Causeries octobre 2020


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Le 1er octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Cette causerie sera encore une fois décousue, parce qu'au fil des jours j'ai ajouté des passages au fur et à mesure du développement de la situation et des idées qu'elle m'inspirait. J'en suis désolé, mais c'était inévitable faute de temps pour tout revoir. Cette causerie ne prend pas en compte les infos de la veille.

La causerie de septembre est disponible au format pdf, 178 pages.

Les articles mis en ligne aujourd'hui.

DOCUMENT. Du 11-Septembre à la Grande remise à zéro. D’al Qaeda au virus COVID-19. (21.09)

DOCUMENT. Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake » (29.09)
DOCUMENT. Taux de mortalité COVID-19: « La pire erreur de calcul dans l’histoire de l’humanité » (29.09)
DOCUMENT. Hydroxychloroquine as Post-Exposure Prophylaxis for Covid-19: Why simple
      data analysis can lead to the wrong conclusions from well-designed studies (24.09)

DOCUMENT. Gazoduc explosif en Méditerranée. (29.09)
DOCUMENT. La mauvaise pièce du président Macron au Liban. (29.09)
DOCUMENT. 20 ans de Fakes News contre le Venezuela. (29.09)
DOCUMENT. Syrie: des documents révèlent le rôle du gouvernement britannique dans la propagande. (27.09)
DOCUMENT. Israël et les Émirats signent les « Accords d'Abraham » (22.09)

DOCUMENT. Sans lumière ni gloire: les révolutions de couleur (26.09.2020)
DOCUMENT. Les révolutions de couleurs et quelques vérités de La Palice: L’objectif est de manifester
     « contre quelque chose »… (25.09.2020)

DOCUMENT. Les révolutions de couleurs et quelques vérités de La Palice… que certains ignorent ou violent sciemment (23.09.2020)
DOCUMENT. BLM est-il le masque derrière lequel opèrent les oligarques ?. (18.09.2020) (Erreur d'adresse corrigée)

Un mot de dernières minutes.

Je viens d'aller faire des courses au gros bourg d'à côté. Ca y est, la majorité des Indiens ne portent plus de masque, donc sans masque ou mouchoir je passe inaperçu... ou presque, car on me dévisage plus que jamais. Sans blaguer, pour eux le comportant d'un étranger compte, je les connais bien, si le Blanc de chez nous ne porte pas de masque, c'est que c'est inutile, bravo, vous pourriez donner une leçon aux Français qui sont plus évolués que vous, mais d'une bêtise à couper au couteau ! Jaya Barat ! (Vive l’Inde en hindi)

Le mot du jour.

Albert Camus : « Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie ».

Les puritains ou les inquisiteurs : Au bûcher !

Dans les toutes premières causeries de 2008, la seconde en fait, voilà ce qu'on pouvait lire qui démontre que mon combat politique n'a jamais varié d'un millimètre.

- On pouvait lire cette remarque pertinente de Spinoza dans son Traité de l'autorité politique : "La nation, certes n'est pas à l'abri de tout motif de crainte et, de même que chaque citoyen ou que chaque homme à l'état de nature". Ceux qui nous gouvernent le savent très bien, eux qui s'emploient à entretenir un climat de psychose permanent au nom de la lutte contre le terrorisme.

Voici un passage de l'ouvrage Les politiques d'Aristote qui va comme un gant au parvenu qui trône au Palais de l'Elysée : "Les démocraties changent principalement du fait de l'audace des démagogues. (...) Dans les temps anciens, quand un même individu devenait démagogue et stratège [la constitution] se changeait en tyrannie. Car la majorité des anciens tyrans étaient sortis des rangs de démagogues.".

Ajoutons le 30 septembre 2020 : La majorité des nouveaux tyrans sont sortis des rangs de démagogues.

Quand je lis en début de présentation d'une vidéo "quand aurons-nous un vaccin ? Nos sociétés seront-elles préparées pour affronter les prochains virus ? , je zappe évidemment, je me dis, tiens encore un.

De qui s'agissait-il ? De Michel Collon - Investig'Action. (https://www.youtube.com/watch?v=FEeDpWrFRwk&feature=emb_title). Voilà un journaliste belge qui dénonce les "médiamensonges", et qui est tombé en plein dedans, il faut croire qu'il y était prédestiné. C'est révélateur.

Quelle cruelle épreuve que celle que nous sommes en train de vivre, pour tous ceux qui se prétendaient de gauche ou d'extrême gauche ; Dévastatrice, car rares sont ceux qui auront été à la hauteur de l'idéal qu'ils étaient censés incarner, c'est juste un constat. Ensuite ils peuvent raconter ce qu'ils veulent, on ne les écoute même plus, on sait à quoi s'en tenir.

Quand on dénonce les manipulations d'un régime et de ses porte-parole, la moindre des choses, c'est de ne pas y participer. Ne dites pas que cela coulerait sous le sens, la preuve du contraire vient de vous être fournie. Qu'on présente tous des déficiences, c'est un fait que chacun devrait admettre, mais là on atteint des sommets. C'est inexcusable quand on est un intellectuel, un scientifique, un chercheur, un travailleur prétendument évolué ou conscient, on de demande bien de quoi, de ne pas s'apercevoir que l'histoire de la pandémie au coronavirus et du vaccin est idéologique et a été montée de toutes pièces, qu'elle était destinée à nuire à la population mondiale, qu'elle était liée à la marche au totalitarisme.

Les limites des contradictions du capitalisme ayant été atteintes, à un moment donné ou quand les conditions allaient être réunies, soit il entrerait en putréfaction et détruirait tous les progrès qui avaient accompagné son développement et la lutte des classes au cours des deux derniers siècles, soit il serait renverser et cèderait la place au socialisme.

Ce processus dialectique allait suivre son cours sans qu'on puisse déterminer à l'avance comment finalement se résoudraient ces contradictions ou laquelle de ces orientations allait l'emporter durablement ou définitivement, la suite nous le dira, je ne suis pas devin. Comme tout le monde j'ai commis beaucoup d'erreurs, et si je peux les assumer contrairement à nos dirigeants, c'est parce que j'ai toujours eu la volonté de rester fidèle à notre idéal, au socialisme, à la liberté en dernière analyse. Lorsqu'on observe (à ma connaissance) qu'aucun parti dit ouvrier n'a adopté comme mot d'ordre la défense inconditionnelle de nos libertés individuelles et collectives suffit amplement à le prouver. Je suis très gêné de le dire, car cela fait prétentieux, alors que je suis bien le dernier à avoir une quelconque ambition personnelle. Mes lecteurs ne le comprennent pas ou ne veulent pas le comprendre, c'est leur problème et pas le mien.

Il ne servirait à rien ou ce serait injuste de dénoncer la servilité des masses, elles y ont été conduites pour ainsi dire malgré elles, parce qu'aucun parti ouvrier n'a exprimé leurs intérêts, tous ont délibérément pris le parti de se placer au côté de Macron et son régime fascisant. A partir de là chacun devrait s'interroger sur ce que fut réellement l'orientation de la lutte de classe du mouvement ouvrier depuis un siècle. Car une telle faillite politique ou trahison ne se produit jamais du jour au lendemain sans reposer sur une longue expérience d'opportunisme camouflée derrière des étiquettes trompeuses, des formules ou une rhétorique empruntées aux marxistes et détournées, de bonnes intentions jamais mises à l'épreuve ou gratuites qui ne présentaient pas plus d'intérêt que des promesses électorales sans lendemain destinées à ceux qui voulaient bien y croire.

Même si au cours d'une polémique on est tenté d'y recourir et c'est parfois parfaitement justifié, on ne devrait même pas en vouloir à nos dirigeants qui n'ont jamais été à la hauteur des tâches qu'ils avaient à accomplir, j’entends ceux qui n’en ont jamais pris conscience, sinon on devrait les pendre ! C'est ce que j'ai toujours pensé sans trop oser le dire, car cela n'aurait pas été compris ou de travers. Vous savez, quand il arrive un moment où on se retrouve pratiquement tous logés à la même enseigne ou à subir le même régime d'oppression, ce qui distinguait le travailleur, le militant, le cadre, le dirigeant, tombe ou n'a plus lieu d'être provisoirement, et on a tout intérêt à en tenir compte si on veut vraiment que tous ceux qui entendent résister à l'offensive féroce de la réaction puissent se rassembler et combattre ensemble. Pas sur n'importe quelle orientation politique évidemment.

Exiger l'abrogation de l'Etat d'urgence, c'est bien mais très insuffisant, cela ne coûte rien, alors que rejeter les mesures liberticides imposées par Macron, affronter le gouvernement, leurs porte-flingues parmi les élites, leurs think tanks, dans les médias et sur les réseaux dits sociaux, et qui plus est dans le mouvement ouvrier, c'est s'attaquer au coeur de la machination mise en place par le Forum économique mondial, c'est briser net le dispositif que les oligarques ont conçu pour instaurer un gouvernement mondial totalitaire, car c'est cela leur objectif politique.

Nos libertés individuelles et collectives, nos besoins sociaux, nos aspirations démocratiques sont incompatible avec l'existence du capitalisme ou du régime en place, il faut donc s'organiser dans la perspective de le renverser pour instaurer une République sociale, qui dès le premier jour marquera le début de la fin du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, et pour ceux qui y tiennent, de l'exploitation anarchique des ressources de notre planète. Ce sont ses objectifs qu'il faut mettre en avant, c'est la situation qui nous y invite, qui nous l'impose, et non une théorie ou une lubie. Sinon, à quoi cela rime-t-il de faire de beaux discours consistant à affirmer que la civilisation humaine serait à la croisée des chemins, un peu de cohérence, de sérieux. Soyons à la hauteur du constat que nous avons sous les yeux ou que nous avons dressé, pour être à la hauteur de nos responsabilités ou des tâches politiques que nous avons à accomplir, c'est tout ce que je voulais dire.

27 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Deux vidéos et deux courriels envoyés.

Courriel adressé au Pr. Michel Chossudovsky (crgeditor@yahoo.com)

Vidéo- COVID-19: La deuxième vague, les statistiques sont « fake » par Prof Michel Chossudovsky - Mondialisation.ca, 29 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=ZsGWwx7ghcY&feature=emb_title

Bonjour Monsieur,

Vous êtes tombé dans un piège professeur Michel Chossudovsky.

Vous vous focalisez sur les tests et vous remettez en cause le nombre de cas positif, ce qui est un contresens ou une grave erreur, pire, vous donnez du grain à moudre à nos ennemis.

Il ne vous est pas venu à l'esprit, semble-t-il, qu'au fil du temps l'immense majorité de la population allait être contaminée par ce coronavirus, donc les tests qui allaient être pratiqués par la suite le confirmeraient ou seraient forcément positifs, processus naturel au bout duquel la population bénéficierait d'une immunité collective et pourrait se passer de vaccin.

Donc au lieu de contester le nombre de tests positifs, il fallait au contraire s'étonner qu'ils ne soient pas beaucoup plus élevés, voilà à quelle absurdité on arrive. Rassurez-vous, vous n'êtes pas le seul à vous être quelque peu fourvoyé en croyant bien faire, j'en ai fait partie pendant un moment.

Bien à vous.

Courriel adressé au Pr. Didier Raoult (Didier.Raoult@gmail.com)

Pr. Didier Raoult. Où en est-on à Marseille ? - 29 sept. 2020

Voici le commentaire qui figurera dans mon portail à la suite de votre dernière vidéo. Je précise que j'ai été un de vos plus fervents soutiens. Aussi je me permettrai de vous dire franchement ce que je pense.

Dans sa dernière vidéo il avait l'air tout péteux, les yeux davantage rivés sur son bureau et ses papiers que sur la caméra. La fausse modestie et sérénité a ses limites visiblement, comme chez Macron...

Le Pr. Didier Raoult n'est plus à une contradiction près.

Est-ce qu'on se fait tester pour la grippe chaque année ? Non, alors si le covid-19 est apparenté au virus de la grippe saisonnière ou qu'il n'est pas plus mortel, pourquoi devrait-on se faire tester, qu'est-ce qui le justifie ? Rien. Mais quand on a décrété qu'il fallait tester à tout prix, on ne peut plus reculer ou on ne peut pas admettre sa méprise ou son erreur gravissime.

Dit autrement, à l'opposé du Pr Michel Chossudovsky, en écoutant le Pr. Didier Raoult, avec le covid-19 on a l'impression d'être en présence d'une menace mortelle, puisqu'ils cautionnent le dépistage de la population, bien qu'il dise le contraire ailleurs, encore un adepte du double langage ou du "en même temps". Bref, l'air de rien il marche dans la combine sordide à la pandémie sanitaire qui en réalité est uniquement idéologique.

D'ailleurs quand il évoque le nombre de décès attribués au covid-19, à aucun moment il ne les remettra en cause, alors qu'il sait pertinemment qu'en France comme dans de nombreux pays, les certificats de décès de centaines de milliers de personnes ont été trafiqués pour cautionner les mesures liberticides qui accompagnaient cette pandémie fabriquée depuis le Forum économique mondial.

Bref, celui qui au départ s'était présenté comme une sorte de "lanceur d'alerte" avec son traitement, s'est avéré être un manipulateur de première, un mégalomane. Car en fait, et cela je ne l'ai découvert qu'au cours des derniers jours, les antipaludéens dont fait partie l'hydroxychloroquine étaient déjà administrés avec succès contre le virus de la grippe dans les années 60, donc il n'y avait pas lieu de nous balader en Chine comme il l'a fait pour prouver l'efficacité de cette molécule contre cette famille de virus ou coronavirus, rappelons que les deux sont présents dans la grippe saisonnière, il a tout simplement profité de notre ignorance pour se faire passer à bon compte pour un bienfaiteur. Car il ne faut pas oublier non plus que parmi toutes les guérisons qu'il s'attribue, une grande partie était le produit d'un processus naturel puisque chez les personnes qui seront infectées par ce virus, non seulement 97 ou 98% ne tomberont pas malade ou se rétabliront sans prendre aucun traitement, mais parmi les 2 ou 3% présentant des symptômes et étant traités, une partie d'entre eux auraient pu se rétablir de la même manière, donc à l'arrivée ce traitement ou un autre n'aura sauvé qu'une infime minorité de la population.

En résumé, par exemple sur 3.000 personnes prises en charge et ayant reçu un traitement, une grande partie d'entres auraient pu s'en passer et se rétablir naturellement quelques jours plus tard, mais comme on ne pourra pas évaluer avec certitude le nombre de personnes qui auraient pu se rétablir sans traitement, dès lors on peut se livrer à toutes sortes de spéculations et se présenter en sauveur.

Justifier les tests, c'est justifier l'instrumentalisation dont ils font l'objet, alors qu'ils sont inutiles, fournir des arguments pour adopter des mesures liberticides et antisociales, voilà de quoi s'est rendu complice le Pr. Didier Raoult et on se devait de le dire, après l'avoir soutenu pendant des mois.

Quelques infos personnelles.

1- Les travaux chez moi ne sont pas terminés. Et pour cause : la moitié est à refaire !

2- On m'a refilé un chiot de 2 mois croisé berger allemand et rottweiler. J'ai regardé sa bonne tête et ses énormes pattes, ses yeux pétillants de vie, j'ai accepté de le prendre à l'essai. Il était très propre mais malade évidemment, je l'ai mis à mon régime gastronomique et depuis il se porte à merveille, qu'est-ce qu'il est lourd !

3- Je me traîne depuis une semaine une sale infection à la jambe gauche. J'avais nettoyé une petite plaie avec de la teinture d'iode et je pensais que ce serait suffisant, mais je n'avais pas remarqué qu'elle était profonde, résultat, infection bactérienne et microbienne atteignant tout le bas de la jambe avec pied enflé. Suintante, de quelques millimètres elle est passée en quelques jours à plus de 3 centimètres, et presque tout le tour de la jambe était devenu rouge avec des cloques purulentes, du coup branle-bas de combat pour éradiquer cette saloperie, j'ai pris conscience du danger plus réel que leur coronavirus.

Sur Internet je me suis informé dans des portails en français, ensuite j'ai été cherché en anglais les meilleurs antibiotiques et fongicides disponibles en Inde ainsi qu'une crème ayant les propriétés pour traiter cette plaie. J'ai été les acheter sans ordonnance chez le pharmacien situé en face de l'hôpital Jipmer, l'un des plus grands du sud de l'Inde, en principe ils n'ont pas le droit de vendre des antibiotiques sans ordonnance, mais en tant que Blanc j'en suis dispensé.

Depuis j'applique scrupuleusement le traitement trouvé dans un portail médical français et je suis en voie de guérison, il faut dire qu'en plus je ressentais une douleur permanente de plus en plus intense, c'est ce qui m'a alerté. Donc pas de médecin, pas d'hôpital, pas d'analyses, pas de piqûres, cela m'a coûté 300 roupies, 3,5 euros environ, j'ai évité de perdre un temps précieux et surtout de devoir me couvrir le visage. Pour une fois, contraint et forcé j'ai dû m'occuper de moi au lieu de m'occuper des autres.

4- La température est remontée brutalement à 40°C à l'ombre, résultat : Gros orages et pluies diluviennes, coupure de courant et quelques menus dégâts, on a échappé au cyclone, ouf ! En principe c'est le début de la mousson, et une année sur l'autre on ne sait plus comment elle va se passer.

5- Des Indiens m'ont déconseillé de me rendre à Pondichéry car il y sévit une atmosphère délétère, quasi fanatique et dangereuse, si même eux ne le supportent plus, c'est que c'est grave docteur. Les cinglés sont en libertés et ceux qui sont chargés de les surveiller habituellement sont encore plus dingues ! Ici, une personne sur deux portent un masque et tout le monde s'en contrefout, dans mon village, absolument personne, mais il faut bien que je sorte parfois. Voilà à quoi en est réduite notre liberté, ce dont se foutent les dirigeants du mouvement ouvrier (en France et ailleurs), normal, ils ne sont jamais apparus autrement que masqués devant les travailleurs, cela les change guère !

6- Cette situation nous pèse tellement que j'ai encore perdu un kilo ! On en perd l'appétit à force, même si le moral tient bon porté par notre idéal. Chaque fois que j'en ai l'occasion j'évoque en rigolant le coronabusiness avec des Indiens, quelque part je dis tous haut ce que tout le monde pense tout bas et cela les soulage, ils apprécient visiblement, ils se marrent ou viennent me serrer la main. Surtout que je charge le gouvernement, les nantis, les élites, je suis toujours au côté du peuple, mieux, je m'arrange toujours pour faire en sorte que mes interlocuteurs comprennent que j'en fais partie puisque c'est la réalité, là je m'exprime en tamoul, d'ailleurs je ne vois pas ce qui pourrait m'éloigner du peuple, c'est ensemble que nous nous libèrerons... Même dans les discussions les plus anodines, les actes les plus insignifiants, je reste fidèle à mes principes, à mes idées, j'y veille, et je me sermonne quand il m'arrive encore de piquer des colères monstres, justifiées, mais inutiles.

Les Indiens (entre autres) ont l'habitude de faire des saloperies aux autres et d'en être parfaitement conscients, j'ai eu l'occasion de le vérifier des centaines de fois, puis de s'excuser humblement en arborant un grand sourire. Dès lors ils considèrent qu'il ne s'est rien passé et que vous avez tout juste le droit de la fermer. Ben voyons, sauf qu'avec moi cela ne prend pas, surtout quand je continue d'en subir les conséquences, je veux qu'ils assument leurs actes et qu'ils admettent qu'ils ont eu un comportement injuste ou dégueulasse, je me fous de leurs excuses.

La fausse humilité ou culpabilisation à bon compte des hypocrites ou des croyants me laisse indifférent. Ce que je veux, c'est que chacun assume la responsabilité de ses actes, car en avoir conscience sans que cela ne coûte rien, c'est le meilleur moyen pour ne jamais modifier son comportement ou progresser. Je ne juge personne, je fais de la pédagogie, ce n'est pas du tout pareil, et je m'arrange toujours pour que mon interlocuteur le comprenne, sans préjuger du résultat, j'ai fais de mon côté ce que j'avais à faire et j'ai la conscience tranquille.

Tout cela est modulable en fonction du statut social de la personne qu'on a en face de soi, mais le principe demeure le même. Il est valable pour tous les hommes qui doivent respecter les autres ou ne pas empiéter sur leur liberté. Cela peut peut-être vous paraître théâtral, et cela l'est effectivement, c'est indispensable en présence de gens arriérés ou ultra arriérés, on y mêle des gestes ou tout une mimique pour combler les lacunes du langage et l'absence de développement intellectuel, un peu comme avec les enfants.

