du contenu qu'elles diffusent. La prochaine loi sur les services numériques de l'UE devrait être la réponse à ce problème, mais comme l'a souligné Rand Waltzman, aucune politique ne sera efficace tant que les pays ne s'accorderont pas d'abord sur une définition claire de la désinformation et investiront dans le développement de capacités techniques pour la détection automatisée de la désinformation et vérification de l'efficacité à la fois de la désinformation et du contre-message.




QUATRIEME PARTIE

Coronabusiness. Quelle aubaine pour les patrons !

- Jean Castex dévoile le plan de relance à la veille de sa présentation - lepoint.fr 2 septembre 2020

Extrait.

Le chef du gouvernement présente officiellement jeudi le plan de relance de 100 milliards d'euros destiné à faire face aux conséquences de l'épidémie de coronavirus, dont une récession de 11 % prévue cette année. Celui-ci comprend notamment 20 milliards de baisse d'impôts de production payés par les entreprises, soit 10 milliards en 2021 et 10 autres en 2022. « Cette mesure est majeure notamment pour protéger notre industrie », a justifié Jean Castex, qui y voit un moyen d'améliorer la compétitivité.

Quelque 35 milliards d'euros seront aussi consacrés à « rendre la France plus compétitive et plus souveraine ». Outre les baisses d'impôts, « le plan contient des dispositions concernant le renforcement des fonds propres des entreprises, notamment les entreprises de taille intermédiaire, qui innovent et exportent ».

« Le verdissement de notre économie » bénéficiera de 30 milliards d'euros. « Cela s'appliquera à la rénovation thermique des bâtiments, aux investissements dans les infrastructures et dans la mobilité verte, au développement de technologies vertes, à la stratégie hydrogène », a-t-il fait valoir.

Ajoutez à tous ces cadeaux faits aux capitalistes, 6,5 milliards d'euros du « plan jeunes » dévoilé en juillet, qui contient notamment des primes à l'embauche, ou encore la prolongation du dispositif d'activité partielle de longue durée, qui « doit permettre au cours des prochains mois de former les salariés tout en préservant leur emploi ». lepoint.fr 2 septembre 2020

Que se passe-t-il en Biélorussie?

Qui veut renverser le président Loukachenko ? - Réseau Voltaire 1er septembre 2020

La presse occidentale met en valeur Svetlana Tikhanovskaïa qu’elle présente comme vainqueur de l’élection présidentielle biélorusse et accable le président sortant Alexandre Loukachenko qu’elle accuse de violence, de népotisme et de trucage électoral. Cependant une analyse de ce pays atteste que la politique de son président correspond bien au souhait des citoyens. Derrière cette querelle fabriquée se dresse le spectre de l’Euromaïdan ukrainien et d’une rupture provoquée avec la Russie.

par Thierry Meyssan

Un des objectifs du coup d’État de l’Euromaïdan (Ukraine, 2013-14) était de couper la route de la soie en Europe. La Chine réagit en modifiant son tracé et en la faisant passer par la Biélorussie. Dès lors, Minsk tenta de se protéger d’une même déstabilisation en menant une politique plus équilibrée vis-à-vis de l’Occident, participant à la fois à des manœuvres militaires avec Moscou et acceptant de fournir des armes à Daesh que Moscou combat en Syrie.

Cependant malgré les tergiversations de Minsk, la CIA intervint à l’occasion de l’élection présidentielle de 2020. Svetlana Tikhanovskaïa défia le président sortant, Alexandre Loukachenko, qui briguait un sixième mandat. Elle n’obtint que 10 % des voix, cria à la fraude et s’enfuit en Lituanie où le Français Bernard-Henri Lévy se précipita pour l’accueillir. Unanime, la presse occidentale dénonça le « dictateur » et laissa entendre que Madame Tikhanovskaïa avait été victorieuse lors du scrutin.

La réalité est beaucoup plus complexe.

En premier lieu, s’il est tout à fait possible que les élections aient été truquées en faveur du président sortant, il est fort peu probable que Svetlana Tikhanovskaïa se soit approchée de la majorité, tant ce qu’elle représente est étranger à la grande majorité des Biélorusses. Depuis une trentaine d’années, un débat parcours le pays à propos de son identité européenne. Est-il culturellement proche de l’Europe de l’Ouest pro-US ou appartient-il à l’Europe slave, pro-Russe ? Sans aucun doute, la réponse est que les Biélorusses sont culturellement des Russes, même si certains d’entre eux ne parlent pas exactement la même langue. Certes, deux petites minorités professent des opinions divergentes : la première se dit « nationaliste » en référence à l’éphémère République populaire biélorusse (1918-19) dont les organes en exil collaborèrent avec les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, puis avec les réseaux Stay-Behind de l’Otan ; la seconde se dit favorable au modèle libéral et à l’Union européenne.

Deuxièmement, s’il y avait un doute sur le rôle des services secrets US dans cette affaire, le surgissement de Bernard-Henri Lévy devrait le lever. Le riche héritier d’une société d’importation de bois précieux a fait carrière en écrivant des essais anti-soviétiques. Vendu par son éditeur comme « Nouveau philosophe », il passe aujourd’hui encore pour un « philosophe ». Il soutint les « combattants de la liberté », c’est-à-dire les mercenaires arabes de la Confrérie des Frères musulmans en Afghanistan contre les Soviétiques, dont leur chef Oussama Ben Laden. Il prit parti pour les Contras au Nicaragua, c’est-à-dire pour les mercenaires sud-américains de John Negroponte armés par l’Iran d’Hachemi Rafsandjani. Il se targue d’avoir été conseiller de presse du président Bosniaque Alija Izetbegovic lorsque l’ancien pro-nazi avait le néoconservateur états-unien Richard Perle comme conseiller politique et le déjà cité Oussama Ben Laden comme conseiller militaire. Je me souviens comment par la suite il m’impressionna en m’expliquant qu’il fallait bombarder Belgrade pour faire tomber le « dictateur » Slobodan Miloševic. Je ne comprenais pas très bien pourquoi le pronazi Izetbegovic était un « démocrate » tandis que le communiste Miloševic était un « dictateur ». Peu importe, revenons en arrière, Bernard-Henri Lévy, désormais surnommé « BHL », apporta son bruyant soutien aux Frères musulmans tchétchènes qui formaient l’Émirat islamique d’Itchkérie sur le territoire russe. Selon un rapport des services extérieurs de la Jamahiriya, il participait à la réunion organisée par le sénateur républicain John McCain au Caire, en février 2011, pour régler les détails du renversement du « régime de Kadhafi » qui était alors cité en exemple par les États-Unis. Les Français furent surpris de le voir annoncer dans la cour de l’Élysée, en lieu et place du ministre des Affaires étrangères, l’engagement de son pays contre le « dictateur » (tous les hommes à abattre -et eux seuls- sont des « dictateurs »). Bien sûr, il était sur la place Maïdan de Kiev lors de la « révolution » de couleur que d’authentiques nazis y menèrent.

Ceci étant posé, les Biélorusses peuvent avoir des griefs contre le président Loukachenko, mais pas contre sa politique. Tous les connaisseurs du pays, qu’ils soient parmi ses soutiens ou parmi ses opposants, admettent que celle-ci colle aux préoccupations des Biélorusses. Tous ceux qui ont approché Alexandre Loukachenko ont été étonnés par son intelligence, son charisme et son incorruptibilité. Ceux qui l’accusaient de prôner le rattachement à la Russie par calcul politique et non par conviction ont admis s’être trompés lorsqu’il maintint sa position malgré les rebuffades de Moscou et l’invraisemblable guerre du gaz qui opposa les deux pays. Tous ont été surpris par ses capacités hors normes qui lui firent menacer le pouvoir du président Boris Yeltsin lorsqu’il proposa l’union avec la Russie.

Le principal reproche que l’on puisse faire au président Loukachenko est d’avoir fait disparaître plusieurs leaders d’opposition ; une accusation qu’il dément vigoureusement, accusant ces personnalités de liens avec des organisations criminelles qui auraient tourné à leur désavantage.

Durant des années, ses opposants l’ont accusé de s’enrichir sur le dos de la nation sans jamais en apporter le moindre indice. Pourtant tous les opérateurs internationaux savent que lorsque la Biélorussie signe un contrat, les rétrocommissions n’excèdent jamais 5 %, contre 10 % pour les USA, 50 % pour la Russie de Yeltsin (ce chiffre est revenu à 10 % sous l’administration Poutine) et 60 % pour l’Iran. Force est de constater que l’homme n’est pas motivé par l’argent. A défaut de corruption, la propagande occidentale commence à l’accuser préventivement de népotisme au profit de son jeune fils, Nikolaï dit « Kolia ».

Le seul reproche que l’on puisse lui faire est de tenir régulièrement des propos antisémites et homophobes -jamais d’avoir soutenu des actes antisémites ou homophobes-. Ce faisant, il est malheureusement dans la continuité des dirigeants de son pays.

Depuis le début de la crise, le président Lukachenko prétend que l’opposition de Svetlana Tikhanovskaïa et de ses alliés est un problème géopolitique Ouest-Est et non pas une querelle politique nationale. Tandis que cette opposition affirme n’être au service d’aucune puissance étrangère.

Outre l’irruption de Bernard-Henri Lévy, plusieurs éléments laissent à penser qu’Alexandre Lukachenko dit vrai.

- Le Groupe d’action psychologique des Forces spéciales polonaises semble extrêmement actif depuis le début de la crise au service de Madame Tikhanovskaïa.

- Des milices néonazies ukrainiennes sont également impliquées.

- Enfin le gouvernement lituanien, qui héberge Svetlana Tikhanovskaïa, également. Cependant aucune trace de l’Union européenne à la différence de l’Euromaïdan ukrainien. Aussi le plus probable est que Washington instrumente les acteurs régionaux (Pologne, Ukraine, Lituanie) contre le monde slave.

Quoi qu’il en soit, le président russe, Vladimir Poutine, vient de constituer une force de réserve, capable d’intervenir en Biélorussie pour soutenir les institutions et le président Lukachenko ; ceci alors que les deux hommes ont entretenu des relations parfois très conflictuelles. Réseau Voltaire 1er septembre 2020

Anatomie de la tentative de coup d’État en Biélorussie par M. K. Bhadrakumar (Indian Punchline 30 août 2020) - Mondialisation.ca, 01 septembre 2020

Le Président russe Vladimir Poutine a révélé dans une interview télévisée le 27 août que les Américains, entre autres, avaient alimenté les troubles en Biélorussie. Il a expliqué que la présence controversée de 33 ressortissants russes (avec un passé militaire) à Minsk à l’approche de l’élection présidentielle en Biélorussie le 8 août, qui a brièvement créé un malentendu entre Minsk et Moscou, était en fait une opération conjointe des services de renseignement ukrainiens et américains.

Les ressortissants russes ont apparemment reçu des offres d’emploi et ont été « simplement attirés là-bas (Minsk), traînés à travers la frontière … de facto, ils ont été amenés avec de faux documents ». De toute évidence, la Russie est en possession de renseignements précis.

Poutine s’est exprimé alors même que le Secrétaire d’État adjoint américain Stephen Biegun concluait ses entretiens avec de hauts fonctionnaires russes à Moscou mercredi. Selon un rapport de VOA, les consultations de Biegun « ont marqué une intensification des efforts américains pour trouver une solution pacifique en Biélorussie ». Le rapport note qu’en se rendant à Moscou, Biegun a « signalé que Washington n’était pas prêt à accepter les efforts de Loukachenko, le Président de la Biélorussie, pour faire de l’impasse électorale une confrontation Est-Ouest qui pourrait déclencher une implication directe de la Russie ».

En d’autres termes, Biegun était en mission de « contrôle des dégâts ». Cela peut être considéré comme un aveu de défaite dans le projet de changement de régime soutenu par les États-Unis en Biélorussie. Il est concevable que les responsables russes aient partagé avec Biegun leurs renseignements concernant l’implication de la CIA. Par la suite, des lectures identiques et précises ont été publiés par les parties russe et américaine sans divulguer aucun détail.

La CIA va donc réduire ses opérations en Biélorussie, du moins pour le moment. Un commentaire intitulé « What’s Next for the Peaceful Uprising in Biélorussie ? » de l’Institut Américain pour la Paix voit « la possibilité d’apporter des changements » en Biélorussie, mais conclut en disant : « Bien qu’il n’y ait aucune garantie de succès, il y a des raisons d’espérer. Au minimum, les Biélorusses ont acquis un nouveau sens de la dignité et une nouvelle croyance dans le pouvoir de l’action collective non violente ».

Cette opération semble avoir été bien planifiée. Sous la houlette de journalistes, les services secrets occidentaux ont déployé des dizaines d’agents spéciaux en Biélorussie. Loukachenko a ordonné leur expulsion. Les « reporters » d’Associated Press, de Radio Liberty et de la BBC ont vu leur accréditation annulée. Un « photo-journaliste » suédois, vraisemblablement un agent des services de renseignement, a été arrêté et libéré sur intervention personnelle de l’Ambassadeur de Suède en Biélorussie et a pris l’avion pour quitter Minsk.

D’après la réaction pro forma de l’Union Européenne jusqu’à présent, Bruxelles a une idée juste de ce qui s’est réellement passé – qu’il y a eu une opération américaine avec la participation active de la Pologne et de la Lituanie (tous deux pays de l’UE) et de l’Ukraine. Il n’est pas surprenant que les déclarations de l’OTAN aient été plutôt agressives. L’OTAN a également commencé des exercices aériens en Pologne et en Lituanie, coïncidant avec les troubles en Biélorussie.

Cependant, les grandes puissances européennes – Allemagne, France, Italie – ne voulaient pas s’empêtrer. Leurs principaux dirigeants ont téléphoné à Poutine pour apaiser les tensions. L’UE a d’abord proposé l’OSCE comme médiateur, mais Moscou a senti que cela pourrait conduire à une entrée clandestine des services de renseignement américains. L’OSCE est dirigée par les puissances de l’OTAN et est sous la coupe des Américains.

L’élément décisif a été l’avertissement sévère du Kremlin selon lequel si l’opération occidentale se poursuivait, la Russie n’aurait d’autre choix que d’intervenir. L’avertissement a été donné au niveau de Poutine, en précisant très clairement que la Russie n’acceptera pas un changement de régime à Minsk pour détourner la Biélorussie dans le camp américain. Moscou a fait valoir ses intérêts particuliers en Biélorussie au regard du droit international. Dans son interview télévisée de jeudi, Poutine a déclaré avec insistance :

« En effet, le Traité de l’Union… et le Traité de Sécurité Collective (OTSC) comportent des articles qui stipulent que tous les États membres de ces organisations, notamment l’État de l’Union, qui ne comprend que deux États – la Russie et la Biélorussie – sont tenus de s’entraider pour protéger leur souveraineté, leurs frontières extérieures et leur stabilité… À cet égard, nous avons certaines obligations envers la Biélorussie, et c’est ainsi que M. Loukachenko a formulé sa question. Il a dit qu’il aimerait que nous lui apportions notre aide si cela s’avérait nécessaire. J’ai répondu que la Russie respecterait toutes ses obligations.

M. Loukachenko m’a demandé de créer un groupe de réserve de personnel chargé de l’application de la loi, ce que j’ai fait. Mais nous avons également convenu que ce groupe ne serait pas utilisé à moins que la situation ne devienne incontrôlable… nous sommes arrivés à la conclusion que maintenant ce n’est pas nécessaire, et j’espère qu’il ne sera jamais nécessaire d’utiliser cette réserve, c’est pourquoi nous ne l’utilisons pas ».

Poutine a clairement indiqué que Moscou est aux côtés de Loukachenko.

Les événements en Biélorussie constituent un moment décisif. La Russie ne permettra pas une autre révolution de couleur de type ukrainien dans le « proche voisinage », visant à l’encercler avec des gouvernements hostiles. Mais l’intervention de Moscou, si tant est qu’elle ait lieu, sera conforme au droit international et découlera d’une invitation du pays concerné.

En d’autres termes, la Russie considère qu’il est de la prérogative des pays de l’OTSC de gérer leurs affaires intérieures sans ingérence extérieure illégale. Cela étant dit, Moscou a invoqué la doctrine de sécurité collective de l’OTSC. Cela crée un précédent. L’OTSC comprend l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan. Un projet de changement de régime parrainé par la CIA dans l’un de ces pays peut se retrouver dans la ligne de mire de l’OTSC. Étant donné que l’OTSC est de facto dirigée depuis Moscou, tout autre projet de changement de régime en Asie Centrale ou dans le Caucase déclenchera des contre-mesures russes.

Plus important encore, Moscou ne sera pas prescriptif. Poutine a soutenu la proposition de Loukachenko de rédiger une nouvelle constitution et d’organiser de nouvelles élections présidentielles et parlementaires, mais la transition doit être légale et ordonnée. Cette approche russe est déjà évidente au Kirghizstan (2005), au Turkménistan (2006) et en Ouzbékistan (2016). Même dans le cas de la Géorgie (2003) et de l’Ukraine (2004 et 2014), la Russie ne s’est pas opposée aux transitions, mais l’Occident les a transformées en contestations géopolitiques pour installer des régimes anti-russes.

Il faut cependant ajouter une mise en garde. Poutine a également souligné que la Biélorussie est un cas très particulier. Il a déclaré, en faisant clairement référence aux États-Unis, que « certaines forces aimeraient voir quelque chose de différent se produire là-bas (Biélorussie) ». Elles voudraient influencer ces processus et apporter les solutions qui conviendraient à leurs intérêts politiques ». La Russie ne peut pas se permettre de voir de tels desseins malveillants réussir en Biélorussie.

Selon les mots de Poutine, « Cette nation est très proche de nous (la Fédération de Russie) et peut-être la plus proche, tant en termes de proximité ethnique, de langue, de culture, de spiritualité que d’autres aspects. Nous avons des dizaines ou probablement des centaines de milliers, voire des millions, de liens familiaux directs avec la Biélorussie ». De plus, la Russie s’approvisionne en Biélorussie pour près de 90% de ses importations de produits agricoles. Mondialisation.ca, 01 septembre 2020


Le 5 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Lu dans un article :

- "Même un homme de Cro-Magnon ne croirait pas à cette supercherie sanitaire, escroquerie médicale, mystification médiatique, tromperie étatique."

Et vous ? Pratiquez-vous l'autocensure, vous réfugiez-vous dans le déni à l'instar des dirigeants du mouvement ouvrier ? Quelle honte sans fond !

Témoignage d'une mère de famille.

Au collège, une enfant est envoyée aux toilettes pour pouvoir respirer - 3 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=PAVdRQe4LdQ&feature=emb_title

Qu'en pensent les bonnes consciences qui prétendent avoir une conscience politique et qui cautionnent cette saloperie immonde ? Il y en a qui avaient reproché aux Gilets jaunes d'être manipulés et de refuser d'inscrire leur combat dans le cadre du mouvement ouvrier, une telle hypocrisie laisse rêveur.

Ici, quand je sors je n'emmène même plus le mouchoir que je ne mettais qu'arrivé à un barrage de police. Il y a quelques jours, par curiosité je me suis rendu jusqu'à l'ancien octroi situé à la limite de l'Etat du Tamil Nadu et du Territoire de Pondichéry. Je suis passé sans m'arrêter, quatre policiers vautrés dans des fauteuils en platique en retrait de la route somnolaient ! Même pas peur !

Décidément, c'est à croire que les Indiens sont moins arriérés que les Français. Cela en dit long sur l'état de décomposition de la société en France, de ses élites, de ses intellectuels, des classes moyennes et du mouvement ouvrier...

La prochaine causerie sans doute lundi.

Les articles mis en ligne :

DOCUMENT. L’ONU se prépare-t-elle au « second verrouillage de la société » ? Mesures d’oppression dans le monde entier, obéissance et acceptation… (04.09)
DOCUMENT. La démocratie libérale à l’heure du despotisme sanitaire (03.09)
DOCUMENT. Dr Jean-Michel Crabbé. Adressé au Conseil de l’Ordre des Médecins du Doubs. (27.08)
DOCUMENT. Dr Jean-Michel Crabbé. Adressé au Conseil de l’Ordre des Médecins du Doubs. (13.05)
DOCUMENT. Qu’est-ce que le Covid-19, SARS-2. Comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ? La campagne de peur n’a aucun fondement scientifique (02.09)
DOCUMENT. Le « Narcissisme collectif » et la « Triade noire »: Ceux qui protestent contre le discours « officiel » de Covid-19 sont catégorisés comme des « psychopathes ». (31.08)
DOCUMENT. Coronavirus: un délire collectif? (31.08)
DOCUMENT. Le délire collectif de la covid-19 (07.08)

DOCUMENT. Qui veut renverser le président Loukachenko ? (01.09)
DOCUMENT. Anatomie de la tentative de coup d’État en Biélorussie (01.09)
DOCUMENT. Cachez-moi ce dessein que je ne saurais voir (31.08)


Le 8 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Depuis hier matin on a repris les travaux chez moi, il y en aura pour la semaine. Je supervise les travaux et j'y participe pour limiter les dépenses, tout ce que j'économise je le reverse à ceux qui m'entourent. On remplace le bois des auvents par des tubes en alliage d'aluminium, il a donc fallu tout démonter parmi les arbres et les plantes grimpantes. Ensuite il y aura de la peinture à faire avant la mousson.

Donc l'actualisation du portail sera ralentie.

La causerie du mois d'août est disponible au format pdf, 224 pages, vous parlez de vacances !

Le régime ploutocratique est incompatible avec nos besoins sociaux et nos aspirations démocratiques, il faut se mobiliser, se soulever, le renverser.

Les nerfs des uns et des autres sont mis à rude épreuve, raison de plus pour rester calme. On se détend, tranquille, on aura bien le temps de mourir un jour ! Essayons d'être lucide, rassemblons toute notre énergie, mobilisons toutes nos facultés, montrons que nous avons les capacités de décider de notre sort, de gouverner, nous devons revendiquer le pouvoir et anéantir les capacités de nuisance de nos ennemis pour conquérir notre liberté.

C'est un combat politique, c'est donc sur ce terrain-là qu'il faut mener notre combat : A bas Macron et son gouvernement despotique ! A bas la Constitution et les institutions antidémocratiques de la Ve République qui orchestrent et légitiment la tyrannie sanitaire, la précarité sociale généralisée, nous privent du peu de liberté qu'il nous restait.

Depuis le début des années 60 la Constitution et les institutions de la Ve République ont inspiré ou ont servi de modèle aux despotes de tous les continents, qu’en fin de parcours elles incarnent le totalitarisme en France est conforme à leur nature.

Leur contenu démocratique était frelaté dès le départ. Elles s’accommodèrent de la lutte de classe du prolétariat aussi longtemps que la classe dominante ne disposait pas des moyens de la museler, de la neutraliser au profit d’une dictature ouverte impitoyable que nous voyons se développer sous nos yeux.

Le basculement en bloc des représentants des classes moyennes et de la classe ouvrière dans le camp de la réaction à partir du début des années 80, préfigurait ce qui allait se produire à plus ou moins longue échéance sur fond d'aggravation de la crise du capitalisme. Au lieu de se radicaliser à gauche et de rompre avec la social-démocratie dégénérée et le stalinisme, avec les institutions de la Ve République, l'avant-garde de la classe ouvrière continua de les courtiser, elle se droitisa davantage au point aujourd'hui de soutenir les mesures liberticides imposées par Macron à l'ensemble du peuple.

La chute de la IVe République et le coup d'Etat de 1958 préfiguraient ce qui allait se produire par la suite... Un demi-siècle plus tard, au lieu d'expliquer patiemment aux masses ce qui se tramait dans leur dos ou qu'une terrible menace planait sur leurs libertés individuelles et collectives, nos dirigeants feront preuve d'une incurie politique incroyable en niant l'existence de ce danger qu'incarnait dorénavant le tentaculaire pouvoir économique et politique acquis par l'oligarchie internationale dirigée par sa branche anglo-saxonne, leur donnant le pouvoir d'imposer leur volonté ou leur stratégie politique totalitaire aux chefs d'Etat, aux institutions des pays de l'ensemble de la planète, et 193 d'entre eux sur quelque 200 confineront leur population en 2020.

Ce sont les institutions nationales et la Constitution de chaque pays qui ont permis que ce coup d'Etat mondial de l'oligarchie se réalise selon ses plans. Donc n'écoutez pas ceux qui vous disent que le pouvoir serait ailleurs et qu'il serait inattaquable parce qu'inaccessible. En France, renverser les institutions de la Ve République, abolir la Constitution est à la portée des travailleurs de la classe ouvrière et des classes moyennes unis pour fonder une République sociale débarrassée du capitalisme.

Ceux qui affirment le contraire veulent vous démoraliser, briser votre résistance, ils passent leur temps à collaborer avec les représentants du régime. Ce sont des agents de l'oligarchie, des traîtres ou des ignares, des charlatans, des escrocs qui ont lié leur propre sort à celui du régime, au nom du socialisme, du communisme, du trotskysme dont ils n'ont cessé d'être les fossoyeurs.

45 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

La résistance contre la tyrannie s'organise.

Vidéo. Covid-19 : Vingt-quatre professionnels de santé belges témoignent. - 04 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=dt7V5lnJ--c

Le site du collectif de soignants belges Transparence Coronavirus :

www.transparence-coronavirus.be

- La justice casse l'obligation du port de masque à Lyon et Villeurbanne - lepoint.fr 4 septembre 2020

À Lyon et à Villeurbanne, l'obligation de porter un masque partout n'aura pas fait long feu. Quatre jours seulement après sa signature, l'arrêté du préfet du Rhône imposant le port du masque en extérieur sur tout le territoire de Lyon et de Villeurbanne vient d'être suspendu par le tribunal administratif.

En clair, le tribunal demande que le port du masque ne soit obligatoire que sur les artères très fréquentées et aux heures de pointe.

« Il est heureux qu'en France, il y ait des juridictions qui puissent censurer l'administration ! » s'est réjoui l'avocat des plaignants, Me Sébastien Bracq, relevant que les tribunaux de Pau et de Strasbourg avaient également pris la même décision. lepoint.fr 4 septembre 2020

Les enragés se déchaînent : Il faut les arrêter !

- Qu'est-ce qu'un super-contaminateur ? Bababam 5 sept. 2020

- Coronavirus : Olivier Véran prévoit une hausse des admissions en réanimation "dans les quinze prochains jours" Franceinfo 5 sept. 2020

- Covid-19 chez les enfants : voici les symptômes qui doivent alerter selon une nouvelle étude Yahoo 5 sept. 2020

- Coronavirus: en Allemagne, une des plus grandes maisons closes met la clef sous la porte Capital 5 sept. 2020

- Un dangereux virus se cache dans ces six applications Android 20minutes.fr 5 sept. 2020

Coronavirus : cette fête géante qui scandalise l'Écosse - LePoint.fr 5 sept. 2020

Un manoir a accueilli une fête rassemblant 300 personnes. Les autorités crient à l'irresponsabilité, et demandent des poursuites, rapporte « The Guardian ». LePoint.fr 5 sept. 2020

- Australie : Une femme enceinte arrêtée chez elle à cause d’un message anti-confinement sur Facebook - aubedigitale.com 2 septembre 2020

Les policiers ont confisqué des appareils dans un autre exemple de tyrannie flagrante.

Des images vidéo choquantes de Melbourne, en Australie, montrent une femme enceinte arrêtée devant ses enfants dans sa propre maison pour le « crime » d’avoir organisé une manifestation anti-confinement sur Facebook.

Le clip montre la police entrant dans la maison de la femme et lui présentant, ainsi qu’à son mari, un mandat de perquisition.

La femme est ensuite informée qu’elle est en état d’arrestation pour « provocation » avant d’être menottée.

Elle explique qu’elle est enceinte et qu’elle doit passer une échographie dans une heure, mais les policiers ne se découragent pas et lui disent qu’elle est arrêtée pour une publication sur Facebook dans laquelle elle a organisé une manifestation contre le confinement.

La femme explique qu’elle serait heureuse de supprimer sa publication, mais l’agent lui dit « vous avez déjà commis l’infraction » et lui dit ensuite que le mandat de perquisition autorise la police à « saisir tous les ordinateurs, tous les appareils mobiles que vous avez ».

« Je n’ai pas réalisé que je faisais quelque chose de mal, c’est ridicule », se plaint la femme en se mettant à pleurer.

Cette femme n’est pas la première Australienne à voir sa maison perquisitionnée et à être arrêtée pour avoir organisé une manifestation dans une soi-disant démocratie.

Comme nous l’avons souligné précédemment, les autorités ont également donné à la police le pouvoir de retirer les enfants de la garde de leurs parents afin de garantir le respect des règles relatives au coronavirus.

La police de Melbourne a également annoncé qu’elle utiliserait des drones de surveillance pour attraper les personnes qui ne portent pas de masque et pour suivre les voitures qui circulent à plus de 5 km de chez elles.

Les autorités ont également reçu le pouvoir de pénétrer chez les gens sans mandat et d’effectuer des contrôles ponctuels de mise en quarantaine.

Pendant ce temps, une autre vidéo en provenance d’Australie montre un homme arrêté pour s’être trouvé dans le jardin de son voisin et avoir refusé de présenter une pièce d’identité.

Grâce aux lois sur le coronavirus, la liberté est officiellement morte en Australie. aubedigitale.com 2 septembre 2020

Totalitarisme. 1 mort en 3 mois et ils continuent de terroriser et réprimer la population.

- Nouvelle-Zélande: premier mort du coronavirus en plus de trois mois - AFP 4 septembre 2020

La Nouvelle-Zélande, qui semblait il y a quelques semaines avoir totalement maîtrisé l'épidémie de coronavirus, a enregistré vendredi son premier décès dû au Covid-19 en plus de trois mois.

"Je reconnais l'anxiété que peuvent éprouver les Néo-Zélandais à la suite de cette nouvelle", a déclaré vendredi dans un communiqué le directeur général de la santé, Ashley Bloomfield.

Le patient décédé vendredi, le premier depuis le 24 mai, serait la plus jeune victime du coronavirus dans cette nation du Pacifique.

Les autorités sanitaires n'ont cependant pas précisé s'il souffrait de problèmes médicaux pré-existants.

"Les nouvelles d'aujourd'hui renforcent l'importance de notre vigilance vis-à-vis du Covid-19 et des très graves conséquences qu'il peut entraîner", a-t-il souligné.

Le port du masque est obligatoire dans les transports en commun dans tout le pays. AFP 4 septembre 2020

Relevé dans différents articles sur le Net.

LVOG- D'une guerre à l'autre, un siècle plus tard, les mêmes réflexes conditionnés.

- Jusqu’alors, pour moi comme pour des millions d’autres, les choses se présentaient d’une façon on ne peut plus simple : le pays était en guerre, il fallait prendre les armes pour le défendre. Cela me semblait si naturel que je n’avais même pas conscience d’accomplir un devoir. Mais à mesure que les hostilités se prolongeaient, que les horreurs s’accumulaient, on ne pouvait s’empêcher de se poser des questions. Pourquoi cette guerre ? Et ces massacres insensés sans proportion aucune avec les fins qu’on se proposait. Quel était le sens de tout cela ?

LVOG - Voilà ce que cautionne unanimement le mouvement ouvrier.

- Nous savons maintenant que rien de tout cela, les masques, les « cas/infections », la quarantaine, le confinement, la vaccination ou toute autre mesure répressive n’ont rien à voir avec le virus COVID-19. Ce sont des moyens et des instruments permettant au Nouvel Ordre Mondial (NOM) de « former » la population à l’obéissance totale et au contrôle par la superpuissance invisible, ou l’état « profond et sombre ». L’OMS joue un rôle clé dans ces plans infâmes, car elle est toujours considérée par la plupart des gens et des gouvernements comme une autorité, en ce qui concerne la santé mondiale qui, malheureusement, a cessé de l’être il y a des décennies.

Et la population se déplace comme des zombies parce que les autorités le lui ordonnent, sous la menace d’amendes – contre tout bon sens. Mais les « zombies » ont été privés de tout sens commun pour pouvoir résister en grand nombre contre les mesures imposées. Ces restrictions, et bien d’autres contraintes, sont maintenant en place jusqu’au moins le 1er octobre 2020. C’est à peu près le début de la saison de la grippe 2020 / 2021 qui sera opportunément associée avec le COVID-19 – et justifiera un autre verrouillage de la société – ceci sans parler de la vaccination de masse, contre le COVID-19 et la grippe. Quarantaine, destruction des moyens de subsistance – une chute économique vers plus de pauvreté, plus de misère, plus de privation, plus de famine – plus de mort. Il ne s’agit pas de la mort causée par la grippe, mais la mort résultant de la structure socio-économique [qui s’effondre]. C’est exactement ce dont rêvent les fanatiques de l’eugénisme. Une anéantissement de la population mondiale.

Le port forcé du masque est un élément important de la Grande transformation ou de la Grande remise à zéro, prévue par le FMI et le Forum économique mondial (FEM), qui sera officiellement « déployée » à Davos, en Suisse, en janvier 2021. Il s’agit d’un programme de rééducation par les rituels. Le port du masque est un rituel sur l’acceptation par le comportement. C’est un rituel d’initiation à l’obéissance. Plus vite et plus facilement vous acceptez le masque, plus vite vous êtes accepté – accepté dans la société. La plupart des gens veulent être acceptés. Cela les met à l’aise, peu importe à quel point cette acceptation est inconfortable et basée sur des mensonges.

Ensuite, il y a les quelques personnes qui résisteront, qui ne se soucient pas de l’acceptation. Ils résistent avec acharnement. Le système de la tyrannie fait en sorte qu’ils soient socialement discriminés et exclus de la « société » ; ce sont des laissés-pour-compte de la société. Ils sont considérés comme des monstres, des propagateurs de maladies, discriminés, exclus. C’est le vieux « diviser pour mieux conquérir ». Votre ami de longue date est soudainement devenu votre ennemi. Des familles, des groupes, des clubs, des sociétés entières sont divisés et amenés à se mépriser les uns les autres – division selon la « ligne rituelle ».

C’est étonnant comment cela fonctionne pour les masques. Attendez de voir comment cela fonctionne pour la vaccination – un autre rituel est en préparation, car nous ignorons ce qui nous attend dans les 5 à 10 prochaines années. Pensez à l’Agenda ID2020 et à l’Agenda 2030 – sous le déguisement onusien des objectifs de développement durable.

LVOG - Hormis les très âgés, la quasi totalité des masses sont plus ou moins familiarisées avec Internet. Il y a un ou plusieurs ordinateurs ou téléphones connectés dans chaque foyer. Il paraît qu'elles y passent un certain temps quotidiennement. Ce que je viens d'énumérer ce sont des faits incontestables, on est bien d'accord. Et après on vient nous dire quoi, que les masses seraient incapables de se servir d'un clavier, qu'elles ne connaîtraient pas les moteurs de recherche, qu'elles ignoreraient qu'elles pouvaient taper un ou quelques mots clés pour trouver des documents relatifs à un sujet particulier, étrange, non, ou là aussi on nous prend pour des cons.

- "Une sidération engendrée par un sentiment de peur".

LVOG - S'il y a une limite à la peur, il ne semble pas y en avoir à la connerie humaine pour sortir un truc pareil, ou alors il faudrait admettre que les masses seraient toujours aussi arriérées qu'autrefois, mais là on s'empresse de nous reprendre, non, non, ce n'est pas le cas. Bref, c'est à ne plus rien y comprendre ou c'est l'état de ceux qui ont affirmé un truc pareil et qui projettent sur les masses leur propre ignorance. Cette explication est déjà plus cohérente ou permet de mieux cerner dans quelle confusion les uns et les autres baignent ou s'y complaisent.

La propagande officielle, la fabrique du consentement, la manipulation des consciences, quoi, mais cela n'existe pas, cela n'a aucune influence sur les masses, voilà ce que les dirigeants du mouvement ouvrier ont inoculé à leurs militants et aux travailleurs qui les ont écoutés faisant le jeu de la réaction ou pavant la voie au totalitarisme.

Tribune libre.

- De l’instrumentalisation du terrorisme à l’orchestration de la terreur virale - algeriepatriotique.com 21 août 2020

Par Mesloub Khider – Les attentats du 11 septembre 2001 avaient constitué le prétexte à la mise en œuvre de nouvelles reconfigurations politiques et géostratégiques impulsées par l’hyperpuissance américaine. Sur fond de sidération mondiale suscitée par la psychose généralisée, dès le lendemain des attentats, les autorités américaines avaient déployé promptement leur stratégie machiavélique : mobilisation de la population derrière l’état de guerre, renforcement de l’appareil répressif de l’Etat, réaffirmation de la puissance de l’Amérique matérialisée par une politique interventionniste impérialiste tous azimuts opérée au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste. De fait, immédiatement après les attentats du 11 septembre 2001, les instances politiques et médiatiques américaines ont été embrigadées pour enrôler la population dans les entreprises guerrières impérialistes. Tous les pays stratégiques du tiers-monde étaient susceptibles d’être envahis, toutes les nations économiquement concurrentes, torpillées, toutes les puissances militaires potentiellement rivales, neutralisées.

Dans le même temps, au niveau national, en un temps record, l’appareil politique a mis en œuvre ses plans de durcissement de la machine judiciaire et policière répressive, sa nouvelle législation sécuritaire liberticide. Du jour au lendemain, la crise terroriste (aujourd’hui on parle de crise sanitaire du Covid-19) a servi de prétexte à l’aggravation de la récession économique et au démantèlement des budgets des programmes sociaux. Tous les fonds étaient désormais alloués à l’effort de guerre impérialiste et à la sécurité nationale. La promptitude avec laquelle ces mesures ont été adoptées révèle qu’elles avaient été ficelées depuis longtemps, préparées et planifiées par les cercles restreints opaques américains (à l’instar des mesures antisociales et liberticides décrétées actuellement dans la majorité des pays).

Sur le plan international, le dessein réel de la guerre n’était pas tant l’anéantissement du terrorisme islamiste que la réaffirmation de la domination militaire américaine sur tout le globe, implantée au lendemain de l’effondrement du bloc impérialiste rival soviétique. Durant deux décennies, les Etats-Unis ont ainsi mené plusieurs opérations militaires d’envergure : contre l’Irak, l’Afghanistan, la Serbie, le réseau Al-Qaïda, etc. Dans chacune de leurs interventions impérialistes, les Etats-Unis avaient contraint leurs alliés, telles la France, la Grande Bretagne, l’Allemagne, à s’enrôler sous le drapeau américain ; l’ensemble des pays du monde à se plier au calendrier géostratégique étasunien, à s’incliner devant la volonté de l’Oncle Sam, à se soumettre devant les intérêts de la grande puissance victorieuse de la Guerre froide.

Cependant, ces dernières années, le terrorisme islamiste étant devenu inopérant en matière de manipulation idéologique, pour avoir épuisé toutes ses potentialités de dévoiement politique et d’enrégimentement caporalisée, les classes dominantes (occidentales) se sont résolues à s’offrir un autre ferment terrorisant, le coronavirus, pour passer à un degré supérieur en matière de gouvernance par la manipulation et la terreur de la population, exercée dans le cadre du nouvel ordre mondial chaotique menacé d’éclatement sous l’effet de la récession économique.

Sans conteste, le Covid-19 signe l’entrée des Etats occidentaux, en particulier, et des pays du tiers-monde, en général, dans l’ère du despotisme, autrement dit de l’extinction de la «démocratie» représentative. Désormais, toute la planète, depuis le simple village jusqu’à la grande mégalopole, en passant par toutes les «maisons» sont soumis aux lois d’exception, à l’état de siège, au couvre-feu, à la surveillance technologique. A la dictature du confinement. Au confinement de la démocratie. Au nom de la prétendue lutte contre le virus, l’ensemble des Etats du monde, dans une action concertée, ont décrété des mesures de confinement pénitentiaire, des recommandations sanitaires spécieuses, de despotiques prescriptions médicales suspectes d’inanité. Le coronavirus devient le catalyseur de l’aggiornamento planétaire et l’agent dérivatif de divertissement de la foule mondiale, plongée dans la psychose généralisée, orchestrée par les médias inféodés aux puissances financières et étatiques.

Quelles ont été les véritables motivations de la tactique politique de confinement total apparemment préjudiciable aux intérêts économiques et sanitaires des pays ? Aujourd’hui, il est clairement établi, eu égard aux conséquences catastrophiques provoquées par la décision d’arrêter la production (du moins certains secteurs industriels) et la commercialisation (secteurs tertiaire et quaternaire), de mettre en quarantaine des centaines de millions de travailleurs (producteurs de valeur), qu’il s’est agi là d’une véritable volonté de torpiller l’économie, chapeautée par quelques factions du grand capital financier. Cette entreprise de torpillage répond a priori à une réaction mécanique du capital actée officiellement par les gouvernements.

A première vue, certes, les intérêts ayant présidé à la tactique de confinement généralisé ont semblé opposer aux intérêts vitaux des bourgeoisies nationales. Mais, ils sont conformes aux intérêts du grand capital international. Une chose est sûre : le cataclysme économique actuel ne doit rien au hasard. Ce désordre apparent s’inscrit dans la stratégie de la théorie du «chaos constructif» (ou «destruction créatrice», selon l’expression de Joseph Schumpeter) visant la mise en œuvre accélérée de la gouvernance mondiale du grand capital financier (occidental), dans le cadre d’une économie dématérialisée, numérisée, ubérisée, assujettie au télétravail et l’e-commerce (économes en coûts de locaux, en facturations diverses liées à l’entretien, électricité, eau, assurance, frais de repas et de transport dus aux salariés, etc.). L’ère de l’économie «physique» et réelle est révolue. Bienvenue dans l’économie dématérialisée et virtuelle à entreprises évanescentes, à réglementations salariales disloquées, à avantages sociaux démantelés, à rémunérations drastiquement comprimées.

Faut-il mentionner que le camp sino-russe ne compte pas assister impuissant à cette tentative de reconfiguration du monde actionnée par le grand capital occidental, au plan économique comme au plan militaire ? A cet égard, dans un contexte de crise économique aiguë et de menace d’éclatement imminent de la «bulle financière», la pandémie du Covid-19 a constitué, pour le grand capital financier, une opportunité inespérée pour accélérer le processus de purgation de l’économie et de concentration de la propriété des moyens de production, de commercialisation et de gouvernance mondialisée. Par cette opération de purge économique exécutée à la faveur du confinement généralisé où les populations ont été mises à la disette et les grandes entreprises généreusement subventionnées, le grand capital financier escompte relancer l’économie à son profit, après avoir éliminé les secteurs et les entreprises insuffisamment adaptés à la globalisation contemporaine, ou plus exactement instaurer une économie de guerre destinée à neutraliser l’adversaire économique extérieur (le camp rival chinois), et surtout l’ennemi intérieur (le prolétariat) par la répression de toute velléité de résistance populaire. Ce maquignonnage économique, effectué dans une période de paix, donc sans conflits armés, a pour dessein la concentration monopolistique des moyens de production et de commercialisation, mais également la destruction simultanée d’une grande partie des forces productives (comme lors des deux Guerres mondiales) et d’une partie des capitaux financiers superflus, afin d’éviter la réitération rapide de la constitution de la «bulle financière» susceptible de compromettre la reconstruction économique numérisée.

Aujourd’hui, le manque de réactivité des Etats devant la pandémie du Covid-19 s’éclaire à la lumière de l’actualité a posteriori moins dramatique en matière de mortalité que les prévisions catastrophistes annoncées par les médias inféodés aux puissances financières (l’Impérial College London annonçait insidieusement, au début de l’épidémie, pour créer un climat de psychose légitimant les mesures de confinement et d’arrêt de l’économie, des millions morts).Tout s’était passé comme si toutes les conditions avaient été délibérément réunies pour favoriser la tactique de confinement total avec son corollaire d’arrêt de l’économie. Ces «défaillances» sanitaires programmées, illustrées notamment par les carences en matière d’urgence médicale et l’absence d’équipements médicaux, laissent subodorer une stratégie du chaos planifiée, fomentée par les différents gouvernements inféodés aux puissances financières.

L’absence d’adoption de mesures sanitaires précoces, telles que les contrôles aux frontières et aux aéroports, la défaillance médicale illustrée par les pénuries des équipements (masques, tests, gants, gels hydro-alcooliques, respirateurs) semblent constituer des preuves de la volonté des pouvoirs de favoriser cette refondation du monde par la destruction de pans entiers de l’économie considérés comme obsolètes. Cette refondation économique est devenue primordiale pour le grand capital mondial en proie à une crise de revalorisation. Elle s’inscrit dans la politique de financiarisation de l’économie. Pour pérenniser sa domination des classes au moyen d’une restructuration du capitalisme, le grand capital est résolu à sacrifier des pans entiers de l’économie planétaire et à réduire à la misère des centaines de millions de personnes. Quitte à financer la «nouvelle économie», reconfigurée selon les intérêts du capital financier, par les Etats, autrement dit avec l’argent des contribuables (des travailleurs) et l’endettement (payé également par les futures générations de travailleurs au moyen de l’augmentation des impôts).

Par la faute de l’application de cette mesure de confinement totalitaire, même les pays sous-développés et émergents, quoiqu’épargnés par la pandémie du Covid-19, ont subi les conséquences dramatiques de l’arrêt mondial de l’économie, par la précipitation de centaines de millions de personnes dans le chômage endémique et la misère. Indéniablement, à la faveur de la pandémie du Covid-19 à la gestion sanitaire délibérément calamiteuse, le monde (occidental) a basculé de la démocratie formelle au totalitarisme réel. Que le contexte viral soit l’œuvre de la nature ou d’une main invisible d’un laboratoire, importe peu. Assurément, le virus existe. Les Etats s’en servent comme arme de terrorisation et de neutralisation des populations, aujourd’hui condamnées à vivre sous la terreur sanitaire pour les soigner de leur «maladive propension subversive», très virulente ces dernières années. Ainsi, le virus aura permis d’appliquer diligemment et intelligemment la stratégie de confinement, cette forme d’internement carcéral de la population mondiale, prémices à la militarisation de la société et à l’enrégimentement guerrier.

De surcroît, toutes les classes dirigeantes ont entrevu l’opportunité offerte par la pandémie, notamment la possibilité d’étriller les archaïques Constitutions, les libérales règles politiques et les lois sociales protectrices, devenues des entraves à la nouvelle gouvernance despotique dictée par la situation de crise économique systémique mondiale, vectrice de menaces d’explosions sociales. De manière générale, en période de crise instrumentalisée avec cynisme par les classes dominantes, l’état de nécessité exonère toutes les transgressions juridiques, toutes les illégalités politiques, toutes les violations des libertés, tous les crimes sociaux perpétrés contre la population par l’Etat.

Aujourd’hui, à la faveur de la crise sanitaire du Covid-19, au nom du prétendu sauvetage de la santé de la population, les gouvernants mutilent tous les droits politiques et sociaux de cette même population. Incontestablement, le monde est entré dans l’ère de la gouvernance par le terrorisme viral, devenu l’unique modalité d’administration totalitaire, indispensable aux classes possédantes dans cette période de récession économique travaillée par la recrudescence de la lutte des classes. En tout état de cause, la promptitude avec laquelle l’ensemble des Etats ont mis en œuvre leur stratégie contre-insurrectionnelle, matérialisée par les mesures de confinement et d’état de siège, les spécieuses prescriptions sanitaires comminatoires, révèle les intentions réelles de cette guerre sanitaire, menée non pas contre le virus mais contre toutes les réglementations politiques et sociales libres, contre toutes les institutions sociales et législations protectrices encore en vigueur ; en un mot, contre les peuples, les travailleurs, le prolétariat, dans le cadre de la reconfiguration despotique d’un nouvel ordre économique.

Si la pandémie finira par s’éteindre, en revanche toutes les lois liberticides et antisociales votées à l’occasion de cette crise sanitaire du Covid-19 s’implanteront définitivement dans le paysage politique et social de la société, désormais tailladée par la paupérisation absolue et garrottée par le pouvoir absolu du grand capital financier. Sans conteste, le Covid-19 aura été le prétexte à l’instauration d’une guerre contre-insurrectionnelle, menée par les Etats pour tenter de contenir les tempêtes subversives sociales provoquées par la récession économique. Au nom de la lutte contre le virus, il s’agit en vrai d’une guerre de classe contre l’ensemble des peuples, contre les travailleurs, leurs droits, leurs institutions, leurs protections sociales, mis en place depuis plus d’un siècle. Il s’agit ni plus ni moins d’un retour à la tyrannie de l’époque de la monarchie absolue, dépourvue d’institutions démocratiques, d’une volonté de démantèlement de toutes les règles de «l’Etat de droit», devenues inopérantes pour contenir la guerre de classes en germination, en fermentation.

Ainsi, nous vivons la fin d’un monde capitaliste, celui de la démocratie bourgeoise avec ses Parlements, son Etat de droit, ses pouvoirs législatifs désormais superflus car les lois et les mesures sont dictées directement par le pouvoir exécutif (ou plus exactement le grand capital), sans être ratifiées par les représentations nationales, autrement dit les Assemblées nationales. Nous assistons à la fin de la souveraineté du pouvoir judiciaire désormais dépouillée de son apparente et illusoire indépendance, à la mort de la liberté d’expression et de la presse, illustrée par la disparition des fonctions de contrepoids correctif démocratiques défendues par des instances de régulation libres, désormais menacées de disparition car encombrantes en période de guerre de classes. Cela dévoile également le caractère illusoire de la démocratie bourgeoise. En effet, la démocratie est la feuille de vigne derrière laquelle se dissimule la dictature du capital. Dans l’histoire, démocratie et dictature, deux modes de régulation politique au sein du même système de production capitaliste, se succèdent alternativement, au sein du même Etat, au gré des conjonctures économiques et sociales.

La stratégie appliquée à la faveur de la pandémie est avant tout une stratégie totalitaire de contre-insurrection pérenne. Elle ne tolère aucun contre-pouvoir, aucune opposition politique, aucune protestation sociale, aucune grève ouvrière, aucun parti révolutionnaire, aucun «citoyen» subversif, aucune voix discordante, aucune urne électorale, sinon l’urne funèbre des cadavres décimés par la répression ou la guerre, toutes deux appelées à se généraliser, à s’institutionnaliser, à occuper l’espace public déserté par la démocratie, la prospérité économique, le progrès social.

De manière globale, d’un point de vue géostratégique, dans cette période marquée par des tensions commerciales exacerbées, pour l’Occident l’infléchissement vers le totalitarisme moderne est motivé par deux raisons capitales. D’une part, pour une raison endogène, autrement dit pour des motivations de sécurité intérieure. En effet, pour affronter l’inéluctable subversion intérieure prévisible, provoquée par la dépression économique, l’Occident blinde son Etat, caporalise sa gouvernance. D’autre part, pour une raison exogène, autrement dit pour des mobiles impérialistes. Effectivement, pour préparer l’imminente guerre extérieure contre le nouvel ennemi nommément désigné, en l’espèce le dragon économique chinois, nouvelle puissance incontestable économique, l’Occident enrégimente sa population. Dans les deux cas, s’impose la militarisation de la société pour tout à la fois neutraliser et enrégimenter la population, pour transformer chaque «citoyen» en soldat dans la perspective de l’imminente conflagration militaire généralisée.

Ce n’est pas la première fois que l’Occident joue à l’apprenti sorcier. A de nombreuses reprises dans son histoire meurtrière, pour résoudre ses contradictions, il a activé des foyers de déstabilisation contagieuse létale. Il ne faut pas oublier que l’Europe moderne capitaliste est devenue une machine à produire de la destruction tous azimuts dès la fin du XVIIIe siècle, illustrée notamment par le processus de déshumanisation de ses habitants arrachés à leur société villageoise millénaire fondée sur la solidarité, destruction amplifiée par les deux guerres mondiales (le qualificatif «européennes» serait plus approprié), et les totalitarismes fascistes et staliniens (tous deux européens). De même, il ne faut pas oublier que l’Occident «civilisé» a été le laboratoire du terrorisme. Le terrorisme est une invention occidentale. En effet, le terrorisme aveugle comme la guerre génocidaire sont l’apanage des sociétés occidentales capitalistes. Avant de revêtir les oripeaux de l’islamisme fabriqués par ailleurs par les puissances impérialistes occidentales, le terrorisme s’est longtemps, de la Russie tsariste, en passant par la France de la IIIe République et des années 60, l’Italie, l’Allemagne, les Etats-Unis d’Amérique et l’Irlande du XXe siècle, les mouvements sionistes européens (ashkénazes) des années 1930-40, attifé du costume civilisé occidental.

Assurément, à la faveur de la pandémie du coronavirus, la fragilité du monde actuel apparaît avec netteté. L’enjeu socioéconomique et politique est autrement plus dangereux que le coronavirus. In fine, le bilan sera plus dramatique après la crise sanitaire et le confinement. Le nombre de morts attendu sera autrement plus important que celui du virus, morts occasionnés à la fois par les famines et les guerres.

Quoi qu’il en soit, la particularité de la crise économique actuelle, dévastatrice par son ampleur, outre le fait d’être présentée mensongèrement comme avoir été provoquée par le Covid-19 – pauvre virus, devenu le bouc émissaire providentiel, voir notre article publié sur Algeriepatriotique le 27 juillet 2020 – est d’apparaître comme totalement étrangère aux contradictions internes du capital. Cette mystification permet à l’Etat (de tous les Etats) de dissimuler les causes profondes de la crise, mais elle lui offre surtout une occasion inespérée de décréter, sous couvert de lutte contre la pandémie du Covid-19, des mesures liberticides, des recommandations coercitives, promulguées avec l’assentiment de la population tétanisée par la terreur virale distillée par les médias inféodés aux puissants. Tout se passe comme si, avant la survenue de l’épidémie, le monde capitaliste filait le parfait amour avec la croissance économique, le plein emploi, l’échange commercial pacifique, l’écoulement fluide des marchandises, la prospérité sociale. Tout allait bien dans le meilleur des mondes du système capitaliste.

En résumé, on vivait dans le capitalisme parfait, comme disaient autrefois les économistes libéraux. Puis, comme à l’époque des impuissantes sociétés primitives dominées par les forces de la nature, soudainement l’irruption d’un microscopique et invisible virus a totalement ébranlé la plus grande civilisation scientifique et technologique de l’histoire de l’humanité, le monde moderne capitaliste qui, soit dit au passage, dépense 2 000 milliards de dollars chaque année dans l’achat de l’armement pour combattre on ne sait quel ennemi «dans cette période censément de paix», mais est incapable d’aligner une armée de médecins et de personnels soignants dotés d’équipements sanitaires pour nous protéger d’un minuscule virus. Ainsi, sans l’envahissement du barbare virus, la civilisation capitaliste aurait poursuivi éternellement sa lune de miel avec la croissance, la prospérité, sa nature pacifique, humaniste, antiraciste, écologique.

Même un homme de Cro-Magnon ne croirait pas à cette supercherie sanitaire, escroquerie médicale, mystification médiatique, tromperie étatique. algeriepatriotique.com 21 août 2020




DEUXIEME PARTIE.

Totalitarisme. La stratégie de la terreur et de la peur. Tyrannie climato-sanitaire-policière.

- Marine Le Pen veut "réveiller" les Français sur l'insécurité - AFP 6 septembre 2020

- Les chiffres de la sécurité seront publiés chaque mois à partir d'octobre, annoncent Gérald Darmanin et Marlène Schiappa - Franceinfo 6 septembre 2020

- Insécurité: Yannick Jadot "extrêmement inquiet" de la "banalisation de la violence" - AFP 6 septembre 2020

Yannick Jadot, député européen EELV, s'est dit dimanche "extrêmement inquiet d'une forme de banalisation de la violence", accusant Emmanuel Macron d'être incapable de restaurer "le respect de la règle commune". AFP 6 septembre 2020

Ploutocratie totalitaire. Les marionnettistes de l'oligarchie vous présentent leurs candidats favoris.

- Emmanuel Macron, candidat de la droite en 2022 ? Les Français s'y opposent - LePoint.fr 6 septembre 2020

Selon un sondage Ifop, Nicolas Sarkozy et Édouard Philippe sont les deux personnalités qui incarnent le mieux la droite... LePoint.fr 6 septembre 2020

- Les macronistes désespérés par leur parti - Journal du Dimanche 6 septembre 2020

Le lancement d'une confédération tombe à pic pour La République en marche, mouvement à bout de souffle. Journal du Dimanche 6 septembre 2020

- Sondage. 43% des Français classent Macron à droite - Journal du Dimanche 6 septembre 2020

- Olivier Becht, patron des députés Agir : "En 2022, Macron sera le candidat des LR qui partagent notre vision" - Journal du Dimanche 6 septembre 2020

- Renaud Muselier, président LR de la Région Sud : "La proposition d'Estrosi est intéressante" - Journal du Dimanche 6 septembre 2020

Renaud Muselier, président LR de la Région Sud ne ferme pas la porte à un accord avec Macron pour 2022, mais estime qu'il faut "attendre de voir". Journal du Dimanche 6 septembre 2020

- Nicolas Sarkozy est celui qui incarne le mieux la droite, selon un sondage - Europe1 6 septembre 2020

D'après un sondage Ifop pour le "Journal du dimanche" paru ce dimanche, Nicolas Sarkozy est la personnalité politique qui incarne le mieux la droite. Europe1 6 septembre 2020

Qui a dit ?

- "La République a un contenu révolutionnaire qu’Emmanuel Macron essaye d’annuler"

LVOG - Essaie seulement, "d’annuler", on croyait que le totalitarisme sanitaire avait révélé qu'elle était morte au cours des années 80. Quant à son contenu "révolutionnaire", en réalité il avait cessé d'exister quand le PS et le PCF étaient passés de l'autre côté de la barricade, dans le camp de la réaction, cela fait un bail...

Réponse: Adrien Quatennens, député du Nord et coordinateur de la France insoumise, dans Dimanche en politique le 6 septembre. francetvinfo.fr 6 septembre.

Les banquiers doivent bien se marrer en entendant que leur protégé aurait été le dépositaire du "contenu révolutionnaire" de la République, LFI, quelle infamie !

Toujours en famille.

- Le 2 septembre dernier est sorti dans les salles obscures le film Police avec Virginie Efira et Omar Sy.

Omar Sy se glisse dans un uniforme de la police alors qu'il avait vivement critiqué la police justement il y a quelques semaines lors des manifestations qui ont fait suite à la mort de George Floyd. Télé-Loisirs.fr 5 septembre 2020

LVOG - Affaire Danièle Obono... alors que LFI est nostalgique de la grandeur de la France impérialiste et coloniale !

Et à quand ou à qui remonte cette normalisation de la terreur appliquée à la liberté de penser ?

- Les lois mémorielles pour uniformiser la société

Les lois mémorielles et surtout la Loi Gayssot ( 14 juillet 1990) qui interdit de contester « l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 », le tribunal de Nuremberg, font partie, à mon sens, de cet effort pour répondre à l’évolution de la société que décrit Benedetti :

« L’âge des masses ou des grands agrégats d’opinion est désormais derrière nous … l’opinion insaisissable à force d’être scintigraphiée, parcellisée, travaillée par des concurrences permanentes de visibilité, s’exprimant de manière disséminée sur la ligne de feu des réseaux, de l’info en continue, de la sollicitation incessante des réactions et des avis, des attentes et des sentiments, traquant l’infinitésimal pour mieux en faire un événement sur le sismographe affolé autant qu’affolant d’une actualité dont la pente tend à substituer au réel les représentations de celui-ci, à la mécanique factuelle l’éruption émotionnelle ».

La loi Gayssot a été, il me semble, un des premiers efforts notables pour uniformiser une opinion publique en voie de fracturation. Notre société actuelle, dominée par le bloc BAO (bloc américaniste-occidentaliste) comme dit Grasset, est issue de la seconde guerre mondiale. Ses valeurs reposent sur l’Entente cordiale du bloc BAO. Il était capital que cette période qui fonde et justifie notre histoire actuelle ne soit pas remise en cause. Il est intéressant de noter, à cet égard, que c’est Mitterrand qui a signé cette loi. Lui, dont le ralliement au capitalisme de marché a détruit la gauche qui représentait un « des grands agrégats d’opinion » qui structuraient la société française.

La narrative pour uniformiser l’opinion publique

Malheureusement pour nous, les inventions technologiques, et notamment la télévision, ont favorisé le remplacement de l’information (factuelle et objective) par la communication (la propagande) qui fabrique une fausse réalité. La TV installe le pouvoir dans chaque foyer et ses représentants et soutiens ont cru possible de maintenir leurs privilèges et de faire tout ce qu’ils veulent par la seule manipulation de l’opinion publique. C’est là que le mot anglo-saxon narrative est apparu. On raconte aux peuples une histoire qu’il est interdit de contester, et on fait tout le contraire. Et ça a marché assez longtemps. En fait, tant que les progrès techniques, matériels et sociaux étaient au rendez-vous. Quand tout va bien, on ne se pose pas trop de questions. (Des lois mémorielles au masque, la fabrique de l’unanimité virtuelle? par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 05 septembre 2020)

En complément. Ils ont été à bonne école, à la même école, cela se voit...

- Sur France Inter le 3 septembre - “Il a su conquérir ce qu’il désirait: être reconnu, hors des bornes du Parti socialiste”, explique Lionel Jospin à L’Obs, en louant “le talent”, les “intuitions politiques” et “le sens du verbe” de Jean-Luc Mélenchon. La France insoumise? “Un mouvement qui compte” et que l’ancien Premier ministre regarde “avec sympathie et sans effroi.” Le HuffPost 3 septembre 2020

Toujours plus fort dans le populisme. Qui a osé écrire ?

- "La létalité du covid-19 est 30 fois supérieure à celle de la grippe".

Réponse : Le PRCF dans l'article suivant :

https://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/covid-19-une-letalite-30-fois-superieure-a-celle-de-la-grippe-analyse-de-la-campagne-de-depistage-serologique-menee-a-nice/

Et ces adeptes du totalitarisme ou du confinement de conclure logiquement :

- "En tout état de cause, l’évaluation de la létalité du covid-19 conduit à souligner combien la stratégie “d’immunité collective” initialement choisie par le régime Macron – consistant à laisser circuler librement le virus dans la population générale – était criminelle en privilégiant le profit sur nos vies." De furieux fanatiques de la camisole de force au camp de concentration :

- "Nous avons pu montrer ainsi dans une précédente analyse qu’à l’échelle de la France la mortalité observée à l’hôpital liée à l’épidémie de covid-19 est 60 fois supérieure à celle des épidémies de grippe saisonnières habituelles."

Là pour le coup il y a de quoi avoir peur !

En famille dans le camp de la réaction.

- L’Otan demande une enquête internationale sur l'empoisonnement d'Alexeï Navalny - euronews 4 septembre 2020

- L'opposante bélarusse Tikhanovskaïa appelle à des sanctions contre Loukachenko - euronews 4 septembre 2020

- L'opposante biélorusse Tsikhanouskaïa en appelle à l'aide de l'Onu - Reuters 4 septembre 2020

- Changement climatique : des jeunes saisissent la Cour européenne des droits de l'Homme - euronews 4 septembre 2020

Ils ont entre 12 et 21 ans, viennent du Portugal, et sont les nouveaux activistes climatiques.

- L'avocate iranienne Nasrin Sotoudeh en grève de la faim - AFP 4 septembre 2020

L'avocate iranienne Nasrin Sotoudeh, lauréate du prix Sakharov (UE - LVOG) emprisonnée dans son pays, est dans sa quatrième semaine de grève de la faim pour attirer l'attention internationale sur le sort des prisonniers politiques dans son pays. AFP 4 septembre 2020

- Hong Kong : la loi sur la sécurité est un "risque grave" pour les libertés, alerte l'ONU - Franceinfo 4 septembre 2020

LVOG - "La loi sur la sécurité" sanitaire imposée par l'OMS, donc l'ONU, donc le Forum économique mondial ou l'oligarchie représente plus qu'un "risque grave" pour les libertés, leur confiscation ou négation.

Totalitarisme. Ils entendent bien disposer de tous les droits, et vous aucun.

- La bataille autour de l'extradition de Julian Assange reprend à Londres AFP 7 septembre 2020

L'Australien de 49 ans est poursuivi notamment pour espionnage par la justice américaine, pour avoir diffusé à partir de 2010 plus de 700.000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, notamment en Irak et en Afghanistan. Il risque 175 ans de prison.

Les Etats-Unis reprochent au fondateur de WikiLeaks d'avoir mis en danger des sources des services américains. Les avocats d'Assange dénoncent quant à eux une procédure "politique" fondée sur des "mensonges".

Dangereux propagateur de secrets d'Etat qu'il faut juger, ou héros traqué de la liberté d'informer qu'il faut protéger, le fondateur de Wikileaks Julian Assange fait figure d'ardent défenseur d'une transparence controversée.

A 49 ans, l'Australien à la chevelure argentée affronte à partir de lundi la suite d'une procédure cruciale: la justice britannique poursuit l'examen de la demande d'extradition des Etats-Unis qui veulent le juger pour espionnage.

La justice américaine lui reproche d'avoir diffusé en 2010 plus de 700.000 documents sur les activités militaires et diplomatiques de Washington sur sa plateforme Wikileaks. Il risque jusqu'à 175 ans de prison aux Etats-Unis.

Ses conditions de détention à la prison de Belmarsh, au sud-est de Londres, ont été dénoncées par le rapporteur de l'ONU sur la torture Nils Melzer comme une "situation inhumaine", qui mettrait sa vie "en danger".

C'est dans cet établissement pénitentiaire de haute-sécurité qu'il est incarcéré depuis qu'il a été extrait en avril 2019 de l'ambassade d'Equateur à Londres, où il s'était réfugié sept ans plus tôt, déguisé en coursier, alors sous le coup de poursuites pour viol en Suède, depuis abandonnées.

Avant la reprise à Londres de l'audience, qui doit durer trois ou quatre semaines, ses soutiens ont appelé à une manifestation devant la cour criminelle de l'Old Bailey lundi matin.

Julian Assange est actuellement emprisonné à la prison londonienne de haute sécurité de Belmarsh, où ses conditions de détention ont été dénoncées par le rapporteur de l'ONU sur la torture.

Son extradition s'apparenterait à une "peine de mort", a déclaré son avocate Stella Moris, devenue sa compagne, au Times samedi.

Parmi les documents publiés figurait une vidéo montrant des civils tués par les tirs d'un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007, dont deux journalistes de l'agence Reuters.

Au coeur des débats se trouve également la question de savoir si Julian Assange mène des activités journalistiques, qui doivent être protégées comme telles.

En 2011, les cinq journaux (dont The New York Times, The Guardian et Le Monde) associés à WikiLeaks condamnent la méthode de la plateforme, qui rend publics des télégrammes du département d'Etat américain non expurgés. Ils estiment que les documents sont susceptibles de "mettre certaines sources en danger". La critique sera également formulée par le lanceur d'alerte Edward Snowden.

Une quarantaine d'organisations de défense des droits de l'Homme et de la liberté de la presse ont récemment encore appelé à sa "libération immédiate".

L'appel pour que Paris accorde à Julian Assange l'asile politique a été renouvelé le mois dernier par une association française militant pour les droits des détenus, Robin des Lois. Une demande ardemment plaidée en février dernier par son avocat français Eric Dupond-Moretti, qui depuis a raccroché la robe pour devenir ministre de la Justice. (Source 2 articles de l'AFP 7 septembre 2020)

- Reprise du procès en extradition de Julian Assange à Londres Reuters 7 septembre 2020

Lors de la campagne présidentielle américaine de 2016, WikiLeaks a publié des documents volés au Comité national démocrate, portant préjudice à la candidate Hillary Clinton.

LVOG - Ils ne s'en sont jamais remis !

Economie et social.

- Record de destructions d'emplois (+231%) aux États-Unis : transports et loisirs paient le plus lourd tribut - latribune.fr 3 septembre 2020

Avant la pandémie, le taux de chômage était à son plus bas niveau en 50 ans (3,5%). En juillet, il s'est établi à 10,2% contre 11,1% en juin. (Correction : Le taux de chômage est retombé sous le seuil des 10%, à 8,4%, contre 9,8% anticipé par les économistes du consensus Bloomberg. - lesechos.fr 4 septembre 2020)

Le nombre d'emplois détruits depuis janvier par les entreprises américaines a bondi de 231% par rapport à la même période en 2019, et atteint un record, selon une étude publiée jeudi par le cabinet de consultants Challenger, Gray & Christmas.

En août, 115.762 emplois ont été détruits par les entreprises basées aux États-Unis. Cela porte à 1,96 million le nombre d'emplois détruits depuis janvier par ces entreprises.

Les nouvelles inscriptions sont tombées à 881.000 sur la semaine au 29 août.

Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités a également baissé, à 13,254 millions lors de la semaine au 22 août (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) latribune.fr 3 septembre 2020

En complément.

La première économie mondiale a créé 1,37 million d’emplois au mois d’août ; c’est moins qu’en juillet (1,76 million) mais un peu plus qu’attendu (1,35 million).

« L'augmentation de 1.371.000 emplois non agricoles en août a été flattée par l'embauche de 238 000 travailleurs temporaires sur le terrain pour le recensement de 2020, explique l’économiste Andrew Hunter de chez Capital Economics. Néanmoins, l'emploi a également connu une forte hausse dans la plupart des secteurs privés. » - lesechos.fr 4 septembre 2020

LVOG - Si vous arrivez à suivre, c'est que vous êtes très fort, La Tribune affirme que 1,96 million d'emplois ont été détruits depuis janvier 2020, et Les Echos que plus de 3 millions ont été crées au cours des 2 derniers mois...

En France.

Société Générale (+5,5%) signe la meilleure performance du Cac 40. BNP Paribas et Crédit Agricole finissent en hausse de près de 3% à Paris.

En Allemagne.

Commerzbank termine sur un gain de plus de 8%. lesechos.fr 4 septembre 2020

- Bankia et CaixaBank veulent créer un géant bancaire en Espagne - AFP 4 septembre 2020

Bankia et CaixaBank ont annoncé discuter d'une fusion qui donnerait naissance à un mastodonte du secteur bancaire en Espagne dans un contexte économique sombre en raison de la pandémie de Covid-19. Une opération suivie de près par l'État qui a sauvé Bankia de la faillite en 2012.

Cette annonce, synonyme de séisme pour le secteur bancaire espagnol, est tombée dans la nuit de jeudi à vendredi.

Dans un communiqué, Bankia a indiqué "confirmer des contacts avec CaixaBank [...] en vue d'analyser l'éventuelle opportunité d'une opération de fusion entre les deux entités". CaixaBank a précisé de son côté qu'"aucun accord n'avait été scellé pour le moment au-delà de la signature d'un accord de confidentialité afin d'échanger des informations destinées à évaluer l'opération".

À la Bourse de Madrid, les titres des deux banques s'envolaient. Bankia prenait 28% à 1,33 euro vers 11H15 GMT tandis que CaixaBank grimpait de 14% à 2,08 euros.

Une telle fusion donnerait naissance à la plus grande banque du pays en termes d'actifs en Espagne, devant Santander ou BBVA qui sont en revanche plus fortes à l'international.

Selon les calculs des analystes de Renta 4 Banco, ces actifs s'élèveraient à environ 664 milliards d'euros.

Cette opération est suivie de près par le gouvernement espagnol qui devra donner son feu vert alors que l'État avait sauvé Bankia de la faillite en 2012 en y injectant 22 milliards d'euros à la suite de l'aggravation de la crise financière en Espagne. Il détient toujours 61,8% de son capital.

Le gouvernement examinera tout projet de fusion sous l'angle "de la génération de valeur et de l'optimisation de récupération des aides" d'État, a souligné le ministère des Affaires économiques.

Depuis 2012, l'État tente de se défaire de sa participation mais le contexte financier n'a jamais été propice.

Il a pour le moment seulement récupéré 3,3 milliards en vendant une partie du capital sur le marché.

Selon Nicolas Lopez, directeur de l'analyse chez MG Valores, l'État espagnol voit dans cette opération "une façon d'améliorer la valorisation de son investissement dans Bankia" et de récupérer "un peu plus que s'il était resté seul" à la tête de l'actionnariat.

Mais, selon M. Lopez, il ne pourra pas espérer récupérer une grande partie de ses 22 milliards alors que le marché "n'a rien à voir" avec les niveaux de valorisation antérieurs.

Selon plusieurs analystes, l'État devrait conserver 14% du capital après une éventuelle fusion entre les deux entités.

Une telle opération devrait avoir des conséquences sociales, selon la presse, alors que les deux banques devront éviter les doublons en fermant des agences. AFP 4 septembre 2020




TROISIEME PARTIE

La contre-propagande ou la contre-offensive pour la liberté.

Dans l'imaginaire collectif l'URSS pouvait représenter le communisme dans la mesure où personne ou presque ne savait ce que c'était, mais ce n'était pas le communisme

- La démocratie libérale à l’heure du despotisme sanitaire par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 03 septembre 2020

La chute du communisme et l’avènement du capitalisme mondial

Au début du 20e siècle, avant la chute de l’URSS, le communisme représentait une alternative crédible au capitalisme. Les pouvoirs publics et les grands capitalistes en avaient peur et évitaient de trop mécontenter les populations. Les gens se sentaient libres et en sécurité, et voyaient venir le futur avec un certain optimisme. Mais tout a changé, en une génération, après la chute de l’URSS. La finance, dérégulée par des présidents issus de la banque ou à sa solde (en France, Pompidou, Giscard d’Estaing et le dernier en date Macron) s’est mondialisée, l’économie s’est financiarisée, de nouvelles technologies sont apparues, et le Travail a perdu dix points de PIB en faveur du Capital.

Aujourd’hui, le capitalisme mondial n’a plus besoin de ménager des peuples appauvris, soumis, à peu près partout sur la planète, à des régimes de plus en plus autoritaires et répressifs et dont la classe dirigeante inféodée au Grand capital s’enrichit, comme lui, aux dépens des populations qu’elle opprime.

En sept 2014, j’avais écrit un article intitulé Aujourd’hui l’URSS, ce n’est pas la Russie, c’est l’empire étasuno-européen pour montrer que les démocraties parlementaires occidentales souffrent de beaucoup des défauts qu’on avait coutume de reprocher à l’URSS : parti unique ou fausse alternative politique, propagande éhontée assortie d’une censure galopante, réécriture totalitaire de l’histoire, impérialisme agressif, bureaucratie envahissante, incompétente et tatillonne (le protocole absolument impraticable du port du masque en entreprises est un cas d’école), corruption et privilèges indus à tous les étages du pouvoir, surveillance généralisée des populations, incitation à la délation, pensée unique supervisée par une police de la pensée tyrannique, répression des dissidents, impunité totale des apparatchiks, et j’en passe.

Mais les régimes communistes n’avaient pas que des mauvais côtés. J’ai rencontré des Russes qui s’étaient exilés en Israël pour des raisons économiques, après la chute de l’URSS, et qui regrettaient l’URSS, où il n’y avait pas de chômage et où tout était gratuit, de l’école aux soins de santé, en passant par les transports et les arts. Tous les enfants allaient au conservatoire. Mais ils baissaient la voix pour l’avouer. Je ne sais pas si c’était une habitude prise en URSS ou le signe qu’ils ne se sentaient pas beaucoup plus libres de parler en Israël qu’en URSS… Dans les pays capitalistes occidentaux, la prospérité des « trente glorieuses » a permis à beaucoup de prolétaires d’accéder à la classe moyenne dans le cadre d’une politique sociale et entrepreneuriale paternaliste. Cette relative aisance (à l’époque, le salaire d’un ouvrier faisait vivre toute une famille) a malheureusement dépolitisé les travailleurs et les étudiants, et le soulèvement de 1968 n’avait pas pour mot d’ordre « Reprenons le pouvoir sur la production » mais « Il est interdit d’interdire ».

Des populations dépolitisées de plus en plus exploitées par le Grand Capital Le peuple privé d’une grille de lecture économique et politique alternative à celle du Capital, « s’est trouvé fort dépourvu quand la bise fut venue » comme dit La Fontaine, c’est-à-dire, quand le Capital, qui n’avait plus de contre-pouvoir idéologique, s’est déchaîné. La dérégulation financière s’est accompagnée de son application pratique, le management moderne, qui a encore affaibli les travailleurs et les syndicats en faisant des salariés les concurrents, les ennemis, des uns des autres. (...)

Aujourd’hui la lutte sociale est désarmée. Les syndicats ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes et, même si on voit, çà et là, réapparaître dans les discours l’analyse marxiste de la lutte des classes, la défense de la sécurité sociale, la revendication que les travailleurs aient plus de pouvoir dans l’entreprise, il n’y a pas de véritable remise en cause des bases sur lequel repose le Capitalisme, c’est-à-dire l’extorsion par le Grand Capital de la plus-value générée par le travail, ainsi que le total asservissement des salariés aux intérêts des grands actionnaires, ce qui entre nous soit dit, n’est pas très différent de l’esclavage ou du travail forcé.

Ces bases sont :

1 – la propriété privée actionnariale des moyens de production,

2 – la mesure de la valeur par le temps de travail,

3 – le marché du travail (la vente de la force de travail pour obtenir un emploi et un salaire pour être reconnu comme producteur de valeur économique).

4 – la création monétaire par le crédit bancaire. Toute monnaie est une dette qui nécessite l’endettement des producteurs auprès des actionnaires des banques. Malgré la pauvreté et la violence institutionnelle croissantes, aucun véritable projet alternatif de société n’a remplacé le communisme, et la lutte des classes a été abandonnée au profit du pouvoir d’achat qui n’en déplaise à l’INSEE (les statistiques biaisées étaient aussi un des piliers de la propagande soviétique) a fortement baissé en 40 ans.

Le durcissement des régimes dits démocratiques

La main-mise du Grand capital sur l’économie s’est accompagnée du durcissement des démocraties libérales.

Les dérives autoritaires s’accentuent et se multiplient. En voici quelques exemples :

1. La Judiciarisation. Étant donné l’absence de contre-pouvoirs et de dialogue, ce sont maintenant les juges qui tranchent de tout dans tous les domaines, et même en ce moment du port du masque. Devant l’escalade de la tyrannie sanitaire orchestrée par tous les pouvoirs confondus, les gens n’ont plus que la rue et la justice. Les pauvres vont dans la rue, quand ils l’osent, et les autres vont en justice. Des recours ont déjà été déposés, notamment auprès des tribunaux administratifs de Paris, Marseille, Lyon et Nice, pour faire annuler les arrêtés imposant le port du masque en extérieur. Et le tribunal administratif de Marseille vient de condamner un maire pour «atteinte à la liberté publique».