7 - Quand je me suis aperçu que le mouvement ouvrier était entièrement gangrené, j'ai eu le choix entre m'en détourner ou persister en espérant un sursaut qui viendrait le sauver sans trop savoir d'où il viendrait, et à ce jour il n'est jamais venu, hélas ! Et ce n'est pas moi tout seul qui aurait la prétention de le sauver. Bien que ce ne soit pas la voie que j'ai choisie, je comprends ceux qui ont fini par s'en détourner. Je ne critique pas leur choix, mais ce qu'ils sont devenus, les idées qu'ils soutiennent. Moi, j'avance sans masque, c'est un défaut, je sais merci, et je m'en fous. Je dis ce que je pense.

Se détourner du mouvement ouvrier ou de la lutte de classe, c'est se condamner à errer indéfiniment sous ce régime qui est en train de tourner au totalitarisme. Parfois dans notre tête, on a l'impression d'avoir des décennies ou des siècles d'avance sur notre époque et nos contemporains, et pour autant, on est logé à la même enseigne que le reste de la population. Et ce qui doit nous occuper, c'est la situation qu'on a sous les yeux ou qu'on vit quotidiennement, qu'on subit plutôt, car c'est là qu'on peut agir pour notre cause.

8 - Guerre de classes à mort.

Qui l'aurait cru ? Ils sont contagieux et ils se reproduisent en plus : Il faut les neutraliser, les exterminer !

9 - Si tout le monde disait tout haut ce que tout le monde pensait tout bas, on n'en serait pas là !

10 - De quoi sont faits l'éducation, les connaissances, la psychologie, l'état de conscience, les rapports du peuple opprimé ?

Complexe d'infériorité, de culpabilité, humiliation, frustration, couardise, soumission, hypocrisie, autocensure, démagogie, mensonge, dissimulation, imposture, peur ou angoisse face à la menace d'un châtiment, la crainte d'être réprimé par ceux qui nous dominent, qui exercent un pouvoir autoritaire sur les plus faibles de préférence sans défense avec en toile de fond omniprésents les rapports d'exploitation et d'oppression qui caractérisent le régime basé sur l'exploitation de l'homme par l'homme.

Quand au cours de sa vie dès notre tendre enfance on a fait l'expérience de tous ces rapports et qu'on les a identifiés, si on ne se révolte pas pour y mettre un terme, pire, si on continue de les reproduire, c'est qu'on a décidé de s'y soumettre servilement plutôt que les combattre, et qu'on accepte par avance de subir toutes les conséquences dramatiques qui pourront en découler...

Partant de là, il n'y a absolument rien de surprenant à la situation actuelle, et ceux qui s'en émeuvent ne font qu'entretenir ces rapports détestables et nuisibles au destin de la civilisation humaine, parce qu'ils n'ont pas davantage l'intention de s'y attaquer demain plus qu'hier, parce qu'il n'existe à l'heure actuelle aucune issue politique à la crise du régime de l'exploitation de l'homme par l'homme qui menace l'existence de l'humanité entière.

11 - Réflexion en regardant un documentaire sur le cinéma français des années 50-60.

Autrefois, il existait de l'humanisme sur fond d'insouciance un peu lourde parfois, maintenant, il y a de l'inhumanité sur fond de servilité. Il n'y a rien qui rattrape la bêtise de nos jours. La médiocrité est le pendant de la méritocratie, elle se répand par voies aériennes, spatiales ou satellitaires, le pire virus qui soit avec l'oisiveté ou la paresse d'esprit.

12 - Si vous êtes parvenu à dépouiller un homme de tous ses biens et de tous ses droits, vous n'avez plus besoin de le maintenir enchaîné pour en faire un être servile, un loyal serviteur, un esclave modèle, puisque sa survie dépend uniquement de votre bonne volonté, il vous sera dévoué corps et âme.

Six ans après avoir cessé de travailler comme servante chez une riche italienne qui l'avait exploitée sept jours sur 7 12 mois de l'année durant 10 ans, ma compagne Selvi (49 ans) en parle encore comme d'une sainte femme ! Un jour elle me reprochera peut-être de l'avoir émancipé de cet esclavage, qui sait ?

13 - Si les restrictions à nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Allez donc raconter cela aux dirigeants du mouvement ouvrier...

14 - La sordide mascarade.

Une infirmière citée par le NPA - « À quoi cela sert de me faire tester ? Si j'ai le test dans 7 jours, et le rendu 3 jours après, je ne peux pas me permettre de me faire arrêter tout ce temps là, en attente des résultats. Je vais travailler et "faire attention" ».

LVOG - Faites attention de ne pas tomber dans l'escalier ou en traversant la rue...

Parole d'internaute.

- "Je suis très inquiète car ça va péter, c’est certain. Je ne sais pas quand, ni comment, mais ça ne tiendra pas… Les médecins pour l’instant agissent pacifiquement. Mais déjà le Pr Raoult accuse la direction des hôpitaux de Marseille de mensonge, ce qu’il n’avait jamais fait aussi directement. des élus parlent de désobéissance civile, une chose jamais vue en France depuis je ne sais même pas si ça a jamais existé, en fait !

La pression monte dans la cocotte que le gouvernement fait bouillir et dont il a bouché toutes les soupapes depuis plusieurs années. Ca prend du temps, car les Français espèrent passer à côté du pire et font le dos rond. Mais on sait tous ce que fait une cocotte dont la soupape se bloque…"

LVOG - Pour le pire ou le meilleur, reste à savoir lequel est le mieux armé pour l'emporter. J'ai toujours misé sur le meilleur bien que je savais que j'en était éloigné, mais il n'est pas interdit d'essayer de s'en rapprocher à défaut de l'atteindre. C'est à mon avis ce que chacun devrait se dire pour ne pas sombrer dans le désespoir ou déprimer.

Quand on disait que les travailleurs ne devaient compter que sur eux-mêmes, pourquoi cela ne concernerait-il pas chacun d'entre nous ? Si on n'y croit pas, on n'a pas confiance en soi et on est réduit à l'impuissance, il ne faut pas chercher ailleurs une explication à la situation inextricable actuelle. On ne flatte pas les qualités des masses, on combat leurs faiblesses de manière à renforcer leur capacité à développer les qualités qui leur font défaut, et qu'elles mettront à contribution lorsque la cocotte du régime explosera pour le renverser. Ce n'est peut-être pas toujours bien compris de la part des lecteurs.

La conscience jaillit de l'inconscience, donc on doit travailler sur l'inconscience pour la faire monter à la surface. Nous on est juste là pour aider à déblayer le terrain, le travail, c'est à chacun de l'effectuer, personne ne peut le faire à notre place. C'est comme quand on entend s'attaquer à l'illettrisme, personne ne peut apprendre à lire et à écrire à notre place.

Un dernier aphorisme pour ce mardi soir.

On peut atteindre la sérénité quand on est vieux, parce qu'on a moins de besoins, on n'a alors aucun mérite, encore faut-il être détaché de toute forme de propriété, de toutes sortes de contingences matérielles ou dépourvu de tout attachement terrestre, là seulement on est vraiment libre et prêt à partir.

On ne se prépare pas à mourir, on essaie juste de faire en sorte que notre vieillesse ne soit pas un cauchemar, alors que tout est fait pour nous en empêcher. Heureusement qu'on n'écoute pas ceux qui nous disent que nous serions responsables de rien, c'est le meilleur moyen de tout subir sans réagir.

On a tout de même la faculté ou la liberté d'adopter les rapports au monde extérieur qui nous conviennent le mieux ou qui sont conformes à notre idéal, s'en priver, ce serait se priver de toute fin heureuse, et je n'aime pas les histoires qui se terminent mal.

Rappel à l'adresse des lecteurs.

Si on passe son temps à se justifier, c'est parce qu'il y a trop de gens susceptibles, ceux qui ne le sont pas peuvent passer ce passage.

Les lecteurs ont le droit de se demander pourquoi je publie certains articles et pas d'autres alors qu'une partie de leur contenu est fort intéressant. Tout d'abord je ne peux pas reproduire tout ce qui est publié. Ensuite, je retiens les articles qui présentent un intérêt de fond pour mieux comprendre la situation. Enfin, je ne publie pas les articles qui colportent les illusions que je combats, disons quand elles sont présentes avec un peu trop d'insistance ou pourraient induire les lecteurs en erreur.

Il est évident que, si j'étais certain que tous les lecteurs étaient capables de faire la part des choses, la publication de ce genre d'articles ne poseraient pas de problèmes ou ne présenterait aucun risque. Or, comme ce n'est pas le cas, je préfère m'abstenir plutôt que d'être accusé de diffuser des documents dont l'orientation est opportuniste.

Vous me direz que cet argument est discutable, ce que je conçois très bien, parce que cette orientation est omniprésente dans pratiquement tous les articles que j'ai publiés depuis plus de 10 ans. J'en ai parfaitement conscience, arbitrairement je laisse passer ceux que j'estime être les moins toxiques, je sélectionne ceux où le contenu ou les faits prévalent sur l'orientation politique de l'auteur, mais il arrive aussi qu'il soit intéressant pour les lecteurs de constater à quels usages les auteurs les destinent.

Ce portail étant un portail politiquement engagé, il me paraît normal qu'il soit structuré autour des idées que je défends. Il faut admettre aussi que personne ne pourrait reproduire et lire tout ce qui est publié en France ou dans le monde. Je ne censure aucun article ou aucun sujet, j'essaie de m'en tenir à l'essentiel parce que le temps dont nous disposons est compté, voilà tout.

J'ai publié depuis 2008 plus de 17.000 pages de causeries, plus autant d'articles d'horizons divers, donc qu'on ne vienne pas me faire ce mauvais procès. Je rappelle que j'ai effectué ce travail absolument tout seul, isolé dans mon trou en Inde

Je profite que j'ai un tel article sous les yeux pour que les lecteurs puissent comprendre comment je procède.

- Dictature sanitaire: qui manipule qui? par Claude Janvier - Mondialisation.ca, 27 septembre 2020

LVOG - Autant dire qu'une grande partie de cet article était passionnante ou formidable, mais ce que son auteur allait en faire était une autre histoire, hélas ! Voici quelle en était l'orientation à mes yeux inacceptable ou susceptible d'induire les lecteurs en erreur, en deux mots, épargner, ménager Macron et son gouvernement, à l'heure où se met en place un régime totalitaire cela m'a paru insupportable. Car évidemment, il faut aussi tenir compte du contexte, de la situation où un article voit le jour, il faut toujours l'avoir à l'esprit.

- Qui plombe le cerveau embrumé du ministre de la Santé et du gouvernement ? Telle est la question. (Rappelons qu'il est médecin tout de même. Quel "plomb" ou mauvaise intention peut avoir dans le cerveau un ministre de la Santé d'un président représentant les intérêts de l'oligarchie, de Big Pharma, qui peut l'influencer ? Cette question est plus qu'indécente tellement la réponse est évidente. - LVOG)

- Tous les matins, Oliver Véran, les ministres et le chef de l’état sont noyés sous une multitude de rapports trop souvent gonflés, alarmistes, incomplets et davantage destinés à enfiévrer les cerveaux qu’à les aérer. (Ne seraient-ils pas dans le même cas que n'importe quel citoyen susceptible de s'informer librement ailleurs pour éclairer leur lanterne ? Envoyez-leur une bouée de sauvetage pendant que vous y êtes ! - LVOG)

- Difficile pour un ministre bas du front d’y voir clair dans tout ce micmac. (Parce qu'il n'y tient pas, c'est tout, c'est un choix idéologique délibéré. - LVOG)

- Le problème est que les gouvernements sont incapables d’arrêter ce tourbillon infernal et quotidien. (Tiens donc, parce qu'ils n'auraient pas le pouvoir de supprimer tel ou tel organisme (Santé publique France, les Agences régionales de santé – ARS, le Conseil scientifique, etc.) dépendant d'eux ou d'en changer les membres quand ils sont manifestement corrompus ou incapables ? Ils devraient obéir aveuglément à l'OMS ? Cet argument est intolérable. - LVOG)

Vous avez pu constater qu'à 4 reprises dans le même article, l'auteur a tenu à épargner le ou les gouvernements qui se sont soumis docilement au diktat du Forum économique mondial qui contrôle l'OMS. Alors à quoi bon dénoncer leurs agissements, à quoi cela rime-t-il à la fin, je voudrais qu'on me l'explique. Et bien je vais vous le dire. Cela signifie qu'il suffirait de remplacer les hommes et les femmes qui sont dans les gouvernements pour résoudre d'un coup de baguette magique tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés, donc sans rien changer aux institutions, à la Constitution, et évidemment aux rapports sociaux établis, sans changement de régime... et vive le capitalisme !

Je vous mets l'adresse de cet article pour vérification :

https://www.mondialisation.ca/dictature-sanitaire-qui-manipule-qui/5649601

J'en ai trouvé un autre qui est un modèle du genre.

On est toujours le con de quelqu'un, la preuve.

- La ploutocratie occidentale a-t-elle raison de mépriser le peuple? par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 27 septembre 2020

LVOG - Quand on a terminé la lecture de votre article monsieur Muselet, excusez-moi, on a vraiment l'impression que vous avez tout fait pour qu'on vous prenne pour un con. La "ploutocratie occidentale" a conscience que le peuple est toujours aussi ignorant et elle en use et en abuse sans modération, certes, elle a tout fait pour qu'il en soit ainsi et elle en porte la responsabilité, mais elle est loin d'être la seule dans ce cas-là.

Vous faites partie de ces brillants intellectuels qui ne veulent pas rompre avec le capitalisme, qui ne veulent pas l'affronter. Pire, vous n'êtes même pas foutu de l'assumer comme tout vos semblables à la bonne conscience et bénéficiant d'un statut supérieur, ceci explique en grande partie cela. Vous en êtes réduit à des divagations bourrées de contresens, contrevérités, contradictions, à nous livrer des constats consternant de platitude, de lieux communs mille fois rabâchés, et le plus consternant encore, c'est que vous n'y avez manifestement rien compris et vous vous vautrez dans un misérable conformisme confinant au crétinisme, et je vais en faire la démonstration.

Ce n'est pas monsieur Perruchot qui est con, mais vous, et c'est plus grave ou vous n'avez aucune excuse, puisque vous en avez conscience.

En deux mots vous nous dites que monsieur Perruchot n'a fait qu'exprimer une banale vérité (Ce régime ne tient que grâce à "la connerie des gens"), mais vous refusez d'en tirer les enseignements politiques, ce qui revient finalement à la nier, pourquoi, parce que vous n'êtes pas prêt à rompre avec le régime ou à l'affronter autrement qu'en paroles inutiles, stériles, confinant à l'impuissance. Car, que proposez-vous à tous ces cons de travailleurs que nous sommes, hein, quelle perspective politique leur proposez-vous, "les occupations de péages et les mises à l’arrêt de radars, par exemple, et la création d’espaces de délibération et de convivialité", on va aller loin avec ça, quelle connerie, quelle misère ou paresse intellectuelle ! Pitoyable professeur d'université, je crois, pathétique, tout cela pour ne pas renouer avec le socialisme, vaut mieux encore le totalitarisme !

Les extraits les plus significatifs de cet article que j'ai retenus pour ma démonstration. Avec en toile de fond à ne jamais l'oublier pour comprendre la situation : La débâcle, la désertion, la trahison du mouvement ouvrier. Nos dirigeants ne sont pas des cons, mais des corrompus, des pourris, eux aussi ils s'en tirent bien ou mieux. Qu'on soit privé de liberté et qu'on doive vivre en permanence avec une muselière, ils s'en contrefoutent.

Dominique Muselet - Le président LR du département du Loir-et-Cher, Nicolas Perruchot, a été enregistré à son insu lors d’une réunion des élus de sa majorité. Florilège :

« Ne l’oubliez jamais quand vous allez refaire campagne, la plupart des gens, pardonnez-moi, sont cons. Une très grande majorité, au moins 80%, pas 30. Sachez-le, ils sont d’un niveau éducatif très moyen, et de plus en plus moyen, et malheureusement ils sont bêtes. »

« Nous avons, nous, une information qu’il faut essayer de donner de la manière la plus simple ou simpliste possible. Moi, je le dis souvent, n’oubliez pas qu’on s’adresse à des CE1 ou des CE2, quoi ».

Nicolas Perruchot, a été immédiatement unanimement condamné sur les plateaux de TV par ses pairs. Dans leur indignation, certains l’ont même traité de con. C’est bien vrai que Perruchot est con d’avoir dit tout haut ce que presque tous les nantis et autres privilégiés pensent mais se gardent bien de dire, vu que leur fonds de commerce dépend de la connerie des gens.

- En écoutant les élites, censées façonner l’opinion publique, on comprend, avec François Bégaudeau (Histoire de ta bêtise), que la bourgeoisie, à force de vouloir nous rendre cons, à force de nous prendre pour des cons, est devenue elle-même irrémédiablement conne. Tous les discours, les débats, les interviews sont d’une bêtise, d’une pauvreté, d’une étroitesse de vue, d’un parti pris, incroyables. A force d’avoir voulu nous abrutir, nous infantiliser, à force d’avoir cru nécessaire de se mettre à notre niveau, ils sont devenus plus cons que nous.

- Une élite à la ramasse, des populations conscientisées confrontées à la folie destructrice de leurs dirigeants, le précipice devant nous… et pourtant rien ne bouge : pas de révoltes, pas de désobéissance, à peine quelques procès. Les Gilets jaunes ont disparu et la dictature sanitaire règne partout sans encombre.

- Mais pourquoi ? Pourquoi nous laissons-nous mener comme des moutons à l’abattoir ? Comment des élites autoproclamées, dont l’incompétence et la déconnexion ne font plus aucun doute, parviennent-elles à nous maintenir dans une impuissance telle que nous n’essayons même plus de nous battre pour inverser le cours des choses ?

LVOG - Il a raison de se mettre dans le troupeau quand on lit la suite.

- Nous savons désormais qu’il est inutile d’attaquer le système de front. Il est bien verrouillé, avec la pensée unique, les médias de propagande, la collusion des pouvoirs, la police militarisée et la dispersion de la responsabilité. Nous l’avons vu, les grèves et les manifestations ne servent plus à rien. Mondialisation.ca, 27 septembre 2020

https://www.mondialisation.ca/la-ploutocratie-occidentale-a-t-elle-raison-de-mepriser-le-peuple/5649593

LVOG - Tout travailleur ou militant qui refuse de remettre en cause ses croyances ou connaissances est incapable de saisir la situation telle qu'elle est. Comment serions-nous mieux placé que d'autres pour savoir ce qu'elle est ? Parce que nous nous en tenons strictement aux faits et à leur enchaînement.




DEUXIEME PARTIE

Les institutions de la Ve République sont illégitimes : Abolition !

- Législatives partielles dimanche 27 septembre. Comme au premier tour, l'abstention a été très forte. Elle a oscillé entre 81 et 84% dans les circonscriptions hors Ile-de-France. francetvinfo.fr 28 septembre 2020

Macron en dictateur zélé du nouvel ordre mondial : Dégage !

- Biélorussie : "Il est clair que Loukachenko doit partir", affirme Emmanuel Macron - Europe1 27 septembre 2020

- Un slogan dont on ne se lasse pas : « Il doit partir » - Réseau Voltaire 28 septembre 2020

Les grandes puissances occidentales méprisent les peuples non-occidentaux. À la conférence de Versailles (1919), elles refusaient de reconnaître l’égalité des peuples, et conservent aujourd’hui encore quelques colonies.

Elles se sont arrogées le droit de dire qui avait le droit de gouverner tel ou tel État. En 2011, elles lançaient le slogan « Kadhafi doit partir ! », prétendument pour le bien du peuple libyen. Aujourd’hui le Guide est mort et l’esclavage a été rétabli. Toujours en 2011, elles lançaient avec familiarité « Bachar doit partir ! » (Bachar et non pas Assad). Mais, le peuple syrien résista et neuf ans plus tard le prétendu tyran est toujours-là. C’est désormais le tour de Loukachenko doit partir.

C’est tout au moins l’opinion du président français, Emmanuel Macron, pour lui « Loukachenko doit partir ! » [1]. Motif : l’élection présidentielle biélorusse a été truquée. C’est effectivement fort probable. Sauf qu’il est également fort probable qu’Alexandre Loukachenko est largement majoritaire dans son pays, en tous cas bien plus légitime que Svetlana Tikhanovskaïa. Conscientes de leurs déboires précédents, les Occidentaux ont donc refusé de reconnaître l’élection de Loukachenko, mais n’ont pas pour autant reconnu celle de Tikhanovskaïa. Réseau Voltaire 28 septembre 2020

[1] EXCLUSIF. Emmanuel Macron sur la situation en Biélorussie : "Il est clair que Loukachenko doit partir", par François Clemenceau, le Journal du Dimanche, 27 septembre 2020.

LVOG - Alexandre Loukachenko est largement majoritaire dans son pays, en tous cas bien plus légitime que... Macron minoritaire et illégitime, le produit d'un coup d'Etat de l'oligarchie.

Macron « médiateur » de la crise biélorusse - Réseau Voltaire 29 septembre 2020

Après le Liban, le président français, Emmanuel Macron, ambitionne de devenir le « médiateur » de la crise biélorusse. Il a pourtant déjà pris position contre le président Alexandre Loukachenko dans un entretien au JDD, le 28 septembre 2020, et pour l’opposante Svetlana Tikhanovskaïa, qu’il a reçu le lendemain à Vilnius.

Allant plus loin encore, le parti du président, La République en marche, a invité l’opposante à s’exprimer devant l’Assemblée nationale, ce qu’elle a accepté.

Rappelons que la politique incarnée par le président Loukachenko est très majoritairement approuvée par ses concitoyens, tandis que ses méthodes sont vivement critiquées par les partisans de son opposition.

Macron fustige la "trahison" des autorités d'un Liban plus que jamais en crise - euronews 28 septembre 2020

Quel est le tyran qui a dit ?

- "De façon générale, je pense qu'il faut qu'on fasse un travail collectif sur la violence et les victimes de violences qui peut prendre différentes formes (...) Nous sommes une société qui est vraiment vraiment soumise à de plus en plus d'expression de violence comme si c'était la norme, la règle ou si c'était pas grave".

Réponse : Olivier Véran dans Le Grand oral de LCI.(programme-tv.net 28 septembre 2020)

LVOG - Si vous avez lu 1984, plus rien ne devrait vous surprendre.

Vivre dans un coffre-fort bien garni, c'est plus confortable.

Genève instaure le "salaire minimum le plus élevé" du monde - Yahoo 28 septembre 2020

Les habitants de Genève ont tranché et instauré une rémunération minimale de 21 euros de l'heure pour tout salarié travaillant 41 heures par semaine. Il s’agit du Smic le plus généreux de la planète.

Tout plaquer pour travailler à Genève, ça vous tente ? Au vu du dernier vote à Genève, il se pourrait bien que l’idée vous séduise. Dimanche, les habitants du canton de Genève - qui partage plus de 95 % de ses frontières avec la France - ont voté à une large majorité (58%) pour l’instauration d’un salaire minimum de 23 francs suisses de l'heure, soit 21 euros, pour tous ceux qui travaillent à Genève. Un résultat surprise après deux refus populaires en 2011 et 2014.

Rapporté au mois, la nouvelle loi garantit 4 086 francs suisses (3 780 euros) pour 41 heures de travail hebdomadaire à n’importe quel travailleur. La mesure pourrait entrer en vigueur à partir du 17 octobre selon Le Dauphiné Libéré. Après le Jura et Neuchâtel, Genève n'est que le troisième canton, sur 26, à adopter ce salaire minimum en Suisse.

En France, le Smic horaire brut est à 10,15 euros et à 1539,42 euros mensuels.

LVOG - Pourquoi ne pas l'imposer dans tous les pays riches ? Pourquoi pas le mieux social à la place du moins social pour changer ? Oui mais il faudrait changer de régime. Alors changeons-en, renversons le régime en place, qu'est-ce qu'on attend ?

Totalitarisme. Fabrication du consentement au quotidien.

Sondage. 72% des Français se disent prêts à respecter un reconfinement d'au moins 15 jours - Journal du Dimanche 27 septembre 2020

Face à l'accélération de l'épidémie, la grande majorité des Français est prête à faire des efforts, comme le révèle le dernier sondage de l'Ifop pour le JDD. En revanche, la confiance envers le gouvernement pour faire face à l'épidémie diminue nettement.

L'angoisse face à la pandémie reste élevée, la confiance dans le pouvoir n'a jamais été aussi faible. C'est ce que montre le dernier sondage de l'Ifop réalisé pour le JDD. Si une très large majorité de Français se disent inquiets pour leur santé (68%) et plus encore des conséquences économiques du virus (86%), la proportion est légèrement plus basse que durant le confinement, entre mars et mai. En revanche, la part de la population qui se fie au gouvernement pour résoudre la double crise sanitaire et économique devient nettement minoritaire. 44% des sondés font confiance à l'exécutif pour aider les entreprises en difficulté et 36% pour faire face efficacement au coronavirus. Journal du Dimanche 27 septembre 2020

LVOG - Il faudrait "faire des efforts" pour se priver de toute liberté. Pourquoi se gêneraient-ils, puisque "faire des efforts" pour se libérer de cette tyrannie semble au-dessus des moyens ou des intentions de la majorité de la population. Cela vous choque, je ne vois pas pourquoi puisque cela n'a jamais choqué plus que cela la majorité de la population que des millions de travailleurs et leurs familles vivent dans la pauvreté et la précarité depuis l'après-guerre pour ne pas remonter plus loin, faute de participants, les générations s'éteignant au fur et à mesure, même sans cela bientôt on ignorera totalement que le capitalisme s'est toujours accommodé de la grande pauvreté, de la guerre, notamment.

Quand Nobel rime avec le fond de la poubelle des scientifiques.

Covid-19 : "pour éviter les contaminations à Noël", deux prix Nobel prônent un confinement du 1er au 20 décembre - Franceinfo 27 septembre 2020

Ils osent tout. Entrez dans une "simulation informatique" un "nouveau modèle de calcul", et vous obtiendrez "beaucoup des superinfecteurs".

LVOG - Fabrication d'une pandémie, suivez la piste des faussaires et vous saurez qui en était à l'origine et à qui elle devait profiter.

Des scientifiques désignent les «responsables» de la propagation de la pandémie de Covid-19 - fr.sputniknews.com 26 septembre 2020

Les personnes surnommées superinfecteurs sont la raison de l’expansion de la pandémie de Covid-19 dans le monde entier, selon les scientifiques de l'Académie polonaise des sciences et de l'université de Varsovie. Les résultats de leurs recherches ont été publiés dans le journal Royal Society Open Science.

Au début de l'épidémie, les experts ont évalué l'indice de reproduction du virus, soit le nombre de personnes infectées à partir d'un seul cas, et il était compris entre 2 et 4. Toutefois, grâce à un nouveau modèle de calcul, les chercheurs en ont conclu qu'au cours d'une période de croissance exponentielle du nombre de cas en Chine, en Italie, en France et dans d'autres pays, ce taux a pu atteindre 11,4 en raison des superinfecteurs, des personnes infectées ayant une plus grande probabilité de propager le virus.

La simulation informatique a révélé deux phases de diffusion. Au début, la contamination a été lente, mais a ensuite été beaucoup plus intense avec l'arrivée de 1% des superinfecteurs lors des manifestations massives.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont étudié des données réelles insérées dans une simulation informatique destinée à modéliser la progression de la pandémie. Celle-ci a montré la sous-estimation du taux de reproduction aux premiers stades de la pandémie parce que la probabilité de propagation virale lors d’un événement de super-propagation (où beaucoup des superinfecteurs sont présents) est faible. fr.sputniknews.com 26 septembre 2020

Qu'est-ce que la revue Royal Society Open Science ou dites-nous qui vous finance et nous vous dirons qui vous êtes ?

Allons voir dans leur portail : https://royalsociety.org/journals/authors/which-journal/open-access/

- Les politiques d'accès ouvert de toutes nos revues sont entièrement conformes à toutes les exigences existantes des bailleurs de fonds - en particulier, Plan S / cOAlition S, toutes les agences de financement fédérales américaines, HHMI, Commission européenne / ERC, UKRI et la Fondation Bill et Melinda Gates. LVOG - Comme le monde est petit décidément ! Gates, c'est pire que la mafia et ses tentacules ou son réseau mondial d'officines corrompues et criminelles.

Sinon, en magasin ils ont aussi la lobotomie par l Naegleria Fowleri, une amibe, tremblez !

Texas : des eaux infestées par une amibe « mangeuse de cerveaux » - LePoint.fr 28 septembre 2020

Quand elle est aspirée par le nez, cette amibe dévore tout jusqu'au cerveau provoquant la mort en moins d'une semaine dans 95 % des cas, rappelle la BBC.

Entre 2009 et 2018, rapporte la BBC, 34 personnes sont officiellement décédées après une infection à la Naegleria Fowleri.

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies signale que l'amibe a plus de chances de se développer dans les eaux douces chaudes et qu'elle ne peut pas être transmise en étant avalée, ni d'une personne à une autre. LePoint.fr 28 septembre 2020

LVOG - Quel dommage, n'est-ce pas ? Et tous ses sales gosses qui foutent leurs doigts dans le nez...

Leur dernier tour de magie en 15 minutes. "Et voilà"!

- Des auto-tests de dépistage rapide du Covid-19 distribués aux Etats-Unis, adoubés par l'OMS euronews 29 septembre 2020

Il s'agit de tests antigéniques, moins fiables, mais indispensables en période de pic de l'épidémie selon l'Organisation mondiale de la Santé.

A la Maison Blanche, le test américain a fait l'objet d'une démonstration réalisée par l'Amiral Brett Giroir, secrétaire adjoint à la Santé :

"Un, deux, trois, quatre, cinq. Un, deux, trois, quatre, cinq. On met le bâtonnet dans le test, on tourne trois fois, on retire l'adhésif et on attend 15 minutes. Et voilà."

Ce sont des tests antigéniques moins précis que les tests PCR, mais qui suffiraient pendant un pic de contagiosité et utiles dans les zones défavorisées comme l'explique le Docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS :

"Cela permettra d'étendre les tests, en particulier dans les zones difficiles d'accès qui ne disposent pas de laboratoires ou d'un nombre suffisant d'agents de santé qualifiés pour effectuer ces tests. C'est un ajout vital à leur capacité de dépistage et particulièrement important dans les zones de forte transmission". euronews 29 septembre 2020




TROISIEME PARTIE

Contre-propagande ou combat pour nos libertés.

Vidéo. Dr. Heiko Schöning Arrested For Speaking truth. Trafalgar Square London Protests - 26 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=cisHqWf83G4&feature=emb_title

Par Peter Koenig - Mondialisation.ca, 29 septembre 2020

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté le samedi 26 septembre à Trafalgar Square et à Hyde Park, à Londres, contre les mesures restrictives et oppressives de la Grande-Bretagne en matière de covidage. Dans le Speaker’s Corner de Hyde Park, mondialement connu, où des personnalités historiques telles que Karl Marx, Vladimir Lénine et George Orwell avaient l’habitude de manifester pour la liberté d’expression, se trouvait hier, le 26 septembre, le Dr Heiko Schöning d’Allemagne. Il est le fondateur de Médecins pour la Vérité en Allemagne et co-fondateur de la Commission extra-parlementaire allemande pour l’enquête (COVID-19).

Dans un bref discours de 3 minutes, il a parlé de la Vérité au pouvoir, du mensonge lié à la COVID-19 et de ce que la pandémie a fait à l’humanité et à l’économie mondiale. Il était interviewé par un journaliste, lorsqu’il a été soudainement arrêté par la police, menotté, poussé dans une voiture de police et conduit au Centre de détention de Wandsworth, où il a été détenu pendant 22 heures, simplement pour avoir dit la vérité sur la COVID-19.

Aujourd’hui, le 27 septembre, le Dr Schöning a été libéré et acclamé par le public devant le poste de police. Il a brièvement parlé aux personnes qui l’ont reçu, disant que la police avait confisqué son téléphone portable, son ordinateur et un livre, appelé Corona False Alarm, du Dr Karina Reiss et du Dr Sucharit Bhakdi, deux scientifiques allemands de renom. Le Dr Bhakdi est microbiologiste et épidémiologiste pour les maladies infectieuses, et le Dr Reiss est professeur et chercheur à l’université Christian-Albrechts de Kiel. Le livre est déjà un best-seller en Allemagne et sa traduction anglaise pourrait connaître un succès similaire dans le monde entier.

Lorsqu’il s’est exprimé devant le poste de police, le Dr Schöning a appelé les gens à défendre leurs droits. De continuer à se battre. À résister. Il a rappelé aux gens une énorme manifestation pacifique contre la corruption et l’oppression qui aura lieu le 10 octobre 2020 (10-10-20) à Berlin, où ils attendent des centaines de milliers de personnes, comme ce fut le cas lors des manifestations pacifiques du 1er août et du 29 août 2020. Il a invité tout le monde à venir à Berlin et à participer, mentionnant également que Robert Kennedy Jr. était avec lui sur scène le 29 août à Berlin.

Madrid: manifestation contre le reconfinement partiel - BFMTV 27 septembre 2020

Plusieurs centaines de personnes ont manifesté ce dimanche à Madrid contre le reconfinement partiel décrété dans certaines zones populaires de la région de la capitale espagnole. BFMTV 27 septembre 2020

- Censure : Les Pr Toussaint, Toubiana et 200 (près de 300 le 28 au soir - LVOG) autres scientifiques, universitaires et professionnels de santé censurés par le JDD. Lisez la tribune interdite. - covidinfos.net 27 septembre 2020

Voici la tribune incriminée et censurée par le JDD (Journal du Dimanche). À l’origine de ce texte on trouve notamment le sociologue Laurent Mucchielli, les professeurs Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana. Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19

Ce document a été actualisé à partir de l'adresse suivante :

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/270920/il-est-urgent-de-changer-de-strategie-sanitaire-face-la-covid-19

Dans cette tribune, près de 300 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu'elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l'on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.

Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique "Tribune/Opinions", elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l'objet d'un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s'en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d'autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n'a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu'il prétend fondées scientifiquement sur l'analyse de l'épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu'ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l'obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l'ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L'espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

On ne compte plus les mêmes choses

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l'épidémie. Elles ont surtout abandonné l'indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s'étonner du fait qu'on trouve davantage aujourd'hui ce qu'on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s'interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu'une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l'INSEE : « depuis le 1er mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

Il découle de tout ceci qu'il n'y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d'arrêter l’escalade, d'accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

Source de l’article et liste des signataires :

Blog de Laurent Mucchielli : “Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19”

Pour voir la liste des signataires. Il n'y figure pas celle de Didier Raoult

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/270920/il-est-urgent-de-changer-de-strategie-sanitaire-face-la-covid-19

LVOG - Le Pr. Didier Raoult ne l'a pas signé, normal.

- “Acceptons de prendre le risque raisonnable d’être contaminé” demande le Pr Carpentier - covidinfos.net 25 septembre 2020

Tribune publiée sur le site du quotidien Les Échos du 23 Septembre par le Pr Alexandre Carpentier, chef de service de neurochirurgie à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Extraits.

« A la mi-mars, le monde s’arrêtait de tourner, grippé par le Covid-19. Six mois plus tard, les bavettes chirurgicales à la pâleur spectrale masquent les visages sur tous les continents. La peur de la contagion immobilise… Mais est-ce bien raisonnable de la laisser asphyxier notre pays ? Est-ce bien sensé de la laisser nous étrangler ? » […]

« Peut-on revenir à la raison et mettre fin à cette médecine sanitaire préventive de groupe qui paralyse la France ? On égrène nos morts dans des litanies Covid à faire pâlir notre quatrième âge, mais pourrait-on mettre en balance toutes les victimes collatérales ô combien nombreuses : suicides, dépression, pauvreté et exclusion, surendettés, licenciés, déscolarisés, patients non-covid et faillis. Un enfant qui décroche, un chef d’entreprise qui licencie faute de commandes, ne méritent-ils pas qu’on se libère de nos excès de précaution ? »

« Empêcher un virus de circuler est une illusion. Plus de 60 % de la population sera atteinte, quel que soit le niveau de coercition des règles sanitaires. Ce sera ainsi et ce sera “la faute à personne”. C’est la vie d’un virus. »

« Chaque année, des gens meurent de la grippe, bien que vaccinés. La maîtrise d’un virus n’est donc que partielle. Elle le sera tout autant avec le prochain antidote Covid. Et rappelons aussi 80 % des personnes emportées par les grippes saisonnières ou le Covid-19 ont plus de 75 ans : à quel âge la mort a-t-elle le droit de voler son butin sans qu’on l’impute à un autre ? Reprenons donc le cours de nos vies, acceptons de prendre le risque raisonnable d’être contaminé comme nous l’avons toujours fait. A-t-on jamais arrêté le pays pour pic épidémique de grippe ? Le “protéger quoi qu’il en coûte” aura un effet boomerang trop considérable pour que nous poursuivions ainsi plus longtemps. » […]

« Libérons de toute responsabilité morale les directeurs d’école, les chefs d’entreprise et nos gouvernants pour que la vie ne s’arrête plus, pour que les conséquences sociétales déjà majeures ne s’alourdissent pas. Le ralentissement économique d’un pays peut très vite engendrer une double faillite, sociale et sociétale, impactant non pas seulement une population à un temps T, mais plusieurs générations. Aujourd’hui nous sacrifions l’avenir, nous sacrifions nos jeunes. »

« Alors, acceptons le risque d’être vivant et vivons pleinement notre vie de mortels. Là seulement réside notre vraie responsabilité. »

Lire l’intégralité de l’article :

Les Echos : « Covid-19 : acceptons de prendre le risque raisonnable d’être contaminé »

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-covid-19-acceptons-de-prendre-le-risque-raisonnable-detre-contamine-1248119

- “COVID 19 : l’imposture”, le Dr Badel dénonce “terreur permanente” et “dictature sanitaire” - covidinfos.net 26 septembre 2020

De l’absence de sens à la dictature sanitaire en passant par la “terreur permanente”, le Dr Frédéric Badel, psychiatre, explore dans cet article les causes et conséquences de la crise associée au Coronavirus.

COVID 19 : l’imposture

Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.

La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.

L’absence de sens

Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.

L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.

Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).

Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.

Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

Des files attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatique ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).

Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.

De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible. Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.

Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.

Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?

Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?

Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominides ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.

Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.

Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.

Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.

On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.

Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.

Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans?

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?

Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.

La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).

Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.

Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?

Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyen-âgeux.

La dictature sanitaire

Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?

Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durée des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.

Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.

Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires :

Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.

Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…

Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.

Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques. covidinfos.net 26 septembre 2020




QUATRIEME PARTIE

Le mouvement ouvrier était déjà mort avant cet épisode. Il faut le refonder.

LVOG - Si on voulait être plus précis, il faudrait dire le mouvement ouvrier est devenu le complément naturel de la réaction, non seulement il collabore avec elle ou il la supporte, il l'encourage, parfois même il la devance par excès de zèle, il se comporte ainsi non plus en adversaire mais ouvertement en ennemi des travailleurs, de leurs intérêts fondamentaux, des libertés individuelles et collectives.

Nous n'avons trouvé absolument aucune formation politique ou syndicale méritant de parler en notre nom ou digne de nous représenter, en cela, c'est pire que s'il était minuit dans le siècle, c'est à l'extinction programmée de la civilisation humaine à laquelle ils collaborent tous.

Comment des militants ouvriers peuvent-ils être aussi bornés, aveugles, sourds, dénués de tout discernement, ne parlons même pas d'esprit critique ou de liberté de penser, ce serait insulter nos grands penseurs d'hier et les voix qui parmi les élites ou les classes moyennes s'élèvent contre cette tyrannie idéologique sous couvert d'une crise sanitaire imaginaire ou fabriquée ?

Comment peuvent-ils se faire les complices et les porte-parole de Macron, de son Conseil scientifique corrompu, aux ordres de l'oligarchie, des trusts pharmaceutiques mafieux et criminels, du gang du Forum économique mondial qui avait planifié d'instrumentaliser une banale épidémie virale pour instaurer un régime mondial totalitaire, et ainsi liquider les progrès sociaux et politiques réalisés par la civilisation humaine au cours des derniers millénaires pour parvenir à s'émanciper du règne de la nécessité, leur cible pour pérenniser le règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, l'hégémonie de leur caste de prédateurs, de kleptomanes, de barbares ?

Nos lecteurs n'ont peut-être pas bien saisi le tournant stratégique opéré par l'oligarchie financière vis-à-vis du capitalisme, alors que nous aurions dû y être préparé de longue date, depuis au moins que les appels en faveur d'un nouvel ordre mondial s'étaient multipliés au plus haut niveau des Etats occidentaux et des institutions internationales qu'ils contrôlent. Autant dire qu'ils étaient passés à côté du rapprochement entre l'industrie numérique et l'industrie pharmaceutique ou les liens qui existaient entre eux depuis des années, voire les investissements de Bill Gates qui ne remontent pas à hier.