L’autre volet, moins rassurant, de cette judiciarisation est l’instrumentalisation de la justice par des pouvoirs en place ou des oppositions, souvent soutenues par des puissances étrangères, pour se débarrasser de présidents qui refusent de se soumettre au Grand Capital comme Lula au Brésil, Correa en Equateur, Morales en Bolivie, ou d’opposants gênants comme Fillon et Mélenchon. (...)

2. La transformation des médias en tribunaux médiatiques chargés de faire respecter le politiquement correct (la version officielle du pouvoir en place, souvent à mille lieues de la vérité) sous peine d’exclusion de la « bonne » société. Il s’agit en ce moment de soutenir la version du pouvoir sur les « épidémies » en cours : l’épidémie de violences dans la population, l’épidémie du Covid-19, l’épidémie de racisme, d’antisémitisme, d’homophobie, tout cela suscitant sur les plateaux de TV une épidémie de bêtises. Les rares personnes intelligentes et encore libres d’esprit, se retrouvent forcées, comme les autres, de se justifier chaque fois qu’elles franchissent la ligne rouge ou de condamner ceux qui la franchissent. Ainsi, François Bégaudeau invité sur Radio Sud (février 2019) pour parler de son livre, Histoire de ta bêtise, est sommé de « condamner fermement » l’agression verbale de Finkielkraut par un Gilet jaune. Il tente de démonter le mécanisme :

« Voilà une des scènes préférées du champ médiatique, l’extorsion d’aveux ou l’extorsion de condamnation, c’est-à-dire, en gros de se présenter à la barre et il faut absolument condamner catégoriquement. Si on ne condamne pas, on s’expose à une chaîne de bêtises. Si vous voulez, on peut avoir cet échange qui va être passionnant. Vous allez me redemander : est-ce que je condamne les insultes antisémites contre Alain Finkielkraut et je vais vous répondre oui. Nous avons fabriqué de l’intelligence ! »

Mais le présentateur n’est pas satisfait de cette réponse :

« Vous ne pensez pas qu’il faut parfois condamner pour ne pas laisser d’ambiguïté ? – Je viens de le faire – Oui, mais de manière, on va dire… – Non, non, je l’ai fait ! Quand je dis oui, c’est oui ! Mais je trouve que ce n’est pas passionnant comme moment intellectuel ».

Le journaliste n’est toujours pas satisfait. Il n’a pas réussi à faire rendre gorge à Bégaudeau, à le forcer à se prêter, avec enthousiasme, à la mascarade. Il continue d’insister et Bégaudeau lui dit :

« Là on est à nouveau rentré dans la chaîne de bêtises, vous me demandez de commenter à quel point je ne commente pas et, moi, je commente le fait que vous commentez que je ne commente pas, et ça fait trois minutes qu’on a un échange qui n’est pas super. »

Si l’émission n’était pas arrivée à sa fin, pas sûr que le soi-disant journaliste n’en aurait pas remis une couche tant il est capital pour un système basé sur le simulacre que tout le monde joue le jeu.

3. La société du simulacre. On se moquait des bains de foule des dirigeants communistes, entièrement mis en scène. Avec Macron, ce ne sont pas seulement les bains de foule qui sont de la comédie, tout est pantomime, simulacre et faux-semblant, à l’international comme à l’intérieur. Son boulot, c’est de poser dans des publicités, comme autrefois les belles femmes faisaient vendre des voitures, et de nous saouler de belles paroles pour nous empêcher de réfléchir. Les décisions importantes sont prises par les Etats-Unis, l’OTAN, l’UE, l’OMS, Le Forum Économique Mondial de Davos et autres clubs ou fondations de milliardaires.

A ceux qui s’intéressent aux projets des grands de ce monde, je recommande l’article extraordinaire de limpidité du communiste Mesloub Khider: De l’instrumentalisation du terrorisme à l’orchestration de la terreur virale.

La seule mission et prérogative effective de Macron et son gouvernement, c’est de nous réprimer avec le soutien jubilatoire des médias et des experts, intellectuels et politiciens de plateaux TV, pour qui le peuple n’est jamais assez puni d’exister.

Un site s’est amusé à faire la liste des interdictions, aussi violentes que ridicules, qui ont plu sur nous pendant la crise sanitaire. On voit apparaître au grand jour la vraie nature des psychopathes totalitaires qui tiennent en main notre destin…

4. La rééducation, la dernière trouvaille de Macron corrobore ce que je viens de dire. Macron, qui aime « réinventer » le réel vient de nous ressortir cet outil emblèmatique du pouvoir soviétique :

« Convoquant, comme souvent, son «cher» Paul Ricœur, Macron estime que l’on est face à une «crise de l’autorité» à laquelle il conviendrait de répondre par une «rééducation» sur ce qu’est «l’autorité légitime, celle qui, en démocratie, procède de l’élection».

5. La violence étatique n’est plus seulement morale ou psychologique, elle devient de plus en plus physique. Elle s’incarne dans une police militarisée qui vous gaze, vous matraque, vous met en garde à vue et vous accuse d’outrage sans raison, avec le soutien d’une justice largement aux ordres. Nous l’avons vue se déployer sans vergogne contre les plus pauvres, les Gilets jaunes notamment, mais pas seulement. La France suit en cela les traces de notre maître, les Etats-Unis d’Amérique, qui ont la population carcérale la plus élevée du monde par habitant avec 37 % d’Afro-Américains (qui ne représentent pourtant que 12,9% de la population totale), pour assurer les profits d’un système carcéral privatisé.

6. La concentration de richesse et de pouvoir. Jamais autant de richesse et de pouvoir n’avaient été concentrés dans aussi peu de mains qu’aujourd’hui. Un tout petit noyau de milliardaires, dont les cinq plus gros sont les actionnaires majoritaires de Google, Apple, Facebook, Microsoft et Amazon, dirigent le monde pour leur plus grand profit. En France, la concentration du pouvoir dans les mains de l’exécutif (aux ordres du Capital) est de plus en plus comparée à celle de l’ancien régime, surtout depuis que Sarkozy a ramené le mandat présidentiel à 5 ans, ce qui donne au monarque une Assemblée entièrement à ses ordres. Non seulement ce pouvoir absolu lui permet de prendre des décisions coûteuses et lourdes de conséquences en faveur des multinationales ou de puissances étrangères, notamment en politique étrangère (Mali, Libye, Syrie, Yémen), sans consulter le Parlement, mais il lui permet de garder le secret sur la plus grande partie de ce qu’il décide. Tel un petit Néron, il détruit la France, et c’est nous qui payons…

(...)

Conclusion

Comme on le voit, la situation des populations occidentales n’est pas enviable. Est-ce que vous vous rendez compte qu’en Occident, nous, les contribuables, finançons actuellement le public, le privé et même la spéculation ? Comment pouvons-nous nous en sortir? (...)

LVOG - L'auteur de cet article ne répond pas à cette question, il ne propose rien. Les passages que je n'ai pas reproduits faisaient l'apologie de la Chine (notamment) qui a donné l'exemple ou fourni le prétexte au confinement de la population dans 193 pays du monde, ce qu'il n'abordera pas évidemment.

- “On a vraiment pris les français pour des cons” affirme le professeur Perronne, qui dénonce une “manipulation de masse” - covidinfos.net 3 septembre 2020

Le professeur Christian Perronne, professeur des universités-praticien hospitalier français spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, était interviewé hier 2 septembre par Nicolas Vidal pour “Le Grand Entretien” de Putsch Media, il a évoqué les questions de l’évolution de l’épidémie, du masque, des conflits d’intérêt ou du traitement contre la maladie.

“[…] On veut nous faire croire que la deuxième vague arrive, je l’ai toujours pas vu arriver.[…] Les personnes hospitalisées sont de moins en moins nombreuses. Quand je vois des personnes qui décèdent à l’hopital, ce sont des gens extrêmement agés qui ont beaucoup de maladies sous-jacentes qui les fragilisent.”

“L’épidémie est en train de se terminer et on nous fait peur, on nous fait peur pourquoi ? C’est du délire total.[…] C’est un non-sens scientifique de faire d’un test comme ça un dépistage de masse. Ils entretiennent la peur : regardez l’épidémie repart à la hausse ! Tout ça, c’est bidon.”

“On a vraiment pris les français pour des cons, pardonnez-moi l’expression. On a voulu les culpabiliser. À chaque fois on a rejeté la faute sur les français qui feraient pas bien. Les décisions politiques étaient mauvaises, ce n’est pas la faute des français. On les a vraiment pris pour des enfants, on leur a fait la leçon…”

“Les français ont eu très peur, après ils ont eu moins peur, maintenant on leur refait peur, je n’ai jamais vu une nouvelle peur comme ça alors qu’il n’y a plus de maladie quasiment. Tout ça c’est un peu de la manipulation de masse, je trouve qu’il y a une dérive grave.”

“Le coup des masques aujourd’hui, c’est complètement débile. Dire à tous ces gens de porter le masque toute la journée,[…] ils étouffent les pauvres… Dans les écoles c’est complètement délirant. On culpabilise tout le monde, le masque dans la rue c’est du grand délire…”

[…]

Source :

Le grand entretien du Professeur Perrone

https://www.youtube.com/watch?v=mWi3rivUXzg

Ils osent tout. La SPILF : Une institution mafieuse, corrompue,malfaisante, criminelle.

- Didier Raoult attaqué par la SPILF. Qu'est-ce que cela peut cacher? - France Soir 4et 5 septembre 2020

Après l’étude Fiolet supportée par l’INSERM, qui s’essaie à déstabiliser l’hydroxychloroquine comme traitement contre la Covid-19 malgré de très nombreuses failles, c’est au tour du Professeur Didier Raoult d’être attaqué en justice par la SPILF. Il est au centre des attentions depuis le début de la crise, ses prises de positions et ses résultats à l’IHU de Marseille en ont fait pour beaucoup de Français, Monsieur Covid et Hydroxychloroquine. Pour certains cela a assez duré, et le Pr Raoult à tort, voire est dangereux pour la santé.

Mais qu’est-ce que la SPILF ?

La Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française est une association regroupant des professionnels de la santé. Créée en 1974, elle compte plus de 500 adhérents pour la plupart médecins. A La tête de cette Association, Le Professeur Pierre Tattevin, accompagné de deux vice-présidents : France Roblot et Serge Alfandari.

Au quotidien, la SPILF publie les travaux de ses membres, organise des congrès scientifiques, aide des structures, cela lorsqu’il est question infectiologie.

Voilà pourquoi les chemins du Professeur Raoult et de la SPILF se croisent.

Que reproche-t-on au professeur Raoult ?

Selon la SPILF, Didier Raoult a enfreint neuf articles du code de déontologie de la profession dont la promotion d’un traitement dont l’efficacité n’aurait pas été démontrée, diffusion de fausses informations, manquements au devoir de confraternité ou encore des essais cliniques réalisés à la limite de la légalité.

Pour dire autrement, la SPILF lui reproche que les prises de positions tranchées du professeur Raoult auraient nuit au message de santé publique.

Sur Twitter, l’avocat Di Vizio s’est vite prononcé, jugeant la plainte irrecevable. D’autres internautes se sont déclarés choqués ou ravis de l’action de la SPILF.

Mais qu’est-ce qu’il se cache derrière l’attaque de la SPILF ?

Des années de désaccords sur des sujets médicaux, des jalousies anciennes entre médecins ? Lors des auditions devant la commission d’enquête parlementaire, beaucoup ont parlé de liens et conflits d’intérêts entre les médecins, les chercheurs et les laboratoires pharmaceutiques. Au-delà de la discussion sur l’hydroxychloroquine, est-ce quelques euros glissés par-ci par-là ne seraient pas une autre source de motivation ?

Quelques clics peuvent nous éclairer. Le site TransparenceSanté et EuroforDocs nous permettent de trouver l’information suivante : La SPILF a reçu 1,7 million d'euros (chiffre mis à jour ce 5 septembre 2020) des laboratoires pharmaceutiques dont 100 000€ de Gilead entre 2012 et 2020, sommes qui se sont envolées dans les dernières années. Il manque cependant des conventions sans montant. De plus la SPILF est propriétaire de ses bureaux au 21 rue Beaurepaire dans un immeuble cossu dans le 10ème arrondissement à Paris; Comme on peut le voir dans la base EuroforDocs, la SPILF prend des dénominations nombreuses et différentes rendant plus complexe l'identification des sommes percues.

Sur la même période les membres du bureau et du conseil d’administration de la SPILF ont reçu plus d’1.6 millions d’euros : Le président Pierre Tattevin a reçu 81 083 euros de la part des laboratoires pharmaceutiques dont 15 028 euros de Gilead. Le Dr Aumaitre ayant pour sa part reçu plus de 300 000 euros ou encore le secrétaire général 115 000 euros. Il est évident que de telles sommes d’argent ne sont plus anodines.

Un membre proche de la SPILF sous couvert d’anonymat nous dit qu’à la SPILF « les décisions sont prises quasiment par une ou deux personnes ». De plus la SPILF s’est associé depuis plusieurs années, les services de Monsieur Yannick Queyroux pour l’aider à lever des fonds auprès des laboratoires et des institutionnels. Ce qu’il nous a confirmé au téléphone ce jour.

Monsieur 20% tel qu’il est connu au sein de la SPILF puisqu’une « convention d’honoraire lui permettrait de recevoir 10 à 20% des sommes levées » nous explique cette même source.

Sur son site internet la SPILF ne se cache pas d’avoir des partenariats avec de multiples sociétés.

Un PUPH (professeur d’université praticien hospitalier) sous couvert d’anonymat nous dit :

« Les chiffres des déclarations de TransparenceSanté, ne sont que la partie visible de l’iceberg. Les labos ont des systèmes bien organisés. Les sommes d’argents sont versées par les filiales étrangères de ces sociétés qui n’ont pas à être déclarées dans TransparenceSanté. ». Un système bien rodé depuis plusieurs années.

Pierre Tattevin, président de la SPILF, contacté par nos soins n’était pas disponible pour répondre.

Une tentative de clôturer le débat sur l’hydroxychloroquine

Des accusations importantes et il est vrai que l’on peut ne pas être d’accord avec le Pr Raoult sur tout. Cependant pour Guy Courtois, auteur livre sur la crise « Et si Didier Raoult avait raison ? » qui caracole en tête des ventes sur Amazon « Didier Raoult a raison à 90% ».

Hier soir, sur BFMTV lors d’une émission « Qui veut la peau de Didier Raoult », Jean-Pierre Thierry, médecin expert tentait de clôturer le débat sur ce sujet en indiquant que l’on est passé à autre chose :

« on essaye de s’auto réguler dans la profession médicale »

« il y a un consensus international qui est en train d’apparaitre, avec beaucoup de débat, que si l’hydroxychloroquine marche couplée avec un antibiotique, on sait déjà que l’efficacité est assez minime, et que ce n’est pas un traitement miracle… » précisant en outre qu’ «il y a un traitement peu couteux, les corticoïdes qui semblent fonctionner ». Mr Thierry n’a pas précisé ces sources d’informations, mais s’est contenté de déclarer qu’il y avait « un consensus international ». Une tentative autoritaire de cloturer le débat sans contradicteur de la profession alors que la France compte le professeur Raoult un des plus réspecté infectiologue au monde.

D’après nos analyses et les déclarations des divers membres du Conseil Scientifique, ce consensus prendrait sa source dans l’étude britannique Recovery puisque le 8 juin, les investigateurs déclaraient que la Dexamethasone, aurait un effet important sur la mortalité. Dans un article précédent nous écrivions que cette molécule ancienne était déjà utilisée de manière courante et que c’était un leurre pour cacher une toute autre réalité, celle du surdosage des patients dans Recovery.

Lors de la même émission sur BFMTV , Guy Courtois lui répondait

« il y a beaucoup d’études qui prouvent le contraire (ndlr : que l'hydroxychloroquine fonctionne) ».

Andréa Savarino chercheur italien en répondant à nos questions estimait que l’hydroxychloroquine fonctionne comme prouvé dans deux études récentes en Italie et en Belgique et que l’hydroxychloroquine avait fait l’objet d’une politisation à outrance.

Récemment l’INSERM et la SPILF soutenaient une méta analyse effectuée par des doctorants et deux jeunes Docteurs ès Sciences remettant en cause l’hydroxychloroquine. Méta analyse qui a été fortement décriée par bien des experts internationaux y compris l’IHU de Marseille qui a écrit une « lettre de préoccupation » ainsi que notre propre analyse, ou celle du chercheur italien André Savarino. Nous concluions que cette étude devrait être retirée.

D’un côté un médecin expert qui essaye de clôturer le débat sur l’hydroxychloroquine avec des arguments d’autorité et de l’autre de multiples experts ainsi qu’un auteur éclairé qui lui oppose la réalité observée dans bien des pays.

Qui est Jean-Pierre Thierry ?

Il est conseiller médical auprès de France Asso Santé, qui est le nom choisi par l’Union nationale des associations agréées d’usagers du système de santé afin de faire connaître leur action comme organisation de référence pour représenter les patients et les usagers du système de santé et défendre leurs intérêts.

Dans le cadre de la maladie de Lyme, une maladie vectorielle à tique, Mr Thierry était le médecin expert de l’association, ayant donné un avis auprès du président du jury de référencement, le Pr Yazdan Yazdanpanah (Bichat, Reacting, Inserm, CARE, Discovery, Conseil scientifique), avis jugé partial d’après l’association relais de lyme. Un proche du dossier nous dit : « Jean-Pierre Thierry était en service commandé d'Yves Lévy (ancien président de l’INSERM) et d'Agnès Buzyn (ex-ministre de la Santé) pour écarter le professeur Perronne ». Un top10 des personnes impliquées dans le #LymeGate était publié par l’association ChronyLyme. Nous y retrouvons les mêmes personnes que dans la situation actuelle après un jeu de chaises musicales.

Après un rôle questionné dans le cadre de la maladie de Lyme dont le professeur Perronne est un des spécialistes reconnu, Jean-Pierre Thierry serait-il donc le nouveau soldat envoyé au front sur les plateaux télévisions pour tenter de museler le débat sur l'hydroxchloroquie comme traitement de la Covid-19, supporté par le professeur Raoult, le professeur Perronne ainsi que bien d'autres médecins et utilisé avec succès dans bien des pays ?

Les anti Raoult se déchainent, cela a commencé par la contestation des études, les passions sur les réseaux sociaux, cette opposition prend une tournure nouvelle avec cette action à caractère juridique.

La plainte de la SPILF vient donc relancer le débat sur l’hydroxychloroquine plutôt que de le clore. Un nouvel expert médecin envoyé au front pour clôturer le débat, une énième méta analyse bidonnée ? Serait-ce un ultime baroud d’honneur de cette société savante voyant les études internationales s'accumuler sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine dans les stades précoces de la maladie ? France Soir 4et 5 septembre 2020

Quelques précisions supplémentaires dans un blog.

https://irocblog.wordpress.com/2020/09/03/tentative-dintimidation-sur-didier-raoult/

Extraits…

Le président de la SPILF, le professeur Pierre TATTEVIN, (Infectiologie, CHU Rennes), était même classé par France Soir comme la 9ème personnalité à bénéficier de confortables accessoires de rémunération versés par les laboratoires. Il aurait ainsi perçu 79.956 €, dont 15.028 € de Gilead, le fameux laboratoire qui déteste l’hydroxychloroquine. France Soir nous apprend que M. Tattevin aurait noté sur sa déclaration d’intérêt n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! On comprend le surmenage de ce professeur, ce n’est pas facile de recompter ses compléments de rémunérations au millier d’euros près et de préparer des plaintes farfelues contre un homme de science et non d’argent.

Les autres membres du bureau de la SPILF sont tout autant en liens d’intérêt avec les laboratoires : la Vice Présidente de la SPILF, Mme France ROBLOT, (Infectiologie, CHU Poitiers) présente, sur la base transparence santé 106 lignes d’avantages servis par les laboratoires (Gilead et principalement PFIZER SAS), le deuxième Vice Président, M. Serge ALFANDARI, (Infectiologie-Hygiène, CH Tourcoing) présente 61 lignes d’avantages (Gilead, MSD France), le Secrétaire Général, le M. Bernard CASTAN, (Infectiologie, CH Périgueux) présente 251 lignes d’avantages, (Bristol-Myers, Gilead sciences etc…), la Secrétaire Adjointe, Mme Emmanuelle VARON, (Microbiologie, CHIC, Créteil) présente 37 lignes (PFIZER SAS principalement), le Trésorier, le M. Christian RABAUD, (Infectiologie, CHU Nancy) présente 155 lignes d’avantages (dont Gilead, Janssen), le Trésorier Adjoint, M. Alexandre BLEIBTREU, (Infectiologie, HU Pitié-Salpétriere, Paris) présente 67 lignes d’avantages (dont Gilead, Eumedica etc..) et le conseiller spécial aux recommandations, M. Remy GAUZIT, (Anesthésie-Réanimation, GH Cochin, Paris) présente 49 lignes d’avantages (dont PFIZER SAS, Eumedica, MSD France…)

Certains membres du conseil d’administration de l’association SPILF entretiennent des relations de travail fructueuses avec les laboratoires. Nous ne citerons que M. Vincent LE MOING, (Infectiologie, CHU Montpellier) qui présente 113 lignes d’avantages, (dont Gilead) et surtout M. Jean-Paul STAHL, (Infectiologie, CHU Grenoble), sixième dans le classement de France soir. Ce monsieur aurait ainsi perçu la somme de 100.358 €, dont 4.552 € d’Abbvie. Rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses, M. STAHL, avec une indépendance et une liberté d’esprit hors norme, avait comparé le médicament Plaquénil au papier toilette ! L’Inde, le Portugal, l’Italie et de nombreux autres pays seront surpris d’apprendre que s’ils présentent des taux de guérison importants de leurs malades, cela a pour origine les propriétés du « papier toilette » utilisé… On voit que le niveau de M. STAHL ne se situe plus dans le domaine de la science. irocblog.wordpress.com 03.09

LVOG - Surtout que les Indiens droitiers utilisent la main gauche avec de l'eau pour s'essuyer le cul, la main droite pour les gauchers, il n'y a que les riches qui utilisent du « papier toilette », et j'ignore s'ils se lavent les mains après! Moi j'appartiens à la couche disons supérieure de la classe ouvrière ou à la couche inférieure des classes moyennes, j'utilise des serviettes en papier, c'est moins chère, je ne vais pas jouer les riches, ça sent trop mauvais !

Ce qui m'a bien fait marrer aussi, c'est le : Lavez-vous les mains, ne portez pas vos mains à votre bouche, ces salopards veulent faire crever de faim les Indiens qui mangent avec la main droite ou la main gauche selon qu'ils sont droitiers ou gauchers.

- “La plupart préfèrent s’illusionner quand bien même nous allons directement à l’abattoir” selon la psychologue et docteur en psychopathologie Ariane Bilheran - covidinfos.net 4 septembre 2020

Voici les extraits d’une lettre de Ariane Bilheran, normalienne, psychologue et docteur en psychopathologie, dont vous pourrez lire l’intégralité en vous rendant sur son propre site.

“Depuis le début de cette « pandémie », je n’avais écrit qu’un bref article sur « le totalitarisme sanitaire », ayant besoin moi-même d’y voir suffisamment clair avec du recul pour me prononcer. Néanmoins, nous pouvons reconnaître, à un niveau mondial, avec quelques nuances selon les pays, la griffe d’une contagion délirante paranoïaque qui chaque jour montre davantage son visage odieux.

Rappelons-nous que le délire paranoïaque fonctionne sur la persécution, l’interprétation et la tyrannie de l’idéal. La persécution est au cœur de ce qui est divulgué : l’autre est en puissance mon ennemi, car il est en puissance un malade qui va me contaminer. Cet ennemi peut être invisible, et même au sein de l’intime et de la famille.

Cette persécution entraîne méfiance, peur et culpabilité (ceux qui dénoncent le bien-fondé de mesures dogmatiques totalement arbitraires et parfois confinant à l’absurde sont désignés comme coupables). L’interprétation est également au cœur du processus : selon l’interprétation de vos paroles, de vos actes, vous serez considéré comme un ennemi du système et censuré (la censure bat son plein sur les réseaux sociaux).

Selon l’interprétation de symptômes (très généralistes au demeurant), vous serez classés dans les pestiférés qu’il ne faut pas fréquenter. L’idéal est celui de « sauver l’humanité de la maladie », quel qu’en soit le prix à payer :

- Effondrement économique (perte de ressources, désespoir, insécurité…)
- Famines (des millions de personnes pour l’Amérique du sud)
- Clivages sociaux entraînant une dégradation majeure du climat social, de l’agressivité et de l’insécurité
- Délaissement des plus vulnérables, voire leur euthanasie (personnes âgées)
- Etc.

Et quels qu’en soient les moyens :

- Mensonges
- Techniques de propagande grossières et influenceurs de masse
- Censures du peuple, de nombreux médecins et experts scientifiques
- Violences policières
- Enfermement généralisé et assignation à résidence (l’individu étant traité comme un criminel en puissance)
- Chute libre des droits humains fondamentaux
- Éradication de la conscience humaine, du consentement
- Maltraitances sur les familles, et en particulier les enfants
- Etc.

[…]

Les politiques mondiales menées sur pression de l’OMS se sont permises de mettre l’humanité à l’arrêt, de stopper le mouvement de la vie du jour au lendemain, en encourageant des méthodes manipulatrices au chantage, à la culpabilité, et à la peur, qui ne sont pas des méthodes politiques convenables, et que nous ne devons pas accepter. A tout le moins pouvons-nous également rajouter que le manque d’équilibre et de mesure, de tempérance et de bienveillance a présidé à ces différentes politiques, avec des couleurs locales variées selon les pays.

[…]

C’est désormais acté : l’État a les pleins pouvoirs sur vous, et vous l’a fait savoir. Vous croyez que cette infantilisation autoritaire doublée de chantage et de violences répressives, cette division au sein du corps social pour que les personnes passent leur temps à se chamailler plutôt qu’à regarder du côté des acteurs du pouvoir est pour votre bien ? Vraiment ?

[…]

L’un des symptômes des victimes de harcèlement est la confusion mentale.

Moi-même durant plusieurs semaines je me suis retrouvée dans cette confusion mentale liée à la panique, à l’enfermement brutal alors que je devais voyager, aux personnes qui autour de moi (venant de France en premier lieu) étaient paniquées et transmettaient leur panique. Il faut le dire : on n’y comprenait rien ! Du jour au lendemain arrivait un danger imminent sur l’humanité justifiant des mesures liberticides et tueuses que personne n’avait le droit de contester, au nom de la nouvelle religion d’un « virus » qui opérait une table rase totale sur toute notre vie d’avant, tous nos savoir-faire médicaux, toutes nos organisations de société, et justifiait que l’humanité soit paralysée, ce qu’elle n’a jamais vécu dans toute son Histoire.

Cette confusion mentale provient notamment du langage paradoxal : les sains sont en réalité malades (potentiellement porteurs donc malades), les vieux à protéger sont en réalité abandonnés, délaissés et tués (ex.: ordres de non-réanimation), les enfants à protéger sont maltraités (ex.: désocialisés du jour au lendemain, plusieurs mois sans aucune instruction dans divers pays de la planète, avec des parents fragilisés ne sachant pas s’ils vont pouvoir les nourrir).

Autres paradoxes : pour traiter une maladie qui présente des symptômes respiratoires, nous empêcher de respirer (le masque est désormais devenu le fétiche de cette « pandémie », devant lequel se prosterner, qui ne se prosterne pas fait partie des exclus, et justifie toutes les répressions possibles, même les appels au meurtre que j’ai pu lire sur les réseaux sociaux).

Le mal paranoïaque se répand : tout le monde est mon ennemi et peut me contaminer, même mon partenaire, mon mari ou mon épouse peut devenir mon ennemi et je dois m’en isoler.

Voici en quelques mois, dans le monde entier, l’avènement d’un monde paranoïaque où plus personne n’est prêt à assumer le danger de la maladie et de la mort et troque (de gré ou de force) sa liberté contre un pacte pervers : je te protège mais tu m’appartiens et je te mets sous tutelle, tu deviens ma chose.

[…]

Cette mort de l’humanité, nous en sommes tous rendus responsables, car évidemment c’est de la faute des citoyens qui n’ont pas assez obéi ! Vous êtes tous coupables en puissance (et non en acte !) de contaminer l’autre, et en puissance, de le tuer. Si vous ne vous soumettez pas sans réfléchir aux ordres politiques d’obéissance inconditionnelle, vous êtes encore plus coupables et désignés comme les personnes à abattre, les « mauvais » citoyens.

Une petite question au passage : Qui détruit la planète depuis des décennies ? Qui détruit la nature, les ressources naturelles, le vivant ? La grande industrie et le grand capital. Et ces gens, qui sont ceux-là mêmes qui sont aux commandes pour la gestion de cette « pandémie », se seraient repentis et voudraient aujourd’hui œuvrer de façon philanthropique pour « le bien » de l’humanité ?

Le sentiment de culpabilité qui nous est injecté en permanence a pour spécificité de nous réduire au SILENCE, avec notre consentement.

[…]

Voulons-nous vivre dans un monde où nous sommes dépossédés de tout libre-arbitre, un monde régi par le contrôle, l’infantilisation, la peur, l’obéissance aveugle, le chantage, la culpabilité, l’arrachement de nos liens affectifs et notre mise sous dépendance économique, mais également un monde où nous servons de cobayes chaque jour de plus en plus ?

[…]

Y a-t-il quelque chose qui peut faire encore plus peur à la majorité des gens que ce monde que je vous décris ? Oui. Les gens ont encore plus peur que tout de se rendre compte que ce sont des cyniques psychopathes qui jouent avec leur vie, leur mentent, les harcèlent et les manipulent. Et ils préfèrent alors justifier toutes ces mesures, et même s’inventent d’autres peurs permettant de préserver leurs illusions : le déni de voir le harcèlement en face, qui supposerait d’admettre que nous sommes manipulés et persécutés, et probablement que nous n’avons pas d’autre porte de sortie que d’affronter le problème. Alors on se bande les yeux en plus de se couvrir le visage.

C’est le problème majeur.

Ceux des ordres desquels nous dépendons dans la mesure où nous leur obéissons représentent des parents de substitution (qui nous disent si c’est bien/si c’est mal, etc.) et que faire si nos parents de substitution sont des psychopathes qui nous veulent du mal ? Automatiquement, sur le plan psychologique, lorsque nous ne voyons pas d’issue, il est très fréquent que l’on rentre dans le délire du bourreau, et qu’on le justifie.

Cela s’appelle : le syndrome de Stockholm.

Ainsi, la plupart préfère s’illusionner quand bien même nous allons directement à l’abattoir.

[…]

Encore une fois, nous n’avons pas besoin d’être pour ou contre absolument, la pensée ne fonctionne pas avec des dogmes et des litanies à répéter en boucle : « Lavez-vous les mains cinq fois par jour » ou autres slogans de ce type ! La seule bonne nouvelle, c’est que le monde aura les mains plus propres qu’en 2019, enfin au sens propre car au sens figuré je crains que beaucoup ne se soient sali davantage les mains cette année. Nous avons besoin de : penser. Sans inquisitions, sans Cerbère pour nous dire « pas le droit de penser cela », sans harpies venant nous persécuter dès que nous osons sortir du dogme officiel.

[…]

A quels freins nous opposons-nous d’ailleurs pour bien diagnostiquer la situation ?

La propagande de masse

L’incrédulité face au cynisme et à la malveillance qui nous ciblent (nous les peuples) et la banalisation du mal

Déni partiel ou total

Le déni est l’impossibilité partielle ou totale de se représenter la perte du monde que nous avions connu. Tout le monde espère « le retour comme avant », en niant la réalité de ce qui se passe, et le traumatisme subi.

Les clivages

Avec les clivages, le corps social se divise en deux camps farouchement opposés : ces fameux clivages entraînent des discussions stériles, des brouilles au sein des familles, et sont la marque de la manipulation comme de la pathologie mentale qui circulent dans le corps social.

Pourquoi les gens se disputent sur le masque/pas masque ? Parce qu’on les conditionne à le faire, à coups de slogans, et non de pensée ! Parce qu’il existe des dogmes insérés (opinions érigées en vérité) qui font que, selon si vous avez été sensible à tel dogme ou tel autre, vous allez défendre telle thèse ! Par exemple, l’on nous a dit qu’il fallait nous tenir à 2 mètres de l’autre, et cela, à partir de la PEUR. Nous n’avons pas validé une pensée, mais enregistré un bon et un mauvais comportement associé à une PEUR. Donc c’est la peur qui domine la pensée ! La peur dont Platon avait pourtant dit qu’il ne faut jamais la laisser diriger l’attelage de votre carriole ! Il faut la tenir en respect sur le siège arrière, car c’est à partir de la peur que les pires horreurs se sont vues dans l’Histoire de l’humanité.

[…]

Ces clivages entraînent une impossibilité de se comprendre, car les personnes tout simplement ne parlent pas avec un même niveau d’information, et non en essayant d’entendre le point de vue de l’autre et en cherchant à partir de quels arguments il peut soutenir un tel point de vue. C’est le slogan de la peur qui prime, il ne peut donc pas y avoir de discussion éclairée avec des émotions qui ont envahi le psychisme de la personne. Et je parle de la peur, mais nous pourrions tout aussi bien parler de la culpabilité.

La peur et le sentiment d’impuissance, doublés de l’impossibilité de comprendre les manipulations psychiques et les conflits de loyauté dans lesquels nous sommes emprisonnés par la propagande de masse, engendrent alors l’agressivité dans le corps social.

N’essayez plus donc de convaincre des émotions, c’est peine perdue !

Il y a, face au délire paranoïaque, et c’est toujours la même histoire, ceux qui sont convaincus par l’analyse, la démonstration (et pas forcément les intellectuels, dont les études en psychologie sociale ont malheureusement démontré la soumission majoritaire aux systèmes totalitaires), et voient le danger arriver, et ceux qui ont besoin d’expérimenter la paranoïa dans son moment totalitaire de destruction massive pour être forcés d’ouvrir leurs yeux qui seront remplis de larmes. C’est ainsi, et nous devons je crois travailler à l’accueillir avec compassion, sans engendrer davantage de frustration, de colère, ou d’agressivité. La vague totalitaire, nous l’expérimentons, elle arrive.

[…]

Rappelons-nous la dialectique du maître et de l’esclave dans La Phénoménologie de l’Esprit. Hegel ce faisant y décrit le parcours de la conscience qui se révèle à elle-même. La première phase est celle de l’asservissement, l’esclave étant devenu esclave pour avoir préféré la servitude à la mort, et sa reconnaissance est essentielle pour le maître qui a besoin de jouir de son pouvoir dans le regard de l’esclave. Le maître réduit bien évidemment l’esclave à une chose (objectivation), non comme un être conscient de soi. Sa volonté est d’objectiver. Il n’y a pas de maître sans esclave, indique Hegel. Le maître dépend donc de l’esclave pour exister en tant que maître !

Ensuite vient la phase du retournement. Hegel précise que la relation de l’esclave à l’être est dialectique, car son être est nié par son instrumentalisation en tant qu’esclave, réduit à l’état de marchandise, mais il est impossible que ce moment du négatif ne rencontre pas sa résolution, de par la nature universelle de la dialectique de L’Esprit. En clair : le moment du négatif absolu est voué à disparaître. L’on devient esclave à cause de la peur de la mort. Mais l’esclave, parce qu’il est porteur du désir de liberté et incarne l’Esprit, tandis que le maître repose sur sa dépendance à l’esclave, finit par retourner la situation et se libérer du maître.

Ainsi en va-t-il du chemin de la conscience humaine.

Nous l’emporterons car nous sommes plus nombreux, plus puissants, plus créatifs, plus courageux que ces psychopathes qui jouent avec notre humanité et s’en nourrissent comme tous les prédateurs harceleurs. Nous l’emporterons oui, mais à une seule condition : que nous ne renoncions pas à ce qui fait de nous un esclave qui renversera son maître : l’Esprit.

Si nous nous laissons déposséder de notre Esprit, parce que nous le permettons, il est certain que le Maître ne règnera plus que sur des esclaves décérébrés, sans connexion à leur subjectivité, ni à des idéaux, ni à des lois morales et spirituelles.

C’est d’un très grand raffinement ce qui se passe.

[…]

Enfin, je dois dire au titre de la psychologue pour enfants que je suis en première formation, que je suis très alertée par le formatage totalitaire à l’école, qui devient un lieu de maltraitances et de désocialisation dans certains pays sous l’effet de cette pandémie (enfants dans des cages en Thaïlande par exemple), et les déclarations sur le port du masque obligatoires à 6 ans à l’école me paraissent absolument inquiétantes. On met des enfants dans des cages sans que personne ne bronche ? On leur impose les instruments du musellement ? Ouvrons les yeux sur les conséquences de prendre les enfants pour cobayes de tout ce délire paranoïaque.

Un enfant est en construction psychique et relationnelle, il apprend à reconnaître les intentions de l’autre sur son visage, avec son sourire, et il a besoin du contact. L’école devient le lieu donc de l’abrutissement mais aussi de la déconstruction de la socialisation, c’est impressionnant de non-sens ! Protégeons les enfants des expérimentations psychologiques et psychosociales hasardeuses et des maltraitances.

[…]

La protection des enfants est une priorité fondamentale pour l’humanité, il est temps de ne plus négocier sur le sujet, et je dirais, il est temps que les parents retrouvent leurs instincts de protection et ne se laissent plus avaler et distraire par le quotidien qui ne leur permet plus de distinguer les dangers réels auxquels sont soumis leurs enfants.

[…]

Refusez systématiquement les néologismes de la novlangue, et ne les prononcez pas pour ne pas incorporer leur existence dans le nouveau langage délirant orwellien. Dans ces néologismes, le plus célèbre est « complotiste », qui ne veut rien dire, et vise à modifier notre représentation du réel par un langage trafiqué et pervers. « Complotiste » signifie « à bannir », « à persécuter », « à ostraciser », et rien d’autre. Ce néologisme paralyse comme une menace de bannissement toute pensée qui vient interroger le péril face auquel l’humanité se trouve, les dérives du pouvoir et ses ambitions totalitaires. Car qui dénonce les complots que fomentent les puissants au pouvoir contre les peuples, cela s’appelle, non pas un complotiste, mais : un philosophe. C’est ce que la haute philosophie politique et morale, à commencer par Platon, Aristote et Cicéron, s’est attelée à faire depuis la nuit des temps.

[…]

Accrochez-vous au divin, au vivant, à « l’énergie spirituelle » comme la nommait Bergson, travaillez le détachement des paniques émotionnelles pour ne plus être manipulés par vos émotions.

Redevenons des êtres dont la dignité ne se négocie pas, des êtres à la structure vertébrée, accrochés à nos idéaux de justice, de vérité, de liberté, de paix, qui nous transcendent et nous humanisent. Nous ne sommes pas des mollusques, nous sommes des vertébrés et nous devons nous redresser absolument, en retrouvant notre cœur, c’est-à-dire notre courage de valeureux protecteurs du vivant sur terre.

Une poignée de psychopathes ne peut contrôler le monde que si nous y consentons et nous l’acceptons. Une poignée de résistants peut le sauver ; ils n’ont jamais été bien nombreux, ceux qui ont pu voir en face le moment paranoïaque lorsqu’il commence sa déferlante, la psychologie sociale parle en général de 1% capable de remettre en question le pouvoir lorsqu’il dérive sur un mode totalitaire, et ce sont généralement les gens qui ont des forces vives en eux, encore une fois, et non ceux qui, à force de trop penser, se sont déconnectés de leur cœur.

[…]

Sauvez vos âmes face à la loi martiale qui risque de se répandre sur le monde entier. Mais rappelez-vous que jamais dans l’Histoire le moment totalitaire n’a duré ad vitam aeternam dans sa tension maximale, car la terre est régie par cette énergie spirituelle du vivant.”

Lire l’intégralité de l’article :

– Ariane Bilheran : “Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave”

http://www.arianebilheran.com/post/le-moment-paranoiaque-vs-deferlement-totalitaire-face-a-la-dialectique-du-maitre-et-de-l-esclave

– Télécharger l’article au format pdf

https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/09/Breve_31-08-2020.pdf

- “Il y a eu beaucoup trop de décès dus à l’isolement” selon la Dr Martinaux, auditionnée par la commission d’enquête du sénat - covidinfos.net 7 septembre 2020

Extraits de l’audition de Joëlle Martinaux du 1er Septembre, dans le cadre de la commission d’enquête sénatoriale sur la gestion de la prise en charge à domicile pendant la crise sanitaire. Joëlle Martinaux est la présidente de l’Union nationale des centres communaux et intercommunaux d’action sociale (UNCCAS), ancienne adjointe au maire de Nice et également médecin urgentiste.

« On a trouvé beaucoup trop de personnes âgées décédées chez elles parce qu’elles n’avaient plus mangé, parce qu’elles n’avaient plus bu. Ou tout simplement, avec ce fameux syndrome de glissement, parce qu’elles pensaient que la vie allait s’arrêter pour elles. »

« Rien ne justifie qu’on mette en isolement total des personnes très âgées ou des personnes en difficultés fonctionnelles. Des personnes qui étaient normalement autonomes se sont retrouvées du jour au lendemain trop isolées, car inconnues des différents services. »

« Des personnes qui étaient autonomes ne marchent plus car les kinés – qui n’avaient pas de matériels de protection – ont arrêté leurs visites. »

Elle a également été choquée par « l’impossibilité d’aller voir les personnes âgées à l’hôpital, quelque chose d’inhumain à notre époque. »

Elle évoque également le traitement médiatique qui est fait de la crise.

« Que les médias martèlent tous les jours que les personnes très âgées vont mourir, c’est absolument dramatique, c’était la fin du monde pour elles […]. C’était très anxiogène pour toutes ces personnes, et ça l’est encore maintenant, car vous avez des personnes qui ne sortent toujours pas. »

« Aujourd’hui quand vous voyez les informations avec X cas, il faudrait vraiment préciser de quoi on parle […] Quand vous avez chaque jour le nombre de nouveaux cas, mais de quoi on parle ? Est-ce que c’est des tests positifs, ou est-ce que c’est des personnes malades ? Ça c’est important. Pour le moment, ce n’est pas du tout clair. »

Elle insiste également sur la comptabilité des personnes mortes à domicile.

« Les constats de décès à domicile n’ont pas forcément été pris en compte, et ne le sont toujours pas. »

« Il y a eu des décès directement liés au COVID, et il y a eu, je le redis, beaucoup trop de décès dus à l’isolement. On a fait ouvrir des portes et on a retrouvé beaucoup trop de personnes âgées par terre, certaines décédées. »

« Le comptage des victimes et des décès, je pense que ça doit passer par l’état civil, recenser pendant cette période tous les décès […] et puis enquêter sur les causes du décès et les conditions. »

Selon elle, il faut « prendre en compte tout décès à domicile, ou en EHPAD, et connaître la cause. » De plus, « On oublie aussi, c’est important à signaler, les personnes chroniques qui n’ont pas été hospitalisées. Et on en a des tonnes à l’heure actuelle. Des personnes en situation de cancer, qui ont leur chimiothérapie qui ont été interrompues pendant 3 ou 4 mois. Ça c’est quelque chose qui n’est pas possible. »

« Plus jamais d’isolement sous prétexte de contamination, on est au 21ème siècle »

Sources :

– Vidéo de l’audition (courte)

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/covid-19-on-a-trouve-trop-de-personnes-agees-decedees-chez-elles-184347

– Vidéo complète de l’audition

https://videos.senat.fr/video.1736798_5f4c27755d58d.table-ronde-sur-les-prises-en-charge-a-domicile

– Maire Info : Les services à domicile, éprouvés par le coronavirus, dénoncent le défaut d’approche sociale de la crise sanitaire

https://www.maire-info.com/coronavirus/les-services-%C3%A0-domicile-eprouves-par-le-coronavirus-denoncent-le-defaut-d%27approche-sociale-de-la-crise-sanitaire-article-24458

- “Culpabilisation, conditionnement, mensonge…” Le Dr Badel dénonce des “techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires” - covidinfos.net 7 septembre 2020

Voici une tribune qui nous a été soumise par le Docteur Frédéric Badel, psychiatre, qui explore les différentes techniques de manipulation mises en œuvre depuis le début de la crise actuelle… Covid 19 : techniques de manipulation

Sauf à vivre en anachorète ou à être engagé dans une retraite méditative, il n’a échappé à personne que notre façon de vivre a été modifiée de façon radicale avec les mesures imposées de « distanciation sociale », le port du masque et la mise en pièce de notre économie. Avec une facilité déconcertante, le gouvernement a brisé notre façon de vivre ensemble, restreint nos libertés individuelles fondamentales et il nous prépare quotidiennement à de futures mesures.

Comment en arrive-t-on à un résultat si rapide ?

Le pilier sur lequel repose une telle prouesse est le conditionnement à la peur. Par la diffusion répétée de messages de danger accompagnés de stimuli tels un son, une image, il est possible de créer assez rapidement chez la plupart des individus un réflexe de peur ancré dans le centre de la peur, un petit noyau dans notre cerveau le plus primitif (nous le partageons avec les reptiles). Les mécanismes de régulation qui logent dans des structures plus élaborées du cerveau (observation, analyse, jugement, classement), qui opèrent normalement une régulation par rétrocontrôle, se trouvent débordés et ce petit noyau reste anormalement activé.

A chaque nouvelle stimulation, il va être excité, sans contrôle possible. Il ne reste donc à l’individu que des comportements plus archaïques, on le constate par exemple dans le stockage alimentaire ou les rixes qui apparaissent en cas de risque de pénurie.

Le conditionnement à la peur est un mécanisme automatique, extrêmement efficace et parfaitement connu. Certaines personnes sont plus disposées que d’autres à ce conditionnement.

La peur modifie donc les comportements qui perdent leur rationalité. Les soignants ne sont pas vaccinés contre la peur et, comme les autres, la subissent. Ainsi des cabinets médicaux ont été fermés, des médecins n’ont plus examiné leurs patients, la téléconsultation a connu un essor fulgurant.

Ce phénomène a été aggravé par le court-circuitage de structures de soins habituellement opérantes et performantes en cas d’épidémie ; tout devait être géré par l’hôpital, ce qui a pu engorger quelques services. Des lits ont été gardés en réserve pour la « deuxième vague », la crête de la première dans la plupart des régions n’ayant pas même été perçue, privant ainsi les patients de soins parfois urgents ou d’interventions, allant jusqu’à provoquer leur décès.

La panique chez les médecins, toujours couplée aux injonctions politiques, a conduit à priver de soins les personnes en EHPAD et plus généralement les personnes âgées. Les conséquences de ce phénomène sont aujourd’hui connues : nombre d’entre elles sont décédées dans le plus grand dénuement affectif, d’autres ont connu des altérations irréversibles de leurs fonctions cognitives ou ont perdu en autonomie. Les personnels soignants font état de cette évolution catastrophique à grande échelle.

Comme l’a affirmé en substance le professeur Raoult, un médecin qui a peur ne peut pas soigner, il doit changer de métier.

Les patients ont évité de consulter et on estime à 30000 le nombre de cancers non dépistés en se basant sur le nombre habituel moyen de dépistage.

Les hôpitaux de jour ont fermé, privant de soins les plus fragiles, en particulier en psychiatrie, et laissant les familles désemparées.

Les médias ont relayé abondamment ces nouvelles à grand renfort d’images, je pense en particulier à celles de patients transférés par réseau ferré. Ces images inhabituelles ont eu d’autant plus d’impact que leur dimension hypnotique (on cherche à comprendre) crée un cercle vicieux en stimulant les centres de la peur.

Cette même peur a favorisé des comportements de délation et éveillé chez certains des vertus de justicier. Une de mes patientes s’est vue apostrophée dans une grande surface par une cliente pour avoir toussé « madame quand on a le Covid on reste chez soi ! », un autre a failli en venir aux mains pour un masque mal positionné. De nombreuses personnes soumises à la peur et déconnectées de leur intelligence s’érigent en justicier ou en bon élève qui penserait «Je suis dans mon droit, je suis toutes les recommandations officielles.»

Le conditionnement est renforcé par des distorsions de logique utilisées systématiquement. Parmi les plus fréquentes, on trouve l’abstraction sélective qui consiste dans le fait d’isoler un élément mineur et ne traiter que celui-ci. A titre d’exemple, on mentionnera le cas de cette adolescente décédée et les cas de Kawasaki chez l’enfant, qui cultivent auprès du plus grand nombre l’idée que le virus concerne indifféremment toutes les classes d’âge. La généralisation va généralement de pair avec l’abstraction sélective: un détail particulier vient couvrir tous les faits. (« le virus tue les jeunes »). On pourrait conclure selon la même logique qu’il faut abandonner le vélo car il est mortel, que l’on soit cycliste amateur ou professionnel.

Ce conditionnement à la peur, qui a fait prendre de si mauvaises décisions, a été couplé à une culpabilisation majeure et incessante. Celui qui ne respecte pas les consignes est responsable de l’aggravation des consignes restrictives, de la poursuite de l’épidémie, de la mort de ses proches. Cette culpabilisation se poursuit aujourd’hui au moyen de messages martelés dans tous types de médias intimant de ne pas embrasser ses proches ou recommandant des barbecues masqués entre amis car nous sommes des personnes responsables. Il faut protéger les plus fragiles, message louable mais cynique car il a conduit à infliger à nos aînés le pire, la privation de contacts et de soins.

Le détournement du sens des mots et l’introduction de mots nouveaux. Le chef de l’Etat a déclaré que nous étions en guerre. Nous n’avons jamais été en guerre mais cela a permis de faire passer facilement le principe de l’état d’urgence et d’imposer toutes les mesures sans concertation. De même une sémantique inconnue a progressivement colonisé notre langue pour devenir aujourd’hui banale. Il en est ainsi du cluster. Qui connaissait le mot ? A n’en pas douter peu d’entre nous. Le cluster s’est imposé et il est devenu une menace, un autre stimulus de la peur, car il semble savant donc « sachant ». Il ne désigne pourtant qu’un foyer de contagion (il existe d’autres significations en musique, informatique etc). Dans ce registre on peut également noter la confusion entretenue sciemment entre « cas positifs » et « malades ». Ne pouvant continuer à nous conditionner en égrainant quotidiennement les nombres des malades ou des victimes décédées, ces derniers diminuant, le chiffre des cas positifs est substitué, entretenant ainsi le sentiment de peur.

Actuellement, on continue à nous maintenir dans l’idée d’une épidémie de cas positifs, sans victime, sans malade.

D’autres mécanismes sont également employés.

Le mensonge ou l’action volontaire de tromper : mensonge sur la disponibilité des masques, sur leur utilité qui n’est pas prouvée (des études allemandes rapportent même des effets délétères du port du masque généralisé- présence de microplastiques ; le système européen RAPEX a rappelé 70 modèles de masques car ils ne répondaient pas aux normes de qualité de l’UE et pouvaient entraîner des « risques graves »), sur leurs commandes, mensonge sur la léthalité du Covid (CDC aux USA par exemple), sur l’action de lhydroxychloroquine (HCQ) et sur ses effets secondaires (Carlucci et al, mai 2020). Nous sommes pour cela moqués par les Africains qui utilisent couramment cette molécule (nos soldats également) et chez lesquels l’usage généralisé n’a pas entraîné l’hécatombe promise et a même peut-être permis de limiter les décès. Mensonge sur la nécessité d’un vaccin (on ne vaccine pas une population contre un virus à létalité faible) . Pour plus de détails, les études référencées et leurs résultats figurent sur le site de « Swiss Policy Research »

La suppression de toute voix divergente : la voix la plus connue en France est celle du Professeur déjà nommé. Difficile de l’entendre en dehors de sa chaîne IHU Marseille ; mais si on lui prête parfois la figure d’un original, il est en réalité loin d’être le seul à avoir des opinions qui divergent des positions officielles. De nombreuses études, dans différents pays, concluent à l’inutilité voire la nocivité des masques en extérieur, remettent en question le taux de mortalité du virus etc… Sans se prononcer ici sur la pertinence de ces positions, reconnaissons qu’il est anormal que toute voix divergente soit inaudible ou discréditée d’entrée et qu’il faille vraiment chercher pour y avoir accès !

L’étiquetage : toute personne ayant un avis divergeant est suspecté de complotisme, de liens avec l’extrême droite. Ce procédé permet de faire l’économie d’une réflexion pourtant indispensable ; il est décrété sans analyse aucune ni réflexion que untel est complotiste. Votre intelligence est laissée de côté.

La fausse bienveillance ou injonction paradoxale. Elle consiste à lier deux propositions qui empêchent toute décision et elle paralyse l’action. Par exemple il est laissé à l’appréciation de chacun de porter le masque à l’extérieur dans certaines villes mais un plan de reconfinement est déjà prêt si l’épidémie repart. Ce procédé, bien connu des psychiatres, est un procédé qui rend fou.

Si vous le couplez au grand niveau d’incertitude entretenu volontairement sur la suite de l’épidémie, vous devenez diabolique.

Prédire certains aspects de l’avenir. Malgré l’incertitude savamment orchestrée, dès le début de cette crise, il a été dit que l’épidémie allait durer, que la rentrée de septembre ne se ferait pas normalement, et, surtout, le mythe du « monde d’après » a été développé et entretenu. C’est là un autre aspect de la manipulation mentale, du lavage de cerveau ou de la propagande. Je vous dis que nous sommes entrés dans le monde d’après, (ceci est rabâché à l’envi), dès avril ou mai. Quoi que l’on fasse, quoi qu’il se passe, le monde d’avant aura disparu. Le maintien des mesures de privation de liberté me donne raison.

Ceci est une insulte à l’intelligence puisque la prophétie, par les mesures prises, s’auto-vérifie : malgré des chiffres officiels très bas de décès et de passage aux urgences (voir Geodes santé publique France), le maintien de la distanciation sanitaire et du port du masque maintient l’idée de l’épidémie.

Nous sommes préparés à des mesures restrictives « jusqu’à la vaccination ». Aucune autre voie de sortie ne semble envisageable.

La sanction permet de rappeler à l’ordre ceux qui n’auraient pas été suffisamment sensibles au conditionnement. Et les chiffres montrent que le procédé a été largement utilisé en France. Le niveau de verbalisation a été important, plus d’un million d’amendes ayant été appliquées pendant le confinement.

Le cocktail conditionnement à la peur, culpabilisation, sanction est extrêmement efficace.

Quelles conséquences ?

Les mesures prises ont laissé notre économie exsangue. Or, les pertes d’emplois et les faillites ont toujours été accompagnées d’une épidémie de suicides.

Le nombre de morts par suicide, par manque de soins, par absence de dépistage, par tristesse seront-ils décomptés ? Combien verrons-nous de deuils compliqués, séquelles de mesures inhumaines interdisant tout rassemblement ?

Selon certaines prospectives, les mesures prises feront bien plus de morts que le virus. Nous restons dans une incertitude cultivée, avec une population clivée entre pro et anti-masques. Ce climat est délétère et favorise la violence et l’émergence des redresseurs de torts ; la privation de liberté favorise également la violence.

Que faire ?

A titre individuel, il est difficile de lutter contre cette propagande. Nous voyons que l’usage immodéré des outils de communication ici évoqués de façon non exhaustive ne nous permet pas une grande marge de manœuvre.

Mais rien n’empêche de bannir les chaînes d’information continue qui activent en permanence la peur. Personne n’est contraint d’écouter les chaînes principales d’informations acquises à des grands groupes, il est possible à chacun de trouver des sources d’information alternatives auprès de journaux indépendants, en ligne principalement, et nous pouvons, professionnels de santé, nous regrouper pour dénoncer l’absence de concertation.

Nous pouvons apprendre à ne pas croire tout ce qui est dit ou montré à la télévision. Les techniques de manipulation dans ce domaine sont pléthore (voir par exemple sur Swiss Policy Research).

L’humanité n’en est ni à son premier, ni à son dernier virus. Les virus sont omniprésents, nous en hébergeons en permanence. La seule nouveauté réside dans les comportements humains mis en œuvre pour se protéger du Covid.

Quelle que soit la dangerosité d’un agent, viral ou autre, rien ne peut justifier dans une démocratie le confinement contraint d’un peuple. On peut faire de la pédagogie, de l’éducation, de l’information. Mais actionner le volet répressif, appliquer des mesures coercitives privatives de liberté en vertu du principe de précaution ou de n’importe quel autre principe, sans preuve dans notre cas de l’efficacité de telles mesures, est catastrophique sur le plan humain. Cela participe à la déshumanisation de notre pays (autrui est suspect de vous contaminer, vous vivez masqués et muselés, les lieux de réjouissance restent fermés, ceux qui sont ouverts le sont parfois selon des horaires définis de façon incompréhensible, confinant à l’arbitraire…). Mandat est donné aux élus de protéger les citoyens, pas de les bâillonner ou de les priver de leurs moyens de subsistance.

Si le virus fait de nouvelles victimes, et il en fera dans les populations fragiles dès l’automne comme le font les virus chaque année, on pourra dire que celui qui n’a pas appliqué strictement les consignes est fautif. Le confinement vous menace. On vous infantilise.

Si le virus disparaît, ce qui est peu probable car les coronavirus alternent mais ne semblent pas disparaître, le gouvernement pourra se féliciter d’avoir bien agi.

Dans tous les cas de figure, il sort vainqueur de la crise. Et s’il redéfinit l’épidémie comme étant un grand nom de personnes testées positives, quelle issue peut-on imaginer à cette crise ?

Ces techniques de manipulation mentale sont dignes des régimes totalitaires. Ce qui se profile, et ce à quoi on nous prépare, c’est le traçage, le passeport sanitaire, voire une obligation ou une forte incitation à la vaccination, des restrictions encore plus importantes de nos libertés individuelles.

Le Covid peut constituer un coup d’essai. Il permet à ce jour de mesurer la docilité du peuple, son pouvoir de rébellion.

Quand un Etat décide du bonheur de son peuple et qu’il le juge incapable de décider par et pour lui-même, la voie est ouverte à la dictature (ici sanitaire) ; tous les signes semblent être présents : la rhétorique, les moyens de contrainte, l’annonce du monde d’après.

Nous devons nous poser la question du type de société que nous voulons créer. Celle du tout sanitaire et du risque zéro me paraît constituer la pire des options car, d’une part, elle esquisse la voie de moyens de contrôle de toute la population, de restrictions de plus en plus grandes de nos libertés fondamentales et institue un délire paranoïaque à grande échelle, et d’autre part est un non-sens ou une négation ontologique. covidinfos.net 7 septembre 2020

- “La Covid-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants” selon les professeurs en pédiatrie Gras-Le Guen et Hankard - covidinfos.net 7 septembre 2020

UP’ Magazine a publié hier une longue interview des professeurs en pédiatrie Christèle Gras-Le Guen et Régis Hankard qui affirment que «la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique». Extraits ci-dessous ou consultez l’interview complète ici.

UP’Magazine : En pleine rentrée, où en est-on des recherches sur l’impact du SARS-CoV-2 sur les enfants ? Christèle Gras-Le Guen : Lorsque le confinement a été décrété, nous ne savions encore que peu de choses sur ce nouveau microbe. Depuis, nous avons recueilli et analysé de nombreuses données, non seulement françaises mais aussi internationales, sur les aspects pédiatriques de cette infection. Elles nous ont permis de beaucoup progresser dans la compréhension de l’épidémiologie et du rôle des enfants dans la chaîne de transmission. En revanche, les travaux pour comprendre le mécanisme d’action du virus sont encore en cours.

Ce qui est rassurant, c’est que tout converge vers la même conclusion : la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique. Les enfants ne s’infectent que très peu, et lorsque cela leur arrive, ils sont dans l’immense majorité des cas atteints par des formes bénignes, voire asymptomatiques, de la maladie. Cet été par exemple, au CHU de Nantes, nous avons testé systématiquement tous les enfants qui se présentaient avec de la fièvre ou des symptômes évocateurs de Covid-19, mais nous n’avons détecté que 4 cas positifs parmi plus de 1000 enfants testés.

Autre point important : les enfants sont très peu impliqués dans la chaîne de transmission de l’infection, en particulier avant dix ans. De nombreux cas en attestent.

En France, fin janvier 2020, un touriste britannique testé ultérieurement positif pour la Covid-19 a côtoyé quinze personnes dont trois enfants lors de ses vacances aux Contamines-Monjoie. Onze adultes se sont ensuite révélés positifs pour la maladie, tout comme l’un des trois enfants, âgé de 9 ans. Durant sa période symptomatique, ce jeune garçon a côtoyé 80 écoliers, dans trois écoles différentes. Pourtant, lorsque ses contacts ont été retracés, aucun cas secondaire n’a été détecté.

“L’idée qui se dégage de ces observations est qu’il ne faut surtout pas que les enfants fassent l’objet de mesures draconiennes, pénibles à vivre”

En Irlande, des travaux ont également évalué la transmission de la maladie au sein des écoles. Avant leur fermeture le 12 mars, trois jeunes âgés de 10 à 15 ans avaient été infectés par le virus, ainsi que trois adultes. Le dépistage de plus de 1000 enfants avec lesquels ces malades ont été en contact n’ont, là encore, mis en évidence aucun cas de contamination secondaire.

L’idée qui se dégage de ces observations est qu’il ne faut surtout pas que les enfants fassent l’objet de mesures draconiennes, pénibles à vivre, qui pourraient bouleverser leur quotidien, alors que ce microbe ne les concerne que vraiment très peu.

UP’Magazine : Même en matière de propagation de l’infection ? Voici quelques semaines, une étude parue dans JAMA Pediatrics avait semé le doute… Christèle Gras-Le Guen : Il est important de revenir sur ces travaux et surtout, de les mettre en perspective avec d’autres études. Certes, les enfants sont susceptibles aussi de transmettre l’infection, puisqu’ils excrètent eux aussi du virus. Cependant, la réalité est plus nuancée.

Les auteurs des travaux parus dans JAMA Pediatrics ont mesuré la quantité de virus présente dans le nez de 145 personnes (enfant et adultes) vivant à Chicago et atteintes de formes de Covid-19 légères à modérées, une semaine après le début de leurs symptômes, entre le 23 mars et le 27 avril 2020. Ces tests, des PCR quantitatives détectant des traces du matériel génétique du virus, ont montré que celui-ci était présent en plus grande quantité dans le nez des participants les plus jeunes. Il s’avère donc que la capacité réduite de l’enfant à transmettre l’infection semble indépendante de la charge virale mesurée par PCR, même si celle-ci semble plus élevée chez les jeunes enfants.

En effet, d’autres travaux publiés dans la revue The Lancet Child and Adolescent Health, attestent qu’en Australie, où les écoles sont restées ouvertes durant la première vague, les enfants ont très rarement été à l’origine de l’infection en cas de cluster intrafamilial. Ces recherches ont été menées dans quinze écoles fréquentées par des enfants âgés de six ans et plus et dix maternelles ou crèches accueillant des enfants âgées de six semaines à cinq ans. Sur douze enfants et quinze adultes contaminés, seuls cinq cas secondaires sur 914 contacts retracés ont été diagnostiqués dans les écoles. Dans les crèches et maternelles, sur les dix établissements concernés, neuf n’ont connu aucun cas secondaire, pour 497 contacts retracés. Dans l’établissement où des cas secondaires ont été détectés, la transmission s’est faite d’adultes à adultes et d’adultes à enfants uniquement. Enfin, tous établissements confondus, le taux d’attaque d’enfant à enfant s’est avéré être de 0,3 %. Celui d’enfant à adulte était de 1 %, tandis que celui d’adulte à enfant était 1,5 %, et celui d’adulte à adulte, de 4,4 %.

Cela correspond à ce qui a été observé par d’autres équipes. Lorsqu’on s’intéresse aux adultes contaminés et qu’on recherche qui les a initialement contaminés (le « patient 0 » ou « cas index »), dans l’immense majorité des cas, il s’agit d’un adulte. Les situations où le cas index est un enfant sont exceptionnelles.

Autre point à souligner : la revue de littérature exhaustive que nous avons menée en prévision de la rentrée fait ressortir que les enfants s’infectent moins que les adultes, et que ceux qui sont infectés ont contracté la maladie dans leur cercle familial, et pas à l’extérieur, à l’école par exemple, comme on aurait pu le craindre.[…]

Lire l’intégralité de l’interview :

UP’ Magazine : – “La Covid-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants”

https://up-magazine.info/le-vivant/sciences/65177-la-covid-19-nest-pas-une-maladie-qui-concerne-les-enfants/?login=true

- Pour le Pr. Knut Wittkowski : “la stratégie actuelle ne fera que prolonger la crise” - covidinfos.net 3 avril 2020

Deuxième épisode de la série “Perspectives sur la Pandémie”, interview du Professeur d’épidémiologie Knut Wittkowski qui dénonce les mesures de confinement et d’isolement social qui selon lui seraient un “facteur d’aggravation objectif de l’épidémie”.

Le Professeur d’épidémiologie Knut Wittkowski qui a dirigé pendant 20 ans le Département de Biostatistiques, Epidémiologie, et Recherche de l’université Rockefeller est interrogé ici sur sa vision de la pandémie actuelle et sur les mesures pour la contrer. Il affirme que l’éloignement social et le confinement sont la pire façon de lutter contre un virus respiratoire aéroporté. En outre, il offre des données pour montrer que la Chine et la Corée du Sud avaient déjà atteint leur pic de cas lorsqu’ils ont institué leurs mesures de confinement. En d’autres termes, la nature avait déjà atteint, ou presque atteint, l’immunité collective.

Le professeur Wittkowski demande instamment que les écoles soient rouvertes maintenant, afin que le virus puisse se propager sans danger parmi les jeunes, et ainsi raccourcir la durée de confinement des personnes âgées et immunisées. “Notre stratégie actuelle, prévient-il, ne fera que prolonger la crise et garantira probablement une « deuxième vague » d’infections à l’automne.”

Voir la vidéo (anglais) :

Pour générer des sous-titres en français automatiquement cliquez sur Paramètres (la petite roue en bas à droite de la vidéo) puis Sous-titres puis Traduire automatiquement > Français

Comme vous pourrez le constater en essayant de regarder la vidéo, elle a été supprimée par YouTube. covidinfos.net 3 avril 2020




QUATRIEME PARTIE

Mes interventions dans le blog du docteur Maudrux.

Question à mes lecteurs : Suis-je digne de l'estime ou de la confiance que vous me portez ? A vous d'en juger. Attention, le blog de ce médecin n'est pas un blog à vocation politique, mais sanitaire ou de santé publique.

Tardieu le 6 septembre 2020

Covid-19 : Vingt-quatre professionnels de santé belges témoignent. – 04 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=dt7V5lnJ–c

Le site du collectif de soignants belges Transparence Coronavirus : http://www.transparence-coronavirus.be

Quand on lit ou on écoute attentivement les déclarations de professionnels de médecine dans des interviews ou des vidéos qui dénoncent la gestion de cette épidémie et les mesures imposées par les gouvernements, on constate non sans un certain étonnement, qu’ils ne sont pas d’accord entre eux sur un ou plusieurs facteurs, test, masque, confinement, immunité, etc. ce qui nuit à leur message ou à leur crédibilité, tandis qu’en face, les porte-parole de la propagande officielle ou du déni permanent de la réalité parlent d’une seule voix, ils font preuve d’une unanimité presque sans faille sur tous les sujets évoqués plus haut.

Ces contradictions entre professionnels de la santé ne devraient pas avoir lieu d’être. Elles révèlent de graves lacunes dans la manière d’appréhender la réalité et la perception qu’ils ont d’eux-mêmes, car apparemment, soit ils ne s’en aperçoivent pas, soit ils s’en moquent ou ils estiment que ce serait normal ou naturel de se contredire entre eux, ce qui évidemment fournit des arguments à leurs détracteurs qui s’engouffrent dans cette faille. Si nécessaire, on peut l’observer quotidiennement dans ce blog, malheureusement.

Notre capacité de discernement n’est pas sans faille, il faut l’admettre, sinon nous n’en serions pas là et le pire nous attend.

Leur capacité de discernement est sans doute perturbée par des considérations inconscientes qui peuvent être d’ordre psychologique ou idéologique, ou tout bonnement elle manifeste un mode de penser défectueux profondément ancré en eux et qui leur joue un mauvais tour, qui se caractérise avant tout par un manque de logique. On pourrait aussi avancer qu’ils présentent des lacunes au niveau de leurs connaissances, mais là en la matière cet argument ne tient pas, et j’explique pourquoi.

Par exemple, comment peut-on affirmer que l’épidémie de covid-19 serait semblable à celle de la grippe saisonnière, et en même temps estimer que le port du masque était légitime au cours de la première phase de l’épidémie de covid-19 ?

Ce n’est pas très sérieux, car cela signifie que chaque année quand survient l’épidémie de grippe il faudrait porter un masque, alors que jusqu’à présent on avait vécu avec le virus de la grippe et on s’était très bien passé d’un masque, bref, ils cautionnent le port du masque permanent, alors qu’ils y sont opposés, vous saisissez où est le problème, n’est-ce pas ?

Je crois qu’au lieu de débattre du sexe du covid-19, je caricature, on ferait bien de commencer par s’atteler à résoudre cette question.

La question est de savoir quelle crédibilité peuvent avoir des médecins qui se contredisent sans cesse entre eux. Excusez-moi, mais on peut leur opposer qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent, ce n’est pas mon propos, mais cela peut très facilement être interprété de cette manière-là et leurs détracteurs ne se gênent pas pour avancer cet argument pour les décrédibiliser, ce qui est dommage ou dramatique.

(Un lecteur répond à un commentaire qui m'était adressé)

Sipo le 6 septembre 2020

Ce n’est pas ce que vous dit Tardieu. Il parle de discernement, de logique, de bon sens, on pourrait parler aussi de conscience : si la population est responsable par son comportement de propager une épidémie, c’est donc, en poussant cette logique à son terme, que toutes les victimes de maladies transmissibles depuis le début de l’humanité ont en fait été assassinées. Un non-sens. Or c’est bien le postulat de responsabilité / culpabilité face à une épidémie qui justifie l’acceptation de mesures coercitives et la répression. La question fondamentale est-elle réellement sanitaire ? La guerre, comme on nous l’a dit, est-elle sanitaire, l’ennemi est-il un coronavirus ? Que le scientifique prenne un instant le temps de lever les yeux de son microscope, et regarde aussi ailleurs.

Ma réponse à un lecteur arrogant.

Tardieu le 6 septembre 2020

C’est ce qui fait dire qu’il est préférable de ne pas confier son destin à des scientifiques, merci de le confirmer.

Je reformule ma question : Que valent les propos tenus par des scientifiques, professeurs ou médecins qui ont affirmé que l’épidémie de covid-19 serait semblable à celle de la grippe saisonnière, et qui en même temps ont estimé que le port du masque était légitime au cours de la première phase de l’épidémie de covid-19, alors qu’il ne le serait pas dans le cas de la grippe ou alors il faut le dire, dorénavant toute l’année durant toute votre vie vous devrez porter un masque.

On a assisté à la même embrouille avec les tests, si bien que Véran pourrait s’en prévaloir, c’était une erreur monumentale.

Il faut tester, tester, tester, et bien on y est, ce qui est inexcusable en sachant les risques prévisibles d’instrumentalisation ou de dérive idéologique auxquels cela allait donner lieu de la part de Macron, pour justifier la prorogation des mesures liberticides qu’ils avaient imposées précédemment, d’ailleurs on peut observer dans quel embarras se trouve le Pr Raoult qui en est le promoteur.

La même réflexion valait qu’avec le masque. Est-ce que tous les ans l’ensemble de la population va devoir se faire dépister pour savoir si elle a attrapé le virus de la grippe ? Non, alors ce n’était pas davantage justifié avec le covid-19. Là la marge d’erreur est égale à zéro ! Et là vous ne pourrez pas me retourner cet argument, puisque c’était le Pr. Raoult qui l’avait affirmé dès le mois de janvier ou février, et jusqu’à présent les faits lui ont donné raison.

Ma réponse au docteur Maudrux

Tardieu le 6 septembre 2020

Je vous suis. Une observation doit reposer sur les faits et non sur une théorie ou dit autrement, c’est la théorie qui doit s’adapter à la réalité et non l’inverse. Il y a des gens qui tordent le cou à la réalité pour qu’elle corresponde à tous prix à leur théorie parce qu’ils veulent toujours avoir raison.

Quand un Indien me demande s’il doit porter un masque en observant que je n’en porte pas, je lui réponds que c’est inutile et qu’il fait ce qu’il veut, et je n’ajoute pas, portez-en un quand même si cela vous rassure ou on ne sait jamais, je prends mes responsabilités, je m’assume jusqu’au bout.

Depuis la nuit des temps les hommes ont vécu en présence de virus ou de bactéries et certains en sont morts, et aujourd’hui on vient leur dire qu’ils ne pourraient plus le supporter, que dorénavant il ne devrait plus y avoir aucun mort causé par un virus ou une bactérie, et il faudrait cautionner ce discours paranoïaque. Franchement, ce n’est pas raisonnable, j’ignore si cette attitude est ou non scientifique et je m’en moque !

Le commentaire d'un lecteur.

Clotilde Amourous le 6 septembre 2020

Je suis assez d’accord avec vous, mais c’est compliqué.

Exemple : Perronne ou Toubiana : comme la plupart ils sont plutôt contre le port du masque en extérieur, peu enthousiastes sur son port en intérieur, insistent sur l’inutilité de celui-ci sur les enfants, donc à l’école. Ils font souvent allusion aux conséquences à tout le moins contre productives de ce port, mais ils refusent tous ou presque d’entrer dans le discours politique. Et on entend des Raoult dire « ça sert à rien, mais si ça rassure les gens… » Je crois qu’hélas, il est temps que ces paroles d’autorité par leur intégrité et leur humanité, sans compter évidemment leur valeur médicale et scientifique, se fasse parole politique. Je sais bien qu’ils n’en ont pas envie, que c’est contraire à leur douceur. Mais je crois que peut-être ils n’ont plus le choix si ils veulent encore protéger les gens des maladies virales ou psychiques.

Le masque aurait pu rassurer en mars ou avril, mais aujourd’hui, NON, il n’est pas fait pour rassurer mais pour maintenir les gens dans la peur et obéissance. Le masque ne « rassure » personne. Il terrorise, puisque nous mettons en danger ceux que nous aimons, que celui qui respire à nos côtés est dit-on mortifère. Il faut qu’ils le disent. De toutes façons, la cabale est au galop : ce sont tous des charlatans, des irresponsables, j’en passe, et des mortelles. C’est seriné sur tous les tons, ce sont eux qui sont poursuivis par le conseil de l’ordre, et les Lacombe, Delfraissy et consorts confortés à leurs postes.

Et on se retrouve avec des rentrées des classes où des hommes en armes surveillent les enfants jusque dans certaines cours d’école comme ceci

http://www.macon-infos.com/index.php?option=com_content&view=article&id=27189%3Ala-chapelle-de-guinchay-controle-du-port-du-masque-au-college-condorcet-ce-matin&catid=163&Itemid=294&lang=fr&fbclid=IwAR11dvMw45KU5jRvJsmnYDW8Ai5w9Xj7Mfj48umG3wuTfqoSvJAePw3NXKw

ou ceci

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10224658070785518&set=gm.648323612729600&type=3&theater

ou cela

https://www.facebook.com/Nantes.Revoltee/photos/a.336512019718311/3282503361785814.

Vous avez raison je crois, ils sont sûrs à 99,999% que la deuxième vague est une faribole, mais à cause du 0,001% ils ne sont pas péremptoires. Ils devraient, et tant pis pour le 0,001 qui est tout leur honneur. Ils ont des raisons très valables d’être sûrs, en face, il n’y a aucune réalité ni fait sérieux qui conforte la fichue deuxième vague qu’ils le clament et le répètent et le serinent.

Ils essaient de faire la part des certitudes, et de l’inquiétude que nombre d’entre eux a peut-être éprouvée, au début de l’année, et ils ne cessent de dire vouloir rassurer les gens. Leur honnêteté et leur pondération est je crois inaudible pour l’ensemble des citoyens qui, je suis d’accord avec vous, entend des non-certitudes face à des vérités contradictoires et illogiques assénées avec un aplomb qui ne cesse de m’épater.

J’ai vécu dans des pays de mort et de haine et de génocide, et ce qui se passe me terrifie vraiment.

Tardieu le 5 septembre 2020

Témoignage d’une mère de famille.

Au collège, une enfant est envoyée aux toilettes pour pouvoir respirer – 3 sept. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=PAVdRQe4LdQ&feature=emb_title

Et dire qu’il y en a qui cautionne cela, c’est monstrueux !

Tardieu le 4 septembre 2020

Le grand entretien du Professeur Perrone – Putsch Media 2 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=mWi3rivUXzg

Extraits.

“Les français ont eu très peur, après ils ont eu moins peur, maintenant on leur refait peur, je n’ai jamais vu une nouvelle peur comme ça alors qu’il n’y a plus de maladie quasiment. Tout ça c’est un peu de la manipulation de masse, je trouve qu’il y a une dérive grave.”

“Le coup des masques aujourd’hui, c’est complètement débile. Dire à tous ces gens de porter le masque toute la journée,[…] ils étouffent les pauvres… Dans les écoles c’est complètement délirant. On culpabilise tout le monde, le masque dans la rue c’est du grand délire…”

Tardieu le 3 septembre 2020

Qu’est-ce que le Covid-19, SARS-2. Comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ? La campagne de peur n’a aucun fondement scientifique par Prof Michel Chossudovsky – Mondialisation.ca, 02 septembre 2020

https://www.mondialisation.ca/quest-ce-que-le-covid-19-sars-2-comment-est-il-teste-comment-est-il-mesure-la-campagne-de-peur-na-aucun-fondement-scientifique/5648899

Extrait.

Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez le transmettre.

Un test négatif ne signifie pas que vous ne l’avez pas.

Ce que veulent les gouvernements, c’est gonfler le nombre de cas positifs.

Alors que le SRAS-CoV-2 – à savoir le virus qui serait à l’origine de la COVID-19 (classé à tort comme une maladie plutôt que comme un virus), a été isolé lors d’un test de laboratoire en janvier 2020, le test RT-PCR n’identifie/détecte pas le virus Covid-19. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments du virus. Selon le Dr B. Stadler, immunologiste suisse de renom :

« Ainsi, si nous faisons un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais une petite partie brisée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie ne serait-ce qu’une infime partie du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée]. »

Résumé

– La Covid-19 est similaire à la grippe
– L’ensemble de l’exercice de test PCR et d’établissement des données de l’infection par la Covid-19 est déficient.
– Les chiffres sont fabriqués, tout comme les certificats de décès.
– Les « cas confirmés » ne sont pas confirmés.
– Le test RT-PCR n’isole pas la Covid-19.

Ces « estimations » gonflées de Covid positif (provenant du test PCR) sont ensuite utilisées pour soutenir la campagne de peur. Le battage publicitaire sur les décès dus à la Covid-19 est basé sur des critères erronés et biaisés.

Les gouvernements s’emploient actuellement à augmenter le nombre de tests PCR en vue de gonfler le nombre de cas dits « Covid-19 positifs ».

Les tests RT- PCR ne prouvent rien:

« Aujourd’hui, comme les autorités testent un plus grand nombre de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que la COVID-19 revient, ni que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de gens qui sont testés, c’est tout ». (Dr. Pascal Sacré – Belgique)

Cette procédure de collecte massive de données est là pour fournir des « estimations » (fausses) de soutien pour justifier la soi-disant deuxième vague.

L’objectif final est de maintenir le verrouillage économique, d’imposer le port obligatoire du masque facial, de maintenir la distance sociale, y compris la fermeture des écoles, des collèges et des universités.

La tendance est à un État policier. Tout cela est basé sur un Grand Mensonge.

Tardieu – Si je peux me permettre d’ajouter un mot ou plutôt une question, on ne nous dit pas pourquoi. Sur quoi repose la société, tous les rapports qui existent dans la société ? Essentiellement sur un modèle ou un système économique. Stop ou encore ?

Un lecteur qui s'acharne sur moi.

Jacques Ritter le 3 septembre 2020

Au fait, vous avez supervisé et interprété combien de test PCR dans votre vie ? Pour ma part des centaines de milliers.

Ma réponse.

Tardieu le 5 septembre 2020

Jacques Ritter : Un troll ?

Votre suffisance vous honore, vous méprisez 99,7% de la population qui n’est pas médecin, bravo ! Vos arguments sont minables chaque fois que vous postez un commentaire, le faites-vous exprès ? Vous avez fait des centaines de milliers de tests PCR dans votre vie, je plains vos patients, pardon, vos clients, rien d’étonnant à ce la population soit en si mauvaise santé !

A la fin de l’interview que le Pr Perronne a donné à Putsch Media, il a déclaré que les mesures liberticides prises par Macron étaient manifestement de nature politique et non sanitaire, ce que nous savions depuis le premier jour, mais il y en aura toujours pour le nier. C’est aussi la limite de ce genre de blog.

Tardieu le 2 septembre 2020

A quoi cela sert-il de s’informer, de réfléchir tranquillement, librement? D’où l’intérêt de ce blog notamment.

A propos de l’immunité collective sur laquelle j’ignorais tout, j’écrivis dans ma causerie du 16 mars en me fiant à ce que j’avais lu : Quelle connerie….

Manifestement, je n’y avais pas compris grand chose ! Vous me direz que tout avait été fait pour qu’il en soit ainsi, certes, mais ce n’était pas une excuse. L’essentiel était d’en avoir conscience et de se donner les moyens de progresser à partir des connaissances scientifiques existantes. D’y accéder, de les découvrir…

Trois semaines plus tard, dans celle du 9 avril, après avoir lu d’autres articles apparemment plus sérieux, je rectifiais de la manière suivante : Si la totalité de la population d’un pays était testée, on s’apercevrait qu’à la longue pratiquement 100% porteraient ce virus ou un autre sans qu’ils soient forcément malades.

Manifestement on était sur la bonne voie !

Plus loin je précisais : Pour conclure, il n’existe pas d’immunité collective, cette formulation est incorrecte ou trompeuse. Car elle tendrait à faire croire que les défenses immunitaires pourraient se transmettre d’une personne à l’autre, or ce n’est pas le cas. (…) Il semble qu’il y ait eu une confusion avec le fait que c’est uniquement le virus qui est transmissible.

Je dirais plutôt 5 mois plus tard, qu’un manque de précision dans la réponse apportée à une question aussi délicate, dont les conséquences pouvaient être graves ou incalculables sur les plans sanitaire et social pour la population, pouvait déboucher sur différentes interprétations ou induire en erreur la plupart des gens n’ayant pas suivi un cursus médical, ce qui était mon cas.

Provenant des médias ou des autorités sanitaires, il ne s’agissait pas d’une erreur ou d’une faute d’inattention, c’était normal ou délibéré, car ils étaient animés d’intentions inavouables et nuisibles envers la population, ils n’ont cessé d’en faire la démonstration pendant 8 mois.

Provenant de médecins ou de professeurs de médecine qui ont pour seule vocation de soulager la souffrance de leurs patients, on mettra cela sur le compte de la difficulté à trouver un discours qui soit adapté aux citoyens lambdas ou au plus grand nombre de citoyens, il serait donc ridicule de leur en vouloir

Je crois que cette méthode, je n’ose pas dire scientifique même si je le pense, disons progressive pour rester modeste, pourrait être employée par n’importe qui pour trouver des réponses à bien des questions ou démêler des situations qui en apparence semblent inextricables.

Ici en Inde, sur la totalité de la population on en est à un taux de mortalité inférieur à 0,005%, 63.000 morts pour 1,380 milliard d’habitants, franchement, un peu de sérieux, vous ne voudriez pas que je porte un masque, n’est-ce pas ?

Tardieu le 2 septembre 2020

Ma mère de 86 ans en très mauvaise santé et très affaiblie est morte le 3 avril, elle était hospitalisée depuis un mois et dans le coma depuis une semaine.

Ma soeur cadette, qui n’est pas très futée la pauvre, m’a dit qu’elle était morte du covid-19, parce qu’elle avait été testée positive. Je n’ai rien répondu.

Ils ont manipulé tous les facteurs, dont les tests et les cadavres. Etant vous et moi ou vos lecteurs des gens sains d’esprit ou équilibrés, on a du mal à imaginer de quoi sont capables ces monstres de cruauté, seul leur objectif idéologique compte pour eux, si on n’a pas cela à l’esprit, toutes nos analyses seront faussées et nos conclusions avec…

D’ici un an ou un peu plus, quelles que soient les manipulations auxquelles ils se seront livrés, nous aurons la preuve que ce virus n’avait pas été plus terrible que celui de la grippe, qu’il n’y a pas eu de surmortalité comparée aux années antérieures. Je me suis déjà livré à un petit calcul, très sérieusement, et je suis arrivé aux mêmes chiffres que le Pr. Perronne.


Le 14 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Vous excuserez les éventuelles erreurs, j'ai bouclé cette causerie rapidement et je suis crevé. On ajoutera plus tard de nouveaux articles à télécharger.

Des bonnes nouvelles.

Des médecins ou membre du corps médical, des éléments des classes moyennes s'organisent pour exiger l'abrogation immédiate de toutes les mesures liberticides imposées par les gouvernements en France, Belgique, Suisse, etc. pour défendre nos libertés individuelles et collectives. Soutenons-les inconditionnellement. Signons toutes leurs pétitions, participons à toutes leurs actions.

Pendant ce temps-là, tous ceux qui osent encore s'exprimer au nom des travailleurs, le mouvement ouvrier, ceux qui se réclament abusivement du socialisme ou du communisme, sa prétendue avant-garde trotskyste putréfiée (POID, POI, NPA, LO) ainsi que l'ensemble de leurs satellites aussi dégénérés, tous les syndicats vendus se placent au côté de Macron et de son Conseil scientifique entièrement corrompu contre les intérêts de l'ensemble des travailleurs, honte à eux !

A ceux qui entendent demeurer fidèle à leur idéal, au socialisme, rejoignez La Voix de l'Opposition de Gauche le courant politique qui n'a cessé de combattre aux côtés des exploités et des opprimés.

La réaction n'a pas encore gagné la guerre de classe, nous vaincrons !

42 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

"Leur humanisme est la politesse des salauds, face à laquelle toute impolitesse est honorable".

Ce sont des monstres de cruauté qui ont juré de nous pourrir la vie, alors on ne va pas à se gêner pour dire tout le bien qu'on en pense, et tant pis pour les âmes sensibles qui manquent généralement de discernement, pour rester calme et poli.

On nous prend pour des cons, entendons dire de plus en plus souvent. Il faut croire que c'est amplement justifié ! On y reviendra plus loin, rien ne presse, ils n'auront pas changé d'ici là !

Traitement de l'information par le ministère de la Vérité. Devinette. Quel est l'Etat le plus policier ?

- Biélorussie : des dizaines de milliers de manifestants à Minsk, près de 250 arrestations - Franceinfo avec AFP 13 septembre 2020

LVOG - 250 arrestations pour des dizaines de milliers de manifestants, c'est énorme ! En revanche, 256 interpellations et 90 verbalisations à Paris le 12 septembre 2020, pour 2.000 à 2.500 manifestants selon les sources, là ce n'est pas énorme sous un régime policier. (Source : Sputnik France 12 septembre 2020)

Réflexion d'une passante qui doit habiter le quartier chic du Champ de Mars à Paris : Elle "hallucine" : "Même nous on doit partir ! On est chez les fous !". (Source : actu.fr 12 septembre 2020)

Dans le même registre.

- Emmanuel Macron juge "inacceptable" la répression contre les Ouighours - Europe1 8 septembre 2020

Emmanuel Macron a affirmé, dans un courrier adressé à un parlementaire, que la répression contre la minorité musulmane ouïgoure en Chine était "inacceptable" et que la France la condamnait "avec la plus grande fermeté". Une réponse à une lettre cosignée par une trentaine de parlementaire. Europe1 8 septembre 2020

En famille, il existe une certaine connivence qui passe inaperçu.

Ceux à l'extrême gauche qui critiquent "les députés de gauche" qui ont voté à l'Assemblée nationale l'attribution par le gouvernement de centaines de milliards d'euros aux capitalistes, ont adopté non sans faire preuve de zèle les mesures politiques liberticides décrétées par Macron qui sont à l'origine de cette généreuse dotation. Aucun parti dit ouvrier n'avait appelé à manifester contre le confinement, pour rappel.

Cherchez l'erreur, il n'y en a pas, les opportunistes se partagent les rôles, les uns plus ouvertement, les autres plus hypocritement. Les premiers ont ouvertement abandonné la perspective du socialisme, les seconds prétendent l'avoir conservée et ils avancent masqués pour mieux le trahir. Un exemple parmi d'autres.

Le combat contre l'oppression et l'exploitation ne doit surtout pas se situer sur le terrain politique.

Monsieur Artus en veut plus par Daniel Gluckstein (POID) - Editorial de La Tribune des travailleurs du 9 septembre 2020

M. Artus, chef économiste de la banque d’investissement Natixis.

Gluckstein - Les pronostics de M. Artus font abstraction de la lutte de classe...

LVOG - Si M. Artus fait "abstraction de la lutte de classe", c'est qu'il sait qu'il n'a rien à craindre ni du mouvement ouvrier ni de sa soi-disant avant-garde qui s'emploient à la neutraliser et soutiennent Macron et son gouvernement.

Pour les dirigeants du mouvement ouvrier, la priorité de la lutte de classe serait sociale, entendez porter une muselière plus confortable, chacun appréciera. Ils nient délibérément que la pandémie et les mesures imposées par Macron sont de nature politique et non sanitaire.

Quand monsieur Gluckstein s'offusque "que le virus circule et se répande parmi des élèves et des enseignants", que fait-il, il adopte et cautionne le discours de Macron, Castex, Véran élaboré par les oligarques du Forum économique mondial et diffusé par l'OMS (une officine de Big Pharma) à l'origine de l'instrumentalisation d'un banal virus, qui devait servir notamment à l'échelle mondiale à légitimer un ensemble de mesures liberticides destinées à avoir des conséquences sociales dramatiques pour des centaines de millions de travailleurs et leurs familles sur tous les continents, autrement dit, il en partage la responsabilité en tant qu'agent du Forum économique mondial au sein du mouvement ouvrier.

Car dès lors pour combattre le capitalisme et l'oligarchie, les gouvernements et les institutions qui leur sont acquis, il existait deux types de réactions possibles. La première consistait à privilégier le caractère sanitaire de cette pandémie imaginaire, la seconde consistait à privilégier le caractère idéologique ou politique de cette pandémie totalitaire.

La première conduisait à appliquer et cautionner les mesures liberticides ordonnées par Macron au nom d'une prétendue menace mortelle à grande échelle ou d'un ennemi inexistant.

Ce qui caractérise cette machination, c'est que le caractère sanitaire ou psychologique et le caractère idéologique ou politique sont intimement liés et poursuivent un unique objectif, réaliser un changement de régime, instaurer un modèle de société sur lequel les citoyens n'auraient aucune emprise, conçu par une poignée de psychopathes milliardaires pour servir leurs intérêts. Ce qui paraissait encore inimaginable hier se réalise, parce que désormais les conditions le permettent, sinon cela demeurerait à l'état d'utopie, façonner le monde selon sa volonté, c'est pure folie, mais c'est en passe de devenir la réalité comme on peut déjà le constater ou le nier pour ceux qui sont sclérosés, sinon à quoi bon avoir accumulé une telle fortune, concentré un tel pouvoir politique, se disent les oligarques, franchement un peu de sérieux. Pourquoi ? Parce qu'ils savent que le capitalisme a dépassé le stade de la faillite, de la survie artificielle à coups de dizaines de milliers de milliards de dollars, au prix d'un endettement colossal menaçant de les engloutir, il était en passe de passer à l'état de mort clinique et ils n'avaient pas envie de subir le même sort, il leur fallait d'urgence restructurer l'ensemble de l'économie mondiale en détruisant des pans entiers de l'économie jugés inutiles ou parasites, réduire les besoins et le niveau de vie de la population, faire en sorte qu'elle cesse de croître par n'importe quel moyen, pour assurer la survie de leur propre espèce, de leur propre clan, conformément aux ressources dont disposera la planète pour satisfaire les besoins des générations à venir, pas les nôtres, les leurs.

Sur un claquement de doigts, les oligarques ont réussi du jour au lendemain à cadenasser et museler 193 pays, qui osera dire encore que c'était faux de prétendre qu'hier personne n'y aurait cru, qui ? Et pourtant, c'est bien ainsi que les choses se sont produites, nous sommes 7,5 milliards à en être témoins. Voilà quel est le pouvoir de la dialectique. Et si malgré tout cette colossale imposture au coronavirus ne leur permettait pas d'atteindre leurs objectifs, ils pourraient recourir en désespoir de cause à un autre moyen que nous avons écarté jusque là, une nouvelle guerre mondiale, qui sait, pourquoi pas, ils en ont le pouvoir plus que jamais.

La seconde impliquait d'affronter Macron et le régime sur le plan politique, sur tous les fronts à la fois, donc de combattre également les conséquences sociales de ce coup d'Etat planétaire.

Vous aurez deviné sans difficulté quelle version ou stratégie ont adoptée le POID, le POI, le NPA, LO, etc.

J'ai relevé dans cet éditorial quelques éléments qui étaient destinés à détourner militants et travailleurs du combat politique contre Macron et le régime.

LVOG - Il se fait la voix des Pieds nickelés corrompus du Conseil scientifique de Macron ou de l'OMS.

- Qu’importe que le virus circule et se répande parmi des élèves et des enseignants entassés dans des locaux exigus

LVOG - Il existerait un "système de retraite" plus approprié qu'un autre au port d'une muselière.

- « Notre système de retraite » LVOG - Diversion tout azimut :

- « Des plans d’économies, des suppressions d’emplois, des baisses de salaire, des délocalisations encore plus massives ».

- Une véritable machine à détruire l’emploi et les salaires et à précipiter des pans entiers de la population dans la misère.

- La rentrée scolaire se déroule dans des conditions chaotiques

LVOG - Il ne tient pas à ce que le capitalisme s'effondre d'un coup en produisant du jour au lendemain des millions de chômeurs, de pauvres, de miséreux, de clochards, pensez donc, quelle catastrophe ce serait, les masses par millions risqueraient de surgir sur la scène politique ! Non, il préfèrerait un effondrement contrôlé qui n'affecterait que certains secteurs de l'économie et certaines couches de travailleurs, quitte à ce qu'un régime totalitaire se mette en place, par exemple, n'avait-il pas déjà cautionné l'effondrement contrôlé des trois tours du WTC le 11 septembre 2001 réalisé par les mêmes oligarques ?

Un extrait d'un courriel adressé à un lecteur assidu à notre portail depuis des années.

Le facteur déterminant de la situation est la désertion ou la trahison du mouvement ouvrier, l'absence d'un véritable parti ouvrier. Tous sans exception sont masqués, personne ne peut le nier. Ils avaient déjà tous soutenus la version officielle du 11 septembre 2001. Tu imagines, croire sur parole G. Bush, le Pentagone, la CIA, mais comment peut-on militer dans de tels partis ? Un avion ayant 38 mètres d'envergure (l'extrémité des deux ailes) disparaît dans un trou de 5 mètres de diamètre (façade du Pentagone), c'est comme croire qu'un éléphant pourrait passer par le trou d'une souris ou prétendre qu'on pourrait enfiler une corde dans le chas d'une aiguille, c'est délirant, cela relève de la psychiatrie.

Il faut être abruti au dernier degré pour croire un truc pareil, ne pas avoir de cervelle, même 19 ans plus tard, là on ne peut plus invoquer l'émotion ou le choc qui sur le coup paralyse la réflexion chez certaines personnes. Non, on est manifestement en présence d'arriérés, de sous-développés intellectuels, cela en dit long sur le niveau théorique des militants en dessous de zéro, et le niveau de corruption de nos dirigeants dont une bonne partie sont des bac + 2 à 7.

C'est tellement énorme comme truc. Pourquoi je reviens régulièrement sur ce sujet, c'est parce qu'il est révélateur du niveau de conscience des masses en général, qui est le principal facteur qui détermine l'orientation de la situation mondiale. Plus il est médiocre, et plus ceux qui détiennent tous les pouvoirs peuvent oser tout ce qui leur passe par la tête, mêmes les trucs les plus dingues, comme par exemple fabriquer de toutes pièces une pandémie mondiale...

Après être parvenu à déréglementer la finance et l'économie, il leur restait encore à réaliser la déréglementation sociale généralisée, à briser le mode de vie qui s'était construit autour, c'est ce qu'ils sont entrain de faire en ce moment en liquidant toutes les libertés individuelles et collectives.

Ils ont tous aussi été Charlie, alors que ce sont les mêmes médias qui avaient couvert le 11 septembre 2001, et qui aujourd'hui colporte la pandémie idéologique créée par le Forum économique mondial. On peut observer que chaque fois le mouvement ouvrier s'est trouvé dans le camp de nos ennemis contre la classe ouvrière. J'en déduis donc qu'en l'état il est mort pour notre cause, il constitue désormais un obstacle à notre combat pour le socialisme, le pire puisqu'il avance masqué. Ah ça c'est dure à avaler ! Je peux le concevoir.

Quand tu rates une mayonnaise, tu peux rajouter de la moutarde ou un œuf, de l'huile, tout ce que tu veux, elle est foirée, elle est foirée, c'est ainsi. En revanche, au lieu de tout jeter, tu peux en recommencer une autre et verser dedans lentement le contenu de la mayonnaise ratée. C'est ce que je préconise de faire avec le mouvement ouvrier. Tel qu'il existait il est mort, il faut en prendre son parti. Il faut le refonder sur des bases saines en intégrant les éléments qui seraient susceptibles de les adopter et en écartant tous ceux qui s'y refuseraient.

Cela pourrait aller très vite, mais hélas on ne parvient pas à enclencher le dynamisme qui permettrait d'y parvenir, j'ignore pourquoi et cela me tracasse. Pierre Broué raconta comment il avait été propulsé par Lambert dans le département de l'Isère où il n'y avait que 3 militants, 300 à peine quelques années plus tard. En mars 1917, il n'y avait que 23.000 bolcheviks à Petrograd, il y en aura 350.000 au début du mois d'octobre de la même année.

Le problème, c'est qu'on n'arrive pas à gagner des cadres ou mêmes un ou quelques dirigeants, la bonne volonté de militants de base ne suffit pas pour s'atteler à cette tâche gigantesque mais à notre portée. Moi, j'ai juste essayé de montrer la voie à emprunter, je ne peux pas faire davantage, désolé. D'autres se sont sacrifiés avant moi pour que dal, je t'avouerai que je n'ai pas envie de les imiter.

Ici aussi on est très durement frappé par l'effondrement économique contrôlé en cours. Maintenant j'aide financièrement directement à survivre 5 familles, toutes les personnes à qui j'ai prêté de l'argent ne peuvent plus me rembourser et je ne leur demande rien, mieux, je leur file du fric pour bouffer ainsi que leurs gosses. La pauvreté autour de moi prend de plus en plus des allures de misère noire, je vois des gens squelettiques, les jeunes sont très maigres, tu vois qu'ils ne mangent pas à leur faim. Le fils d'une des sœurs de ma compagne est venu travailler chez moi, il fait de la soudure à l'arc, il est maigre comme un clou, il me doit 36.000 roupies, il était assisté des deux des petits fils (12 et 15 ans) de Selvi encore plus maigres, leur père me doit 625.000 roupies, plus un de leur voisin dont le père couturier ne travaille plus non plus, un vrai fil de fer, je leur ai tous versé un bon salaire qu'ils ont reversé à leurs parents, et je les ai nourris correctement, carry de poulet avec du riz, jus de fruit, thé, petits gâteaux, etc. Le fils de ma compagne, 27 ans et encore célibataire, m'a appris hier qu'il avait perdu son boulot (comptable) depuis 20 jours, lui aussi il a commencé à maigrir, il me doit encore 250.000 roupies. Une autre sœur de Selvi a vu son salaire passer de 7.200 à moins de 4.000 roupie par mois, elle me doit 185.000 roupies et elle ne peut plus rien me verser chaque mois, comme elle aide sa fille, il lui arrive de ne plus avoir une roupie, alors je lui donne un peu d'argent. (...)

Moi je dois me démerder avec tout cela quotidiennement. Cela perturbe ma réflexion, je suis tiraillé entre deux mondes, celui que je vis au quotidien, et mon engagement politique qui ne sert à rien puisque en pratique cela ne débouche sur rien. Pire, car en délaissant mes propres affaires, je me crée des problèmes que j'aurais pu éviter autrement et je t'avoue que j'en ai marre.

Il ne faut pas se raconter d'histoires Paul. Je n'ai pas la carrure d'un dirigeant, et j'ai toujours refusé de me considérer comme tel à juste titre. Certes, j'ai des instants de lucidité ou je peux parfois produire des analyses d'une grande profondeur, mais c'est tout et ce n'est pas suffisant pour attirer des militants capables de devenir des cadres ou des dirigeants. C'est l'époque qui est ainsi, voilà tout. On va continuer à la subir, et le pire est encore à venir.

J'ai imaginé un truc qu'ils peuvent appliquer du jour au lendemain, rendre toutes les connexions réalisées sur le Net payantes. Tu veux envoyer ou lire un message dans ta boîte aux lettres, tu dois casquer. Tu veux lire un article, regarder une vidéo, tu dois casquer, tu veux ouvrir un document qu'un organisme social ou un ministère t'a envoyé, tu dois casquer, pareil si tu veux le renvoyer une fois rempli, etc. La population mondiale est devenue l'otage des GAFAM, parce qu'on a laissé privatiser les services publics, tous nos besoins élémentaires. Là plus qu'ailleurs peut-être, la responsabilité du mouvement ouvrier avec ses journées d'action bidons est écrasante.

Et pendant ce temps-là, monsieur Gluckstein (son dernier éditorial) s'offusque "que le virus circule et se répande parmi des élèves et des enseignants", c'est la voix de Véran, Castex, Macron, etc. il est digne de passer dans l’émission de Cyril Hanouna ! J'ignore ce qui se passe au POI qui vient de titrer : "Une propagande “sanitaire” d’État mensongère - Et la réalité : fuite en avant liberticide", pendant 5 mois ils ont réclamé des masques... Meyssan ne s'était pas trompé sur les trotskystes.

Ici dans mon village ou les gens qui passent chez moi, personne ne porte de masque, quand ils en ont un, c'est pour aller en ville, on ne sait jamais avec la police qui pourrait réapparaître du jour au lendemain. J'ai montré hier la vidéo avec Macron s'étouffant sous son masque et tout le monde a bien rigolé. Aurobin qui a 15 ans aujourd'hui a dit à sa grand-mère Selvi, qu'il était très inquiet pour son avenir : - Toi à ton âge, ta vie est derrière toi, mais moi, qu'est-ce que je vais devenir, hein ? Il est retourné à l'école depuis une semaine, 2 demi-journées par semaine, et il n'y a que 4 gosses dans sa classe, il a de quoi s'inquiéter, c'est dramatique pour les jeunes Paul. Un autre truc pour bien comprendre la merde dans laquelle sont les Indiens ou les plus pauvres en général. Le peu de fric qu'ils ont encore ils doivent le consacrer à régler des charges incompressibles qui n'existaient pas hier encore, téléphone, gaz, électricité, essence, assurance (en option !), Internet (de plus en plus indispensable), et ils sont tous endettés, il ne leur reste plus rien pour bouffer. On va leur proposer de retourner bosser à n'importe quel prix et ils seront bien obligés d'accepter, voilà ce qui se prépare.

Totalitarisme. La plannification en famille de la faim ou de la misère sociale, une généreuse idée de gauche.

LVOG - Ils disent eux-mêmes que cela ne permettrait pas à chacun de manger à sa faim, ils ne doivent pas être concernés ! Mieux, cette "cotisation" qui a l'allure d'un nouvel impôt ou d'une nouvelle taxe se traduirait, je cite, par "une baisse du revenu net" de chaque travailleur dont les plus pauvres ! Eventuellement les patrons seraient mis à contribution. N'en faites rien, ce serait injuste puisqu'ils ont largement de quoi engraisser sans en passer par là ! Le tout dans le cadre des institutions de la Ve République, c'était inévitable !

Permettre à chacun de manger à sa faim : l’idée d’une « Sécurité sociale de l’alimentation » - Basta 9 septembre 2020

Extrait. « 150 euros, c’est le montant minimal pour pouvoir parler de droit à l’alimentation » précise Mathieu Dalmais, agronome et membre de l’association Ingénieurs sans frontière. Cette somme est celle que l’on retrouve dans les milieux de l’aide alimentaire ou de l’accueil d’urgence : cinq euros par jour est allouée à un ou une bénéficiaire par les structures caritatives quand elles ne peuvent pas fournir de nourriture. Ce montant reste cependant insuffisant pour s’alimenter confortablement, reconnaît Mathieu Dalmais. La moyenne de consommation alimentaire des Français est d’environ 225 euros par mois et par personne, hors boisson et restauration en dehors du domicile. Si le projet de sécurité sociale de l’alimentation aboutit, les initiateurs aimeraient augmenter ce montant. Celui-ci pourrait aussi être pondéré en fonction du lieu de vie, tant le prix de l’alimentation varie géographiquement.

Les assemblées gérant les caisses rassembleraient des professionnels, des consommateurs, des élus, des citoyens tirés au sort…

Pour financer le dispositif, les initiateurs proposent une cotisation qui pourrait être prélevée sur le salaire ou le revenu brut, comme pour l’assurance maladie ou chômage. Cette cotisation va impliquer une baisse du revenu net qui sera cependant compensée par le versement des 150 euros par mois, à dépenser uniquement pour une alimentation conventionnée.

Conscients de la nécessité de réduire les inégalités, des membres du collectif plaident pour que la mise en place de cette cotisation soit couplée à une augmentation des salaires bruts, au moins pour les bas salaires. Une autre piste de financement est d’asseoir une partie de cette cotisation sur le profit des entreprises. Son taux pourrait aussi être progressif en fonction du niveau de revenu.

LVOG - On est bien en présence de cogestionnaires de la société capitaliste, si vous en doutiez la fin de cet article va finir de vous en convaincre, allez, direction l'Elysée !

Basta - Depuis la publication en février 2019 dans Basta ! d’une première tribune sur la sécurité sociale de l’alimentation, l’idée a cheminé. À travers des vidéos, ateliers et même conférences gesticulées, le collectif s’emploie à faire de l’éducation populaire sur ces questions. Plusieurs candidats aux dernières élections municipales ont fait savoir qu’ils souhaitaient « expérimenter » une sécurité sociale de l’alimentation sur leur territoire, à l’image de la liste de gauche « Villeurbanne en commun » qui a emporté la mairie (150 000 habitants). Une audition du collectif en ce sens s’est aussi tenue mi-2020 au conseil économique, social et environnemental de Nouvelle-Aquitaine, pour une possible expérimentation locale.

L’idée continue d’essaimer. L’Inspection générale des affaires sociales la trouve même « particulièrement stimulante ». « Il serait parfaitement logique qu’un bien de première nécessité comme l’alimentation soit également garanti dans un cadre mutualisé », note-t-elle dans un rapport publié fin 2019. C’est également un bon moyen de « reprendre le contrôle » de notre alimentation, comme l’appelle de ses vœux l’Élysée. Basta 9 septembre 2020

LVOG - Et comme ces crapules osent tout :

Basta - Soutenez l’indépendance de Basta! en faisant un don.

LVOG - Il faut se méfier comme de la peste des discours aux relents généreux, philanthropiques, pour vérifier leurs réelles intentions, rien de tel que de se demander qui ils sont vraiment.

Qu'est-ce que Basta ? (https://www.bastamag.net/Site-d-informations-independant-sur-les-enjeux-sociaux-et-environnementaux)

- Basta ! est édité par l’association Alter-médias... ainsi que l'Observatoire des multinationales (Je vire immédiatement le lien de notre portail ! - LVOG)

Qu'est-ce que Alter-médias ? (http://www.fph.ch/bdf_partenaire-67_en.html)

- L’objectif d’Alter-médias est de faire vivre une presse indépendante, une information d’intérêt général. Alter-médias édite ainsi depuis fin 2008 le site Internet « Basta ! » (www.bastamag.net)

D’Alter-médias ont atterri à La Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme (FPH) (http://www.fph.ch/index_fr.html)

- La Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme (FPH) est une fondation suisse qui soutient par ses dons des mouvements et des organisations de la société civile dans leurs actions de plaidoyer en faveur d’une transition sociale et écologique.

-La FPH est membre de :

-1- EDGE - Engaged Donors for Global Equity

Board Co-Chairs

- Rose Longhurst, Program Officer, Open Society Foundation Initiative In Europe (Soros - LVOG)

Board Members

- Laine Romero-Alston, Team Manager, Open Society Foundation (Soros - LVOG)

2- European Foundations Center (EFC) (https://www.efc.be/philanthropy-house)

3- European Funders for Social Change and Human Rights (ARIADNE)

Ariadne n’existerait pas sans le soutien généreux des fondations suivantes : (https://www.ariadne-network.eu/our-supporters)

- Ford Foundation,
- Rockefeller Brothers Fund,
- Rockefeller Philanthropy,
- Open Society Foundations, (Soros - LVOG)
- Open Society Fund Prague, (Soros - LVOG)
- + une trentaine d'officines du même genre

Wiképédia - Basta se classe politiquement à gauche et a été cofondé par Eros Sana, ancien porte-parole de José Bové.

LVOG - Décidément, comme le monde est petit, Basta une officine de l'oligarchie.

Aux amnésiques et aux négationnistes.

Anniversaire du 11-Septembre: Qui était Oussama ben Laden? La vérité derrière le 11 septembre 2001 par Prof Michel Chossudovsky (Global Research 12 septembre 2001) - Mondialisation.ca, 11 septembre 2020

Note de l’auteur. Cet article fut rédigé le jour même des attaques. Il fut publié en anglais par le Centre de recherche sur la Mondialisation (Global Research / Mondialisation) le 12 septembre 2001.

https://www.mondialisation.ca/dixi-me-anniversaire-du-11-septembre-qui-tait-oussama-ben-laden-la-v-rit-derri-re-le-11-septembre-2001/26487

Dernier paragraphe.

- Au lendemain des attaques terroristes de New York et de Washington, la vérité sur les liens entre le gouvernement américain et le terrorisme international doivent être dévoilés à l’opinion publique afin d’empêcher l’administration Bush et ses partenaires de l’Otan de se lancer dans une aventure militaire qui menace l’avenir de l’humanité.

LVOG - Que feront les dirigeants de tous les partis ouvriers et des syndicats (jusqu'en septembre 2020) ?

Au lieu de "de dévoiler à l’opinion publique la vérité sur les liens entre le gouvernement américain et le terrorisme international", pendant 19 ans ils adopteront systématiquement les versions officielles et ils s'emploieront à camoufler la vérité, ainsi ils cautionneront toutes les guerres entreprises par l'impérialisme américain et l'Otan, qu'ils dénonceront ou prétendront combattre par ailleurs pour faire bonne mesure, se faire passer pour des internationalistes et mieux berner leurs militants.

19 ans plus tard, en choeur ils récidiveront en exigeant que les travailleurs respectent les mesures liberticides adoptées par Macron pour lutter contre une pandémie fabriquée par les mêmes qui avaient conçu le coup d'Etat du 11 septembre 2001.

Le mouvement ouvrier en France n'a été révolutionnaire que durant de très brèves périodes, jamais en début de crise, toujours en fin de crise, entre 1918-1920, puis en étant généreux, entre 1936-1938, entre 1945-1947, le reste du temps, soit plus de 94% il sera corporatiste, réactionnaire, et contrairement à ce qui nous a été raconté à aucun moment il ne menacera réellement le régime en place du fait de l'absence d'un véritable parti ouvrier révolutionnaire. C'est cette lacune qui justifie cette caractérisation politique ou l'orientation du mouvement ouvrier. Evidemment, ce n'est pas ce qu'ont en tête les militants qui ont eu le droit au catéchisme ou lavage de cerveau de leur parti. Pire, certains sont nostalgiques du passé... dont on se serait bien passé.

Il ne faut pas confondre le mouvement ouvrier, les couches organisées (privilégiées) de la classe ouvrière, et les masses, le mouvement, la mobilisation des masses ou la classe elle-même.

On doit se demander ce que représente le mouvement ouvrier, si comme on peut l'observer sous nos yeux il ne représente pas les millions de travailleurs qui doutent à juste titre de l'existence d'une pandémie au coronavirus, quels intérêts représente-t-il sinon ceux de l'autre camp, ceux de l'oligarchie.

Quand le mouvement ouvrier se mobilise sur une revendication, on pourrait croire qu'il deviendrait soudain disons plus à gauche, grave erreur d'appréciation encouragée par ses dirigeants corrompus, en réalité il n'en est rien, plus à gauche de qui doit-on se demander, certainement pas des millions de travailleurs pauvres ou livrés en permanence à la précarité et pour lesquels se radicaliser à gauche ou adopter une orientation conforme à leurs intérêts consisterait à situer chaque lutte comme une étape du combat pour en finir avec le régime en place, car pour eux même l'adoption de quelques mesures destinées à améliorer leur quotidien seraient loin du compte ou ne changeraient rien au cauchemar que constitue leur condition, seul un changement de régime pourrait permettre d'en venir à bout, or cette perspective politique est absente en pratique du mouvement ouvrier depuis plus d'un siècle.

Le mouvement ouvrier est composé essentiellement de nantis par rapport au reste des travailleurs, il organise les couches supérieures, celles qui bénéficient de la garantie d'emploi, fonctionnaires ou salariés des entreprises du CAC40, des grandes entreprises, des entreprises moyennes dégageant le plus de plus-value, le gros des troupes bénéficient de conditions de travail plus avantageuses que celles réservées aux autres travailleurs, salles de classe, bureaux, laboratoires, de salaires plus élevés, de conventions collectives (et CE) généreuses, horaires réduits à 35 heures, voire moins, horaires mobiles au choix, jours de congés supplémentaires à l'ancienneté, 13è mois, voire 14è ou plus, prime d'intéressement, régimes spéciaux et retraite anticipée, etc. donc quand il se mobilise, c'est uniquement pour défendre leurs avantages ou leurs statuts, jamais l'Etat (employeur) ou le régime n'est visé.

Les syndicats qui vivent essentiellement grâce à l'activité des militants organisés dans des partis dits ouvriers, qui constituent le gros des troupes de leurs permanents, de leurs instances dirigeantes à différents niveaux, participent au côté du patronat à la cogestion des rapports d'exploitation établis de manière à assurer la stabilité des entreprises pour le compte des capitalistes, la pérennité du régime. Depuis un siècle, c'est devenu leur principale fonction ou raison d'être, leur véritable nature qui n'a plus rien à voir avec leur mission originelle qui était de lutter par tous les moyens jusqu'à l'émancipation du capital, objectif qu'ils ont renié ou définitivement abandonné, puisqu'ils sont liés corps et âme au capitalisme.

En gros, le syndicalisme est devenu une extension du service du personnel de l'entreprise, le délégué syndical ou du personnel est le collaborateur du DRH pour le compte du patron ou des actionnaires. L'ouvriérisme et le tiers-mondisme, servent de bonne conscience ou de masque à la collaboration de classes, aux fossoyeurs du syndicalisme et du socialisme.

Dans ces conditions, nous n'aurions jamais dû rien attendre du mouvement ouvrier tel qu'il existait, et nous aurions dû combattre pour sa refondation au lieu de s'en accommoder.

Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas ce qui est en train de se passer en ce moment. Ils n'en reviennent toujours pas, ils en sont encore se demander comment cela a-t-il été rendu possible, mais comme ils refusent de partager l'analyse que je viens d'exposer, pourquoi pas, je ne tiens à l'imposer à personne, et qu'ils ne veulent pas admettre qu'ils n'ont aucune autre explication cohérente à fournir, là c'est réellement un problème. Ils racontent que ce serait le produit de la fatalité, la faute à pas de chance, on serait en présence d'une suite de coïncidences improbables, énigmatiques ou mystérieuses qui se produiraient sans savoir ni pourquoi ni comment, autant dire que la situation leur échappe totalement parce qu'elle n'entre pas dans le cadre de leur dogmatisme, de leur système de pensée préconditionné qui n'a cessé de les induire en erreur, parfois durant toute une vie, c'est dur à avaler, on veut bien le concevoir, d'autant plus qu'on est personnellement aussi passé par là.

Aujourd'hui ce sont des médecins, des éléments des classes moyennes, donc extérieurs au mouvement ouvrier et à la classe ouvrière, qui montent au créneau pour dénoncer le régime totalitaire qui sévit sous Macron, qui cherchent à s'organiser, qui se rassemblent en lançant des appels en direction des masses à rejeter les mesures liberticides qui nous sont imposées. Leur révolte prend trop d'ampleur et les médias ne peuvent plus les ignorer totalement ou les censurer. Honte à tous ceux qui se réclament du mouvement ouvrier ou du socialisme qui ont soutenu ces mesures tyranniques !

Les lecteurs qui ont lu attentivement les causeries des 12 dernières années devraient savoir à quoi s'en tenir, alors pourquoi ne se manifestent-ils pas ? Ils ont des réponses à toutes les questions que l'actualité sociale ou politique avait mises à l'ordre du jour durant cette période. Ils ont eu l'occasion d'en vérifier la véracité ou la justesse une multitude de fois, et ils ont pu s'apercevoir que nous nous sommes rarement trompé ou que les faits nous avaient donné raison presque chaque fois, dès lors que nous étions en possession des éléments pour interpréter la situation.

Les classes moyennes vivent de plus en plus mal ces restrictions drastiques aux libertés fondamentales, c'est bon signe, c'est encourageant. Ceux qui estimèrent qu'on les aurait méprisées n'avaient vraiment rien compris à notre démarche. On ne les a pas davantage idéalisées que la classe ouvrière. C'est d'elles que viendra notre salut, et non des dirigeants corrompus du mouvement ouvrier. Elles pourraient y jouer un rôle déterminant comme à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, en prendre la direction, fournir une nouvelle direction à la classe ouvrière. Combien de temps cela prendra-t-il ? Je l'ignore, les évènements peuvent s'accélérer très rapidement car la situation actuelle est intolérable au quotidien, intenable à moyen terme. Combien de militants parviendront-ils à se libérer du carcan de leurs partis dégénérés ? Je l'ignore aussi, des milliers sans doute, on a toujours confiance en eux, même s'il est préférable de ne pas leur dire, ils pourraient le prendre comme un encouragement à persister dans l'erreur. Qu'ils ne croient pas un instant à un éventuel sursaut ou redressement de leurs partis, c'est impossible comme nous l'enseigne toutes les expériences du passé.

La lutte contre les mesures liberticides ou totalitaires que nous a imposées Macron devrait être prioritaire, elle ne peut se mener que sur le plan politique : Chassons Macron, abolissons la Constitution et les institutions de la Ve République, fondons une République sociale...

Nous aurions pu constituer l'embryon d'un véritable parti ouvrier révolutionnaire ou y contribuer, mais apparemment mes lecteurs ne veulent pas en entendre parler, cela ne les intéresse pas, ils ont dû trouver mieux ailleurs ou ils s'en foutent en vérité, dommage.

Dans un brouillon j'avais formulé cela ainsi.

La social-démocratie envoya à la boucherie la classe ouvrière en 1914 en votant les crédits de guerre qui devaient enrichir davantage l'oligarchie. Deux décennies plus tard, le Front populaire fraiera la voie au régime de Vichy, au fascisme et à la guerre qui rapportera encore plus aux mêmes oligarques.

En 2020 la classe ouvrière et les couches progressistes des classes moyennes ne se reconnaissant plus dans le PS et le PCF, pour la troisième fois, ils vont adopter des mesures de guerres contre la classe ouvrière cette fois décrétées par le représentant direct de l'oligarchie, E. Macron, réduisant à néant nos libertés individuelles et collectives, suivi de près par tous leurs satellites dits d'extrême gauche ou assimilés...

PSA délocalise la conception de sa prochaine gamme en Inde - Marianne 3 septembre 2020

C'est une première. À rebours de l'ode à la relocalisation, la marque au lion décide de se passer des ingénieurs français ! Marianne 3 septembre 2020

LVOG - Les classes moyennes ont vraiment de quoi s'inquiéter... s'organiser et se mobiliser...

Pour quelle société ?

- "Ces salariés (du groupe Casino) ont été «sacrifiés» «pour la société, pour que les gens puissent continuer de se nourrir»." Leïla Chaibi (LFI), samedi 9 septembre à Montparnasse. sputniknews.com 9 septembre 2020

LVOG - Ils se sont nourris en premier, après les actionnaires des multinationales de l'agro-alimentaire, il aurait mieux vallu qu'ils ne puissent plus se nourrir et se soulèvent pour abattre le régime.

Cela aurait fait des morts. Et après, en ne prescrivant pas l'hydroxychloroquine et l'azythromycine ils ont précipité inutilement la mort de 5 à 10.000 personnes, une révolution ne fait jamais autant de morts qu'une guerre.

Trump plus révolutionnaire que le mouvement ouvrier ? Vous me direz qu'il n'aurait aucun mérite.

- Le Pentagone «ne veut rien d’autre que la guerre», affirme Trump - sputniknews.com 8 septembre 2020

Le Président américain a déclaré lors de la conférence de presse tenue lundi 7 septembre que le Pentagone faisait tout pour satisfaire les fabricants d'avions de combat et de bombes.

Pour Donald Trump, les chefs du Pentagone ne veulent rien que la guerre pour contribuer à l'enrichissement des entreprises du complexe militaro-industriel.

«Je ne dis pas que les militaires m'aiment, mais les soldats m'aiment. Les cadres du Pentagone, apparemment non, parce qu'ils ne veulent rien d’autre que la guerre pour que ces belles entreprises produisant des bombes, des avions et le reste soient heureuses», a-t-il lancé lors de sa conférence de presse lundi 7 septembre. sputniknews.com 8 septembre 2020

LVOG - Vous aurez compris pourquoi ce qu'ils appellent la gauche préfère Biden, le candidat du Pentagone et de la guerre, ou pourquoi l'extrême gauche matraque sans cesse Trump en épargnant Biden...

Qui a dit : Une alliance avec le PS, pourquoi pas ?

- Sa "ligne, c'est pas de division artificielle, mais pas d'union superficielle". Selon lui, le PS "continue à ne rien remettre en cause de ce qu'ils ont fait précédemment". "Si, par contre, il y a un débat qui s'ouvre, moi je suis preneur de ce débat. Ce n'est pas une question de posture de ma part, c'est une question de dynamique politique", a-t-il résumé.

Réponse : Alexis Corbière (LFI).

LVOG - Il avait rappelé avant que l'insoumission était uniquement une posture trompeuse.

- "Aux municipales, il y a des villes, que ce soit Grenoble, Lyon, Marseille, où les insoumis étaient dans des listes communes, derrière des personnalités écologiques. On a accepté de jouer le jeu, de ne pas considérer qu'on devait avoir la tête de liste ou rien". francetvinfo.fr 8 septembre 2020

Totalitarisme. L'Etat policier en famille.

- Bordeaux: le nouveau maire vert réclame l'installation d'une compagnie de CRS - AFP 10 septembre 2020

Le nouveau maire (EELV) de Bordeaux Pierre Hurmic a souhaité jeudi l'installation à Bordeaux d'une compagnie de CRS permanente alors que la ville est aux prises avec une vague d'insécurité depuis plusieurs mois.

Sa réclamation déjà en partie exhaussée.

- L'ex-ministre de l'Intérieur Christophe Castaner élu à la tête des députés LREM - AFP 10 septembre2020

- Le maire écolo de Bordeaux supprime le sapin de Noël , un "arbre mort" - Le HuffPost 11 septembre 2020

- Insécurité: Pécresse fustige des résultats "insuffisants" et propose des "prisons différenciées" - AFP 09 septembre 2020

La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse (ex-LR) a fustigé mercredi l'"insuffisance de résultats" d'Emmanuel Macron sur les questions sécuritaires, et plaidé pour des "prisons différenciées" afin de faire appliquer les peines. AFP 09 septembre 2020

Sous un régime totalitaire vous êtes présumé coupable.

- Affaire Assange : Une parodie de procès s’ouvre aujourd’hui à Londres - entelekheia.fr 7 septembre 2020

Paru sur Consortium News sous le titre Editorial : A Trial Begins in London

À en juger par la première semaine d’audiences en février, il ne semble pas important de savoir ce que dit ou fait l’accusation, ni comment la défense réagit. Il semble que la décision ait déjà été prise.

Il y aura certainement une surprise lorsque les trois ou quatre prochaines semaines d’audience dans l’affaire d’extradition de Julian Assange au tribunal de l’Old Bailey seront terminées. Il est encore possible que lorsque le dernier mot sera dit au tribunal, la magistrate Vanessa Baraitser décidera que les États-Unis n’auront pas convaincu et qu’Assange ne sera pas envoyé en procès à Alexandria, en Virginie.

Mais à en juger par la première semaine d’audiences en février au tribunal de la Couronne de Woolwich, tout indique que la décision d’extrader Assange a déjà été prise et que les trois ou quatre prochaines semaines seront simplement du théâtre juridique où l’on examinera les requêtes pour faire croire que l’éditeur de WikiLeaks bénéficie d’un procès équitable. Il y a un nom pour cela :

« Une parodie de procès est un procès public dans lequel les autorités judiciaires ont déjà déterminé la culpabilité, et/ou l’innocence, du défendeur. Le procès proprement dit a pour seul but de présenter l’accusation et le verdict au public afin qu’ils servent à la fois d’exemple et d’avertissement aux autres dissidents ou transgresseurs potentiels ». (Wikipedia anglais)

Y a-t-il une meilleure façon de décrire ce qui s’est passé pour Assange que la définition ci-dessus ?

Un dossier sans consistance

Le dossier de l’accusation contre Assange est extrêmement faible, mais cela ne semble pas avoir d’importance. Au cours de la première semaine, les avocats britanniques n’ont pas mentionné le seul point technique dont Assange peut vraiment être accusé : la possession et la diffusion non autorisées d’informations classifiées.

C’est parce que cette accusation implique directement le reste de la presse qui, pendant des années, a possédé et diffusé des documents secrets et n’a jamais été inculpée. Cette question était tellement au premier plan des préoccupations des États-Unis qu’ils ont demandé au Conseiller de la Reine de s’adresser directement à une tribune de presse, au début février, pour essayer de convaincre les journalistes qu’ils n’étaient pas concernés.

Mais la démarche elle-même a introduit la notion selon laquelle la presse est effectivement en danger dans cette affaire. Sans l’accusation de possession non autorisée, il ne reste pas grand-chose pour les États-Unis. Ce qui serait un problème s’il s’agissait d’une procédure judiciaire sérieuse. Les informateurs

Les États-Unis ont néanmoins quelques positions de repli. L’une consiste à accuser Assange d’avoir mis en danger la vie d’informateurs américains dans les communiqués de WikiLeaks. L’acte d’accusation de l’Espionage Act [loi US sur l’espionnage] en dit long à ce sujet. Sauf que les informateurs ne sont pas mentionnés dans la loi sur l’espionnage et parmi les lois citées en tête de l’acte d’accusation, aucune ne mentionne la mise en danger de la vie des informateurs.

C’est parce qu’il ne semble pas y avoir de loi contre cela. Mais même s’il y en avait une, nous savons par le journaliste australien Mark Davis qu’Assange s’est prioritairement préoccupé de supprimer des noms d’informateurs et qu’il a passé une nuit blanche, le week-end précédant la publication, pour supprimer autant de noms que possible.

Il y a aussi le fait que l’ancien Secrétaire américain de la défense Robert Gates a déclaré que les communiqués de WikiLeaks n’avaient causé aucun tort, si ce n’est d’embarrasser Washington et d’autres gouvernements.

Les règles d’engagement

L’accusation n’a jusqu’à présent pas mentionné la fuite de la vidéo Collateral Murder, et la raison en est probablement que la vidéo, qui présente des preuves flagrantes d’un crime de guerre américain, n’a jamais été classée secrète, et donc que sa publication ne représente pas une violation de la loi sur l’espionnage.

L’accusation a plutôt semblé indiquer, dès la première semaine, qu’elle ferait grand cas de la publication par Assange des règles d’engagement classifiées concernant l’incident de Collateral Murder. Ces règles étaient apparemment classées secrètes. Mais la défense a fait valoir que Chelsea Manning a divulgué les règles, et qu’elles ont été publiées par WikiLeaks précisément parce qu’elles montrent que les États-Unis les ont enfreintes en abattant des civils dans une rue de Bagdad.

Le complot pour commettre une intrusion informatique

L’autre solution pour l’accusation est de faire valoir le fait qu’Assange a conspiré avec Manning pour s’introduire dans un ordinateur du gouvernement afin de voler des documents gouvernementaux. L’acte d’accusation contre Assange indique clairement que Manning avait un accès légal à ces documents et qu’Assange l’aidait seulement à signer sous un nom administratif pour protéger son identité.

La défense a ensuite lancé une bombe en février, affirmant que le but de l’exercice n’était pas de voler des documents, mais de permettre à Manning de télécharger illégalement des vidéos musicales et des jeux vidéo, ce qui est interdit au personnel américain en service actif. Il sera intéressant de voir où cette accusation ira.

Pas d’accès à ses avocats

Dans une procédure sérieuse, Assange aurait été autorisé à consulter ses avocats pour préparer son dossier. Mais le système pénitentiaire britannique ne l’a pas permis dans les semaines qui ont précédé ce jour. Assange a reçu un ordinateur en lecture seule dont les touches étaient collées, et lorsqu’il a obtenu un document juridique, celui-ci lui a été confisqué au moment où il a été fouillé et menotté 11 fois, avant une audience en février.

Ce ne sont pas là les actions d’un système judiciaire qui veut que justice soit faite.

Nous attendons toujours un résultat juste, mais nous nous préparons à un résultat prédéterminé. entelekheia.fr 7 septembre 2020




DEUXIEME PARTIE

Dans le camps des imposteurs au coronavirus.

Peu importe de quoi vous mourrez, testé positif, vous serez comptabilisé parmi les victimes du Covid-19.

Selon le ministère, une personne est comptée comme victime du Covid-19 si «elle présente un diagnostic de Covid-19 confirmé biologiquement» et «des signes cliniques et des signes visibles en TDM (tomodensitométrie) thoracique évocateurs du diagnostic de Covid-19». sputniknews.com 10 sept. 2020

- Covid-19 : comment la pandémie renforce le pouvoir des régimes autoritaires - Europe1 10 septembre 2020

La pandémie de coronavirus a eu des effets secondaires dans les régimes autoritaires. Sous couvert de gestion de l'épidémie plusieurs pays dirigés par des leaders autoritaires ou dictatoriaux en ont profité pour renforcer leur arsenal de surveillance et de contrôle des populations au détriment des libertés de leurs concitoyens. Des mesures opportunistes permettant de renforcer l'emprise de ces dirigeants. Europe1 10 septembre 2020

LVOG - Pas en France, évidemment.

- Six mois de pandémie: quelques certitudes, pas mal de doutes, beaucoup d'inconnues - AFP 10 septembre 2020

- Le Covid-19 fait aujourd'hui partie de notre vie
- Qu'est-ce qui nous attend cet automne et cet hiver?
- Tous insistent en revanche sur l'importance des gestes barrières et du masque.
- Trouver un vaccin efficace et sûr est considéré comme la meilleure manière de mettre un terme à la pandémie.
- Et dans le pire des scénarios, il reste possible qu'on n'arrive jamais à mettre un vaccin au point.
- L'hydroxychloroquine (...) n'a pas démontré d'efficacité.

LVOG - La totale de la désinformation. Dans l'article suivant le nombre de morts n'était pas mentionné.

- Coronavirus: Plus de 8.500 nouveaux cas et 5.000 patients hospitalisés en France - Reuters 9 septembre 2020

Dans le registre sado-maso. Même une marionnette ne supporte pas le masque.

Pris d’une quinte de toux, Emmanuel Macron contraint de changer de masque - Ouest France 8 sept. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=E-68ZQN1oIE

Commentaire d'un internaute (YouTube): Bon, en 1min39 on voit tout ce qu'il ne faut pas faire : toucher son masque, l'enlever en le chiffonnant le donner à quelqu'un, se retoucher le nez, tousser dans l'air puis dans sa main, donner son micro et le reprendre. Et nous on nous prend la tête pour mettre cette muselière jusque dans les chiottes. C'est moi ou on nous prend un peu pour des cons.

LVOG - Il doit y avoir de ça. Si je peux me permettre, Si vous ne l’étiez pas ou si vous n’étiez pas prédisposé à l’être, vous ne vous poseriez pas cette question ! J’évite de porter un jugement, parce qu’on est toujours le con de quelqu’un, dit-on. De soi-même, c’est un bon exercice !

On devrait être plus modeste, on ne craindrait pas de se poser des questions sans se préoccuper des préjugés des uns ou des autres, du conformisme qui ramollit la volonté au point de supporter une muselière.

La question est de savoir pourquoi la population est-elle toujours aussi arriérée et soumise, et quels sont les facteurs ou les conditions qui continuent à créer cette situation. (Commentaire posté dans le blog du Dr. Maudrux)

Une version un peu plus longue.

Emmanuel Macron interrompt son discours en direct à cause d'une quinte de toux - Sputnik France 8 sept. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=GC-6cwU0d48&feature=emb_title

Commentaire d'un autre internaute (YouTube) : Depuis le 11 mai il y a eu en France des milliers de rassemblements en pleine air et surtout en milieux clos. Et il n'y a rien de grave dans le sens où les entrées dans les hôpitaux et en réanimations sont faibles. On est passé de 40 000 à 800 000 tests par semaine. Donc forcément il y a plus de cas. Plus on cherche plus on trouve.

On est passé de 550 morts par jour en avril à 8 par jour le 8 septembre. Il n'y a aucune deuxième vague partout en Europe. En Suède 200 cas jour et ils on eu 5 décès hier. Ils n'on pas confiné, massacré leur économie (en Europe le 3 septembre il y a eu 126 morts sur 500 millions d’habitants professeur Toussaint sur RFI radio) Donc faut ce calmer!

Cette année ils on baissé le seuil épidémique pour le covid de 150 pour 100 000 habitants à un seuil de 50 pour 100 000 habitants comme ça on est en zone rouge, et ils peuvent rapidement tirer la sonnette d’alarme. Alors que les années précédentes on était à 150 pour les virus respiratoires, pour rappel en France depuis des années on a chaque jour environ 465 morts du cancer, 410 morts de maladies cardiovasculaires, 120 morts de maladies de l’appareil respiratoire et pour finir chaque mois il y a 60 000 morts environ en France tous morts confondus et 1650 par jours environ 25 000 personnes meurent de faim dans le monde par jours. Dont environ 10 000 enfants.

Totalitarisme. Tyrannie, délation, eugénisme.

- Covid-19: les rassemblements de plus de 6 personnes interdits au Royaume-Uni dès lundi - BFMTV 9 septembre 2020

- La spectaculaire arrestation d'une surfeuse qui avait rompu sa quarantaine - Capital 8 septembre 2020

A Saint-Sébastien, dans le Pays basque espagnol, une jeune femme qui faisait du surf a été arrêtée par les forces de l’ordre. En effet, après avoir été testée positive au Covid-19, elle n’a pas respecté la quarantaine qui est imposée de l’autre côté des Pyrénées, explique El Diario Vasco. Elle a été arrêtée manu militari par deux policiers en combinaison de protection.

Ce sont ses collègues qui auraient prévenu les autorités. Capital 8 septembre 2020

- Des millions d'enfants dans le monde pourraient mourir des conséquences du Covid-19 - Yahoo 11 septembre 2020

Totalitarisme. Propagande. Ils osent tout. Lavage de cerveau et mains sales.

- Le coronavirus serait capable de pénétrer le cerveau, selon une étude - 20minutes.fr 12 septembre 2020

LVOG - La totalité de l'article était au conditionnel... Les virus et les bactéries sont présents par milliards dans le corps humain, non seulement ils ne présentent aucun danger, ils nous protègent.

La recherche actuelle estime que dans le corps humain il y a 100 fois plus de virus que de cellules humaines. wikipedia.org

Environ huit pour cent du génome humain est d'origine virale - c'est-à-dire les restes d'anciens virus qui nous ont infectés, développant une tolérance à l'échelle de l'espèce. Si chaque virus contenu dans un corps humain atteignait la taille d'une tête d'épingle, l'adulte moyen atteindrait 150 kilomètres (95 miles) de hauteur.

Dans une étude de 2018, Suttle a découvert que plus de 800 millions de virus se déposaient sur chaque mètre carré de Terre chaque jour.rtbf.be

Comment il a déjà pourri leurs cerveaux.

- Les-crises // 28.08.2020 à 10h39

« Atteindre l’immunisation collective » signifie en fait « il faut que presque tout le monde l’attrape », ce qui serait, à mon sens, une très mauvaise idée…

- Les-crises // 28.08.2020 à 10h49

Remarque : on ne sait toujours pas soigner très efficacement avec un traitement curatif, et ça risque de continuer longtemps, hélas…

Quand la médiocrité est devenue la norme, la marque de fabrique du régime.

- C’est un nouvel adversaire qui se dresse face à Didier Raoult. - voici.fr 10.09

Jimmy Mohamed s’est fait un nom en participant dès 2018 à Balance ton post !, l’émission de Cyril Hanouna sur C8. Ce jeudi 10 septembre c’est sur les ondes d’Europe 1, qu’il avait des choses à dire.

« Si vous n’êtes pas à risque pour vous-même, vous êtes à risque pour les autres et donc il va falloir prendre soin les uns des autres ».

"Il est temps de siffler la fin de la récréation et d'arrêter de se retrouver en famille ou entre amis"

Jimmy Mohamed a donné un conseil aux auditeurs : « Je vous invite à arrêter de fêter vos anniversaires, arrêter les réunions intra-familiales, arrêter les regroupements, les dîners de famille. Ce n’est plus le moment puisque l’épidémie est en train de flamber ». Sans le citer, il a enchaîné avec un tacle destiné à Didier Raoult, qu’il n’hésite pas à mettre dans le sac des charlatans : « Ne croyez pas les charlatans, en particulier du côté de Marseille, qui vous disent que tout va bien. C’est faux ». Pour conclure son coup de gueule, Jimmy Mohamed a encore supplié les Français à se discipliner : « Mettez-vous loin les uns des autres, anticipons les choses, évitons d’arriver à cette catastrophe parce que pour l'instant ça va mais d’ici quelques jours, si ça flambe, on aura l’air malin. Bref, vraiment, je vous recommande d’arrêter de vous regrouper. L'épidémie part de foyers intra-familiaux et donc il est temps de siffler la fin de la récréation ». voici.fr 10.09

LVOG - Les exigences de cette ordure sont tellement extravagantes que la population ne peut que les rejeter.

- YouTube censure une vidéo de Didier Raoult sur le Covid-19, puis rétropédale - Sputnik France 10 septembre 2020

Didier Raoult s’est indigné ce 10 septembre sur Twitter du fait que sa vidéo sur la mutation du coronavirus et sur des études favorables à l’hydroxychloroquine ait été censurée et supprimée par YouTube. Après deux appels, le professeur marseillais a indiqué que le site d’hébergement de vidéos avait remis la séquence en ligne.

Le professeur marseillais Didier Raoult, partisan du traitement à la chloroquine contre le Covid-19, a indiqué sur Twitter que sa vidéo publiée sur YouTube le 8 septembre avait été censurée et supprimée par le plateforme.

«Mon bulletin scientifique de mardi a été censuré par YouTube, décision confirmée après appel», a écrit M.Raoult sur le réseau social.

Mon bulletin scientifique de mardi a été censuré par Youtube, décision confirmée après appel. La vidéo a été réuploadée par France Soir, vous pouvez la voir à ce lien : https://t.co/zA7m0aAikF

Nous allons rapidement la télécharger sur de nouvelles plateformes d'hébergement.

— Didier Raoult (@raoult_didier) September 10, 2020

Dans cette séquence, le professeur marseillais parlait de la mutation du virus ainsi que des études favorables à l’hydroxychloroquine mettant ainsi en avant une carte du monde des pays utilisant ce médicament ou de la bithérapie en vert.

Après deuxième appel, YouTube a finalement remis la video de mardi dernier en ligne. Satisfait que cette censure ridicule soit abrogée.

Si la situation en reste là, polémique close de notre côté.https://t.co/ILqEGIrhXy

— Didier Raoult (@raoult_didier) September 10, 2020

Quelque temps plus tard, YouTube a remis la vidéo en ligne, mais après un deuxième appel, comme l’a précisé Didier Raoult sur Twitter. Sputnik France 10 septembre 2020

Pourquoi ils ont du souci à se faire.

Qui sont les « anti-masques » ? - euronews 8 septembre 2020

Portrait-robot des anti-masques dévoilé ce lundi dans une étude de la fondation Jean-Jaurès. (Un think tank néolibéral - LVOG)

Le profil des anti-masques français, que l’on attendait plutôt jeunes et issus des classes populaires ?profil type des personnes attirées par les théories conspirationnistes et enclins à une forte défiance politique? est tout à fait différent.

“D’une part, les femmes sont surreprésentées à près de 63%”, souligne l’enquête, et “d’autre part, l’âge de ces individus est relativement élevé avec une moyenne de cinquante ans. Leur niveau d’éducation est, lui aussi, assez haut avec un Bac+2 en moyenne”.

“Dès lors, les catégories sociales supérieures y sont également surreprésentées : les cadres et professions intellectuelles supérieures représentent 36% des personnes interrogées alors que leur poids n’est que de 18% dans l’ensemble de la population française. Au contraire, les ouvriers et employés ne représentent que 23% des anti-masques interrogés, soit la moitié de leur poids réel dans la population française”. Le HuffPost 8 septembre 2020

LVOG - J'ai noté que (euronews 8 septembre 2020) : 29% se déclaraient à droite, et 87% avaient une bonne opinion du Pr. Raoult, 94% refuseraient de se faire vacciner et 57% soutenaient les Gilets jaunes.

On le savait déjà depuis 6 mois ! Quand l'Organisation Mafieuse de la Santé fait une découverte.

- Covid: pourquoi la cortisone est le premier traitement approuvé par l'OMS - Le HuffPost 7 septembre 2020

Une étape cruciale vient d’être franchie pour le traitement des cas de Covid-19. Le 2 septembre, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié sur son site un rapport sur l’efficacité des corticoïdes pour lutter contre les symptômes du coronavirus. Une première pour l’organisation, qui “recommande” désormais l’usage des corticoïdes sur les patients souffrant de la forme sévère du virus.

Pour ce qui est des patients souffrants d’une affection plus modérée, les conclusions sont inverses: l’anti-inflammatoire ne produit pas d’effets notables sur les symptômes, et peut même les aggraver. Un effet averse déjà connu dans les débuts de la pandémie, lorsque le gouvernement avait mis en garde contre l’usage des anti-inflammatoires pour les malades du Covid. Le HuffPost 7 septembre 2020

LVOG - C'est ce qu'avait affirmé le Pr. Raoult dans une vidéo.

L'internationale terroriste GIEC-OMS.

- Guterres: s'unir face au changement climatique, ou "nous sommes perdus" - AFP 8 septembre 2020

Les Etats doivent s'associer pour lutter contre le réchauffement climatique ou notre monde sera "perdu", avertit le patron de l'ONU Antonio Guterres, pour qui la pandémie de coronavirus illustre les méfaits de la désunion. AFP 8 septembre 2020

Ils osent tout. Quand les Pieds nickelés de la science disposent d'un super-ordinateur...

L'hypothèse bradykinique : quand un super-ordinateur fait avancer la recherche contre le Covid-19 - euronews.com 8 septembre 2020

Une étude génétique des patients atteints de Covid-19, réalisée à l'aide du super-ordinateur Summit, a permis de faire un grand pas en avant dans la compréhension de la manière dont le nouveau coronavirus provoque cette maladie.

Ce superordinateur, situé au Oak Ridge National Lab aux États-Unis, a analysé 40 000 gènes provenant de 17 000 échantillons différents au début de l'été pour tenter de comprendre le virus, comme l'a expliqué l'expert en intelligence artificielle Thomas Smith dans un article sur la plateforme Medium.

Bien que la machine soit le deuxième ordinateur le plus rapide au monde, le processus a néanmoins nécessité l'analyse de 2,5 milliards de combinaisons génétiques - un tour de force qui a pris plus de deux semaines.

Selon les conclusions de cette analyse, la bradykinine, un composé chimique naturel qui régule la pression sanguine, pourrait expliquer de nombreux aspects du Covid-19 et certains de ses symptômes.

Ces résultats sont susceptibles d'éclairer les raisons pour lesquelles le virus provoque des problèmes vasculaires chez certains patients, allant de l'accident vasculaire cérébral à l'inflammation de la peau ou des orteils, ainsi que d'indiquer de nouvelles thérapies potentielles pour traiter ses symptômes les plus graves. Comprendre le Covid-19, une course contre la montre

Face à un nouveau virus et à une maladie inconnue, les autorités sanitaires et la communauté médicale ont appris petit à petit comment traiter le nouveau coronavirus.

Au début, le virus semblait se manifester sous la forme d'un syndrome respiratoire – son nom scientifique complet est toujours Syndrome respiratoire aigu sévère 2, SARS-CoV-2 – avec des symptômes similaires à ceux d'un mauvais rhume ou d'une grippe. Les traitements étaient le reflet de cette vision.

Coronavirus, 2019-nCoV, Covid-19 : comment s'y retrouver ?

Mais rapidement, les médecins sur le terrain ont commencé à signaler d'autres symptômes plus graves : accidents vasculaires cérébraux, problèmes cardiaques, problèmes de peau et problèmes circulatoires, principalement au niveau des pieds. Des problèmes hormonaux ont également été détectés dans certains cas.

Les professionnels de la santé ont commencé à réaliser que l'oxygénation ou l'intubation des patients gravement malades, qui est le protocole initial en cas d'insuffisance respiratoire, ne donnait pas toujours les résultats escomptés. Un autre phénomène était à l'œuvre.

Peu à peu, des signes ont montré que les cas les plus graves et certains décès étaient dus à une "tempête de cytokines" – une réaction disproportionnée du système immunitaire du patient, capable d'endommager les organes vitaux.

Symptômes, chocs cytokiniques... Ce que l'on sait et ce que l'on ignore du Covid-19

Les scientifiques qui ont interprété les données du super-ordinateur Summit et qui ont publié leurs conclusions dans le journal scientifique eLife, pensent qu'une "tempête de bradykinine", un dysfonctionnement du système vasculaire qui entraîne une fuite des vaisseaux sanguins, pourrait aussi jouer un rôle clé. Ils ont toutefois ajouté qu'il est possible que les deux tempêtes, de cytokines et de bradykinine, soient "intimement liées". Qu'est ce que l'"hypothèse de la bradykinine" ?

Cette nouvelle hypothèse suggère qu'une tempête de bradykinine est responsable d'un grand nombre des symptômes, parmi les plus mortels, du Covid-19.

Cette théorie repose sur l'idée communément admise que l'infection commence par l'entrée du virus dans l'organisme par l'intermédiaire des récepteurs ACE2 largement présents dans le nez, mais aussi dans les intestins, les reins et le cœur.

Le super-ordinateur Summit a montré à l'équipe de chercheurs que les effets du Covid-19 ne se limitaient pas à ceux causés par la colonisation des récepteurs ACE2 : le virus est également capable de les manipuler. Il pirate activement les propres mécanismes du corps humain, le poussant à augmenter la réponse de ces récepteurs.

Le Covid-19 est comme un cambrioleur qui entre dans votre maison par la fenêtre du deuxième étage, non fermée et ouvre aussi toutes vos portes et fenêtres pour que ses complices puissent se ruer à l'intérieur

Thomas Smith

M. Smith explique : "En ce sens, le Covid-19 est comme un cambrioleur qui entre dans votre maison par la fenêtre du deuxième étage, non fermée, et qui commence à tout piller. Une fois à l'intérieur, cependant, il ne fait pas que prendre vos affaires, il ouvre aussi toutes vos portes et fenêtres pour que ses complices puissent se ruer à l'intérieur et aider à rendre le pillage de manière plus efficace".

Le SARS-CoV-2 augmente les niveaux d'ACE2, ce qui abaisse la pression sanguine dans le corps humain et agit contre une autre enzyme appelée ACE (qui a l'effet inverse), laissant la porte ouverte à la bradykinine, affirment les chercheurs dans la revue scientifique.

Non contrôlée, la bradykinine provoque une perméabilité et une dilatation des vaisseaux sanguins ainsi qu'une hypotension, ajoutent-ils.

Quand les respirateurs sont inutiles contre le Covid-19

Dès lors que la pression sanguine n'est plus contrôlée et que les vaisseaux sanguins deviennent plus perméables, l'organisme ouvre la porte à des dysfonctionnements dans presque tout le corps, et cette porte reste ouverte.

Les patients atteints de Covid-19 et touchés par une "tempête de bradykinine" se "noient" parce que leurs alvéoles pulmonaires se recouvrent d'une substance gélatineuse.

En effet, de nombreux professionnels de la santé ont signalé des dommages aux vaisseaux sanguins du système respiratoire et de certains autres organes.

Cela expliquerait pourquoi, dans certains cas, il était inutile d'administrer de l'oxygène ou d'intuber les patients avec des respirateurs.

Une hypothèse utilisée pour identifier les patients à risque ?

Un autre mystère du Covid-19 est que certains patients ont souffert plus que d'autres de symptômes plus graves, même si des facteurs de risque ont été identifiés, comme l'âge, le surpoids et le diabète.

Des spéculations ont avancé comme explication des facteurs génétiques, le microbiote ou même le groupe sanguin.

L'hypothèse de la bradykinine pourrait nous aider à comprendre qui sont les patients qui risquent le plus d'être gravement touchés par le coronavirus.

Il semble à l'étude des bilans des victimes que les femmes soient moins susceptibles de mourir du Covid-19. Les chercheurs pensent qu'une protéine (la thymosine bêta-4), dont la concentration est deux fois plus élevée chez les femmes que chez les hommes, pourrait protéger les femmes contre certains des symptômes les plus graves du nouveau coronavirus.

En quoi cela aide à trouver un traitement contre le Covid-19 ?

Les chercheurs ont suggéré que les efforts visant à trouver un traitement contre les symptômes graves devraient se concentrer sur la réduction des tempêtes de bradykinine.

"D'autres expériences ont permis d'identifier plusieurs médicaments existants qui pourraient être réutilisés pour traiter les tempêtes de bradykinine", affirment-ils.

"Une prochaine étape possible serait de mener des essais cliniques pour évaluer l'efficacité de ces médicaments dans le traitement des patients atteints de Covid-19" expliquent les auteurs dans Elife. "En outre, comprendre comment le SRAS-Cov-2 affecte l'organisme aidera les chercheurs et les cliniciens à identifier les personnes les plus susceptibles de développer des symptômes mettant leur vie en danger". euronews.com 8 septembre 2020




TROISIEME PARTIE

Contre-propagande

.

- Vidéo. Le virus COVID-19: La campagne de peur n'a aucune base scientifique - Prof. Michel Chossudovsky 10 sept. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=VzA5YF2EMDE

- Manifestations "anticorona" en Allemagne et en Pologne - AFP 12 septembre 2020

Rien qu'à Munich (sud-ouest), où était organisée pour la première fois une manifestation nationale de ce genre, 10.000 personnes, ont été comptabilisées par la police, soit davantage que les 5.000 annoncées avant l'événement par les organisateurs.

Le rassemblement principal a dû être interrompu un peu moins d'une heure après son début car les règles de distance n'étaient pas respectées et que les participants ne portaient pas de masque.

D'autres villes allemandes ont également connu de tels rassemblements comme à Hanovre (centre) où au moins 1.000 personnes ont été recensées tout comme à Wiesbaden (ouest).

Une manifestation équivalente mais de plus petite taille a également rassemblé en début d'après-midi plusieurs centaines de personnes à Varsovie. (Près d’un millier de personnes ont manifesté dans le centre de Varsovie ce samedi 12 septembre, pour protester contre le port du masque et autres restrictions liées à la pandémie de Covid-19 et imposées par le gouvernement polonais. - RFI 13 septembre 2020)

Organisée notamment par une association s'opposant à une obligation vaccinale "Stop-NOP", la manifestation "En finir avec la pandémie!, Assez de mensonges!" s'est ouverte devant le siège du Parlement polonais. Les manifestants devaient ensuite passer par le centre de la capitale polonaise vers le siège de la télévision publique TVP qu'ils accusent de mentir sur la pandémie.

Les manifestants ont notamment scandé "Assez de mensonges, assez de masques" ou "Liberté, liberté!". Ils ont arboré des pancartes telles que "Bill Gates en prison", "Covid 1984, Les droits de l'Homme", ou "Le virus de la propagande", "Nous ne permettrons plus un nouveau lockdown!". Ils ont également réclamé la démission du gouvernement polonais. (Krzysztof, ouvrier du bâtiment ne regarde plus les JT. « Il y a plus de 1 000 personnes qui meurent chaque jour en Pologne du cancer, de complications médicales, dans des accidents de voiture ou de la vie. Alors quand j’entends que 12 personnes sont mortes un jour du Covid et que c’est un virus mortel, les bras m’en tombent ! », s’agace-t-il. - RFI 13 septembre 2020)

Les participants ont également observé une minute de silence en mémoire des personnes mortes "à la suite du blocus des services médicaux" du fait de la pandémie, selon eux. AFP 12 septembre 2020

Espagne : manifestation contre le gouvernement, accusé de mal gérer la crise du coronavirus - euronews 13 septembre 2020

Environ 3000 personnes réclamaient la démission du chef du gouvernement espagnol dans les rues de Madrid samedi. euronews 13 septembre 2020

- Coronavirus : un restaurateur d'Annecy attaque l'arrêté rendant le port du masque obligatoire dans le centre-ville - covidinfos.net 10 septembre 2020

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-savoie/annecy/coronavirus-restaurateur-annecy-attaque-arrete-contre-port-du-masque-centre-ville-1871892.html

- “Mensonges, corruptions, manipulations…” Le documentaire “Hold-Up” entend faire la lumière sur la crise du Coronavirus - covidinfos.net 13 septembre 2020

Projet lancé par le journaliste Pierre Barnérias, le producteur Nicolas Réoutsky et le réalisateur Christophe Cossé, “Hold-Up” est un documentaire en cours de production dont l’objectif est de “retracer tout le déroulé des erreurs commises au plus haut niveau”. Visionnez la bande-annonce ci-dessous. Vous pouvez également soutenir le film sur sa page Ulule en cliquant ici. (https://fr.ulule.com/hold-up-1/)

Présentation par les auteurs :

“La Covid 19 a donné lieu à des échanges contradictoires entre médecins, spécialistes, professeurs, hommes politiques et experts, le tout orchestré et alimenté par le feu nourri des médias ll y eu bien des résistants à cette machine de guerre : Raoult, Perronne, Toussaint, Douste-Blazy, Montagnier, Michel etc.

Ce film entend revenir sur ce hold-up incroyable. Enregistrés en un studio ou en situation, ces acteurs racontent leur bataille, leur sidération et aussi leur amertume de n’avoir pas été entendus malgré des faits et des chiffres qui leur donnent raison.Est-il déjà trop tard ? Les dommages sont ils réparables? A qui profite le crime?

En contrepoint de ces propos, il y aura bien sûr les explications et les revirements sur les plateaux TV ou sur les bancs de l’assemblée nationale de ces hommes politiques, de ces médecins de plateaux et de ces professeurs de palais. Leur discours sera décodé bien-sur, même si leur arme, elle, n’a pas varié. C’est la peur. Et elle semble avoir gagné la première bataille.”

– Le lien de la campagne Ulule :

https://www.ulule.com/hold-up-1/

– La page Facebook :

https://www.facebook.com/tprod-142813075785107

– Le site :

https://tprod.fr/project/thanatos-itv/

- «Covid-19: nous ne voulons plus être gouvernés par la peur» : la tribune de chercheurs et de médecins - Le Parisien 10 septembre 2020

Dans une tribune pour le Parisien, 35 chercheurs, universitaires et médecins, dont Jean-François Toussaint et Laurent Mucchielli, critiquent la communication du gouvernement sur la crise du Covid, qu’ils jugent trop anxiogène.

Dans cette tribune collective, 35 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la politique et la communication gouvernementales. Selon eux, elles relèvent davantage d'un affichage d'une « posture protectrice » que d'une stratégie sanitaire précise.

« Nous, scientifiques et universitaires de toutes disciplines, et professionnels de santé, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d'expression, disons que nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. La société française est actuellement en tension, beaucoup de citoyens s'affolent ou au contraire se moquent des consignes, et nombre de décideurs paniquent. Il est urgent de changer de cap.

Nous ne sommes pas en guerre mais confrontés à une épidémie qui a causé 30 décès le 9 septembre, contre 1438 le 14 avril. La situation n'est donc plus du tout la même qu'il y a 5 mois. Par ailleurs, si la guerre peut parfois justifier un état d'urgence et des restrictions exceptionnelles de l'Etat de droit et des libertés publiques qui fondent la démocratie et la République, ce n'est pas le cas d'une épidémie. Aujourd'hui comme hier, cette crise doit nous unir et nous responsabiliser, pas nous diviser ni nous soumettre.

C'est pourquoi nous appelons les autorités politiques et sanitaires françaises à cesser d'insuffler la peur à travers une communication anxiogène qui exagère systématiquement les dangers sans en expliquer les causes et les mécanismes. Il ne faut pas confondre la responsabilisation éclairée avec la culpabilisation moralisatrice, ni l'éducation citoyenne avec l'infantilisation. Nous appelons également l'ensemble des journalistes à ne plus relayer sans distance une communication qui est devenue contre-productive : la majorité de nos concitoyens ne fait plus confiance aux discours officiels, les complotismes en tous genres foisonnent sur les réseaux sociaux et les extrémismes en profitent.

Le confinement général, mesure inédite dans notre histoire, a eu des conséquences individuelles, économiques et sociales parfois terribles qui sont loin de s'être encore toutes manifestées et d'avoir été toutes évaluées. Laisser planer la menace de son renouvellement n'est pas responsable.

Il faut évidemment protéger les plus faibles. Mais de même que l'imposition du port du masque dans la rue, y compris dans les régions où le virus ne circule pas, l'efficacité du confinement n'est pas démontrée scientifiquement. Ces mesures générales et uniformes, imposées sous surveillance policière, relèvent davantage d'une volonté d'afficher une posture protectrice que d'une stratégie sanitaire précise. D'où leur grande volatilité depuis six mois. Beaucoup d'autres pays agissent avec plus de cohérence. Une coordination européenne serait nécessaire.

Nous appelons également le gouvernement à ne pas instrumentaliser la science. La science a pour condition sine qua non la transparence, le pluralisme, le débat contradictoire, la connaissance précise des données et l'absence de conflits d'intérêts. Le Conseil scientifique du Covid-19 ne respectant pas l'ensemble de ces critères, il devrait être refondé ou supprimé.

Nous rappelons par ailleurs que les premiers à soigner les malades sont les médecins généralistes. Les écarter de la lutte contre le Covid, en ne leur fournissant ni tests ni masques et en suspendant leur liberté de prescrire les médicaments autorisés de leur choix a constitué une erreur qui ne doit pas se reproduire. L'ensemble des soignants doit au contraire être mobilisé, équipé et solidarisé afin d'améliorer nos capacités de réaction et non les restreindre.

Enfin, les impératifs de protection contre la contagion ne doivent pas conduire à trahir l'éthique médicale et les principes humanistes fondamentaux. Isoler les malades et protéger les personnes à risque ne veut pas dire les priver de tous droits et de toute vie sociale. Trop de personnes âgées sont décédées et se dégradent encore actuellement dans un abandon motivé par des motifs sanitaires non justifiés. Trop de familles souffrent de ne pouvoir leur apporter l'affection indispensable à leur bonheur et à leur santé.

Il est urgent de nous remettre à penser ensemble pour définir démocratiquement nos stratégies sanitaires, redonner de la confiance à nos concitoyens et de l'avenir à notre jeunesse. »

Les premiers signataires

Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris ; Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS ; Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie à l’Université de Bordeaux ; Gilles Bœuf, professeur de biologie à Paris-Sorbonne Université ; Pierre-Henri Gouyon, professeur de biologie au Muséum national d’histoire naturelle ; Jean Roudier, professeur de rhumatologie à l’Université d’Aix-Marseille ; Louis Fouché, médecin, anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital de la Conception ; Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres ; Christophe Lançon, professeur de psychiatrie à l’Université d’Aix-Marseille ; Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’Inserm ; Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS ; Anne Atlan, généticienne des populations et sociologue, directrice de recherche au CNRS ; Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’Inserm ; Marc-André Selosse, professeur de microbiologie au Muséum national d’histoire naturelle ; Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste ; Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS ; Alexandra Menant, biologiste, chercheuse au CNRS ; André Comte-Sponville, philosophe ; François Gastaud, chirurgien orthopédiste à Strasbourg ; Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord ; Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté ; Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l'Université de Bourgogne-Franche-Comté ; Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille ; Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université de Montpellier ; Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines ; Thomas Hippler, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie ; Nicolas Leblond, maître de conférences en droit à l’Université Polytechnique Hauts-de-France ; Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes ; Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS ; Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS ; Jacques Tassin, écologue, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) ; Sylvie Gourlet-Fleury, écologue, chercheuse au Cirad ; Emmanuelle Sultan, docteur en océanographie physique, ingénieure de recherche au Muséum national d’histoire naturelle ; Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire ; Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie

- “La seconde vague risque d’être une vague de suicides” selon un article du quotidien Les Echos - covidinfos.net 11 septembre 2020

Cet article publié le 10 septembre sur le site du quotidien Les Echos met en garde contre une potentielle “épidémie de suicides” à venir. En cause, la crise économique et sociale notamment conséquente au confinement et à la “vague de faillites” qu’il a provoqué. Extraits.

“La seconde vague de l’épidémie de coronavirus, redoutée depuis la fin du confinement en France, pourrait être une épidémie de suicides. « Nous avons devant nous une vague de faillites, une vague de difficultés sur le front de l’emploi très violente », prédisait dès le mois de juin le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, en s’attendant à la suppression d’au moins 800.000 emplois cette année et un taux de chômage de plus de 10 %.” […]

“Perte d’emploi et précarité sont des facteurs déclencheurs connus des tentatives de suicide.” […]

“Le lien entre crise économique et suicide est incontestable, cela a été documenté dès la crise de 1929, et plus récemment lors de la crise de 2008”, affirme aux « Echos » Michel Debout, psychiatre et professeur de médecine légale, spécialiste de la prévention du suicide. « Il ne faudrait pas qu’une crise sanitaire en cache une autre. Et celle-ci pourrait avoir des conséquences dévastatrices non pas sur les personnes âgées, mais sur les travailleurs actifs », prévient-il. […]”

Source :

– LesEchos.fr :”Coronavirus : la seconde vague risque d’être une vague de suicides“

https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/coronavirus-la-seconde-vague-risque-detre-une-vague-de-suicides-1241086

Un collectif de parents pour lutter contre les “conditions de vie imposées aux enfants” et notamment le “masque obligatoire en milieu scolaire” - covidinfos.net 13 septembre

“PARENTS 2021 FRANCE” est un collectif de parents unis pour lutter contre les mesures sanitaires imposées aux enfants, et notamment le port du masque obligatoire en milieu scolaire. Voici leur présentation :

“Nous sommes parents et fondateurs du groupe privé facebook PARENTS 2021 FRANCE. Inspiré par nos amis Belges, notre collectif est né le 23 aout dernier. Plus qu’un groupe de discussion, nous sommes engagés.

Nos actions ont trait à la scolarité des enfants, au protocole sanitaire imposé par le gouvernement français. Celui-ci nous semble en effet violer la Convention Internationale des Droits de l’Enfant ratifiée par la France en 1990 ; il entrave au bon développement physique, psychosocial et moral des enfants, nuisant à leur santé et compromettant leur éducation et leur devenir dans la société. Un numéro vert a d’ailleurs été mis en place par l’Etat pour recueillir les angoisses des parents auprès de pédopsychiatres : “enfance et covid” tél. : 0 805 827 827

Objet :

Dans ces conditions nous nous mobilisons pour défendre les principes et les valeurs de la République au nom desquels le président Macron et son gouvernement ont accédé au pouvoir, nous dirigent mais en suivant, semble-t-il des règles et un agenda qui échappent totalement à notre contrôle citoyen et donc en outrepassant leurs droits et leurs devoirs envers le peuple. Dans l’immédiat nos deux objectifs prioritaires sont :

1) d’en finir avec l’obligation généralisée du port du masque dans le milieu scolaire, dans la France entière.

2) d’empêcher la vaccination forcée qui arrive à grands pas comme suite logique de la généralisation de l’obligation du port du masque.

Buts :

Dés lors il est de notre responsabilité envers nous-même et les générations à venir :

1) de faire une mise à plat des droits, devoirs et limites de l’Etat dans ses prérogatives propres envers les citoyens et la Constitution qui les régit ;

2) de nous réarmer juridiquement face au bio-pouvoir que l’Etat entend s’arroger sur nous, nos enfants, notre santé;

3) De mettre au jour l’idéologie mondialiste qui sert de gouvernail à l’Etat au mépris des principes et des lois qui le re´gissent dans ses relations avec les citoyens ;

4) De nous unir et de nous rapprocher des professionnels compétents et combatifs (médecins, avocats, enseignants, associations dédiées) qui seront volontaires pour nous accompagner dans les luttes à mener afin de préserver nos droits et devoirs bien compris face à l’Etat.

Moyens :

Pour ce faire, nous PARENTS 2021 FRANCE avons saisi les différentes instances : établissements scolaires, rectorats, Inspections Académiques ainsi que le Ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports. Des centaines de courriers : “avenant à la fiche infirmerie”, “questions sur la responsabilité des Ets. scolaires” leur ont été adressés. Aucune d’elles n’a daigné nous répondre.

Nous constituons au fil des jours un fonds documentaire de nature à nous armer contre les abus du pouvoir étatique. Nous partageons nos expériences et nos observations et nous nous tournons vers d’autres associations en pointe comme Laissons les médecins prescrire. Nous augmentons notre culture en matière de santé avec les articles que le professeur Patrice Gibertie, Médiapart, Covidinfos.net et d’autres, publient ; nous diffuserons le plus largement possible ce que nous savons.

Aucune société humaine digne de ce nom ne peut vivre en ne suivant pour loi que celle des profits spéculatifs à maximaliser partout, y compris dans la Santé et dans l’Education. Le privé doit absolument rester dans le périmètre que le peuple souverain lui assigne. L’Etat doit servir et non spolier le peuple souverain.”

Page Facebook de PARENTS 2021 FRANCE : www.facebook.com/groups/2826834730870161/

Contact : p21france@protonmail.com

- Migraines, boutons, difficultés respiratoires…” Le masque “perturberait l’intégralité du corps” selon plusieurs spécialistes. - covidinfos.net 11 septembre 2020

Selon un article paru le 10 septembre dans la sulfureuse publication crypto-complotiste “Madame Figaro”, le port prolongé du masque provoquerait notamment “difficultés pour respirer, boutons, démangeaisons et migraines…”.

Extraits.

“Difficultés pour respirer, boutons, démangeaisons, migraines… Porté toute la journée, le masque perturbe nos habitudes mais aussi l’intégralité du corps. Explications de spécialistes.

[…] Le port prolongé du masque met une pression constante sur la peau et l’empêche de respirer. «Irritations, frottements, prolifération bactérienne due à la chaleur humide produite par la respiration sont autant de conséquences de cette nouvelle habitude que nous sommes en train d’adopter», nous indiquait Gautier Doat, médecin à la direction médicale de Ducray, dans un article du mois de mai. Certaines zones sont particulièrement exposées, notamment sous les yeux, l’arête du nez, le menton et l’arrière des oreilles.

«Nous ne sommes cependant pas dans le domaine de l’allergique, mais plutôt de l’irritatif», poursuit le médecin. Les pathologies déjà existantes telles que l’acné ou l’eczéma peuvent ainsi revenir de façon amplifiée. Sans oublier que le stress et l’anxiété liés à la situation jouent évidemment également un rôle. […]

Certaines personnes peuvent ressentir une sensation d’inconfort au niveau des yeux depuis la généralisation du port du masque. «Il provoque principalement une sécheresse oculaire parce que l’expiration de l’air est concentrée vers le haut, et provoque un courant d’air régulier vers les yeux», explique Damien Gatinel, ophtalmologue et chef de service à l’Hôpital Fondation Rothschild à Paris. Ces sécheresses touchent surtout les personnes ayant déjà une tendance à avoir les yeux secs, comme les porteurs de lentilles.

Le masque peut aussi être responsable d’atteintes secondaires : des allergies de contact autour des yeux (eczéma, irritation des paupières) ou des infections bactériennes. «La journée, les gens le mettent dans leur poche, le touchent puis le replacent sur leur visage. Tout cela facilite l’apparition de germes, et crée une porte d’entrée pour des infections comme des conjonctivites par exemple», continue le médecin. Enfin, lorsqu’il est porté trop haut, le masque peut aussi gêner le clignement des yeux. […]

Le masque a évidemment une influence sur la manière dont on prend et recrache l’air. «Cette protection nous oblige à respirer de manière plus superficielle, plus légère qu’à l’habitude», explique Delphine Bihr, ostéopathe. Les conséquences sont assez simples : on est essoufflé bien plus vite lors d’un effort. «On ne peut pas prendre de grandes respirations, sinon on avale le masque», continue la professionnelle. […]

Chez certains d’entre nous, le port du masque peut provoquer des «tensions de céphalée musculaire», indique le neurologue Dominique Valade, soit des tensions au niveau du crâne. Avec le masque sur le visage, on force sur les muscles faciaux sans forcément s’en rendre compte, et on crée une tension à l’origine du mal de tête. Pour celles et ceux déjà sujets aux migraines, ces tensions peuvent provoquer des crises plus régulières.

Selon le médecin, il n’y a guère de solutions pour remédier à ces maux de tête. La meilleure alternative serait de remplacer le masque par la visière, seulement cette dernière n’est pas acceptée dans tous les lieux, où le masque reste la seule protection autorisée.” […]

Lire l’article intégral :

– Madame Figaro : “Migraines, boutons, respiration… Comment le masque perturbe notre corps”

https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/masque-boutons-demangeaisons-respiration-migraines-impacts-sur-le-corps-100920-182225

- Le masque représente “une menace sérieuse pour le développement des enfants” préviennent soixante-dix médecins Flamands - covidinfos.net 13 septembre 2020

Soixante-dix médecins Flamands se sont unis pour publier une lettre ouverte qui demande notamment “l’abolition du masque dans les écoles tant pour le corps enseignant que pour les élèves”. Extraits.

“Ces derniers mois, le bien-être général des enfants et des jeunes a été soumis à de fortes pressions. Dans nos cabinets, nous voyons un nombre croissant d’enfants et de jeunes qui se plaignent en raison des règles de comportement qui leur ont été imposées. Nous diagnostiquons des problèmes d’anxiété et de sommeil, des troubles du comportement et une peur de la contamination. Nous constatons aussi une augmentation de la violence domestique, de l’isolement et de la privation. Beaucoup de jeunes manquent de contacts physiques et émotionnels”

“L’obligation du port du masque dans les écoles est une menace sérieuse pour leur développement. Il ignore les besoins essentiels de l’enfant en croissance (…) L’obligation du port du masque fait de l’école un environnement menaçant et dangereux, où la connexion émotionnelle devient difficile.”

Selon eux, il n’y a “aucune preuve à grande échelle que le port du masque dans un environnement non-professionnel ait un effet positif sur la propagation des virus, et encore moins sur la santé en général. Il n’y a pas non plus de base légale pour faire respecter cette obligation”.

Les signataires expliquent aussi que les enfants en bonne santé confrontés au Covid-19 guérissent par défaut sans complications et qu’ils contribuent par la suite à la protection de leurs semblables en augmentant l’immunité de groupe.[…]

Source :

– La Libre Belgique : Septante médecins flamands demandent l’abolition du masque dans les écoles: “Une menace sérieuse pour leur développement”

https://www.lalibre.be/belgique/enseignement/septante-medecins-flamands-demandent-l-abolition-du-masque-dans-les-ecoles-une-menace-serieuse-pour-leur-developpement-5f58a5189978e2322fa9d32c

SRAS-CoV-2 – Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges comme aux médias belges par Médecins et professionnels de la santé belge (docs4opendebate.be) - Mondialisation.ca, 11 septembre 2020

Nous, médecins et professionnels de la santé belges, souhaitons par ce moyen exprimer notre profonde inquiétude quant au déroulement des événements de ces derniers mois entourant l’apparition du virus SRAS-CoV-2.

Nous faisons appel aux politiciens de s’informer de manière indépendante et critique dans le processus de prise de décision et dans la mise en œuvre de mesures obligatoires visant à protéger contre le coronavirus.

Nous demandons ici un débat ouvert, où tous les experts sont entendus sans aucune forme de censure.

Après la panique initiale autour du covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une situation complètement différente – il n’y a plus de base médicale justifiant une politique d’urgence.

La politique actuelle de crise est complètement disproportionnée, faisant plus de mal que de bien.

Nous plaidons pour l’arrêt immédiat de toutes les mesures et demandons le rétablissement immédiat de notre gouvernance démocratique normale et de toutes nos libertés civiles.

« Une solution ne doit pas être pire que le mal », c’est une thèse qui est plus que jamais d’actualité dans la situation présente. Or, nous constatons sur le terrain que les dommages collatéraux qui sont actuellement causés à la population auront un impact plus important à court et à long terme sur toutes les couches de la population que le nombre de personnes qui sont actuellement sauvées. À notre avis, les mesures coronaires actuelles et les sanctions sévères en cas de non-respect de celles-ci sont contraires aux valeurs formulées par le Conseil Supérieur de la Santé belge qui, en tant qu’autorité sanitaire, a, jusqu’à récemment, toujours assuré une médecine de qualité dans notre pays : « Science – Expertise – Qualité –Impartialité – Indépendance – Transparence ». 1

Nous sommes d’avis que cette politique a introduit des mesures obligatoires, qui ne sont pas suffisamment fondées scientifiquement, dirigées unilatéralement, et qu’il n’y a pas assez de place dans les médias pour un débat ouvert où les différents points de vue et opinions sont entendus. De plus, chaque municipalité et province a désormais la possibilité d’ajouter ses propres mesures, qu’elles soient fondées ou non.

En outre, la politique répressive et stricte en matière de corona contraste fortement avec la politique jusqu’ici minimale du gouvernement en ce qui concerne la prévention des maladies, le renforcement de son propre système immunitaire par un mode de vie sain, des soins optimaux avec une attention pour l’individu et l’investissement dans le personnel soignant.2

Le concept de la santé

En 1948, l’OMS a défini la santé comme suit : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’autres incapacités ».3

La santé est donc un concept large, qui va au-delà du physique, et qui concerne également le bien-être émotionnel et social de l’individu. La Belgique a également le devoir, du fait d’avoir adhéré aux droits fondamentaux de l’homme, de tenir compte de ces droits dans sa prise de décision lorsqu’il s’agit de mesures dans le cadre de la santé publique.4

Les mesures mondiales actuelles visant à lutter contre le SARS-CoV-2 violent considérablement cette vision de la santé et les droits de l’homme. Ces mesures comprennent le port obligatoire d’un masque buccal (aussi en plein air comme lors d’activités sportives, et dans certaines municipalités même lorsqu’il n’y a d’autres personnes à proximité), l’éloignement physique, l’isolement social, la quarantaine obligatoire pour certains groupes et des mesures d’hygiène.

La pandémie prévue avec des millions de morts

Au début de la pandémie, les mesures étaient compréhensibles et largement soutenues, même s’il y avait des différences de mise en œuvre avec les pays qui nous entourent. L’OMS avait initialement prévu une pandémie qui ferait 3,4 % de victimes, soit des millions de morts, et un virus très contagieux pour lequel il n’existait ni traitement ni vaccin. Cela mettrait une pression sans précédent sur les unités de soins intensifs (USI) de nos hôpitaux.

Ceci a conduit à une situation d’alarme mondiale, sans précédent dans l’histoire de l’humanité : « aplatir la courbe » a été représenté par un confinement qui a paralysé toute la société et l’économie mettant en quarantaine des personnes de bonne santé. La distanciation sociale est devenue la nouvelle norme en attendant un vaccin sauveur.

Les faits sur le covid-19

Au fur et à mesure, de nombreuses sources ont tiré la sonnette d’alarme : les faits objectifs révélaient une situation complètement différente.5 6

L’évolution du covid-19 a suivi le cours d’une vague d’infection normale, similaire à une saison de grippe. Comme chaque année, nous voyons un mélange de virus de la grippe suivre la courbe : d’abord les rhinovirus, puis les virus de la grippe A et B, puis les coronavirus. Il n’y a rien qui s’écarte de ce que nous voyons normalement..

L’utilisation du test PCR non spécifique, qui produit de nombreux faux positifs, a donné une image exponentielle. Ce test a été effectué à la hâte avec une procédure d’urgence et n’a jamais été sérieusement testé par soi-même. Le fabricant a expressément averti que ce test était destiné à la recherche et non au diagnostic.7

Le test PCR fonctionne avec des cycles d’amplification du matériel génétique – un morceau de génome est amplifié à chaque fois. Toute contamination (par exemple, d’autres virus, des débris du génome d’un ancien virus) peut éventuellement donner un faux positif.8

Le test ne mesure donc pas combien de virus sont présents dans l’échantillon. Une véritable infection virale signifie une présence massive de virus, ce qu’on appelle la charge virale. Si le test est positif chez une personne, cela ne signifie pas que cette personne est effectivement cliniquement infectée, malade ou susceptible à tomber malade. Le postulat de Koch n’a pas été respecté (« L’agent pur trouvé chez un patient présentant des symptômes, peut provoquer les mêmes symptômes chez une personne saine »). Étant donné qu’un test PCR positif n’indique pas automatiquement une infection ou une infectiosité active, cela ne justifie pas les mesures sociales prises, qui sont basées uniquement sur ces tests.9 10

Le confinement. Si l’on compare les vagues d’infection des pays menant une politique de confinement stricte avec celles des pays qui n’en avaient pas (Suède, Islande …), on observe des courbes similaires. Il n’y a donc aucun lien entre le confinement imposé et l’évolution de l’infection. Le confinement n’a pas entraîné une baisse du taux de mortalité.

Si nous examinons la date d’application des confinements imposés, nous constatons qu’elle a été fixée après que le pic ait déjà été dépassé et qu’il soit tombé. Par conséquent, la diminution n’est pas l’effet des mesures qui ont été prise.11

Comme chaque année, il semble que les conditions climatiques (temps, température et humidité) et l’immunité croissante soient plus susceptibles de réduire la vague d’infection.

Notre système immunitaire

Depuis des milliers d’années, le corps humain est exposé quotidiennement à l’humidité et aux gouttelettes contenant des micro-organismes infectieux (virus, bactéries et champignons).

La pénétration de ces microorganismes est empêchée par un mécanisme de défense avancé : le système immunitaire. Un système immunitaire fort repose sur une exposition quotidienne normale à ces influences microbiennes. Des mesures d’hygiène excessives ont un effet néfaste sur notre immunité.12 13 Seules les personnes dont le système immunitaire est faible ou défaillant devraient être protégées par une hygiène poussée ou une distanciation sociale.

La grippe va réapparaître à l’automne (en combinaison avec le covid-19) et une éventuelle diminution de la résistance naturelle pourrait entraîner encore plus de victimes.

Notre système immunitaire se compose de deux parties : un système immunitaire congénital, non spécifique, et un système immunitaire adaptatif.

Le système immunitaire non spécifique forme une première barrière : peau, salive, suc gastrique, mucus intestinal, cellules ciliées vibratiles, flore commensale… et empêche la fixation des micro-organismes aux tissus.

S’ils se fixent quand même, les macrophages peuvent provoquer l’encapsulation et la destruction des micro-organismes.

Le système immunitaire adaptatif comprend l’immunité des muqueuses (anticorps IgA, principalement produits par les cellules de l’intestin et de l’épithélium pulmonaire), l’immunité cellulaire (activation des cellules T), qui peut être générée au contact de substances étrangères ou de micro-organismes, et l’immunité humorale (anticorps IgM et IgG produits par les cellules B).

Des recherches récentes montrent que les deux systèmes sont fortement imbriqués.

Il semble que la plupart des gens aient déjà une immunité congénitale ou générale contre par exemple la grippe et d’autres virus. Cela est confirmé par les découvertes faites sur le bateau de croisière Diamond Princess, qui a été mis en quarantaine à cause de quelques passagers morts du covid-19. La plupart des passagers étaient âgés et se trouvaient dans une situation idéale de transmission sur le navire. Cependant, 75% d’entre eux n’était pas infectés. Ainsi, même dans ce groupe à haut risque, la majorité est résistante au virus.

Une étude publiée dans la revue Cell montre que la plupart des gens neutralisent le coronavirus par une immunité muqueuse (IgA) et cellulaire (lymphocytes T), tout en présentant peu ou pas de symptômes.14 Les scientifiques ont pu constater une réactivité des cellules T CD4 du SRAS-Cov-2 allant jusqu’à 60% dans une population non infectée, ce qui suggère des réactions croisées avec d’autres virus du rhume (corona)15.

Ainsi, la plupart des gens ont déjà une immunité congénitale ou croisée parce qu’ils ont déjà été en contact avec des variantes du même virus.

La formation d’anticorps (IgM et IgG) par les lymphocytes B n’occupe qu’une part relativement faible de notre système immunitaire. Cela peut expliquer pourquoi, avec un pourcentage d’anticorps de 5 à 10 %, il peut déjà y avoir une immunité de groupe.

L’efficacité des vaccins est jugée en fonction de la présence ou non de ces anticorps. Il s’agit ici d’une fausse représentation des choses.

La plupart des personnes dont le test est positif (PCR) n’ont pas de plaintes. Leur système immunitaire est assez fort.

Le renforcement de l’immunité naturelle est une approche beaucoup plus logique. La prévention est un pilier important, insuffisamment mis en évidence : une alimentation saine et complète, de l’exercice en plein air, sans masque buccal, la réduction du stress et des contacts émotionnels et sociaux nourrissants.16

Les conséquences de l’isolement social sur la santé physique et mentale

L’isolement social et les dégâts économiques ont entraîné une augmentation de la dépression, de l’anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la maltraitance des enfants.16

Des études ont montré que plus les gens ont d’engagements sociaux et émotionnels, plus ils sont résistants aux virus. Il semble beaucoup plus probable que l’isolement et la quarantaine aient des conséquences mortelles.17

Les mesures d’isolement ont également conduit à l’inactivité physique de nombreuses personnes âgées et à leur obligation de rester à l’intérieur, bien que les exercices physiques aient un effet positif sur le fonctionnement cognitif, qu’ils réduisent les plaintes et l’anxiété liées à la dépression et améliorent la santé physique, le niveau d’énergie, le bien-être et la qualité de vie en général.18

Il est prouvé que l’anxiété, le stress persistant et la solitude induite par la distanciation sociale ont une influence négative sur la santé psychologique et générale.19

Aucun traitement pour un virus extrêmement contagieux qui fait des millions de morts?

Le taux de mortalité s’est avéré plusieurs fois inférieur aux prévisions et est proche de celui d’une grippe saisonnière normale (0,2 %).20

Le nombre de décès par corona enregistrés semble donc encore surestimé. Il y a une différence entre la mort par corona et la mort avec corona. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus et de bactéries potentiellement pathogènes en même temps. Compte tenu du fait que la plupart des personnes qui ont développé des symptômes graves souffraient d’une pathologie supplémentaire, on ne peut pas simplement conclure qu’une infection à la corona a été la cause du décès. Souvent, les statistiques n’en tiennent pas compte.

Les groupes les plus vulnérables sont clairement identifiables. La grande majorité des patients décédés étaient âgés de 80 ans ou plus. La majorité (70 %) des personnes décédées, âgées de moins de 70 ans, souffraient d’un trouble sous-jacent, comme une souffrance cardiovasculaire, le diabète sucré, une maladie pulmonaire chronique ou l’obésité. La grande majorité des personnes infectées (>98%) ne sont pas ou à peine tombées malades ou se sont remises spontanément.

En attendant, il existe une thérapie abordable, sûre et efficace pour ceux qui présentent de graves symptômes de maladie, sous la forme d’HCQ (hydroxychloroquine), de zinc et d’AZT (azythromycine). Appliquée rapidement, elle permet la guérison et évite souvent l’hospitalisation. Il n’y a presque plus personne qui doit mourir maintenant. Cette thérapie efficace a été confirmée par l’expérience clinique de collègues sur le terrain avec des résultats impressionnants qui contrastent fortement avec les critiques théoriques (insuffisamment étayées par des études en double aveugle) qui, dans certains pays (par exemple aux Pays-Bas), ont même conduit à l’interdiction de cette thérapie. Une méta-analyse publiée dans The Lancet, qui n’a pu montrer aucun effet de la HCQ, a été retirée. Les sources de données primaires utilisées se sont avérées peu fiables et deux auteurs sur trois étaient en conflit d’intérêts. Toutefois, la plupart des directives basées sur cette étude sont restées inchangées … 48 49

Nous nous posons de sérieuses questions sur ce déroulement des choses.

Aux États-Unis un groupe de médecins qui travaillent sur le terrain et voient des patients tous les jours, se sont réunis dans l’organisation America’s Frontline Doctors (Docteurs Américains de première ligne) et ont donné une conférence de presse qui a déjà été regardée plusieurs millions de fois.21 51

Le professeur français Didier Raoult, de l’Institut d’infectiologie de Marseille (IHU), a également présenté cette combinaison thérapeutique prometteuse dès le mois d’avril.

Le médecin hollandais Rob Elens, qui a soigné de nombreux patients dans son cabinet avec l’HCQ et au zinc, a fait appel à ses collègues de signer une pétition pour la liberté de thérapie.22

La preuve définitive vient du suivi épidémiologique en Suisse : taux de mortalité avec cette thérapie et sans elle.23

Grâce aux images bouleversantes du SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë) dont les personnes ont été étouffées dans l’agonie et ont reçu la respiration artificielle, nous savons maintenant que cela a été causé par une réaction immunitaire exagérée avec coagulation intravasculaire dans les vaisseaux sanguins pulmonaires. L’administration d’anticoagulants et de dexaméthasone et le fait d’éviter la respiration artificielle, qui a entraîné des dommages supplémentaires aux tissus pulmonaires, signifie que cette redoutable complication n’est, elle aussi, pratiquement plus mortelle.47

Il ne s’agit donc pas d’un virus meurtrier, mais d’une condition bien traitable.

La propagation

La propagation se fait par infection au goutte-à-goutte (uniquement pour les patients qui toussent ou éternuent) et par aérosols dans des pièces fermées et non ventilées. La contamination n’est donc pas possible à l’air libre.

La recherche des contacts et les études épidémiologiques montrent que les personnes en bonne santé (ou les porteurs asymptomatiques testés positifs) ne peuvent pratiquement pas transmettre le virus. Les personnes en bonne santé ne se mettent donc pas en danger les unes les autres.24 25 26 27 28

Tout ceci remet sérieusement en question toute la politique de distanciation sociale et de masques buccaux obligatoires pour les personnes en bonne santé – il n’y a aucune base scientifique pour cela.

Les masques buccaux

Les masques buccaux ont leur place dans les contacts avec des groupes à risque confirmés ou des personnes souffrant de troubles des voies respiratoires supérieures et dans un contexte médical/un milieu hospitalier-RVT. Ils réduisent le risque d’infection par les gouttelettes provenant de l’éternuement ou de la toux. Chez les personnes en bonne santé, les masques buccaux sont inefficaces contre la propagation des infections virales. 2930 31

Le port d’un masque buccal n’est pas sans effets secondaires. 32 33

Un déficit en oxygène pouvant causer des maux de tête, nausées, fatigue, baisse de concentration se produit assez rapidement, un effet similaire au mal d’altitude. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d’hyperventilation dus au port de masques buccaux. De plus, le CO2 accumulé entraîne une acidification toxique de l’organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus lors d’un usage fautif.34

Notre code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en CO2 (ventilation des lieux de travail) de 900 ppm, avec un maximum de 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est facilement dépassée trois à quatre fois par rapport aux valeurs maximales. Quiconque porte un masque se retrouve donc dans une pièce extrêmement mal aérée! 35

L’utilisation inappropriée de masques buccaux sans dossier médical complet d’examen cardio-pulmonaire n’est donc pas recommandée par les spécialistes reconnus de la sécurité des employés. Les hôpitaux disposent d’un environnement stérile dans leurs salles d’opération où le personnel porte des masques et où il y a une régulation précise de l’humidité/température avec un débit d’oxygène contrôlé de manière appropriée pour compenser cela, et respecte donc des normes de sécurité strictes.36

Une seconde vague de corona?

On parle actuellement d’une seconde vague en Belgique, avec pour conséquence un nouveau durcissement des mesures. Cependant, en examinant de plus près les chiffres de Sciensano (dernier rapport du 30 août 2020)37, on constate que depuis la mi-juillet, le nombre d’infections a augmenté, mais qu’il n’y avait pas d’augmentation des admissions à l’hôpital ou des décès pendant cette période.

Cependant, en examinant de plus près les chiffres de Sciensano (dernier rapport du 30 août 2020)37, on constate que depuis la mi-juillet, le nombre d’infections a augmenté, mais que dans cette période, il n’y avait pas d’augmentation des admissions à l’hôpital ou des décès. Il ne s’agit donc pas d’une seconde vague mais plutôt d’une « épidémie de cas » (« a casedemic » comme on dit en anglais) due à l’augmentation du nombre de tests. 50 Ces dernières semaines, le chiffre des admissions à l’hôpital ou des décès a augmenté (de façon minime), mais pour l’interpréter, nous devons tenir compte de la vague de chaleur passée. En outre, la grande majorité des victimes se trouvent encore dans le groupe de population >75 ans. Cela indique que la proportion des mesures prises à l’égard de la population active et des jeunes est disproportionnée par rapport aux objectifs visés. La grande majorité des personnes « infectées » et dont le test est positif, se situent dans la catégorie d’âge de la population active, qui ne développe aucun symptôme ou seulement des symptômes limités.

Grâce à un système immunitaire qui fonctionne bien.

Donc rien n’a changé – le pic est passé.

Renforcer une politique de prévention

Les mesures corona forment un contraste frappant avec la politique jusqu’ici minimale du gouvernement lorsqu’il s’agit de mesures bien fondées ayant des effets bénéfiques avérés sur la santé, comme une taxe sur le sucre, l’interdiction des cigarettes (électroniques) et le fait de rendre les aliments sains financièrement attrayants et largement accessibles, l’exercice physique et les réseaux de soutien social. C’est une occasion manquée pour une meilleure politique de prévention qui aurait pu entraîner un changement de mentalité dans toutes les couches de la population avec des résultats clairs en termes de santé publique. Actuellement, seuls 3 % du budget des soins de santé sont consacrés à la prévention.2

Le serment d’Hippocrate

En tant que médecins, nous avons prêté le serment d’Hippocrate :

« Je m’occuperai avant tout de mes patients, je favoriserai leur santé et j’allégerai leurs souffrances. »

« J’informerai mes patients correctement. »

« Même sous pression, je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour des pratiques contraires à l’humanité. »

Les mesures actuelles nous obligent à agir contre ce serment.

D’autres professionnels de la santé ont un code similaire.

En outre, le « primum non nocere », qui forme le point de départ de tout médecin et professionnel de la santé, est compromis par les mesures actuelles et par la perspective de l’introduction éventuelle d’un vaccin généralisé, qui n’est pas soumis à des tests préalables approfondis.

Le vaccin

Des études sur la vaccination contre la grippe montrent qu’en dix ans, nous n’avons réussi que trois fois à développer un vaccin dont l’efficacité est supérieure à 50 %. La vaccination de nos personnes âgées semble être inefficace. Pour les plus de 75 ans, l’efficacité est presque inexistante.38

En raison de la mutation naturelle incessante des virus, comme nous le constatons également chaque année avec le virus de la grippe, un vaccin est tout au plus une solution temporaire, ce qui nécessite chaque fois de nouveaux vaccins par la suite. Un vaccin non testé, qui est mis en œuvre par le biais d’une procédure d’urgence et pour lequel les fabricants ont déjà obtenu une immunité légale en cas de dommages potentiels, suscite des questions sérieuses.39 40

Nous ne voulons pas utiliser nos patients comme cobayes.

A l’échelle mondiale, on s’attend à ce que le vaccin provoque 700 000 cas de dommages ou de décès.41

Si 95 % des personnes ne présentent pratiquement aucun symptôme pour le Covid-19, l’exposition à un vaccin non testé est un risque irresponsable.

Le rôle des médias et le plan de communication officiel

Au cours des derniers mois, les responsables de la presse écrite, de la radio et de la télévision semblaient suivre presque sans critique le « groupe d’experts » et le gouvernement, tandis que c’est justement la presse qui devrait être critique et empêcher la communication unilatérale du gouvernement. Cela a conduit à une communication publique dans nos médias, qui s’apparentait plus à la propagande qu’à un reportage objectif.

À notre avis, le journalisme a pour tâche de présenter les nouvelles de la manière la plus objective et la plus neutre possible, dans le but de trouver la vérité et de contrôler le pouvoir de manière critique, tout en donnant aux experts ayant une opinion différente un forum pour s’exprimer.

Ce point de vue trouve son appui dans le code du journalisme.42

Le discours officiel selon lequel un confinement était nécessaire, que c’était la seule solution possible, et que tout le monde appuyait ce confinement, a rendu difficile pour les contestataires et les experts d’exprimer une opinion différente.

Les opinions alternatives ont été ignorées ou ridiculisées. Nous n’avons pas vu de débats ouverts dans les médias, où les contestataires pouvaient donner leur avis.

Nous avons également été surpris du fait qu’un grand nombre de vidéos et d’articles de nombreux experts scientifiques et d’autorités ont été (et le sont encore) supprimés des médias sociaux. Nous estimons que cela ne correspond pas à un état constitutionnel libre et démocratique, d’autant plus que cela conduit à une vision étroite. Cette politique a également un effet paralysant et alimente la peur et l’inquiétude de la société. Dans ce contexte, nous rejetons l’intention de censure des opposants dans l’Union européenne!43

La manière dont le Covid-19 a été présenté par la politique et les médias n’a pas amélioré la situation. Les termes de guerre étaient populaires et le langage guerrier ne manquait pas. On parlait souvent d’une « guerre » avec un « ennemi invisible » qu’il fallait « vaincre ». L’utilisation dans les médias d’expressions telles que « les héros en première ligne » et « les victimes du coronavirus » a surtout alimenté la peur, tout comme l’idée que nous avons affaire à un « virus meurtrier » à l’échelle mondiale.

Le bombardement incessant de la population avec des chiffres, jour après jour, heure après heure, sans aucune interprétation, sans comparaison avec les décès dus à la grippe des années passées, sans comparaison avec les décès dus à d’autres causes, a véritablement terrorisé la population. Il ne s’agit là pas d’information, mais de manipulation.

Nous déplorons le rôle de l’OMS dans ce domaine, qui a demandé que « l’infodémie » (c’est-à-dire l’expression d’opinions divergentes du discours officiel, y compris la critique venant des experts opposés) soit réduite au silence par une censure sans précédent dans les médias.43 44

Nous invitons les médias à prendre leur responsabilité à cet égard!

Nous exigeons un débat ouvert où tous les experts sont entendus.

Loi d’urgence contre droits de l’homme

Le principe général de bonne conduite administrative exige que la proportionnalité des décisions publiques soit évaluée à la lumière des normes juridiques supérieures : toute ingérence des autorités publiques doit être conforme aux droits fondamentaux comme protégés par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). L’ingérence des autorités publiques n’est autorisée que dans les situations de crise. En d’autres termes, les décisions discrétionnaires doivent être proportionnées à une nécessité absolue.

Les mesures actuelles concernent l’ingérence dans l’exercice, entre autres, du droit au respect de la vie privée et familiale, de la liberté de pensée, de conscience et de religion, de la liberté d’expression et de la liberté de réunion et d’association, du droit à l’éducation, etc. et doivent donc respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH)

Par exemple, conformément à l’article 8, paragraphe 2, de la CEDH, l’ingérence dans le droit à la vie privée et familiale n’est permise que si les mesures sont nécessaires dans l’intérêt de la sécurité nationale, de la sûreté publique, du bien-être économique du pays, de la protection de l’ordre public et de la prévention des infractions pénales, de la protection de la santé ou de la protection des droits et libertés d’autrui, le texte réglementaire sur lequel se fonde l’ingérence doit être suffisamment clair, prévisible et proportionné par rapport aux objectifs poursuivis.45

La pandémie annoncée, avec des millions de morts, semblait répondre à ces conditions de crise, ce qui a conduit à la mise en place d’un gouvernement d’urgence. Maintenant qu’il est clair qu’il n’y a pas d’état d’urgence, la condition d’incapacité d’agir autrement (pas le temps d’évaluer minutieusement s’il y a urgence) n’est plus présente. Le Covid-19 n’est pas un virus du rhume du cuir, mais une affection bien traitable avec une mortalité comparable à celle de la grippe saisonnière. En d’autres termes, il n’y a plus d’obstacle insurmontable à la santé publique.

Il n’y a pas d’état d’urgence.

La politique actuelle cause d’immenses dégâts

Une discussion ouverte sur les mesures coronariennes signifie qu’en plus des années de vie gagnées par les patients coronariens, nous devons également prendre en compte d’autres facteurs qui affectent la santé de toute la population. Pensez aux dommages dans le domaine psychosocial (augmentation de la dépression, de l’anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la maltraitance des enfants)16 et aux dommages économiques.

Si l’on tient compte de ces dommages collatéraux, la politique actuelle est hors de proportion, ou pour le dire avec le proverbe: on tue des mouches avec un canon. Nous trouvons choquant que le gouvernement invoque la santé comme raison de la loi d’urgence. En tant que médecins et professionnels de la santé, nous ne pouvons que rejeter ces mesures extrêmement disproportionnées face à un virus qui approche la grippe saisonnière en termes de nocivité, de mortalité et de transmissibilité.

Par conséquent nous demandons l’arrêt immédiat de toutes les mesures.

Nous mettons la légitimé des experts consultatifs actuels qui se réunissent à huis clos, en question.

Nous demandons également qu’une commission indépendante enquête de manière approfondie sur les raisons du maintien de toutes les mesures de restriction de la liberté, alors qu’entre-temps, les chiffres et les données scientifiques ont clairement montré qu’il n’y a aucune raison médicale pour cela un jour de plus..

Dans le prolongement de l’ACU 2020 46 (https://acu2020.org/version-francaise/), nous demandons une enquête approfondie sur le rôle de l’OMS et l’influence possible des conflits d’intérêts dans cette organisation. Elle a également été au cœur de la lutte contre « l’infodémie », c’est-à-dire la censure systématique de toutes les opinions divergentes dans les médias. Pour un état de droit démocratique ceci est inacceptable.43

Diffusion de cette lettre

Nous aimerions lancer par ce biais un appel public à nos associations professionnelles et à nos collègues prestataires de soins pour qu’ils donnent leur avis sur les mesures actuelles.

Nous attirons l’attention et appelons à une discussion ouverte dans laquelle les prestataires de soins peuvent et osent s’exprimer.

Avec cette lettre ouverte, nous donnons le signal que continuer la politique actuelle fait plus de mal que de bien, et nous appelons les responsables politiques à s’informer de manière indépendante et critique sur les preuves disponibles – y compris celles des experts opposants, pour autant qu’elles soient fondées sur des données scientifiques solides – lorsqu’ils mettent en place une politique, dans le but de promouvoir une santé optimale.

Avec inquiétude, espoir et à titre personnel.

Signez la lettre ouverte : https://docs4opendebate.be/fr/#petitie

1- https://www.health.belgium.be/nl/wie-zijn-we#Missie

2- standaard.be/preventie

3- https://www.who.int/about/who-we-are/constitution

4- https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/human-rights-and-health

5- https://swprs.org/feiten-over-covid19/

6- https://the-iceberg.net/

7- https://www.creative-diagnostics.com/sars-cov-2-coronavirus-multiplex-rt-qpcr-kit-277854-457.htm

8- Président John Magufuli de Tanzania: « Même les papayes et les chèvres testent positifs »

https://www.youtube.com/watch?v=207HuOxltvI

9- Lettre ouverte du biochimiste Dr Mario Ortiz Martinez au parlement aux Pays-Bas

https://www.gentechvrij.nl/2020/08/15/foute-interpretatie/

10- Interview avec Dr Mario Ortiz Martinez

https://troo.tube/videos/watch/6ed900eb-7459-4a1b-93fd-b393069f4fcd?fbclid=IwAR1XrullC2qopJjgFxEgbSTBvh-4ZCuJa1VxkHTXEtYMEyGG3DsNwUdaatY

11- https://infekt.ch/2020/04/sind-wir-tatsaechlich-im-blindflug/

12- Lambrecht, B., Hammad, H. The immunology of the allergy epidemic and the hygiene hypothesis. Nat Immunol 18, 1076–1083 (2017). https://www.nature.com/articles/ni.3829

13- Sharvan Sehrawat, Barry T. Rouse, Does the hygiene hypothesis apply to COVID-19 susceptibility?, Microbes and Infection, 2020, ISSN 1286-4579, https://doi.org/10.1016/j.micinf.2020.07.002

14- https://www.cell.com/cell/fulltext/S0092-8674(20)30610-3?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS0092867420306103%3Fshowall%3Dtrue

15- https://www.hpdetijd.nl/2020-08-11/9-manieren-om-corona-te-voorkomen/

16- Feys, F., Brokken, S., & De Peuter, S. (2020, May 22). Risk-benefit and cost-utility analysis for COVID-19 lockdown in Belgium: the impact on mental health and wellbeing. https://psyarxiv.com/xczb3/

17- Kompanje, 2020

18- Conn, Hafdahl en Brown, 2009; Martinsen 2008; Yau, 2008

19- https://brandbriefggz.nl/

20- https://swprs.org/studies-on-covid-19-lethality/#overall-mortality

21- https://www.xandernieuws.net/algemeen/groep-artsen-vs-komt-in-verzet-facebook-bant-hun-17-miljoen-keer-bekeken-video/

22- https://www.petities.com/einde_corona_crises_overheid_sta_behandeling_van_covid-19_met_hcq_en_zink_toe

23- https://zelfzorgcovid19.nl/statistieken-zwitserland-met-hcq-zonder-hcq-met-hcq-leveren-het-bewijs/

24- https://www.cnbc.com/2020/06/08/asymptomatic-coronavirus-patients-arent-spreading-new-infections-who-says.html

25- http://www.emro.who.int/health-topics/corona-virus/transmission-of-covid-19-by-asymptomatic-cases.html

26- WHO https://www.marketwatch.com/story/who-we-did-not-say-that-cash-was-transmitting-coronavirus-2020-03-06

27- https://www.nordkurier.de/ratgeber/es-gibt-keine-gefahr-jemandem-beim-einkaufen-zu-infizieren-0238940804.html

28- https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-germany-banknotes/banknotes-carry-no-particular-coronavirus-risk-german-disease-expert-idUSKBN20Y2ZT

29- Déclarations contradictoires de nos virologistes https://www.youtube.com/watch?v=6K9xfmkMsvM

30- https://www.hpdetijd.nl/2020-07-05/stop-met-anderhalve-meter-afstand-en-het-verplicht-dragen-van-mondkapjes/

31- Expert de sécurité Tammy K. Herrema Clark https://youtu.be/TgDm_maAglM

32- https://theplantstrongclub.org/2020/07/04/healthy-people-should-not-wear-face-masks-by-jim-meehan-md/

33- https://www.technocracy.news/blaylock-face-masks-pose-serious-risks-to-the-healthy/

34- https://www.news-medical.net/news/20200315/Reusing-masks-may-increase-your-risk-of-coronavirus-infection-expert-says.aspx

35- https://werk.belgie.be/nl/nieuws/nieuwe-regels-voor-de-kwaliteit-van-de-binnenlucht-werklokalen

36- https://kavlaanderen.blogspot.com/2020/07/als-maskers-niet-werken-waarom-dragen.html

37- https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/Meest%20recente%20update.pdf

38- Haralambieva, I.H. et al., 2015. The impact of immunosenescence on humoral immune response variation after influenza A/H1N1 vaccination in older subjects. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26044074/

39- Global vaccine safety summit WHO 2019 https://www.youtube.com/watch?v=oJXXDLGKmPg

40- Non-responsabilité des fabricants de vaccins

https://m.nieuwsblad.be/cnt/dmf20200804_95956456?fbclid=IwAR0IgiA-6sNVQvE8rMC6O5Gq5xhOulbcN1BhdI7Rw-7eq_pRtJDCxde6SQI

41- https://www.newsbreak.com/news/1572921830018/bill-gates-admits-700000-people-will-be-harmed-or-killed-by-his-covid-19-solution

42- Code journalistique https://www.rvdj.be/node/63

43- La désinformation concernant COVID-19, approches de la Commission européenne EurLex, juin 2020(ce fichier n’endommagera pas votre ordinateur)

44- https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30461-X/fulltext

45- http://www.raadvst-consetat.be/dbx/adviezen/67142.pdf#search=67.142

46- https://acu2020.org/version-francaise/

47- https://reader.elsevier.com/reader/sd/

48- https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

49- https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31324-6/fulltext

50- Il ne s’agit donc pas d’une seconde vague mais plutôt d’une « épidémie de cas » (« a casedemic » comme on dit en anglais) due à l’augmentation du nombre de tests.

https://www.greenmedinfo.com/blog/crucial-viewing-understanding-covid-19-casedemic1

51- https://docs4opendebate.be/wp-content/uploads/2020/09/white-paper-on-hcq-from-AFD.pdf

- “Il faut arrêter d’écouter les médias français. La France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré cette crise” selon A. Hubert - covidinfos.net 11 septembre

Antoine Hubert est notamment à la tête du réseau de cliniques privées Swiss Medical Network qui regroupe en Suisse 2500 médecins indépendants dans 21 établissements. Il est ici interviewé par le magazine Helvète Bilan. M. Hubert dénonce notamment le “rôle vicieux” des médias et estime que “La France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré la crise”. Extraits.

“En Europe, globalement, tous les pays ont eu la même mortalité. Il faut rappeler que la population européenne est généralement en bonne santé et que le système sanitaire fonctionne bien. Il est vrai qu’en Angleterre, le système de santé ne fonctionne pas correctement ce qui a entraîné une mortalité plus élevée que chez nous. Concernant la Suède, tout le monde a critiqué son approche. Mais je suis persuadé que les statistiques sur 24 mois montreront qu’au final, il n’y a pas eu de surmortalité. Quant aux Etats-Unis, la population a toujours eu une espérance de vie plus basse qu’en Europe, car la population s’alimente mal et le système sanitaire n’est pas coordonné. […]”

“Aujourd’hui, nous sommes dans une situation plus liberticide et angoissante que pendant le pic de l’épidémie. Je ne comprends pas ce qui motive les gouvernements à durcir les mesures et maintenir la population dans une atmosphère anxiogène. Certaines personnes vont jusqu’à mettre un masque seul dans leur voiture, c’est délirant.[…]”

“On donne la parole à énormément d’experts qui ne travaillent plus, qui n’ont plus de patients entre les mains et qui sont complètement décorrélés de la réalité. On n’a pas assez impliqué les gens du terrain dans cette crise. Egalement au niveau économique, personne n’a demandé l’avis des acteurs économiques, des entrepreneurs, alors que nous sommes dans une crise économique profonde.[…]”

“Les premiers responsables sont les médias qui jouent un rôle vicieux car ils sont en quête d’audience. C’est beaucoup plus accrocheur d’annoncer le nombre de cas positifs plutôt que de donner des chiffres complets qui annoncent que l’épidémie est derrière nous. Les interviews sont souvent menées de façon biaisée. Les médias sélectionnent, voire déforment l’information pour la rendre anxiogène. Et étant donné que les médias ont une influence sur le peuple, les élus prennent ensuite des décisions pour rassurer le peuple. […]”

“On teste de plus en plus de monde, donc on a évidemment plus de cas positifs. Mais ces cas positifs ne sont pas des malades, 90% d’entre eux n’ont même pas de symptômes. Il faut protéger les personnes fragiles certes, mais il ne faut pas imposer des normes sanitaires disproportionnées à toute la population et paralyser ainsi l’économie.[…]”

“Quand vous voyez comment certaines personnes portent leur masque, c’est tout simplement inutile. Le personnel soignant, lui, sait comment s’en servir et l’efficacité est indéniable dans les hôpitaux. En les rendant obligatoires au public, les masques provoquent un état de fébrilité et rendent les interactions difficiles. Ils devraient être recommandés pour les personnes à risque mais pas obligatoire, même dans les transports publics. Quand on se retrouve seul dans un wagon, ça n’a pas de sens de devoir porter un masque. […]”

“La presse doit être beaucoup plus factuelle et diffuser des chiffres dans leur globalité. Ensuite, il faut arrêter de qualifier tous ceux qui critiquent la gestion actuelle de la crise de corona-sceptiques. Le virus est certes contagieux, mais nous pouvons le gérer et le soigner.”

“Il est aussi important de se renseigner auprès des personnes sur le terrain. Nous travaillons avec 2500 médecins dont l’immense majorité estime que les mesures actuelles sont complètements disproportionnées. Et puis, il faut arrêter d’écouter les médias français. Car la France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré cette crise. Les Suisse-allemands sont beaucoup plus factuels alors que la presse romande est plus sensationnelle. Zurich est beaucoup plus souple dans les mesures sanitaires et a compris que l’économie est vitale. Quand vous vous promenez dans les rues, on ne se rend même pas compte qu’il y a une crise. La population n’est pas traumatisée comme en Suisse romande et plus particulièrement à Genève.”

Lire l’article intégral :

– Bilan.ch : «La gestion de la crise du COVID est délirante»

https://www.bilan.ch/economie/antoine-hubert-la-gestion-de-la-crise-du-covid-est-delirante


Le 18 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Pour réaliser cette causerie, j'ai été perturbé par les travaux qui ont lieu chez moi.

Je rajouterai des documents en fin de journée ou demain matin.

Vous vous souvenez peut-être qu'au moment où étaient annoncées des prévisions économiques catastrophiques, j'avais refusé de relayer ce discours alarmistes, considérant qu'un fort ralentissement de l'économie pendant deux mois n'était pas suffisant pour produire un effondrement significatif de l'économie comparable à un krach boursier ou une crise économique mondiale, qui plus est au cours des mois suivants la production et la consommation repartiraient et compenseraient le manque à gagner de cette période creuse, on était en droit de le penser et c'est en gros ce que les principaux indicateurs économiques affichent aujourd'hui.

L'OCDE revoit en hausse ses prévisions 2020 pour l'économie mondiale - Reuters 16 septembre 2020

Ce catastrophisme économique allait de pair avec la psychose ou le délire collectif sanitaire pour faire accepter par la population des sacrifices sur le plan social et politique se traduisant par une dérèglementation sociale et des atteintes aux libertés individuelles et collectives. C'était cousu de fils blancs ou c'était tellement bien orchestré, cela puait tellement à plein nez la machination, que j'en ai tiré la conclusion que ce chaos apparent servait en fait à camoufler une autre menace ou des intentions bien plus dangereuses pour les travailleurs qui ne seraient véritablement mis en avant que plus tard.

Cette épisode devait servir à y préparer psychologiquement les esprits, pour que chacun accepte de se faire vacciner et de jouer le jeu du traçage, deux facteurs qui menés à leur terme signifieraient que les conditions politiques seraient dorénavant réunies pour basculer dans une société ouvertement totalitaire, sans qu'on sache exactement quelle forme elle prendra. Cette entrée en matière devait servir en quelque sorte de base de lancement au "great reset" ou grande réinitialisation de l'économie annoncée par le Forum économique mondial à partir du printemps 2021.

Jusqu'à présent, c'est un succès incontestable pour les tyrans qui visent à nous réduire définitivement en esclavage ou à nous éliminer en cas de résistance. Sans la soumission quasiment totale du mouvement ouvrier, ils n'auraient jamais pu atteindre cet objectif. Le seul facteur déterminant sur lequel repose dorénavant le destin de l'humanité, dépend de la réaction des classes moyennes qui subissent les mêmes mesures liberticides que la classe ouvrière. Dans le passé, elles jouèrent un rôle politique crucial en s'alliant au mouvement ouvrier ou en l'aidant à s'organiser. Or, de nos jours les éléments progressistes des classes moyennes ne peuvent plus compter sur le mouvement ouvrier pour entraîner les masses au combat contre le régime, et comme ils ne sont pas organisés ou ils n'ont aucun parti pour les représenter, on ne voit pas comment ils pourraient constituer une direction et proposer une issue politique à la crise du capitalisme dans lesquelles les masses se reconnaîtraient.

On a pu observer que ces couches des classes moyennes étaient indécises, bourrées d'illusions et de contradictions, dont elles arrivent d'autant moins à se défaire que les conditions ne s'y prêtent guère, comme je viens de le souligner, du coup elles avancent, puis reculent, sans se décider à rompre avec Macron et le régime.

Elles ont un rôle éminemment historique à jouer au côté de la classe ouvrière. Comment les aider à en prendre conscience, comment les convaincre d'étudier sans a priori, de manière scientifique, l'évolution de notre espèce en évaluant à leur juste valeur la place et le rôle jouer par l'ensemble des facteurs économiques ou sociaux et politiques au cours des millénaires passés jusqu'à nos jours, facteurs qui sont à l'origine de tous les rapports qui existent dans la société, car c'est là et uniquement là que se trouve la solution au problème auquel la civilisation humaine est confrontée, et non dans les délires existentiels d'un Étienne Klein par exemple, un éminent physicien pour qui toutes les idéologies se valent ou ne valent rien, ce qui relève manifestement de la paresse intellectuelle, du crétinisme ou de la mauvaise foi. (Tiré de sa conférence sur le thème : Le futur existe-t-il déjà dans l'avenir - https://www.youtube.com/watch?v=LF6ZxiBN4Ek)

Pour revenir sur notre sujet initial.

Il se peut aussi qu'ils décident à un moment donné de saboter l'économie pour provoquer un énorme effondrement social, ils l'ont déjà fait à plusieurs reprises dans le passé, tout dépendra de la nature des obstacles ou des résistances qu'ils rencontreront à la mis en place de leur société totalitaire. A suivre.

Quel portail a publié cette info ?

- Trois adultes sur quatre dans le monde auraient l’intention de se faire vacciner contre la COVID -19, mais est-ce réellement suffisant ? - Press release 02 sept. 2020

Réponse dans le portail du Forum économique mondial. Vous pouvez le vérifier à l'adresse suivante : https://fr.weforum.org

LVOG - Pourquoi tiennent-ils à ce point-là à vacciner la totalité de la population mondiale ? L'oligarchie financière serait-elle soudainement animée d'intentions louables ou généreuses envers les peuples qu'elle exploite, opprime, réduit à la misère, auxquels elle fait endurer guerres et destructions, les pires souffrances ?

47 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Quelques réflexions.

- Totalitarisme. La France est devenue un camp de rééducation. Terrifiant !

- Il y a un truc qui me fout la trouille, ce n'est pas de tomber malade, c'est de devoir consulter un médecin !

- Refusez de vous faire tester !

- Un conseil d'ami, à titre préventif, munissez-vous d'hydroxychloroquine ou d'azythromicine, ou d'une molécule semblable qui atténue la charge virale en cas de problème, Ivermectine, doxycycline, famotidine, bromhexine, héparine, etc. il en existe une dizaine selon des médecins, et prenez-en pendant un à 3 jours en cas de fièvre, toux, etc., si votre état ne s'améliore pas ou se dégrade, direction l'hôpital.

- Brisons la cabale et le consensus, le délire collectif à la pandémie virale.

- Il faut être niais pour croire ce que dit Macron, un ministre, un patron, un dirigeant d'un parti politique, un dirigeant syndical, un médecin, un professeur, un scientifique, un chercheur, un intellectuel, un journaliste.

- Le Pr. Perronne doit être un homme comblé : Le port du masque est obligatoire partout !

- Didier Raoult : "Nous avons le droit d’être intelligents !". Qu'il nous soit permis d'en douter fortement le concernant !

- Port du masque obligatoire : "C'est intelligent", estime Didier Raoult - rtl.fr 15 septembre 2020

Auditionné au Sénat, le professeur Didier Raoult s'est montré plutôt favorable au port du masque obligatoire dans cette période.

"Pour le masque, c'est pareil. Il n'y a pas de vérité scientifique brutale, selon le professeur marseillais. Il y a une vérité scientifique brutale, c'est que quand vous êtes dans le personnel de soin, que vous êtes à 30-40 centimètres des gens, le risque de contamination est plus important. Il a été montré que le masque le diminuait dans ces conditions. Dans les autres conditions, ça n'a pas été démontré et ça ne peut pas l'être."

"Là encore, c'est une question de message social, a estimé Didier Raoult. Est-ce que ce message social est utile ? Je n'ai pas d'avis. Je dirais plutôt oui. Je ne sais pas s'il faut être extrêmement punitif là-dessus. Mais le fait de porter un masque, si ça empêche les gens de s'embrasser quand ils se voient ou si ça permet de leur rappeler qu'il y a quelque chose qui circule, on peut penser que c'est raisonnable. Si ce message permet de changer les comportements pendant cette période, c'est intelligent." rtl.fr 15 septembre 2020

LVOG - Dans sa dernière vidéo, il a brodé sur la surmortalité au cours des 8 derniers mois, alors qu'il sait que pour en avoir une idée précise et définitive il faudrait attendre au moins 1 an, car le traitement imposé à la population a causé des morts prématurément, donc qui ne mourront pas l'année prochaine ou dans les deux ans à venir, on ne meurt pas encore deux fois ! De plus avec le vieillissement de la population qui se poursuit, le nombre de morts augmente annuellement naturellement au rythme de 2.500 par an selon l'Ined. Des milliers de personnes âgées dans les Ehpad qui auraient pu vivre peut-être encore 2 ou 3 ans, ont été euthanasiées ou ont été laissées sans traitement...

- Le Dr. Jean-François Toussaint au micro d'André Bercoff le 16 septembre 2020.

- "Inciter les gens à se faire tester alors qu'ils sont jeunes, asymptômatiques, ni malade ni contagieux, c'est les tromper." C'est pire que manquer d'intelligence !

Comme à l'origine il s'agit d'une pandémie de nature politique, le traitement dont elle fera l'objet sur le plan sanitaire sera subordonné aux objectifs politiques (donc économiques) fixés par le Forum économique mondial.

Ce qu'il faut retenir, c'est qu'en tant que médecins, ils se foutent de savoir si le traitement sanitaire de cette épidémie donnera lieu par la suite à une instrumentalisation politique et sociale effroyable ou dévastatrice y compris sur le plan mental, et pour cause ils en seront partie prenante, instrumentalisation politique qui d'ailleurs était inscrite au programme du Forum économique mondial dès octobre 2019 (ou bien avant), ce que ces médecins savent pertinemment, mais font semblant d'ignorer ou négligent délibérément. Ils pourront aller jusqu'à affirmer que l'origine de cette pandémie était idéologique, mais sans jamais en assumer les conséquences politiques et sociales, ils ne veulent pas se mouiller, pensez donc, il faudrait affronter Macron et le régime.

Dit autrement plus simplement, quand il y avait plus de morts, le port du masque aurait pu se justifier, admettons-le pour notre démonstration, cela aurait été une décision sanitaire, mais quand il n'y a plus de morts ou si peu, une telle décision peut invoquer fallacieusement des raisons sanitaires, mais elle ne peut pas être d'ordre sanitaire, elle est forcément de nature politique, donc dénoncer maintenant le port du masque reviendrait à attaquer une décision politique prise par Macron et ces braves médecins n'y tiennent pas répétons-le. Tout ce qui pourrait remettre en cause l'existence du régime doit être banni.

La soi-disant intelligence des médecins, professeurs, chercheurs, scientifiques ne s'étend jamais ou ne s'applique jamais ou rarement au domaine social ou politique, parce qu'ils s'accommodent très bien du régime en place, y compris de ses crimes les plus monstrueux.

Quand on aborde la situation sur le plan social et politique à la manière d'un scientifique, on s'aperçoit tout de suite qu'il existe une alternative au capitalisme, qu'un système économique n'a jamais été conçu pour l'éternité et qu'il arrive un moment où il doit disparaître sous peine d'entraîner l'humanité dans une régression sans fin, quand au lieu de participer au progrès de la civilisation humaine, il s'emploie à la détruire.

Une honnête observation de la réalité suffit à en prendre conscience. Si ces médecins et intellectuels n'y parviennent pas, c'est parce qu'ils vivent dans le déni permanent de tout un pan de la réalité qui est d'ordre sociale et politique, ils sont gravement compromis pour ne pas dire corrompus. On sait que dans ces conditions-là, on en arrive rapidement à accepter l'inacceptable, cela peut aller très loin, au-delà de l'absurde, jusqu'à la cruauté.

Il faut bien se dire une chose, personne n'échappe dans sa vie quotidienne aux rapports sociaux et politiques qui existent dans la société, qui prédominent dans le monde, et qui reposent sur le système économique de l'exploitation de l'homme par l'homme. Pour qu'il n'ait plus aucune légitimité sur le plan historique, il faut que la conscience des masses exploitées et opprimées ait atteint le niveau qui permettrait de s'en passer, il faut que les hommes soient en mesure de maîtriser ces rapports pour devenir les maîtres de leur destin.

Toute la difficulté est là, on en a une démonstration quotidienne sous les yeux, donc personne ne peut dire que la question du pouvoir politique ne se poserait pas.

Supprimer ce système économique reviendrait du même coup à supprimer la politique, donc on pourrait avancer rapidement vers une société émancipée de toute forme d'exploitation et d'oppression. Pourquoi ne pas poser la question sous cet angle-là ? A suivre

Qui vient de poser cette question ?

- Trois adultes sur quatre dans le monde auraient l’intention de se faire vacciner contre la COVID -19, mais est-ce réellement suffisant ?

Réponse : Le Forum économique mondial. (lire plus loin)




DEUXIEME PARTIE

Luttes des classes.

Voilà ce qui est à l'origine de la stratégie politique de l'oligarchie : La menace de la révolution socialiste mondiale, du communisme.

- L’autre visage de Winston Churchill - Réseau Voltaire 14 septembre 2020

Winston Churchill, premier ministre du Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale et leader de l’opposition conservatrice au terme de ce conflit, estimait qu’il fallait utiliser la bombe atomique contre plusieurs villes de l’URSS pour intimider le Kremlin et tenir en respect « le communisme ».

L’historien britannique Richard Toye a découvert dans les archives du New York Times, plusieurs textes sur un mémorandum que Julius Ochs Adler, ancien officier de l’US Army devenu chef de rédaction du journal après la guerre, avait rédigé sur un entretien qu’il avait eu avec Churchill en janvier 1951, donc 6 ans après la fin du conflit et seulement 6 mois avant le retour de Churchill au poste de premier ministre.

Selon Julius Ochs Adler, Churchill pensait qu’il fallait utiliser la bombe atomique sur au moins une ville soviétique sur 30.

Les bombardements nucléaires préconisés par cet homme politique britannique ne concernaient d’ailleurs pas que l’Union soviétique. Churchill pensait qu’il fallait également utiliser la bombe atomique contra la Chine, alors gouvernée par Mao Zedong. Réseau Voltaire 14 septembre 2020

Les choses simples s'énoncent simplement. "Nous sommes dirigés par des monstres."

La « Guerre contre le terrorisme », une escroquerie rondement menée par Caitlin Johnstone - entelekheia.fr 9 septembre 2020

Paru sur le blog de l’auteur sous le titre Tens Of Millions Of People Displaced By The ‘War On Terror’, The Greatest Scam Ever Invented

Extrait.

La « guerre contre le terrorisme » n’est qu’un terrorisme de masse à gros budget, et elle crée également un terrorisme de type ordinaire. Il a été démontré au delà de tout doute que les attentats-suicides à la bombe sont presque entièrement le résultat de l’interventionnisme occidental ; ils n’étaient tout simplement pas un problème en Irak et en Afghanistan avant les invasions américaines dans ces pays, par exemple. La « guerre contre le terrorisme » n’est pas seulement du terrorisme lui-même, c’est un fait établi qu’il crée en fait davantage du type de terrorisme qu’il prétend éliminer.

Et pourquoi ne le ferait-elle pas ? Pourquoi la destruction et la déstabilisation de nations entières n’inciteraient-elles pas les gens à vouloir se battre contre vous ? Il va de soi que c’est le cas, comme chacun peut le comprendre simplement en utilisant sa propre empathie et sa compréhension de la nature humaine.

Il ne fait tout simplement aucun doute que la « guerre contre le terrorisme » fait exactement le contraire de ce qu’elle prétend faire, et ce sur tous les plans imaginables. C’est un fait établi de manière absolue et incontestable.

Alors pourquoi continue-t-elle ? Pourquoi ce projet d’intervention et d’occupation à grande échelle non seulement se poursuit, mais s’intensifie alors que nous savons sans l’ombre d’un doute qu’il ne fait que créer davantage de misère, de déplacements et de terrorisme ?

Facile : parce que c’est exactement ce qu’il est censé faire.

La plus grande escroquerie jamais conçue est peut-être la façon dont l’empire centré sur les USA * a découvert qu’il pouvait tuer et déplacer des gens dans des régions géostratégiquement cruciales et riches en ressources sous couvert de lutte contre le terrorisme, puis, lorsque de la violence et de l’extrémisme découlent inévitablement de ce traumatisme de masse, il peut s’en servir pour justifier encore plus d’interventionnisme sous couvert d’encore plus de lutte contre le terrorisme. Il s’agit d’un cercle vicieux de violence sans fin, qui permet aux forces impérialistes d’envoyer toujours plus de troupes, de bases et de machines de guerre dans les zones qu’elles doivent verrouiller pour les aider à étouffer les nations qui leur désobéissent.

Plus l’interventionnisme est dévastateur, plus les gens veulent combattre les forces qui infligent cet interventionnisme militaire dévastateur. Plus les gens veulent combattre les forces qui infligent cet interventionnisme militaire dévastateur, plus l’interventionnisme militaire dévastateur peut être justifié auprès d’un public américain qui n’y est pas confronté ou qui n’en tient pas compte, même de loin.

Et le pétrole continue de couler. Et l’argent continue de s’accumuler. Et le cirque continue.

Nous sommes dirigés par des monstres. entelekheia.fr 9 septembre 2020

Faites tomber les masques de l'opportunisme ou la voix de son maître.

POID

- Non-assistance à millions de personnes en danger - éditorial de La Tribune des travailleurs par Daniel Gluckstein - 16 septembre 2020

LTT - Incapable, en mars, de fournir le pays en masques, le gouvernement se révèle tout aussi impuissant à le fournir en tests de dépistage en septembre. Comment appeler cela sinon non-assistance à personnes en danger ?

LVOG - Comment appeler cet exercice ? Une trahison.

LTT - Les travailleurs, les jeunes, les familles ne savent où donner de la tête entre des mesures sanitaires obligatoires dont on ne sait si elles sont efficaces et d’autres probablement efficaces, mais inaccessibles.

LVOG - Il dénonce la confusion dont il se fait le relais.

LTT - Quant à ceux qui, dans l’opposition, refusent d’appeler à chasser Macron et à remettre en cause la Ve République, ils courent le risque que l’opinion publique ouvrière confonde dans un même lot majorité et opposition.

LVOG - Pourquoi "l’opinion publique ouvrière" devrait-elle faire une distinction entre "majorité et opposition", tandis qu'ils participent ensemble notamment au consensus avec Macron sur l'ensemble des mesures liberticides qu'il a imposées ? Le pire ou le danger, ce serait plutôt qu'elle n'en prenne pas conscience.

On aura compris, qu'il tenait absolument à entretenir l'illusion consistant à faire croire qu'il existerait une distinction entre "majorité et opposition" qui justement nous a conduits où nous en sommes, c'est un agent du régime.

Et après il nous sort qu'il "faudrait au contraire rompre avec Macron", il ose tout !

A, je cite, "tous ceux qui refusent l’ordre existant, à tous ceux qui cherchent la voie du combat", je les appelle à rejoindre La Voix de l'Opposition de Gauche.

NPA

- La faillite du pouvoir face au Covid-19 - 16 septembre 2020

Comme cela était malheureusement prévisible et prévu par certains, pendant l’été la circulation du virus s’est intensifiée.

- ...nous n’avons toujours aucun traitement, même et y compris aux stades précoces, évitant les aggravations.

- Les masques devraient évidemment être gratuits et renouvelables, si jetables, deux fois par jour.

LO

- À part imposer le port du masque (...) qu’est-ce qu’il a fait ? (Le gouvernement - LVOG)

- Même les laboratoires, au cœur de la lutte sanitaire, sont dans l’improvisation et manquent de bras. 14 septembre 2020

LVOG - A aucun moment ils ne condamneront le port obligatoire du masque, mieux, ils volent au secours des laboratoires qui engrangent des dizaines de millions d'euros avec les tests...

LFI

LVOG - En famille. LFI en conseiller de l'appareil répressif de l'Etat ou au chevet de la Ve République.

"Je n’ai pas peur d’aller sur le terrain du gouvernement" : La France insoumise s'empare du thème de la sécurité. - francetvinfo.fr 15 septembre 2020

Il y a aussi la volonté de ne pas laisser ce thème aux futurs adversaires de la prochaine présidentielle. "Je n’ai pas peur d’aller sur le terrain du gouvernement pour lui dire que y compris sur leur propre terrain, ils sont mauvais et nuls", affirme Ugo Bernalicis.

Pour convaincre de sa fermeté sur le sujet, Jean-Luc Mélenchon conclut : "Personne n’est ami de la délinquance, personne n’est ami du crime. Ce qu’on veut, ce sont des résultats." francetvinfo.fr 15 septembre 2020

En complément.

- Jean-Pierre Chevènement : "La gauche est morte d’avoir épousé le néo-libéralisme" - Europe1 14 septembre 2020

Un phénomène que l’ancien ministre fait remonter au début des années 1980. Europe1 14 septembre 2020

LVOG - En réalité elle était morte depuis le 3 août 1914. Chut !

- COVID-19: La Grande remise à zéro – Revisitée. Des menaces effrayantes, des récompenses pour l’obéissance… Il est maintenant temps de résister par Peter Koenig - Mondialisation.ca, 15 septembre 2020

Covid-19 : The Great Reset [La grande remise à zéro ou la Grande réinitialisation]- est le titre d’un livre de Klaus Schwab, président exécutif du FEM [Forum économique mondial], et du directeur principal du Global Risk Network de l’institution, Thierry Malleret. La présente analyse est basée sur l’examen du livre de Steven Guiness, du 4 septembre 2020 (voir ici).

« Cette importante critique du livre de Steven Guinness (Royaume-Uni) révèle le même langage ancien d' »interdépendance », de collaboration et de coopération que celui utilisé par la Commission trilatérale en 1973. L’objectif d’alors et d’aujourd’hui est le développement durable, alias la technocratie, et se traduira par la plus grande ponction de ressources de l’histoire du monde ». « ? Rédacteur en chef de Technocracy News

Le livre présente au lecteur un scénario basé sur le principe de « la carotte ou le bâton » ; un scénario de menaces terrifiantes et de récompenses pour l’obéissance. Schwab et Malleret proposent Le meilleur des mondes comme un « nouveau paradis » après la Grande remise à zéro.

Les puissances qui se trouvent derrière la Grande remise à zéro, travaillent intelligemment avec deux armes invisibles,

i) un virus probablement créé par l’homme, maintenant appelé COVID-19, que personne ne voit mais que la propagande des entreprises nous fait croire mortel et effrayant – la peur est l’arme qui y est associée, et

ii) la technologie 5G (et plus tard viendra la 6G, déjà en préparation), constitue un champ magnétique puissant, jamais connu auparavant, dont on ne parle pas, ni dans le livre du FEM, ni dans les médias officiels, mais qui est déployé dans le monde entier, couvrant chaque centimètre carré de la surface de la terre, irradié par des centaines de milliers de satellites volant à basse altitude.

Cette arme électromagnétique infligeant probablement des dommages à long terme, voire mortels, a été étudiée par des centaines de scientifiques, dont les travaux n’ont jamais été publiés officiellement, mais restent confidentiels.

Le livre sur la Grande remise à zéro est rempli de prédictions sur les choses qui vont ou pourraient arriver, et de menaces, comme soulignant le fait que le monde ne sera plus jamais le même, et que nous ne sommes qu’au début de la réinitialisation, le pire serait à venir – ou il y aura la Grande transformation, comme le prédit le FMI.

Les auteurs du livre répandent la peur pour les sceptiques du Nouvel ordre mondial (NOM). On nous informe que le monde ne sera plus jamais le même et que les gens ne vivront plus de la même manière. Cette information n’est pas en fait de « prédire l’avenir », mais de faire peur. Les personnes qui ont peur sont vulnérables. La peur tire l’énergie de notre corps et de notre cerveau, diminue notre système immunitaire et augmente ainsi les risques de tomber malade, physiquement – de n’importe quelle maladie et pas nécessairement contagieuse-, mais aussi mentalement.

Schwab et Malleret affirment non seulement que beaucoup de choses vont changer pour toujours, mais aussi que « le pire de la pandémie est encore à venir« . Ouah ! C’est effrayant !