Tardieu déblatère, vérifions-le sur le champ, relevez la source et la date de cet article :

Dans le portail de La Fondation Bill & Melinda Gates (www.gavi.org/fr)

- La Fondation Gates a donné 750 millions de dollars US pour fonder Gavi en 1999.

Bill et Melinda Gates ont créé leur fondation en 1994, entre autre, après s'être rendu compte à la fin des années 90 que le rotavirus tuait un demi-million d'enfants chaque année. gavi.org/fr

Ils n'ont sans doute pas fait non plus le rapprochement entre les prétendues catastrophes climatique et sanitaire, qui combinées étaient destinées à détruire d'énormes masses de forces productives ou à mettre en pièces des secteurs économiques entiers.

Tardieu raconterait n'importe quoi, c'est un connard, c'est ce que pensent certains, vérifions-le immédiatement, relevez la source et la date de cet article :

- Pourquoi l’institution caritative la plus riche du monde est-elle actionnaire de sociétés qui sont à l’origine des fléaux sanitaires et écologiques qu’elle s’est donné pour objectif de combattre ? courrierinternational.com 31 janvier 2007

Depuis au moins le début des années 90, ils s'étaient fixés cette stratégie. Cela passera par l'accessibilité à Internet, le développement des réseaux sociaux, sans oublier Amazon et Alibaba, la généralisation des moyens de communication et de paiement numérique.

Manuel trotskyste d'opportunisme tout azimut. Ils ne luttent pas pour mais contre le socialisme.

Lutte ouvrière.

Devinez ce qui manque ?

Au sommaire du dernier numéro de Lutte de Classe

Bridgestone, GE, Auchan : empêcher les licencieurs de nuire
Chômage partiel : aide totale au patronat
Algérie le pouvoir veut étouffer la contestation
Pesticides : l'Europe exporte ses poisons
Rentrée universitaire : comme avant, le virus en plus
Bridgestone Béthune face à la fermeture
Laboratoires d'analyse : grève pour les salaires Italie : moins de parlementaires et après ?

Réponse : La pandémie idéologique du régime totalitaire avec son cortège de mesures liberticides que LO n'entend pas combattre.

LVOG - La guerre idéologique et psychologique que mène l'oligarchie contre la classe ouvrière : Jamais entendu parler !

LO - Le patronat mène la guerre sociale contre la classe ouvrière. Les travailleurs devront répondre avec leur propre plan de combat, en commençant par mettre en avant leurs revendications essentielles...

LVOG - Ce n'est pas Macron ou l'oligarchie qui vous imposent toutes ces mesures liberticides, c'est " l'épidémie de Covid". LO - La fête lyonnaise de Lutte ouvrière, les 19 et 20 septembre, a été un succès en dépit de l'épidémie de Covid et des mesures sanitaires qu'elle impose à tous. LVOG - On se croirait au Forum économique mondial.

LO - Les révoltes populaires au Liban ou en Biélorussie, la violence policière et le racisme, en France ou aux États-Unis, l'industrie pharmaceutique, la pandémie et les vaccins, la situation en Chine, sont parmi les sujets qui ont été débattus.

NPA (Hebdo L’Anticapitaliste - 536 (24/09/2020)

LVOG - la deuxième vague

Au début de la deuxième vague, avant même l'arrivée de la grippe et des viroses automnales, le système des tests PCR de dépistage du Covid-19 s'est effondré.

LVOG - Le NPA relaie la propagande officielle au 20H sur toutes les chaînes de télévision corrompues.

Alors que 55 départements sont en zone rouge, que le nombre de tests positif est passé en un peu plus d'un mois de 1300 à près de 13 000 quotidiens, que les admissions en réanimation ont bondi de 48%, tester, tracer, isoler est devenu un véritable parcours du combattant.

LVOG - Le NPA porte-parole du Conseil scientifique du régime de Vichy, ils en redemandent, Macron ne serait pas assez tyrannique !

- Pas d'annonce de Macron sur le front du Covid, alors que même le comité scientifique réclamait des mesures fortes. Comme si le gouvernement s'était résolu à une deuxième vague, en espérant qu'elle ne ferait pas trop de morts. Priorité aux profits.

LVOG - La crasse ignorance dans toute sa splendeur, ils sont plus qu décomposés au NPA, ils sont lobotomisés, ce sont des abrutis de la pire espèce qui n'ont absolument rien à voir avec le mouvement ouvrier.

- De son côté, l’épidémie se poursuit, avec aujourd’hui 35 000 cas référencés par semaine, sans que l’on puisse comparer ce chiffre à celui de 30 000 par semaine en mars dernier, puisqu’à ce moment-là la population n’était pas testée. Le nombre d’hospitalisations se maintient autour de 5 000 (contre plus de 30 000 en mars), le nombre de personnes en réanimation à moins de 1 000 (contre 7 000 en mars), chacun de ces chiffres étant toutefois en nette hausse depuis fin août. Le nombre de décès est aux environs d’une cinquantaine chaque jour (alors que le pic était à 1 000 en avril). L’enjeu n’est pas pour nous de minorer la séquence pandémique actuelle, mais d’en appréhender les rythmes, en particulier de la possible seconde vague.

- LVOG - Ne vous inquiétez pas, on ne vous reprochera pas de "minorer la séquence pandémique actuelle", continuez comme cela, c'est parfait.

- Mais ce n’est pas parce que toutes les raisons sont là pour se révolter et exiger des comptes au gouvernement et aux capitalistes que notre camp social est à l’offensive.

Les éléments combatifs n’ont toutefois pas disparu, malgré la pression d’une crise sanitaire importante qui pousse à l’attentisme. Nous sommes donc dans une situation contradictoire : les mobilisations sont faibles, et le lien entre les revendications les plus immédiates et une contestation globale des politiques gouvernementales n’est pas spontané.

De même, la question de la gratuité des masques devrait être au cœur des préoccupations de la gauche sociale et politique...

LVOG - Elle nous donne envie de dégueuler votre "gauche sociale et politique", quelle infamie !

Qu'est-ce que font des militants ouvriers dans tous ces partis pourris jusqu'à la moelle ?

World Socialist Web Site. (wsws.org)

LVOG – Toujours ou encore la voix de l’OMS ou du Forum économique mondial. Wsws ce sont aussi les dingues qui chaque matin nous annoncent une nouvelle guerre mondiale depuis des décennies.

Wsws - Il est urgent de mobiliser la classe ouvrière à travers l’Europe et au niveau international dans une grève générale pour stopper la résurgence actuelle de COVID-19.

Une résurgence du virus, déjà perceptible en juillet, est maintenant en plein essor.

Les responsables de l’État sont bien conscients que ce niveau de propagation du coronavirus menace de provoquer des pertes massives en vies humaines

Un tel scénario, dans lequel des millions de personnes seraient infectées et des milliers mourraient chaque mois dans tous les grands pays européens, constitue un danger imminent.

- La recrudescence des infections de COVID-19 au Canada met en évidence la criminalité de la campagne de retour au travail et de rentrée scolaire - 23 septembre 2020

- L’Organisation mondiale de la santé met en garde contre la résurgence «alarmante» de COVID-19 en Europe - 19 septembre 2020

- La pandémie de COVID-19: un événement déclencheur dans l'histoire du monde - 4 mai 2020

La pandémie est un événement historique qui révèle la faillite économique, politique, sociale et morale de la société capitaliste.

POID

Fil d'infos ou la voix de l'OMS ou du Conseil scientifique de Macron, de l'OIT, autre officine de l'ONU, de l'AFP et des médias-oligarques, n'avaient-ils pas été parmi les plus zélés Charlie, la concurrence est rude chez les opportunistes enragés !

- Covid-19 : plus de 16.000 nouveaux cas en 24 heures

24 septembre 2020 – 16.096 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés en 24 heures selon les données diffusées en soirée par Santé publique France. La part des malades parmi les personnes testées (le taux de positivité) ne cesse d’augmenter, atteignant 6,5% contre 6,2% le 23 septembre et 5,4% la semaine dernière.

23 septembre – 2020Coronavirus : selon l’OIT les conséquences sont « catastrophiques » pour l’emploi

Les journalistes s’élèvent contre le nouveau « schéma national du maintien de l’ordre »

22 septembre 2020 – Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur et publiée par le quotidien Le Monde, une quarantaine de sociétés de journalistes s’élèvent contre le « schéma national du maintien de l’ordre » que le ministre de l’Intérieur vient de publier et qui « porte atteinte à la liberté d’informer ». Ils soulignent notamment que « l’exercice de la profession de journaliste, définie dans le code du travail, ne nécessite pas la possession d’une carte de presse », « tant pour la couverture des manifestations dans l’espace public que pour l’ « identification » » requise pour les équipements de protection. De nombreux médias sont signataires de ce courrier: Agence France Presse, chaînes BFMTV et France 2, la radio Europe 1, Arrêt sur images, Challenges, Courrier international, les Echos, l’Express, le Figaro, France info, etc…

LVOG – Tous Charlie, quelle ignominie !

21 septembre 2020 – Rassemblement devant l’Assemblée nationale contre le projet de loi recherche

LVOG – Indéfendable, trop mal orientée et corrompue…

17 septembre 2020 – Au Mexique, 650 intellectuels et journalistes appellent le président à respecter la liberté d’expression

LVOG – Ah, c'est vrai, on avait oublié qu'il était de gauche !


Le 6 octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

J'ai téléchargé quelques articles que je mettrai en ligne plus tard, rien ne presse!

Déclaration.

Suite au climat délétère qui règne en France, au déni permanent dans lequel ont sombré délibérément tous les acteurs politiques du mouvement ouvrier, à l'indifférence des lecteurs sur laquelle il vaut mieux ne pas s'appesantir, j'avais manifestement surestimé leurs capacités intellectuelles autant que leurs intentions, j'ai décidé de me mettre en retrait ou en stand by pendant une durée indéterminée. Vaut mieux économiser ses forces pour affronter la tempête qui vient.

Je considère que tout a été dit sur ce portail pour se faire une idée précise de la situation, il est donc parfaitement inutile de rajouter quoi que ce soit. La pire réaction a le champ libre en bénéficiant de la neutralisation de la lutte de classes à son profit sur le plan politique. Nous sommes ainsi condamnés à subir la suppression de nos libertés fondamentales sans réagir, dans ces conditions nous n'avons plus rien à nous dire, même sous la forme d'un monologue. Surtout que personne ne vienne se plaindre de son sort.

On a vraiment l'impression de vivre dans un asile d'aliénés, où chacun dénonce la folie des autres qui l'a atteint également sans en avoir la moindre conscience. Il y a donc de quoi être perplexe sur les chances de guérison d'une telle pathologie mentale. Chacun feint plus ou moins hypocritement de découvrir à quel point la société est pourrie dans tous les domaines, alors qu'elle l'a toujours été, pour aussitôt s'en accommoder encore et toujours. Et bien qu'on ne compte pas sur moi pour cautionner cette forme d'infantilisme ou d'irresponsabilité insupportable.

On semble avoir oublié que l'enjeu n'était rien de moins que le destin de la civilisation humaine que les uns et les autres traitent par dessus la jambe ou bradent allègrement. Force est d'en déduire que nous ne partageons pas le même idéal, et que par conséquent nous n'avons rien à faire ensemble.

Je vous souhaite le meilleur...


Le 2 octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

On se détend un peu avant d'aborder cette causerie, les lecteurs vont en avoir grand besoin.

Peut-être le méritaient-ils ? Qui, devinez ?

- Des perroquets placés en isolement au Royaume-Uni après avoir insulté des visiteurs - sputniknews.com 1er octobre 2020

Cinq perroquets gris d’Afrique ont été retirés d'un zoo britannique pour une raison peu banale: ils insultaient les clients et le personnel, a fait savoir la chaîne de télévision américaine CNN.

«C'était devenu dingue, ils juraient tous. Nous étions un peu inquiets pour les enfants», a déclaré le directeur général de l'établissement, ajoutant qu’il était lui-même insulté à chaque fois qu’il passait. sputniknews.com 1er octobre

LVOG - Entre nous, on se demande ce que foutent ici ce genre d'animaux, dans des cages, des cirques... A force de le tolérer, on a fini par être voués au même sort.

A-t-on encore le droit de se poser des questions ?

Dans cette causerie vous allez sans doute découvrir les dernières déclarations du Forum économique mondial à propos de la Grande Réinitialisation destinée à instaurer un gouvernement mondial totalitaire, elles datent du 29 septembre, elles constituent ouvertement un appel de l'oligarchie à la guerre totale contre tous les peuples, leurs besoins sociaux et leurs aspirations démocratiques légitimes.

Questions : Pourquoi cela n'a-t-il pas fait l'objet des couvertures ou des éditoriaux des publications des partis dits ouvriers, des syndicats dits ouvriers, pourquoi ? Pourquoi pratiquent-ils tous l'autocensure ?

Réponse : Parce qu'aucun n'entend relevé ce défit ou livrer cette guerre, ils sont tous corrompus, morts pour notre cause, ils ont tous basculer dans le camp de la pire réaction, exactement comme le 3 août 1914, alors gardez-vous bien d'affirmer que ce serait impossible.

Ensemble chassons-le !

Le Parisien a rapporté que le despote de l'Elysée a fait coller par une entreprise privée (Selon un adhérent de LREM) dans toute la France, près de 200.000 affiches le représentant haranguant la foule avec le slogan "Ensemble nous réussirons" (Source : sputniknews.com 1er octobre 2020)

11 pages au format pdf




PREMIERE PARTIE

Défense du marxisme.

En temps de guerre, soyons léniniste, soyons marxiste !

LVOG - Eh voilà, je vais encore passer pour un extrémiste !

Lénine - la faillite de la II° Internationale (Juin 1915)

Extrait - Les partis socialistes ne sont pas des clubs de discussion, mais des organisations du prolétariat en lutte, et lorsque des bataillons sont passés à l'ennemi, il faut les flétrir et les proclamer traîtres, sans se laisser "prendre" aux discours hypocrites qui disent que "tout le monde" ne conçoit pas l'impérialisme "de la même façon"... Le capitalisme dans toutes les manifestations de son brigandage et dans les moindres ramifications de son développement historique et de ses particularités nationales ne sera jamais étudié jusqu'au bout; les savants (et les pédants surtout) ne cesseront jamais de controverser sur les détails particuliers. Il serait ridicule de renoncer "de ce fait" à la lutte socialiste contre le capitalisme, de ne pas vouloir s'opposer à ceux qui ont trahi cette lutte.

- Le mot d'ordre qui généralise et oriente ce travail, qui aide à unir étroitement ceux qui veulent concourir à la lutte révolutionnaire du prolétariat contre son gouvernement et sa bourgeoisie, c'est le mot d'ordre de la guerre civile.

LVOG - Il y a quelques jours dans une causerie j'ai évoqué la formation de milices ouvrières armées dans la perspective d'un soulèvement armée pour renverser le régime et chasser son représentant fascisant, Macron. Je ne voyais pas par quel autre moyen mettre un terme à l'Etat d'urgence permanent ou au coup d'Etat totalitaire couvert par une psychose collective. Toute initiative individuelle serait vouée à l'échec ou ne servirait à rien, quoiqu'on n'en sache rien à l'avance, on privilégie plutôt une démonstration de force collective qui frapperait la conscience des masses.

Quand on les entend dire qu'ils envisageraient d'imposer leurs mesures liberticides au moins jusqu'en mars 2021, en France, ailleurs il y en a qui vont encore plus loin, on se doit d'adopter cette orientation politique, même si elle est violemment rejetée par les dirigeants de tous les partis dits ouvriers qui collaborent avec Macron. On n'appelle pas à descendre armé dans la rue dès maintenant, on affirme qu'il faudra en passer par là et qu'il n'existe aucune autre alternative pour arrêter la furie totalitaire des représentants de l'oligarchie, donc il faut y préparer les militants et les travailleurs.

Redonnons la parole au camarade Lénine.

- Concluons.

La faillite de la II° Internationale s'est exprimée avec le plus de relief dans la trahison scandaleuse, par la majorité des partis social-démocrates officiels d'Europe, de leurs convictions et de leurs résolutions solennelles de Stuttgart et de Bâle. Mais cette faillite, qui marque la victoire totale de l'opportunisme, la transformation des partis social-démocrates en partis ouvriers national-libéraux, n'est que le résultat de toute l'époque historique de la lIe Internationale, de la fin du XIX° et du début du XX° siècle : Les conditions objectives de cette époque transitoire - qui va de l'achèvement des révolutions bourgeoises et nationales en Europe occidentale au commencement des révolutions socialistes - ont engendré et alimenté l'opportunisme. Dans certains pays d'Europe, nous observons au cours de cette période une scission du mouvement ouvrier et socialiste, scission qui se produit, dans l'ensemble, selon qu'on répudie ou non la ligne opportuniste (Angleterre, Italie, Hollande, Bulgarie, Russie); dans d'autres pays se déroule une lutte longue et opiniâtre de courants autour du même problème (Allemagne, France, Belgique, Suède, Suisse). La crise créée par la grande guerre a arraché le voile, balayé les conventions, fait crever l'abcès mûri depuis longtemps, et a montré l'opportunisme dans son rôle véritable d'allié de la bourgeoisie. Il est nécessaire maintenant que celui-ci soit complètement détaché, sur le terrain de l'organisation, des partis ouvriers. L'époque impérialiste ne peut tolérer la coexistence, dans le même parti, des hommes d'avant-garde du prolétariat révolutionnaire et de l'aristocratie semi-petite-bourgeoise de la classe ouvrière, qui jouit de bribes des privilèges que confère à "sa" nation la situation de "grande puissance". La vieille théorie présentant l'opportunisme comme une "nuance légitime" au sein d'un parti unique, étranger aux "extrêmes", est aujourd'hui la pire mystification des ouvriers et la pire entrave du mouvement ouvrier. L'opportunisme ouvertement affirmé, qui répugne d'emblée à la masse ouvrière, est moins terrible et moins nocif que cette théorie du juste milieu, qui justifie la pratique opportuniste par des vocables marxistes, qui entend démontrer par toute une série de sophismes l'inopportunité des actions révolutionnaires, etc. Le représentant le plus en vue de cette théorie, et en même temps le champion le plus autorisé de la II° Internationale, Kautsky, s'est révélé un hypocrite de premier ordre et un virtuose dans l'art de prostituer le marxisme. Le parti allemand, fort d'un million d'adhérents, ne compte plus de social-démocrates quelque peu honnêtes, conscients et révolutionnaires, qui ne se détournent avec indignation d'une telle "autorité", ardemment défendue par les Südekum et les Scheidemann.

Les masses prolétariennes, dont les anciens chefs sont, probablement dans la proportion de 9 sur 10, passés à la bourgeoisie, se sont trouvées divisées et impuissantes devant le déchaînement du chauvinisme, devant l'oppression des lois martiales et de la censure militaire. Mais la situation révolutionnaire objective créée par la guerre, et qui va se développant en largeur et en profondeur, engendre infailliblement un état d'esprit révolutionnaire, aguerrit et instruit les meilleurs et les plus conscients des prolétaires. Il est possible et il devient de plus en plus probable qu'un changement rapide se produise dans l'état d'esprit des masses, semblable à celui qui, dans la Russie du début de 1905, était lié à la "gaponade", lorsque, en quelques mois, voire en quelques semaines, les couches prolétariennes arriérées ont constitué une armée, forte de millions de combattants, qui a suivi l'avant-garde révolutionnaire du prolétariat. On ne peut savoir si un puissant mouvement révolutionnaire se déploiera juste au lendemain de cette guerre, pendant son déroulement, etc., mais, en tout cas, seul le travail accompli dans ce sens mérite d'être qualifié de socialiste. Le mot d'ordre qui généralise et oriente ce travail, qui aide à unir étroitement ceux qui veulent concourir à la lutte révolutionnaire du prolétariat contre son gouvernement et sa bourgeoisie, c'est le mot d'ordre de la guerre civile.

Vous pouvez substituer à faillite de la II° Internationale, celle de tous les courants politiques issus de la IVe Internationale, les trotskystes officiels aux social-démocrates, la guerre idéologique initiée par le Forum économique mondial à la Première guerre mondiale, la trame est la même et les enseignements politiques également. Quant au dénouement de cette crise, en l'absence d'une avant-garde révolutionnaire organisée, il faudra encore attendre un long moment avant qu'on puisse concevoir ne serait que le début de l'espoir d'une issue favorable aux classes exploitées et opprimées. Entre temps il peut y avoir une guerre civile, et c'est seulement au cours de celle-ci que pourrait se constituer un nouveau parti ouvrier révolutionnaire.