En effet, nous avons à peine aperçu la pointe de l’iceberg. Les auteurs admettent, presque avec une certaine satisfaction, semble-t-il, que des millions d’emplois seront perdus et continueront d’être éliminés à une vitesse vertigineuse, que des millions de petites et moyennes entreprises disparaîtront à jamais, que seules quelques-unes survivront, plus spécifiquement les multinationales. Le fait que Schwab et Malleret soulignent la catastrophe à venir, cela contribue à semer la peur chez les lecteurs.

Les lecteurs commenceront à penser : « c’est ce qui va m’arriver, et arrivera à ma famille, à mon entreprise ou à mon travail – mes enfants, leur éducation – il y aura une liste interminable de « ce qui va arriver« , ce qui conduira au désespoir, à l’angoisse et à l’anxiété – toutes sortes de pathologies sont prévues. La pathologie engendre la pathologie.

Un grand classique.

Plus nous sommes vidés d’énergie, du corps et du cerveau, plus nous devenons naïf face à ce qu’on essaie de nous faire croire. Vous voulez être à la hauteur, vous ne voulez pas être rejeté comme tous ces hommes et ces femmes qui ont perdu leur emploi qui constitue leur gagne-pain et qui ne supporte plus la solitude créée par l’isolement de la distanciation sociale. Ces derniers pourraient même contracter la maladie covidienne, s’ils ne portent pas de masque. Vous voulez porter un masque. La campagne de peur des médias vous a fait peur. Et quand vous portez un masque, vous êtes aussi à votre place. Peu importe ce que cela fait pour votre bien ou contre votre santé, vous ne voulez pas être différent de tout le monde qui porte un couvre-visage. Le port d’un masque est comme un rituel qui vous permet d’appartenir à la « grande mascarade ». Avez-vous vu comment les personnes qui ne portent pas de masque sont regardées et méprisées, comme si elles étaient des lépreux ou des criminels ?

Vous voulez respecter les règles – mais en silence et avec un espoir inhérent, vous regardez vers un avenir incertain – l’espoir d’un monde meilleur, d’un retour à la normale que vous avez connu. Là, l’espoir brille à l’horizon, mais l’espoir s’évanouit, comme un coucher de soleil qui s’estompe. Et vous voulez rapidement courir vers cet horizon, un horizon qui ne cesse de s’éloigner de vous – comme les horizons sont bien connus pour le faire.

Être séparé, et séparé des « croyants » pour cause de non-obéissance, c’est le bâton, la punition. Et voici maintenant, la récompense, la carotte : Si vous vous comportez bien et respectez les règles, vous aurez droit à un vaccin – l’un des 20 ou 30 (peut-être plus) vaccins actuellement mis au point par une myriade de laboratoires et de pays différents. Ce sont les Russes, les Étasuniens, les Chinois, les Cubains, les Français, les Africains – il est impossible de les suivre, et il faut encore moins leur faire confiance.

Certains vaccins sont conçus pour modifier génétiquement votre ADN pour toujours, ce qui signifie que si le vaccin laisse des traces durables, les dommages seront effectivement durables et ne pourront jamais être guéris. Il peut également être transmis sous forme de génome modifié à vos enfants et aux générations suivantes. Mais cela ne vous dérange pas. Vous voulez sortir de cette oppression, de cette tyrannie de la santé. Vous y allez : S’il vous plaît, donnez-moi le vaccin !

Et puis, on vous dit qu’une fois que vous êtes vacciné, il y a un risque qu’une partie de ce à quoi vous êtes habitué revienne à la « normale » – c’est-à-dire que certaines choses redeviennent « normales ». Mais dans l’ensemble, les auteurs du FEM, les serviteurs des maîtres de l’univers, vous disent aussi que vous feriez mieux de vous habituer à une nouvelle normalité. Ils ne vous disent jamais ce que cette nouvelle normalité impliquera exactement. Mais ils vous disent ce qui ne va pas avec l’ordre mondial actuel, qui consiste en un ensemble d’États nations souverains, et ce que le nouvel ordre mondial permettrait de résoudre. Ce nouvel ordre mondial se fera sous un seul gouvernement. Mais les auteurs ne disent pas comment et par qui sera dirigé ce gouvernement. Et quel sera le nouveau rôle de Nous, le Peuple, de ceux qui survivront au cataclysme de l’implosion mondiale. Ce nouveau rôle ressemblera à l’esclavage.

Mais il n’est jamais trop tard. Nous avons le pouvoir de la volonté et celui de la solidarité, à condition de nous prendre en main et de tout faire pour arrêter ce désastre. Il est maintenant temps de résister. Nous pouvons reconstruire l’économie et les moyens de subsistance dévastés. C’est un projet par et pour l’humanité qui doit se faire en fonction de nos besoins collectifs, avec le principe de ne pas nuire à notre généreuse et belle planète, notre Terre Mère.

Nous ne devons pas suivre le diktat de la Grande remise à zéro, ne pas être tentés par la carotte, la récompense d’un nouveau paradis, mais y résister, et prendre en main les rênes de la reconstruction, et au niveau mental – ce en poursuivant l’intérêt commun de l’humanité.

Voilà ce qui ne va pas dans le monde, cela même aux yeux de Schwab et Malleret. Il y a une pauvreté généralisée et sans cesse croissante, des inégalités croissantes, du racisme, de l’injustice – la division Nord-Sud – et, enfin, une population mondiale qui croît trop vite et qui est déjà trop nombreuse. Il y a bien sûr encore plus, beaucoup plus, de choses qui ne vont pas dans notre civilisation.

Les deux auteurs évitent de mentionner que l’avidité, les conflits et les guerres artificiellement créés – guerres biologiques, mais aussi par les armes et les bombes -, l’exploitation sans limite des ressources naturelles non renouvelables, la perspective de privatiser les biens publics, l’injustice monumentale de la néocolonisation du « Sud global » – sont menés par l’obscure élite diabolique. Cette élite veut que nous adoptions et succombions à la Grande remise à zéro qui est planifiée.

Le livre Great Reset ne mentionne pas qu’il y a suffisamment de nourriture pour nourrir la population mondiale actuelle et future. Il y a déjà plusieurs années, la FAO – l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture – a déclaré qu’il y a assez de nourriture pour nourrir au moins 12 milliards de personnes avec les technologies actuelles. La nourriture n’est bien sûr pas distribuée correctement, elle est entreposée pour la spéculation et les hausses de prix – privant ainsi les pays pauvres de leur juste part pour nourrir leur population.

Des centaines de milliers de personnes meurent de faim et de froid à cause de la spéculation sur les cultures vivrières – et cela à la vue des spéculateurs, des bourses bien établies et des échanges de produits agricoles, comme le Chicago Mercantile Exchange, à l’origine le « Chicago Butter and Egg Board » (fondé en 1898). Il existe des douzaines de bureaux de change spéculatifs de ce type dans les pays du Nord.

Les affirmations de la FAO selon lesquelles il y a suffisamment de nourriture pour les populations mondiales actuelles et futures, ne tiennent même pas compte de l’énorme potentiel de la technologie et de l’amélioration de l’efficacité agraire de la production alimentaire saine. La production alimentaire russe actuelle est presque entièrement biologique – les OGM sont constitutionnellement interdits – et la nourriture est abondante. La Russie est devenue le plus grand exportateur mondial de blé – un blé biologique.

Étant donné la destruction de l’environnement par la cupidité constante des néolibéraux, éternel fétiche d’une consommation et d’une croissance toujours plus grandes, une Grande remise à zéro (FEM) ou une Grande Transformation (FMI) peut effectivement être justifiée, mais pas dans les conditions mondialistes imposés par le FEM et le FMI, par les puissances mêmes qui sont derrière la destruction ; non pas dans les conditions du système bancaire mondial des entreprises, du complexe militaire mondial et de la Silicon Valley, i. e. l’intelligence artificielle (IA) axée sur les 5G (et bientôt les 6G), ou plus largement, l’Internet des objets (IoT).

Une réinitialisation [remise à zéro] doit être une réinitialisation par le peuple, où seul Nous, le peuple, décidons et déterminons les conditions de la réinitialisation. Une réinitialisation qui ne laisse personne exclue et ne vise pas à éliminer les populations « superflues » [trop nombreuses] – afin que les riches et les personnes puissantes puissent vivre plus longtemps avec les « ressources restantes » de la planète Terre. Parce que c’est vraiment leur but, c’est l’objectif de l’élite des mondialistes.

Leurs puissants outils pour atteindre leur but sont la guerre biologique, les ennemis invisibles, comme les virus, comme le COVID-19, et les vaccins contre les virus qu’ils veulent imposer au monde.

Intelligent : D’abord, vous attaquez et tuez, puis vous offrez le salut aux survivants – et vous tuez en même temps, grâce aux outils du salut. C’est ce qu’on appelle danser lors de nombreux mariages, et en cours de route, on se divise pour conquérir.

Diviser les « croyants plébéiens » des « non-croyants » ;

Divisez-vous entre les porteurs de masques et les protestataires, divisez-vous entre ceux qui croient que la « distanciation sociale » est la réponse, et ceux qui savent que la distanciation sociale accélère la maladie et finalement mène à la mort.

Ils créent une ambiance d’animosité et de conflits entre ceux qui étaient amis.

Les deux maîtres à penser du Grand Reset, Klaus Schwab (image de droite) et Thierry Malleret, ne touchent pas à ce sujet délicat dans leur livre. Ils parlent plutôt d’opportunités et de risques. Ils affirment que cette pandémie de COVID-19 – appelons ça une pandémie, car elle a clairement été planifiée – offre une rare opportunité de faire de la Grande remise à zéro une réalité. Ils appellent cela une « Window of Opportunity » [fenêtre d’opportunité] , soit une opportunité à saisir.

Ils parlent de l’ère post-pandémique – comme la panacée de l’avenir pour l’humanité, car, si nous saisissons cette « opportunité unique » pour coopérer et collaborer entre les pays vers un état mondial, une plus grande interdépendance, nous pourrons nous attaquer à tous les maux, la pauvreté, l’inégalité et l’injustice. Mais les auteurs n’expliquent pas comment. Ils ne parlent pas de la disparition de la souveraineté nationale – de la disparition de la souveraineté culturelle en embrassant un monde globalisé et gouverné mondialement – en abandonnant l’État-nation, et en se soumettant au contraire à une puissance mondiale unique.

Ce n’est pas tout. La panacée de l’avenir sera couronnée par la Perle de la quatrième industrialisation – l’intelligence artificielle (IA). Elle sera rendue possible par un champ électromagnétique de 5G, permettant l’Internet des objets (IoT). Schwab et Malleret ne diront pas, attention, il y a de l’opposition à cette technologie. Le 5G pourrait encore être bloqué. L’existence et le développement de la 5G sont nécessaires pour la surveillance et le contrôle de l’humanité, en numérisant tout, y compris l’identité humaine et l’argent.

Ce sera si simple, plus d’argent liquide, juste de l’argent électronique, numérique – c’est bien au-delà du contrôle du propriétaire, le véritable gagneur de l’argent, car il peut être accessible par le gouvernement mondial et retenu et/ou utilisé pour faire pression sur les citoyens malhonnêtes afin qu’ils obéissent aux normes imposées d’en haut. Vous ne vous comportez pas selon nos normes, pas d’argent pour acheter de la nourriture, un abri et des services de santé, nous vous laissons mourir de faim. Plus de voyages. Vous ne participez plus aux événements publics. Vous serez progressivement mis à l’isolement. Le contrôle mondial dictatorial et tyrannique par le contrôle numérique de tout est l’essence même de la 4e ère de l’industrialisation – fortement encouragée par la Grande remise à zéro du FEM.

Le verrouillage universel mondial – les 193 membres des Nations unies à la fois (quelle coïncidence !) – a déjà dévasté et continuera de dévaster dans les années à venir, notre économie, nos emplois, nos entreprises, nos moyens de subsistance, notre société, nos cohésions sociales – vous l’avez dit – ce que nous appelions « normal » est parti, parti pour toujours. C’est ce que Schwab et Malleret ne cessent de répéter. Alors qu’ils répandent la peur, ils nous disent : « Vous feriez mieux de vous adapter à la nouvelle normalité ». Il ne sert à rien de regarder les ruines causées par le début de la grande réinitialisation destructrice. Il n’y a pas d’espoir, nous disent-ils. Il faut plutôt avoir confiance dans l’avenir, dans la nouvelle Grande remise à zéro. Elle renaîtra des cendres du passé et donnera à l’humanité – à ceux qui survivront – une vie meilleure à long terme sur une planète moins encombrée. Ainsi, le récit du WEF.

Les deux « sages » le martèlent impitoyablement à chaque occasion, à chaque coin de rue, jamais le monde ne pourra revenir à la normale. Ils prétendent nous faire croire que la COVID-19 nous a donné cette occasion unique de repartir à zéro, avec une Grande réinitialisation. Ils déforment la vérité, parce que la réalité est exactement le contraire – eux – l’élite diabolique, l’état profond et obscure – ont créé la Covid-19, pour nous enfermer, dans la séparation sociale, dans des quarantaines, afin qu’ils puissent sans être dérangés détruire les réalisations de l’humanité à la vue de tous sous prétexte de nous protéger du virus covid invisible. En réalité, ils préparent la Grande remise à zéro mondiale.

Il existe cependant un risque réel, que les auteurs reconnaissent, à savoir qu’un fort sentiment nationaliste puisse persévérer. Ils appellent cela « un sens brisé de la normalité« . La pensée nationaliste peut pousser des factions du monde à se replier sur elles-mêmes et à devenir plus patriotiques. Les « nationalistes » chercheront à diviser ou à abolir ce nouveau gouvernement mondial. Les auteurs du FEM considèrent cette tendance nationaliste – qu’ils n’appellent jamais « préservation ou retour à la souveraineté » – comme dangereuse. Ils prédisent qu’elle entraînera des conflits et des révolutions continues. Des rébellions au lieu de construire vers le Bien Commun Mondial. Mais nous, le peuple, nous savons mieux que ceux-ci. Nous pouvons résister.

Schwab et Malleret ne peuvent éviter de mentionner l’Agenda 2030 des Nations unies – les objectifs de développement durable (SDG) qui sont le prétexte ainsi que l’épine dorsale de l’Agenda 2030 des Nations unies – qui ne peuvent être atteints sans une Grande remise à zéro, car ils nécessitent une collaboration et une coopération entre les nations qui ont la même vision – un Ordre mondial unique mondialisé.

L’Agenda 2030 est intimement lié à l’Agenda 21, la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement, adoptée par plus de 178 gouvernements lors de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement (CNUED) qui s’est tenue à Rio de Janeiro, au Brésil, du 3 au 14 juin 1992. Le programme sur le réchauffement de la planète et le changement climatique mondial en découle.

Voici l’astuce : Les nations, principalement les pays en développement, qui souscrivent à la poursuite de la réalisation des 17 SDG merveilleusement justes sur le plan humain, recevront de l’argent, des aides, des prêts et des subventions du FMI, de la Banque mondiale et d’autres institutions similaires mondialisées, pour travailler à la réalisation de ces objectifs. Mais – à condition qu’ils suivent et se soumettent à la Grande remise à zéro.

Néanmoins, nous savons que ces 17 nobles objectifs d’égalité, de justice et d’équilibre dans le monde sont une fantaisie, tout comme les 8 objectifs du Millénaire pour le développement (observez le 8e objectif : « Mettre en place un partenariat mondial pour le développement ») qui ont pris fin en 2015. Presque aucun des 8 objectifs (plus 21 cibles et 60 indicateurs pour mesurer les progrès entre 1990 et 2015) n’a été atteint par un pays. Ils sont maintenant remplacés par les 17 nouveaux SDG – l’Agenda 2030 des Nations unies – qui ne seront pas non plus atteints. Les SDG sont un outil pour asservir davantage le « Sud global « par le « Nord global ».

La grâce salvatrice est que le monde n’est pas un endroit uniforme avec une population homogène. C’est là que Schwab et Malleret ont involontairement raison en prédisant une résistance. La « Terre mère » est diverse, colorée, et ses populations sont de toutes formes, langues et cultures. Le monde est constitué d’une humanité vaste, universelle, hétérogène qui, par nature, ne se soumettra pas au diktat de quelques-uns. Impossible.

Indéniablement, cela peut conduire à une division entre deux ou plusieurs puissances – les mondialistes et les nationalistes ou les patriotes, comme les mondialistes appellent de façon humiliante ceux qui veulent préserver leur identité nationale, leur souveraineté nationale – une souveraineté qui ne s’arrête pas au niveau politique, mais qui englobe la souveraineté monétaire et la souveraineté individuelle et collective des peuples. Pour les « nationalistes » et les « patriotes », la tendance nationaliste peut conduire à une véritable démocratie – peut-être qu’une démocratie que nous n’avons jamais connue peut émerger d’une réinitialisation autonome et souveraine faite par le peuple ; une option bien plus attrayante que la Grande réinitialisation imposée à l’humanité par une petite élite mondialiste.

La division en deux camps (ou plus) peut conduire à des conflits et des guerres, à des effusions de sang. C’est pourquoi nous mettons en garde Schwab et Malleret. Mais un groupe de nations souveraines ayant conclu des alliances entre elles, ne doit pas aboutir à des conflits et des guerres. Au contraire. Ils seront prospères et ils se développeront – une création et un développement sans fin, dans le respect les uns des autres.

En effet, la façon dont les peuples remettent la planète à sa place, peut créer des alliances inouïes et incroyables. De même que les amis ont été divisés par la volonté d’une Grande remise à zéro, de même les ennemis peuvent devenir des amis et des alliés à l’avenir – dans le but de rester des nations et des peuples indépendants, autonomes et souverains. (...) Mondialisation.ca, 15 septembre 2020




TROISIEME PARTIE

Guerre idéologique et psychologique de la réaction contre tous les peuples.

Totalitarisme. Fabrique du consentement et manipulation des consciences tout azimut.

LVOG - Vous retrouverez plus loin la plupart de ces titres ou sujets dans l'agenda du Forume économique mondial.

- Sous les attaques de Biden, Trump promet un vaccin dès octobre - AFP 16 septembre 2020

- Après 175 ans d'impartialité, « Scientific American » appelle à voter Biden - LePoint.fr 16 septembre 2020

La fameuse publication américaine appelle les Américains à faire barrage à Donald Trump, notamment en raison de sa gestion de la crise sanitaire. LePoint.fr 16 septembre 2020

- Covid-19 : vers un durcissement des contraintes sanitaires en France - euronews 16 septembre 2020

- De nouvelles restrictions dans le nord-est de l'Angleterre - Reuters 16 septembre 2020

- Interdiction des distributions alimentaires aux migrants de Calais : les associations saisissent la justice - Franceinfo 16 septembre 2020

- Colombie: des Amérindiens abattent la statue d'un conquistador espagnol - AFP 16 septembre 2020

- Maduro et des ministres à l'origine de crimes contre l'humanité au Venezuela, selon l'ONU - Europe1 16 septembre 2020

- Les fumées des incendies aux États-Unis visibles jusqu'en France - Europe1 16 septembre 2020

D'après les satellites du programme spatial européen de surveillance de la Terre Copernicus, les fumées des incendies qui ravagent la côte ouest des États-Unis depuis la mi-août ont parcouru les 10.000 kilomètres qui les séparent de l'Europe. Europe1 16 septembre 2020

- Biodiversité : agir tant qu'il est encore temps (rapport ONU) - euronews 16 septembre 2020

Totalitarisme. Normalisation et soumission.

- Covid-19: tours de vis sanitaires à travers le monde pour échapper au reconfinement - AFP 15 septembre 2020

Coronavirus : « Le plus dur est à venir » en Europe selon l'OMS - euronews 15 septembre 2020

D'après Hans Kluge, après les taux de contamination, ce sont les taux de mortalité qui vont monter en flèche en octobre et novembre. euronews 15 septembre 2020

AFP - Et un des six envoyés spéciaux de l'Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19, le docteur David Nabarro, a estimé que la pandémie n'en est qu'à son début.

"Ceci est bien pire que toutes les sciences-fictions sur les pandémies", a déclaré M. Nabarro devant la commission des Affaires étrangères du Parlement britannique. "C'est vraiment sérieux, nous n'en sommes même pas à mi-chemin. Nous en sommes encore au début", a-t-il affirmé, cité mardi par l'agence britannique Press Association.

"C'est une situation terrible, un problème de santé qui est devenu tellement hors de contrôle qu'il plonge le monde non seulement dans une récession, mais dans une contraction économique géante qui va probablement doubler le nombre de pauvres, doubler le nombre de mal nourris, conduire des centaines de millions de petites entreprises à la faillite", a ajouté le Dr Nabarro. AFP16 septembre 2020

- Covid-19 : l'OMS se donne un horizon de deux ans pour en finir avec la pandémie - euronews 16 septembre 2020 Le nombre de cas s'approche des 30 millions dans le monde. Si l'OMS ne parle pas encore officiellement de deuxième vague, elle parle maintenant d'un "horizon de deux ans" pour en finir avec cette pandémie. euronews 16 septembre 2020

- Covid-19 : vers un durcissement des contraintes sanitaires en France - euronews 16 septembre 2020

Après Lille, Marseille et Bordeaux, le gouvernement français prépare les esprits à un durcissement des contraintes sanitaires dans plusieurs territoires face au rebond de l'épidémie de Covid-19, alors que les Français affichent leur scepticisme sur sa stratégie.

LVOG - Un sondage truqué sert de caution...

Près d'un Français sur deux trouve que l'exécutif ne prend "pas assez de précautions" et 62% ne lui font "pas confiance" pour lutter contre l'épidémie, 6 points de plus que fin août, révèle un sondage Elabe pour BFMTV.

LVOG - Tests rapides foireux pour avoir à tous les coups un nombre de cas positif...

Pour accélérer la détection des cas, le gouvernement vient d'autoriser les tests rapides "antigéniques". Rentrée scolaire et universitaire à hauts risques. LVOG - Ces mesures liberticides sont justifiées par l'interprétation frauduleuse de la situation sanitaire faite par Macron. Au lieu de le dénoncer les dirigeants du mouvement ouvrier le partage, et après ils prétendent lutter contre ces restrictions aux libertés individuelles et collectives, ils se foutent ouvertement des militants et des travailleurs.

euronews - L'Etat gardera ses pouvoirs exceptionnels de restriction des rassemblements et des déplacements, le conseil des ministres ayant adopté mercredi un projet de loi qui prolonge ces autorisations de six mois, jusqu'en avril 2021.

C'est ce dispositif qui a permis d'annoncer lundi des mesures plus contraignantes dans les Bouches-du-Rhône, le Nord et la Gironde, qui portent sur l'interdiction des soirées dansantes dans les bars ou des fêtes étudiantes, de la suspension des sorties scolaires ou de la limitation des rassemblements dans les parcs et les plages. euronews 16 septembre 2020

- Les Français majoritairement favorables au rétablissement de la peine de mort - AFP 14 septembre 2020

Quelque 55% des Français (+11 points sur 2019), un record, affirment ainsi qu'il "faudrait rétablir la peine de mort en France", selon cette étude réalisée pour la 8e année consécutive pour le quotidien Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, et l'Institut Montaigne.

Environ 82% des Français estiment par ailleurs qu'"on a besoin d'un vrai chef en France pour remettre de l'ordre", soit 3 points de plus que l'an dernier.

Les Français sont en outre 88% (+5 points sur 2019), un record, à considérer que "l'autorité est une valeur qui est trop souvent critiquée aujourd'hui". AFP 14 septembre 2020

- Etats-Unis : un enfant de 2 ans débarqué d'un avion avec sa mère car il mangeait sans masque - capital.fr 14 septembre 2020

En Amérique du Nord, les compagnies aériennes ne badinent pas avec l’obligation du port du masque, même pour les enfants. C’est la cruelle expérience qu’aurait vécue Jodi Degyansky, relate NBC2. Cette mère de famille célibataire assure avoir été invitée à quitter un vol de Southwest Airlines avec son fils de 2 ans, samedi 12 septembre. Ils souhaitaient simplement rallier Chicago depuis Fort Myers. Mais en attendant le décollage, son fils aurait enlevé son masque pour grignoter, ce qui aurait déplu à l’équipage. Elle aurait tenté de les rassurer à plusieurs reprises sur le fait que le masque (obligatoire dès 2 ans dans les avions de cette compagnie) serait porté lors du vol, tout en essayant de convaincre son enfant de le mettre. En vain.

“Quelques minutes plus tard, nous avons été amenés à la porte d’embarquement et on m’a demandé de quitter l’avion”, déclare Jodi Degyansky, ajoutant que le commandant de bord et plusieurs membres de la compagnie aérienne étaient présents à ce moment-là.

Cet incident, s’il est avéré, rappelle celui vécu par une famille au Canada sur un vol WestJet entre Calgary et Toronto. Ce vol a finalement été annulé car un bébé de 19 mois refusait de porter un masque, contrairement à sa soeur de 2 ans. Le père de famille avait dénoncé l’attitude de la compagnie aérienne dans cette affaire, alors que le port du masque n’est obligatoire que pour les enfants de plus de 2 ans dans les avions au Canada. capital.fr 14 septembre 2020

LVOG - Et dire qu'il y en a encore qui brodent sur l'état de la démocratie aux Etats-Unis !

Totalitarisme. Eugénisme, assassinat ordinaire.

- La pénurie de médicaments anticancéreux "est totalement dramatique", juge Axel Kahn europe1.fr 14 septembre 2020

En 2019, quelque 1.500 médicaments ont été signalés comme étant en rupture de stock dans les hôpitaux ou les pharmacies françaises, ce qui s'explique en partie par une production de plus en plus délocalisée. Or, un quart de ces produits concernent des médicaments contre le cancer. Pour alerter sur les conséquences de cette pénurie, la Ligue contre le cancer invite notamment des patients à témoigner sur une nouvelle plateforme en ligne, penuries.ligue-cancer.net.

"Il n’y a pas que la France, tous les pays du monde sont concernés", relève lundi au micro d’Europe Matin le généticien Axel Kahn, également président de La Ligue contre le cancer. "Des médicaments extrêmement importants, fondamentaux, sont tombés dans le domaine public, ils ne sont plus protégés par les brevets, ce qui est plutôt une bonne nouvelle, et les prix diminuent. Mais comme les prix chutent, les laboratoires n’ont plus un grand intérêt commercial à les vendre, ils les font donc fabriquer à moindres coûts, presque toujours en Asie, avant tout en Inde et en Chine", explique ce spécialiste.

"Pour certaines molécules, il n’y a plus qu’un fabriquant pour le monde entier. Lorsqu’un lot de fabrication connait un pépin, toute la production doit être détruite, et on se retrouve face à une pénurie qui peut durer plusieurs mois. C’est totalement dramatique", insiste-t-il. D’autant que ces pénuries, constatées dans 95% des hôpitaux français, pourraient avoir un impact sur la survie des malades. "Parfois, on ne sait pas quel traitement de substitution donner au malade. On ne lui dit pas, on ne lui donne pas les informations, c’est une perte de chances [de guérison]", constate Axel Kahn qui cite, à titre d’exemple, le cancer de la vessie. "Dans les formes peu graves, il est traité par des instillations intra-vésicales de deux produits, la Mitomyscine C et le BCG. Ces deux produits ont été en rupture de stock." europe1.fr 14 septembre 2020

Totalitarisme. La piquouse de Big Pharma qui achèvera la civilisation humaine.

- Coronavirus: La Chine a vacciné des milliers de personnes avant même la fin des essais - Reuters 16 septembre 2020

La Chine a injecté des vaccins expérimentaux contre le nouveau coronavirus à des dizaines de milliers de personnes, ce qui suscite à la fois l'intérêt de quelques pays mais aussi des inquiétudes au sein de la communauté scientifique quant au respect des protocoles sanitaires.

La Chine a lancé en juillet un programme de vaccination d'urgence, proposant trois traitements expérimentaux développés par le groupe public China National Pharmaceutical Group (Sinopharm) et par Sinovac Biotech, coté en Bourse aux Etats-Unis. Un quatrième vaccin en cours de développement par CanSino Biologics a été validé par l'armée chinoise en juin.

Cette campagne de vaccination a visé en particulier des populations jugées essentielles au fonctionnement du pays, notamment le personnel médical, les métiers du transport et les travailleurs des marchés alimentaires.

Si Pékin n'a pas fourni de statistiques officielles, China National Biotec Group (CNBG), la filiale de Sinopharm ayant mis au point deux de ces vaccins, et Sinovac ont confirmé avoir vacciné au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes.

CNBG dit en outre avoir distribué des centaines de milliers de doses, sachant que l'un de ses vaccins nécessite deux ou trois injections par personne.

Pékin a choisi de rendre cette campagne publique et de mobiliser les hautes sphères du pouvoir afin d'obtenir la confiance de la population. Les patrons de Sinovac et Sinopharm ont ainsi été parmi les premiers vaccinés, ainsi que le responsable de la recherche au sein de l'armée.

Lorsqu'elle a annoncé cette semaine que certains vaccins pourraient être disponibles pour l'ensemble de la population dès novembre, la cheffe du département de biosécurité au sein du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a révélé avoir elle aussi reçu une injection en avril.

"Jusqu'à présent, parmi les personnes qui ont été vaccinées, personne n'a été touché par la maladie", a dit Guizhen Wu à la télévision publique chinoise. "Jusqu'à présent, (le protocole de vaccination) fonctionne très bien. Il n'y a eu aucun effet secondaire."

Ces propos corroborent les affirmations de CNBG la semaine dernière, selon lesquelles aucune des dizaines de milliers de personnes s'étant rendues dans des pays ou des régions à haut risque après avoir été vaccinées n'a été contaminée. Il n'y a en outre eu "aucun cas de réaction négative manifeste", a dit CNBG.

L'approche chinoise contraste avec celle des pays occidentaux, où les experts mettent en garde contre l'autorisation en urgence de vaccins pour lesquels les essais ne sont pas terminés, faute de connaître précisément leur efficacité à long terme et leurs éventuels effets secondaires.

Anna Durbin, chercheuse à l'Université John Hopkins, qualifie le programme chinois de "très problématique", jugeant impossible d'estimer l'efficacité de ces traitements sans recours à un groupe témoin dans le cadre d'un essai clinique.

"Vous vaccinez des gens sans savoir si cela va les protéger", a-t-elle dit à Reuters.

Signe de cette différence d'approche avec la Chine, le laboratoire AstraZeneca a suspendu la semaine dernière des essais cliniques de son vaccin, considéré comme l'un des plus avancés, en raison de symptômes imprévus développés par un participant aux tests.

Les essais ont pu reprendre, depuis, en Grande-Bretagne mais, avec ses autres grands concurrents occidentaux, AstraZeneca s'est engagé à respecter les protocoles en matière de recherche scientifique et à ne céder à aucune pression politique pour hâter la commercialisation d'un vaccin.

La Russie est l'un des rares autres pays à autoriser un vaccin expérimental, son propre "Spoutnik V", rendu obligatoire pour certaines catégories de population, notamment les enseignants.

Les Emirats arabes unis sont devenus cette semaine le premier pays à autoriser en urgence l'utilisation d'un vaccin de Sinopharm, six semaines seulement après le début de leurs propres essais chez l'être humain.

CanSino a été approché par plusieurs pays, a dit à Reuters une source informée des discussions en refusant de préciser lesquels. CanSino a prévu des essais au Pakistan et en Russie pour ce vaccin développé avec le département de recherche de l'armée. Reuters 16 septembre 2020

En complément. Fuyez la piquouse écologiste !

Chine : Envahis par les moustiques, les habitants d’un immeuble végétalisé contraints de fuir leur appartement - 20minutes.fr 15 septembre 2020

Seules dix familles ont accepté d'habiter dans ces immeubles, où la présence de végétaux attire de nombreux moustiques

En Chine, dans la ville de Chengdu, des bâtiments résidentiels « végétalisés » se sont transformés en cauchemar pour leurs habitants, envahis par leur propre végétation. Certains ont même pris la fuite.

Le complexe de huit immeubles expérimentaux a été construit en 2018 à Chengdu, capitale de la province du Sichuan. A l’époque, le projet a été décrit comme « une forêt verticale ». Particularité : les appartements de ce quartier d’habitation, baptisé « Jardin forestier de Qiyi », possèdent tous des balcons où la végétation est maximisée, donnant aux édifices des allures de petite jungle. 20minutes.fr 15 septembre 2020

- La Russie va vendre 100 millions de doses de son vaccin contre le COVID-19 à l'Inde - Reuters 16 septembre 2020

Le fonds souverain russe a convenu mercredi d'un accord concernant la vente de 100 millions de doses de son vaccin contre le COVID-19, Spoutnik-V, au groupe pharmaceutique indien Dr Reddy's Laboratories.

Dr Reddy's, une des plus grandes sociétés pharmaceutiques indiennes, va procéder à des essais cliniques de phase III du vaccin en Inde, a indiqué le Russian Direct Investment Fund (RDIF) dans un communiqué.

Les livraisons en Inde pourraient commencer à la fin de l'année 2020, a précisé le fonds, ajoutant que cela était soumis à l'achèvement des essais et à l'enregistrement du vaccin par les autorités réglementaires indiennes.

LVOG - Kirill Dmitriev, directeur du Fonds d’investissements directs de Russie (RFPI) qui a participé au développement du premier vaccin anti-Covid Spoutnik V, est un menteur, les propos suivants viennent d'être démentis par le Dr Reddy's

Sputnik - «Cette situation met en question la justesse de l'approche de nombreuses sociétés pharmaceutiques, qui font entièrement peser les risques liés aux vaccins achetés sur les pays acheteurs. La Russie ne suivra pas cette approche, car elle voit la sécurité et l'efficacité de la plateforme basée sur l’adénovirus humain, notamment le vaccin Spoutnik V», a précisé M.Dmitriev. Sputnik France 12 septembre 2020

En complément

- Coronavirus: L'Allemagne octroie 627 millions d'euros à BioNTech et CureVac - Reuters 15 septembre 2020

L'Allemagne a annoncé mardi le déblocage d'une aide totale de 627 millions d'euros aux groupes de biotechnologie BioNTech et CureVac afin d'accélérer les recherches sur un vaccin contre le Covid-19. Reuters 15 septembre 2020

Totalitarisme sanitaire enragé.

- Coronavirus: la Chine confine une ville entière après trois cas - BFMTV 15 septembre 2020

Peuplée de 210.000 personnes, la commune de Ruili est située dans la province du Yunnan, à la frontière avec la Birmanie. BFMTV 15 septembre 2020

Coronabusiness. La foire aux tests rapporte gros ! Comment augmenter le nombre de cas ? Mode d'emploi.

- Dépistage du Covid-19 : les laboratoires croulent sous la demande de tests - euronews 15 septembre 2020

- Coronavirus : des tests salivaires virologiques mis en place début octobre - europe1.fr 15 septembre 2020

Des tests salivaires pour dépister le nouveau coronavirus seront probablement mis en place début octobre, a indiqué le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy mardi devant la commission d'enquête sénatoriale sur la gestion du Covid-19. "Les prélèvements salivaires seront mis en place très probablement tout à fait fin septembre ou début octobre", a-t-il dit.

Selon lui, ces tests salivaires - dont le prélèvement est plus facile que celui dans le nez et moins désagréable pour la personne testée - permettraient d'avoir "une stratégie plus simple" de tests. europe1.fr 15 septembre 2020




QUATRIEME PARTIE

Contre-propagande et arguments.

Parole d'internaute.

1- Une autre question "subsidiaire", combien de morts a fait la grippe 2019/2020, parce qu'on ne les trouve plus sur le site "santé Publique france", tout a été effacé, même l'historique des années antérieures, bizarrement. Ma déduction est que le Covid est la nouvelle dénomination de la grippe, et qu'il s'agit simplement d'un tour de "passe-passe".

2- D'après le rapport de Santé publique France du 10/09/2020, je cite "Sur l’ensemble des décès certifiés électroniquement, 2,8% des personnes décédées ne présentaient pas de comorbidité et étaient âgées de moins de 65 ans.". Soit environ 250 personnes, et donc 0,0006% de la population de 15 à 64 ans (environ 41 millions).

Aucun enfant de moins de 15 ans n'est décédé sans comorbidité. 1 seul enfant déjà gravement malade avant de contracter le covid est décédé. En conclusion la létalité du virus est plus que largement surévaluée par rapport au matraquage incessant que nous subissons et ne justifie nullement toutes les mesures liberticides et répressives mises en place.

- COVID-19- Plusieurs milliers de manifestants marchent « pour la libération du peuple » contre l’état autoritaire par Micheline Ladouceur - Mondialisation.ca, 13 septembre 2020

Extrait. Samedi après-midi, le 12 septembre 2020, plusieurs milliers de manifestants ont marché à Montréal pour défendre leurs droits et libertés. Selon les organisateurs, près de 50 000 personnes étaient présentes à la « Marche pour la libération du peuple » qui s’est terminée devant la nouvelle maison de Radio-Canada. Cette manifestation, « Marche pour la libération du peuple. Faites partie de l’Histoire. Unissons-nous » était organisée par la Fondation pour la Défense des droits et libertés du peuple ».

Des milliers de femmes et d’hommes, mais aussi des enfants, revendiquaient leurs droits face aux mesures gouvernementales imposées et justifiées par une soi-disant pandémie. Le « COVID-19 existe ! Dire que c’est une pandémie est faux » disait la pancarte d’un manifestant.

Les médias mainstream étaient uniquement présents, une fois de plus, pour ridiculiser les manifestants et les organisateurs en y intégrant de fausses nouvelles, en minimisant le nombre de participants à « près de 10 000 personnes » (sans donner leur source), en donnant l’idée que « les policiers étaient inquiets » face aux nombreux manifestants (alors qu’ils ont en réalité félicité les organisateurs pour leur collaboration) et, bien sûr, en les qualifiants de « théoriciens du complots »:

Slogans antimasques ou antivaccins, théories du complot de toutes sortes… Les opposants aux mesures sanitaires ont défilé en grand nombre samedi dans les rues de Montréal alors que plusieurs régions sont en mode « préalerte ». (Les visages des antimasques, Journal de Montréal, le 12 septembre 2020).

Les journalistes des grands médias (mainstream) sont en fait des menteurs et ils assistent brièvement aux événements en continuant de propager le mensonge des gouvernements et des plus hautes autorités (l’OMS contrôlé par Bill Gates, Big Farma, etc.).

Les médias mainstream ont ainsi présenté cette manifestation comme une Marche anti-masque. En effet, le représentant et fondateur du mouvement anti-masque, Vlad Sobolev, Hugs over Mask (Ontario,Canada) y était présent et a prononcé un discours au nom de son organisation. Cependant, contrairement à l’image que les grands médias ont voulu donner à la manifestation, l’objectif principal n’était pas le masque, mais la prise de conscience du mensonge concernant le COVID-19 et la revendication de conserver et défendre les droits et libertés en temps de crise, crise fabriquée par les grands dirigeants, l’OMS et les mondialistes. Ces derniers continuent de semer la Peur du virus, et la Peur de l’Autre, même si les chiffres officiels sont en baisse et la contagion par ce virus est minime.

Ce virus est devenu à la fois une affaire politique avec des conséquences économiques et sociales désastreuses. Cette « crise COVID-19 » justifie la dérogation aux droits et libertés, ceci est certes sans précédent dans l’histoire du Québec, du Canada et probablement du monde entier.

Christine Colebeck une mère, vice-présidente et porte-parole de l’organisation Vaccine Choice Canada a donné un discours émouvant devant les milliers de manifestants. Vaccine Choice Canada avait déposé une contestation judiciaire en octobre 2019 alléguant que la Loi sur l’immunisation des élèves enfreint plusieurs droits garantis par la Charte, notamment ceux relatifs à la liberté de conscience et de religion, ainsi qu’à la liberté et à la sécurité de la personne.

Il faut rappeler qu’il existe présentement une action en justice représentée par Me Rocco Galatti (1) au sujet des mesures relatives à la gestion de la pandémie.

D’autres personnalités ont également présenté leurs points de vue sur la situation : Lucie laurier, actrice, Jean-Jacques Crèvecoeur, Alexis Cossette-Trudel de Radio-Québec, une représentante des médecins étasuniens au Canada (voir la vidéo ci-dessous)…

Notes :

(1) Me Rocco Galati représente 9 plaignants (dont Vaccine Choice Canada, appuyé par La FDDLP) qui poursuivent Justin Trudeau, Radio-Canada, Theresa Tam (Docteure en chef du Canada), Doug Ford (PM de l’Ontario), Christine Elliot (Ministre de la Santé de l’Ontario), David Williams (Médecin-chef de l’Ontario), le procureur général du Canada, le procureur général de l’Ontario et Sa Majesté la Reine.

- Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en 2020 à cause du COVID-19! - FranceSoir 14 septembre 2020

D’après les chiffres officiels de l'INSEE du nombre de morts toutes causes confondues du 1er janvier au 31 juillet 2020 en France, on nous annonce une surmortalité de 30 800 morts Covid en plus par rapport à l’année précédente.

Ceci n’est pas possible et nous en faisons la démonstration

Commençons par regarder le nombre total de morts en France entre le 1 janvier et le 31 juillet des 3 années : pour 2018 il est de 363 955, en 2019 de 362 900 et en 2020 de 379 200. Ceux sont les décès toutes causes pour la France.

Par différence, il y a donc + 15 245 décès en plus en 2020 qu’en 2018 et + 16 300 décès en plus entre 2020 et 2019.

Logiquement, il est impossible qu'il y ait plus de 16 300 morts de plus en 2020 (quelqu’en soit la cause, COVID ou PAS COVID).

Un ajustement est aussi nécessaire

Pour être plus complet, il faut enlever de ce chiffre maximum de 16 300 morts en surplus par rapport à 2018 :

Les 2000 à 3000 morts/an qui s'ajoutent chaque année à cause de l'augmentation de la population et de son vieillissement.

Les morts en mars-avril-mai 2020 d'autres pathologies par privation de soins à cause du confinement. Et ceux-là se chiffrent en millier.

En conséquence, le chiffre ajusté du nombre de morts en France est obligatoirement très inférieur à 14 500 dont une petite partie à cause du COVID-19. Une correction basée sur des indices mondiaux En appliquant le taux de mortalité mondial moyen actuel de 0,011% à la France, on obtient environ 7 000 morts, ce qui serait cohérent avec l'Allemagne qui déclare 9000 morts pour 84 millions d'habitants.

Un peu de bon sens, la France qui a une des meilleures médecines du monde ne peut pas avoir 400% de morts en plus que la moyenne mondiale !

La majorité des certificats de décès cochés morts COVID-19, ne sont pas morts à cause du COVID-19

Une incitation financière à cocher la case Covid, elle est de 5000 euros/certificat dans les hôpitaux et de 55 euros en médecine de ville,

Une recommandation de pas chercher de preuve médicale (test, autopsie) mais une simple suspicion,

Une recommandation de ne pas faire de diagnostics différentiels avec les autres pathologies graves du patient (Insuffisance cardiaque, HTA, cancers, etc) présentes chez 99% des patients décédés.

Les arguments erronés qui ne manqueront pas d’être évoqués

Diminution des morts pas accidents de la route en mars-avril : les 200 morts en moins d'accidents de la route du fait du confinement ne changent rien à ces chiffres.

En 2020 il y a 14 000 personnes qui auraient dû mourir et ne sont pas mortes sans aucune raison (soit 24 000 sur l’année). Ce genre de miracle n’existe pas en médecine, cela n’est jamais arrivé dans l’histoire sauf l’année suivante d’une guerre.

14 000 personnes malades ne sont pas mortes grâce au confinement et aux masques. La réalité c’est que le confinement général est responsable au contraire de milliers de morts en plus parmi les millions de malades chroniques graves par manque de soins, les cabinets de ville et consultation hospitalières étaient vides, même en chimiothérapie !

En épidémiologie, les deux grandes causes de variations de la mortalité sont les guerres et les épidémies.

Mathématiquement il est démontré que le chiffre de 30 800 morts à cause du Covid-19 est impossible.

Que si tous les morts supplémentaires en 2020 étaient tous A CAUSE du Covid-19, leur chiffre ne peut pas dépasser 14 500 et probablement beaucoup moins. FranceSoir 14 septembre 2020

Docteur Peter EL BAZE, Ex Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice. Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies).

- “Les Français n’ont ni besoin d’être punis, ni surveillés, ni reconfinés, ni rééduqués ! ” affirme le Dr Fouché - covidinfos.net 16 septembre 2020

Une tribune du Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste – réanimateur à Marseille qui s’exprime au nom de son collectif “médecins et soignants pour une politique sanitaire de la COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée.” Pro masques ou Anti masques ?! Sortir d’une dialectique stérile.

“Cette dialectique a-t-elle un sens ? On pourrait tout aussi bien poser des dialectiques idiotes sur tous sujets. Etes-vous pour ou contre les caleçons ?

Ni l’un ni l’autre. Ca dépend.

Et ça dépend de quoi ? Le masque est une thérapeutique.

De quoi parlons nous ? Nous parlons des masques chirurgicaux en population générale en intérieur et en extérieur.

Cette thérapeutique, comme n’importe quelle thérapeutique a un objectif relatif à un rationnel théorique, une dose, un schéma thérapeutique, des effets bénéfiques attendus et inattendus, des effets toxiques attendus et inattendus. Comme tout traitement, à l’aune de ces données on doit évaluer la balance bénéfices-risques. Comme toute thérapeutique, elle doit faire l’objet d’une pharmacovigilance. Et comme tout traitement, on doit conclure: Faut il le donner en l’état, dans cette indication, à cette dose, à cette population cible là ?

L’objectif du traitement “masques” vise, avec les mesures de distanciations sociales, à limiter la propagation virale, en limitant la transmissibilité interhumaine. Bref, l’effet attendu est de diminuer le fameux R0.

Mais pourquoi diminuer ce fameux R0 ? Parce Que l’objectif espéré derrière ce paramètre est de diminuer le volume instantané de patients hospitalisés ou réanimatoires. On fait donc reposer sur cette mesure l’espoir d’une diminution de la tension sur le système de Santé hospitalier.

Ces objectifs reposent sur le présupposé théorique que la propagation virale est liée à son aérosolisation dans les gouttelettes de salive et que la contamination est aéroportée. Ce rationnel n’est hélas qu’en partie vrai. Il existe une transmission manuportée. Il existe peut-être des transmissions par les surfaces. En bref, la propagation n’est pas complètement élucidée ni modélisée.

Le ciblage de la population devant bénéficier du port du masque doit être discuté. On nous soumet au masque en population générale en intérieur et en extérieur ? Pourtant les enfants ne sont ni malades, ni vecteurs, ni réservoirs. Pourtant les asymptomatiques sont réputés non transmetteurs pour le CDC et l’OMS.

La protection des personnes vulnérables (en surpoids, hypertendues, et immunodéprimées) serait peut-être une piste de ciblage plus fin. En effet, l’utilisation d’un masque chirurgical ne les protège pas. Alors que celle d’un masque FFP2 semble tout à fait efficace. Et que c’est bien ceux là qui sont à risque de faire des formes graves. Par ailleurs, un ciblage précis de cette population à risque aurait un moindre niveau de toxicité systémique et de poids pharmacoéconomique, ainsi qu’une meilleure efficacité sur la diminution de survenue de formes sévères.

L’objectif poursuivi par le masque chirurgical en population générale en intérieur et en extérieur repose sur l’utilisation exclusive du système hospitalier pour prendre en charge l’épidémie, réalisant une impasse complète sur les possibilités ambulatoires de très nombreux patients par les réseaux de ville et de généralistes. C’est d’autant plus dommage que les thérapeutiques actuellement recommandées sont absolument réalisables en ambulatoire et diminuerait aussi la pression sur l’hôpital, ainsi que les coûts induits. Rien n’empêche anticoagulants, antiviraux/zinc/vitaminothérapie dans la phase virale initiale, corticoïdes, oxygénothérapie dans la phase inflammatoire. Une filière d’HAD bien faite ou de réseaux de ville serait parfaitement adaptée et permettrait quasiment des transferts réglés vers les réanimations en cas de besoin et d’aggravation.

Voilà pour l’objectif, le rationnel théorique et la population cible. Les incohérences sont déjà nombreuses, vous en conviendrez. Mais là où le bât blesse encore plus, c’est sur le constat pragmatique de réalité. L’usage du masque dans nos sociétés et les compromis économiques introduits dans le protocole en font une imposture. Vous mettez votre masque dans la rue. Vous vous arrêtez à une terrasse de troquet et vous l’enlevez. Vous allez faire pipi et vous le remettez… De même dans les écoles, les enfants étouffent toute la journée sous leurs masques puis filent au parc jouer ensemble, ou pour les plus grands, fument une sèche côtes à côtes devant le bahut à la sortie. Le masque ne peut pas être bien utilisé par le grand public. Son changement toutes les 4 heures implique un fardeau économique que certains ménages ne peuvent tenir. La question des poubelles, normalement DASRI nécessaire à jeter le masque n’est jamais non plus posée. Le masque est bien alors une imposture. Il existe donc une impossibilité pratique à augmenter la dose. Sauf à faire arrêter la vie de relation, à mettre à genou les plus fragiles économiquement.

De même, il faut bien constater que la mesure n’a aucunement endigué la reprise épidémique sur le nombre de cas. Les censeurs en rejetteront la faute sur les français indisciplinés. Argument trop facile de renversement accusatoire. Si le traitement ne fonctionne pas. Ce n’est pas la faute du patient. C’est que le traitement, ne lui est pas adapté. Et c’est bien ici que le protocole thérapeutique est inadapté à sa population cible. La dose est trop faible diront encore certains: “Il faut punir, il faut surveiller, il faut sévir, il faut reconfiner, il faut éduquer”… Les français n’ont ni besoin d’être punis, ni surveillés, ni reconfinés, ni rééduqués ! Drôle de soin que celui qui consiste à aboutir à cette toxicité démesurée.

Il faut se poser la question de l’optimisation du R0 comme finalité. C’est finalement peut-être une mesure stupide. Peut-être vaut il mieux au contraire laisser l’infection se faire. Qui sait pourquoi les épidémies virales courent ? N’est-ce pas en partie pour faire notre “thermostat” immunitaire, pour que nous soyons au diapason du monde dans lequel nous vivons, et non en conflit avec lui ? Cette donnée est évidente chez l’enfant et les maladies dites adaptatives. Pourquoi ne l’est elle pas chez l’adulte ? Et si nous laissions les gens faire leur immunité et que nous nous concentrions sur ceux qui risquent de ne pas réussir à changer leur thermostat immunitaire et risquent une forme grave?

Le ciblage pratique, pour des raisons de fonctionnalités du système de santé, est celui des soignants. Nous maintenons que le port du masque à l’hôpital est utile à nous garder le personnel nécessaire à tenir dans la durée et à ce que ces mêmes soignants ne contaminent pas des patients hospitalisés, par définition, fragiles..

En ce qui concerne les effets secondaires induits. Il existe des effets de plusieurs ordres. D’abord des effets sociaux, dont nous avons parlé, aboutissant à une dislocation terminale du Nous, à l’apparition de kapos aux ordres et d’indisciplinés contestataires.

Les fous de l’épidémiologie covid sont en vision tunnel. Ils n’acceptent pas de voir les conséquences tout à fait réelles des recommandations du port du masque. Il a été maintenu que cela rassurait. C’est l’exact inverse qui est vrai. Cela terrifie tout le monde. Cela ligue les gens les uns contre les autres. Cela monte la police contre sa population et inversement. Il existe des vagues de dépression, de suicide, de négligence des autres pathologies. Les personnes âgées sont terrées chez elles dans la peur, diminuent leurs vitales interactions sociales avec leurs proches. On assiste à une terreur idéologique, une psychiatrisation des opposants idéologiques. Une montée d’un discours de peur et de haine qui nous semble absolument disproportionné et contreproductif.

Cela paraît tellement contradictoire avec cet autre objectif thérapeutique dont notre société a si cruellement besoin. Celui de nous réunir derrière un objectif commun, derrière un idéal positif qui rassemble. Les restrictions de liberté ne rassemblent aucun “Nous” qui fasse sens. Au contraire, elles liguent les uns contre les autres et disloquent s’il en était encore besoin le peu d’union qui restait. Cet effet systémique toxique est un élément majeur dans la balance bénéfice-risque.

En conclusion, il faut bien décider que le remède nous semble bien pire que le mal. A tout le moins disproportionné, mal ciblé, reposant sur un argumentaire de bout en bout fallacieux. Primum non nocere. Rangez vos masques aux vestiaires.

A retenir:

– La diminution du R0 est une finalité discutable.
– Le port des masques comme recommandé est à la fois infaisable et une imposture.
– Il n’a pas montré d’amélioration pragmatique sur la transmissibilité de l’épidémie.
– Il aboutit à une toxicité systémique (sociale, médicale, psychologique, scolaire, juridique, démocratique) démesurée par rapport à l’objectif.
– Faire porter des masques en extérieur n’a pas de sens.
– Faire porter des masques aux enfants n’a pas de sens.
– La distanciation sociale, le masque pour les soignants et les transports en commun, le lavage des mains, le recours à la médecine ambulatoire de ville, le ciblage des populations à risque pour un port de masques FFP2 sont des mesures bien plus pertinentes et bien moins toxiques pour les libertés et la société eu égard aux objectifs poursuivis.”

Plus d’infos :

– Site du collectif médecins et soignants pour une politique sanitaire de la COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée.

https://colibris-wiki.org/collectifCovid/?PagePrincipale

– Chaine YouTube Reinfo Covid

https://www.youtube.com/channel/UCljXEDaSZVZ4x5tRRkAH7WA

- Éric Verhaeghe dénonce les “terribles fantasmes de contrôle de l’État” et des élites “prêtes à collaborer avec n’importe quel régime” - covidinfos.net 16 septembre 2020

Une tribune signée du haut fonctionnaire et essayiste franco-belge Éric Verhaeghe publiée par le site Atlantico. L’auteur y dénonce notamment une “expansion accélérée de la surveillance par l’État” et “la certitude qu’on ne reviendra jamais en arrière…” Extraits.

« Pour nous protéger du virus, de la maladie, de la contagion, rien n’est trop beau. Et l’État, avec ses terribles fantasmes de contrôle, propose chaque jour une nouvelle idée pour surveiller les individus. Bien entendu, il ne s’agit pas de surveiller pour surveiller, mais plutôt de surveiller la progression du virus grâce à la surveillance de ceux qui le portent ou pourraient le porter. L’argument est imparable : le citoyen est devenu un truchement, un prétexte officiel pour surveiller une sorte de cinquième colonne qui nous menace. » […]

« Dans un premier temps, cette surveillance est passée par un confinement des peuples (par la fermeture des frontières), et par un confinement des individus. Ensuite, au nom de la détection des clusters, les citoyens ont dû accepter de livrer la liste de tous leurs contacts. Assez rapidement, l’État a proposé de traquer tout le monde grâce à une application numérique, StopCovid, qui fait un four, tant elle est contraire à l’esprit français. » […]

« Mais d’autres tentatives sont mises sur le tapis, comme la consignation méthodique de l’identité des personnes qui fréquentent les bars et les restaurants. Il s’agit pour l’instant d’un « cahier de rappel » fondé sur le volontariat. L’idée est là, posée bien au milieu de la table : le cafetier, le restaurateur, devient collecteur d’informations pour la police sanitaire. Il nous est proposé de consentir à informer l’État de la liste de nos amis, de nos fréquentations, et des lieux et heures où nous les rencontrons. » […]

« Il y a seulement six mois, une telle proposition aurait fait hurler. Elle est aujourd’hui devenue banale. » […]

« La peur du terrorisme a permis de généraliser la surveillance massive de toutes nos communications téléphoniques, de toutes nos transactions bancaires, de tous nos disques durs d’ordinateurs. » […]

« Bien entendu, dans cette affaire, le terrorisme fut un prétexte. Les avocats parisiens qui ont été espionnés massivement par le Parquet en dehors de toute procédure viennent d’en faire les frais. »

« Le coronavirus n’agira pas autrement, car il existe un effet cliquet dans le fonctionnement de la police. Une fois qu’une liberté est violée, on ne revient jamais en arrière, même si les raisons de cette violation ont disparu. »

« Voilà à quoi sert le gouvernement par la peur : à justifier une expansion accélérée de la surveillance par l’État, avec la certitude qu’on ne reviendra jamais en arrière. » […]

« Toute la question est en effet de savoir combien de temps une civilisation qui a bu le sirop des libertés depuis des siècles (et même au-delà) peut tolérer une telle mise sous tutelle. Le cas est intéressant, car il nous interroge sur le risque de voir disparaître un jour une culture, son identité, son esprit et son patrimoine. » […]

« Par ces temps de peur millénariste entretenue par tout ce que nos élites comptent de lâches et de défaitistes prêts à collaborer avec n’importe quel régime, la question prend des allures cruciales. L’âme, l’identité française, disparaîtront-elles avec la planète, la nature, et autres angoisses récurrentes des collapsologues ? Ou bien les Français portent-ils en eux des valeurs insubmersibles qu’un petit paquet de mer appelé coronavirus et ses ridicules 800.000 morts pour 7 milliards d’humains (soit 0,01% de la population) ne risque pas d’inquiéter durablement ? » […]

« Il existe aujourd’hui deux chemins plausibles. Soit la société française abdique durablement ses libertés et se coule consciencieusement dans le lit d’un totalitarisme discret mais réel où bouger la moindre oreille peut coûter très cher (l’expérience de Vichy a montré que ce genre de bascule peut se réaliser en moins d’un mois). Soit la société française retrouve son instinct vital et place à nouveau les libertés au coeur de son modèle de développement (l’expérience de 1789 a montré que ce processus pouvait prendre plusieurs années). » […]

Lire l’intégralité de l’article :

– Atlantico. fr : Après le terrorisme, le Covid devient le nouvel argument pour imposer toujours plus de surveillance aux Français

https://www.atlantico.fr/decryptage/3592025/apres-le-terrorisme-le-covid-devient-le-nouvel-argument-pour-imposer-toujours-plus-de-surveillance-aux-francais

- Le masque protège-t-il contre la transmission du Coronavirus ? Sans danger ou bien objet de “régression massive” vers un état plus primitif par Gérard & Nicole Delepine - FranceSoir 16 septembre 2020

Tribune : Depuis que Karine Lacombe et les quelques membres de stop postillon ont appelé au port du masque en tout lieu et pour tous et que l’obligation du port du masque fait tache d’huile en France, il est prudent, si on ne veut pas être traité de complotiste de sanctifier celui-ci.

Mais s’agit-il d’une simple croyance, de propagande à visée politique ou de science reposant sur des faits établis ?

La croyance dans l’efficacité du masque ne repose sur aucun élément scientifique

En mars et avril 2020, au plus fort des contaminations et des malades réels, le gouvernement d’Édouard Philippe a expliqué successivement que les masques étaient inutiles pour la population générale, puis qu’ils ne pouvaient pas être efficaces, car les Français ne savaient pas les mettre ni les retirer correctement. Des médecins parlaient de « légende urbaine », les mêmes qui aujourd’hui veulent greffer un cerveau aux collègues qui osent poser des questions et critiquer éventuellement ce port obligatoire, partout et à tout âge ou presque.

Epidémie terminée, masque obligatoire ! LOGIQUE !

Et maintenant que l’épidémie(1) est terminée, que les malades ne meurent plus et sont devenus des « cas » positifs grâce à une technique qui repère les restes de virus morts non contaminants, le chef de l’état a appelé à en porter :

« Mettez des masques, mettez des masques… même en extérieur, même quand on a une bonne distance, c’est plus prudent… même les jeunes qui ont souvent des formes légères, ou asymptomatiques qui considèrent que ce n’est pas grave et qu’ils peuvent prendre des risques. Simplement quand ils prennent ces risques, ils accélèrent la propagation du virus » ! Et son gouvernement proclame une obligation généralisée en prétendant qu’elle est efficace. Qui doit-on croire ? Le gouvernement de mars-avril ou celui d’août-septembre (d’autant que ce sont les mêmes personnages, en dehors de la resplendissante porte-parole) ?

Et sur quels éléments scientifiques basent-ils leurs fluctuants crédos ?

Interrogée par le Parisien, le Dr Clémentine Denis, médecin française basée à Tampere précise : « le masque, si utilisé correctement, permet d'éviter qu'un porteur du virus ne contamine les autres par pulvérisation dans l'air(2). Il ne protège pas nécessairement les personnes saines qui le porteraient et peut, de façon paradoxale, être plus à risque de contamination si mal utilisé ».

Une très complète étude réalisée par F Pesty (3) qui fait la somme de toutes les articles publiés sur le sujet et en particulier des macroanalyses récentes conclue, comme C. Del Mar et P. Glasziou, co-auteurs de la dernière revue Cochrane 2020 sur le sujet : « l’urgence est à vérifier dans des essais cliniques rigoureux que les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire. Seulement dans ce cas, le port du masque serait une bonne alternative ou un complément utile aux autres mesures, distanciation sociale, lavage des mains, confinement. »

Cette conclusion rejoint celle d’Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui a mis en place la stratégie suédoise « il n’est pas prouvé que la généralisation de son port dans la société ait un effet sur la propagation du virus. “J’ai hâte que [cette preuve] arrive”. « Il est très dangereux de croire que le port du masque puisse changer l’évolution de l’épidémie COVID-19 (4) »

Revenons aux faits établis et publiés par l’OMS (5)

Il n’existe pas d’étude randomisée fiable sur l’utilité du port du masque généralisé à toute une population. Force est donc d’analyser les faits constatés et en particulier l’évolution récente des contaminations selon la politique sanitaire concernant le port du masque dans les différents pays telle qu’elle est publiée dans les bases de données de l’OMS.

Lorsqu’on analyse les données récentes de l’OMS on constate que l’obligation policière du port du masque telle qu’elle est imposée en France, Espagne et Italie s’accompagne d’une recrudescence de contaminations alors qu’en Suède, Pays-Bas et Biélorussie pays sans obligation de masque, la situation s’est stabilisée.

D’après les chiffres publiés par l’OMS(6), l’Espagne qui impose le masque plus sévèrement que la France est exposée à une multiplication encore plus forte des cas (7) avec une incidence hebdomadaire de 857/M (40087 nouveaux cas pour 46M d’habitants) contre 701/M en France (43686 pour 65M), et 157/M en Italie.

Les pays qui n’imposent pas le port du masque, mais émettent de simples recommandations, font confiance à leur population et ne lui mentent pas, comptabilisent dans ces dernières semaines beaucoup moins de contaminations : 246 cas/M au Pays-Bas (4227 pour 17M), 79/M en Suède (802 pour 10M) et 120/M en Biélorussie. (1140 pour 9,5M).

Les faits avérés mettent donc fortement en doute l’intérêt sanitaire de l’obligation généralisée des masques, faisant même craindre un effet pervers imprévu, le masque augmentant éventuellement les contaminations.

Le masque inutile chez l’enfant est dangereux et peut même tuer

Le Professeur G. Desuter, laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles), a mis en garde contre les effets nocifs du port permanent du masque par les enseignants(8).

“Produire une voix nous en coûte en termes d’énergie…Cela est d’autant plus vrai du professionnel de la voix qui se doit de projeter cette même voix durant de longues heures, souvent dans le bruit et se devant de capter l’attention d’un auditoire par l’intonation. L’effort est intense, et met à mal – en temps normal déjà – la physiologie vocale de l’enseignant, mais aussi de l’avocat, du journaliste, du tribun, du comédien du maraîcher, etc. Projeter la voix est un art, une profession en soi.”

Porter la voix avec un masque devant la bouche tout au long d’une journée relève de l’hérésie physiologique.

Une hérésie physiologique

Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules. Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique ».

Recommandations OMS

Un document baptisé “Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19” publié par l’Organisation Mondiale de la Santé(9) précise : « dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées, auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;

- mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ; lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ; difficulté de communiquer clairement ; sensation possible d’inconfort ; fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ; port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ; problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;

- difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ; désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.»

C’est l’OMS qui l’écrit et non pas le complotiste de base …

Les accidents ne sont plus exceptionnels

Le 23 avril 2020, un conducteur du New Jersey s'est écrasé sur un poteau de téléphone après s'être évanoui et avoir porté un masque N95 pendant des heures(10). La police de Lincoln Park pense que le conducteur, a perdu connaissance au volant jeudi à cause d'un manque d'oxygène et d'une respiration excessive de dioxyde de carbone du fait au masque, a écrit le département sur Facebook. Le chauffeur a été emmené dans un hôpital local, pour des blessures ne mettant pas sa vie en danger.

Chez les personnes fragiles (personnes âgées, insuffisants respiratoires, asthmatiques les risques sont accrus et c’est pourquoi ces conditions représentent des contre-indications reconnues au port du masque. Un drame récemment survenu en Allemagne vient de rappeler que refuser de tenir compte d’un certificat médical peut avoir des conséquences dramatiques.(11)

Une jeune allemande de 13 ans, asthmatique, a pris comme chaque jour le bus scolaire. Malheureusement, le conducteur a refusé de tenir compte de son certificat médical précisant que le port du masque était contre-indiqué chez elle et l’a obligé à en mettre un. En cours de transport, elle a présenté des signes d’asphyxie suivi d’un arrêt cardiaque(12). Le Samu arrivé en urgence n’a pas permis de la sauver. Imaginez l’état de la famille, des responsables du chauffeur mais aussi du chauffeur lui-même.

Cela est d’autant plus triste que le port du masque n’a aucune justification médicale à cet âge, car l’enfant ne transmet pas le coronavirus, et que lorsqu’il est infecté (par un adulte proche), il ne souffre que de formes bénignes. (13) (14)

Et après moins d’un mois de cette maltraitance des enfants et adolescents (adultes aussi, mais ils devraient être capables de se défendre), les consultations chez les généralistes se multiplient.

Michel Dogna (15) dans sa newsletter résume les motifs de consultation : « des médecins généralistes qui donnent l’alerte sur le fait que 25% des pathologies actuellement rencontrées en cabinet sont les conséquences dues au port du masque.

En voici une liste non exhaustive :

- Bronchites sévères
- Conjonctivites graves (cause expirations rejetées vers le haut)
- Furonculoses
- Grande fatigue
- Herpès labiaux
- Impétigo
- Staphylococcies sur les lèvres et les joues
- Streptocoques

Sans compter les allergies cutanées dues au frottement du masque et les irritations aux oreilles dues aux élastiques ».

N’en rajoutant pas en rappelant que malencontreusement il fait des 38 ° 40 ° dehors et dans les classes et que les profs terrorisés par leur direction, elle-même sous pression du recteur, et/ ou par le virus pourtant bien adouci, n’osent pas libérer les enfants. Espérons tout de même que le bon sens règne parfois et que nous n’entendons parler que des délires multiples et variés et des accidents.

Il poursuit : Les risques face au port continuel du masque annoncés par des médecins non soumis

« Les bactéries qui se collent sur les masques se transforment en champignons.

Il existe 3000 bactéries par centimètre carré sur une main.

Porter un masque rend malade. En quelques semaines, vous allez faire de l’hyperventilation, vous allez tousser et avoir mal à la gorge, vous allez avoir d’énormes soucis de bronches car vous allez développer un champignon interne dû à la respiration de la moisissure, champignons des bactéries.

Voici comment ils vont créer la deuxième vague Covid 19 promise ; ils prétendront que c’est une nouvelle épidémie respiratoire. Il est logique que si tout le monde porte un masque, une nouvelle vague va arriver ; or elle ne sera pas à cause d’un virus grippal, mais d’une infection bactériologique des bronches due à une respiration constante dans un cloaque de “cuvette de WC”. »

Il faut aussi insister sur les conséquences nocives du masque permanent sur le comportement.

Selon le psychologue Patrick Fagan(16) “Les masques rendent stupides, et réduisent les barrières morales humanistes.

“Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive – votre conscience. »

Un seul exemple, mais il faut lire ce papier et y réfléchir : « Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% des enfants non masqués, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […] »(17)

« Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”.

Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires.(18) »MORALITE, si vous vous voulez sauver vos chocolats, masquez vos enfants, mais si vous voulez des maris fidèles, ne les masquez pas. Trêve de plaisanterie, nous ne savons pas si nos médecins stop postillons ou autres sont conscients des conséquences neurophysiologiques, comme psychiatriques du port permanent du masque, mais nous les invitons à se plonger dans la neuro-imagerie avant d’asséner leurs avis péremptoires de pseudo- savants sur les chaines TV et les radios.

Le mieux est l’ennemi du bien, et le diable se cache dans les détails, mais le masque est-il un détail ?

[1] Une épidémie est l’extension d’une maladie avec augmentation du nombre de malades qui ont des signes cliniques, qui souffrent, qui nécessitent des traitements et dont la vie est menacée par la maladie ce qui n’est plus le cas depuis plus de 3 mois

[2] Rappelons que la contamination par pulvérisation dans l’air n’est qu’une hypothèse évoquée sur des données de laboratoire et qu’elle n’a pas été retrouvée dans les études épidémiologiques dans le monde réel.

[3] F Pesty pour France soir Chronique Covid N°11 – « Bas les masques : une efficacité trop incertaine » Publié le 21/07/2020 http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg11-bas-les-masques-une-efficacite-trop-incertaine

[4] https://nypost.com/2020/08/19/swedens-tegnell-wearing-face-masks-may-be-very-dangerous/

[5] Reference OMS port du masque file:///D:/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-eng.pdf

[6] (Coronavirus disease (COVID-19) Weekly Epidemiological Update Data as received by WHO from national authorities, as of 10 am CEST 10 September 2020)

[7] Mystère : pourquoi le port du masque ne fonctionne pas en Espagne EL CONFIDENCIAL – MADRID 2/9/2020

[8] Pr Desuter Pour les enseignants, le port du masque en permanence pourrait être dangereux RTBF https://www.rtbf.be/info/societe/detail_pour-les-enseignants-le-port-du-masque-en-permanence-pourrait-etre-dangereux?id=10579064

[9] Advice on the use of masks in the context of COVID-19 Interim guidance 5 June 2020 file:///D:/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-eng.pdf

[10]New Jersey driver crashes car after passing out from wearing N95 mask By Craig McCarthy April 24, 2020 https://nypost.com/2020/04/24/driver-crashes-car-after-passing-out-from-wearing-n95-mask/

[11] Rappelons que chaque médecine inscrit à l’ordre est en droit de rédiger un certificat de contrindication s’il le pense nécessaire chez son patient. Les médecins qui refusent mettent aussi leur responsabilité vis-à-vis de leur malade s’il lui arrive quelque chose. Se protéger de tous côtés n’est pas si simple et l’ordre n’est pas tout puissant.

[12] Tragisch: Starb Schülerin in Deutschland wegen Masken-Pflicht? https://www.wochenblick.at/tragisch-starb-schuelerin-in-deutschland-wegen-masken-pflicht/

[13] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance

[14] Les grands parents peuvent … France soir

[15] https://micheldogna.fr/masque-a-lecole

[16] https://covidinfos.net/covid19/les-masques-vous-rendent-stupides-selon-le-psychologue-patrick-fagan-qui-denonce-une-forme-de-deshumanisation/

[17] « Les effets désinhibiteurs du port d’un masque sont décrits par les psychologues en termes de suspension des mécanismes de contrôle du surmoi, permettant aux impulsions subconscientes de prendre le dessus. Saigre (1989) a écrit que les masques “raccourcissent” les systèmes de défense conscients et encouragent une “régression massive” vers un état plus primitif »

[18] « Du point de vue de la neuro-imagerie, les masques sont connus pour inhiber l’identité et le contrôle des impulsions – tous deux associés à la fonction exécutive dans le cortex préfrontal (par exemple, Glannon, 2005 ; Tacikowski, Berger & Ehrsson, 2017). En d’autres termes, les masques font taire le Jiminy Cricket dans le cerveau » FranceSoir 16 septembre 2020




CINQUIEME PARTIE

Infos internationales

Le procès inique d’Assange.

- Qui est derrière la juge qui fait le procès d’Assange ? - Réseau Voltaire 15 septembre 2020

Emma Arbuthnot est la juge en chef qui, à Londres, a instruit le procès pour l’extradition de Julian Assange aux USA, où l’attend une condamnation à 175 ans de prison pour « espionnage », c’est-à-dire pour avoir publié, en tant que journaliste d’investigation, des preuves des crimes de guerre états-uniens, parmi lesquels des vidéos sur les massacres de civils en Irak et Afghanistan. Au procès, confié à la juge Vanessa Baraitser, toute requête de la défense a été rejetée.

En 2018, après qu’est tombée l’accusation de violence sexuelle, de la part de la Suède, la juge Arbuthnot a refusé d’annuler le mandat d’arrêt, de sorte qu’Assange ne puisse pas obtenir asile en Équateur. Arbuthnot a rejeté les conclusions du Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire d’Assange. Non écoutées non plus celles du responsable Onu contre la torture : « Assange, détenu dans des conditions extrêmes d’isolement non justifiées, présente les symptômes typiques d’une exposition prolongée à la torture psychologique ».

En 2020, alors que des milliers de détenus ont été transférés aux arrêts domiciliaires en tant que mesure anti-coronavirus, Assange a été maintenu en prison, exposé à la contagion dans des conditions physiques affaiblies. Au tribunal Assange ne peut pas se consulter avec ses avocats, il est gardé isolé dans une cage en verre blindé, et menacé d’expulsion s’il ouvre la bouche. Qu’y a-t-il derrière cet acharnement ?

Arbuthnot a le titre de « Lady », étant l’épouse de Lord James Arbuthnot, connu comme « faucon » Tory, ancien ministre des adjudications de la Défense, lié au complexe militaro-industriel et aux services secrets. Lord Arbuthnot est notamment président du comité consultatif britannique de Thalès, multinationale française spécialisée dans les systèmes militaires aérospatiaux, et membre de celui de la société Montrose Associates, spécialisée en intelligence stratégique (charges grassement rétribuées). Lord Arbuthnot fait partie de la Henry Jackson Society (HJS), influent think tank transatlantique lié au gouvernement et au renseignement des USA.

En juillet dernier, le secrétaire d’état états-unien Mike Pompeo est intervenu à Londres à une table-ronde de la HJS : depuis qu’il était directeur de la CIA en 2017, il accuse WikiLeaks, fondée par Assange, d’être « un service d’espionnage de l’ennemi ». Même campagne conduite par la Henry Jackson Society, qui accuse Assange de « semer des doutes sur la position morale des gouvernements démocratiques occidentaux, avec l’appui de régimes autocratiques ».

Dans le conseil politique de la HJS, aux côtés de Lord Arbuthnot, se trouvait jusque récemment Priti Patel, l’actuelle secrétaire aux Affaires intérieures du Royaume-Uni, à qui revient l’ordre d’extradition d’Assange. À ce groupe de pression qui mène une campagne martelante pour l’extradition d’Assange, sous la régie de Lord Arbuthnot et autres influents personnages, est substantiellement reliée Lady Arbuthnot. Elle a été nommée par la Reine magistrat en chef en septembre 2016, après que WikiLeaks avait publié en mars les documents les plus compromettants pour les USA. Parmi lesquels les e-mails de la secrétaire d’état Hillary Clinton qui révèlent le véritable objectif de la guerre Otan contre la Libye : empêcher que celle-ci usât ses réserves d’or pour créer une monnaie pan-africaine alternative au dollar et au franc CFA, la monnaie imposée par la France à 14 ex-colonies africaines.

Le véritable « délit » pour lequel Assange est jugé est celui d’avoir ouvert une brèche dans le mur d’omertà politico-médiatique qui couvre les intérêts réels de puissantes élites qui, opérant dans l’« État profond », jouent la carte de la guerre. C’est ce pouvoir occulte qui soumet Julian Assange à un procès, instruit par Lady Arbuthnot, qui comme traitement de l’accusé rappelle ceux de la Sainte Inquisition. S’il était extradé aux USA, Assange serait soumis à des « mesures administratives spéciales » beaucoup plus dures que les britanniques : il serait isolé dans une petite cellule, ne pourrait pas contacter sa famille ni parler, pas même par l’intermédiaire de ses avocats qui, s’ils portaient un de ses messages, seraient incriminés. En d’autres termes, il serait condamné à mort. Réseau Voltaire 15 septembre 2020

"Révolution de couleur" en Biélorussie

- Moscou accuse Washington de fomenter une révolution en Biélorussie - Reuters 16 septembre 2020

La Russie a accusé mercredi les Etats-Unis de fomenter une révolution en Biélorussie, pays où elle a envoyé son ministre de la Défense, témoignant ainsi de sa volonté de maintenir son soutien à Alexandre Loukachenko.

Selon Sergueï Narichkine, patron du SVR, le service russe des renseignements extérieurs, Washington travaille en coulisses pour renverser le chef d'Etat biélorusse.

"Nous parlons d'une tentative à peine déguisée d'organiser une 'nouvelle révolution de couleur' et un coup d'Etat anticonstitutionnel dont les buts et objectifs n'ont rien à voir avec les intérêts des citoyens biélorusses", a-t-il déclaré, cité par l'agence RIA.

Washington financerait selon lui des bloggeurs antigouvernementaux et formerait des militants par le biais d'organisations non-gouvernementales et en soutenant des personnalités de l'oppositions telles que Svetlana Tsikhanouskaïa, réfugiée en Lituanie. Reuters 16 septembre 2020

En complément. La milice de l'Etat profond mobilisée.

La torture massivement utilisée en Biélorussie, selon plusieurs ONG - RFI 16 septembre 2020

Destabilisation du Venezuela.

Un agent des USA capturé et une cellule terroriste démantelée au Venezuela par Telesur - Mondialisation.ca, 16 septembre 2020

Le procureur général du Venezuela, Tarek William Saab, a fait état, de l’arrestation d’un citoyen américain, de plusieurs Vénézuéliens et du démantèlement d’une cellule terroriste dans le pays.

William Saab a fait un rapport sur les événements qui ont conduit à l’arrestation du citoyen américain Matthew Jhon Heath, les décrivant comme « graves pour la stabilité et la démocratie vénézuéliennes ». Cependant, l’action du ministère public, des organes auxiliaires et des institutions a pu les neutraliser.