Chacun a pu observer qu'au cours des décennies précédentes, bien que la réaction soit passée violemment à l'offensive contre les masses, rien ne s'est produit, le mouvement ouvrier ne s'est pas recomposé, bien au contraire, il a continué de pourrir sur place ou de virer à droite. Les militants formés dans ces partis n'ont pas été à bonne école (sic!). Qu'ils y soient restés ou qu'ils en soient sortis, ils n'ont jamais été en mesure de faire la part des choses pour constituer un pôle de regroupement sur les bases du socialisme et du marxisme. Il faudra un choc pour qu'ils rompent avec leurs dirigeants et l'opportunisme. C'est ainsi, ils ne sont pas plus évolués que la masse des travailleurs contrairement à ce qu'ils croient, et ils ne comprennent pas davantage la situation... Je possède suffisamment de témoignages sous forme de courriels depuis 12 ans qui le démontrent amplement. C'est le genre de trucs que j'ai aussi en permanence à l'esprit.

La faillite de la II° Internationale au format pdf

LVOG - Y avez-vous retrouvé ce vous avez lu dans mes causeries ? Remplacez la faillite et la trahison de la social-démocratie par celles de l'avant-garde du mouvement ouvrier en 2020, et observez la ressemblance.

On ne s'en lasse pas.

Lénine - Pour un marxiste, il est hors de doute que la révolution est impossible sans une situation révolutionnaire, mais toute situation révolutionnaire n'aboutit pas à la révolution. Quels sont, d'une façon générale, les indices d'une situation révolutionnaire ? Nous sommes certains de ne pas nous tromper en indiquant les trois principaux indices que voici :

1) Impossibilité pour les classes dominantes de maintenir leur domination sous une forme inchangée; crise du "sommet", crise de la politique de la classe dominante, et qui crée une fissure par laquelle le mécontentement et l'indignation des classes opprimées se fraient un chemin. Pour que la révolution éclate, il ne suffit pas, habituellement, que "la base ne veuille plus" vivre comme auparavant, mais il importe encore que "le sommet ne le puisse plus".

2) Aggravation, plus qu'à l'ordinaire, de la misère et de la détresse des classes opprimées.

3) Accentuation marquée, pour les raisons indiquées plus haut, de l'activité des masses, qui se laissent tranquillement piller dans les périodes "pacifiques", mais qui, en période orageuse, sont poussées, tant par la crise dans son ensemble que par le "sommet" lui-même, vers une action historique indépendante. Sans ces changements objectifs, indépendants de la volonté non seulement de tels ou tels groupes et partis, mais encore de telles ou telles classes, la révolution est, en règle générale, impossible. C'est l'ensemble de ces changements objectifs qui constitue une situation révolutionnaire. On a connu cette situation en 1905 en Russie et à toutes les époques de révolutions en Occident mais elle a existé aussi dans les années 60 du siècle dernier en Allemagne, de même qu'en 1859-1861 et 1879-1880 en Russie, bien qu'il n'y ait pas eu de révolutions à ces moments-là.

Pourquoi ? Parce que la révolution ne surgit pas de toute situation révolutionnaire, mais seulement dans le cas où, à tous les changements objectifs ci-dessus énumérés, vient s'ajouter un changement subjectif, à savoir : la capacité, en ce qui concerne la classe révolutionnaire, de mener des actions révolutionnaires de masse assez vigoureuses pour briser complètement (ou partiellement) l'ancien gouvernement, qui ne "tombera" jamais, même à l'époque des crises, si on ne le "fait choir".

Telle est la conception marxiste de la révolution, conception maintes et maintes fois développée et reconnue indiscutable par tous les marxistes et qui, pour nous autres Russes, a été confirmée avec un relief tout particulier par l'expérience de 1905.

LVOG - Dites-moi l'"aggravation, plus qu'à l'ordinaire, de la misère et de la détresse des classes opprimées", donc y compris les classes moyennes dont Macron pourrit aussi l'existence, on y est ou on est en train d'y venir, non ?

Au lieu de : "Il ne suffit pas, habituellement, que "la base ne veuille plus" vivre comme auparavant, mais il importe encore que "le sommet ne le puisse plus", on pourrait écrire : Il ne suffit pas que "la base ne veuille plus" vivre muselée, mais il importe encore que "le sommet" ne puisse plus faire autrement que lui imposer.




DEUXIEME PARTIE

Nous sommes sous un régime fasciste.

On se retrouve exactement dans la même situation et avec le même consensus qu'en temps de guerre (mondiale), mais au lieu qu'il y ait plusieurs protagonistes qui s'affrontent, là il n'y a que deux camps distincts en guerre, d'un côté, l'agresseur, celui qui est armé et qui recourt au totalitarisme par voie législative, institutionnelle, en s'appuyant sur l'appareil de répression (policier, militaire et judiciaire) de l'Etat pour le faire respecter, tous les gouvernements et acteurs politiques ou sociaux de la planète, de l'autre, tous les peuples dont les libertés individuelles et collectives sont suspendues ou gravement entamées.

La question est de savoir pendant combien de temps encore la classe ouvrière et les classes moyennes vont supporter ces mesures totalitaires qui les privent des libertés les plus fondamentales, qui réduisent à néant le peu de libertés dont elles disposaient encore.

La question est aussi de savoir pendant combien de temps encore les membres du corps médical qui ont dénoncé ces mesures liberticides vont-il continuer à tenir un double langage, en expliquant par exemple que le confinement est néfaste, et affirmer par ailleurs qu'il pourrait être utile, pareil pour le masque, bien qu'ils sachent qu'il est inopérant pour arrêter ce coronavirus, ils affirment qu'il pourr

Le virus de la grippe saisonnière est de retour et ils l'instrumentalisent comme nous l'avions prévu.

Coronavirus: feu vert de l'Assemblée nationale pour conforter les armes du gouvernement - AFP 2 octobre 2020

Alors que les indicateurs du Covid-19 virent au rouge, l'Assemblée nationale a donné son feu vert dans la nuit de jeudi à vendredi à la prolongation controversée des moyens aux mains du gouvernement, des fermetures de restaurants à la restriction des déplacements, jusque fin mars prochain.

Pour "protéger les Français", "nous avons besoin de ce texte", même s'il limite les libertés publiques, a plaidé dans l'hémicycle le ministre de la Santé Olivier Véran, sous le feu de critiques venant de tous les camps.

Le projet de loi donnant à l'exécutif des moyens d'agir pour cinq mois supplémentaires "ne suscite pas l'enthousiasme général", a euphémisé M. Véran, appelant au "courage". Chacun à sa suite a fait assaut de "responsabilité".

Mêmes préventions à gauche: les Insoumis jugent le régime transitoire "pas nécessaire" et les communistes mettent en garde contre une "accoutumance à un régime dérogatoire du droit commun". AFP 2 octobre 2020

Que se passe-t-il entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie ?

- Selon la Turquie, l’Azerbaïdjan a légitimement déclenché le conflit - Réseau Voltaire 30 septembre 2020

Le président Recep Tayyip Erdogan, intervenant le 28 septembre 2020 lors d’un symposium sur le droit international maritime a abordé le conflit autour du Haut-Karabagh.

Il a rappelé que depuis la dissolution de l’URSS —c’est-à-dire depuis 30 ans—, les États-Unis, la Russie et la France (Groupe de Minsk) ont vainement tenté de résoudre le conflit. Puis a déclaré :

« On dirait qu’ils ont fait tout leur possible pour ne pas résoudre cette question. Et maintenant, ils donnent des leçons et de temps en temps ils profèrent des menaces. Quelle est leur menace ? ‘La Turquie, est-elle là ? Les soldats turcs, sont-ils là ? Ceux qui posent ces questions sont ceux qui ont transféré des milliers de camions d’armes dans notre sud, surtout dans le nord de la Syrie. Ceux qui posent ces questions sont ceux qui ont divisé le nord de la Syrie et y établi leurs bases. Ceux qui posent ces questions sont ceux qui ont fourmillé en Syrie avec les pouvoirs de coalition. »

Reconnaissant que les hostilités ont été déclenchées par Bakou, il a poursuivi : « L’Azerbaïdjan qui considère qu’il est temps de demander des comptes ont dû prendre lui-même les choses en main ». Réseau Voltaire 30 septembre 2020

- L’Azerbaïdjan armé par Israël contre l’Artsakh - Réseau Voltaire 1er octobre 2020

Selon Flightradar24,

- Deux avions de transport militaire Iliouchine, immatriculés 4K-AZ101 et 4K-78131, affrétés par le ministère azerbaïdjanais de la Défense sont arrivés de Bakou, le 24 septembre 2020, sur l’aéroport d’Ovda (Israël) et son retournés à leur base après chargement.

- Un avion de transport militaire Iliouchine Il-76TD immatriculé AZQ4611 de la compagnie d’État azerbaïdjanaise Silk Way Airlines [1] est arrivé de Bakou sur l’aéroport israélien d’Ovda, le 30 septembre 2020 et est retourné en Azerbaïdjan quelques heures plus tard. Réseau Voltaire 1er octobre 2020




TROISIEME PARTIE

Demandez le programme du gouvernement mondial totalitaire. (https://fr.weforum.org)

1984 - George Orwell.

- LA GUERRE, C’EST LA PAIX.

- LA LIBERTE, C’EST L’ESCLAVAGE.

- L’IGNORANCE, C’EST LA FORCE.

LVOG - Ayez à l'esprit avant de lire cette partie, que vous avez affaire aux pires monstres de la planète dont la détermination est sans faille et le cynisme sans fond, absolument, si pour une raison ou une autre vous aviez la faiblesse de les ménager ou de leur accorder la moindre intention bienveillante envers les peuples, vous seriez foutu.

Mais d'où cela vient-il ? De leur pandémie idéologique et non sanitaire, ils le disent eux-mêmes. Tout ce qui suit figure dans le portail du Forum économique mondial, sauf indication contraire.

Le 5 juin 2020 lors du lancement de la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial.

- L'initiative est née de la plate-forme d'action COVID du Forum. Et, alors que nous entrons dans une période où il est possible de façonner la reprise de COVID-19, la Grande Réinitialisation offrira des perspectives qui aideront à informer tous ceux qui déterminent l'état futur des relations mondiales, l'orientation des économies nationales, les priorités des sociétés, la nature des modèles commerciaux et la gestion d'un bien commun mondial.

LVOG - Ils ont dit.

"Il y a une occasion en or de tirer quelque chose de bon de cette crise... les crises mondiales ne connaissent pas de frontières, et soulignent à quel point nous sommes interdépendants en tant que peuple partageant une seule planète." — Prince Charles

Il a ajouté : "Si nous ne prenons pas les mesures nécessaires, et si nous ne construisons pas de manière plus verte, plus inclusive et plus durable, nous aurons alors de plus en plus de pandémies".

https://www.youtube.com/watch?v=PzNbNbIFJbE

LVOG - Traduction : L'écologie politique était un instrument du totalitarisme...

"La pandémie a accéléré l'adoption des technologies numériques... le haut débit est devenu l'électricité du XXIe siècle." — Bradford L. Smith, Président de Microsoft

https://www.youtube.com/watch?v=GO0SP6Z88CI

LVOG - Traduction : Voilà pourquoi ils veulent imposer la G5...

"Nous ne pouvons plus jamais permettre que nos systèmes de santé, d'éducation et de soins soient sous-financés". — Sharan Burrow, secrétaire générale, Confédération syndicale internationale

https://www.youtube.com/watch?v=NGqHOSuN0I0

LVOG - Traduction : Et le meilleur moyen d'y parvenir, c'est de les privatiser totalement ou que des acteurs privés en prennent le contrôle.

"Le meilleur mémorial que nous puissions construire pour ceux qui ont perdu la vie dans la pandémie est ce monde plus vert, plus intelligent et plus juste." — Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international.

https://www.youtube.com/watch?v=FX3lwgDZ-z8

LVOG - Traduction : Voilà comment ils crachent sur les tombes de leurs victimes innocentes...

"Nous avons besoin de notre imagination ici : nous voyons chaque jour le domaine du possible, il est défini chaque jour maintenant." — Bernard Looney, directeur général, BP

https://www.youtube.com/watch?v=dRk21tDYNNM

LVOG - Traduction : Chaque jour le ministère de la Vérité délivrera son message et chaque serf sera prié d'y adhérer sans broncher...

"Le temps du cynisme est un peu derrière nous.... Être un critique de salon n'est vraiment pas acceptable. Il est temps de venir à la table des négociations et de faire la différence." — Ajay S. Banga, Directeur général, Mastercard

https://www.youtube.com/watch?v=yvVkZV1WHwk

LVOG - Traduction : Il n'y aura même plus de place pour les opposants modérés, ils ne seront plus tolérés, ils devront collaborer au régime ou sinon...

- « Le néolibéralisme a fait son temps », Klaus Schwab et Thierry Malleret publient « COVID-19 : La Grande Réinitialisation » - weforum.org 29 septembre 2020

Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum Économique Mondial, et Thierry Malleret, fondateur du Monthly Barometer, publient la version française de leur livre sur la crise du coronavirus, livre qui a fait les gros titres dans les médias internationaux dans sa version originale

- Les auteurs y explorent les implications profondes et dramatiques de la pandémie de COVID-19 sur le monde de demain, et plaident pour une « Grande Réinitialisation »

- Pour demander un exemplaire du livre, « COVID-19 : La Grande Réinitialisation », cliquez ici

- Le livre complet est disponible sur Amazon France et Amazon Canada

Genève, Suisse, 29 Septembre 2020 - Depuis son entrée sur la scène mondiale, la COVID-19 a perturbé les systèmes de santé, les économies et les sociétés du monde entier. Le nouveau livre de Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum Économique Mondial, et de Thierry Malleret, fondateur du Monthly Barometer, examine les implications profondes de la pandémie et fait valoir la nécessité d'une « Grande Réinitialisation » dans tous les domaines, de l'élaboration des politiques aux entreprises.

« Nous sommes à la croisée des chemins », affirment les auteurs, « Une seule voie nous mènera à un monde meilleur, plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de la nature. L'autre nous mènera vers un monde qui ressemble à celui que nous venons de quitter - mais en pire et constamment assailli de mauvaises surprises. Nous devons donc faire les choses correctement ».

Ce livre - en partie d’analyse économique et en partie axé sur les politiques publiques - est le premier du genre au niveau mondial. Il est paru dans sa version originale au plus fort de la crise COVID dans le monde. Il comprend de la théorie et des exemples pratiques, mais il est surtout explicatif, contenant de nombreuses conjectures et idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et, peut-être, devrait ressembler.

Le livre a récemment fait gros titres dans les médias internationaux après un entretien accordé par Klaus Schwab à « Zeit Online ». Selon le professeur « le néolibéralisme a fait son temps » ce qui est démontré par la crise et ses conséquences sociétales et économiques.

« L’ouvrage fournit un regard kaléidoscopique sur les conséquences de la pandémie rendu encore plus nécessaire par la résurgence des cas de COVID-19 » affirme Thierry Malleret. Le premier chapitre évalue l'impact de la pandémie sur cinq grandes catégories : économique, sociétale, géopolitique, environnementale et technologique. Le deuxième chapitre examine les effets microéconomiques, sur des industries et des entreprises spécifiques. Le troisième chapitre émet des hypothèses sur la nature des conséquences possibles au niveau individuel.

Le livre paraît en version française cette semaine sur Amazon, il sera disponible gratuitement du 30 septembre 9h au 2 Octobre 9h via ce lien et sera bientôt disponible dans le monde entier. Son prix est de 4,99 € / CDN$7.99 pour le livre électronique et 12,99 € / CDN$19.99 pour la version imprimée, ce qui le rend accessible à un très large public. Des traductions en allemand, espagnol, japonais, chinois mandarin et coréen sont également prévues pour 2020.

Notes aux rédacteurs :

Le livre « COVID-19 : La Grande Réinitialisation » est disponible dans son intégralité :

- Sur Amazon France

LVOG - La présentation de ce livre par Amazon.

Amazon - Depuis ses débuts sur la scène internationale, la COVID-19 a radicalement bouleversé la manière de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de participer à l’économie mondiale. « COVID-19 : la Grande réinitialisation » est un guide pour tous ceux qui veulent comprendre dans quelle mesure le nouveau coronavirus pourrait être source de perturbations et de souffrances, et quels changements sont nécessaires pour créer un monde plus inclusif, plus résilient et plus durable.

Ce livre propose une analyse inquiétante et pourtant pleine d’espoir. La COVID-19, la plus grande crise de santé publique de ce siècle, a entraîné une catastrophe économique phénoménale et empiré les inégalités déjà présentes. Mais la force de l’être humain réside dans sa clairvoyance, son ingéniosité et, du moins dans une certaine mesure, sa capacité à prendre son destin en main et planifier un avenir meilleur. Ce livre nous montre par où commencer.

Le Professeur Klaus Schwab est le fondateur et président du Forum Économique Mondial. Défenseur de la première heure du « capitalisme des parties prenantes », il est l’auteur de plusieurs ouvrages, y compris « La quatrième révolution industrielle ». Thierry Malleret est le directeur associé de Monthly Barometer, un service d’analyse prédictive succincte. Il a écrit plusieurs ouvrages économiques et articles universitaires et a publié quatre romans.

LVOG - Dans la page d'accueil de leur portail. Vous noterez que nous sommes bien en présence de fanatiques enragés.

Beaucoup de choses vont changer à jamais après COVID-19.

Nous devons faire en sorte que le Grand Rétablissement se fasse correctement. Les défis sont plus grands que ce que l'on imaginait, mais notre capacité à réinitialiser est également plus grande que ce que nous avions osé espérer auparavant.

Voici un extrait du nouveau livre du Professeur Klaus Schwab et de Thierry Malleret: COVID-19: La Grande Réinitialisation.

A peine six mois après le début de la pandémie, le monde n’est plus celui que nous connaissions. Dans ce court laps de temps, la COVID-19 a à la fois déclenché des change­ments considérables et amplifié les divisions qui assaillent déjà nos économies et nos sociétés. Des inégalités croissantes, un sentiment d’injustice généralisé, l’approfondissement des clivag­es géopolitiques, la polarisation politique, des déficits publics croissants et des niveaux d’endettement élevés, une gouvernance mondiale inefficace ou inexistante, une financiarisation exces­sive, la dégradation de l’environnement : tels sont quelques-uns des défis majeurs qui existaient avant la pandémie. La crise du coronavirus les a tous exacerbés.

La débâcle de la COVID-19 pourrait-elle être l’éclair avant le tonnerre ? Aurait-elle la force de déclencher une série de changements profonds ?

Nous ne pouvons pas savoir à quoi ressemblera le monde dans dix mois, encore moins dans dix ans, mais ce que nous savons, c’est que si nous ne faisons rien pour réinitialiser le monde d’aujourd’hui, celui de demain sera profondément touché. Dans la Chronique d’une mort annoncée de Gabriel Garcia Marquez, un village entier prévoit une catastrophe imminente, et pourtant aucun des villageois ne semble capable ou désireux d’agir pour l’empêcher, jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Nous ne voulons pas être ce village

- Pour éviter d’en arriver là, nous devons sans tarder mettre en route la Grande réinitialisation. Ce n’est pas un « bonus » mais une nécessité absolue. Ne pas traiter et réparer les maux profondément enracinés de nos sociétés et de nos économies pourrait accroître le risque, comme tout au long de l’histoire, d’une réinitialisation finalement imposée par des chocs violents comme des conflits et même des révolutions. Il nous incombe de prendre le taureau par les cornes. La pandémie nous donne cette chance : elle « représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »

La crise profonde provoquée par la pandémie nous a donné de nombreuses occasions de réfléchir à la manière dont nos écon­omies et nos sociétés fonctionnent et aux impasses qu’elles ren­contrent. Le verdict semble clair : nous devons changer. Mais en sommes-nous capables ? Allons-nous tirer les leçons des erreurs que nous avons commises dans le passé ? La pandémie ouvrira-t-elle la porte à un avenir meilleur ? Allons-nous mettre de l’ordre dans notre grande maison, le monde ? En termes simples, allons-nous mettre en oeuvre la Grande réinitialisation ? Cette réinitialisation est une tâche ambitieuse, peut-être trop ambitieuse, mais nous n’avons pas d’autre choix que de faire tout notre possible pour l’accomplir.

Il s’agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l’ère pré-pandémique. Ne rien faire, ou trop peu, revient à avancer aveuglément vers toujours plus d’inégalités sociales, de déséquilibres économiques, d’injustice et de dégradation de l’environnement. Ne pas agir équivaudrait à laisser notre monde devenir plus méchant, plus divisé, plus dangereux, plus égoïste et tout simplement insupportable pour de larges segments de la population mondiale. Ne rien faire n’est pas une option viable.

La Grande réinitialisation est loin d’être une affaire conclue cependant. Certains pourraient rejeter la nécessité de suivre cette voie, craignant l’ampleur de la tâche et espérant que le sentiment d’urgence s’estompera et que la situation reviendra bientôt à la « normale ».

L’argument en faveur de la passivité est le suivant : nous avons déjà traversé des chocs similaires - des pandémies, des récessions brutales, des divisions géopolitiques et des tensions sociales - et nous les traverserons à nouveau. Comme toujours, les sociétés vont se reconstruire, et nos économies aussi. La vie continue ! Les arguments allant à l’encontre de la réinitialisation sont également fondés sur la conviction que le monde ne va pas si mal et que régler quelques détails suffira à l’améliorer.

Il est vrai que l’état du monde est en moyenne bien meilleur aujourd’hui que par le passé. Il faut l’admettre, en tant qu’êtres humains, nous n’avons jamais eu une telle chance. Presque tous les indicateurs clés qui mesurent notre bien-être collectif (comme le nombre de personnes en situation de pauvreté ou mourant en raison de conflits, le PIB par habitant, l’espérance de vie ou le taux d’alphabétisation, et même le nombre de décès causés par des pandémies) n’ont cessé de s’améliorer au cours des siècles passés, et ce de manière impressionnante au cours des dernières décennies.

Mais ces améliorations ne concernent que la moy­enne - une réalité statistique qui n’a aucun sens pour ceux qui se sentent (et sont si souvent) exclus. Par conséquent, la conviction que le monde d’aujourd’hui est meilleur qu’il ne l’a jamais été, bien qu’elle soit correcte, ne peut servir d’excuse pour se contenter du statu quo et ne pas remédier aux nombreux maux qui continuent à affliger notre monde.

Nous sommes maintenant à la croisée des chemins. Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de Mère Nature. L’autre nous conduira dans un monde semblable à celui que nous venons de laisser derrière nous - mais en pire et constamment jalonné de mauvaises surprises. Nous devons donc faire les choses correctement. Les défis qui se profilent à l’horizon pourraient être plus conséquents que ce que nous avons choisi d’imaginer jusqu’à présent, mais notre aptitude à repartir de zéro pourrait également être meilleure que ce que nous avions osé espérer auparavant.


Le 11 octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

3 pages au format pdf

Ce n'est pas une causerie. On ne cause plus, on flingue ! Sinon on informe.

J'ai mis en ligne les documents suivants :

DOCUMENT. COVID-19: La Grande Réinitialisation. (30.09)
DOCUMENT. « Le néolibéralisme a fait son temps ». (30.09)

DOCUMENT. Combattre le virus : Le chômage de masse n’est pas la solution (21.09)

DOCUMENT. Le vaccin de Gates propage la polio à travers l’Afrique. (06.10)
DOCUMENT. Réanimation et COVID-19, quelques points saillants (10.10)
DOCUMENT. Le programme mondial de Bill Gates et comment nous pouvons résister à sa guerre contre la vie. (10.10)
DOCUMENT. « Le vaccin devrait d’abord être testé sur les politiciens.
      S’ils survivent, le vaccin est sûr. S’ils ne survivent pas, alors le pays est sûr. » (10.10)

DOCUMENT. France – Le nombre des hospitalisations COVID-19 inclut les cas probables (08.10)
DOCUMENT. COVID-19: La Suède a-t-elle atteint l’immunité collective? (07.10)
DOCUMENT. Qu’est-ce que la COVID-19? (03.10)

DOCUMENT. Les enjeux de l’échiquier Arménie-Azerbaïdjan. (04.10)
DOCUMENT. Les barbares à la porte de la ferme: le capital-investissement à l’assaut de l’agriculture. (03.10)

DOCUMENT. Discours de Moammar Kadhafi à la 64ème session de l’Assemblée Générale de l’O.N.U. (2009)

Le petit récit que j'ai envoyé à un membre de ma famille en France qui n'a pas de conscience politique, j'ai simplifié.

Au départ en 2011 je n'avais pas condamné le bombardement de la Libye par la France et l'Otan, puis je me suis rapidement ravisé quand j'appris ce qui se passait réellement, les médias, Sarkozy et Hollande, les partis dits ouvriers avaient menti à tout le monde sur Kadhafi, c'était un président vraiment exceptionnel.

Imagine un peu : Les Libyens ne payaient ni taxe (TVA) ni impôts, absolument aucun ; L'Etat versait 300 dollars aux familles les plus pauvres pour qu'elles aient un mode de vie décent ; Les emprunts pour acheter n'importe quoi étaient sans intérêt ; La santé était entièrement gratuite et en cas d'opération effectuée à l'étranger, c'est l'Etat qui prenait tout en charge, les billets d'avions, les frais de séjour et médicaux, etc. ; L'école et l'université étaient entièrement gratuites, et quand des étudiants partaient étudier à l'étranger, quel que soit leur statut social, l'Etat payait tout, il leur versait même de l'argent de poche pour leurs dépenses courantes ; L'eau et l'électricité étaient gratuites ; Un couple se mariait, l'Etat mettait à sa disposition gratuitement une maison ou un appartement ; Chaque femme qui accouchait recevait un chèque de l'Etat de 5000 dollars, une fortune en Libye ; L'essence était pratiquement gratuite, 0,1 dollar le litre ; Les transports en commun étaient gratuits, etc. Bordel, j'aurais bien voulu vivre dans un pays pareil, pas de chômage, pas de pauvres véritablement, pas de clochards, pas de mendiants. J'ai visionné 5 vidéos qui ont confirmé tout cela, c'est la stricte vérité, et pendant ce temps-là on a décrit Kadhafi comme un tyran sanguinaire, un fou, parce qu'il en avait fait trop pour son peuple. Il a même fertilisé le désert libyen, 85% du territoire, les travaux ont duré de 1983 à 2010 pour 30 milliards de dollars, et attend, l'agriculture était entièrement organique ou bio, autosuffisance alimentaire, putain, quel bonheur, voilà pourquoi ils l'ont assassiné. Tout l'argent venait du pétrole qu'il avait nationalisé, un crime que les occidentaux ne lui pardonneront jamais.

Kadhafi avait aplani les inégalités sociales sans les supprimer totalement, mais la population vivait heureuse avec un régime social aussi généreux, plus généreux que dans n'importe quel pays du monde... L'Otan s'est servi de mercenaires étrangers d'al-Qaïda pour embrigader les Libyens qui étaient en bas de l'échelle et les dresser contre Kadhafi en leur faisant miroiter fortune et pouvoir, résultat ils ont tout perdu, absolument tout, voilà à quoi mène la connerie humaine. Et tout cela dans l'indifférence des peuples en Europe convertis à l'esclavage...

Quand tu sais cela, tu ne t'étonnes plus de rien, tout se tient, tout s'explique, tout a une explication. L'avion qui avait explosé au-dessus de Lockerbie, c'était un coup des Iraniens et non de Kadhafi, accusé par les occidentaux, il a réglé 2,3 milliards de dollars aux familles pour clôturer l'affaire avec laquelle il n'avait rien à faire. Il voulait unifier et développer l'Afrique (55 pays), lui donner une monnaie unique avec une banque centrale, donc se passer du dollar et du franc CFA, de l'euro, trop c'était trop, alors ils ont inventé un tas d'histoires sur lui pour justifier auprès de l'opinion publique son assassinat. Il fut le 25e chef d'Etat ou de gouvernement africains assassinés par la France...

J'ajoute un mot.

Vous allez en passer par là en France, ils vont vous pourrir la vie comme vous n'avez pas idée, vous n'avez encore rien vue, je vous le garantis... Mon courant politique ne vous intéresse pas, soit ! Faites confiance aux barbares qui cautionnent la machination au coronavirus : "La pandémie qui reprend" (Editorial de D. Gluckstein - La Tribune des travailleurs - POID, La République barbare, il en est le complice !)

Je répondrai dans quelques jours à un courriel que j'ai reçu, au vitriol, je vous dirai tout ce que je pense, y compris ce que je n'avais jamais encore osé vous dire, au point où nous en sommes, puisque nous n'avons plus rien à perdre, autant se lâcher. Quant à ceux qui me croiraient amer ou aigri, ils se trompent lourdement, personnellement je ne me suis jamais senti aussi bien, hormis la santé qui donne des signes de faiblesse.

Je pense qu'après je n'aurai plus aucun lecteur, on prend les paris !

On m'a pris pour un connard, si, si j'y tiens, c'est votre droit et je le respecte, la réciprocité aussi, s'il vous plaît. Tardieu complotiste, gauchiste, extrémiste, quand les faits lui donnent raison, cette flatteuse caractérisation tombe d'elle-même.

Totalitarisme. Le fascisme ordinaire s'installe.

Au Canada.

- Covid : au Québec, interdiction de recevoir des invités chez soi - Le Point.fr 29 septembre 2020

Du 1er au 28 octobre, les bars, restaurants et cinémas seront également fermés. Toute la province, y compris Montréal, a été placée en alerte rouge. Le Québec compte plus de huit millions d'habitants...

Le nombre de nouveaux malades, autour de la centaine fin août, n'a cessé de grimper depuis pour approcher le millier le week-end dernier, mais le nombre de décès restait stable (entre zéro et six par jour). Le Point.fr 29 septembre 2020

LVOG - Deux infos valent mieux qu'une tellement c'est gros.

- Coronavirus : au Québec, la police pourra entrer chez les habitants pour vérifier qu'il ne reçoivent pas d'invités - cnews 01 octobre 2020

Face à la recrudescence du coronavirus, le Québec choisit la manière forte. A partir de ce jeudi et pour au moins 28 jours, les habitants des zones classées rouges - dont font partie les régions de Montréal et Québec - ne peuvent plus recevoir d'invités à leur domicile. La police pourra entrer chez eux pour vérifier qu'ils respectent bien cette consigne.

Les participants d'un rassemblement privé illégal - mais aussi d'un rassemblement extérieur, désormais interdit dans les zones rouges - s'exposent à une amende de 1.000 dollars canadiens, soit 640 euros (1.500 dollars avec les frais, soit 960 euros). cnews 01 octobre 2020

En Suisse.

- Genève : bientôt une déclaration obligatoire pour les fêtes privées - LePoint.fr 10 octobre 2020

Avant d'organiser un apéritif ou un repas de famille, les Genevois auront l'obligation de prévenir les autorités. Et de donner les noms des convives.

Inviter ses copains à boire un verre de fendant, le vin blanc suisse emblématique, ou faire déguster des perches du lac Léman à ses cousins va devenir compliqué à Genève à partir de la semaine prochaine. Le Conseil d'État (le gouvernement) a décidé de rendre obligatoire l'annonce de fêtes privées. L'organisateur devra fournir aux autorités les coordonnées des participants et apporter des précisions sur le genre de soirée et sur les mesures de protection mises en place ! Ce n'est pas tout. Mario Poggia, le conseiller d'État (ministre) de la Sécurité, de l'Emploi et de la Santé, a annoncé à la Radio télévision suisse (RTS) qu'il pourra aussi y avoir sur le moment ou a posteriori des contrôles afin de vérifier que les mesures sanitaires ont été bien respectées.

Plus grave : si au moins deux convives, qui participaient à ce repas ou à cette fête familiale, sont ensuite testés positifs au Covid-19, l'organisateur « devra en répondre ». Bref, les Genevois vont dorénavant réfléchir à deux fois avant d'ouvrir leur porte à des parents ou à des amis.

Toutefois, ce n'est que mercredi prochain que le gouvernement genevois communiquera les modalités d'application de ces mesures destinées à freiner le virus. À savoir, à partir de combien de personnes faudra-t-il annoncer un repas de famille ou une fête d'anniversaire ? Et combien de jours avant ? Dans La Tribune de Genève, un conseiller municipal de la ville de Genève a déjà exprimé son désaccord en termes fleuris. « Les frontières restent grandes ouvertes sans aucun contrôle. Il faut être sacrément gonflé pour emmerder les citoyens genevois », lâche Vincent Schaller, membre de l'Union démocratique du centre, le parti le plus à droite de l'échiquier politique. En effet, chaque jour près de 90 000 frontaliers viennent travailler dans le canton. Difficile de bloquer la frontière : dans les hôpitaux, plus de la moitié des infirmiers et infirmières sont français.

Deux autres cantons prennent des mesures similaires, à savoir ceux de Neuchâtel et du Jura. À Neuchâtel, l'organisateur d'une fête privée devra s'annoncer cinq jours à l'avance aux autorités. LePoint.fr 10 octobre 2020


Le 14 octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Je rajouterai plus tard une compilation des articles du Réseau Voltaire sur ce qui se passe au Karabagh.

Si après j'avais encore des lecteurs, je n'aurais qu'à en prendre qu'à moi-même !

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Fabrication d'une pandémie sanitaire liberticide par un régime mondial totalitaire.

On ne peut pas comprendre la situation si on ne tient pas compte des liens existant entre trois facteurs :

1- L'interdiction de prescrire et de vendre des molécules ou médicaments permettant de faire baisser la charge virale ou de soigner en début de contamination, dont ceux de types antipaludéens efficaces contre ce coronavirus notamment.

Le but : Faire croire qu'il n'existe pas de traitement, et que par conséquent il va y avoir forcément un maximum de personnes gravement infectées et de morts, de manière à cautionner l'existence d'une pandémie imaginaire et alimenter la psychose collective ainsi créée.

2- La frénésie de test qui conduit mécaniquement à l'augmentation exponentielle du nombre de cas positifs, compte tenu que l'ensemble de la population a été en contact avec le covid-19.

Le but : Faire croire à une "deuxième vague" ou entretenir artificiellement la croyance qu'une menace mortelle planerait en permanence sur l'ensemble de la population, de manière à justifier l'instauration sur le long terme de mesures suspendant les libertés individuelles et collectives.

3- Le refus de considérer que l'ensemble de la population aurait été en contact avec le coronavirus, et que par conséquent elle aurait acquis une immunité collective qui se traduirait pas une diminution des formes graves de contamination, ainsi que la létalité du covid-19.

Le but : Entretenir la peur et qu'à terme la vaccination se substitue à tous les traitements existant déclarés inefficaces ou l'usage illégal, et qu'elle s'impose à la population qui la plébisciterait.


Pourquoi ai-je décidé d'arrêter cette activité politique ?

Certainement pas pour les raisons que les uns et les autres ont pu imaginer, et vous allez comprendre pourquoi. Se justifier encore et encore, quelle patience il faut avoir !

Avant d'en arriver là, je suis passé par tous les états que je décris. Je ne me pose pas en donneur de leçons ou en modèle, la seule fois où j'en avais adopté un, cela ne m'a pas réussi ! Et si le conformisme est un véritable fléau, un poison qui tue lentement mais sûrement, l'anti-conformisme obsessionnel peut s'avérer en être un tout aussi redoutable ou pire encore, car il est l'attribut des despotes.

Je vais vous avouer un truc, depuis 2008, jamais je n'ai rencontré un seul militant qui partageait de près ou de loin mon orientation politique, qui incluait les conclusions auxquelles j'étais parvenu sur les questions essentielles, jamais.

Je vais être plus précis encore. N'allez pas croire que j'aurais adopté une posture ou que je cultiverais une image, celle du type qui se la joue modeste et qui ne le serait pas en réalité. Pas du tout. Je sais simplement qu'une image déformée peut être néfaste à l'attention qu'on portera à un discours, donc quand on envisage de le partager, il faut essayer de donner de soi-même une image qui soit la plus fidèle possible à la réalité, car en cas de tricherie, cela vous reviendra un jour en pleine figure ; On ignore quelles épreuves nous attendent dans la vie, c'est imparable, il est donc préférable en règle générale d'être soi-même avec ses qualités et ses défauts. De ce fait, on est plus vulnérable aux attaques de nature déloyale le plus souvent inconscientes de la part de personnes plus ou moins malintentionnées ou ignorantes. J'en ai assumé les conséquences bien que ce soit très désagréable à vivre, la nature humaine est ainsi faite généralement, j'en ai pris mon parti plutôt que manoeuvrer ou tromper qui que ce soit, à commencer par moi-même. J'ai vécu assez longtemps ce que je décris ici ou dans l'hypocrisie, pour cesser définitivement après en avoir pris conscience.

D'ailleurs pour prouver ce qui a été dit précédemment, c'est bien simple, il suffit de reprendre les réponses que j'avais envoyées aux courriels que j'avais reçus de militants. Chaque fois que j'évoquais un sujet précis et argumenté, ils esquivaient systématiquement, ils me répondaient en me parlant d'autres choses, ce qui révélait qu'on n'était pas du tout sur la même longueur d'onde, et quand il m'arriva de leur faire remarquer, car à aucun moment je n'ai voulu qu'ils croient que je partageais leurs illusions ou les conforter dans leur croyance, plus jamais ils ne me contacteront, ce qui signifiait que loin de m'être fait des idées, j'avais ciblé juste, là où cela faisait mal, et ils avaient été incapables de l'assumer. A aucun moment je ne les ai pas pris en traître ou pour plus idiots qu'ils étaient selon moi, car j'avais fait en sorte d'être suffisamment explicite pour qu'ils comprennent ce que je voulais dire, et je savais qu'ils en étaient parfaitement capables. C'est la raison pour laquelle par la suite ils n'ont pas essayé de s'expliquer pour chercher à me convaincre de quoi que ce soit ou à défendre leur orientation ou leurs analyses, parce qu'elles étaient indéfendables, et quelque part ils le savaient.

Je n'ai rencontré que des militants limités, dogmatiques ou bornés qui ne concevaient la discussion politique qu'à sens unique, que sur leur propre terrain, seuls leurs arguments devaient être pris en compte. Pire, seule la manière dont ils les traitaient devait être retenue, et les miens ou ma méthode ne les intéressaient pas du tout, ils s'en foutaient littéralement, c'est pour cela que je n'ai jamais eu de correspondance sérieuse ou approfondie avec des militants. Contrairement à eux, je me suis fait un malin plaisir à partir de leurs démonstrations à en démontrer les faiblesses, les lacunes, les contradictions, les incohérences, faits ou expériences à l'appui, c'était trop, insupportable pour eux. Et quand je revenais sur mes propres analyses en leur montrant que décidément nous ne partagions pas non plus les mêmes principes, je ne leur laissais aucune chance de s'en sortir par des artifices.

Bien des militants confondent leurs intérêts individuels avec les intérêts collectifs qu'ils prétendent représenter.

La plupart des gens vous prêtent des intentions qui vous sont étrangères ou qui leur appartiennent, ce dont manifestement ils n'ont pas conscience. Deux exemples.

Je ne vois pas comment je pourrais émettre des jugements de valeur, expression que je n'ai jamais employé du reste, en m'en tenant strictement aux faits, en remontant toujours à l'origine d'une idée ou d'un comportement, d'une émotion ou d'un acte, d'un geste ou d'une parole, que je ne traite jamais hors de son contexte, hors de rapports sociaux...

Quant à avoir soudainement de l'amertume, c'est la même chose, c'est une pure vue de l'esprit ou une projection inconsciente. Comment voudriez-vous que j'ai de l'amertume en ce mois d'octobre 2020, après avoir insisté lourdement une multitude de fois dans mes causeries depuis des années sur la dégénérescence complète, la putréfaction du mouvement ouvrier, le caractérisant de corrompu, de corporatiste, de réactionnaire ? N'ai-je pas écrit à de nombreuses reprises qu'il fallait le refonder ? Ce n'est pas l'attitude de quelqu'un qui aurait encore des illusions, et qui une fois désillusionné manifesterait de l'amertume. Je crois que c'était Marx qui avait mis en garde contre une sorte d'optimisme béat, auquel il opposait une interprétation rationnelle de la réalité. N'ai-je pas rappelé à maintes reprises que les conditions d'une révolution n'avaient jamais été réunies ni de près ni de loin au cours de la seconde moitié du XXe siècle, contrairement à ce qu'on avait voulu nous faire croire ? Je n'ai jamais formulé d'espoirs démesurés ou déconnectés de la réalité, mais des perspectives politiques certes audacieuses, tout en étant soumises à des conditions. Or, il se trouve qu'on a la mauvaise habitude de ne retenir les premières pour mieux oublier les secondes.