La déclaration du procureur général du Venezuela complète les informations fournies par le président, Nicolás Maduro, le 11 septembre dernier concernant l’arrestation d’un citoyen américain qui « espionnait les raffineries de Amuay et de Cardón ».

Ce lundi, le chef du ministère public a souligné que Matthew Jhon Heath était entré illégalement dans le pays, qu’il portait un téléphone satellite (qu’il refuse de débloquer) et que des photographies d’installations pétrolières et militaires dans les États de Zulia et de Falcón ont été trouvées sur lui.

Lors de l’inspection du véhicule, une pièce de monnaie a été trouvée à l’intérieur d’un des sacs, la reliant à la Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis, et il est présumé il est liée à cette agence gouvernementale.

Selon ses déclarations, le citoyen américain serait un militaire, et « menait des activités d’espionnage et de déstabilisation sur le territoire vénézuélien ». William Saab a expliqué que ces actions ont été menées avec le soutien « de militaires et de civils apatrides dans ce qui semble être une nouvelle action d’agression contre le Venezuela avec la participation des États-Unis ».

Le groupe prévoyait des activités de déstabilisation contre des installations militaires, des industries d’État, notamment le Service électrique national et l’industrie pétrolière, des actions qui vont à l’encontre « de la majorité de la population vénézuélienne ». « Le but est de nuire à tout le monde de la même manière », a insisté M. Saab.

Dans ses déclarations, le procureur a indiqué que des mandats d’arrêt avaient été lancés contre les citoyens vénézuéliens Marcos Antonio Garcés Carapaica, Darwin Andreizo Urdaneta Pardo et Reinaldo Enrique Finol pour trahison et association illicite.

Ces citoyens, a déclaré William Saab, « avaient planifié l’entrée d’agents américains sur notre territoire, en utilisant l’axe frontalier de la Guajira colombienne, pour obtenir plus tard des informations stratégiques sur la raffinerie d’Amuay. Ils avaient également l’intention de mener d’éventuelles actions de sabotage dans le Zulia et à Falcón, ainsi que des actions de trafic de drogue de la Colombie vers Aruba.

Lorsque les trois citoyens vénézuéliens et le citoyen américain ont été appréhendés, ils ont été trouvés avec un lance-grenades AT4, de calibre 84 mm, une mitraillette modèle UZI de calibre 9 mm, quatre pièces rectangulaires de matière explosive présumée (C4) et de l’argent en devises, entre autres.

Se référant aux faits, William Saab a déclaré que « ces actions ont une double signification ; parce qu’elles sont faites en plein milieu d’une pandémie et contre les efforts de l’État vénézuélien pour protéger la population de la contagion de Covid-19 ».

De même, l’identification et l’appréhension d’autres personnes impliquées dans l’opération ont été signalées. Ainsi, Ivonne Coromoto Barrios Finol, Leobaldo Antonio Gutiérrez, Andry Ramón Finol et Asterio José González García ont été capturés pour leurs liens avec l’entrée irrégulière et le transfert de l’agent américain sur le territoire vénézuélien.

« Tous les citoyens vénézuéliens seront accusés de trahison, de terrorisme, de trafic d’armes et d’association. Dans le cas du citoyen américain, il sera accusé des crimes de terrorisme, de trafic d’armes et d’association », selon les déclarations. Mondialisation.ca, 16 septembre 2020

Russiagate. Flagrant délit, les médias champions de la conspiration.

- Retour sur le Russiagate : 98 % des médias français ont été conspirationnistes - Rupture le 07 septembre 2020

Ce travail est chaleureusement dédié à Aaron Maté, Glenn Greenwald, Robert Parry (†), Julian Assange, Max Blumenthal, Stephen Cohen, Caitlin Johnstone, Matt Taibbi, Chris Hedges, Jimmy Dore et à tous les autres journalistes et commentateurs qui ont correctement informé sur le Russiagate malgré la marginalisation, les pressions et les calomnies (voir cette liste des valeureux sceptiques anglo-saxons).

Le Russiagate, dont la thèse centrale était l’existence d’une collusion entre Moscou et l’équipe de Donald Trump pour favoriser l’élection de celui-ci à la présidence des États-Unis, a subi une débâcle flagrante lors de la remise du rapport Mueller en mars 2019. Dénuée de toute preuve, cette théorie du complot fait pourtant régulièrement l’objet de tentatives de réanimation par différentes forces traumatisées par la défaite d’Hillary Clinton. Les médias ayant joué un rôle essentiel dans la production de ce mauvais feuilleton d’espionnage – aux conséquences néfastes bien réelles –, il n’est pas inutile de revenir sur le traitement de l’affaire en France. Sur les 56 médias de premier plan que nous avons examinés, dont certains font bruyamment profession d’« indépendance », comme Mediapart ou Le Canard enchaîné, un seul ne s’est pas vautré dans le conspirationnisme : Le Monde diplomatique.

Après sa déroute, le Russiagate a rapidement été remplacé, ou plutôt prolongé, par un autre récit sensationnel qui tournera lui aussi au fiasco, l’Ukrainegate. Les commentateurs et médias dominants (et parfois moins dominants…), nullement ébranlés par leur fourvoiement manifeste, continuent de servir de caisse de résonance docile aux multiples allégations d’« ingérence russe ». Une telle obstination irrationnelle signe la propagande, on peut même légitimement parler de russophobie. C’est parce que les médias refusent de reconnaître leurs erreurs et d’en tirer les enseignements appropriés qu’il est nécessaire de bien prendre la mesure du délire conspirationniste dans lequel ils se sont complu.

Il faut donc se souvenir que la thèse clintonienne d’une collusion entre l’équipe Trump et Moscou en vue de faire élire l’homme d’affaires à la présidence des États-Unis en novembre 2016 a été très favorablement relayée dans les médias occidentaux pendant deux ans et demi. C’est-à-dire qu’elle a occupé le devant de la scène durant la majeure partie du mandat de Donald Trump.

À la remorque de leurs homologues d’outre-Atlantique, les principaux acteurs français de la presse, de la télévision et de la radio, mais aussi la plupart des organes dits indépendants ou alternatifs, ont ainsi donné de l’importance et du crédit à la plus grande théorie du complot officielle depuis la fable criminelle sur les armes de destruction massive de Saddam Hussein. Nous présentons ci-dessous les preuves de cette quasi-unanimité (98 % des médias dans l’échantillon large et représentatif que nous avons retenu).

Conspirationnisme mainstream

Bien qu’incapables de fournir la moindre preuve, les médias ont choisi de croire – et surtout de faire croire – à ce « Russiagate », un nom faisant référence au scandale du Watergate qui avait abouti à la démission du président Richard Nixon. S’ils se sont acharnés à donner vie à cette conspiration en essayant de faire passer les allégations les plus abracadabrantes pour de solides éléments à charge, c’est principalement sous l’effet grisant d’une double détestation : celle de la Russie (personnifiée par son maître maléfique, Vladimir Poutine) et celle de Trump. La victoire « impensable » de ce dernier face à Hillary Clinton, la championne des élites libérales-atlantistes, devait être contestée d’une façon ou d’une autre ; c’était moins pénible que de s’astreindre à réfléchir aux raisons véritables de la défaite.

Sans originalité, l’amertume du camp otanien a pris la forme d’une accusation du grand méchant ours russe, une incrimination reprise en France y compris par des médias se réclamant – certes plutôt timidement – de positions moins alignées sur l’impérialisme washingtonien (Mediapart, Le Canard enchaîné, Marianne, L’Humanité, Politis). Comme il y a des alter-européistes, il y a des alter-impérialistes ; ce sont d’ailleurs souvent les mêmes.

Il n’était nullement nécessaire d’être bien disposé à l’égard de la ligne politique de Moscou ou de celle (moins claire…) de Donald Trump pour être capable de s’apercevoir que les innombrables adeptes du Russiagate ont fait preuve d’un manque de prudence et de discernement stupéfiant. Il suffisait d’être sensible à la vraisemblance du scénario et attentif aux faits, ou plutôt… à leur absence.

Le paroxysme du n’importe quoi a été atteint avec la médiatisation abondante du « dossier Steele », qui postulait notamment l’existence d’une vidéo dans laquelle on verrait Donald Trump en train de contempler des prostituées soulageant leur vessie sur le lit de la chambre du Ritz-Carlton de Moscou que les époux Obama avaient occupée lors d’une visite présidentielle. Ce « kompromat » obtenu par le FSB permettrait à Voldemort Poutine de faire chanter l’homme d’affaires… Le dossier, un grotesque tissu de rumeurs et de fake news, avait été concocté par un ancien agent du renseignement britannique pour le compte d’un prestataire du Comité national démocrate (DNC – l’organisme qui dirige le Parti démocrate) et du comité de campagne officiel d’Hillary Clinton. Une source on ne peut plus fiable donc.

Aux États-Unis comme en France, les personnes qui exprimaient publiquement des doutes sur la crédibilité du récit dominant étaient volontiers dépeintes en thuriféraires du président américain ou de son homologue russe, voire des deux. Avec ceux qui ont un faible plus ou moins assumé pour l’Otan, l’intimidation et l’ostracisation remplacent souvent l’argumentation. Le débat est rendu délibérément impossible en assimilant toute critique de la ligne euro-atlantiste à un soutien aux « dictateurs » et autres « populistes illibéraux ». C’est l’application d’une méthode simpliste courante en propagande de guerre, généralement cuirassée d’un alibi humanitaire : « Si vous êtes contre un changement de régime par la force en Irak/Libye/Syrie/etc., c’est que vous êtes du côté du boucher Saddam/Kadhafi/Bachar/etc. »

L’irresponsabilité des Russiagâteux

Si tous les médias français n’ont pas défendu la thèse de la collusion avec le même zèle, les comptes rendus et commentaires partaient toujours du principe que celle-ci était crédible et que des éléments probants plaidaient en sa faveur (précisons que la préférence compréhensible de Moscou pour le candidat Trump – compte tenu de l’hostilité anti-russe affichée d’Hillary Clinton – ne constitue évidemment pas en soi une preuve d’entente). Les tournures conservant l’apparence du doute masquaient mal une adhésion préférentielle à la théorie du complot. La rationalité avait une fois encore déserté toutes les rédactions. Toutes sauf celle du Monde diplomatique (et dans une bien moindre mesure celle d’Atlantico), qui parlera de « Tchernobyl médiatique » lors de l’explosion en plein vol du Russiagate.

À chaque fois qu’il y avait un rebondissement dans « l’affaire » – et il y en eut beaucoup –, que les spéculations allaient bon train sur les « avancées » de l’enquête du procureur spécial Robert Mueller, le bourrage de crâne reprenait de plus belle. « Ingérence russe », « collusion avec la Russie », « liens troubles », « relations ambiguës »… Ce récit jamesbondesque à base de machiavélisme poutinien a libéré la parole conspirationniste dominante et permis de multiplier les procès à charge contre Moscou, accusé de vouloir saper à la chaîne les bienveillantes « démocraties libérales ».

En effet, si la Russie a manipulé l’élection présidentielle américaine, alors pourquoi pas le référendum sur le Brexit, la campagne présidentielle française, le référendum catalan, le mouvement des Gilets jaunes, les élections européennes, les élections générales britanniques, etc., etc. ? Dernièrement, on nous a dit que, « selon des sources du renseignement », Moscou payait des talibans pour qu’ils tuent des soldats américains et que des hackers russes essayaient de voler des données sur un vaccin pour la Covid-19. Il n’y a pas de fumée sans feu. C’est pourquoi il faut produire beaucoup de fumée. Et donc relayer servilement les opérations d’intoxication mitonnées par les services de renseignement occidentaux.

Les propagateurs de ces multiples scoops tonitruants devraient s’enquérir de la moralité de la fable d’Ésope appelée « Le Berger mauvais plaisant », plus connue sous le titre « Le Garçon qui criait au loup »…

Au lieu de se montrer soucieux de la vérité et des faits, de tempérer leur agressivité systématique à l’égard de la deuxième puissance nucléaire mondiale, les médias ont endossé le paradigme belliciste de la « menace russe ». Ce climat hostile a facilité, entre autres mesures antagoniques, l’intensification de l’odieuse politique de sanctions contre la Russie, le retrait états-unien de plusieurs traités internationaux de contrôle des armes, le renvoi de diplomates russes et l’opposition au projet de gazoduc Nord Stream 2 soutenu par Moscou. Quant à l’Otan, qualifiée d’« obsolète » par Donald Trump pendant sa campagne, elle est redevenue selon lui pertinente peu de temps après son élection, et même « un rempart pour la paix et la sécurité internationales » (voir notre article sur ce revirement). La « marionnette Trump » semble moyennement sous le contrôle du maître du Kremlin…

La campagne permanente de dénigrement anti-russe travaille l’opinion publique afin qu’elle consente à la hargne occidentale, en premier lieu à l’égard de Moscou, mais aussi des autres « ennemis » du bloc euro-atlantique (Chine, Iran, Syrie, Venezuela, etc.). Il s’agit ultimement de justifier un prétendu « droit d’ingérence ». Les médias sont en grande partie responsables de cette mentalité obsidionale qui tente de légitimer des comportements de brute et la pratique routinière du deux poids, deux mesures. Ce ne sont pas seulement les usages diplomatiques, l’esprit de concorde, voire le droit international qui sont piétinés, mais aussi plus fondamentalement les valeurs de vérité et de justice.

Les journalistes sont-ils conscients que la russophobie paranoïaque et le climat de guerre froide qu’ils nous imposent empoisonnent les relations internationales et font courir de graves risques à la paix dans le monde ? Non seulement les médias ne favorisent pas la désescalade, mais ils la combattent âprement.

Aaron Maté, l’expert proscrit

Deux ans et demi d’intense propagande conspirationniste donc, et puis… le verdict est tombé avec la remise du rapport Mueller : la « théorie du complot » selon laquelle « Donald Trump ou ses équipes auraient conspiré avec les Russes pour voler la présidentielle américaine » est une « illusion » (Wall Street Journal, 24 mars 2019). Une conclusion confirmée par la publication du rapport complet. À ceux qui douteraient encore du caractère tout à fait vide du dossier, nous recommandons la lecture des articles de celui qui est probablement le meilleur spécialiste au monde du Russiagate, le journaliste états-unien Aaron Maté, qui travaille désormais pour l’excellent site The Grayzone.

Ses textes, très étayés et rigoureux, sont malheureusement peu accessibles en français. Toutefois, Le Monde diplomatique en a traduit trois : « Ingérence russe, de l’obsession à la paranoïa », « Comment le “Russiagate” aveugle les démocrates » et « Un cadeau des démocrates à Donald Trump » (nous avons déjà indiqué plus haut un quatrième article d’Aaron Maté paru dans le mensuel, celui sur l’Ukrainegate). Et le site Les Crises a publié celui-ci : « Repose en Paix, Russiagate ».

Pour les lecteurs qui maîtrisent la langue de Steinbeck, il est indispensable de prendre connaissance de cette analyse approfondie du rapport Mueller. Aaron Maté y réfute également les allégations centrales du volet informatique de l’accusation d’ingérence russe dans l’élection américaine de 2016, à savoir d’une part le piratage des serveurs du DNC (voir aussi cet article plus récent) et de la messagerie électronique de John Podesta – le directeur de campagne d’Hillary Clinton –, et d’autre part les opérations menées par des « bots russes » sur les réseaux sociaux afin d’influencer les électeurs américains (pour en savoir plus sur le second point, lire cet autre texte).

Il est édifiant de constater que le journaliste le plus compétent sur le Russiagate a été complètement marginalisé, quand il n’était pas harcelé sur les réseaux sociaux ou attaqué avec virulence par des personnes occupant des positions professionnelles plus confortables, y compris d’anciens collègues. Aux États-Unis, Aaron Maté a vu ses espaces d’expression se réduire à cause de la lucidité dont il a fait preuve ; il a été (et reste) quasiment banni de l’univers mainstream. En France, parmi la cinquantaine de médias connus que nous avons observés, seul Le Monde diplomatique s’est intéressé à son travail ; son nom n’a pas même été mentionné par les autres (sauf une unique fois dans cet article malhonnête de Slate éreintant Glenn Greenwald, « tellement critique de la couverture médiatique sur l’ingérence russe que son discours ressemble à celui de Donald Trump »…).

Les chauffards du journalisme

Le Russiagate a fait chou blanc mais, sans surprise, les médias et commentateurs installés n’ont nullement fait amende honorable et reconnu qu’ils avaient massivement intoxiqué leurs publics, s’alignant ainsi sur les objectifs géostratégiques des faucons de Washington – qui dominent aussi le Parti démocrate – et des services de renseignement occidentaux. Ils auraient pourtant eu intérêt à admettre leur égarement pour enrayer la spirale du discrédit dans laquelle ils sont pris. Mais rien n’indique pour l’instant qu’ils se soient résolus à pratiquer un journalisme honnête et rigoureux.

En diffusant avec délectation une théorie du complot accablante pour Donald Trump, les médias dissimulaient à peine leur souhait de le voir destitué ; il en fut de même ensuite avec l’Ukrainegate et la procédure formelle en ce sens. Résultat : en l’accusant à tort de façon aussi outrée, en orchestrant une chasse aux sorcières de type maccarthyste, ils ont renforcé le président honni et l’ont en partie immunisé contre les critiques légitimes – qui ne manquent pas –, ce qui l’a positionné avantageusement pour un second mandat (depuis, sa gestion de la crise du coronavirus a beaucoup fragilisé cette configuration favorable).

Par contre, les perroquets otanophiles sont parvenus à leurs fins sur un autre plan : ils ont empêché tout apaisement entre les États-Unis (et leurs vassaux) et la Russie. Le parti de la guerre continue de mener la danse. On peut d’ailleurs se demander si le Russiagate n’avait pas pour but premier, dans l’esprit de ses instigateurs, de contrecarrer le non-interventionnisme, l’obsolescence de l’Otan et le rapprochement américano-russe sur lesquels Donald Trump avait fait campagne (la sincérité de ces positions est une autre question).

Ce sinistre feuilleton était une façon pour les adorateurs du Pentagone de réaffirmer leurs fondamentaux : exceptionnalisme états-unien, hégémonie mondiale et impérialisme humanitaire. La vaste campagne anti-russe favorise également une restriction de la liberté d’expression et un contrôle de plus en plus strict d’Internet. De tout cela, les médias sont activement complices.

98 %, vraiment ? – Oui.

Nous présentons ci-dessous des captures d’écran effectuées sur les versions en ligne des principaux médias d’information permettant de se faire une idée de leur traitement du Russiagate et plus globalement du dossier des « ingérences russes » dans l’élection de 2016 (Le Canard enchaîné n’ayant pas de formule numérique, nous utilisons pour ce titre des reproductions réalisées à partir des archives sur microfilms). Au nombre de dix au maximum, les publications sont ordonnées chronologiquement. Comme cela peut être aisément vérifié, les titres – et les chapôs quand ils sont présents – des articles reflètent leur contenu, à quelques nuances près. Il s’agit ici de restituer la tonalité générale du discours.

Les lecteurs attentifs remarqueront la mention récurrente de l’expression « avec l’AFP » dans la signature des articles listés (c’est-à-dire qu’ils ont été écrits en reprenant largement une dépêche produite par l’agence de presse), ce qui montre le rôle majeur qu’a joué celle-ci dans la propagation de la théorie du complot. L’agence britannique Reuters est également citée. L’emprise souvent néfaste des agences de presse sur la production journalistique mériterait d’être davantage mise en lumière (sur le sujet, voir cette étude).

La couverture du Russiagate permet de mesurer le degré d’uniformité de l’espace médiatique français – droite et « gauche » confondues – sur ce qui a trait aux rapports de force mondiaux et à la géopolitique. Pluralisme et finesse d’analyse font particulièrement défaut quand il est question de la Russie. Nous avons affaire à un cas d’école qui révèle la soumission foncière à l’impérialisme américain, y compris de la part de publications prétendument alternatives (qui semblent réclamer une « autre Otan » – inclusive, bienveillante et durable – comme elles réclament une « autre Europe »). 98 % des médias sont les attachés de presse ou des critiques superficiels du militarisme euro-atlantique.

La pensée conspirationniste, considérée par les élites comme un grand fléau civilisationnel quand elle est pratiquée par les dominés, devient tout à fait autorisée pour la défense des intérêts de l’Occident néocolonial. On notera au passage le silence pudique des chasseurs patentés de fake news, fact-checkeurs et autres spécialistes médiatiques du complotisme sur la déconfiture du Russiagate. Par exemple, à notre connaissance, le sociologue Gérald Bronner, qui déplore abondamment – et souvent à juste titre – le « succès des mythologies du complot [et l’]hystérisation des débats publics » (cf. cette tribune), n’a pas dit un mot sur le sujet. Comment expliquer cette occultation si ce n’est par un biais politique ?

Quant à Rudy Reichstadt, qui est considéré par les médias dominants comme l’expert de référence en matière de conspirationnisme, il a écrit dans un article publié le 18 janvier 2019 sur Conspiracy Watch que le Russiagate était étayé par des « indices accablants » et des « éléments autrement plus solides que ceux sur lesquels sont habituellement bâties les théories du complot diffusées par le Kremlin ». Deux ans plus tôt, dans cet autre texte, il était allé jusqu’à accorder du crédit au fameux dossier Steele, dont « les éléments troublants […] portés sur la place publique » lui semblaient de nature à appuyer « l’hypothèse que le Kremlin ait pu influencer les élections américaines ». Convenons-en, Rudy Reichstadt est bien, en un certain sens, « expert en complotisme »… On comprend que le complexe médiatico-politique ait adoubé un tel champion pour défendre la cause.

Le cas du Russiagate montre à quel point l’ensemble du secteur médiatique peut faillir sous le poids de ses biais idéologiques et vices structurels. Une telle irresponsabilité représente une menace pour la paix mondiale. C’est pourquoi il nous faut inlassablement demander des comptes aux propagandistes. À ceux qui seraient tentés de minorer leur influence, nous préconisons la lecture de ce bref compte rendu d’un sondage effectué après la médiatisation des conclusions du rapport Mueller : « Pour près de la moitié des Américains, il y a eu collusion Trump-Russie ». Rupture le 07 septembre 2020




SIXIEME PARTIE

Bienvenue au gouvernement mondial totalitaire.

- Guerre des GAFAM: face à Microsoft, Amazon s’offre l’ex-directeur de la NSA - sputniknews.com 16 septembre 2020

Keith Alexander, ancien directeur du cyber-commandement militaire américain, rejoint la direction d’Amazon. Sulfureuse, cette nomination survient sur fond de bras de fer avec Microsoft autour de l’attribution d’un méga-contrat avec le Pentagone. Retour sur un homme tiré de l’ombre par les révélations de l’un de ses ex-employés, Edward Snowden.

Voilà bien un recrutement peu commun. Le géant du numérique Amazon, première capitalisation mondiale, a annoncé l’arrivée dans son conseil d’administration de Keith Alexander. Une figure controversée aux États-Unis, où il est resté un parfait inconnu jusqu’au tôlé planétaire provoqué par les révélations d’un de ses employés: Edward Snowden. L’ancien administrateur système, depuis réfugié en Russie, n’a d’ailleurs pas manqué de réagir à cette nomination en se fendant sur les réseaux sociaux d’un parallèle ironique entre son ancien patron et l’enceinte connectée Alexa.

En effet, si le produit phare d’Amazon suscite une certaine défiance, dans la mesure où Alexa est en mesure de transmettre aux employés du GAFAM toutes les conversations qu’elle perçoit, que dire de l’arrivée de cet ancien patron de la NSA?

Surnommé l’«empereur» du renseignement, ou plus sobrement «Alexandre le geek», ce général quatre étoiles qui «ressemble plus à un bibliothécaire en chef qu’à George Patton» a fait ses classes à West Point en compagnie de l’ex-directeur de la CIA David Petraeus (2011-2012) et de l’ex-chef d’état-major des armées des États-Unis Martin Dempse (2011-2015). C’est en 2005 qu’il est propulsé par Donald Rumsfeld, alors ministre de la Défense de George Bush, à la tête de l’agence de renseignement, un poste qu’il conservera pendant près d’une décennie. Un record.

D’«Alexandre le geek» à «empereur» du renseignement US

Peu après l’obtention de sa dernière étoile, c’est finalement l’administration Obama qui offre à Keith Alexander son tremplin pour la postérité, en lui permettant d’ajouter à ses prérogatives de chef de la NSA celles de tout premier commandant de l’United States Cyber Command. Présenté comme le onzième commandement interarmées de combat des forces américaines, l’USCYBERCOM est en charge de la «sécurité de l’information», à savoir tant garantir l’imperméabilité à toute attaque du réseau internet du pays, que de mener des guerres cybernétiques avec l’aide de quelques 14.000 ingénieurs et informaticiens.

Alexander était pourtant mouillé jusqu’au cou dans le programme Stuxnet, qui visait à détruire les centrifugeuses iraniennes d’enrichissement d’uranium à Natanz grâce à un malware développé avec la CIA et les services israéliens. Une opération qui finira par infecter également des centrales nucléaires indiennes, indonésiennes, russes, allemandes et françaises. Mais c’est un autre scandale qui aura raison de lui.

«Jamais auparavant quiconque dans la sphère du renseignement américain ne s’était rapproché de son degré de pouvoir, du nombre de personnes sous ses ordres, de l’étendue de sa direction, de la durée de son règne ou de la profondeur de son secret», relatait en juin 2013 le magazine américain «Wired» dans un article particulièrement détaillé sur le parcours de cet individu que «peu d’hommes, même à Washington, reconnaîtraient».

Cet article était publié six jours après les toutes premières révélations d’Edward Snowden sur l’étendue de l’espionnage de masse mené par les États-Unis. Ce sont elles qui allaient entériner un scandale planétaire, la fin de l’anonymat pour le général Alexander et celle de sa carrière militaire, qui s’achève en 2014.

La même année, il fonde IronNet, une entreprise de cybersécurité qu’il continuera de co-présider tout en conseillant Jeff Bezos. Ce panel d’administrateurs où, fort de sa réputation, l’«empereur» du renseignement se démarquera sans mal, même au milieu d’anciens dirigeants de Pespi (Indra Nooyi) ou d’Apple (Jonathan Rubinstein).

Le tempo de cette embauche d’Amazon, entreprise dont les serveurs hébergent 6% de l’internet mondial, interroge. C’est d’ailleurs, dans la presse anglophone, ce dernier élément qui occulte le passif de Keith Alexander: sa capacité déconcertante à consulter le contenu des e-mails de n’importe quel utilisateur de Gmail ou de Yahoo! sur la planète, ou encore le téléphone portable d’Angela Merkel.

En effet, l’attribution en début d’année à Microsoft de JEDI (Joint Enterprise Defense Infrastructure Project), un méga contrat de près de 10 milliards de dollars portant sur la modernisation des infrastructures numériques du Pentagone, a provoqué l’ire de Jeff Bezos, qui a engagé un bras de fer judiciaire sans merci avec la firme de Bill Gates. Réclamant que toute la lumière soit faite sur les conditions d’attribution de ce contrat, l’homme le plus riche du monde est même parvenu à faire geler les travaux par la justice. Reste à savoir quel rôle jouera une ancienne figure de la défense telle que Keith Alexander dans l’avenir d’une telle bataille. sputniknews.com 16 septembre 2020

Le gouvernement mondial totalitaire vous informe (https://fr.weforum.org)

LVOG - C'est écrit en toutes lettres, donc ceux qui le nient, qui nous traitent de révisionniste, d'illuminé ou de cinglé, n'ont rien trouvé de mieux à défaut d'arguments pour camoufler leur propre collusion avec la réaction.

Les histoires qui façonnent les agendas du monde, des régions et des industries.

Agenda

- Le Forum a convoqué mercredi sa dernière réunion virtuelle sur la Grande réinitialisation. - Christopher Alessi 15 sept. 2020

COVID-19

- Trois adultes sur quatre dans le monde auraient l’intention de se faire vacciner contre la COVID -19, mais est-ce réellement suffisant ? - Press release 02 sept. 2020

Selon une nouvelle enquête menée par le Forum Économique Mondial et Ipsos, près de 74 % des 20 000 adultes interrogés se disent prêts à se faire vacciner contre la COVID-19, mais les 26% restants représentent tout de même un déficit important.

Dans un nouveau sondage réalisé par le Forum Économique Mondial et Ipsos auprès de près de 20 000 adultes de 27 pays, 74 % des personnes interrogées déclarent avoir l’intention de se faire vacciner contre la COVID-19. Cette majorité pourrait encore ne pas atteindre le nombre requis pour vaincre la maladie, avec moins d'une majorité (37 %) déclarant avoir une opinion ferme sur la question. Pour plus de la moitié de interrogés (59 %), un vaccin ne sera pas disponible avant la fin de cette année.

Intentions de vaccination contre la COVID-19

Globalement, 74 % des adultes interrogés sont d'accord pour dire que si un vaccin contre la COVID-19 était disponible, ils se feraient vacciner. (37 % fortement d'accord et 37 % quelque peu d'accord), tandis que 26 % se disent en désaccord. (15 % quelque peu et 12 % fortement).

Les pays où l'intention de vaccination contre la COVID-19 est la plus élevée sont la Chine (97 %), le Brésil (88 %), l’Australie (88 %) et l’Inde (87 %). Ceux où elle est la plus faible sont : la Russie (54%), la Pologne (56%), la Hongrie (56%) et la France (59%).

Dans la plupart des pays, les personnes qui sont d'accord sont nettement plus nombreuses que celles qui sont en désaccord (plus de 50 points de pourcentage dans 12 pays sur 27).

Selon Arnaud Bernaert, responsable des initiatives Santé au Forum Économique Mondial "Le manque de confiance de 26 % dans le vaccin est suffisamment important pour compromettre l'efficacité du déploiement d'un vaccin contre la COVID-19. Il est donc essentiel que les gouvernements et le secteur privé s'unissent pour renforcer la confiance et s'assurer que la capacité de production réponde à l'offre mondiale d'un programme de vaccination COVID-19. Cela nécessitera une coopération entre les chercheurs et les fabricants ainsi que des accords de financement public qui lèveront les restrictions à l'accès au vaccin".

La raison la plus fréquemment mentionnée pour ne pas vouloir se faire vacciner est l'inquiétude quant aux effets secondaires, suivie par la perception de l’efficacité du vaccin. Plusieurs pays estiment également ne pas être suffisamment à risque et une partie des personnes interrogées sont contre les vaccins en général. Press release 02 sept. 2020

- Inflammation : le facteur clé qui explique la vulnérabilité à une forme grave de COVID L'accès aux soins de santé, l'exposition professionnelle et les risques environnementaux tels que la pollution ont tous une incidence sur le taux de survie, mais pour de nombreux groupes à risque, le facteur clé est l'inflammation. Sheena Cruickshank 15 sept. 2020

Le changement climatique

- Comment les entreprises peuvent-elles mieux reconstruire ? Des dirigeants s’expriment - Christopher Alessi 15 sept. 2020

- Une climatisation écologique capable de ralentir le réchauffement climatique

Les paradoxes du changement climatique s'exercent bien souvent de façon inexorable. Par exemple, dans notre monde en plein réchauffement, la demande de climatisation (AC) et de frigorigènes explose, en particulier dans les pays en développement. Mais davantage d'unités d... · Project Syndicate 04 sept. 2020

- L'effondrement mondial de la faune sauvage

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a publié un nouveau rapport alarmant qui révèle que les populations mondiales d'animaux sauvages ont diminué de façon drastique au cours des cinquante dernières années. L'Indice Planète Vivante (Living Planet Index), qui se base sur le suivi de près de 21 000... Statista France 14 sept. 2020

- Voici comment les États-Unis - et le monde - peuvent tirer parti de la reforestation

Les arbres sont essentiels à la lutte contre la crise climatique et à la survie des animaux et des plantes. Ils jouent également un rôle critique pour l'emploi, le monde des affaires et notre santé. Jad Daley et Justin Adams 15 sept. 2020

Éducation et compétences

- Trois façons de mieux étudier, selon la science

En cette année de pandémie, le retour à l’école, du primaire au post-doctorat, en passant par le collégial, ne se fera pas comme d’habitude. The Conversation 03 sept. 2020

- Où les enseignants sont-ils les mieux payés en Europe ?

L'hiver dernier, l'Éducation nationale avait promis une revalorisation des salaires des enseignants pour 2021. Avec la crise du coronavirus, le maintien de cette mesure semblait menacé, m... Statista France 04 sept. 2020

- Vers l'alphabétisation pour tous

Avec la crise sanitaire, il est estimé que 87 % de la population scolaire et étudiante mondiale a été touchée par les fermetures d’établissements.« Jamais auparavant nous n’avions été témoins d’une perturbation de l’éducation à cette échelle » constate la Directrice générale de l’Unesco, Audrey A... Statista France 15 sept. 2020

Intelligence artificielle et robotique

- L’intelligence artificielle comme outil de lutte contre les incendies

Intuitivement, on devine facilement que le réchauffement climatique est une cause essentielle de l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des feux de forêt. Ce qui est moins évident en revanche, c’est que la gestion qui a été faite jusqu’à présent de ces catastrophes naturelles a égalemen... The Conversation 14 sept. 2020

Afrique

- Transformer l’agriculture africaine

Au cours des trente prochaines années, l’Afrique subsaharienne verra sa population doubler, pour atteindre plus de deux milliards d’habitants, et ses économies vont s’industrialiser. Le développement de l’Afrique sera donc indispensable à la stabilité, à la prospérité et à la bonne sant... Project Syndicate 14 sept. 2020




SEPTIEME PARTIE

A propos de mes prises de position publiques.

J'ai cessé le 16 septembre de poster des commentaires dans le blog du Dr. Maudrux qui est devenu la voix du Conseil scientifique de Macron ou de l'OMS.

Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que le temps passant, une fois que l'imposture sanitaire allait largement s'évaporer ou qu'au fur et à mesure les faits allaient en venir à bout, c'était l'imposture politique qui devait être révélée ou prendre automatiquement le relais, passer au premier plan. Or, la plupart des acteurs des classes moyennes qui s'étaient exprimés ou insurgés contre les mesures liberticides imposées par Macron, n'avaient jamais eu l'intention d'aller plus loin ou de l'attaquer sur le plan politique. Du coup, la queue entre les jambes, maladroitement, sournoisement ou hypocritement, malhonnêtement et avec un aplomb sans pareil, il ne leur restait plus qu'à faire marche arrière et à cautionner toutes les mesures qu'ils condamnaient hier, quel spectacle, quelle leçon politique pour ceux qui l'ignoraient.

Quand on observe comment ils peuvent se contredire, se renier ainsi du jour au lendemain sans que cela leur pose le moindre problème, on est déconcerté si on ne s'y attendait pas, si on avait des illusions dans ces gens-là, ou au contraire on a simplement confirmation de ce qu'on savait déjà et on en sourit, c'était mon cas vous l'aurez deviné, bravo ! Ils sont pathétiques, lamentables, surtout quand on pense à l'enjeu, l'instauration d'un monstrueux régime totalitaire.

Voilà pour ce qui est de leurs principes et de leur dignité, de leur morale qui n'a rien à envier à celle de Macron. A ma connaissance, en France à ce jour, pas un seul médecin ou professeur, scientifique ou chercheur n'a passé cette épreuve avec succès.

https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/09/14/covid-19-actualites-therapeutiques/#comments

Le dernier commentaire que je n'ai pas envoyé, inutile.

Il est regrettable et je pèse mes mots, que le déni bénéficie d'un traitement de faveur au détriment de la réalité ou prenne la forme d'un reniement ou revirement systématique pour les âmes sensibles. Je m'explique et ce sera la dernière fois, je ne pratique pas l'autocensure.

C'est ainsi par exemple, uniquement sur la base des faits ou déclarations, qu'on en oublie que les trois quarts des décès attribués au covid-19 étaient injustifiés hier... et ne le sont plus aujourd'hui, et qui plus est il n'y a pas eu de surmortalité ; que le masque qui ne protège pas au regard de l'usage qui en est fait et de la taille du coronavirus... ait pu protéger par miracle avant-hier ou protège demain ; que la multiplication des tests PCR parfaitement inutiles en temps normal... sont devenus quasiment obligatoires ; que le vaccin tout aussi inutile en présence de traitements efficaces existant... soit déjà réhabilité et attendu, etc. c'est stupéfiant ! On est bien en présence d'une pandémie idéologique et d'un double discours ou "en même temps".

Les Pr. Raoult et Perronne sont des spécialistes de la langue de bois, du double discours sur absolument tous les sujets, test, masque, confinement, vaccin, etc. d'une phrase à l'autre, vous remarquerez en y prêtant de l'attention qu'ils disent tout et son contraire. C'est dans la nature des classes moyennes.

Les commentaires ci-dessous étaient en réponse à divers intervenants.

Tardieu - 15 septembre 2020

Alors que pendant plus de 6 mois j’ai soutenu inconditionnellement le Pr. Raoult.

Les limites du politiquement incorrecte…

Dans l’interview que Didier Raoult a donné à CNews le 14 septembre, il a déraillé ou il ménage ses arrières. Car comment expliquer qu’après avoir claironné que le covid-19 n’était pas plus dangereux que le virus de la grippe saisonnière, le voilà qui justifie un ensemble de mesures qui ne s’imposaient pas avant, il tient un double langage qui sert semble-t-il à ménager Macron, l’OMS et Big Pharma, notamment, ou à leur laisser une porte de sortie honorable, à croire que les milliers de morts inutiles qu’ils ont provoqués seraient déjà passé au bilan des pertes et profits :

– (à propos du covid-19) « …les plus fragiles d’entre nous risquent d’en faire des formes graves, voire mortelles, nous devons être attentifs (…) on ne fait pas d’excès qui les surexposent nous et nos familles au risque de transmission de cette maladie contagieuse », sachant qu’il y a des virus (et bactéries) mortels qui circulent toute l’année, on devrait donc être en état de vigilance sanitaire en permanence, la psychose permanente quoi ! ou encore : « quand quelqu’un est positif il ne faut pas qu’il touche les autres, il faut qu’il reste dans sa chambre », on n’avait jamais entendu un tel discours dans le cas de la grippe saisonnière, ce qui exprime une incitation à se faire tester toute l’année, sachant qu’on peut être testé positif à un virus toute l’année ou n’importe quand, quel délire !

Quant au vaccin contre le covid-19, il a botté en touche, pathétique ! Et il a encore fait la promotion du vaccin contre la grippe qui ne sert pratiquement à rien, sauf à engraisser les trusts pharmaceutiques mafieux qui le fabriquent, bravo ! Entre nous, on ne se faisait aucune illusion depuis le début…

carpentier ch - 15 septembre 2020

LES LIMITES DU POLITIQUEMENT INCORRECT … merci de si bien dire ce que je ressentais.

Tardieu - 15 septembre 2020

On semble oublier qu’il n’y a jamais eu de pandémie virale, c’est extraordinaire et révélateur. Et à partir de ce constat qu’on perd de vue, chacun brode ou spécule inconsciemment sur ce qu’il aurait fallu faire ou dénonce ce qui a été fait ou non… C’est là qu’on s’aperçoit que la manipulation des consciences a fonctionné même chez les gens qui se croyaient informés ou épargnés, à des degrés divers.

Moi j’en suis resté depuis le mois de janvier à l’instrumentalisation par le Forum économique mondial d’un banal coronavirus affectant les voies respiratoires similaire au virus de la grippe, et hormis les tests que je croyais être une bonne idée et dont maintenant je suis revenu, est-ce que d’ordinaire toute la population se fait tester tous les ans toute l’année pour savoir si elle n’aurait pas attrapé tel ou tel virus ou telle ou telle bactérie, non, donc aucune mesure exceptionnelle adoptée n’était justifiée et je n’ai pas eu besoin de changer de grille de lecture pendant 8 mois et demi pour interpréter la situation.

Donc la seule fois où je me suis trompé, c’est quand j’ai été induit en erreur par le Pr Raoult (sur les tests). Et je précise qu’il y a un lien dans mon portail vers l’IHU de Marseille, ainsi que des liens vers les principaux interviews qu’il a données à des médias depuis 6 mois et son audition à l’Assemblée nationale. Je l’ai soutenu inconditionnellement publiquement, je lui ai écrit à 5 ou 6 reprises et j’en ai informé mes lecteurs, donc je ne fais partie de ceux qui voulaient le descendre, j’ai fait la part des choses, c’est tout. J’estimais et j’estime toujours, que l’essentiel était de briser net cette machination sordide, et que le seul moyen d’y parvenir était d’avoir un traitement efficace pour diminuer la charge virale du Covid-19 comme il en existe pour la grippe, le Pr. Raoult proposant une bi-thérapie efficace, il fallait le soutenir sans tenir compte du reste ou du personnage sur lequel je n’ai pas à m’exprimer ici. Cette attitude m’a semblé logique et efficace.

Gérard Maudrux - 15 septembre 2020

Il n’y a jamais eu de pandémie et tout cela est manipulé par Davos ? Merci de ne pas rabaisser le niveau de ce blog. On peut polémiquer sur l’importance, la virulence, l’arrêt ou pas de la pandémie, la manière de l’aborder, mais les 30 millions de positifs et les 900 000 morts sont tout aussi réels que la terre est ronde et non pas plate.

Tardieu - 16 septembre 2020

Monsieur Maudrux, voilà un procédé plus que douteux, honteux, qui m’est totalement étranger :

– « les 30 millions de positifs et les 900 000 morts sont tout aussi réels que la terre est ronde et non pas plate. »

En 2019, si la population mondiale avait été testée, il y aurait eu des centaines de millions de positifs au virus de la grippe. La question des tests PCR était un piège destiné à alimenter la machination au coronavirus, afin de justifier le maintien des mesures liberticides imposées par Macron. Encore un mois à tenir pour faire la jonction avec l’épidémie de grippe saisonnière et poursuivre dans la lancée. Et bien je ne marche pas dans cette combine ou je ne tombe pas dans ce piège.

La question des tests était bidon, puisqu’on pouvait leur faire dire ce qu’on voulait, ne pas l’admettre, ne pas le savoir ou ne pas s’en souvenir est pour le moins curieux. Et quel business ! 30 millions de positifs feraient une pandémie, allez, à la louche je vous en prévoie très sérieusement des centaines de millions dans 6 ou 8 mois, et alors ! Il va falloir qu’ils montent en puissance pour justifier la vaccination de 7,5 milliards d’habitants. Il y aura peut-être d’ici là encore des confinements, ils y préparent psychologiquement la population tous les jours.

Quant au trafic de cadavres, je ne croyais pas qu’on oserait le remettre en doute ou le nier. Et me balancer « la terre est ronde et non pas plate », c’était méprisant, rassurez-vous, je suis blindé ! Cependant, je n’interviendrai plus dans ce blog.

sipo - 16 septembre 2020

Merci Tardieu pour votre volonté à élargir les débats et susciter la réflexion.

sipo - 16 septembre 2020

Et j’ajouterai que les esprits comme le vôtre manquent cruellement, car ils sont les seuls à pouvoir engendrer la volonté de faire face au basculement totalitaire en train de se produire sous nos yeux !

LVOG - J'ajoute un mot ici le 18. J'ignore si les lecteurs de mon portail en pensent autant...

Tardieu - 15 septembre 2020

Le PR. Raoult n’a pas cessé de nous gonfler avec ses tests, moi aussi j’y ai cru pendant assez longtemps, parce que j’ignorais ce qui figure ci-dessous, qu’ils savaient pertinemment, qu’il s’était bien passé de communiquer, ce qui relève de la manipulation ou est malhonnête. Il porte en grande partie la responsabilité de l’hystérie qui règne aujourd’hui autour du nombre de cas positifs pour cautionner la pérennité des mesures liberticides imposées par Macron.

A propos des tests PCR, l’imposture démasquée.

Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges comme aux médias belges par Médecins et professionnels de la santé belge – docs4opendebate.be 11.09.2020

Extrait. L’utilisation du test PCR non spécifique, qui produit de nombreux faux positifs, a donné une image exponentielle. Ce test a été effectué à la hâte avec une procédure d’urgence et n’a jamais été sérieusement testé par soi-même. Le fabricant a expressément averti que ce test était destiné à la recherche et non au diagnostic.7

Le test PCR fonctionne avec des cycles d’amplification du matériel génétique – un morceau de génome est amplifié à chaque fois. Toute contamination (par exemple, d’autres virus, des débris du génome d’un ancien virus) peut éventuellement donner un faux positif.8

Le test ne mesure donc pas combien de virus sont présents dans l’échantillon. Une véritable infection virale signifie une présence massive de virus, ce qu’on appelle la charge virale. Si le test est positif chez une personne, cela ne signifie pas que cette personne est effectivement cliniquement infectée, malade ou susceptible à tomber malade. Le postulat de Koch n’a pas été respecté (« L’agent pur trouvé chez un patient présentant des symptômes, peut provoquer les mêmes symptômes chez une personne saine »).

Étant donné qu’un test PCR positif n’indique pas automatiquement une infection ou une infectiosité active, cela ne justifie pas les mesures sociales prises, qui sont basées uniquement sur ces tests.9 10

Notes :

7- https://www.creative-diagnostics.com/sars-cov-2-coronavirus-multiplex-rt-qpcr-kit-277854-457.htm

8- Président John Magufuli de Tanzania: « Même les papayes et les chèvres testent positifs » https://www.youtube.com/watch?v=207HuOxltvI

9- Lettre ouverte du biochimiste Dr Mario Ortiz Martinez au parlement aux Pays-Bas https://www.gentechvrij.nl/2020/08/15/foute-interpretatie/

10- Interview avec Dr Mario Ortiz Martinez https://troo.tube/videos/watch/6ed900eb-7459-4a1b-93fd-b393069f4fcd?fbclid=IwAR1XrullC2qopJjgFxEgbSTBvh-4ZCuJa1VxkHTXEtYMEyGG3DsNwUdaatY

Tardieu - 15 septembre 2020

Pourquoi quand le gouvernement a criminalisé l’hydroxychloroquine, ni le Pr. Raoult ni le Pr. Perronne, ni apparemment aucun médecin ne s’est empressé d’informer la population qu’il existait des médicaments de substitution ou aux propriétés apparemment similaires (Ivermectine, doxycycline, famotidine, bromhexine, héparine, etc. cités par un lecteur), je ne suis pas médecin ?

Pourquoi ces médecins ou d’autres n’ont-ils pas appelé la population à prendre un de ces médicaments à titre préventif, ce qui aurait évité un certain nombre de morts, non ? Autrefois, on prenait de la Nivaquine un ou deux jours avant de partir en voyage dans un pays où le paludisme sévissait, et on continuait d’en prendre durant plusieurs semaines ou la durée de son séjour, on continuait même d’en prendre pendant quelques jours après son retour en France, donc à titre préventif. Là c’était normal, mais dans le cas du Covid-19, ce ne le serait pas, il y a un truc qui m’échappe. En règle générale, à titre prophylactique on soigne son alimentation et on reste en bonne santé en se passant de médicaments…


Le 19 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Un sujet à creuser pendant le week-end et bien sûr après :

Il ne faut pas confondre crise économique et crise du capitalisme...

J'ai retiré le lien vers le blog du Dr. Maudrux. (Lire mes motivations dans les deux dernières causeries) Je l'ai remplacé par le lien suivant :

Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations. (France)

Les articles mis en ligne aujourd'hui :

DOCUMENT. A combien est estimée notre planète ? Voici la vraie valeur de la nature - latribune.fr 15 septembre 2020 (15.09)
DOCUMENT. COVID-19: La Grande remise à zéro – Revisitée. Des menaces effrayantes, des récompenses pour l’obéissance… (15.09)

DOCUMENT. Le masque protège-t-il contre la transmission du Coronavirus ? Sans danger ou objet de "régression massive" vers un état plus primitif? (16.09)
DOCUMENT. Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en 2020 à cause du covid-19! (15.09)
DOCUMENT. Qui met nos enfants en danger, le SRAS-CoV-2 ou les mesures de nos gouvernements? (14.09)

DOCUMENT. Des terroristes du 11-Septembre aux virus de 2020: Le progrès dystopique (16.09)
DOCUMENT. Le nouvel ordre mondial du Covid: les «démocrates» en Biélorussie, les «nazis» à Berlin (15.09)
DOCUMENT. Compte-rendu de l’audience d’Assange – Premier Jour (15.09)
DOCUMENT. Qui est derrière la juge qui fait le procès d'Assange ? (15.09)
DOCUMENT. Les USA au bord de la guerre civile (15.09)


Le 22 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Cette causerie a été réalisée sans prendre connaissance des infos de la veille, pas eu le temps.

Les derniers articles mis en ligne :

DOCUMENT. Éradiquer la mort en éradiquant la vie, l’ambition d’un système en plein délire? (20.09)

DOCUMENT. BLM est-il le masque derrière lequel opèrent les oligarques ? (18.09.2020)

DOCUMENT. Le grand minimum solaire attendu pour la période 2020-2053 conduira à un refroidissement terrestre. (10.09)
DOCUMENT. Nouvelle confirmation que les modèles climatiques surestiment le réchauffement atmosphérique. (02.09)
DOCUMENT. Le nombre des ouragans n’a pas augmenté en Louisiane depuis 1851 (même en tenant compte de « Laura »). (29.08)


Notre orientation politique.

Le combat pour la liberté et la démocratie est indissociable du combat pour un changement de régime, en finir avec le capitalisme.

A bas le despotisme idéologique maquillé en mesures sanitaires !

Non au masque, non au test, non au traçage, non au confinement, non à la distanciation sociale, non à la vaccination contre le coronavirus !

Dans quel camp êtes-vous, celui du masque, du test, de la terreur, de la mort, de l'oligarchie, du totalitarisme ?

Chaque militant, chaque travailleur a le droit de se poser cette question, dès lors qu'ils sont censés pouvoir accéder aux mêmes informations, documents, connaissances que nous par le biais d'Internet. A quoi leur sert leur connexion Internet à part jouer comme des enfants gâtés ou gavés, regarder des films pornos ou un tas d'autres conneries plus débiles les unes que les autres, exposer fièrement leur vie médiocre ou leur ignorance sur les réseaux dits sociaux, c'est à se demander.

Je n'y ai pas encore trop réfléchi, mais il semblerait que sous le régime capitalisme pourrissant, la révolution numérique ait été celle de trop, celle qui devait causer la perte de l'humanité ou entraîner la disparition de la civilisation humaine.

Qualifier l'évolution de l'homo sapiens d'humaine était délibérément privilégier le bon côté de cette aventure, c'était faire preuve d'optimisme, tout en sachant qu'elle pouvait très mal finir. C'était relié à la perspective historique ou à l'espoir qu'un jour il parviendrait à se débarrasser de la sauvagerie inhérente à son espèce, à sa nature animale originelle, mais malheureusement à ce jour il n'est jamais parvenu à saisir et à créer les conditions qui permettraient d'y parvenir.

MESSAGE D'ALERTE international de professionnels de santé aux Gouvernements et Citoyens du MONDE - 16 sept. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=qRepHQkNiqw

Cette initiative internationale a notre soutien total et inconditionnel.

Peut-on se foutre indéfiniment de notre santé, de notre sort ?

Si les deux questions se rejoignaient sur le plan politique ce serait explosif pour le régime fascisant en place.

Si vous le pouvez, fuyez avec vos enfants les médecins (allopathiques), les hôpitaux, les pharmaciens ! Pratiquez l'automédication chaque fois que c'est possible, soit dans 90% des cas ou davantage. Faites la liste des médicaments qui sont efficaces, achetez-les à l'étranger via Internet si nécessaire. Pensez aux compléments alimentaires, à l'herboristerie, aux huiles essentielles... Privilégiez l'homéopathie, l'acupuncture, les médecines dites douces après les avoir étudiées de préférence, car beaucoup de charlatans sévissent...

Fuyez aussi leur bouffe et leur boisson de merde, bourrée de sel, de sucre, de gras, de produits chimiques ! Fuyez la restauration rapide, Mc Do, Coca Cola et Cie. qui vous empoisonnent ! Abandonnez tous les produits transformés issus de l'industrie agro-alimentaire, les boîtes de conserves, les produits préemballés, les surgelés ! Au plus jeunes, savez-vous qu'autrefois on se nourrissait correctement et on se passait très bien de toutes ces saloperies bien emballées ?

Cuisinez vous-même pour plusieurs jours, conservez vos plats au frais, équilibrez votre alimentation, le frais et le cuit... Pensez aux vitamines, aux oligo-éléments, aux acides aminés, aux protéines, aux huiles bénéfiques pour le cerveau, sans oublier les épices dans vos plats. Evitez friture, charcuterie, alcool et cigarette, réduisez votre consommation de viande...

A l'arrivée vous ferez tellement d'économies, que vous pourrez vous passer des légumes et fruits des supermarchés au profit de ceux du marché ou des primeurs, voire organiques si vous en avez les moyens. On mange pour se nourrir, on est ce que l'on mange, de la même manière qu'on devrait travailler pour vivre et non l'inverse.

Cet art de vivre est accessible à chacun quelle que soit sa condition, de vivre en bonne santé le plus longtemps possible. Il n'y a rien d'ascétique ou de dogmatique là-dedans, juste une prise de conscience, quelques principes que chacun peut adapter à sa convenance, librement à ses goûts.

Cela ne demande pas un effort de volonté insupportable, ce n'est tout de même pas une torture de cuisiner des plats très simples quand on manque de temps, pendant que ça cuit on fait autre chose, c'est une question d'organisation, et oui encore et toujours !

Ah ! Pour sûr, c'est incompatible avec l'oisiveté ou la facilité dans laquelle on tombe souvent, qui consiste à dire : J'ai fait ma part d'effort aujourd'hui en allant bosser, je suis crevé, maintenant je ne fous plus rien ou je me fous du reste, pour justifier son insouciance qui confine à l'acceptation passive d'un mode de vie qu'on tient absolument à nous imposer ou plus généralement, pour s'accommoder de cette société pourrie sans vouloir l'avouer. Pour tout vous avouer, quand j'étais plus jeune, que je vivais en France et que je bossais, j'appliquais en grande partie ces principes, pas suffisamment, en m'octroyant des dérogations de sorte que les excès et les bonnes résolutions s'équilibraient, c'est ainsi que je rattrapais le coup hypocritement, personne n'est parfait, et il fallait bien la supporter au quotidien leur société de merde.

A part la cigarette que je viens de réduire des trois quarts ou plus depuis une semaine, j'applique pratiquement toutes ces règles d'hygiène alimentaire, à mon âge j'ai plutôt intérêt ! Et je tiens le coup sans alcool depuis la mi-mars ! J'ai aussi réduit mon alimentation de moitié, sans effet sur mon poids ce qui me désespère, je déconne, 75 kilos pour 1,63m, à 65 ans (depuis le 11 septembre), disons que je ne suis pas obèse mais bien enveloppé ! Si j'avais le temps de consacrer plus de temps à des activités physiques, je crois que je maigrirais à vue d'oeil, mais hélas avec le portail c'est impossible ! Et je rappelle que c'est moi qui fais les courses et qui cuisinent la plupart du temps.

On se détend un peu pour commencer cette causerie de guerre (de classes).

Dans la rubrique on vous prend vraiment pour des cons.

La dernière fake news des représentants de Big Brother.

- L'UE veut se donner les moyens de sanctionner les GAFA, rapporte le Financial Times - Reuters 20 septembre 2020

Dans un entretien accordé au FT, le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, précise que les mesures proposées, qui ne s'appliqueraient que dans des circonstances exceptionnelles... Reuters 20 septembre 2020 LVOG - Ouf !

Une autre des "enquêteurs" de Big Media

- Fraude : Une enquête internationale révèle le blanchiment de sommes énormes par des grandes banques - 20minutes.fr 21 septembre 2020

La fraude aura duré près de vingt ans. Selon une nouvelle enquête internationale du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), des montants astronomiques d’argent sale ont transité par les plus grandes institutions bancaires du monde entre 1999 et 2017.

« Les profits des guerres meurtrières contre la drogue, des fortunes détournées des pays en développement et des économies durement gagnées volées dans le cadre d’une pyramide de Ponzi ont tous pu entrer et sortir de ces institutions financières, malgré les avertissements des propres employés des banques », détaille l’investigation, menée par 108 médias internationaux, de 88 pays.

Les documents portent sur 2.000 milliards de dollars de transactions, qui ont circulé entre 1999 et 2017.

L’investigation pointe notamment du doigt cinq grandes banques – JPMorgan Chase, HSBC, Standard Chartered, Deutsche Bank, et Bank of New York Mellon - accusées d’avoir continué à faire transiter des capitaux de criminels présumés, et ce même après avoir été poursuivies ou condamnées pour faute financière.

Dans un communiqué, la Deutsche Bank a assuré que les révélations du Consortium étaient en fait des informations « bien connues » de ses régulateurs...

Une dernière de Big Finance.

- L’investigation pointe aussi l’impuissance des autorités américaines dans la régulation de ces transactions. 20minutes.fr 21 septembre 2020

LVOG - Ouf, quel soulagement !

Information sans intérêt puisqu'on le savait déjà, alors quoi ?

L'auto-blanchisseuse des médias, des bonnes consciences de gauche... Cela ne leur coûte rien, mieux, c'est même destiné à rapporter, mais à qui, voyons, à eux, à la démocratie ! (Vous avez le droit d'éclater de rire)

29 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Il ne faut pas confondre crise économique et crise du capitalisme.

Qu'est-ce qu'impliquent l'une et l'autre ?

La crise du capitalisme, c'est la crise d'un système économique fonctionnant selon ses propres lois, dont les fondements reposent sur les inégalités sociales entre les classes au profit d'une classe ultra minoritaire exploitant et opprimant la majorité du peuple, disposant de tous les pouvoirs. Ce type de crises, tous les système économiques antérieurs les ont connues avant de disparaître, parce qu'il arrive un moment où le développement des forces productives entre fatalement en contradiction avec le mode de production existant.

La crise économique, c'est la crise du système économique basé sur l'exploitation de l'homme par l'homme qui a été créé pour répondre aux nécessités auxquelles les hommes étaient confrontés pour assurer le développement et la survie de leur espèce. Ces nécessités incluent l'ensemble des besoins et aspirations des hommes, elles correspondent aux contraintes inhérentes à la nature humaine, ainsi qu'à ses faiblesses, car les hommes les ignorent ou n'en ont pas conscience. La raison d'être de l'espèce humaine, s'il fallait lui en trouver une, serait d'accéder à la conscience de sa propre nature pour se délivrer des chaînes de l'esclavage qui entravent sa liberté depuis qu'elle a été conçue.

La crise du capitalisme a atteint un stade où elle n'a plus qu'un caractère purement idéologique, tandis que la crise économique correspond à un processus historique.

Quand on affirme que la civilisation humaine est à la croisée des chemins, on veut dire par là que si les hommes ne prennent pas conscience que ce processus historique est parvenu à maturité, autrement dit, que le développement des forces productives a atteint un niveau permettant de mettre un terme au règne de la nécessité, elles s'autodétruiront en emportant la civilisation humaine avec elles, c'est ce à quoi nous sommes déjà en train d'assister.

L'homo sapiens ne possède pas seulement la faculté de pouvoir agir sur son environnement et de le modifier, il possède aussi la faculté cognitive de transformer cette expérience en connaissance ou d'en prendre conscience, ce qui à son tour lui fournira des instruments nouveaux pour agir sur la matière, l'ensemble des rapports auxquels il est confronté en permanence au contact de la nature ou dans la société.

C'est donc la combinaison ou l'interaction entre des éléments objectifs et subjectifs qui permettent de déterminer dans quelle direction va s'orienter la société et le monde. Et pour peu qu'à notre époque les exploités et les opprimés parviennent à en prendre conscience et prennent en main leur destin en s'organisant, absolument aucune force ne pourrait leur résister ou les vaincre.

En complément.

Mes chers amis lecteurs, camarades, qui me suivent maintenant depuis des années auront le bonheur de constater en lisant l'article suivant que je suis parvenu à évoluer dans la bonne direction, ce qui n'aura pas toujours été facile, surtout en étant totalement isolé ou seul contre l'ensemble des dirigeants du mouvement ouvrier, il faut bien le reconnaître.

J'ai tenu le coup parce que je suis resté inflexible sur certains principes. Quelques exemples.

- Ne pas céder à la tentation d'adopter une position pour ne pas être davantage marginalisé, pour être dans l'air du temps, délétère, nauséabonde, qui empeste l'imposture, l'hypocrisie, la démagogie, l'opportunisme, la médiocrité, l'individualisme, le corporatisme, le despotisme, y compris au sein du mouvement ouvrier.

- Ne céder absolument rien au camp de la réaction. Tirez les leçons politiques et pratiques de chaque expérience ou évènement, ne rien laisser passer, quitte au besoin à modifier notre théorie ou stratégie, à changer radicalement de positions si nécessaire pour ne pas dévier de notre objectif politique, la prise du pouvoir, le socialisme.

- Intégrer à notre stratégie celle de nos ennemis aussi démentielle ou délirant que puisse paraître leurs objectifs à long terme surtout, sans craindre de passer pour un illuminé ou un complotiste, termes employés par nos ennemis pour éliminer ceux qui se dressent sur son chemin.

- Interpréter les transformations de la société, les découvertes ou les applications de la recherche scientifique, les nouvelles technologies davantage destinées à servir la stratégie de l'oligarchie, à asservir les masses, plutôt qu'à satisfaire leurs besoins.

- Caractériser sur le plan politique chaque déclaration ou action d'où qu'elles viennent, sans craindre de froisser qui que ce soit.

- Refuser de céder aux sirènes des opportunistes, qui, en participant aux campagnes de nature corporatiste, identitaire ou communautariste initiées par les officines liées à l'oligarchie et financées par elle, contre les préjugés archaïques des masses, cautionnent sa stratégie ayant pour objectif l'instauration d'un gouvernement mondial totalitaire. Toute opération entreprise dans le seul but de détourner le combat des masses du régime, de redorer son blason, est dénoncée et combattue férocement.

- Apporter tactiquement et temporairement son soutien aux actions menées par des éléments de la classe moyenne contre la politique de Macron, sans cautionner leurs illusions ou leurs contradictions, dès lors que ces actions peuvent entraver l'action du gouvernement ou favoriser le combat des masses contre le régime.

- Etc. etc. etc.

"C’était trop beau pour être vrai". Malheur à ceux qui y ont cru !

LVOG - Et on ne vous dit pas tout le bien qu'on souhaite à tous ceux qui se sont employés à vouloir nous le faire croire sans en croire un mot, autrement dit, qui nous ont trompé délibérément ou qui étaient de médiocres penseurs et dirigeants.

- Éradiquer la mort en éradiquant la vie, l’ambition d’un système en plein délire? par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 20 septembre 2020

Tout comme, depuis les années 1970, les ouvrages de Brzezinski servent de programme de politique étrangère aux Etats-Unis, il se pourrait bien que 1984, la dystopie d’Orwell, leur serve (et à nous aussi qui leur sommes inféodés) de programme de politique intérieure.

On peut imaginer avec quelle gourmandise, nos élites, dont le souci principal est de dominer le petit peuple pour pouvoir l’exploiter au mieux de leurs intérêts, se sont appropriées et ont mis en œuvre les enseignements de ce petit livre. Pendant que la Russie et le Moyen-Orient se débattaient sous les coups programmés par Brzezinski, des apprentis Big Brother prenaient subrepticement le contrôle de nos existences.

Les peuples occidentaux commencent à s’en rendre compte et l’adjectif orwellien s’est répandu pour décrire la communication gouvernementale, les inversions de valeur, les éléments de langage, les décisions contradictoires, bref presque tout ce qui, chez nous, rappelle 1984.

A sa parution, en 1948, nous avons pris naïvement ce livre pour un roman de sciences fiction. A l’époque, à part quelques rares visionnaires aussitôt traités de défaitistes, nous croyions être occupés à construire un monde meilleur, plus juste, plus solidaire, sous la houlette de dirigeants éclairés. De Gaulle n’avait-il pas sauvé la France ? Et les communistes ne mettaient-ils pas en œuvre, tambour battant, le programme du Conseil National de la Résistance : sécurité sociale, allocations familiales, congés payés, chômage, retraites ? Les syndicats étaient puissants et un salaire d’ouvrier suffisait à faire vivre une famille entière. On s’attendait à ce que le système capitaliste s’effondre sous ses contradictions, comme l’avait prédit Marx. On pensait que le ciel descendrait bientôt sur terre sous la forme du socialisme, et tant pis pour la classe possédante ! Il y avait une forme d’équilibre social de la terreur qui avait son pendant extérieur dans la dissuasion atomique.

Hélas, c’était trop beau pour être vrai et, au lieu de s’effondrer, le capitalisme, s’est bientôt déchaîné sous la poussée de la mondialisation, entraînant avec lui les valeurs de la République (Liberté, Egalité, Fraternité, cotisation sociale et séparation des pouvoirs) et les valeurs de la vie en commun (justice, vérité, confiance, respect). Tout cela a été remplacé par la course individuelle au plaisir et au profit dans une sorte de sauve qui peut, de guerre de tous contre tous qui fait plier sous le joug ceux qu’elle n’élimine pas.

La France, un pays béni des dieux

Mais dans notre malheur nous avons bien de la chance, nous répète Big Media. Imaginez, on aurait pu avoir l’Union soviétique et Staline ! Grâce au ciel, on a les Etats-Unis et Big Brother. C’est d’ailleurs un vrai bonheur de voir avec quelle aisance et quelle finesse nos chères élites se sont glissées dans la peau de Big Brother. Dans de nombreux domaines, les élèves occidentaux ont même dépassé le maître. Oui, nous avons bien de la chance !

Prenez nos ennemis par exemple : un ennemi invisible et insaisissable comme le COVID-19, ça a tout de même plus d’allure et de potentiel que les archaïques Estasia et Eurasia !

Notre État n’a certes pas encore réussi à installer des caméras dans chaque appartement, mais qu’à cela ne tienne, nos téléphones et ordinateurs portables, avec leurs applications sophistiquées, lui fournissent déjà beaucoup d’informations sur nous et dans ce domaine les progrès sont rapides. Voyez le succès éclatant de Stop Covid !

Pour ce qui est de la Vérité, nous ne sommes pas non plus en reste. Même un enfant de CM2 connaît la Vérité sur la seconde guerre mondiale. Il sait qu’elle été menée contre les Juifs et gagnée par les Américains. Comment se pourrait-il en effet que les Soviétiques aient vaincu Hitler ? Les Etats-Unis dont nous sommes les fidèles alliés ne pourraient jamais l’accepter. Ou que les Allemands nous aient attaqués ? L’Europe de la paix ne s’en remettrait pas. Quant aux 21 millions de Soviétiques tombés sous les bottes allemandes ? Voyons, c’est de la propagande russe !

Chez nous, il n’y a pas de propagande. Nous avons Big Media qui nous enseigne le politiquement correct. Nous savons que tout ce que disent les pays hostiles et les réseaux sociaux complotistes, sont des fake-news. Tout comme nous savons que « La guerre, c’est la paix ; la liberté, c’est l’esclavage ; l’ignorance, c’est la force ». C’est sûrement parce que nos médias sont capables de tout transmuter en Vérité que Jupiter les a exemptés du masque, à l’heure du sanitairement correct.

Notre pays est béni des dieux parce qu’il est dans le camp du bien et que ses élites sont au service du peuple, et donc nous n’avions rien à craindre du Coronavirus quand il est arrivé de Chine avec les Français rapatriés, a déclaré notre apprenti Big Brother. Au cœur de l’épidémie, il a harangué son peuple avec fougue, envoyé les fantassins au front, mis ses amis à l’abri dans leurs châteaux de province, et enfermé à la maison le reste de la population avec, pour résoudre tous les problèmes, une boîte magique de Doliprane. Tous ensemble, sous sa houlette éclairée, nous avons fait reculer la bête, au péril de nos vies. Evidemment, nous n’avons pas pu sauver tout le monde et beaucoup de vieillards sont morts, seuls, dans nos mouroirs à profit. Mais nous avons beaucoup appris.

Les enseignements principaux de l’épidémie

1. L’hystérie, c’est la sagesse. Grâce à Big Media et ses médecins de plateau, nous savons que ce n’est pas parce que, en plein cœur de l’épidémie, la moyenne d’âge des malheureux qui mouraient se situait entre 70 et 80 ans et qu’aujourd’hui il n’y a quasiment plus de morts (30 décès le 30/9 contre 1438 le 14/4, selon le Prof Toussaint, dont on se demande pourquoi Big Media le reçoit encore), que le virus n’est pas plus dangereux que la peste noire ou, plus près de nous, que la grippe espagnole (qui venait en fait des Etats-Unis et a fait 50 millions de morts selon d’incorrigibles complotistes). Nous avons appris que le Principe de précaution invite à se prémunir de tous les dangers même ceux qui n’existent pas. C’est pour cela que Big Media est obligé, à son corps défendant, d’affoler et de terroriser les populations. Sinon, bêtes comme ils sont, les gens ne comprendraient pas que ce n’est pas parce que la menace n’existe pas, qu’il ne faut pas s’en protéger par tous les moyens.

2. La science, la médecine et Big Pharma forment un seul bloc uni et solidaire. En d’autres temps nous aurions parlé de corruption, mais aujourd’hui, nous savons qu’il n’y pas de corruption, ni de conflits d’intérêt, en Occident, car Big Brother et le Doliprane nous protègent de tout. Grâce à Big Pharma et l’administration à flux tendus de l’ARS, nous avons, en fait, le « meilleur système de santé du monde ». Il faut être à la solde des Russes ou des Chinois pour prétendre qu’il y a eu infiniment moins de morts au Vietnam ou en Biélorussie que chez nous pendant l’épidémie !

3. Tous les virus seront bientôt éradiqués. Ceux qui pensent que l’idéal anglo-saxon de l’asepsie absolue est une utopie, sont évidemment des agents russes. Big Pharma et Big Media nous l’ont promis : grâce au port du masque obligatoire, à l’interdiction de l’hydroxychloroquine et au vaccin qui va nous tomber du ciel, il n’y aura bientôt plus de virus du tout. La preuve, l’UE a versé des milliards d’Euros à Big Pharma. Ceux qui parlent de prévention, de défenses immunitaires, de soin, de guérison sont des traîtres à la nation, qui veulent nous ramener au Moyen-âge et qui font le jeu de nos ennemis.

Une scène du film Hunger Games

On trouve encore, sur des réseaux-sociaux que la Police de la pensée n’a pas réussi à éradiquer, des contributeurs anonymes, possédés par des forces maléfiques, qui affirment que les bactéries, les virus et les microbes font partie de la vie. Selon ces cerveaux malades, on n’aurait absolument pas intérêt à se débarrasser des virus car ils sont des agents qui viennent créer une réaction dans notre corps pour que celui-ci active l’énergie vitale et se nettoie. Ce qu’il faudrait, insistent-ils, c’est développer notre énergie vitale, nos anticorps, nos défenses immunitaires. Ils osent même citer Claude Bernard qui aurait dit : « Le terrain est tout, le microbe n’est rien.

Heureusement pour Big Brother, Big Pharma et nous, Pasteur, qui était un as des relations publiques, a remporté haut la main la victoire du vaccin contre les immunologistes de son temps. Encore un miracle qui prouve que dieu est avec Big Pharma et que rien n’arrêtera le progrès…

4. La mort, elle-même, sera bientôt éradiquée. La France a déjà pratiquement éradiqué la mort sur les routes en appliquant les recommandations – simples et efficaces – du Conseil écologique de Big Brother : supprimer les voitures des pauvres. Quand il ne restera plus que celles des riches, conduites par des chauffeurs, il n’y aura plus de morts, soyons en certains.

Pour éradiquer la mort des seniors dans les Ehpad qui font notre fierté, Big Brother a trouvé la solution : sacrifier les jeunes. S’il n’y avait pas de jeunes, il n’y aurait pas de vieux et donc pratiquement plus de morts, voilà la Nouvelle Doctrine. Big Brother et son Conseil scientifique sont conscients qu’une doctrine aussi révolutionnaire peut surprendre des générations de parents et de grands-parents encore viscéralement attachés à leurs enfants et petits-enfants et naturellement peu enclins à les sacrifier, même pour le bien commun. Mais Big Brother sait que nous avons confiance en lui et en Sa parole et que nous lui obéirons.

D’ailleurs nous avons fait des progrès et, tout récemment, Big Brother est apparu à la TV de Big Media pour nous féliciter. Il était fier de nous parce que nous avions compris la nécessité de rester enfermés pendant deux mois, de remplacer les enseignants après de nos enfants, de nous contenter du Doliprane pour combattre un virus létal, de porter un masque inutile, de payer des amendes illégales, de laisser mourir seul nos vieux parents, de faire nos emplettes dans des supermarchés couverts au lieu des marchés de plein air, de ne pas nous réunir, ni nous marier, ni rien, tout en continuant à vider les poubelles du pays.

Nous avons aussi compris, à sa grande joie, qu’il était capital que nos enfants et leurs maîtres soient désormais transformés en zombies dans des écoles zombies*, pendant que nous travaillons de tout notre cœur pour sauver les dividendes de Big Finance. Il est donc sûr et certain, que nous serons bientôt heureux d’offrir nos enfants à la nation pour éradiquer la mort, car il n’y a pas de projet plus grand, plus noble, plus moderne.

Éradiquer la mort est LA grande mission de Big Brother. Mais, comme Big Media nous l’a affirmé, le sacrifice de la jeunesse permettra, en même temps, de solutionner les problèmes de santé publique, les problèmes politiques, économiques (les enfants coûtent cher et ne rapportent rien), sociaux et écologiques, bref tous les problèmes dont Big Brother a promis de nous délivrer lorsqu’il a été porté au pouvoir par une foule en délire, il y a quatre ans. Son plan était prêt car Big Brother est toujours prêt. Il n’attendait que le Coronavirus pour l’appliquer.

Et voilà que ce qu’il nous avait annoncé, se réalise enfin sous nos yeux éblouis : la fin de l’histoire, la fin de la politique, la fin de l’économie, la fin de la société, la fin de la joie, la fin de l’espoir, la fin du cycle de la vie et de la mort, en un mot, la fin de la souffrance humaine. Oui, nous sommes bénis des dieux !

Lorsque leur œuvre sera accomplie, Big Brother, Big Media et Big Finance entasseront l’or, dont ils nous ont délestés, dans les fusées spatiales qui les attendent en Guyane ou en Floride. Puis, de là, ils regagneront les planètes paradisiaques qu’ils avaient quittées, l’espace d’un instant, pour venir répandre sur nous leurs bienfaits et nous délivrer du mal de vivre. Mondialisation.ca, 20 septembre 2020

Parole d'internaute.

1- Un conseil dit « scientifique » qui n’est là que pour avaliser les décisions prises par le système politique et qui n’a de conseil que le nom.

Ce gouvernement n’existe que par la peur et la psychose.

LVOG - Mais aussi parce qu'il a le soutien des principaux acteurs politiques et sociaux.

2- But des tests massifs :

1- Constituer le fichier génétique de la population ;
2- Alimenter la propagande de la peur par des chiffres de contamination ;
3 -Transférer des fonds publics dans des comptes privées.

3- Madagascar : 26,26 millions d’habitants

- Malades : 15 871
- Guérisons : 14 482
- Décès : 215
- Remède : Artemisia




DEUXIEME PARTIE

La santé toujours sous le contrôle du régime de Vichy.

Par l'Association Internationale pour la Défense des Médecines Naturelles (AIDMN)

Madame, Monsieur,

Imaginez cette situation grotesque :

En France, dans une ville ou un village près de chez vous…

… un herboriste à la solution pour soulager vos douleurs, vous redonner du tonus ou calmer votre stress…

Mais il n’a pas le droit de vous le dire !

Cette situation ubuesque est pourtant bien celle dans laquelle vous vivez aujourd’hui.

Si vous habitiez au Québec, en Belgique ou en Suisse, cet herboriste aurait le droit de vous aider mais en France…

Ce même herboriste risque de gros ennuis avec la justice !

En 1941, le Maréchal Pétain a banni le métier d’herboriste en France.

Aussi fou que cela puisse paraître, cette loi est toujours en vigueur !

Et l’herboristerie française est aujourd’hui sous respiration artificielle : il ne reste que 15 herboristeries contre 23’000 pharmacies en France.

Pire : les rares herboristes français sont traités comme des délinquants !

Alors que les herboristes ont la solution pour soulager vos douleurs, vous redonner du tonus ou calmer votre stress… Ils exercent leur activité dans la clandestinité et s’ils vous conseillent des plantes, ils risquent une condamnation par la justice.

Si vous estimez que vous, votre conjoint, vos enfants, vos proches et tous les Français doivent avoir le droit d'utiliser les plantes médicinales librement, SIGNEZ MAINTENANT notre grande pétition nationale pour le retour des herboristes !

Pour lire la suite et signer leur pétition :

https://www.mesopinions.com/petition/sante/liberez-herboristes-francais/75317

Totalitarisme. La "deuxième vague" de la réaction jusqu'à la nausée.

- Covid-19 : "Nous devons tous y adhérer sinon nous allons à la catastrophe", alerte un député lyonnais, avant l'annonce de nouvelles restrictions à Lyon - Franceinfo 19 septembre 2020

Jean-Louis Touraine, également médecin, appelle à l'effort de tous pour freiner la résurgence du coronavirus en France. Franceinfo 19 septembre 2020

- Covid-19: selon Mélenchon, "rien n'a été organisé" pour affronter une 2e vague - AFP 20 septembre 2020

"Et on espérait que ça se passe", a-t-il poursuivi, citant "le raisonnement de ceux qui se disent +la population doit s'auto-immuniser à force de l'attraper, elle va générer des anticorps et donc l'épidémie va baisser comme c'est le cas pour la grippe+".

Jean-Luc Mélenchon a encore dit redouter "la manière avec laquelle la population prendrait de nouvelles mesures d'extrême rigueur de confinement". AFP 20 septembre 2020

LVOG - Le charlatan tremble pour le régime !