Combien de fois ai-je déclaré que le socialisme pourrait demeurer une utopie ? Donc je ne me suis jamais comporté en mégalomane ou en mythomane cédant ensuite à la démoralisation ou au désenchantement. Avoir foi dans le socialisme et les masses comme disait Marx, ce n'est pas devenir un abruti ou un fanatique qui croit n'importe quoi, c'est juste avoir conscience que l'issue du processus historique inconscient peut être favorable à l'espèce humaine, à l'homme, à la civilisation humaine, à l'humanité toute entière, tout en sachant qu'une issue diamétralement opposée existe aussi, et qu'en permanence il faut les avoir toutes les deux à l'esprit, j'ai envie d'ajouter, si on tient à demeurer mentalement équilibré.

Dit autrement, n'ai-je pas rappelé à de nombreuses reprises qu'absolument rien ne permettait d'affirmer que le socialisme triompherait un jour, que ce n'était écrit nulle part et qu'il n'y avait pas d'automatisme en la matière, que la civilisation humaine pourrait être anéantie ou amenée à disparaître ? N'est-ce pas ce à quoi nous assistons impuissants aujourd'hui ? Si je me suis débarrassé de cette saloperie de dogmatisme que m'avaient refilé les trotskystes lambertistes, ce n'était certainement pas pour retomber dans une autre forme de croyance laïque (sic!).

J'ai aussi eu l'occasion d'affirmer en prenant comme exemple les Etats-Unis, qu'en France vous étiez partis pour 50 ans minimum de réaction sur toute la ligne. Donc je savais pertinemment à quoi m'en tenir. Je n'ai été nullement surpris par le Green New Deal ou par la pandémie au coronavirus que j'ai immédiatement attribués à la stratégie de l'oligarchie dans la perspective de franchir un pas décisif vers l'instauration d'un gouvernement mondial totalitaire. Et le fait est, je ne suis pas du tout déprimé ou dépressif, je n'ai jamais été aussi lucide et je m'en porte très bien, merci, contrairement à 99,99% des militants qui ne comprennent pas ce qui leur est tombé dessus, d'où cela provient ou ce qui est en train de se passer.

Ils ne se sont jamais donnés la peine de lire attentivement ce que j'avais écrit, parce que cela ne correspondait pas à ce qu'ils avaient envie d'entendre, ni à ce que disaient tous ces dirigeants faillis ou corrompus, donc ils s'en sont détournés ou ils ont déformé mes propos, voilà tout. Tardieu s'est laissé emporter dans une sorte de délire complotiste, n'avait-il pas rompu avec le mouvement ouvrier, n'avait-il pas troqué le marxisme pour une interprétation policière de l'histoire ou de la lutte des classes ou je ne sais quoi encore. C'était un gauchiste qui s'igorait le pauvre et j'en passe et des meilleures. Et puis, s'il n'a pas plus d'audience, c'est qu'il y avait forcément une bonne raison à cela quelque part, en cherchant bien on devrait en trouver, chacun y allant de sa petite histoire, qui a coup sûr j'ai le regret de l'affirmer sont à mettre au compte d'un vulgaire jugement de valeur, un jugement injuste ou injustifié.

Par ailleurs, je ne vois pas comment je pourrais avoir de l'amertume puisque cela fait trop longtemps, depuis 15 ans, que je considère tous les courants trotskystes comme réactionnaires ou antisocialistes. Après la mort de Trotsky et plus particulièrement depuis 1947 en ce qui concerne le courant dit lambertiste, ils n'ont cessé d'être les alliés objectifs de la social-démocratie dégénérée, férocement anticommuniste, et occasionnellement du stalinisme, ils n'ont pas combattu pour construire un nouveau parti communiste ou pour le socialisme, mais contre, et leur état de putréfaction ainsi que leur dislocation en sont les meilleurs témoignages qui soient si nécessaire. Et puis dans une multitude de causeries je m'étais exprimé clairement sur ce sujet, j'ai même été jusqu'à écrire qu'ils avaient assassiné Trotsky une seconde fois. Alors, soit on l'ignore ou on n'en a pas souvenir, soit on le sait et on me fait un procès d'intention. On a toujours eu affaire à des militants inconsistants, manquant de rigueur, de logique, sans principes, qui ne se sont jamais interrogés sur la véritable valeur de leur engagement politique.

Par conséquent, contrairement à ce que vous affirmez, je n'ai formulé aucun jugement de valeur ou subjectif, je m'en suis tenu strictement aux faits, au lieu de me contenter du voile des apparences trompeuses. Pour être plus juste et précis, il faudrait dire que j'ai privilégié les faits ou les conditions objectives au détriment de tout jugement légitime ou justifié ou non pratiquement inévitable, qui ne doit pas interférer lors de notre interprétation de la situation ou dans les rapports qu'on a avec d'autres personnes, sauf quand ils coïncident, et dans ce cas-là c'est notre devoir ou il est fortement recommandé d'en tenir compte. Un jugement prononcé après coup, n'est pas à proprement parler un jugement de valeur, sauf s'il fait référence à autre chose qui vient interférer dans notre observation de la réalité.

Formuler un jugement de valeur qui est une abstraction, une spéculation sans objet, hormis ses propres lubies, fantasmes ou désirs inconscients... Quand on est jeune et sans expérience et qu'on ignore tout ou presque de la vie et de la société, c'est naturel, inévitable, cela se corrige par la suite, mais quand on a cessé de l'être ou qu'on est vieux, c'est devenu un mode de penser réducteur, et on s'enferme dans une sorte de déni permanent de la réalité, au point d'être incapable de porter un regard serein ou libre sur le passé auquel le présent est lié. Entre ceux qui croyaient détenir la vérité hier et ceux qui croient la détenir aujourd'hui, généralement ce sont les mêmes, on est bien servi ! C'est avoir une conception de la lutte de classe qui n'est pas scientifique, dans ces conditions on ne peut pas se réclamer du socialisme scientifique.

La plupart des gens passent leur temps à juger les autres et manquent de modestie, parce qu'ils sont faibles et vulnérables. Combien de fois l'ai-je signalé ? Apparemment cela n'a servi à rien.

Si maintenant il fallait entendre par jugement de valeur le fait de caractériser politiquement les différents courants du mouvement ouvrier, je comprends pourquoi cela met mal à l'aise bien des militants à la lumière de leur compromission actuelle un peu trop visible avec le régime fascisant de Macron.

Vous ne trouverez pas, à ma connaissance, un seul militant, cadre ou dirigeant du mouvement ouvrier qui ait livré aussi ouvertement ou publiquement sa pensée, son mode de penser (et même son mode de vie), sa démarche intellectuelle, qui se soit exprimé sur absolument tous les sujets d'actualité ou qui lui avaient été soumis et bien d'autres que j'ai rajoutés avec une telle franchise ou sincérité, honnêteté, sans manifester la moindre ambition personnelle, sans essayer de tirer le moindre profit de l'avantage que lui conférait sa condition privilégiée. Avant d'arriver à l'âge de la retraite fin 2017, n'ai-je pas vécu pendant 25 ans comme une pourriture de rentier sous les cocotiers, un modeste rentier ou un rentier pauvre, mais rentier tout de même. Bref, tout ce que cela m'a valu, ce sont des critiques injustes, déplacées ou des insultes, du mépris ou de l'indifférence, des remarques désobligeantes sur un ton narquois, moqueur, arrogeant.

Et puis, si je voulais être cruel, que valent des critiques émises par des ectoplasmes, des paranos qui tiennent à demeurer anonymes, est-ce là le comportement de personnes libres, indépendantes, poser la question, c'est y répondre. En terme de soutien pendant 12 ans, j'ai dû me contenter de bonnes intentions verbales sans lendemain, qui ne coûtaient rien. Certains m'ont reproché d'avoir raison contre tout le monde, d'avoir raison trop tôt, d'être trop radical, mais les faits ne m'ont-ils pas donné raison la plupart du temps ? Là encore, la situation actuelle plaide en ma faveur.

Encore un argument. Qui encore récemment a pris l'initiative de s'adresser à des intellectuels, aux classes moyennes, pour qu'ils prennent la direction du combat contre le régime et entraînent la classe ouvrière, les pans du mouvement ouvrier qui n'entendent pas se soumettent au consensus auquel participent leurs dirigeants ? Certains ont commencé à s'organiser pour exiger l'abrogation immédiate des mesures liberticides imposées par Macron, mais comme ils n'ont trouvé aucun relais dans le mouvement ouvrier, il s'est passé la même chose qu'avec le mouvement des Gilets jaunes. Pourquoi aucun militant n'a soutenu mon initiative ?

Depuis 2008, que ce soient ceux qui se sont opposés à mon courant politique ou ceux qui ont manifesté de l'intérêt dans ma démarche, tous ont fait en sorte qu'elle n'aboutisse à rien ou l'ont condamné d'avance, donc c'est à eux qu'en revient principalement le bilan s'ils l'estiment nul ou négatif.

En guise d'épilogue.

Il y a une semaine environ j'avais écrit le passage suivant qui confirme ce qui vient d'être dit.

Avant-hier, j'ai coupé avant la fin d'un film avec Lino Ventura...

Pourquoi je n'ai jamais vraiment aimé le cinéma ? Parce que c'est de la daube, un plat réchauffé, si c'est pour nous faire revivre ce qu'on vit ou ce qu'on a déjà vécu ou les générations antérieures, on s'en serait bien passé la première fois, alors inutile de remettre le couvert. Si c'est pour nous faire vivre ce qu'on ne vivra jamais jusqu'à en baver d'envie, c'est raté, le bonheur des uns fait le malheur des autres, alors s'en délecter et en redemander, c'est du sado-masochisme qui s'ignore, à l'opposé c'est le plat de lentilles des nantis servit dans des assiettes en argent serties de diamants, il paraît que c'est plus comestible et on veut bien le croire ! C'est la bêtise qui s'enrichit pour les uns, le compte en banque ou la fortune pour les autres. Il faut bien qu'elle profite à quelqu'un et que quelqu'un la vive, on n'a pas de bol, c'est sur nous que c'est tombé !

Vaut mieux les comédies, c'est léger sur le ton de la dérision ou du comique, au moins c'est tellement con qu'on est obligé de s'en apercevoir, quoique j'ai un fâcheux doute ! Il paraît que cela correspond à une époque. Effectivement, c'est ce que je dis, c'est indémodable, et il y en a toujours pour en redemander !

N'allez pas croire que je serais un mauvais spectateur. J'ai téléchargé plus de 700 films que j'ai regardés une ou plusieurs fois. Je suis gavé, sauf que moi j'en ai conscience, donc ce n'est pas déprimant, on peut en parler librement en connaissance de cause. C'est cela qui me distrait maintenant et m'apprend beaucoup de choses en ayant du recul, de l'expérience, c'est l'avantage d'être vieux, comme quoi il n'y a pas que des inconvénients. Il arrive un moment où on est en sursis, alors on se fout du regard que les autres peuvent porter sur vous ou de leurs jugements à l'emporte-pièce.

Si la vieillesse n'est pas vécue comme une libération, une sorte d'atterrissage en douceur sur le plancher des vaches, un vieux ou une vieille cela se ménage, c'est que vous vivrez l'enfer jusqu'à votre dernier souffle, et vous ne sentirez jamais le souffle de liberté qui se dégageait de la société bien malgré elle, ce serait dommage de passer à côté avant de partir, quand on a adopté un idéal et qu'on a combattu pour que cet idéal se réalise, on peut au moins s'offrir la compensation de le vivre individuellement à défaut de le vivre collectivement, il n'y a rien de plus élevé comme idéal que la liberté universelle.

La vie sans idéal ne vaut pas le coup d'être vécue, la mort non plus. Là on est au-delà du communisme, c'est indéfinissable, c'est comme quelque chose que l'on vit intensément et qu'on ne peut pas traduire avec des mots, une sensation intense de lucidité et de bonheur, j'ignore jusqu'où la conscience et l'inconscience fusionnent, en se passant des instruments numériques remarquez bien, ce qui montre bien qu'ils n'étaient pas indispensables.

Quand tu es vieux, tu n'as plus envie de te raconter des histoires, c'est un truc d'hommes ou de femmes immatures, tu laisses cela aux plus jeunes et tu t'en amuses au lieu d'être aigri. Ce qui est succulent, c'est lorsqu'il y en a qui croient que tu marches dans leurs histoires, alors que tu as l'impression d'être au cinéma et d'avoir déjà vu le film une multitude de fois, vaut mieux en rire qu'en pleurer ou déprimer.

Pourquoi devrait-on être nostalgique ? On se demande bien de quoi.

Dans certaines contrées, ils pratiquent le culte des anciens, non seulement ils les vénèrent, quand ils sont encore vivants il faudrait les écouter, leur obéir, alors qu'ils sont cent fois plus incultes ou ignorants que les dernières générations, c'est stupide au possible.

Les hommes sont amnésiques, c'est pratique ! Ils ont la mémoire courte ou une mémoire sélective. Selon leur état d'âme du moment, ils feront référence à ce qui les arrange et négligeront ou feront disparaître le reste. Vous me direz que c'est humain, si l'on veut, c'est contestable, on a le droit d'en douter, car bien trop de comportements sont beaucoup trop humains selon leur humeur ou leur intérêt du moment. Que font-ils exactement et à quoi cela aboutit-il ?

En ne prenant en compte qu'une partie du passé, ils font de même avec le présent, donc il ne faut rien à attendre de plus ou de mieux.

Je vais vous avouer un truc. J'avais pris l'habitude de dire que l'année 1975, celle de mes 20 ans, avait été la meilleure de mon existence, mais cela m'est définitivement passé. Pourquoi le pensais-je si longtemps ? Parce que ce fut l'année ou je me sentis le plus libre, le plus détaché de cette société de merde. Je vivais chez mes parents, donc je n'avais pas à assumer les charges ou obligations et responsabilités d'un adulte. Il n'y avait pas de chômage à cette époque, et l'année précédente j'avais découvert le cannabis (Du tabac amélioré, sans plus, bien que...) avec des copains, donc on passait notre temps à se défoncer, à planer comme on disait, à part des distractions on ne s'intéressait à rien ni à personne, surtout pas à la politique, bref, la vie était trop "cool", autre expression à la mode. En résumé, la meilleure année de ma vie fut celle où les contraintes de la société pesèrent le moins sur mes épaules.

Quelle illusion, quelle aberration, quelle insouciance ou inconscience, direz-vous ! Oui, effectivement, mais c'est révélateur, quand on l'assume, on peut en tirer des leçons pour élever son niveau de conscience. Le problème des hommes en général, c'est que cela ne leur viendra pas à l'esprit ou ils s'en foutent. Pourquoi ? Parce que cela les contraindrait à modifier leur comportement et ils n'y tiennent pas ou ils n'y sont pas disposés. Ils n'en voient pas l'intérêt qu'ils jugent mesquinement uniquement sur le plan individuel immédiat. Ils se détournent de tout ce qui ne leur apporte rien en terme d'argent ou de pouvoir ou ne contribue pas à améliorer leur condition ou leur statut social, en dehors de leur propre situation sociale, quoiqu'ils disent par ailleurs ils se foutent du reste ou ils s'en accommodent.

C'est la totalité de la société qui fonctionne ainsi quel que soit le statut social des uns et des autres ou leur niveau d'instruction ou d'études, les connaissances qu'ils ont acquises ou leur expérience parfois très longue, c'est ce degré d'inconscience qui aujourd'hui nous pète à la gueule et qu'évidemment on ne comprend pas pour différentes raisons, car je ne dois pas être le seul à m'en être aperçu, bien que des fois je me pose la question et j'en suis très perturbé, et surtout à en tirer des leçons politiques, là je me sens vraiment très seul pour tout vous avouer et c'est très préoccupant.

Je ne pense pas qu'il y ait un seul lecteur qui soit capable de saisir ce qu'il vient de lire, cela tiendrait du miracle et je n'y crois pas, même laïc ! C'est très prétentieux diront peut-être certains. Non, c'est être parfaitement lucide. S'ils confondent indépendance ou liberté d'esprit avec prétention, c'est qu'ils n'ont pas l'esprit tranquille ou ils se leurrent sur eux-mêmes. Cela fait belle lurette que j'ai cessé d'essayer de convaincre qui que ce soit de quoi que ce soit, cela ne sert strictement à rien, la preuve, on en est toujours au même point.

S'il fallait porter une appréciation sur les autres, je dirais qu'une personne qui n'est pas capable de vous expliquez ce qu'elle pense et pourquoi elle le pense, c'est qu'elle ne pense pas vraiment ou on pense à sa place, cela ne signifie pas pour autant qu'il faudrait la mépriser, loin de moi cette pensée, mais il y a tout lieu de se méfier de ce qu'elle vous raconte parce qu'on est en présence d'une personne inconsistante ou qui n'est pas vraiment libre, et qui n'en a pas conscience qui plus est. C'est pour cela que je ne juge pas les gens. Je préfère apprendre à les connaître, cela m'aide à combattre ma propre inconscience et à progresser.

Si l'évolution de l'homo sapiens devait s'arrêter aujourd'hui, on devrait en conclure qu'il aurait mieux fait de ne jamais exister.

Tant que nous sommes encore vivant, il faut bien vivre, dans des conditions qui nous sont imposées. Et pour assurer sa survie, vivre le mieux possible, on se doit de se pencher sur les lois qui régissent ces conditions, la société des hommes... On doit envisager de continuer à oeuvrer pour modifier notre environnement, afin de le rendre plus supportable ou pour permettre de satisfaire nos besoins sociaux et nos aspirations démocratiques, comme on n'a jamais cessé de le faire depuis des lustres pour atteindre le stade de la civilisation humaine. Les hommes de nos jours y rechignent, ils n'en voient pas l'intérêt, ils sont indifférents à leur propre destin, c'est pour dire dans quelle folie ils sont tombés, au point de croire n'importe quoi, comme toujours !

Je rajoute encore un mot ce mercredi matin.

Il y en a beaucoup qui secrètement ou non sont nostalgiques de telle ou telle période appartenant au passé, moi pas du tout et je vais vous dire pourquoi.

A 68, les "Trente glorieuses", la lutte des classes des années 50 à la fin des années 70, qui enthousiasment encore tant de militants, j'oppose la guerre de Corée, d'Indochine, d'Algérie, le Biafra et le martyr des Palestiniens, la succession de coups d'Etat militaires en Amérique centrale et latine, en Grèce, entre autres, la pauvreté de millions de travailleurs et leurs familles en France dont je faisais partie...

C'est là que je me dis qu'on ne vit pas dans le même monde, on a continué d'interpréter le monde comme si on ignorait ce qui s'était vraiment passé ou tout un pan de la réalité, dans ces conditions comment pourrait-on prétendre avoir une interprétation correcte de la situation telle qu'elle a évolué jusqu'à présent ?

Dans Wikipédia, la liste des guerres depuis 1945 jusqu'à nos jours est plus longue que les deux bras mis bout à bout, comparez-la avec celle des siècles antérieures et vous vous apercevrez que le progrès économique ou social ne s'est pas traduit en terme de conscience politique, bien au contraire.

Alors que valent les arguments l'ignorant manifestement ? Que dal ! Ils témoignent juste de cette inconscience collective permanente qu'on a refusé de prendre en compte, préférant s'illusionner sur une théorie réduite à l'état de dogme impuissant et nuisible qu'entretiennent de misérables boutiquiers, nos dirigeants.

Toute la difficulté consiste à faire la part des choses entre ce qui revient à la nature humaine, et ce qui se rapporte à la nature des rapports sociaux à la base des idées et des comportements des hommes, des classes, de la société, et toute confusion entre les deux ou négation de l'un ou l'autre de ces facteurs conduit infailliblement à une confusion inextricable ou à de graves méprises...

Pour conclure provisoirement et brièvement, toutes les analyses, théories et stratégies qui nous ont été proposées depuis 75 ans se sont avérées fondamentalement erronées, mais tout le monde refuse de l'admettre, tous ceux qui sont issus de ces courants du trotskysme s'y raccrochent malgré tout en désespoir de cause, qu'ils l'admettent ou non n'y changeant rien. Cela a contribué à les précipiter dans une décomposition politique plus ou moins avancée, où des lubies personnelles font chez eux désormais offices de théories ; Les uns ayant rejoint l'ongisme ou la pandémie associative, les autres versant dans la charlatanerie de l'écosocialisme, d'autres revenant au keynésianisme, d'autres encore ont renoué avec les différentes formes de socialisme utopique ou bourgeois antérieures au socialisme scientifique décrits par Engels, certains ou la plupart ont opté pour des formes hybrides caractéristiques du populisme qu'ont également épousé ces courants politiques et leurs partis, mêlant gauchisme et opportunisme débridé... Il y en a même qui ont cru que l'amour pouvait sauver les hommes comme d'autres la philanthropie des milliardaires.

Qu'il me soit permis de ne pas en être, merci de votre compréhension. D'autant plus que la théorie que je me suis forgé petit à petit au fil des dernières années, à résister à toutes les épreuves auxquelles elle a été soumises, ce qui nous a permis de ne pas nous fourvoyer ou de nous compromettre avec l'idéologie de nos ennemis, d'en subir l'influence et de la colporter, ou de ne jamais apparaître au coté du régime que nous combattons sur absolument tous les plans.

Nous avons ainsi évité soigneusement d'être Charlie, d'adopter la version de G. Bush du 11/9, de tomber dans le piège des "révolutions colorées", du "Printemps arabe", de privilégier la gauche de Wall Street, de servir la soupe à Tsipras ou Syriza, de cautionner la version anthropique du réchauffement climatique ou Green New Deal, idem pour la pandémie sanitaire fabriquée par le Forum économique mondial, de participer aux multiples campagnes sur les thèmes du féminisme, de l'antiracisme, etc. initiées et financées par l'oligarchie Chacun est libre de ménager le régime fascisant, de s'accommoder du capitalisme, d'y attribuer des vertus miraculeuses ou qui relèvent du mysticisme, de participer à ses institutions dites antidémocratiques sous prétexte qu'elles seraient aussi républicaines, de soutenir des syndicats corporatistes qui à défaut d'être totalement intégrés à l'Etat le sont au régime, de vouloir éviter à tous prix que les travailleurs souffrent davantage, et qu'ainsi les conditions indispensables à une révolution ne soient jamais réunies, au nom du socialisme, du communisme, du trotskysme, cela va de soi.

Bien que j'ai pensé un moment qu'on pourrait peut-être éviter d'en arriver à une situation catastrophique ou qu'il existerait peut-être une autre voie moins douloureuse pour les travailleurs, force est de constater que rien n'est venu confirmer cette théorie, à laquelle il faut dire, je n'ai jamais cru complètement, j'ai exploré cette piste, en vain, dont acte. En l'absence de conscience de classe et d'idéal, les hommes sont toujours incapables de réagir rationnellement, autrement que contraints et forcés par une menace mortelle, et encore il faut que des fleuves de sangs s'écoulent avant qu'ils prennent conscience que seule une action collective peut mettre un terme aux pires souffrances qu'on leur fait subir injustement.

Je ne me suis jamais fait la moindre illusion sur qui ou quoi que ce soit, ce qui n'interdit pas d'espérer mieux, des jours meilleurs ou de demeurer optimiste en toute circonstance.

Et cela ne date pas d'aujourd'hui.

Causerie du 1er mars 2013

Dans l'immédiat, à partir du 1er mars le site ne fonctionnera plus que comme une banque de données, la causerie et les infos en bref ne seront plus actualisées...

Causerie du 24 janvier 2014

Pour raison de santé et parce que continuer d'actualiser ce portail tel qu'il existait depuis août 2008 ne servirait à rien ou n'apporterait rien de plus aux lecteurs, dorénavant seuls seront publiés quelques articles ou chroniques de l'auteur. On ne forcera personne à les lire...

Causerie du 11 septembre 2015

Mon diagnostique est sans appel ou sans recours, je considère que dans ces conditions la barbarie est en bonne voie pour vaincre et le socialisme relayé au rang des utopies irréalisables, ce que je pressentais depuis des années, mais je voulais en avoir le coeur net comme l'on dit, c'est uniquement pour cette raison que je me suis obstiné à continuer, en vain, dont acte...

Causerie du 12 janvier 2016

Cette rubrique ne sera plus actualisée...

Causerie du 27 juin 2017

Vous vous demandez sans doute ce que je pense de la situation, on vient de s'éloigner un peu plus du socialisme, cela vous va ? Notre combat est-il perdu d'avance ? Dans l'état actuel des choses, assurément, il faudrait être fou pour penser le contraire. N'y a-t-il rien à faire ? Cela se discute...

Causerie du 27 octobre 2018

Pendant plus de 10 ans, j'estime avoir suffisamment démontré quotidiennement que j'étais un véritable opposant de gauche au capitalisme, incorruptible pour ne lui avoir jamais rien passé, pour ne plus avoir à le prouver et cesser sans regret cette activité politique...


Bienvenue au régime totalitaire mondial.

LVOG - L'eugénisme commence par les plus pauvres qu'il faut éliminer... et ils sont nombreux!

- La Banque mondiale dégage 12 milliards de dollars pour fournir des vaccins aux pays pauvres - AFP 13 octobre 2020

LVOG - Attendez, sous forme de prêts avec intérêts s'il vous plaît.

- Vers l'euthanasie pour les moins de 12 ans aux Pays-Bas - Europe1 14 octobre 2020

Les Pays-Bas ont annoncé mardi qu'ils allaient légaliser l'euthanasie pour les enfants malades en phase terminale âgés de un à 12 ans. Europe1 14 octobre 2020

LVOG - Quand est-ce qu'on va se décider à euthanasier ceux qui détiennent tous les pouvoirs ainsi que leurs représentants qui nous pourrissent l'existence ?

- Covid-19 : 2,5 millions de visons exterminés au Danemark - euronews 13 octobre 2020

Les scientifiques continuent de chercher comment le vison a été infecté par le Covid-19 et s'il peut le transmettre à l'homme. Les éleveurs qui n'ont aucun animal infecté seront indemnisés à 100%, les autres moins. euronews 13 octobre 2020

LVOG - Les bourreaux sont bien des enragés. C'est plus facile d'éliminer ces pauvres bêtes sans défense, que 2,5 millions d'hommes et de femmes, quel dommage !

La stratégie du choc, du chaos et de la terreur pour continuer à gouverner.

LVOG - Un mimétisme dicté par les ploutocrates du Forum économique mondial ? Chut, personne ne doit le savoir !

Coronavirus : Emmanuel Macron veut provoquer un électrochoc - LePoint.fr 14 octobre 2020

Il fait ainsi comme les autres dirigeants européens: l'Allemande Angela Merkel, le Britannique Boris Johnson ou l'Espagnol Pedro Sanchez ont tous prévenu leurs concitoyens que "les moments les plus difficiles sont devant nous".

« Les Français ont besoin de clarté sur le moyen et long terme. Il faut leur donner une trajectoire, un calendrier pour les mois qui viennent », ajoute l'entourage du chef de l'État.

Un couvre-feu permettrait de limiter les déplacements nocturnes, donc les réunions de famille ou d'amis, en particulier chez les jeunes, dont les fêtes dans des lieux privés, très difficiles à contrôler, sont autant de clusters potentiels.

« Des villes de différentes tailles seront concernées par ces mesures, en fonction de la circulation du virus », ajoute la même source.

Le chef de l'État devrait par ailleurs annoncer une accélération des tests, grâce à l'arrivée de nouvelles techniques beaucoup plus rapides, comme les tests salivaires. Le taux de positivité des tests atteint désormais 12 % en France. LePoint.fr 14 octobre 2020

LVOG - Comme en Suisse et au Canada.

- Jean Castex enjoint les Français à limiter le nombre de personnes qu'ils reçoivent chez eux - BFMTV12 octobre 2020

Le fascisme ordinaire ailleurs avec son agence de presse, l'AFP.

- "Confinement partiel" aux Pays-Bas

Les Pays-Bas, jusque-là moins stricts que leurs voisins européens, vont être soumis à un "confinement partiel" à partir de mercredi, comprenant notamment la fermeture des bars et des restaurants pour tenter de freiner la poussée de la pandémie, a annoncé mardi le Premier ministre Mark Rutte.

Après des mois de refus du port du masque, il a décidé de le rendre obligatoire dans les espaces clos pour les plus de 13 ans.

- L'Italie resserre la vis -

L'Italie a annoncé de nouvelles restrictions: interdiction aux bars et restaurants de servir des clients non assis après 21H00, interdiction des fêtes et célébrations, interdiction des sports de contact entre amis et des voyages scolaires, invités à domicile limités à six, mariages et baptêmes limités à 30 personnes.

- Dépistage massif en Chine -

Selon les autorités chinoises quatre millions d'échantillons ont été prélevés en près de deux jours à Qingdao (est), qui organise un dépistage express en cinq jours de ses 9 millions d'habitants après la découverte d'un mini foyer de coronavirus.

Le nier, c'est "miser" sur une stratégie idéologique ou l'origine de cette machination.

LVOG - La voix de Big Pharma pour vous inoculer le vaccin de l'esclavagisme.

- "Miser sur l'immunité collective n'est pas une stratégie éthiquement et scientifiquement acceptable" - euronews 13 octobre 2020

LVOG - Et le contrepoison.

- Immunité anti Covid par Dr Hélène Banoun, pharmacien biologiste - 29 septembre 2020

https://www.youtube.com/watch?v=dXNVay8VlTU&feature=emb_title

Pour rire, était-ce le moyen le moins risqué qu'ils avaient imaginé pour se débarrasser de Trump ?

- Covid-19 : le laboratoire américain Eli Lilly suspend l'essai clinique d'un traitement expérimental - europe1.fr 13 octobre 2020

Le groupe pharmaceutique américain Eli Lilly a annoncé mardi la suspension d'un essai clinique de son traitement expérimental aux anticorps contre le Covid-19 pour des raisons de sécurité non détaillées.

Le traitement est similaire à ce que Donald Trump a reçu peu après l'apparition de ses symptômes de Covid-19 : ce sont des anticorps de synthèse injectés en intraveineuse, et qui sont fabriqués spécifiquement pour neutraliser le coronavirus responsable de la maladie, remplaçant de facto le système immunitaire. europe1.fr 13 octobre 2020

Recherche volontaire pour tester le vaccin - Les Etats-Unis recherchent des cobayes

https://www.preventcovid19studies.com/?pn=10767SYADP&GID=EAIaIQobChMI97PA4eGf7AIVr-YoBR25mAEKEAEYASAAEgIXtvD_BwE&gclid=EAIaIQobChMI97PA4eGf7AIVr-YoBR25mAEKEAEYASAAEgIXtvD_BwE

Voilà comment aux Etats-Unis on cherche des pauvres gens (mais en bonne santé), prêts à servir de cobaye pour l’industrie vaccinale en échange de 450 dollars.

Sur l’image :

« Nous avons maintenant chacun besoin des uns des autres – Aidez la recherche du vaccin COVID-19 "Paiement pouvant aller jusqu’à 450 $ "

Remarque : Il n’y a pas de petites économies – et donc de petits profits pour les actionnaires des laboratoires – le « pouvant aller jusqu’à » signifie que dans les Etats pauvres des Etats-Unis, ils trouveront certainement des gens prêts à servir de cobaye pour bien moins que cela et les prisons regorgent de candidats potentiels). " Soins liés à l’étude gratuits par un médecin local

Etude sur le vaccin gratuit.

Prêt à démarrer ? Cliquez ici »

Source : https://www.infovaccin.fr/covid-19-coronavirus.html

1984 - 2020

LVOG - De plus en plus de professionnels de la santé, d'intellectuels ou de membres des classes moyennes par nature modérés ou pas vraiment révolutionnaires évoquent ouvertement et publiquement le basculement dans un régime totalitaire.

- Après le nazisme et le communisme, le covidisme. par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 11 octobre 2020

LVOG - Traduire communisme par stalinisme dans le titre et dans le texte.

Extrait

À l’heure de l’hystérie covidienne, le « covidisme », de tous ses mensonges tolérés, de toutes ses exagérations officielles, prétextes à toujours plus de règles et d’intrusions des gouvernements dans la liberté citoyenne, avec manipulation de la pensée, trucages des chiffres, agitation mentale et peurs injustifiées entretenues par les médias, nous sommes en droit de frémir, non pas devant cette infection virale, mais devant tout ce qu’elle entraîne comme totalitarisme disproportionné

De toute façon, le totalitarisme est toujours disproportionné.

Cette fois, l’utilisation non pas d’un terrorisme préfabriqué, mais d’une infection virale somme toute bien moins mortelle que nombre de maladies qui nous accompagnent depuis des décennies sans que cela n’émeuve nos gouvernements, montre combien l’esprit de la plupart des hommes et femmes « normaux » a été chloroformé, à nouveau.

Le processus de basculement est déjà bien avancé.

Car ce totalitarisme pavé de bonnes intentions (sauver des vies pour en réalité en tuer bien davantage) devient de plus en plus évident.

Dans ses rapports de correspondant de guerre à l’époque de la montée du nazisme, en 1933 en Allemagne, le journaliste William L. Shirer [2] dit quelque chose qui devrait tous nous faire réfléchir, aujourd’hui :

« La vitesse et la profondeur des mutations de la société allemande… » furent proprement impressionnante.

Il a pu assister à la façon dont tout un peuple avait cédé à une forme d’hypnose collective, avec prise en otage de ses capacités de réflexion, de ses facultés de discernement.

Lorsque le Führer se montrait au balcon, la foule rassemblée entrait en transe.

Lorsque les présentateurs et conseillers de sécurité parlent de courbes de nouveaux « cas », les populations entrent en transe.

La censure était omniprésente.

N’est-ce pas ce qu’il se passe, aujourd’hui, à propos des centaines, milliers de médecins, professionnels de la santé qui osent contester la propagande gouvernementale à propos du COVID-19 [3] ?

Des professeurs d’université qui veulent réveiller l’esprit critique sont menacés de renvoi [4], des médecins, menacés de sanctions.

Cette censure permettait au régime nazi de garder le contrôle des esprits. Si on déviait de la ligne permise, plus ou moins visible, on était expulsé, voire pire.

La censure sur les réseaux sociaux ou les sites de vidéo en ligne, toujours en faveur des propagandes gouvernementales, sévit plus que jamais en 2020.

Voici un témoignage directement de la bouche de William L. Shirer, en Allemagne, à l’époque d’Hitler :

« X est venu me voir, écrit-il le 21/09/40. Après que nous eûmes débranché mon téléphone et que nous nous fûmes assurés que personne ne nous écoutait par la fente de la porte, il m’a raconté une histoire « fantastique ». Il dit que la Gestapo a commencé à faire disparaître systématiquement les gens qui souffrent d’aliénation mentale dans le Reich. »

À propos de la persécution des Juifs, Shirer s’étonnait d’entendre minimiser la détermination des nazis, minimisation venant surtout de gens aisés et instruits qui refusaient de voir l’évidence, qui croyaient que l’antisémitisme finirait par passer.

Aujourd’hui, dans la crise d’hystérie covidienne, c’est à nouveau le cas, beaucoup de gens pourtant instruits, aisés, fondamentalement sensibles, raisonnables attendent que tout cela passe, et minimisent la contestation.

La promesse d’un vaccin à la fois efficace et aux effets secondaires maîtrisés est irréaliste [5], en particulier en matière de coronavirus, et pourtant, de nombreuses personnes éduquées, raisonnables en d’autres circonstances sont prêtes à se laisser manipuler.

À basculer.

N’avons-nous pas assisté, en quelques mois, à une phase de traumatismes répétés d’une bonne partie de la population humaine ?

La peur, l’angoisse, l’anxiété sont maintenus, entretenus, sans que les données médicales réelles ne viennent les justifier, comme cela est souligné par plusieurs médecins, spécialistes, de l’intérieur, pourtant rejetés, ignorés, censurés.

Aujourd’hui, ce qui nous entraîne dans le totalitarisme dont le nazisme et le communisme étaient jusqu’ici les expressions les plus meurtrières, n’est pas un homme en particulier, ni même un groupe précis, mais une clique de gens regroupée autour d’une idéologie mortifère basée sur la corruption et le mensonge, sur le travestissement de la réalité.

Le mensonge est partout et il censure la vérité par tous les moyens dont il dispose, médias, groupes scientifiques achetés ou aveuglés, vérificateurs de faits qui parasitent tout et ne font jamais que discréditer tout ce qui contredit la propagande officielle. Mais ce qui rend tout cela possible, à nouveau, en 2020 comme dans les années 30 en Allemagne, c’est la sidération de centaines de millions de gens normaux, d’êtres fondamentalement sensibles qui ont sincèrement juré « plus jamais ça » et qui, pourtant, sont prêts à reproduire l’impensable, l’érection d’un nouveau totalitarisme, mondial cette fois.

Comment pensez-vous que les personnes lucides qui refuseront ce qui sera présenté comme un vaccin contre le SRAS-2 seront traitées ?

Seront-elles marquées, rassemblées dans des camps, isolées, stigmatisées, culpabilisées ?

Devront-elles porter un signe distinctif ?

La société totalitaire et ses serviteurs zélés, complices, les empêcheront-ils d’accéder à tout ce qui définit la liberté, la dignité : se rassembler, voyager, s’exprimer, s’embrasser, aimer, être aimé, rire sans masques pour le cacher ?

Le traitement des personnes qui refusent de porter des masques inutiles et néfastes pour la santé à longueur de journée est-il un avant-goût de l’ostracisme aveugle à venir ?

Nous sommes sur cette pente, de plus en plus raide, vers une nouvelle horreur.

Tous les signes le montrent.

Censure, « raisonnement » binaire : oui-non, pour-contre, monopole gouvernementale sur l’histoire qui est racontée aux gens, énorme passivité des gens, paralysie de la capacité à raisonner, débattre par la peur, l’intimidation, la simplification excessive, réductrice et stigmatisation de l’ « autre », celui qui n’est pas d’accord, auquel le système de contrôle refuse même le droit à s’exprimer librement.

Nous n’avons jamais autant baigné dans le mensonge maquillé en vérité.

Il n’est pas trop tard car la transe n’a pas touché tout le monde, au contraire, beaucoup de personnes se sentent de plus en plus dégoûtées par cette orgie de mauvaise foi et de faux-semblants. Mondialisation.ca, 11 octobre 2020

En complément.

Covid 19 & tests PCR : Crimes contre l'humanité par Reiner Fuellmich - 5 oct. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=UQFZHtnW8DY


Le 17 octobre 2020

CAUSERIE ET INFOS

Service minimum. On ajoutera des bricoles dans la causerie demain ou lundi, rien ne presse, n'est-ce pas ? Elle n'est pas belle la vie sous un régime fascisant, hein ?

Comme vous avez pu l'observer, cela ne fera même pas la couverture, la Une ou le contenu de l'éditorial des publications du mouvement ouvrier définitivement mort, et attendez, sans avoir livré le moindre combat contre l'ennemi, non, ses dirigeants toutes formations confondues ont préféré au choix, le sacrifier, le suicider, l'euthanasier pour une autre cause que la nôtre. Qui en doute encore ?

Je devrais me mettre en grève jusqu'au retrait de toutes les mesures liberticides adoptées par Macron, mais je serais encore tout seul...

On a eu raison de me refiler un chien, au moins lui il est toujours heureux de me voir, ça change ! Vous me direz qu'il est intéressé puisque c'est moi qui le nourrit. Certes, mais il a quand même en permanence à l'esprit le bien que je lui procure ou il demeure animé de bonnes intentions envers moi, alors que mes lecteurs avant même d'avoir fini de digérer la généreuse plâtrée que je leur avais servie m'ont déjà oublié ! Non, ce n'est pas la nature humaine qui est comme cela, c'est la société qui les rend ainsi. Ingrat, indifférent, hautain, méprisant, cela va leur retomber sur le coin de la gueule un jour ou l'autre, personne n'y échappe.

Au fait, ni moi et ni mon chien ne portons de muselière.

Comme je suis un mec sympa je vais vous donner un tuyau pour vous sentir tout de suite mieux : Ne comptez pas, surtout ne commencez pas à compter, sinon vous ne pourrez plus jamais vous arrêter, on vous fera compter n'importe quoi, vous voyez à quoi je fais allusion, n'est-ce pas ? Alors ne comptez que sur vous-même.

Allez, sans rancune aucune... quand on ne compte pas.

Les articles mis en ligne aujourd'hui.

DOCUMENT. Énergie : 10 chiffres qui prévoient l'évolution du monde en 2030 (13.10)
DOCUMENT. Pourquoi ce sont les compétences - et non les diplômes - qui détermineront l'avenir du travail (09.10)
DOCUMENT. Le chômage comme principale préoccupation des chefs d'entreprise, le climat en pleine ascension dans le classement des principaux risques (08.10)

DOCUMENT. COVID-19: RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité. (14.10)
DOCUMENT. La deuxième vague n’est pas virale mais économique et sociale : l'appel de 250 intellectuels (08.10)

DOCUMENT. Série d'articles du Réseau Voltaire consacrés au Karabagh. (du 11 au 14.10)

DOCUMENT. Un mythe brisé. Les limites de la pensée de Noam Chomsky (2006)