- Intempéries dans le Gard : "Malheureusement, nous attendons une deuxième vague qui devrait toucher tout le département", prévient le préfet - Franceinfo 19 septembre 2020

- Coronavirus : le Royaume-Uni fait face à une "deuxième vague" de l'épidémie, affirme Boris Johnson - Franceinfo 19 septembre 2020

Boris Johnson envisage de pendre des mesures plus strictes encore, alors qu'il est déjà interdit, en Angleterre, de se rassembler à plus de six personnes. Le Premier ministre britannique dit vouloir éviter un nouveau confinement national, ravageur pour l'économie. Franceinfo 19 septembre 2020

- Coronavirus: Jusqu'à 11.000€ d'amende pour non respect de l'isolement en Angleterre - Reuters 20 septembre 2020

Les nouvelles règles s'appliqueront à partir du 28 septembre à toute personne qui a été informée par les autorités sanitaires qu'elle a été en contact avec une personne contagieuse.

Les amendes s'étaleront de 1.000 livres pour une première infraction à 10.000 livres en cas de récidive ou pour les employeurs qui agitent la menace d'un licenciement si leurs employés se confinent au lieu de venir travailler. Reuters 20 septembre 2020

Un cas qui relève du fanatisme, de la démence ou du fascisme.

Covid-19 : plus de 30 millions de cas déclarés dans le monde - Euronews avec AFP 18 septembre 2020

Le niveau de transmission du Covid-19 est "alarmant" en Europe, a relevé jeudi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui s'inquiète également des raccourcissements de quarantaine décidés ou envisagés dans plusieurs pays, dont la France.

"Les chiffres de septembre devraient servir d'alarme pour nous tous" à travers l'Europe, où le nombre de nouveaux cas est désormais supérieur à ceux enregistrés en mars et avril, a déclaré depuis Copenhague le directeur de la branche Europe de l'OMS, Hans Kluge.

L'organisation onusienne a également exclu de raccourcir sa recommandation d'une quarantaine de 14 jours pour tout ceux qui ont été en contact avec le virus.

"Notre recommandation de quarantaine de 14 jours a été basée sur notre compréhension de la période d'incubation et de la transmission de la maladie, nous ne la réviserions que sur la base d'un changement de notre compréhension de la science, ce qui n'est pas le cas jusqu'à présent", a insisté Catherine Smallwood, en charge des situations d'urgence à l'OMS Europe. Euronews avec AFP 18 septembre 2020

LVOG - Vous avez bien lu, ce ne sont pas les faits qui déterminent leurs recommandations ou leur interprétation de la situation, mais leur " compréhension de la science" guidée par des intentions idéologiques inavouables liberticides, antisociales, criminelles.

Comment ils testent le totalitarisme. Une épreuve en cours.

- Covid-19 : la Haute autorité de santé donne son feu vert pour l'utilisation des tests salivaires, mais uniquement en cas de symptômes - Franceinfo 19 septembre 2020

Les tests salivaires consistent à rechercher en laboratoire la présence du matériel génétique du coronavirus, à partir d'un prélèvement de salive. S'agissant des personnes asymptomatiques, trois cas sur quatre passent entre les mailles du filet, explique l'instance. Ils ne sont pas conseillés par la HAS pour dépister les personnes asymptomatiques, étant donné le nombre important de faux négatifs quand ils sont utilisés sur ces patients.

- Covid-19 : indolores, mais moins fiables… Ce qu'il faut savoir sur les tests salivaires et leur arrivée prochaine en France - Franceinfo 19 septembre 2020

Ils sont moins précis mais moins pénibles à passer que les tests nasopharyngés déjà utilisés. En revanche, la technique d'analyse des échantillons reste la même que pour les tests RT-PCR. Franceinfo 19 septembre 2020

LVOG - Donc aussi foireuse ! Heureusement !

- La vaccination contre la grippe, "acte citoyen" pour des députés de la majorité - AFP 20 septembre 2020

Soixante-quinze députés de la majorité lancent un appel à se faire vacciner "massivement" contre la grippe, un "acte citoyen" pour éviter de voir cette maladie s'ajouter à la pandémie de Covid-19 dans une "cohabitation épidémique".

Une tribune de Julien Borowczyk (LREM, Loire), lui-même médecin, co-signée par 74 autres députés de la majorité, publiée dans le Journal du Dimanche.

"Se vacciner contre la grippe deviendra dès cet automne un enjeu de santé publique et surtout un acte citoyen", poursuivent ces députés.

"Nous attendons toutes et tous avec impatience le vaccin contre le coronavirus. Profitons d’ores et déjà des vaccins existants car ils sont nos meilleurs alliés dans cette lutte contre les virus", conclut le texte de ces députés, signé notamment par l'ex-ministre de la Transition écologique et ancien président de l'Assemblée nationale François de Rugy, le professeur de médecine Jean-Louis Touraine ou la députée des Yvelines Aurore Bergé. AFP 20 septembre 2020

Les médecins masqués sont des agents du Conseil de l'ordre de Vichy ou de Big Pharma.

La généticienne Alexandra Henrion-Caude le 15 septembre sur RT.

- “Ce qui logiquement risque de repartir comme chaque année, c’est la grippe. On sait maintenant qu’en termes de létalité [du Coronavirus], on arrive à des pourcentages qui sont très proches de ceux de la grippe. C’est là où il y a une espèce de disproportion entre l’état des choses, l’état des chiffres, l’état du danger sanitaire et ce qu’on nous impose, notamment le port du masque dans un bon nombre de régions maintenant…” […]

“On est arrivé à un niveau de connaissance du Covid qui montre qu’on a un taux de létalité qui est équivalent à celui de la grippe. Alors pourquoi ne mettiez vous pas de masque l’hiver dernier quand il y avait la grippe ?” […]

“Il n’y a jamais eu de démonstration scientifique qui montre un intérêt à faire porter un masque à des personnes saines, pour aucune pathologie, dans aucun système. C’est ça la réalité, il n’y a pas d’étude scientifique.” covidinfos.net 17 septembre 2020

LVOG - Cette généticienne a précisé qu'une étude réalisée avec 3.000 personnes ayant été vaccinées contre la grippe et 3.000 personnes n'ayant pas été vaccinées montrait que parmi les 3.000 personnes vaccinées davantage avaient été contaminées par un coronavirus, pas le Covid-19, mais un autre coronavirus, par conséquent les appels à se faire vacciner contre la grippe sont prématurés et elle refuse de s'y associer en attendant d'en savoir davantage.

En conclusion, le Pr. Raoult adepte de ce vaccin notamment peut mettre son mouchoir dessus ou ferait mieux de se taire.

En famille. "La crise sanitaire a bon dos", mais ils en sont les principaux agents.

LVOG - Encore une misérable journée d'action bidon...

France : des milliers de manifestants dénoncent les suppressions d'emplois liées au Covid-19 - euronews 18 septembre 2020

Une partie des syndicats appelaient à manifester ce jeudi en France pour une rentrée marquée par la crise sanitaire et ses conséquences sur l'emploi. Des cortèges se sont réunis à Paris, Nantes, Rennes, Bordeaux ou Marseille.

Masqués, mais pas silencieux pour autant. Une partie des syndicats ont fait du bruit ce jeudi pour leur rentrée, avec des cortèges sous escorte policière un peu partout en France, comme à Paris, Nantes, Rennes, Bordeaux, ou comme à Marseille.

Dans la capitale, ils étaient environ 10 000

De l'enseigne d'ameublement Alinéa en passant par Nokia, ou encore Auchan, près de 400 plans de sauvegarde de l'emploi ont été recensés depuis le mois de mars, soit une hausse de 60% par rapport à l'année précédente. Mais pour le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, présent dans le cortège, "la crise sanitaire a bon dos".

En plus des hausses de salaire, la CGT réclame aussi l'abandon "définitif" des réformes des retraites et de l'assurance chômage. La centrale syndicale demande aussi que la réduction du temps de travail liée à la crise se fasse "sans perte de salaire".

L'interdiction de rassemblement de plus de 5 000 personnes reste en vigueur pour éviter la propagation du virus mais les autorités ont jusqu'à présent fermé les yeux sur les dépassements. Des préavis de grève avaient été déposés à la SNCF et RATP mais le trafic est resté globalement normal.

Une mobilisation plus faible qu'à l’accoutumée, sans doute à cause de la crise sanitaire et des restrictions, analyse Benoît Teste, secrétaire général du syndicat FSU : "Tout le monde a un peu la tête dans le guidon aujourd'hui, le nez dans les préoccupations locales et c'est bien normal. Les gens nous disent : on comprend vos revendications, on les partage, mais la grève, la manifestation, pour nous, en ce moment, c'est trop compliqué parce qu'effectivement on en a jusque-là de la situation sanitaire". euronews avec AFP 18 septembre 2020

En famille. Ne le touchez pas malheureux, il est infecté par la pire maladie contagieuse : l'opportunisme !

- «Il faut éviter de me toucher»: Mélenchon en difficulté lors d’un bain de foule à Marseille - sputniknews.com 18 septembre 2020

LVOG - Quand on expliquait dans la causerie précédente que la soi-disant gauche et extrême gauche instrumentalisaient les revendications sociales légitimes des travailleurs ou leurs aspirations démocratiques pour permettre aux différents gouvernements dont celui de Macron de pouvoir appliquer leur politique réactionnaire, nous ne nous trompions pas, la preuve.

A aucun moment ils n'exigeront l'abrogation de tous les décrets adoptés par le gouvernement depuis celui sur l'hydroxychloroquine du 12 janvier, de toutes les mesures liberticides conduisant à une dégradation des conditions d'existence et de travail des travailleurs.

Mélenchon le 18 septembre - "La question sociale est le cœur de nos problématiques. Ce n’est pas possible de résister correctement sur le plan sanitaire si on n’a pas les moyens de se payer des masques, donc il faut des masques gratuits. Ce n’est pas possible de résister correctement si l’angoisse sur son lendemain au travail est absolue". europe1.fr 18 septembre 2020

LVOG - Et que feront-ils contre les conditions qui sont à l'origine de cette "angoisse" ? Rien, pire, ils en redemandent (des masques, des tests, etc.)!

Ce n’est pas possible de résister correctement sur le plan social si on déserte le combat sur le plan politique qui passe par la condamnation et le rejet du port du masque, de l'incitation à se faire tester, du confinement, du traçage.

En famille. Sous le masque de l'insoumis, un conseiller économique de Macron préconise de nouvelles taxes au profit du capitalisme français.

- Bridgestone: Ruffin accuse les gouvernements successifs de "trahison" et de "complicité" - AFP 17 septembre 2020

Le député LFI François Ruffin a accusé jeudi les gouvernements successifs d'avoir "trahi" et d'être les "complices" de multinationales comme le groupe japonais de pneumatiques Bridgestone qui a annoncé la prochaine fermeture de son usine de Béthune (Pas-de-Calais).

Face à ces groupes qu'il a décrit comme "des fauves", il a appelé à prendre des mesures telles que "des quotas d'importation, des taxes aux frontières, des barrières douanières et des taxes kilométriques".

Il a aussi dénoncé la façon "absurde" dont le gouvernement "fait de la relance": "On saupoudre de l'argent un peu partout, il n'y a aucune vue d'ensemble, aucune cohérence".

A droite, Valérie Pécresse, la présidente ex-LR de la région Ile-de-France, a également réclamé jeudi sur franceinfo qu'on aille "récupérer les subventions" accordées à "des entreprises qui seraient vraiment des entreprises voyous" et que "l'Etat les attaque" et prenne "des mesures de rétorsion très fortes". AFP 17 septembre 2020

Macron et les institutions sont illégitimes, balayons-les, prenons le pouvoir !

- Législatives partielles : un premier tour sous le signe de l'abstention - LePoint.fr 21 septembre 2020

Six élections législatives partielles, conséquences des municipales et de la nomination du gouvernement en juillet, ont connu leur premier tour dimanche, et les résultats déjà connus pour cinq d'entre elles montrent une abstention massive de quelque quatre électeurs sur cinq. En pleine résurgence de l'épidémie de Covid-19, l'abstention dépasse 79 % dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82 % dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, 84 % dans la 1re de la Réunion et atteint même 87 % dans la 9e circonscription du Val-de-Marne. Les résultats dans la 11e des Yvelines n'étaient pas encore communiqués à 1 h.

Dans la 5e circonscription de Seine-Maritime, c'est le candidat socialiste Gérard Leseul qui arrive largement en tête avec près de 40 % des suffrages, lors d'un premier tour marqué par 82,29 % d'abstention. LePoint.fr 21 septembre 2020

Coronabusiness. A qui profite le crime ?

- Les transactions par carte bancaire deviennent majoritaires en Allemagne, pays pourtant très attaché à l'argent liquide - Franceinfo 19 septembre 2020

- Crise du Covid-19 : le président de l'institut Sapiens constate "une accélération" des paiements dématérialisés - Franceinfo 19 septembre 2020

Avec la crise du Covid-19, les échanges d'argent en liquide ont diminué pour laisser la place au paiement par carte bleue, notamment via le paiement sans contact, jugé plus sécurisant d'un point de vue sanitaire. Olivier Babeau est le président de l'institut Sapiens, un groupe de réflexion sur l'économie, pour lui, la crise sanitaire n'est "peut-être pas un tournant, mais une accélération" de la transformation des modes de paiement et d'échanges monétaires.

Les paiements par carte bleue sans contact ont bel et bien progressé, notamment grâce à l'augmentation du plafond de paiement de 30 à 50 euros le 11 mai. La Banque de France doit donner le détail des chiffres la semaine prochaine. Olivier Babeau reprend les données avancées par la Banque centrale européenne : "30% des paiements de moins de 50 euros dans la zone euro se faisaient seulement en cash. C'est assez peu et c'est une tendance qui baisse." La France n'est pas une fervente utilisatrice d'argent liquide.

En Europe, chez les commerçants, 79% des paiements se faisaient en liquide en magasin. En France c'était seulement 68. Olivier Babeau à franceinfo

Pour autant, il n'est pas envisageable pour le président de l'institut Sapiens d'envisager une disparition totale de l'argent liquide dans les années à venir. "En réalité, il fera probablement de la résistance pendant extrêmement longtemps", avance-t-il. Même si la disparition de l'argent liquide "arrangerait tout le monde, y compris l'Etat qui y verrait un très grand intérêt", affirme Olivier Babeau. "Dans un premier temps, connaître. Il n'y aurait plus de choses qui passeraient sous son radar, on connaîtrait tous les échanges. Et dans un deuxième temps probablement fiscaliser ces échanges de façon un peu plus précise, c'est notamment ce que les gens craignent." La longévité de l'argent liquide est donc garantie selon Olivier Babeau, car il reste "une des dernières zones de liberté dont bénéficient les citoyens, qui reste sous les radars de l'Etat". Franceinfo 19 septembre 2020

L'agenda du totalitarisme mondial déployé.

- Covid-19 : Trump l'assure, les Américains auront un vaccin d'ici avril 2021 - LePoint.fr 18 septembre 2020

- La Commission européenne mène la bataille contre le racisme - euronews 18 septembre 2020

Dans les pas du mouvement Black Lives Matter, l’institution présente ses propositions pour lutter contre les discriminations. euronews 18 septembre 2020

- Navalny : le Parlement européen réclame des sanctions contre Moscou - euronews 18 septembre 2020

Le Parlement européen a réclamé jeudi des sanctions européennes sévères contre la Russie pour l'empoisonnement du leader de l'opposition Alexeï Navalny, accusant le Kremlin d'avoir tenté de l'assassiner pour faire taire la dissidence. euronews 18 septembre 2020

- Biélorussie: Une rapporteure de l'Onu met en garde contre un nouveau rideau de fer - Reuters 18 septembre 2020

- Hong Kong: le harcèlement en ligne s'intensifie contre les pro-démocratie - AFP 18 septembre 2020

- Colombie : la statue d'un conquistador déboulonnée - euronews 18 septembre 2020

En Colombie, des Amérindiens ont abattu une statue à l'effigie d'un conquistador espagnol du XVIème siècle. Selon eux, il est un symbole des violences dont ils ont été victimes dans l'histoire. euronews 18 septembre 2020

- Pour les juges des Pays-Bas, la protection du climat n'attend pas ! - euronews 18 septembre 2020




TROISIEME PARTIE

Contre-propagande. Combat pour la liberté et un changement de régime.

- Protestations des anti-restrictions à Londres et à Bucarest - euronews.com 20 septembre 2020

Une fois encore, les opposants aux mesures de restrictions ont manifesté à Londres.

Anti-vaccin, anti-masque, anti-confinement, conspirationnistes ou travailleurs affectés par les conséquences économiques des restrictions ; plusieurs centaines de personnes se sont réunies sur Trafalgar Square, sans masques et sans respect de la distanciation pour dénoncer la « tyrannie » des autorités. Au Royaume-Uni, où le gouvernement s'efforce de ralentir la deuxième vague, les rassemblements de plus de six personnes ont été proscrits, une violation des libertés individuelles selon ces manifestants.

Tenant tête à la police qui tentaient de les disperser, 32 personnes ont été interpellées.

En Roumanie, plusieurs centaines de manifestants également, y compris des familles avec des enfants, se sont rassemblés dans la capitale, Bucarest. Ils protestaient notamment contre le port du masque obligatoire à l'école. Dans ce pays, où la première vague a été moins meurtrière que dans de nombreux autre États européens (4400 morts), plus de 1300 nouveaux cas de coronavirus ont été recensés samedi. euronews.com 20 septembre 2020

LVOG - En France et pas seulement, la pseudo-gauche et extrême gauche et les syndicats ont cadenassé la classe ouvrière et le mouvement ouvrier, ils les ont confinés ou ils les ont détournés du combat politique contre le régime fascisant de Macron.

- En Europe, la quarantaine remise en cause par l'industrie du voyage et du tourisme - Reuters 18 septembre 2020

Les dirigeants de l'industrie européenne du voyage et du tourisme, mise à genoux par la pandémie de coronavirus, ont appelé la présidente de la Commission européenne à faire pression sur les gouvernements pour qu'ils mettent un terme aux règles de quarantaine au profit de mesures coordonnées.

"Cette situation chaotique requiert votre implication personnelle immédiate", a déclaré dans une lettre adressée à Ursula von der Leyen un groupe ad hoc de plus de 20 industriels, représentant plus de 5.000 entreprises dans les secteurs de l'aviation, du tourisme, de l'hôtellerie ou de la restauration.

Cet appel a été lancé alors qu'ACI Europe, une association professionnelle des aéroports européens signataire de la lettre datée du 17 septembre, a fait état d'une chute de 73% du nombre de passagers aériens à la mi-septembre, contre un repli de 65% accusé en août.

"Ce qui est réellement en jeu, c'est le redressement de l'Europe et des économies européennes", ont poursuivi dans la lettre les organismes concernés, rappelant que le tourisme génère 10% de la production économique de l'UE. Reuters 18 septembre 2020

- “Ça va trop loin !” Le témoignage d’une enseignante qui appelle ses collègues au rassemblement et à la “résistance” - covidinfos.net 17 septembre

Lors de la pré-rentrée du 31 août, je me suis rendue aux divers RDV donnés par la direction, sans masque. Sur la TOTALITÉ des personnels du lycée présents en ce jour de pré-rentrée, j’étais la seule à visage découvert : déprime absolue !

Je croise quelques collègues qui m’encouragent et affirment que c’est moi qui a raison !

Lors de la grand-messe de rentrée en salle de conférence, je me place quasiment au premier rang face à l’équipe de direction. Le proviseur déroule son programme et en arrive au détail du protocole sanitaire.

Là, il me fait remarquer que je n’ai pas de masque, … me dit qu’il pourra m’en procurer un, si je n’en ai pas.

Je le laisse achever son chapitre et lève la main.

Il me donne la parole et là, j’annonce très officiellement, devant ma direction et mes tous mes collègues réunis que je suis OBJECTRICE DE CONSCIENCE (je porte même, pour l’occasion, un t-shirt que j’ai spécialement fait imprimer), …. que je refuse de porter le masque et que je refuse également d’exiger de mes élèves qu’ils le portent.

Il m’explique que dans ces conditions, je ne serai pas autorisée à pénétrer dans l’enceinte du lycée et que donc cela allait m’empêcher d’occuper mes fonctions.

Pour lire la suite :

https://covidinfos.net/covid19/ca-va-trop-loin-le-temoignage-dune-enseignante-qui-appelle-ses-collegues-au-rassemblement-et-a-la-resistance/2180/

- “Le taux de létalité du Covid est équivalent à celui de la grippe” selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude - covidinfos.net 17 septembre 2020

Interviewé sur la chaine RT France, la généticienne Alexandra Henrion-Caude a estimé le 15 septembre qu’on était “à la fin de l’épidémie” et que le taux de létalité du Coronavirus était “équivalent à celui de la grippe”.

La vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=ilgJOhydvVQ

“On est arrivé à l’heure des bilans. On est à la fin de l’épidémie. On a vu qu’on a pas eu d’excès de mortalité en Europe chez les 0 à 65 ans, et pas d’excès de mortalité chez les 0 à 110 ans dans plein de pays comme l’Autriche, l’Allemagne, le Danemark, la Norvège” […]

“On a l’impression qu’on est tout le temps en train de nous agiter le spectre d’un fantôme.” […]

“Ce qui logiquement risque de repartir comme chaque année, c’est la grippe. On sait maintenant qu’en termes de létalité [du Coronavirus], on arrive à des pourcentages qui sont très proches de ceux de la grippe. C’est là où il y a une espèce de disproportion entre l’état des choses, l’état des chiffres, l’état du danger sanitaire et ce qu’on nous impose, notamment le port du masque dans un bon nombre de régions maintenant…” […]

“On est arrivé à un niveau de connaissance du Covid qui montre qu’on a un taux de létalité qui est équivalent à celui de la grippe. Alors pourquoi ne mettiez vous pas de masque l’hiver dernier quand il y avait la grippe ?” […]

“Il n’y a jamais eu de démonstration scientifique qui montre un intérêt à faire porter un masque à des personnes saines, pour aucune pathologie, dans aucun système. C’est ça la réalité, il n’y a pas d’étude scientifique.” […] covidinfos.net 17 septembre 2020

- “Le Gouvernement a créé la panique pour couvrir sa responsabilité” selon l’expert en soins de santé Henri Anrys - covidinfos.net 19 septembre 2020

Le Docteur en droit et expert en soins de santé Belge Henri Anrys a publié cette tribune dans Le Journal du Médecin. Il dénonce notamment “une catastrophe économique et financière” et un Pouvoir qui “se dédouane en s’appuyant sur l’autorité scientifique d’experts”. Il est ici question de la Belgique, toute ressemblance avec un (ou des) pays voisin(s) serait pure coïncidence. Extraits.

[…]

“A l’ère de l’Etat providence, le risque est devenu insupportable s’il n’est pas assuré. L’Etat est mis en demeure d’éviter le risque en appliquant le principe de précaution. Celui-ci se traduit en mesures de barrage qui doivent cependant, et c’est le défi, rester proportionnées à la menace. L’acceptation sociale de ces mesures est liée à la confiance des citoyens dans l’autorité politique. […]

En situation aussi incertaine, le Pouvoir se dédouane en s’appuyant sur l’autorité scientifique d’experts. Leurs assertions se retournent cependant contre le pouvoir si elles induisent hésitations et contradictions.

Les experts comme les hommes politiques connaissaient certainement les dégâts que le confinement strict allait entraîner. Le contrôle de l’épidémie devait générer une catastrophe économique et financière. Il devait s’accompagner de l’endettement, du chômage, et de la perte de pouvoir d’achat avec explosion de la pauvreté et la disparition des petits indépendants.

Les effets psychologiques devaient suivre. L’inquiétude, l’insécurité, la violence et l’hostilité ont été exacerbées dans une société centrée sur les droits de l’individu par une propagande culpabilisante. Chacun y était présenté comme un danger pour la vie de son voisin. Animés par une incitation au civisme rappelant les invitations à dénoncer d’il y a 70 ans, des gens se transformaient en gendarmes aboyant sur celui qui ne portait pas son masque ou appelant un hélicoptère de la gendarmerie pour verbaliser une réunion de famille dans un jardin voisin.[…]

Le gouvernement [Belge] a atteint son objectif : Par la peur, faire partager la responsabilité des dégâts collatéraux par la population. Il l’a même amenée à demander le prolongement des mesures et l’aggravation des contraintes et sanctions, encourageant une avalanche de règlements tatillons pondus par une Bureaucratie ivre de ce nouveau pouvoir incontesté […].”

Source :

– Le Journal du Médecin : “Le Gouvernement a créé la panique pour couvrir sa responsabilité“

https://www.lejournaldumedecin.com/magazine/le-gouvernement-a-cree-la-panique-pour-couvrir-sa-responsabilite/article-opinion-50337.html

- “Le confinement a été une arme de destruction massive” selon le Pr Jean-François Toussaint - covidinfos.net 17 septembre 2020

Le professeur Jean-François Toussaint était interrogé le 16 septembre sur Sud Radio. Il a notamment estimé qu’il n’y avait aucune “réaugmentation significative” des décès en Europe, que le confinement avait été une “arme de destruction massive” dont les conséquences n’étaient “pas assumées”, et a rappelé que la surmortalité en France liée à l’épidémie était désormais estimée à “12.000 à 15.000 décès par l’Institut national des études démographiques.”

“On voit une augmentation en Europe et en France de sujets positifs, je ne parle pas de malades, et cette pente est 15 fois plus faible qu’en mars. […] Le nombre de décès ne réaugmente pas de manière significative alors qu’on nous le promet tous les quinze jours depuis le début du mois d’avril. En France, la réaugmentation que l’on perçoit a une pente 300 fois inférieure à celle du tsunami du mois de mars…”

“[En Europe] nous sommes depuis début juillet entre 200 et 250 décès par jour sans augmentation, alors que nous étions à 5.000 décès mi-avril. Il n’y a aucune réaugmentation significative par rapport à l’ensemble des données européennes […]. Il y a eu une seule vague, celle de mars-avril qui a augmenté à peu près 115.000 décès surnuméraires par rapport à 2019 et 2018 sur l’ensemble des pays européens”.

“Sur les 30.000 décès [attribués au Covid] il faut voir que l’excès de mortalité en France n’est compris qu’entre 12.000 et 15.000 par rapport aux autres années. […] L’institut national des études démographiques divise par deux le nombre total de décès attribués actuellement au Covid, on n’est pas à 30.000 décès, on est à 12.000 à 15.000 décès supplémentaires.”

“En réalité le confinement est un instrument sociétal majeur, c’est la seule arme de destruction massive qui a été utlisée au 21ème siècle puisque c’est la seule qui a concerné quasiment la moitié de l’humanité. […] Les conséquences socio-économiques qui vont maintenant se dégager vont concerner non pas les conseillers qui sont assis sur leurs certitudes, mais les jeunes générations qui vont devroir ramer. […] Et quand on n’est pas capable d’assumer ces conséquences, alors on continue à faire croire à une crise sanitaire qui n’est plus présente.”

“Les effets du confinement qui effondre l’économie […] ont aussi retiré 30 à 40% des moyens de la recherche…”

Source :

– Sud Radio : Pr. Jean-François Toussaint au micro d’André Bercoff – Le face à face

https://www.sudradio.fr/societe/professeur-jean-francois-toussaint-nous-sommes-sur-la-phase-descendante-de-la-deuxieme-branche-du-m/

- Suède : le chercheur Kim Sneppen estime que l’épidémie « pourrait être terminée grâce à l’immunité acquise par la population» - covidinfos.net 20 septembre 2020

Selon un article paru dans l’edition Danoise du magazine The Local, les Suédois “pourraient bien en avoir terminé avec la pandémie grâce à l’immunité acquise par la population”. Extraits.

“[Kim Sneppen] l’un des plus éminent épidémiologiste Danois a déclaré que la pandémie de Covid-19 en Suède « pourrait être terminée » grâce à l’immunité acquise par la population, même si le pays reste loin du seuil d’immunité classique de 60%.

« Il y a des signes qui montrent que les Suédois ont acquis une certaine immunité qui, ajoutée à toutes les mesures qu’ils prennent pour empêcher la propagation du virus, est suffisante pour garder la maladie au plus bas », d’après Kim Sneppen, professeur de biocomplexité au Neils Bohr Institut de Copenhague.

Sneppen a cependant accordé que la Suède a souffert d’un taux de mortalité supérieur à celui du Danemark en Avril, Mai et Juin : « C’est le prix qu’ils ont payé. Mais le bon côté, c’est qu’ils pourraient bien en avoir terminé avec la pandémie. »

Une autre étude, publiée par Tom Britton à l’Université de Stockholm en Août, estime que, en supposant que les membres de la société les plus actifs et les plus sociables sont les premiers à être infectés, le seuil d’immunité collective pourrait être abaissé à 43% de la population, bien en-dessous des 60% ou 70% qui semble être le seuil classique en épidémiologie.

Enfin pour Søren Riis Paludan, professeur de biomédecine à l’Université Aarhus, de plus en plus d’éléments suggèrent que l’Agence de Santé Publique suédoise pourrait avoir eu raison d’avoir choisi une stratégie qui a permis un développement contrôlé de l’immunité.

Cela contraste avec la situation au Danemark, où l’épidémiologiste en chef Kåre Mølbak a mis en garde que le pays était toujours dans sa « première vague infectieuse », étant donné que la vague du printemps n’avait pas eu le temps de « se développer complètement car nous sommes entrés en confinement ». […]”

Source :

– TheLocal.dk : Sweden’s coronavirus pandemic ‘may be finished’: Danish researcher

https://www.thelocal.dk/20200919/swedens-pandemic-may-be-finished-danish-researcher

– Science : A mathematical model reveals the influence of population heterogeneity on herd immunity to SARS-CoV-2

https://science.sciencemag.org/content/369/6505/846




QUATRIEME PARTIE.

Bienvenue au gouvernement mondial. https://fr.weforum.org

Le Forum économique mondial.

LVOG - L'oligarchie financière expose sa stratégie. Lisez lentement, attentivement, c'est déroutant ou trompeur par endroits. Si vous rencontriez des problèmes d'interprétation, contactez-moi, j'essaierai de vous aider à y voir plus clair. Personnellement je raffole de ce genre de documents contenant autant de contrevérités, où ils exposent la manière dont ils perçoivent l'existence des peuples.

Par exemple, quand ils vantent les bienfaits de leur politique dans les pays dominés. J'y vis depuis un quart de siècle, en Inde, et ce bonheur qui consiste à profiter d'un tas de bonnes choses, de la nature, etc. quelle contenue a-t-il vraiment, c'est simple travailler comme un esclave 6j/7 12mois/12 sans aucun avantage ou aucune protection sociale, etc. quelle réussite, quel progrès, quel bonheur ! Quand on resitue chaque chose dans son contexte, là plus rien ne se présente comme ils le prétendent.

Définir la ligne directrice de leur stratégie et la combattre est un jeu d'enfant, alors pourquoi nos dirigeants s'emploient-ils à s'en détourner ou à nier son existence ? Parce qu'ils n'ont pas vraiment envie de les affronter, vous auriez une autre explication, laquelle ?

- A combien est estimée notre planète ? Voici la vraie valeur de la nature - latribune.fr 15 septembre 2020

ANALYSE. Les gouvernements et les entreprises ne parviennent pas à mesurer, à enregistrer ou à tenir compte du capital naturel ou de la justice sociale dans leurs budgets ou leurs bilans. Si les pays et les entreprises accordaient la priorité à la nature, ils pourraient générer 10.100 milliards de dollars de valeur commerciale annuelle et créer 395 millions d'emplois d'ici à la fin de 2030. Pour le Forum Economique Mondial (WEF), nous devons construire des économies qui fonctionnent pour les gens et pour la planète. Par Alexia Semov, Spécialiste, Rapport sur la Nouvelle Economie de la Nature, WEF et Rebecca King, Responsable Financements pour la Nature, WEF (*).

Le produit intérieur brut (PIB) mondial a quadruplé depuis 1970, permettant d'immenses progrès et sortant des milliards de personnes de la pauvreté. Cependant, la productivité matérielle, définie comme le PIB par rapport aux intrants matériels et énergétiques, stagne depuis le début du siècle, liant toute augmentation de la croissance économique à une augmentation équivalente de l'extraction des ressources.

Une économie mondiale alimentée par la consommation n'est pas durable. On estime que 23% du PIB mondial et 16% de l'emploi proviennent de l'extraction, de la production, de la fabrication et de la production d'énergie et de matériaux. Nos pratiques intenables s'étendent également à la production, à l'approvisionnement et à la consommation alimentaires. Des sols sains, par exemple, sont à la base de notre production alimentaire. Mais avec un tiers de nos sols dégradés, la sécurité alimentaire dans le monde est menacée. L'agriculture est responsable de plus de 80% de la déforestation et, dans le même temps, 35% des denrées alimentaires produites sont soit gaspillées, soit perdues. Les structures économiques et sociétales que nous avons mises en place poussent les frontières planétaires vers des points de basculement. Il est temps qu'elles changent.

Il ne sera pas facile de revenir en arrière, mais les gouvernements, les entreprises, les scientifiques, la société civile et les citoyens doivent s'unir pour prendre dès maintenant des mesures transformatrices.

Reconnaître les iniquités structurelles de notre système

La Banque mondiale estime que les bénéfices générés par l'exploitation des ressources non renouvelables - combustibles fossiles et minéraux - ainsi que par la surexploitation des forêts contribuent à eux seuls à 2,5% de la production économique mondiale, soit 2.200 milliards de dollars. Toutefois, dans les pays à faible revenu, cette part atteint 10,7% du PIB, certains pays comme la République du Congo devant consacrer 54,9% de leur PIB à l'extraction de ces ressources. Au lieu de déployer ces revenus de la nature pour développer des institutions et un capital humain à long terme, on constate souvent qu'ils sont liés à l'augmentation des conflits, à la corruption et à la faiblesse des démocraties.

Les pays à revenu élevé ont une consommation dont l'empreinte matérielle est plus de treize fois supérieure à celle des pays à faible revenu. Par exemple, en Afrique subsaharienne, 53% de la population n'a toujours pas accès à l'électricité. Cependant, les pays en développement supportent de manière disproportionnée les coûts de l'utilisation et de l'exploitation des ressources naturelles.

En ce qui concerne le changement climatique, ce sont les populations marginalisées et vulnérables qui bénéficient le moins de la grande accélération économique et qui souffriront le plus de ses conséquences.

Les pays à faibles émissions de carbone, comme le Tchad, souffrent déjà de pénuries alimentaires plus fréquentes et plus graves, de tempêtes et d'inondations qui menacent les moyens de subsistance de millions de personnes. L'injustice climatique frappe plus durement les pays du Sud, mais elle a également des répercussions sur les populations marginalisées des pays à revenu élevé. Lors de l'ouragan Katrina, plus de 80% des maisons perdues aux États-Unis appartenaient à des Noirs défavorisés.

Mais les gouvernements et les entreprises ne parviennent pas à mesurer, à enregistrer ou à tenir compte du capital naturel ou de la justice sociale dans leurs budgets ou leurs bilans. Construire un nouveau modèle économique qui soit positif pour la planète et les gens

Des acteurs progressistes du monde entier ont déjà commencé à prendre des mesures en faveur de l'objectif « zéro émission nette » et d'une économie positive pour la nature qui contribueraient à la construction de sociétés plus équitables et plus résistantes.

Pour construire ce nouveau modèle économique, il faut d'abord reconnaître et prendre en compte notre impact et notre dépendance vis-à-vis des actifs et des services de la nature dans le cadre plus large de l'économie mondiale et du développement durable. Des initiatives telles que la Task Force for Nature-related Financial Disclosures (TNFD) et le protocole sur le capital naturel visent à soutenir ce premier élément de base et gagnent déjà du terrain.

Deuxièmement, les gouvernements et les entreprises doivent également reconnaître l'énorme potentiel qu'offre le fait d'investir dans la nature plutôt que de l'épuiser. Le groupe d'action des PDG pour le "European Green Deal" est un bon exemple de l'engagement du secteur public et privé en faveur de ce type de modèle de croissance. Si les pays et les entreprises accordent la priorité à la nature, ils pourraient générer 10.100 milliards de dollars de valeur commerciale annuelle et créer 395 millions d'emplois d'ici à la fin de 2030.

Le Vietnam, par exemple, a investi 9 millions de dollars pour restaurer les mangroves le long des côtes de 166 communes ainsi que les digues, réduisant ainsi de plus de 15 millions de dollars le coût des dommages causés par les événements extrêmes. Les communautés côtières du Vietnam ont vu leur rendement par hectare de produits aquacoles augmenter de 210 à 789% suite aux investissements dans les mangroves.

Enfin, pour tenir une telle promesse, nous devons veiller à ce que la transition que nous entreprenons soit juste. Des investissements importants seront nécessaires, en particulier dans les communautés et les pays à faibles et moyens revenus, qui comprennent souvent les habitats les plus menacés. Ces pays connaissent déjà une forte contraction de leur production alors que les efforts de secours et de redressement dus à l'épidémie de COVID-19 exigent une augmentation massive des dépenses.

Pour éviter que les investissements favorables à la nature ne soient mis en veilleuse dans ces pays, il faudra des modèles et des instruments de financement innovants, tels que les "échanges dette-nature", en plus du soutien des gouvernements des pays à revenu élevé pour aider les communautés vulnérables dans leur transition vers un avenir meilleur.

Nous sommes à un moment critique pour l'avenir de l'humanité. Le moment est venu de traiter l'urgence écologique comme telle et de mobiliser la solidarité, le courage et le leadership nécessaires pour que ce changement se produise. Un chemin vers le zéro émission nette, positif pour la nature, est la seule option pour notre survie économique et planétaire.

(*) Par Alexia Semov, Spécialiste, Rapport sur la Nouvelle Economie de la Nature, Forum Economique Mondial et Rebecca King, Responsable Financements pour la Nature, Forum Economique Mondial.

La Banque mondiale.

LVOG - Les intentions affichées sont à l'exact opposé des objectifs poursuivis.

5 années de leadership climatique

Bilan du premier Plan d'action du Groupe de la Banque mondiale sur le changement climatique.

COVID-19 menace d'annuler les progrès du capital humain

La pandémie menace de réduire à néant les progrès durement obtenus ces dix dernières années par les pays les plus pauvres sur le plan de la santé et de l’éducation.

Le numérique et les systèmes agroalimentaires

La pandémie de COVID-19 doit être l’occasion d'exploiter la révolution numérique pour donner un nouveau cap au système alimentaire mondial.

RIPOSTE À LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS

Découvrez comment, avec nos partenaires, nous accélérons la réponse internationale afin d’aider les pays à gérer cette urgence sanitaire mondiale.

La NED/CIA

Carl Gershman, président du National Endowment for Democracy.

- "La bonne nouvelle pour les forces démocratiques est que malgré la guerre de l'information de plus en plus agressive des autocrates, les luttes mondiales de Hong Kong à la Biélorussie affirment la forte demande de droits démocratiques, d'inclusion et de liberté", a-t-il déclaré au webinaire de cette semaine sur A Battle of Narratives: Building Public Support for Renouveau démocratique.

https://www.demdigest.org/partners-of-first-resort-why-the-world-needs-a-united-west/

- «Partners of First Resort»: pourquoi le monde a besoin d’un Occident uni - September 18, 2020

Le résultat le plus probable pour un ordre mondial post-Covid dans la décennie à venir ne sera pas un ordre unipolaire ou une compétition bipolaire de style guerre froide, mais une multipolarité lâche, selon une nouvelle analyse de scénario du Center for Strategic and International Studies ( SCRS).

- Scénarios post-Covid pour l'ordre géopolitique: la démocratie est-elle suffisamment résiliente? - September 18, 2020

La pandémie Covid est une urgence multidimensionnelle qui nécessite les efforts de toutes les disciplines, selon une analyse récente:

- une crise de santé publique qui exige de nouveaux outils pour empêcher la propagation de cette maladie dévastatrice et pour effectuer des tests et des recherches efficaces;

- une crise médicale qui nécessite de nouvelles modalités de traitement pour guérir ceux qui en sont affligés;

- et, dans les mots récents d'une lettre ouverte * dont les signataires incluent l'ancienne secrétaire d'État américaine Madeleine Albright, une «crise politique qui menace l'avenir de la démocratie libérale».

Le COVID-19 est à la fois un défi et une opportunité pour la démocratie, suggèrent les observateurs.

Elle a fait ressortir certaines lacunes des démocraties européennes tout en offrant une chance de donner aux Européens une plus grande voix dans le processus décisionnel de l'UE - l'agenda de la `` Conférence sur l'avenir de l'Europe '' de cet automne, qui réunira les jeunes, la société civile et Institutions européennes.

La pandémie COVID-19 continue de tester différents éléments de la politique démocratique à travers le continent, note une coalition diversifiée de la société civile, d'organisations professionnelles et intergouvernementales. Dans le même temps, les changements induits par la pandémie ont également propulsé de nombreux efforts de réforme démocratique - dans la société civile, les forces d'opposition politique et la sphère numérique, ajoutent les groupes, appelant les institutions européennes à développer et à mettre en œuvre l'action pour la démocratie européenne.

Planifiez selon certaines lignes.

Un nouveau livre Euroscepticism and the Future of Europe - démontre que «l'euroscepticisme n'est pas quelque chose à craindre», note un observateur. «Il fait partie d'une démocratie européenne dynamique qui est suffisamment résiliente pour embrasser ceux qui critiquent la réalité du projet européen.»

Le nouveau «Plan d’action de l’homme sur les droits et la démocratie 2020-2024» de l’UE identifie les priorités pour une action extérieure concrète. En 2019, les projets de coopération en faveur de la démocratie se sont élevés à 147 millions d'euros dans 37 pays.

Un rapport récent, Global Democracy and COVID-19: Upgrading International Support, fournit des recommandations aux décideurs et à la société civile pour contrer les impacts négatifs du COVID-19 sur la démocratie, y compris la nécessité de renforcer les capacités de l'État et le rôle des institutions formelles dans les processus démocratiques ; soutenir les nouvelles initiatives civiques qui émergent à la suite de la pandémie; et de mettre un accent particulier, dans le cadre du programme de développement post-pandémique, sur la planification stratégique et l'analyse inclusive des expériences, afin de renforcer l'état de préparation de tous les pays du monde.

Les ressources en ligne d'International IDEA sur le COVID-19 et la démocratie, et en particulier son Global Monitor on COVID-19's Impact on Democracy and Human Rights, montrent qu'au moins 70 pays et territoires à travers le monde ont décidé de reporter les élections nationales et infranationales en raison du COVID -19. La pandémie a déclenché plusieurs réponses juridiques / constitutionnelles exceptionnelles de la part de gouvernements du monde entier alors qu'ils recherchent des mesures extraordinaires pour gérer la menace, affectant parfois les droits de l'homme et l'intégrité des processus démocratiques. September 18, 2020

https://www.demdigest.org/post-covid-scenarios-for-geopolitical-order/

Vous avez été Charlie, vous avez été Black Lives Mater (BLM). A quelles opérations avez-vous participé ? Réponse.

BLM est-il le masque derrière lequel opèrent les oligarques ? par Mike Whitney - Mondialisation.ca, 18 septembre 2020

Voici votre BLM Pop Quiz du jour : que nous disent, sur ce qui se passe en Amérique aujourd’hui, la «Critical Race Theory», «The 1619 Project» et l’avertissement de la Sécurité intérieure au sujet du «White Supremacist» ?

Ils soulignent le racisme profondément ancré qui façonne le comportement des Blancs

Ils suggèrent que le racisme systémique ne peut être vaincu en changeant simplement les attitudes et les lois

Ils nous alertent sur le fait que des problèmes non résolus poussent le pays vers une guerre raciale destructrice

Ils indiquent que de puissants agents – opérant à l’intérieur de l’État – incitent à la violence raciale pour écraser la majorité «populiste» émergente qui a mis Trump au pouvoir en 2016 et qui représente désormais une menace existentielle pour le plan mondialiste de transformation de l’Amérique en un pays de merde tyrannique digne du tiers-monde.

Laquelle de ces quatre déclarations explique le mieux ce qui se passe en Amérique aujourd’hui ?

Si vous avez choisissez la quatrième, vous avez raison. Nous ne vivons pas une flambée soudaine et explosive de violence et de chaos racial. Nous vivons une opération de type insurrectionnel soigneusement planifiée qui implique une myriade d’éléments logistiques, notamment de vastes émeutes à l’échelle nationale, des pillages et des incendies criminels, ainsi qu’une campagne idéologique extrêmement impressionnante. La « Critical Race Theory » [Théorie critique de la race], « The 1619 Project » [Le projet 1619] et l’avertissement de la Sécurité intérieure au sujet du « White Suprematisme » font autant partie de la guerre oligarchique contre l’Amérique que l’incendie de nos villes et le renversement de nos statues. Tous les trois relèvent de «l’idéologie», et tous les trois sont utilisés pour façonner les attitudes du public sur des questions liées à notre identité collective en tant qu’ «Américains».

Le plan est de submerger la population d’un déluge de désinformation sur leur histoire, leurs fondateurs et les menaces auxquelles ils sont confrontés, afin qu’ils acceptent avec soumission un nouvel ordre imposé par les technocrates et leurs laquais politiques. Cette guerre psychologique est peut-être plus importante que l’opération BLM qui ne fait que fournir le muscle pour mettre en œuvre la «réinitialisation» [Reset] transformatrice que les élites veulent imposer au pays. Le véritable défi est de changer les cœurs et les esprits d’une population indéfectiblement patriote et violemment résistante à tout élément subversif qui menace de nuire à son pays. Ainsi, alors que nous pouvons nous attendre à ce que cette campagne de saturation par la propagande se poursuive dans un avenir prévisible, nous ne nous attendons pas à ce que la stratégie réussisse en fin de compte. Finalement, l’Amérique sera toujours l’Amérique, incassable, inébranlable et qui ne s’excuse jamais.

Regardons de plus près ce qui se passe.

Le 4 septembre, le département de la Sécurité intérieure a publié un projet de rapport déclarant que «les suprématistes blancs présentent la menace terroriste la plus grave aux États-Unis». Selon un article de Politico :

« …les trois projets (versions du document) décrivent la menace des suprématistes blancs comme la menace terroriste intérieure la plus meurtrière pour les États-Unis », comme étant un danger immédiat plus grand que les groupes terroristes étrangers. John Cohen, qui a supervisé le département de lutte contre le terrorisme du Ministère de la Sécurité intérieure (DHS) de 2011 à 2014, a déclaré que la conclusion des projets n’était pas surprenante.

«Ce projet de document semble être cohérent avec les rapports antérieurs des services de renseignement du DHS, du FBI et d’autres sources de renseignement : que la menace terroriste la plus importante qui pèse sur les États-Unis aujourd’hui provient d’extrémistes violents motivés par la suprématie blanche et d’autres bonnes causes idéologiques », a-t-il dit….

«Les délinquants isolés et les petites cellules d’individus motivés par un large éventail de facteurs sociaux, idéologiques et personnels constitueront la principale menace terroriste pour les États-Unis», indique le projet.«Parmi ces groupes, nous estimons que les extrémistes suprématistes blancs… constitueront la menace la plus persistante et la plus meurtrière.» .. – Projet de document du DHS : les suprémacistes blancs sont la plus grande menace terroriste.

Ça n’a pas de sens. Les suprématistes blancs ne représentent pas le plus grand danger pour le pays, cette désignation va aux groupes de gauche qui ont saccagé plus de 2 000 villes américaines au cours des cent derniers jours. Les émeutes provoquées par Black Lives Matter et les Antifa ont détruit des centaines de petites entreprises, la vie et les moyens de subsistance de milliers de commerçants et de leurs employés, et laissé des villes entières en ruines. La destruction de Kenosha à elle seule dépasse de loin les dommages imputables aux activités de tous les groupes suprématistes blancs réunis.

Alors, pourquoi la sécurité intérieure a-t-elle fait cette affirmation ridicule et insupportable ? Pourquoi ont-ils choisi de donner la priorité aux suprématistes blancs comme «menace la plus persistante et la plus mortelle» alors que ce n’est clairement pas vrai ?

Il n’y a qu’une seule réponse : la politique.

Les fonctionnaires qui ont concocté cette escroquerie font avancer l’agenda de leurs vrais patrons, les maîtres marionnettistes oligarques qui ont étendu leurs tentacules dans tout l’État profond et les utilisent pour contraindre leurs bureaucrates laquais à faire ce qu’ils veulent. Dans ce cas, les gros bonnets invoquent la carte de la race – «suprématistes blancs» – pour détourner l’attention de leur sinistre programme de déstabilisation, leur pillage du Trésor américain pour leurs amis escrocs de Wall Street, leur diabolisation des nationalistes «America First» de la classe ouvrière – pour la plupart blancs, qui ont donné à Trump les élections de 2016 – et leur plan scandaleux pour établir le règne d’un seul parti en installant leur candidat marionnette, écervelé et confus, Joe Biden, comme président afin qu’il puisse exécuter ses directives dans le confort du bureau ovale. C’est ce qui se passe vraiment.

L’annonce du DHS permet aux agents de l’État de cibler les Américains légalement armés qui se rassemblent dans des milices protégées par le deuxième amendement. Désormais, l’étiquette de suprématiste blanc sera appliquée arbitrairement à des conservateurs qui ne présentent aucun danger pour la sécurité publique. Le projet de document doit être vu comme un avertissement à toute personne dont les convictions ne concordent pas avec la nouvelle orthodoxie libérale selon laquelle les Blancs sont intrinsèquement des racistes qui doivent demander pardon pour un système qu’ils n’ont pas créé, l’esclavage, et qui a été aboli depuis plus de cent cinquante ans.

Le « 1619 Project » est une autre partie de la guerre idéologique qui est menée contre le peuple américain. L’objectif du «Projet» est de convaincre les lecteurs que l’Amérique a été fondée par des hommes blancs odieux qui ont subjugué les Noirs pour accroître leur richesse et leur pouvoir. Selon le site World Socialist Web :

Les essais présentés dans le magazine sont organisés autour du principe central que toute l’histoire américaine est enracinée dans la haine raciale – en particulier, la haine incontrôlable des « Blancs » pour les « Noirs». Hannah-Jones écrit dans l’introduction de la série : «Le racisme anti-noir est dans l’ADN même de ce pays.»

C’est une conception fausse et dangereuse. L’ADN est une molécule chimique qui contient le code génétique des organismes vivants et détermine leurs caractéristiques physiques et leur développement… La référence d’Hannah-Jones à l’ADN fait partie d’une tendance croissante à dériver des antagonismes raciaux de processus biologiques innés… d’où vient ce racisme ? Il est ancré, affirme Hannah-Jones, dans l’ADN historique des «blancs» américains. Ainsi, il doit persister indépendamment de tout changement des conditions politiques ou économiques….

…. Nul doute que les auteurs des essais du Projet 1619 nieraient qu’ils prédisent une guerre raciale, et encore moins qu’ils justifient le fascisme. Mais les idées ont une logique ; et les auteurs assument la responsabilité des conclusions politiques et des conséquences de leurs arguments faux et erronés. – « Le projet 1619 du New York Times : une falsification raciste de l’histoire américaine et mondiale ».

De toute évidence, Hannah-Jones a été enrôlée par des riches mécènes qui avaient besoin d’un fondement idéologique pour justifier les émeutes massives de BLMqu’ils avaient déjà planifiées dans le cadre de leur révolution de couleur aux États-Unis. L’auteur – peut-être involontairement – a fourni le texte nécessaire pour justifier la destruction généralisée et le chaos perpétrés au nom de la «justice sociale».

Comme le dit Hannah-Jones, «le racisme anti-noir est dans l’ADN même de ce pays», c’est-à-dire qu’il ne peut pas être atténué ou réformé, seulement éradiqué en détruisant les symboles du patriarcat blanc – nos icônes, nos coutumes, nos traditions et notre histoire – en renversant le gouvernement actuel et en imposant un nouveau système qui reflète mieux les valeurs de la majorité non-blanche en plein essor. En termes simples, le projet 1619 crée la justification de troubles civils durables, d’une polarisation politique croissante et d’une révolution violente.

Tous ces objectifs coïncident commodément avec les objectifs des oligarques du Nouvel ordre mondial qui cherchent à remplacer le gouvernement constitutionnel américain par un super-État de multinationales dirigé par des monopolistes voraces et leurs alliés mondialistes. Ainsi, alors que le discours de Hannah-Jones ne fait rien pour améliorer les conditions des Noirs en Amérique, il rapproche le pays du rêve dystopique de la classe des parasites ; le Nirvana des multinationales.

Ensuite, il y a la “Critical Race Theory” qui fournit la cerise idéologique sur le gâteau. La théorie fait partie de la doctrine plus vaste du dogme anti-blanc qui est utilisé pour endoctriner les travailleurs. Les employés blancs sont soumis à des programmes de «rééducation» qui exigent leur participation comme condition préalable à un nouvel emploi. La première rébellion contre la théorie critique de la race a eu lieu à Sandia Labs, une agence de recherche financée par le gouvernement fédéral qui conçoit les armes nucléaires américaines. Selon le journaliste Christopher F. Rufo :

Les sénateurs @HawleyMO et @SecBrouillette ont lancé une enquête d’inspection générale, mais les dirigeants de Sandia n’ont fait qu’accélérer leur purge contre les conservateurs.

Les dirigeants de Sandia l’ont clairement dit : ils veulent imposer à leurs employés une théorie critique de la race, des formations séparées selon la race et des camps de rééducation des hommes blancs – et toute dissidence sera sévèrement punie. Les employés progressistes seront récompensés ; les employés conservateurs seront purgés.

Tout cela semble très bolchevique. Voici plus d’informations sur la façon dont cette programme toxique d’endoctrinement fonctionne :

Département du Trésor …

Le département du Trésor a organisé une session de formation disant aux employés que «pratiquement tous les Blancs contribuent au racisme» et exigeant que les membres du personnel blancs «luttent pour assumer leur racisme» et acceptent leur «parti pris inconscient, le privilège des Blancs et la fragilité des Blancs».

Administration nationale des coopératives de crédit

La NCUA a organisé une session pour 8 900 employés, affirmant que l’Amérique était «fondée sur le racisme» et «bâtie sur le dos des Noirs qui étaient réduites en esclavage». Fil Twitter ici et documents sources originaux ici.

Laboratoires nationaux Sandia

L’année dernière, Sandia National Labs, qui produit notre arsenal nucléaire, a organisé un camp de rééducation de trois jours pour les hommes blancs, leur apprenant à déconstruire leur «culture masculine blanche» et les forçant à écrire des lettres d’excuses aux femmes et aux personnes de couleur. Les dénonciateurs de l’intérieur des laboratoires me disent que la théorie critique de la race met maintenant en danger notre sécurité nationale. Fil Twitter ici et documents sources originaux ici.

Laboratoires nationaux d’Argonne

Argonne National Labs organise des formations appelant les employés blancs des laboratoires à admettre qu’ils «profitent du racisme» et à expier «la douleur et l’angoisse infligées aux Noirs». Fil Twitter ici.

Département de la Sécurité intérieure

Le ministère de la Sécurité intérieure a organisé une formation sur les «micro-agressions, les micro-iniquités et les micro-assauts», où les employés blancs ont été informés qu’ils avaient été «socialisés dans des rôles d’oppresseurs». Fil Twitter ici et documents sources originaux ici.

Le 4 septembre, Donald Trump a annoncé que son administration « interdirait aux agences fédérales de soumettre les employés du gouvernement à un séminaire sur la théorie critique de la race ou le privilège blanc … »

« Il est venu à l’attention du président que les agences du pouvoir exécutif ont dépensé des millions de dollars des contribuables, à ce jour, pour « former » les fonctionnaires à croire à la propagande anti-américaine qui divise », lit-on vendredi dans une note du directeur du bureau du budget et de la gestion, Russ Vought. « Ces types de ‘formations’ vont non seulement à l’encontre des croyances fondamentales que notre nation défend depuis sa création, mais elles engendrent également la division et le ressentiment au sein de la main-d’œuvre fédérale … Le président m’a demandé de veiller à ce que les agences fédérales cessent et s’abstiennent d’utiliser l’argent des contribuables pour financer ces sessions de formation à la propagande non américaines. »

Le lendemain, le 5 septembre, Trump a annoncé que le ministère de l’Éducation allait voir si le projet 1619 du New York Times Magazine était utilisé dans les programmes scolaires et – si c’était le cas – alors ces écoles ne seraient pas éligibles à un financement fédéral. Les experts conservateurs ont applaudi l’action de Trump comme un pas en avant dans les «guerres de la culture», mais c’est vraiment bien plus que cela. Trump déjoue en fait un effort des saboteurs nationaux qui continuent de chercher des moyens de saper la démocratie, de réduire les masses de la classe ouvrière à la pauvreté et au désespoir, et de transformer le pays en un avant-poste militaire despotique dirigé par des magnats vampires, des autocrates mercenaires et des élites faisant preuve de duplicité. Beaucoup de réflexion et d’efforts ont été consacrés à ce projet idéologique maléfique. Trump l’a fait dérailler d’un geste de la main. Ce n’est pas une mince affaire.

Conclusion

«Critical Race Theory», «The 1619 Project», et l’avertissement «White Supremacist»de la Sécurité intérieure représentent le fondement idéologique sur lequel la guerre contre l’Amérique est basée. Le dogme «anti-blanc» est le pendant des émeutes massives qui ont secoué le pays. Ces phénomènes sont comme cul et chemise. Ils sont conçus pour travailler ensemble vers le même objectif. Le but est de créer un écran de fumée «racial» qui dissimule la destruction vaste et volontaire de l’économie américaine, le transfert de richesse de 5 000 milliards de dollars à Wall Street et l’attaque féroce contre la classe ouvrière « populiste » émergente, principalement blanche, qui a élu Trump et qui rejette le plan mondialiste de transformer le monde en une zone de libre-échange sans frontières dirigée par des multinationales avides et leurs alliés du Nouvel ordre mondial.

C’est une guerre de classe travestie en une guerre de race. Les Américains devront regarder au-delà de la fumée et des miroirs pour repérer les élites qui se cachent dans l’ombre. C’est là que réside le cancer qui doit être éradiqué. Mondialisation.ca, 18 septembre 2020

LVOG - Bref, vous avez cru oeuvrer sincèrement contre le racisme, et en pratique vous l'avez encouragé, pas de bol ! Et c'est exactement le même phénomène qui se produit avec la xénophobie, la misogynie, l'homophobie, le terrorisme, le climat, le coronavirus, etc.

Il faut être naïf ou ignare au dernier degré pour croire que des campagnes initiées à l'échelle mondiale par les think tanks ou les idéologues, les médias ou les réseaux sociaux de Big Brother pourraient être bénéfiques à certaines couches des masses. Comment peut-on perdre de vue un instant les intentions néfastes qui les habitent envers tous les peuples ? Comment peut-on ainsi occulter leur nature réactionnaire et se prétendre révolutionnaire ou je ne sais quoi ? Quel délire, quelle supercherie ! J'ai connu ainsi des militants dits anticapitalistes qui ont déserté le mouvement ouvrier et basculé dans l'ongisme.

Le mécanisme est semblable à celui de leurs médicaments destinés à soigner une maladie, et qui parce qu'ils présentent tellement d'effets secondaires, ils endommageront d'autres organes ou perturberont d'autres fonctions biologiques, à l'arrivée vous développerez un cancer, la maladie de Parkinson ou d'Alzheimer ou d'autres maladies dégénératives du cerveau. J'ai plusieurs exemples épouvantables dans ma famille dans ce cas-là, je ne dois pas être le seul.


Le 26 septembre 2020

CAUSERIE ET INFOS

On ajoutera des documents en fin de journée ou demain matin.

Bon week-end à tous. Ici on bosse 6j/7 !

Allons-nous vers un affrontement direct et violent contre le régime ?

Je me suis demandé pendant encore combien de temps la population allait-elle supporter le règne de la terreur que Macron lui impose, avant que s'organisent des milices armées pour faire respecter notre droit à la liberté de mouvement, de rassemblement, de manifestation, de travailler, d'étudier, et de disposer de notre temps libre et de notre corps comme on l'entend ?

Même la désobéissance civile c'est quelque chose qui s'organise. Si on la pratique individuellement, on prend le risque d'être réprimé et sanctionné, il faut donc au minimum qu'une grande partie de la population y recourt simultanément et soit solidaire en cas de tentative d'intervention par la police.

Il est possible aussi de boycotter un grand nombre de produits ou services, à commencer par les médias institutionnels, faire une sorte de grève de la consommation à grande échelle, déserter les coiffeurs, les centres commerciaux et les supermarchés, cinémas, théâtres, salles de concert, tous les complexes sportifs, ne plus acheter de biens d'équipement, de vêtements, réduire au minimum ou supprimer totalement les désodorisants, la laque, les produits de maquillages, le parfum, etc. ce que je vous raconte là correspond en gros à mon mode de vie habituel et je m'en porte très bien, je ne me sens nullement frustré, bien au contraire.

Il est possible de privilégier des rapports plus sains et d'en tirer davantage de satisfaction, fréquenter davantage les membres de sa famille, ses amis, ses collègues de travail, ses voisins, leur prêter davantage attention, écouter de la musique, s'informer sur les sites Internet gratuits, regarder des films, des pièces de théâtre ou des documentaires sur le Net, télécharger et lire des livres gratuitement ou emprunter des livres à la bibliothèque municipale quand c'est possible, cuisiner au lieu d'aller au restaurant, etc. vous pourrez vous livrer à toutes ces activités sans avoir à porter de masque si vous évitez les lieux publics.

Au lieu de payer pour faire un peu de sport pour s'entretenir physiquement, faites de la marche, laissez votre bagnole ou deux-roues au parking, faites des balades à pied ou en vélo. Et profitez-en pour étudier ou acquérir de nouvelles connaissances, elles vous seront utiles pour la suite assurément. Pratiquez l'automédication et le bricolage autant que possible. Faites réparer votre bagnole ou vos biens d'équipement en panne par un parent ou un copain. Faites vous-même tout ce que vous pouvez si votre temps libre le permet, vous ferez des économies substantielles...

Moi ce que j'en dis, c'était juste des conseils d'ami, chacun est libre de vivre comme il l'entend. J'essaie d'éviter d'avoir un mode de vie qui soit en contradiction avec mes idées ou mon idéal, sinon à quoi bon, un peu de sérieux tout de même, ce qui n'empêche pas de se sentir bien ou de s'éclater, on a tous besoin d'une soupape

Quand vous aurez lu la dernière partie de cette causerie, vous ne pourrez plus dire que l'oligarchie n'a pas de stratégie, que vous ignoriez d'où venait la politique de Macron, de l'UE et de l'ensemble des institutions financières ou politiques internationales, la ligne éditorialiste des médias...

Vous avez dit liberticide, dictature, totalitarisme, fascisme : On y est ! Et on n'invente ou on n'exagère rien, jugez vous-même sur pièces.

32 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Voilà ce que m'inspire la situation actuelle.

- Après les oeillères...

N'hésitez pas à mordre votre maître, ôtez votre muselière !

- On achève bien les chevaux.

Les mutilations multiples d’équidés dans plus de la moitié des départements français sont malheureusement bien réelles.

Plusieurs attaques semblent liées par leur mode opératoire, les équidés présentant une oreille en moins.

Si le phénomène touche le pays depuis fin 2018, ces attaques se sont multipliées durant l’été. Les enquêteurs estiment qu’elles sont causées par plusieurs personnes aux motivations diverses: challenge, rite satanique, dérive sectaire, haine des équidés ou mimétisme.

Le 18 septembre, plusieurs fédérations du monde du cheval et la gendarmerie nationale ont signé un partenariat afin de «renforcer leurs efforts dans la prévention des attaques». Un numéro vert unique est disponible pour les propriétaires de chevaux. (Source : Sputnik France 22 septembre)

- On ne bouge pas, t'as compris, pas bouger !

Sinon vous avez la laisse électronique ou bracelet anti-rapprochement pour mieux vous surveiller.

Le bracelet anti-rapprochement fonctionne à l'aide d'une technologie GPS, il permet de géolocaliser la personne qui en est munie et de déclencher un système d'alerte si elle entre dans un périmètre interdit, les forces de l'ordre seront alertées.

Devant servir comme ils disent pour tenir éloignés les conjoints ou ex-conjoints violents, vous voyez tout de suite quel usage politique ou policier il pourrait en être fait...

- La menace et l'angoisse perpétuelles. Quelle société de dingues !

De la psychose on est passé au délire collectif qui relève d'un déséquilibre mental.

De la peur on est passé à l'angoisse paralysante.

- On a confondu conformisme ou mimétisme avec évolution de l'homme. Quelle gravissime erreur !

"Le conformisme se manifeste donc par l’infantilisation et l’indifférenciation des personnes, la dépolitisation des citoyens, et la standardisation des consommateurs, qui constituent autant de précieuses muselières pour paralyser les corps et amnésier les esprits. " (Le philosophe Michel Weber)

- Leur ennemi identifié :

“il faut laisser le virus circuler pour qu’il devienne un vaccin naturel.” a déclaré le Pr. Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg, était l’invité de Patrick Roger le 23 septembre dans l’émission “C’est à la une” sur Sud Radio.

- La médecine conventionnelle ou allopathique tue, mais à petit feu, c'est plus rentable...

"La plupart des personnes ne s’intéressent pas à leur santé et c’est pourquoi lorsqu’ils sont malades, ils n’ont d’autres recours que de s’adresser à la médecine conventionnelle qui ne les soigne pas vraiment mais au contraire les tue à petit feu.

La santé devient synonyme de traitement médical."

- Pourquoi il faut abolir le capitalisme ?

Pour réaliser l'expropriation des cliniques (privées par nature), des Ehpad privés, des trusts pharmaceutiques.

- Macronnerie.

Crise à LREM, patati et patata. Les adhérents de LREM ignoraient qu'ils étaient le produit d'un clonage, et que tous les clones sont interchangeables ou jetables.

- Alors le terroriste sanitaire d'Etat dégaina le terrorisme armé.

- Attaque à Paris : Castex affirme sa "volonté par tous les moyens de lutter contre le terrorisme" - Europe1 25 septembre 2020

- La voix de son maître Castex. Quand les syndicats sont devenus des auxiliaires du régime fascisant.

"On a un ministre de la Santé qui nous dit que la situation est globalement dégradée, un Premier ministre qui a dit hier soir que le virus circule d'autant plus dans un lieu confiné, donc par définition dans une salle de classe, et rien ne se passe. Il y a des mesures à prendre d'urgence pour sécuriser ce qui se passe dans les établissements scolaires et éviter la fermeture des établissements scolaires." Sophie Vénétitay générale adjointe du Snes-FSU. francetvinfo.fr 25 septembre 2020

- Comme quoi ils vous tuent à petit feu délibérément.

Qui a dit ?

- "Soyons clair: ces produits ne sont pas sans risque", a-t-il souligné. "Et il est toujours mieux de ne jamais commencer à fumer ou d'abandonner complètement le tabac et la nicotine."

Réponse : Le directeur général de Philip Morris (La Tribune25 septembre 2020)

Il avait en outre affirmé : "En fait, avec le cadre réglementaire adéquat et le soutien de la société civile, nous pensons que les ventes de cigarettes peuvent cesser d'ici 10 à 15 ans dans de nombreux pays". La Tribune25 septembre 2020

Je regrette un peu tard d'avoir commencé à fumer un jour, j'ai de gros problèmes respiratoires. Malheureusement, dans leur société pourrie on se trouve confronter dans la vie à tant de difficultés qu'on n'a pas toujours la volonté de résister à certaines tentations même quand on sait qu'elles sont nuisibles ou toxiques, dès lors qu'on en tire une satisfaction...

Tout est fait pour nous conduire à l'erreur, à faire preuve d'incohérence, on résiste bien à un tas de choses, mais on se laisse aller pour d'autres, parce qu'on ne peut pas vivre uniquement ou tout le temps dans la frustration de notre liberté ou de nos droits...




DEUXIEME PARTIE

Le conformisme et le corporatisme conduisent à s'accommoder du totalitarisme et de la précarité sociale.

Selon une étude de la revue International Archives of Occupational and Environmental Health, publiée en décembre 2014, la mortalité des chômeurs est trois fois supérieure à celle des travailleurs, ce qui représente 14 000 morts par an en France. Cette surmortalité s'expliquerait par des conditions sociales et de santé qui poussent au suicide et provoquent des maladies cardiovasculaires (risques plus élevés de 80 %).

Le chercheur à l'INSERM Pierre Meneton a fait une longue étude déterminant environ 14 000 décès dus au chômage. « On a imposé de rouler à 80 km/h pour éviter 400 morts par an — c'est très bien —, mais là on parle de 10 000 à 15 000 morts par an ! Et qu'est-ce qu'on fait ? », tempête en septembre 2018 Michel Debout, professeur de médecine légale et psychiatre, auteur du livre Le Traumatisme du chômage. Il ajoute qu'en trois ans, « l'Inspection générale des affaires sociales n'a rien fait ». wikipedia.org

Aux chiffres fournis concernant les catégories A, B, C, il faut ajouter les catégories D et E (formation, reclassement, arrêt maladie, congé maternité, contrats aidés, création d’entreprises, etc…), elles représentent environ 10% des autres catégories, donc entre 460.000 en 2012 et 580.000 en 2020. Il faut également ajouter les personnes en âge de travailler qui n’ont pas d’emploi, n’en recherchent pas et ne sont pas inscrite à « Pôle emploi » n’apparaissent dans aucun chiffre officiel du chômage, des personnes au RSA, des handicapés, des femmes ou des hommes au foyer, des personnes rayées des listes de Pôle emploi, des détenus, des SDF, des rentiers, etc. mouvementpourundeveloppementhumain.fr

En moyenne au deuxième trimestre 2020, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s'établit à 5 815 000. pole-emploi.org

Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A augmente de 23,2% au deuxième trimestre 2020, malgré une baisse en juin - francetvinfo.fr 27 juillet 2020

Au total, 4 407 300 personnes sont inscrites en catégorie A. Pour les catégories A, B, C ce nombre s’établit à 6 115 600. francetvinfo.fr 27 juillet 2020

En moyenne au quatrième trimestre 2019, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploie et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s'établit à 5 442 900. pole-emploi.org

En moyenne au quatrième trimestre 2018, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s'établit à 5 605 000. pole-emploi.org

Si l'on tient compte des catégories A, B et C, les chômeurs sont 5 400 000 en décembre 2015 et décembre 2016, et 5 600 000 en décembre 2017, soit une augmentation de près de 3,6 % du chômage en 2017.

Fin décembre 2014, en France métropolitaine, 5 218 200 personnes inscrites à Pôle emploi étaient tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi (5 521 200 en France y compris Dom). pole-emploi.org

Fin décembre 2013, en France métropolitaine, 4 898 100 personnes inscrites à Pôle emploi étaient tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi (5 194 100 en France y compris Dom). pole-emploi.org

Fin décembre 2012, en France métropolitaine, 4 627 600 personnes inscrites à Pôle emploi étaient tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi (4 917 500 en France y compris Dom). pole-emploi.org

LVOG - Ces données montrent qu'entre fin 2012 et le deuxième trimestre 2020, le chômage a augmenté de 20%, passant de 5 à 6 millions (catégories A, B, C).

En 2013, comme l’Ordonnance n°82-270 du 26 mars 1982 était encore vigueur, un salarié avait légalement le droit de prendre sa retraite à 60 ans. L’âge légal du départ à la retraite étant fixé à 60 ans, les 23,8 % de la population de 60 ans et plus représentaient 15,7 millions de retraités. Grâce à l’Ordonnance n°59-45 du 6 janvier 1959, l’instruction est obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans. Représentant 18,6 % de la population, les jeunes de moins de 16 ans comprenaient 12,2 millions d’inactifs. Puisque les 42,4 % de retraités et de jeunes de moins de 16 ans représentaient 27,9 millions de personnes, la population de 16 à 59 ans en âge de travailler comprenait 38 millions d’actifs, soit 57,6 %. Comme 8,1 % des jeunes en âge de travailler avaient choisi de poursuivre leurs études, 5,3 millions de lycéens et d’étudiants n’étaient pas disponibles pour rechercher un emploi. Étant donné que la population active comprenait 32,6 millions de personnes et que 25,5 millions exerçaient un emploi à temps plein, 7 millions d’actifs, soit 21,6 % de la population active n’avaient pas d’emploi ou avaient un emploi à temps partiel subi.

En reprenant les données de la DARES, j’ai pu identifier ces 7 millions d’actifs sans emploi. Ces actifs comprennent 5,5 millions de demandeurs d’emploi de catégorie A, B, C, D et E et 268 000 de catégorie A, B et C des DOM, soit 18 % de la population active. À ce chiffre, il faut ajouter 1,1 million d’actifs non identifiés de la France métropolitaine et des DOM, soit 3,5 % de la population active. Ces actifs comprennent, d’une part, des demandeurs d’emploi de catégories D et E des DOM, et, d’autre part, des personnes au RSA, des handicapés, des femmes ou des hommes au foyer, des personnes rayées des listes de Pôle emploi, des détenus, des SDF, des rentiers, etc… qui ne recherchent pas ou plus d’emploi et ne sont pas inscrit à Pôle emploi.

En 2013, il n’y avait donc pas 2,8 millions de chômeurs ou 5,5 millions de demandeurs d’emploi, mais 7 millions d’actifs sans emploi. Puisque les chiffres officiels de l’Insee ne prennent pas en compte tous les actifs, même si le gouvernement parvenait à créer 2,8 millions d’emplois, il resterait encore une armée de réserve de 4,2 millions d’actifs sans emploi. Si tous les chômeurs de catégorie A trouvaient un emploi, les salariés précaires à temps partiel « subi » de catégories B et C, les demandeurs d’emploi de catégorie D et E et les personnes au RSA non inscrites à Pôle emploi exerceraient toujours une pression sur les salariés en poste. mouvementpourundeveloppementhumain.fr

Tant que ce seront les peuples des pays en développement ou émergents qui écoperont...

- Le ciel s'éclaircit légèrement pour l'économie mondiale, d'après le FMI - La Tribune 24 septembre 2020

Les perspectives pour l'économie mondiale sont moins catastrophiques qu'estimé en juin, a annoncé ce jeudi le FMI, tout en prévenant que les pays n'étaient pas "au bout de leurs peines" causées par la pandémie de Covid-19.

"Les récentes données économiques suggèrent que les perspectives peuvent être un peu moins désastreuses qu'au moment de la mise à jour du WEO [rapport sur les estimations de croissance] le 24 juin", a déclaré le porte-parole de l'institution Gerry Rice lors d'un point presse virtuel.

"Certaines parties de l'économie mondiale commencent à passer le cap", a-t-il également commenté, sans toutefois dévoiler de chiffres précis puisque le Fonds monétaire international ne publiera ses prochaines prévisions actualisées que le 13 octobre. La Tribune 24 septembre 2020

- La pandémie pourrait détruire 245 millions d'emplois dans le monde - La Tribune 24 septembre 2020

La pandémie continue de faire des ravages sur le marché du travail. Selon la dernière livraison de l'Organisation internationale du travail (OIT) publiée mercredi 23 septembre, les revenus du travail à l'échelle globale ont baissé de 10,7% pendant les trois premiers trimestres de l'année. Cette perte sèche devrait se traduire par un accroissement de la pauvreté au travail alors que des populations entières subissent déjà de plein fouet les conséquences économiques et sanitaires de la pandémie.

L'OIT souligne aussi que "l'une des raisons qui explique ces augmentations estimées des pertes en heures travaillées réside dans le fait que, dans les pays en développement et dans les pays émergents, les travailleurs ont été beaucoup plus touchés que par les crises précédentes, notamment les personnes évoluant dans l'économie informelle". latribune.fr avec AFP 24 septembre 2020

LVOG - Ils ont oublié de préciser une chose importante. Dans les pays sous-développés, la conscience de peuples entiers toutes classes confondues est sous-développée, et cela se traduit par des réactions encore plus autoritaires de la part des autorités ou disproportionnés et imprévisibles de la part de la population largement en proie à l'obscurantisme et aux superstitions, facilement manipulable ou impressionnable.

Une femme d'une soixantaine d'années qui habitait à une centaine de mètres de chez moi et que je connaissais, s'est pendue avant-hier à la stupéfaction des habitants du village. Une jeune femme de 30 ans m'a encore parlé de suicide la semaine précédente, combien sont-ils ou sont-elles à y penser parce qu'ils savent qu'il n'existe aucun espoir que leur vie s'améliore dans l'avenir ?

Je vais vous avouer un truc terrible. Cela m'angoisse tellement parmi mes proches, que je me reprocherais s'ils passaient à l'acte d'en être en partie responsable, si je ne les aidais pas financièrement dans la mesure de mes modestes moyens, quitte à passer parfois pour un pigeon. Autant dire que je me fous éperdument de ce qu'on peut penser de moi, d'autant plus que par expérience j'ai appris que ceux qui m'adressaient ce genre de reproches, avaient plutôt une mentalité assez misérable ou peu enviable ou n'étaient pas les derniers à profiter des plus faibles ou à tirer profit de la situation si l'occasion se présentait à eux.

On peut traiter tous ces drames sur le plan collectif ou comme des produits injustes de la guerre de classes, mais ce n'est pas une raison pour y être indifférent sur le plan individuel. Nous sommes des penseurs, des êtres conscients, des militants pour le socialisme, des travailleurs, mais aussi tout simplement des hommes ou des femmes ayant une existence psychologique ou mentale qui est fragile, et qu'il faut préserver des pires menaces qui pèsent sur elle.

Totalitarisme. Prostitution en famille. Terrorisme d'Etat et de l'UE.

LVOG - Macron était de nouveau en couverture du magazine américain Time dans la semaine du 19 septembre 2020.

- Le « Time » place Anne Hidalgo parmi les 100 personnes les plus influentes au monde - LePoint.fr 23 septembre 2020

Al Gore, ancien vice-président des États-Unis, consacre un texte élogieux à la maire de Paris, qu'il qualifie de « leader visionnaire ». LePoint.fr 23 septembre 2020

- Terrorisme : "La bataille contre la bête immonde n'est pas gagnée", met en garde Gérald Darmanin - Franceinfo 23 septembre 2020

- Castex annonce une hausse de 8% du budget de la justice en 2021 - Europe1 25 septembre 2020

- Madrid en appelle à la police et l'armée face au Covid-19 - euronews 25 septembre 2020

Dans la région de Madrid la situation sanitaire est inquiétante. La capitale a fait appel à l'armée et la police pour lui venir en aide face à la propagation du virus. euronews 25 septembre 2020

- L'UE refuse de reconnaître Loukachenko comme président du Bélarus - euronews 25 septembre 2020

L'UE refuse de reconnaître Alexandre Loukachenko comme président du Bélarus, malgré sa "prestation de serment". euronews 25 septembre 2020

Ça ne s'invente pas !

La Tribune des travailleurs (POID) - Ça, une République ? Ça, une démocratie ? par Daniel Gluckstein 23 septembre 2020

LTT - Six élections législatives avaient lieu ce 20 septembre. Abstention record : de 80 % dans le Haut-Rhin à près de 90 % dans le Val-de-Marne. Qui osera jeter la pierre aux abstentionnistes ?

LVOG - La tentation était grande et vous vous êtes retenu de justesse, bravo ! Mais pas pour longtemps, après le populiste s'est laissé aller.

LTT - ...faire face à la pandémie

LVOG - Il sera le dernier à y croire encore ! Après il ne faut s'étonner de rien.

LTT - Faut-il s’étonner que la masse des électeurs ouvriers et jeunes se dise : à quoi bon voter ?

LVOG - Attendez, vous n'êtes pas au bout de vos découvertes.

LTT - Qui, dans ces conditions, osera parler de démocratie ?

LVOG - Il vient de rappeler que les institutions de la Ve République étaient antidémocratiques depuis 1958-62, après nous avoir soûlé pendant plus de 30 ans avec son discours appelant au retour à la démocratie, laquelle, quand, mystère !

LTT - Quant à la République…

LVOG - Il nous fait le même coup avec la République des copains et des coquins, la République bananière, la République des capitalistes, la République monarchique, quelle découverte, quelle perspicacité, quelle profondeur d'analyse ! Dans quelle intention ? Devinez, cautionner le régime en place, lisez, c'est écrit en toute lettre.

LTT - Le vote reprendra sens le jour où il permettra autre chose que de changer des têtes pour poursuivre la même politique dictée par la classe capitaliste.

LVOG - Vous ne rêvez pas, après nous avoir expliqué que sous la Ve République bonapartiste voter ne servait strictement à rien parce que le Président de la République concentrait tous les pouvoir, voilà que le vote servit un jour à quelque chose ("reprendra sens"), à quoi, mais on vient de vous le dire ! Un aveu magistral de collusion avec le régime. Il se devait de conclure par la sempiternelle et miraculeuse Assemblée constituante.

LTT - ...tout le pouvoir à l’Assemblée constituante, le pouvoir de tout décider, y compris de bouleverser l’ordre existant.

LVOG - Comme si, en admettant qu'elle présenterait un intérêt politique, elle ne serait pas plutôt le produit d'un soulèvement révolutionnaire des masses, au lieu d'être à l'origine dans ces conditions d'un hypothétique bouleversement de "l’ordre existant". Seuls des organismes politiques indépendant du régime fondés par les masses au cours d'une révolution pourraient servir leur lutte et leurs objectifs politiques, car comment imaginez un instant en dehors de ce processus révolutionnaire que cette Assemblée constituante pourrait disposer d'un quelconque pouvoir, dont celui de renverser l'ordre établi, c'est-à-dire, abolir le capitalisme, c'est une vue de l'esprit. Il y a un certain nombre de pays qui se sont dotés d'une Assemblée constituante (Tunisie, Venezuela notamment.) au cours des décennies antérieures, et dans lesquels se serait produit un changement de régime, absolument aucun.

LTT -Tout le pouvoir ? Tout décider ? Par exemple...

LVOG - Patati et patata, suivait une liste de revendications sociales que cette brave Assemblée constituante aurait le pouvoir de satisfaire, ainsi que "le pouvoir d’établir une véritable démocratie et une véritable République rompant avec la classe capitaliste, pour un peu on y croirait, ce discours était uniquement destiné à ceux qui avaient envie de l'entendre et qui vont applaudir à tout rompre ce tour d'illusionnisme. J'allais oublier de préciser que dans ce catalogue de revendications ne figurait pas l'abrogation des mesures liberticides imposées par Macron dans le cadre de la pandémie idéologique actuelle, on est ou on n'est pas indépendant du régime.

Populisme à la sauce mélenchonne.

Il a évoqué la "créolisation" de la société, qui tend à ramener tous les rapports à des facteurs que l'on croyait réservé aux colonisateurs ou aux racistes. Après les bons patrons, policiers, les bons africains, musulmans ou juifs ou je ne sais qui encore.

Moi je ne connais que des exploiteurs et des exploités, des oppresseurs et des opprimés, des hommes ayant développé un certain niveau de conscience suite au développement économique dans leur pays, et des hommes dont le niveau de conscience est demeuré sous-développé pour vivre dans un pays sous-développé sur le plan économique ou en être issus, car il ne suffit pas de quitter un pays pour du jour au lendemain acquérir un niveau de conscience comparable à celui de la moyenne des habitants du pays d'accueil, même toute une vie n'y suffit pas, sauf à se faire violence. Et ne parlons pas ici de conscience politique car plus personne ou presque ne pourrait suivre !

Prenez un groupe de personnes composées de toute une gamme d'éléments allant du très évolués à l'ultra arriérés, si vous voulez qu'ils partagent tous les mêmes principes ou valeurs ou qu'ils se conforment aux mêmes règles, qu'ils adoptent le même mode de vie ou de pensée en général, selon le principe du P. P. D. C. (Le plus petit dénominateur commun), forcément ce seront ceux accessibles à tous ou aux plus arriérés qui seront retenus ou qui s'imposeront, et en les imposant aux plus développés vous les forcerez à régresser ou ils prendront la forme d'une humiliation ou d'une frustration qui pourra à la longue se transformer en haine...

Dans les rapports qui existent dans un couple ou dans la société, c'est l'élément le plus évolué qui domine ou qui estime légitime de dominer l'autre, et il en ira ainsi tant que le règne de l'exploitation de l'homme par l'homme n'aura pas été dépassé en commençant par l'abolition du capitalisme, d'où la nécessité de ne porter aucun jugement hâtif ou définitif en la matière, tant que la situation demeure supportable ou ne dégénère pas. Quand on en a conscience, la domination ne se transforme pas forcément en oppression ou en tyrannie, elle ne présente pas que des inconvénients dans un couple ou dans les rapports qu'entretiennent différentes personnes, tout dépend aussi des intentions ou des sentiments qui les animent.

On peut aussi envisager une situation dans la société ou les principes, valeurs, règles retenues correspondent aux éléments les plus évolués et qu'ils soient imposés à tous, dans ce cas-là il arrivera que les plus arriérés les violent, et ils seront susceptibles d'être réprimandés ou marginalisés, ils seront traités de réactionnaires, d'archaïques, d'attardés mentaux, de cons et j'en passe et des meilleurs.

Ce facteur de "créolisation" a une connotation coloniale ou il est de nature racisme me semble-t-il. Moi qui vis avec des femmes indiennes ultra arriérées depuis plus de 30 ans, je peux témoigner que le facteur qui domine les rapports dans un tel couple, c'est le niveau de conscience ou de connaissance de chacun des deux protagonistes, de la même manière que dans n'importe quel couple d'ailleurs en général. J'ai aussi vécu 10 ans avec une française d'origine bretonne, et à ma connaissance si nous n'avons pas été confrontés exactement aux mêmes problèmes, en revanche nos rapports furent les mêmes.

C'est le type de régime en place qui détermine la nature sociale des rapports entre les membres de la communauté humaine, ce qu'ignore ici Mélenchon, dont le discours s'inscrit dans les pas de la pire réaction pour peu qu'on y prête attention.

Qui a dit dans la rubrique les cons ça osent tout ?

- « La plupart des gens, pardonnez-moi, sont cons. Une très grande majorité, au moins 80 %, pas 30. Sachez-le, ils sont d'un niveau éducatif très moyen, et de plus en plus moyen, et malheureusement ils sont bêtes. »

« On est face à des gens qui sont stupides. Et nous avons, nous, une information qu'il faut essayer de donner de la manière la plus simple ou simpliste possible. Je le dis souvent, n'oubliez pas qu'on s'adresse à des CE1 ou des CE2. »

Réponse : Lors d'une réunion privée, le 7 septembre, le président LR du département du Loir-et-Cher, Nicolas Perruchot. lepoint.fr 24 septembre 2020

LVOG - Les cons ça osent tout, c'est même à cela qu'on les reconnaît. On pourrait remplacer les cons par les ordures dans le cas de Nicolas Perruchot et ses semblables qui s'étendent de l'extrême droite à l'extrême gauche.

Monsieur Perruchot, on est toujours le con de quelqu'un, la preuve, l'information que vous vous targuez d'avoir et de relayer, relève davantage du déni de la réalité ou de la désinformation, de l'autocensure, de la mauvaise foi, du mensonge éhonté, puisque vous êtes en possession des mêmes informations que nous. Donc vous n'avez aucune légitimité pour parler ainsi des gens en général et vous feriez mieux de la fermer !




TROISIEME PARTIE

A défaut de deuxième vague, ils inventent la vague silencieuse.

- Covid-19 et séquelles neurologiques : des chercheurs évoquent "une vague silencieuse" - Yahoo 23 septembre 2020

Comment augmenter le nombre de morts dans les mois à venir. Mode d'emploi des Pieds nickellés de la science.

LVOG - Des études ont montré que les personnes vaccinées contre le virus de la grippe avaient plus de risque de mourir du Covid-19. Après l'enfermement à domicile, la muselière, le fichage ADN ou du génome, la piquouse, l'euthanasie de la civilisation humaine.

- Une co-infection au Covid-19 et à la grippe peut s'avérer mortel - Le HuffPost 23 septembre 2020

Covid-19 et grippe ne font pas bon ménage. Contracter les deux maladies simultanément peut même s’avérer mortel, alerte le Département de la Santé du Royaume-Uni.

“Il faut inciter les populations qui doivent normalement être vaccinées [contre la grippe] à se faire vacciner”, affirme auprès du HuffPost Brigitte Autran, chercheuse au Centre d’Immunologie et de Maladies infectieuses (CNRS/Sorbonne Université/Inserm) et membre du comité des vaccinations au ministère de la Santé.

La Haute Autorité de Santé (HAS) devrait lancer mi-octobre une campagne pour encourager les Français à se faire vacciner, selon Le Monde.

Des affirmations confirmées par une étude réalisée par Public Health England (PHE), une agence dépendant du département national de la santé et de la protection sociale. Selon ces travaux, les patients risquant de mourir de la grippe ont deux fois plus de chances de succomber au Covid-19. La co-infection par les deux maladies pourrait ainsi avoir des conséquences considérables sur les services de santé, ainsi que sur le taux de mortalité.

“Il existe une multitude de raisons pour lesquelles contracter le Covid-19 en même temps que la grippe est dangereux, a commenté le professeur Jonathan Van Tam, médecin-chef adjoint du Royaume-Uni, interrogé par Le HuffPost britannique. Les patients atteints par les deux pathologies doivent rester plus longtemps à l’hôpital, et ont un risque plus élevé de mourir.”

Les auteurs des travaux se veulent toutefois rassurants: la probabilité de contracter les deux pathologies demeure relativement faible. Sur les 19.256 individus testés dans le cadre de l’étude, seules 58 personnes étaient atteintes d’une co-infection. Le HuffPost 23 septembre 2020

LVOG - Infox, désinformation, car pourquoi devrions-nous garder à l'esprit que nous serions en proie à une terrible menace, parce qu'une "co-infection au Covid-19 et à la grippe peut s'avérer mortel", pour seulement 0,3% des personnes présentant une co-infection, c'est énorme !

Test impitoyable pour les populistes.

- Vidéo. Evolution de l’épidémie; Les mutants; Evaluation des tests PCR; L'HCQ dans le monde - IHU Marseille 22 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=Lvb7OSAKbfo&feature=emb_title

LVOG - Le Pr. Raoult fait partie de ceux qui alimentent la psychose collective à partir des tests. Et il nous soûle avec l'hydroxychloroquine dont il existe une dizaine de médicaments semblables ou qui entraînent également une baisse de la charge virale chez les personnes faiblement atteintes par le covid-19. Pourquoi n'en fait-il pas également la promotion ? Il a évoqué les antipaludéens en général, mais cela ne veut rien dire pour le quidam.

Comme si la "contamination contrôlée" actuelle ne suffisait pas ! Un aveu ?

Londres envisage des essais de contamination contrôlée pour les vaccins contre le COVID-19, selon FT - Reuters 24 septembre 2020

La Grande-Bretagne envisage de réaliser des essais cliniques avec des volontaires intentionnellement contaminés au coronavirus pour évaluer l'efficacité des candidats-vaccin, a rapporté mercredi le Financial Times citant des personnes impliquées dans le projet.

Des essais qualifiés de "contamination contrôlée" devraient commencer en janvier dans un centre de quarantaine de Londres, selon l'article, qui ajoute qu'environ 2.000 participants s'étaient inscrits par le moyen d'une association de sensibilisation basée aux Etats-Unis, 1Day Sooner.

"Nous travaillons avec des partenaires pour comprendre comment nous pourrions participer au développement possible d'un vaccin contre le COVID-19 testé par des essais de contamination contrôlée," a dit une porte-parole du gouvernement.

Selon le FT, ces essais seront financés par le gouvernement, bien que 1DaySooner a annoncé aussi le lancement d'une pétition pour financer avec des fonds publics un centre de confinement biologique assez grand pour héberger de 100 à 200 participants en quarantaine.

Open Orphan, une compagnie de services pharmaceutiques citée dans l'article du FT, a confirmé jeudi dans un communiqué être dans des négociations avancées avec Londres et d'autres partenaires pour réaliser dans ce pays un essai de contamination contrôlée.

"Il n'est pas du tout certain que ces discussions débouchent sur un nouveau contrat," a-t-il ajouté.

L'Imperial College London, cité dans le FT comme étant le responsable académique des essais, n'a pas confirmé l'information. Reuters 24 septembre 2020

LVOG - On rappellera notamment que l'Imperial College London est aussi financé par un certain Bill Bates...

Le totalitarisme exige le port du masque indéfiniment.

Même avec un vaccin contre le Covid-19, les masques seront toujours là en 2021 - Le HuffPost 26 septembre 2020

“Ces masques constituent nos outils de santé publique les plus importants et les plus efficaces, et je continue à encourager tous les Américains à les utiliser”, a récemment déclaré lors d’une audience au Sénat Robert Redfield, directeur des centres américains de contrôle et de prévention des maladies.

Il y a donc bien trop d’inconnues pour que nous envisagions de retirer nos masques. Tant que nous n’aurons pas plus de données, les spécialistes les considèrent comme indispensables. Voici pourquoi nous allons devoir les garder au moins jusqu’en 2021.

Si l’on en croit Kawsar Talaat, il est illusoire de penser que le vaccin protège totalement de l’infection. De ce fait, même les gens vaccinés risquent de contaminer leur entourage s’ils cessent de porter un masque.

“En théorie, un individu porteur du virus peut donc le transmettre à un autre, plus vulnérable, sans le savoir”, souligne-t-elle.

En outre, nous ne savons pas encore sur quel laps de temps s’étendra la protection, ou la longévité, du vaccin.

“Tant que nous n’avons pas ces informations, le masque reste crucial”, ajoute Kawsar Talaat.

Les gens se méfient du vaccin

Et puis il y a le problème de ceux que le vaccin laisse sceptiques.

L’incohérence des messages relatifs à la pandémie a mis à mal la confiance des gens à l’égard du système de santé américain. Un sondage révèle que les deux tiers de la population ne se feraient sans doute pas vacciner même s’ils le pouvaient. En France, divers sondages arrivent à des chiffres similaires, entre un tiers et 40% de Français plutôt opposés à première vue à une vaccination. Il va falloir beaucoup éduquer et rassurer pour les convaincre.

“Je pense que les gens vont avoir besoin de temps pour accepter ce vaccin. Ils préfèreront constater l’absence d’effets indésirables chez ceux qui se sont fait vacciner avant de s’y soumettre”, poursuit Kawsar Talaat.

Selon Monica Gandhi, spécialiste des maladies infectieuses et professeure de médecine à l’université de Californie, il est possible que nous n’ayons pas besoin de vacciner toute la population.

“Le virus ralentira de lui-même une fois que suffisamment de personnes seront vaccinées”, remarque-t-elle. Même si nous ne dépassons pas 60 à 70% de la population, cela nous aidera à réduire drastiquement le nombre de contaminations.

Les masques pourraient contribuer à combler l’écart. “Les modèles montrent que si 70 ou, mieux, 80% de la population portaient un masque, la transmission et les symptômes de la maladie cesseraient (…) presque totalement”, assure-t-elle.

En d’autres termes, il est préférable de conserver son masque. Mettre un terme à la transmission du virus demandera un effort collectif, qui passe par le port du masque, la distanciation physique et un vaccin efficace.

Alors, pendant combien de temps allons-nous devoir le porter? Au moins un an encore, d’après Monica Gandhi. “Je dirais que tous les Américains doivent le porter tant que nous n’avons pas ramené le taux de contamination à un niveau acceptable, extrêmement bas”, estime-t-elle.

Le vaccin va arriver et il sera utile, mais le masque reste notre meilleure arme, et pour un moment encore. Le HuffPost 26 septembre 2020

Totalitarisme. Quand la France est devenue un camp de rééducation forcée, masquée et en uniforme.

- Jean-Michel Blanquer réclame de venir "habillé d'une façon républicaine" à l'école - Le HuffPost 21 septembre 2020

Jean-Michel Blanquer "a eu raison d'insister sur le fait que dans un établissement scolaire, on ne vient pas habillé comme on irait à la plage", estime Bruno Bobkiewicz, secrétaire national du Syndicat national des personnels de direction de l'Education national (SNPDEN).

Bruno Bobkiewicz, proviseur de la cité scolaire Berlioz de Vincennes, dans le Val-de-Marne, estime qu'il y a "un travail éducatif à faire auprès des jeunes garçons et des jeunes filles sur ces questions, de toute évidence".

Tout ce qui pourrait provoquer des troubles est prohibé. Chaque établissement doit fixer la règle. Les décolletés, les jupes, les shorts courts, les vêtements troués, les piercings et les tatouages sont dans le collimateur.

Pour certains, l'uniforme serait la solution. francetvinfo.fr 22 septembre 2020

LVOG - Bruno Bobkiewicz, encore un intellectuel et dirigeant syndical qui se distingue par son crétinisme, son conformisme, osons, à l'ordre établi. Car la manière dont les gosses s'habillent pour aller à l'école révèle dans quel état d'esprit ils sont (ou leur comportement en général), comment ils perçoivent leurs rapports à une société injuste, inégalitaire, policière, liberticide, comment ils les vivent, ce qui peut aider l'enseignant à cerner leur personnalité afin d'ajuster au plus juste son attitude à leur égard, ce qui n'est pas toujours évident, en se passant de les juger, de les flatter, de les infantiliser ou de les culpabiliser.

L'enseignant ignore d'où vient le comportement d'un élève, et il ignore ce que ses parents en pensent. Un enseignant n'est ni un procureur, ni flic, ni un maton ou un bourreau !

Diplomé d'Etat pour enseigner dans les établissements scolaires publics, j'ai été prof durant une brève période de ma vie dans un lycée, j'ai donc été confronté à des provocations, des cas d'incivilité, d'indiscipline ou de violence que j'ai traités sur le champ sans faire preuve de laxisme ou de bienveillance mielleuse, et cela s'est bien passé.

Les gosses ressentent toute la violence et l'injustice que sécrète cette société essentiellement mercantile, et il arrive qu'ils l'expriment à l'école, parce qu'ils la perçoivent comme un espace de liberté, et non un camp de travail forcé comme les autorités tendent à la transformer.

Le prof doit se maîtriser et gérer cette situation judicieusement sans faire preuve de faiblesse ou d'autoritarisme, mais on doit admettre que dans certains cas extrêmes cela soit impossible.

Les parents de ces gosses font face à des difficultés de tout ordre dans leur existence quotidienne, ils n'ont pas généralement un niveau de conscience très développé, et pour leur imposer à tort ou à raison certaines obligations ou interdictions le législateur doit en passer par la menace du gendarme ou du tribunal, de l'amende ou de la prison. Dès lors on voit mal comment il pourrait en être autrement dans certains cas avec leurs enfants, même si c'est une décision difficile à prendre, il est préférable de sévir que de laisser se produire des actes qui peuvent avoir des conséquences d'une gravité exceptionnelle.

Par exemple, je relate mon expérience, un élève de 6è qui balance un compas entre les épaules des deux élèves assis devant lui, qui vient se planer dans leur table. Imaginez qu'à ce moment-là un de ces élèves ait bougé et se soit retourné, et qu'il ait pris le compas dans l'oeil, mes braves collègues (capésiens) plus diplômés que moi auraient exigé mon expulsion !

Dans une autre classe, deux jeunes filles de 12 ou 13 ans étaient habillées de manière à faire ressortir les formes de leur corps. A plusieurs reprises alors que je me situais à proximité d'elles, elles sont venues se frotter contre moi, me caressant un bras et lorsqu'elles étaient de bout, habillées avec un pantalon élastique très moulant elle me montraient leur derrière, l'air de dire je t'invite à y faire un petit tour. J'ai fait cesser ce petit jeu immédiatement de manière très sèche, et j'ai prévenu le proviseur à titre préventif. Jusqu'à la fin de ma vocation, elles ne me jetèrent plus que des regards de mépris, et je m'en accommodai non sans en rigoler intérieurement. C'était des gosses de riches, des enfants gâtées qui se croient tout permis.

Manipluation des consciences et fabrication du consentement à l'aide de sondages.

- Pour les Français, tenue correcte exigée ? - LePoint.fr 25 septembre 2020

Un sondage réalisé par l'Ifop souligne qu'une majorité de Français se prononceraient pour l'interdiction de certaines tenues dans l'enceinte scolaire. LePoint.fr 25 septembre 2020

Le néolibéralisme et l'extrême-centre, c'est le culte de la haine, l'expression de la violence aveugle décompléxée.

- «P*** en jupe»: elle est frappée par trois hommes à Strasbourg à cause de sa tenue - sputniknews.com 22 septembre 2020

Une étudiante en LEA (Langues étrangères appliquées) de 22 ans a été insultée et frappée au visage par trois délinquants le 18 septembre parce qu'elle portait une jupe, selon France Bleu. Elle a déposé plainte.

Alors qu’une étudiante de 22 ans rentrait chez elle à pied vendredi 18 septembre, elle a rencontré trois hommes d'une vingtaine d'années non loin de la médiathèque Malraux à Strasbourg. Ils l’ont agressée à cause de sa tenue.

Selon le témoignage de la jeune femme, l’un de ces trois individus a dit: «Regardez cette p*** en jupe».

«Je me permets de répondre "pardon". Là, ils me répondent "tu te tais salope et tu baisses les yeux". Deux m'attrapent chacun par un bras et le troisième me donne un coup de poing au visage. Et après, les trois s'enfuient».

Comme l’affirme l’étudiante, il y avait une quinzaine de témoins présents au moment des faits mais personne n’a réagi ni durant l'agression, ni après. De plus, personne n'a appelé les secours.

«C'est ce qui me révolte le plus dans l'histoire», s’exclame-t-elle.

La victime a grandi à Strasbourg et, selon elle, n'a jamais ressenti un tel climat malsain pour les jeunes femmes.

«C'est vraiment violent, sale, pervers. C'est toujours des remarques dans le dos. Il va lancer "t'es bonne" et va partir tout de suite. C'est toujours très lâche en fait. C'est ce que j'ai remarqué cet été, c'est l'été des lâches.» sputniknews.com 22 septembre 2020

- Un professeur juge le décolleté d'une collégienne de 14 ans provocant, elle se sent «humiliée» - sputniknews.com 24 septembre 2020

«Arrivée en cours de mathématiques, elle n’a pas eu le temps d’enlever sa veste que son professeur lui a fait remarquer, devant toute sa classe, que son décolleté était trop voyant et que sa tenue était donc vulgaire selon ses mots. Il ne comprenait d’ailleurs pas comment on avait pu la laisser entrer dans le collège», écrit sur Facebook le père de la jeune fille concernée, photo à l’appui. Celle-ci montre un vêtement plutôt traditionnel.

Indigné, le père souligne que sa fille «est rentrée humiliée, choquée». «Sa réflexion est l’expression du même mécanisme qui consiste à justifier un viol par la tenue vestimentaire de la victime», condamne-t-il.

«Aujourd’hui, je me retrouve avec une gamine qui ne pourra peut-être plus s’habiller sans avoir peur du regard des autres. Dans la construction d’une adolescente, ce n’est pas anodin», la jeune fille étant «très pudique», souligne-t-il.

«Rien ne doit être cédé au puritanisme», poursuit le père dans un autre post.

Le 23 septembre, le principal de l’établissement a convoqué le professeur en question qui s’est par la suite excusé auprès de l’élève. Mais «elle n’a pas accepté ces excuses», ponctue le père auprès du quotidien. Elle «m’a expliqué qu’il n’avait pas l’air d’être sincère».

Le principal a pour sa part jugé «disproportionnée» la réaction du père de famille «par rapport aux propos qui ont été tenus». sputniknews.com 24 septembre 2020

En complément

- Un mariage dégénère à Bron, après que la mairie a restreint la cérémonie - Le HuffPost 21 septembre 2020

“Inadmissible, intolérable!” Samedi 19 septembre, à Bron, en banlieue de Lyon, une cérémonie de mariage a provoqué de vives tensions après que le maire de la commune, Jérémie Bréaud, a décidé d’en restreindre l’accès aux seuls parents et témoins des mariés. Le HuffPost 21 septembre 2020

LVOG - Il les a fait gazer par les CRS, le salopard !

Quand ils singent les complotistes qu'ils dénoncent, à moins que ce ne soit leur état naturel.

- Le secrétaire général de l'Onu nomme «les cinq cavaliers de l’Apocalypse» qui menacent l’humanité - sputniknews.com 22 septembre 2020

Intervenant devant l’Assemblée générale, M.Guterres a rappelé qu’en janvier dernier il avait nommé «les quatre cavaliers de l’Apocalypse» qui mettaient en péril l’avenir de l’humanité, à savoir les tensions géopolitiques, la crise climatique, la méfiance et, enfin, «le côté obscur du monde numérique».

«Pourtant, le cinquième cavalier se cachait alors dans l’ombre. Depuis janvier, le cavalier de la pandémie de Covid galope dans le monde entier. Il a rejoint les quatre autres cavaliers et accru la force destructrice de chacun d’entre eux», a déclaré le chef de l’Onu.

Selon lui, la pandémie a davantage mis en évidence les «points faibles» du monde contemporain, dont les inégalités croissantes, la corruption et la menace d’une catastrophe climatique.

«La pandémie a aggravé la situation créée par tous ces facteurs d’injustice, porté un coup aux couches sociales les plus vulnérables et torpillé les progrès atteints au cours des précédentes décennies», a souligné M.Guterres. sputniknews.com 22 septembre 2020

LVOG - Difficile de trouver pire cynisme et inhumanisme. Il confirme que c'est bien délibérément qu'ils détruisent la civilisation humaine. C'est important de le préciser, car sinon on ne peut pas comprendre leur stratégie et on sombre dans les pires illusions qui soient sur leurs intentions à l'instar de l'ensemble des intellectuels.

Totalitarisme. Pandémie idéologique et coronabusiness. A qui profite le crime ?

- PODCAST Commerce, santé, paiements... Bienvenue dans une société du "sans contact" - La Tribune 22 septembre 2020

Le confinement a accéléré la transformation numérique de la société. Multiplication par 10 du recours au télétravail (de 3% à 30% de population active), explosion de la télémédecine (1 million de téléconsultations par semaine en avril 2020, contre 600.000 sur toute l'année 2019), recours accru aux livraisons à domicile, le numérique s'est imposé comme un recours important pour assurer une continuité d'activité dans la société.

Mais derrière ces résultats, se déroule une véritable polarisation du monde. Le numérique avait apporté une promesse de liberté et d'égalité; il ne fait au final que renforcer la domination des grandes entreprises sur les petites, accentuer la fracture territoriale au profit des grandes métropoles connectées, et affaiblir notre démocratie en favorisant la diffusion d'infox. (Si vous partagez leur constat et leurs conclusions, vous diffuserez de l'info, et si vous partagez leur constat mais vous proposez des conclusions diamétralement opposées aux leurs, vous diffuserez de l'infox, CQFD. - LVOG)

Ces problématiques sont au cœur du 10e talk Sapiens-La Tribune, avec comme invités :

Olivier Babeau, président fondateur de l'Institut Sapiens, professeur à l'université de Bordeaux, auteur de « le nouveau désordre numérique » aux éditions Buchet Chastel. François Momboisse, polytechnicien, président de la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance (FEVAD) et ancien membre du Conseil national du numérique.

Les débats sont animés par Philippe Mabille, directeur de la rédaction de La Tribune. La Tribune 22 septembre 2020

Leur humanisme est la politesse de l'Organisation Mafieuse des Salauds...

- Coronavirus : plus de 60 pays riches adhèrent au dispositif d'accès au vaccin de l'OMS - Europe1 22 septembre 2020

Plus de 60 pays riches, mais pas la Chine ni les Etats-Unis, ont adhéré au dispositif mis en place par l'OMS pour faciliter l'accès des pays pauvres au vaccin contre le coronavirus, selon la liste publiée lundi.

Alors que de nombreux pays ne disposent pas des ressources pour mettre au point leurs propres vaccins, l'Organisation mondiale de la santé a annoncé il y a quelques semaines le lancement, en collaboration notamment avec l'Alliance du vaccin (Gavi), d'un dispositif d'accès mondial au vaccin contre le Covid-19, connu sous le nom de COVAX (Covid-19 Vaccine Global Access; accès mondial au vaccin contre la Covid-19).

Par la suite, l'organisation a demandé fin août aux pays qui peuvent s'autofinancer de prendre des engagements fermes en adhérant à ce mécanisme avant le 18 septembre, et de procéder à des versements initiaux au plus tard le 9 octobre. Plus de 90 pays ou entités à revenu faible et moyen vont rejoindre le dispositif ainsi que 64 pays à revenu élevé, a indiqué l'OMS dans un communiqué. Ces derniers comprennent les engagements de la Commission européenne au nom des 27 Etats membres de l'UE plus la Norvège et l'Islande.

Les Etats-Unis, qui ont officiellement confirmé leur retrait de l'OMS début juillet, ne figurent pas sur la liste. Tout comme la Chine, où les premiers cas de coronavirus ont été détectés fin décembre 2019. Interrogé sur l'absence de la Chine, le directeur général de Gavi, Seth Berkley, s'est contenté d'indiquer en conférence de presse que "le but du Covax est de travailler avec tous les pays du monde", et que le dialogue allait se poursuivre avec Pékin.




QUATRIEME PARTIE.

Contre-propagande pour la liberté et la démocratie.

- “La crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire mais politique” selon le philosophe Michel Weber, qui dénonce un “projet totalitaire” - covidinfos.net 22 septembre 2020

“Covid-19(84) ou La vérité (politique) du mensonge sanitaire

L’événement Covid-19 a déjà fait couler beaucoup d’encre. Tout et son contraire ont été affirmé, parfois par les mêmes personnes, et au même moment. Démêler l’écheveau nécessite donc de simplifier le récit. Il y a bien sûr un prix à payer pour ce faire ; il est double. D’une part, il faut ignorer ce qui semble accessoire ; d’autre part, il importe de remettre l’événement dans son contexte historique, à la fois au sens perspectif (la crise culturelle qui remonte à 1968) et projectif (les conséquences politiques immédiates).

Pour l’essentiel, on trouvera ici une thèse — la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire mais politique, et aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement — soutenue par trois arguments :

1. La Covid-19 rend évidente la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques. Ils ont définitivement perdu toute légitimité et toute autorité.

2. Cette corruption reflète la crise du capitalisme financier, et la volonté des oligarques de détruire la démocratie représentative.

3. Le système politique qui se met en place est totalitaire, c’est-à-dire que toutes les facettes de la vie des citoyens seront pilotées par une structure idéologique mortifère ne différenciant plus les sphères privées et publiques. Ce totalitarisme sera fasciste et numérique.

Le grand récit qui nous est officiellement proposé est bien synthétisé par Wikipédia : “la maladie à coronavirus 2019, ou Covid-19, est une pandémie d’une maladie infectieuse émergente provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2. Elle apparaît le 17 novembre 2019 dans la ville de Wuhan, puis se propage dans le monde entier.”

Pour l’expliquer, on incrimine le pangolin et la barbarie diététique locale. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prononce l’état d’urgence de santé publique internationale le 30 janvier 2020. Elle déclare l’épidémie de Covid-19 « pandémique » le 11 mars 2020, et demande des mesures exceptionnelles (l’état d’urgence sanitaire) pour prévenir la saturation des services de soins intensifs et renforcer l’hygiène préventive (suppression des contacts physiques, des attroupements et des manifestations, ainsi que des déplacements et voyages non indispensables, promotion du lavage des mains, mise en application de quarantaine, etc.).

Il faudrait prendre le temps de (re)définir ce que sont une épidémie, une pandémie, un virus émergent, les conditions d’une zoonose (de transmission d’un pathogène entre espèces), un virus augmente´ (ou « Frankenvirus »), les « gains de fonction », les présupposés des modèles d’analyse de risque (à commencer par la distribution d’âge rectangulaire et stationnaire, et le mélange homogène de la population), etc. Et de rappeler qu’un virus ne peut jamais être à la fois très dangereux et très contagieux. Discussion compliquée par le fait que les experts peinent à argumenter entre eux et avec le grand public.

Par contre, on peut facilement constater la faillite complète de la gestion politique de la crise. Il existe des variations par pays, mais — la Chine mise à part —, ce sont les similitudes qui sont frappantes. Il pourra suffire d’explorer ici les trois facettes annoncées : la corruption des corps politique, médiatique et scientifique ; la crise du capitalisme biocidaire ; et le totalitarisme fasciste numérique.

1. La corruption des corps politique, médiatique et scientifique « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille ne la fera pas douter de la bonté de son Dieu ou du talent de son médecin. » (Proust 1913)

La gestion politique ubuesque de l’épidémie peut se définir par cinq traits.

1.1. L’impréparation : le gouvernement a été complètement pris au dépourvu, alors que la réaction de la Chine, connue de tous dès janvier, avait été prompte et radicale. En bref : les autorités chinoises ont réagi comme s’il s’agissait d’une attaque bactériologique, pas d’une épidémie saisonnière (et personne n’a jusqu’ici apprécié toutes les implications de cette réaction). De plus, les scénarios de pandémie sont très répandus depuis une douzaine d’années, surtout après la crise de 2009 (H1N1), et ce tout spécialement chez les militaires et dans les fondations privées, grâce au zèle de B. Gates, qui en a fait son unique cheval de bataille philanthropique depuis 2007. Cette impréparation est sans nul doute possible le résultat de cinquante ans de néo-libéralisme. Mais pas que.

1.2. L’incompétence des uns et l’expertise des autres : alors que la chose politique est abandonnée aux universitaires, ceux-ci ne sont que très rarement à la hauteur de la tâche qui leur est dévolue, et ils se contentent de travailler à la prolongation de leur mandat. Du reste, dans une technocratie qui ne dit pas son nom, on comprend la nécessité de s’en remettre aux experts, dont l’objectivité est proverbiale.

En fait, l’incompétence, c’est-à-dire l’absence d’expertise adéquate, ne devrait être aucunement problématique en politique : seul le sens commun devrait importer. S’il faut être un expert pour gouverner, nous ne sommes plus en démocratie (représentative), ou même en particratie (pas représentative), mais en technocratie. Le recours aux experts est donc intrinsèquement problématique. Il l’est d’autant plus qu’il suffit de connaître l’employeur de l’expert, ou son bailleur de fonds, pour déduire par avance la nature de ses conclusions.

1.3. La corruption : le niveau de corruption des acteurs politiques est un secret de polichinelle. On se permet même, dans notre monarchie bananière, de rire sous cape des malversations qui finissent par être médiatisées dans d’autres pays, de préférence situés plus au Sud. (Et cela vaut bien sûr pour le regard que la Flandre porte sur la Wallonie.)

On le sait depuis Platon (ce sont les Grecs qui ont créé la démocratie participative) et, plus particulièrement, depuis Machiavel (1532), le pouvoir est recherché par les corrompus en puissance, et exercé par des corrompus de fait. Du reste, répétons-le, les conclusions de l’expert se trouvent en germe dans la source de financement de ses études.

1.4. La coercition en toute illégalité. L’imbroglio gouvernemental et institutionnel belge a donné naissance à un fort curieux proto-totalitarisme : un gouvernement en affaire courante s’est octroyé les pouvoirs spéciaux pour euthanasier le législatif, instrumentaliser le judiciaire, et instaurer un État d’urgence (sanitaire) qui ne dit pas son nom. Les mesures et règlements liberticides ne se comptent plus — à commencer par le confinement dans les maisons de repos, la généralisation du confinement à domicile, la distanciation « sociale », le port du masque, etc.

Avec ce cortège de mesures liberticides, illégitimes, inefficaces et illégales, on obtient, de fait, la fin de l’État de droit. Le bien public est devenu privé, c’est-à-dire source de profit. Et l’intimité de la sphère privée est exposée au regard (parfois à la vindicte) de tous.

1.5. La communication, et particulièrement sa composante absurde, constitue la vraie signature de cette crise, durant laquelle les responsables politiques ont épuisé toutes les formes pathologiques du langage. Épinglons les suivantes :

- l’évitement : ignorer les objections, refuser le dialogue sous quelque forme que ce soit ;
- l’indignation : faire l’innocent, plaider la bonne foi, le dévouement au bien commun ;
- le mensonge pur et simple : le masque protège des virus et pas seulement des infections bactériennes ;
- le vaccin est efficace contre une maladie qui n’est pas immunisante ;
- la censure : refuser l’accès à une information ou à une conférence de presse ;
- la propagande : gonfler de vraies informations ;
- la désinformation : propager de fausses informations ;
- la sur-information : inonder d’informations (vraies, fausses, vraiment fausses, faussement vraies, etc.) ;
- l’usage de la contradiction : soutenir deux propositions contradictoires (le masque est inutile ; vous devez porter un masque) ;
- l’usage du paradoxe : utiliser des énoncés indécidables tels que : l’épidémie progresse sans empirer ; le monde d’après sera, et ne sera pas, différent ; seuls, ensemble ; soyez solidaires (dans la solitude) ; faites confiance aux responsables (!) ; informez-vous (dans les médias) ; vaccinons tout le monde pour contrôler la démographie ; imposons la monnaie digitale pour permettre aux pauvres d’épargner ; instaurons un gouvernement mondial démocratique ; ce que je vous dis est faux… Tout ceci ressort de l’effort pour rendre l’autre fou (Searles 1959).

En somme, la communication gouvernementale, servilement relayée par les médias et aiguillée (et endossée) par les experts en sciences médicales, a entretenu la peur et, surtout, l’angoisse. La peur est un sentiment naturel positif car mobilisateur : face à une menace palpable, l’individu réagit par la fuite ou le combat. Au contraire, l’angoisse est paralysante : on pressent une menace invisible, sans savoir comment réagir…

La communication absurde vise à stupéfier par l’angoisse, pas à perdre par la peur. Le dispositif est beaucoup plus efficace : la peur demande à être orientée afin qu’elle ne nuise pas au statu quo social ; l’angoisse paralyse les citoyens qui acceptent passivement tout ce qui leur est imposé.

La banqueroute politique signale en outre deux faillites supplémentaires : celle des médias et celle des experts scientifiques, et tout particulièrement des médecins. Les médias ont donné une ampleur inouïe à la communication absurde des politiques et des scientifiques. Il y a eu cooptation des uns par les autres. On peine à trouver un dissident dans la classe politique ; il en existe peu dans le monde scientifique et, s’ils s’expriment dans les médias, c’est généralement de manière très pondérée ; rares sont les journalistes qui ont fait leur travail, Alexandre Penasse constituant une notable exception.

Tous se sont couverts d’ignominie en participant, activement ou passivement, à cette mascarade ; tous devraient se voir sévèrement sanctionner.

2. La crise du capitalisme biocidaire

« C’est le commencement qui est le pire, puis le milieu, puis la fin ; à la fin, c’est la fin qui est le pire. » (Beckett 1953)

En amont de cette sclérose politique, médiatique et scientifique, on trouve l’influence des mondes bancaire et pharmaceutique, qui sont mus par deux perspectives : d’une part, la maximisation de leur emprise sur la société (et donc de leur chiffre d’affaire) ; d’autre part, la gestion de la crise globale systémique annoncée clairement dès 1968, et dont la chronologie a été esquissée en 1972 par Meadows et Kukla (l’épuisement des ressources, le dérèglement climatique, et la progression de la pollution finiront par avoir raison de la société de consommation et de la démocratie représentative).

2.1. De ce point de vue, l’utilisation de la stratégie du choc, identifiée par Klein en 2007 — instrumentaliser une crise réelle ou ressentie, naturelle ou culturelle, afin de modifier profondément l’espace social, tandis que celui-ci est paralysé — s’impose comme une évidence si on veut anticiper le chaos. Que la crise soit réelle, ou simplement mise en scène, que son origine soit naturelle, ou le produit d’une machination, ne change finalement pas grand chose au traumatisme et à la possibilité de son usage.

2.2. Par contre, il faut comprendre, une fois pour toutes, que les élus ne représentent pas le peuple, mais les oligarques et leurs multinationales. Le programme néolibéral est en effet très simple : dissoudre les États afin de privatiser toutes leurs fonctions. Tant qu’un gouvernement mondial (privatisé) n’est pas implémentable, on peut se contenter de transformer les États en coquilles vides. Ce programme ne constitue qu’une réappropriation du fascisme tel que Mussolini l’a défini, et mis en pratique, dès 1922-1925, à l’aide de la vision économique de Vilfredo Pareto : l’entreprise privée est, par définition, beaucoup plus efficace que l’État. Puis vinrent les politiques similaires des Nazis en 1934–1937, qui subirent une légère obsolescence de 1944 à 1972 (les « trente glorieuses »).

En fait, Hayek, le chantre du néolibéralisme, stipule très clairement, et ce dès 1944, la stratégie à adopter : seule une infiltration progressive des institutions civiles et politiques permettra la destruction de la menace communiste et de sa cinquième colonne. Vingt ans plus tard, le 30 septembre 1965, il arriva à ses fins avec le coup d’État de Suharto, qui coûta la vie à plus d’un million de communistes (certains parlent de 3 millions d’exécutions arbitraires), et permit une première mise en place du dispositif néolibéral. C’était en quelque sorte la répétition du renversement d’Allende par Pinochet, perpétré le 11 septembre 1973.

Le remplacement des gouvernements par des multinationales a été quantifié très tôt, e. a., par Stephen Hymer (1960) et David C. Korten (1995). Il est devenu évident avec la politique d’intégration européenne et, surtout, la multiplication des traités et autres partenariats transatlantiques de commerce et d’investissement (comme le « Transatlantic Trade and Investment Partnership »).

C’est du reste le fil rouge de la littérature « cyberpunk » dont le représentant le plus fameux est sans doute Ph. K. Dick (1955), qui a offert les scénarios de Blade Runner (1982), Total Recall (1990), Minority Report (2002), etc.

2.3. Tout se joue donc en 1968–1973 : le dévoilement des enjeux civilisationnels comme leur effacement, c’est-à-dire, d’une part, la prise de conscience de la crise globale qui ne pourrait être conjurée qu’en renonçant au capitalisme industriel et financier ; et, d’autre part, la reprise en main de l’agenda politique par ce dernier avec des figures telles que Suharto et Pinochet, puis M. Thatcher (1979), R. Reagan (1981) et Helmut Kohl (1982). (Il faudrait également mentionner le travail de sape de Pompidou, élu à la présidence française en 1969, et le bref espoir instillé par Sicco Mansholt à la Commission européenne en 1972–1973.)

3. Le totalitarisme fasciste numérique

« Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain… éternellement. » (Orwell 1949)

En amont de la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques, nous avons trouvé la crise du capitalisme financier et la volonté des oligarques de remodeler en profondeur la démocratie (représentative) de marché. En aval, nous découvrons, sans surprise, un nouveau totalitarisme fasciste, bien plus pernicieux que ses ancêtres du XXe siècle, car numérique.

3.1. « Totalitarisme » désigne le système politique qui prétend gérer toutes les dimensions de la vie citoyenne, publiques comme privées. Rien ne doit lui échapper, en droit comme en fait. Le « fascisme » est un totalitarisme de droite, c’est-à-dire conçu par, et pour, les oligarques.

3.2. L’histoire du totalitarisme fasciste est supposée connue ; elle se résume à la prise de pouvoir des oligarques industriels et financiers par l’intermédiaire d’un lampiste plus ou moins allumé (ce qui permet aux commanditaires de tirer leur épingle du jeu si l’affaire tourne mal). À partir de 1921, la droite extrême progresse partout en Europe : en Italie (Mussolini accède au pouvoir en 1922), en France (avec la création en 1922 de la Synarchie, suivie plus tard par la Cagoule), en Allemagne (le Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei, en gestation depuis 1918, s’organise en 1920 ; Hitler écrit Mein Kampf en 1924 ; il est publié en 1925), Salazar assied sa dictature en 1932–1933, et Franco pilote la guerre civile déjà en 1934. De 1967 à 1974, il y aura aussi la dictature des colonels en Grèce. (Voir, par exemple, Lacroix-Riz 2006)

3.3. Nous sommes dans une configuration totalitaire depuis déjà de longues années, c’est-à-dire qu’un système, qu’une idéologie, prétend gérer tous les aspects de la vie : la technoscience constitue un tel système ; le capitalisme, renommé néolibéralisme, est un tel système ; la globalisation est un tel système ; l’État d’urgence permanent qui s’enracine dans la guerre contre la terreur datant de 2001 en est la dernière péripétie.

La vraie-fausse crise sanitaire de 2020 est le prétexte (au sens de N. Klein) utilisé pour dépouiller définitivement les peuples des acquis sociaux et politiques concédés après 1945. Elle touche donc différemment les pays selon qu’ils sont développés ou pas. Dans les pays riches, il s’agit de détruire les acquis sociaux et de mettre la population au pas ; dans les pays pauvres, c’est une logique néocoloniale qui est à l’œuvre. C’est ainsi, alors que l’épidémie saisonnière est finie, que des règlements (de plus en plus) absurdes prolongent la terreur sécuritaire.

3.4. Au nombre des outils pour comprendre les enjeux du totalitarisme numérique, on trouve les concepts de conformisme et d’atomisme, qui s’imposent dès les débuts de la révolution industrielle et de la démocratie représentative, et sont esquissés chez Saint-Simon (1803) et Tocqueville (1835).

L’ère thermo-industrielle est celle du machinisme, c’est-à-dire de la standardisation des produits et de l’organisation scientifique du travail. Alors que l’outil dépend de la morphologie humaine, la machine demande à l’ouvrier de s’adapter à son mécanisme. Le pouvoir de la machine est ainsi le pouvoir du conformisme : en amont, l’ouvrier doit être calibré, dompté, géré comme une ressource ; et, en aval, le consommateur doit accepter l’uniformisation de ses habitudes de vie, de ses goûts alimentaires, de ses vêtements, de ses idées, de ses désirs, etc. Les rendements d’échelle sont à la mesure des espérances de quelques-uns, et du désespoir de tous les autres.

Le conformisme se manifeste donc par l’infantilisation et l’indifférenciation des personnes, la dépolitisation des citoyens, et la standardisation des consommateurs, qui constituent autant de précieuses muselières pour paralyser les corps et amnésier les esprits.

D’autre part, l’atomisme constitue le fondement du libéralisme (Mandeville 1714, avant Smith 1776) ; il équivaut à briser toutes les solidarités, et à entretenir la guerre de tous contre tous, parfois appelée compétitivité.

En scellant l’alliance entre capitalisme et technoscience, la révolution industrielle établit les deux principes fondamentaux du capitalisme mondialisé, l’atomisation des individus sous prétexte de les libérer, et leur conformisation afin de machiner le meilleur des mondes possibles. En d’autres termes, les conditions de possibilité de la culture, qui sont celles de la vie authentique, sont deux fois niées. D’une part, le conformisme se substitue à l’individuation (à ne pas confondre avec l’individualisme) ; d’autre part, l’atomisme remplace la solidarité. Or, sans solidarité, il est impossible de s’individuer, d’endosser son destin, de dépasser les contingences de sa naissance ; et, sans individuation, la solidarité reste lettre morte.

Cette double négation est toutefois rendue acceptable par une inversion spectaculaire (aussi au sens de Guy Debord) des pôles privé et public : on prend l’atomisme (c’est-à-dire l’absence de solidarité) pour de la liberté, et le conformisme (c’est-à-dire l’absence de projet personnel) pour de la solidarité (tout le monde désire la même chose). On obtient, en somme, la guerre des clones, de ceux qui montrent leurs derrières (calibrés) en public, et parlent de politique (néolibérale) en privé. Les conséquences sont radicales : infantilisation, déculturation, dépolitisation, dissociété, Terreur (1792, très précisément au moment où Sade écrit), c’est-à-dire la paralysie par l’angoisse.

3.5. Le passage au totalitarisme numérique peut se comprendre comme la transformation des sociétés disciplinaires (Foucault 1976) en sociétés du contrôle (Deleuze 1990).

L’ère thermo-industrielle est celle du machinisme et des institutions disciplinaires qui lui sont propres : famille, école, église, caserne, usine, hôpital, asile d’aliénés, prison, maison de repos. Tous (ou la plupart de) ces lieux d’enfermement physique (mais aussi mental) peuvent être avantageusement remplacés par un dispositif plus souple de contrôle mental (mais aussi physique) : le numérique. La technologie — et tout particulièrement les dispositifs associés à la 5G — permet maintenant une surveillance panoptique totale : traçage de tout le trafic internet (« big data ») et des déplacements physiques (géolocalisation), disparition des transactions en liquide, assignation à résidence (te´le´travail, cyber-enseignement, achats en ligne, te´le´consultations) etc.

Le totalitarisme numérique pousse encore plus loin la synergie entre conformisme et atomisme en remplaçant tout ce qui restait d’humain — et donc de corporel, d’immédiat, de qualitatif et d’aléatoire — dans le machinisme par le virtuel, le médiat, le quantitatif et l’algorithmiquement nécessaire. Il n’y a pas plus conforme que celui qui dépend entièrement du numérique pour vivre ; il n’y a pas plus atomisé non plus. Du reste, la psychose hygiéniste institue un nouveau puritanisme qui exige une vie sans contact. Après avoir disposé de la chair du monde, le technocapitalisme entend exploiter sans complexes la chair humaine (Weber 2017 & 2018).

4. En conclusion, il faut bien comprendre que la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire mais politique, et qu’aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement. Par contre, elle met en évidence la corruption complète du corps politique et de ses factotums médiatiques et scientifiques, et, plus particulièrement, leurs allégeances envers les puissances de l’argent et leur projet totalitaire. La crise constitue à la fois le symptôme de la faillite de la démocratie représentative, et le prodrome du retour d’une gouvernance uniquement respectueuse des droits du capital. Plus encore qu’Orwell (1949), c’est Terry Gilliam (1985) qui vient à l’esprit de celui qui chercherait à contraster le cauchemar politique avec l’absurdité fictionnelle.

Ces évidences se retrouvent très précisément dans l’intervention d’A. Penasse (qui a fait, après tout, preuve d’une grande retenue), lui qui demandait, 15 avril 2020, « quelle légitimité démocratique il y a à prendre certaines décisions quand la plupart des membres qui décident et réfléchissent font partie des multinationales et du monde de la finance ? »

Le capitalisme est kleptocrate et totalitaire par essence. L’évolution qui se dessine dans la gestion de la crise Covid-19 dévoile la corruption de tous les acteurs médiatisés et laisse entrevoir ceux qui, jusqu’ici, restaient dans l’ombre. Si la population reste confinée dans la terreur, rien ne viendra s’opposer au régime le plus barbare de tous les temps. Si elle se réveille, non seulement le règne de l’angoisse sera révoqué, mais il ne sera plus possible d’agir par la force non plus (les « gardiens de l’ordre » sont toujours issus du peuple, et leur servilité n’est jamais acquise une fois pour toutes). La dernière option des oligarques sera alors, comme d’habitude, le génocide. Toutes les guerres du XXe siècle étaient d’abord des guerres menées par l’aristocratie et la haute bourgeoisie contre le bas peuple. Mais l’irruption d’une vraie pandémie ne serait bien sûr pas à exclure…

Reste la question de savoir pourquoi les citoyens acceptent de se faire maltraiter par les « responsables politiques ». Pourquoi acceptent-il de subir un pouvoir pervers ? La réponse se trouve dans l’analyse de la relation que le prédateur impose à sa proie. Précisons en deux mots les modalités qui ont été identifiées dans le cadre de l’inceste, de la logique concentrationnaire, ou de ce qui a été appelé tardivement (1973) le syndrome de Stockholm.

Il existe un lien vital entre le prédateur et sa proie : c’est le prédateur qui nourrit la proie, c’est lui qui lui offre un récit pour cadrer son malheur, c’est encore lui qui, parfois, fait un geste qui semble bienveillant. La proie refuse donc instinctivement d’ouvrir les yeux sur le mécanisme prédateur. Ferenczi (1932) l’a bien compris : l’enfant traumatisé, physiquement et psychiquement plus faible, se trouvant sans défense, n’a d’autre recours que de s’identifier à l’agresseur, de se soumettre à ses attentes ou à ses lubies, voire de les prévenir, et finalement y trouver même une certaine satisfaction. Aimer son bourreau, dont on dépend physiquement, symboliquement, et affectivement, devient une condition de survie, mais aussi un piège psychotique.

Dans le cas qui nous occupe : comme cette servitude volontaire offre les avantages que l’on peut se payer, et les espoirs que l’on veut bien conserver, la plupart des citoyens croient pouvoir continuer, après le « confinement », à confondre rêve et réalité. Il leur faudra plutôt choisir entre rêve et cauchemar.

À chacun sa conclusion, la mienne est empruntée à Gramsci : je suis pessimiste avec l’intelligence, mais optimiste par la volonté. Pessimiste car, dans le cas qui nous occupe, on assiste simplement à une accélération de la tendance totalitaire d’une société technocratique dans le cadre d’une crise globale systémique identifiée dès 1968. Si on se demande dans quelle direction ce mouvement va se faire, il suffit de questionner le pilote : le bref interlude soviétique mis à part, la technique a toujours été pilotée par les capitalistes (la « grande bourgeoisie »). Historiquement, un totalitarisme capitaliste s’appelle fasciste ou, mieux, nazi. (Hitler n’était pas Mussolini.) Optimiste car, comme l’écrivait V. Hugo avant Che Guevara : « Rien n’est plus imminent que l’impossible » (1862).”

Source et références :

– Page Facebook de Michel Weber »

https://www.facebook.com/michel.weber.792740/posts/201925018016519

– À propos de Michel Weber »

https://chromatika.academia.edu/MichelWeber

LVOG - Retour en arrière.

Dans De quelle révolution avons-nous besoin ? publié en 2013, il affirmait que "la civilisation occidentale mondialisée a atteint un point de rupture qui ne tardera plus à se manifester sous une forme insurrectionnelle, à moins que des réformes radicales soient promptement mises en oeuvre. Il en propose principalement trois : déprofessionnaliser la politique, recentrer la société sur les communautés et restaurer le droit régalien de battre monnaie." S'est-il radicalisé depuis ?

- Nicolas Bedos appelle à "vivre quitte à mourir" et ça ne passe pas - Le HuffPost 24 septembre 2020

- "Le confinement a tué mon père" : le cri de colère d'Elie Semoun bouleverse les internautes - programme-tv.net 24 septembre 2020

"Il est très douloureux pour moi de l'écrire : mais le confinement a tué mon père. (...) Je dois rendre publique que l'arrêt obligatoire de nos visites à son Ephad durant deux mois a accéléré son déclin, déjà fragilisé par Alzheimer. C'est quasi criminel d'empêcher nos anciens d'être entourés de l'amour de leurs proches". programme-tv.net 24 septembre 2020

- "Je ne fermerai pas !" : à Marseille, Véran face à la grogne des restaurateurs - europe1.fr 25 septembre 2020

Un vent de désobéissance civile.

L'adjointe à la maire de Marseille a même prévenu sur Twitter : "si cette décision est maintenue, la ville de Marseille n'apportera pas son concours pour mettre en place les fermetures."

"On ne se laissera pas crever, il faut se battre ! Je ne fermerai pas, je rentre en résistance", confirme au micro d'Europe 1 Céline, restauratrice venue d'Aubagne pour manifester. "On est très discret, on est plutôt les enfants sages de cette société mais là, trop c'est trop." Rester ouvert coûte que coûte, voilà la stratégie de certains restaurateurs. Mais selon Céline, s'ils en viennent à une telle extrémité, c'est qu'ils n'ont pas le choix. "C'est soit je meurs, soit je meurs ! Mais je préfère mourir debout ! J'ai cinq enfants, une famille à nourrir, je ne peux pas laisser les choses comme ça." europe1.fr 25 septembre 2020

Témoignage du docteur Marcellin Meunier, ancien médecin coordinateur en Ehpad en Vendée.

J'ai vu tant de gens qui sont tombés dans la déprime, qui ont présenté des complications psychologiques et physiques en rapport avec le déconfinement. C'est une grande tristesse ce qui se passe en France ces dernières semaines.

Il y a certains Ehpad qui se sont transformés en établissements pénitentiaires. J'ai des patients qui ont survécu, dans trois mètres sur trois mètres pendant six semaines, sans sortir, sans aller dans les espaces communs. Qu'est-ce qu'ils ont fait, ces gens à qui on appliquerait cette sanction, cette punition alors qu'ils ne peuvent rien dire ? Je trouve ça hautement indigne.

Il y a possibilité de ne pas transformer à nouveau les Ehpad en prison. Ce n'est pas possible. Il faut que les familles des résidents en France se révoltent. Traiter leurs anciens de cette façon avec Covid ou sans Covid, c'est indigne. Ça n'est pas possible. On n'a rien à leur reprocher. On ne doit pas leur infliger de telles peines. francetvinfo.fr 23 septembre 2020

LVOG - A la fin de cet article, pour éviter à nouveau cette situation monstrueuse de cruauté, il en appelait à monsieur le Président !

- “Il faut laisser le virus circuler, cela crée un vaccin naturel” selon le professeur Gayet - covidinfos.net 24 septembre 2020

Le professeur Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg, était l’invité de Patrick Roger le 23 septembre dans l’émission “C’est à la une” sur Sud Radio. Extraits.

« De façon générale, on peut affirmer que la Covid-19 est une maladie immunisante. La seule inconnue est la durée de l’immunité, mais elle est sans doute d’au moins six mois. Pour bon nombre de maladies, elle est de une année voire plus. Il semblerait qu’elle immunise d’autant mieux que les sujets ont fait une forme symptomatique un peu sévère. »

« On sait très bien que les jeunes enfants et adolescents, transmettent une charge virale peu importante, et sont peu contagieux, à la différence des adultes jeunes et d’âge mur. »

Selon le Pr. Gayet, “il faut laisser le virus circuler pour qu’il devienne un vaccin naturel.”

« Je suis pour une circulation douce. Il ne faut pas laisser le virus circuler sans aucune mesure de prévention, il faut prendre des mesures préventives. Elles sont en place. Mais il faut que le virus circule surtout auprès de jeunes, car ce sont eux qui le transmettent le plus. Ils sont en première ligne de la chaîne épidémiologique de transmission. Or ils ne font pas de formes graves, mais ils s’immunisent, et donc contribuent à l’immunité de groupe, qui est à mon avis la seule façon dont pourra s’éteindre l’épidémie. »

Source :

– Sud Radio :

Covid-19 : “on peut affirmer que c’est une maladie immunisante”

https://www.sudradio.fr/societe/covid-19-on-peut-affirmer-que-cest-une-maladie-immunisante/

- Le nombre de décès Covid dans le monde en “baisse quasi continue depuis 2 mois” - covidinfos.net 24 septembre 2020

Dans un article du 23 Septembre, la revue médicale JIM (Journal International de Médecine) fait le point sur l’évolution de la pandémie. Extraits.

« A entendre chaque jour les messages alarmistes des hommes politiques, des journalistes mais également de certains épidémiologistes et médecins, le citoyen non-averti pourrait croire que la pandémie de coronavirus n’a jamais été aussi grave et que l’humanité est actuellement au bord de la catastrophe. Mais une analyse des chiffres dément rapidement cette crainte : la pandémie de Covid-19 ralentit de façon incontestable. » […]

« Lentement mais sûrement, la mortalité baisse, avec environ 5 200 morts par jour dans le monde, soit une baisse quasi continue depuis 2 mois. Après le pic européen du mois d’avril (8 500 décès quotidiens) et le pic américain du mois de juillet (7 000 décès par jour), l’humanité connaît une période d’accalmie. En décalage total avec le discours permanent sur la seconde vague, le nombre de contaminations est en stagnation, autour des 280 000 cas par jour dans le monde. Le taux de létalité (nombre de décès par rapport au nombre de cas) n’a jamais été aussi bas, autour des 3 % (contre 7 % en avril). En Europe on constate une augmentation significative du nombre de cas (63 000 contaminations par jour contre 48 000 en avril) mais une mortalité de plus en plus faible (400 décès quotidiens contre 5 200 en avril). » […]

Source :

– Journal International de Médecine : Une pandémie qui ralentit malgré tout

https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/e-docs/une_pandemie_qui_ralentit_malgre_tout_184523/document_actu_pro.phtml

- “Les trahisons de Macron resteront-elles impunies ?” s’interroge Alexandre Gerbi - covidinfos.net 24 septembre 2020

Cette tribune de l’essayiste Alexandre Gerbi parue en juin dans les colonnes d’Agoravox explore en profondeur les motivations possibles du gouvernement à instaurer un confinement général et à faire des Français les “dindons de la farce”. Extraits. “Confinement général : l’escroquerie majuscule et les trahisons de Macron resteront-elles impunies ?

A quelque chose malheur est bon. La gigantesque escroquerie du confinement général a un mérite indéniable. Elle met en évidence, telles quelles ou en raccourci, les causes profondes de l’effondrement que connaît la France depuis des décennies. Trahison et mensonges de l’Etat, neutralisation de tous les contre-pouvoirs, complicité de la prétendue opposition, médias dévoyés et aux ordres, cécité ou courtisanerie des soi-disant intellectuels… Avec les Français dans le rôle des dindons de la farce. […]

On n’arrête pas une arnaque qui marche. La paralysie du Pays était censée prendre fin le 11 mai. “En même temps”, pendant trois semaines, le confinement général a continué de façon rampante. […] Selon le voeu de Macron et de Philippe qui se distribuent les rôles, tour à tour gentil et méchant flic, comme larrons en foire. Mais aussi, après deux mois de bourrage de crâne politico-médiatique, du fait de la psychose désormais répandue et profondément enracinée dans une partie de la population. […]

Avant toute chose, il convient de rappeler que le confinement général était une absolue aberration au regard des caractéristiques du Covid-19. Ces caractéristiques sont au nombre de trois : létalité nulle ou très faible selon les tranches d’âge pour les moins de 65 ans, grande dangerosité pour les personnes âgées voire très âgées et souffrant de diverse pathologies, contagiosité moyenne, c’est-à-dire à peu près équivalente à celle de la grippe.[…]

Dès le début du confinement général, avec d’autres observateurs sur la Toile, notamment dans les colonnes d’AgoraVox, nous avons dénoncé l’absurdité de confiner toute la population. Si lors de son apparition à Wuhan (Chine) en décembre 2019, cette maladie nouvelle pouvait inspirer les pires craintes en termes de contagiosité et de létalité, elle se révélait dès février 2020, avec près de trois mois de recul et d’études, comme le plus souvent bénigne pour les moins 65 ans, à de rarissimes exceptions près. Cette information était alors facilement disponible. Il est donc exclu que le gouvernement n’en ait pas eu connaissance. Macron décréta néanmoins le confinement général à partir du 17 mars.

Confiner les enfants, les adolescents et les adultes en bonne santé (jusqu’à 65 ans) était une ineptie. Cette décision, en plus d’être inappropriée, était potentiellement contre-productive, à divers titres : contamination accrue au sein des familles du fait de la claustration, défaut d’immunisation collective exposant à un risque de rebond de la maladie, etc.

De surcroît, le confinement général entraînait directement trois conséquences extrêmement graves : la suspension des libertés publiques pourtant réputées sacrées, le torpillage de pans entiers de l’économie avec, à court, moyen et long terme, des malheurs individuels et collectifs en cascade, et pour finir l’explosion sans précédent de la dette de l’Etat. Sans parler des violences intra-familiales, des suicides et du blocage des services hospitaliers concernant les autres maladies, notamment les dépistages de cancer, par exemple.

Soulignons, comme nous l’avons dit à l’époque, que si ce Coronavirus avait été extraordinairement meurtrier, comme dans le film de Peter Soderbergh, Contagion (2011), le confinement général aurait été justifié.

Soulignons également que, autant le confinement général était totalement inapproprié et délétère, autant il eût été pertinent de procéder à un confinement ciblé des personnes à risque. A savoir celui des gens âgés, immunodéprimés ou déjà frappés par diverses pathologies. Là encore, nous ne sommes pas plus malins après coup : cela, avec d’autres, nous l’avons également dit dès le mois de mars 2020 notamment sur AgoraVox.

Macron aurait donc pu, et dû, s’en tenir à ce confinement ciblé.

En effet, cette stratégie aurait tout autant que le confinement général permis d’éviter l’engorgement des services d’urgence des hôpitaux, en empêchant la contamination des plus fragiles.

D’autre part, sur un plan plus cynique, le confinement ciblé aurait aussi permis à Macron, tout autant que le confinement général, de tenter de se dédouaner de ses multiples turpitudes, notamment de ses responsabilités accablantes dans le démantèlement de l’hôpital public organisé au nom de la doctrine ultralibérale dont il est le serviteur zélé.

Or, bizarrement, Macron opta pour le confinement général.

La question se pose : ce choix étant à la fois absurde et dévastateur pour le Pays, pourquoi l’avoir fait ? Que permettait donc spécifiquement le confinement général que ne permettait pas le confinement ciblé ?

Bien sûr, il est tentant d’expliquer ce choix par l’incompétence du président de la République. Une incompétence qui, compte tenu de ses conséquences, devrait conduire à destituer Macron, puisqu’il se serait ainsi révélé incapable d’exercer dignement le pouvoir. En effet, gouverner c’est prévoir, et Macron a démontré qu’il en était incapable. Mais gouverner, c’est aussi, lorsqu’on n’a pas prévu, être capable de faire face à une situation. C’est-à-dire de l’évaluer avec justesse et d’y répondre au mieux. Cela encore, Macron s’en est révélé incapable.

Au demeurant, cette thèse du Macron incompétent est douteuse. On l’a dit, il est difficilement concevable que Macron n’ait pas disposé des informations dont nous disposions.

Par conséquent, à moins de supposer que le président de la République est un imbécile, il convient d’envisager cette cruelle possibilité : le confinement général, en torpillant de l’économie et en mettant le Pays sous contrôle (ce que n’aurait pas permis le confinement ciblé des personnes vulnérables…), aurait été conçu par Macron, et utilisé par lui, comme un brise-glace…”

[…]

Lire la suite sur Agorax :

– Confinement général : l’escroquerie majuscule et les trahisons de Macron resteront-elles impunies ?

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-general-l-escroquerie-224846




CINQUIEME PARTIE

Bienvenue au gouvernement mondial totalitaire

Extraits de : https://fr.weforum.org

La traduction a été réalisée avec Google. Si après cela il y en a encore qui se demandent d'où vient la politique de Macron, qui continuent d'ignorer qu'il n'est qu'une marionnette entre les mains de l'oligarchie, qu'il ne détient absolument aucun pouvoir, leur cas serait désespéré ou relèverait de la psychiatrie.

Accomplir une « Grande réinitialisation » en faveur du développement durable.

Le quatrième sommet sur l'impact du développement durable se tiendra du 21 au 24 septembre.

Il réunira 2 100 dirigeants de gouvernements, d'entreprises et de la société civile.

Les thèmes clés sont notamment la prospérité partagée, l'exploitation de la technologie et une planète vivable, sur fond de perturbation mondiale.

"Nous devons transformer la reprise en une réelle opportunité de faire les choses bien pour l'avenir". Les mots du Secrétaire général des Nations unies, António Guterres. Mais cette année, faire les choses correctement est également devenu plus difficile.

COVID-19 a perturbé les progrès accomplis dans la réalisation de nombreux objectifs, notamment l'Agenda 2030 pour le développement durable et l'Accord de Paris sur le climat. La nécessité de changer les règles du jeu et d'avancer collectivement malgré les incertitudes a rarement été aussi urgente.

Lors du quatrième sommet du Forum économique mondial sur l'impact du développement durable (SDI), des dirigeants et des experts du monde entier se réuniront pour créer cette dynamique, en lançant des solutions entrepreneuriales aux principaux défis économiques, sociaux et environnementaux de notre époque.

Sous le thème "Réaliser un grand retour en arrière pour le développement durable", le sommet de cette année sera entièrement virtuel. Et cela représente une opportunité. En embrassant les possibilités du numérique, nous voulons créer un programme véritablement ambitieux - malgré l'incertitude - et qui présente de nouvelles voix et perspectives à la pointe du développement durable.

Qu'est-ce que le sommet sur l'impact du développement durable?

Depuis trois ans maintenant, le Forum organise un sommet qui présente des exemples de premier plan de coopération public-privé et de technologies de la quatrième révolution industrielle. Il est important de souligner que ces technologies sont des "multiplicateurs de force" pour la réalisation du programme de développement durable.

Le sommet de cette année, qui se déroulera du 21 au 24 septembre, aura le même objectif central : aider 3 200 dirigeants de gouvernements, d'entreprises et de la société civile à encourager l'action collective et à participer à des sessions au cours desquelles ils prendront les meilleurs exemples, du démarrage à l'expansion.

Dans le passé, des thèmes tels que le climat et l'investissement durable ont été mis en avant. Le sommet de cette année est peut-être le plus vaste à ce jour et met l'accent sur la justice sociale et l'égalité. COVID-19 a mis en évidence les fragilités de nos systèmes mondiaux. Lors de ce sommet, nous nous pencherons sur ces défis.

Les coprésidents déterminent l'ordre du jour du sommet. Reflétant les multiples facettes et la nature mondiale des défis auxquels nous sommes confrontés, nous avons réuni cette année des dirigeants issus d'un large éventail de voix et d'horizons, qui peuvent s'exprimer avec des perspectives nouvelles sur des sujets allant de la politique et des droits des autochtones au commerce de détail et à l'agriculture.

"De nouvelles voix apporteront de nouvelles perspectives sur les questions importantes de notre temps : la justice sociale, la perte de biodiversité, la reprise économique, la transparence des rapports ESG et la distribution d'un vaccin COVID-19", déclare Dominic Waughray, directeur général du Forum économique mondial.

Dans cet esprit, les cinq thèmes du sommet sont les suivants : Prospérité partagée ; Catalyser la coopération ; Meilleure entreprise ; Exploiter la technologie ; et Planète vivable.

Parmi les principales sessions organisées dans le cadre de ces thèmes figurent:

Une nouvelle norme pour la justice sociale

La pandémie COVID-19 continue d'exacerber les inégalités enracinées dans nos économies et nos sociétés, avec des répercussions disproportionnées pour les groupes défavorisés et les minorités. En établissant des voies vers une reprise durable, comment les entreprises et les gouvernements peuvent-ils collaborer sur une nouvelle norme de justice sociale?

Parmi les intervenants :

- Saadia Zahidi -

Managing Director, World Economic Forum

- Bo Young Lee - Head, Diversity and Inclusion, Uber Technologies Inc.

- Ishaan Tharoor - Foreign Affairs Columnist, The Washington Post (Amazon)

Mobiliser un nouveau pouvoir pour le changement

Nous assistons à une action collective sans précédent - des campagnes de protection des travailleurs aux militants des employés appelant à la justice sociale et aux entreprises appelant à plus de protection des droits de l'homme. Quelles sont les opportunités pour une vision partagée entre les entreprises et les mouvements populaires pour pousser à un changement significatif dans la société?

Parmi les intervenants :

Clarke Murphy qui a à son actif : Carlyle Group et Warburg Pincus (Warburg, famille de banquiers ayant participé à la fondation de la Fed - LVOG), Manufacturers Hanover Trust Company (Appartenant à JPMorgan Chase) à New York, et il est membre du Council on Foreign Relations (CFR), notamment.

(https://www.weforum.org/events/sustainable-development-impact-summit-2020/sessions/mobilizing-new-power-for-change-times-shown-are-cet)

Pistes pour une relance économique (Voies pour une réinitialisation économique)

Le COVID-19 expose les insuffisances des systèmes économiques, provoquant des préoccupations mondiales pour les vies et les moyens de subsistance à long terme. Alors que les dirigeants planifient une transition vers une reprise plus verte et plus inclusive, quelles réformes politiques sont nécessaires pour réduire les inégalités et améliorer la mobilité sociale?

Parmi les intervenants :

- Anne Finucane - Vice-Chairman, Bank of America

- Bradford L. Smith - President, Microsoft Corp.

- Alan Jope - Chief Executive Officer, Unilever

Déploiement d'un vaccin COVID-19

Alors que les efforts pour développer un vaccin COVID-19 se poursuivent, les dirigeants font face au défi sans précédent de fabriquer et de distribuer un vaccin dans le monde entier. Comment les parties prenantes peuvent-elles travailler ensemble pour garantir un vaccin sûr, efficace et accessible à l'échelle mondiale?

Vers des mesures communes et un reporting cohérent de la création de valeur durable - UpLink : Défi 1 billion d'arbres

Parmi les intervenants :

- Lisa Walker - Directeur général, Ecosphere +

Lisa Walker a récemment quitté BG Group (qui fait maintenant partie de Royal Dutch Shell)

Avancer rapidement vers les technologies d'avant-garde

Comment la nouvelle combinaison de technologies de pointe peut-elle nous rapprocher d'un avenir durable, tout en contrôlant les conséquences imprévues?

Découvrez et débattez des opportunités de mise à l'échelle:

- Le rôle de la technologie spatiale dans l'action climatique - Les données et l'intelligence artificielle transforment l'agriculture
- L'impression 3D rencontre la biologie synthétique pour de nouvelles solutions de santé
- Processus de production de probiotiques pour nourrir durablement l'avenir
- Une nouvelle perspective sur le bien-être économique grâce à l'imagerie satellitaire et au deep learning
- Béton vivant à base de bactéries
- L'informatique quantique

Cette session s'appuie sur les travaux en cours des Global Future Councils du Forum économique mondial, du Center for the Fourth Industrial Revolution Network et du Center for Global Public Goods.

Rendre le Net-Zero possible

Les émissions mondiales de gaz à effet de serre devraient causer des dommages économiques équivalents à une pandémie de la taille d'un COVID tous les 10 ans. Alors que les entreprises réagissent par une vague d'engagements et d'initiatives net zéro, quelles sont les opportunités de définir des stratégies globales de net zéro pour conduire une action climatique urgente des entreprises?

Parmi les intervenants :

- Jesper Brodin - Directeur général, Ingka Group (IKEA)

- Klaus Schwab - Fondateur et président exécutif, Forum économique mondial

- Mark Schneider - Président-directeur général, Nestlé

- Lisa P. Jackson - Vice-President, Apple

Et pourquoi est-ce important ? Pour le dire simplement, en raison de l'ampleur du défi - "la crise la plus grave que le monde ait connue depuis la Seconde Guerre mondiale", selon les termes du fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, le professeur Klaus Schwab.

Mais un problème d'une telle ampleur nous dit autre chose : le statu quo n'est pas une option. Il est temps de parler de solutions différentes.

https://fr.weforum.org/agenda/2020/09/tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-sommet-2020-sur-limpact-du-developpement-durable/

La réponse au COVID-19 a montré la capacité de la communauté mondiale à s'écarter du statu quo pour protéger la santé et la sécurité publiques. Quelles leçons peut-on tirer de cette réponse pour faire face aux menaces imminentes posées par la détérioration écologique et l'injustice socio-économique, accélérant ainsi les progrès sur l'Accord de Paris et les objectifs de développement durable? Cette session fait partie de la série Great Reset Dialogue, qui se déroule parallèlement au Sommet sur l'impact du développement durable.

Comment sauver la planète?

La Terre se réchauffe, la glace fond, les océans montent et se remplissent de plastique. Nous perdons des espèces, accumulons des gaz à effet de serre et manquons de temps. Face à ces constats, le défaitisme est tentant. Et pourtant, il existe maintes raisons de se réjouir. Un mot d'ordre : " durable " . Un impératif qui s'applique à tous les domaines de l'activité humaine - énergie, alimentation, vêtements, voyages, villes - etc. Cela dit, même si tout était durable à 100 %, il y aurait encore du travail pour réparer les dégâts que nous avons causés. Par où commencer ?

LVOG - Ce sont les auteurs de l'obsolescence programmée, les bénéficiaires du tout jetable, qui polluent, qui usent et abusent du plastique, qui recourent à des produits chimiques sans discernement, qui ravagent notre planète, qui prétendent imposer les mots d'ordres durable, propre, non polluant...

Agenda.

- Les bénéfices inattendus de l'éducation virtuelle - Guille Miranda 21 sept. 2020

- Pourquoi un monde tourné vers la nature est la clé pour une reprise verte - Ivan Duque 22 sept. 2020

- Comment la durabilité va stimuler la croissance dans l'industrie de l'emballage - Yashovardhan Lohia 21 sept. 2020

- 4 défis que nous devons relever pour protéger notre océan - Andrea Willige 22 sept. 2020

- Measuring stakeholder capitalism just got easier - fortune.com 24 sept. 2020