Causeries mai 2020


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Le 2 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Vous m'excuserez d'avoir fait l'impasse sur le 1er mai, je n'ai pas de balcon et je ne suis pas du genre à flatter la bêtise humaine, qui plus est quand elle se présente masquée ! Je laisse ce genre de consensus aux démagogues professionnels.

Si je peux me permettre, profitez de ce mauvais moment à passer pour lire et étudier, réfléchir, n'hésitez pas à tout remettre en cause. Téléchargez et lisez attentivement les documents disponibles dans cette page, ils vous aideront à progresser, cela devrait être notre obsession.

Nous ignorons d'où nous partons vraiment, et nous ne savons pas non plus où nous arriverons. Voilà qui est tout à fait passionnant et devrait nous stimuler ou nous encourager à faire preuve de détermination, afin de donner de la substance à notre aspiration ou à notre idéal de justice et de liberté.

Vous ne trouverez pas plus réfractaire à l'ordre établi que moi, et pourtant paradoxalement je suis un partisan scrupuleux de l'ordre et de la méthode, de la discipline, de la logique dialectique, parce que j'ai pris conscience un jour ou plutôt au fil du temps, que c'était indispensable aussi bien pour s'en sortir dans la vie que pour lui donner un sens qui ne pourrait être que collectif ou partagé. L'anarchie, le désordre, la crasse, l'oisiveté, la médiocrité, la vanité sont les tristes apanages des crétins et font leur malheur, et le nôtre au passage. A nous de savoir ce que l'on veut vraiment.

- « Le bien-être de l’humanité est toujours l’alibi des tyrans. » – Albert Camus

- "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme."

- "L'ignorance, c'est la mort ; le savoir, c'est la vie."


28 pages au format pdf

On nous a toujours expliqué qu'il était improbable, voir impossible de combattre et vaincre un ennemi qui avancerait masqué ou dont on ignorerait la nature, nous sommes bien d'accord. Alors pourquoi quand l'oligarchie financière monte au créneau sans masque pour superviser la mise en oeuvre de sa stratégie totalitaire, on ne devrait pas lui accorder l'attention qu'elle mérite ? Pourquoi les chantres du combat contre le néolibéralisme s'en détournent-ils soudainement ?

D'autres sur un ton péremptoire affirment (des maoïstes) que "la question de savoir si le « déclencheur » Covid-19 est lui-même le fruit d’un réel hasard ou non est sans objet", à ceci près que recourir à une opportunité qu'on a créée, et saisir une opportunité apparaissant indépendamment de notre volonté ou accidentelle n'est pas du tout la même chose et n'aura pas les mêmes implications. Car dans le premier cas l'intention de nuire sera inscrite dans la nature de ceux qui recourraient à cette opportunité. Elle sera fidèle à l'image de la société qu'ils avaient façonnée, elle sera conforme à ses fondements. Elle figurera au même titre que tous les maux qui accablent les exploités et les opprimés sous le règne de l'exploitation de l'homme par l'homme. Tandis que dans le second scénario leur nature sera épargnée ou le doute subsistera quand aux réels intentions des oligarques, pourquoi n'en auraient-ils pas de bonnes envers leurs sujets, avec toutes les conséquences qui en découleront par la suite.

Le second scénario est d'autant plus insoutenable et opportuniste, au regard des multiples évènements qui ont précédé et accompagné l'émergence de cette pandémie fabriquée au coronavirus, où les oligarques les plus puissants de la planète étaient en première ligne. Que les maoïstes notamment privilégient ce scénario n'a rien d'étonnant, puisque depuis plus de 40 ans ils soutiennent le régime dictatorial chinois intégré au capitalisme mondial, partant de là ils sont forcément mal placés pour combattre le capitalisme et l'oligarchie financière.

Parole d'internaute.

1- "On vit dans un drôle de pays, où on préfère vous pister pour vous verbaliser, plutôt que vous dépister pour vous soigner !"

LVOG - Cela s'appelle un Etat policier, un régime fasciste. Comment pouvez-vous affirmer une chose pareille, s'exclameront les militants pétris de dogmatisme, le fascisme est incompatible avec l'existence du mouvement ouvrier... A ceci près que lorsque le mouvement ouvrier en est réduit à l'état de putréfaction que l'on peut observer quotidiennement, on est en droit d'en conclure qu'il est déjà mort pour la cause qu'il devait servir.

Ce constat ne date pas d'hier, et c'est bien parce que nos dirigeants ont refusé obstinément d'en tenir compte et d'en tirer toutes les leçons politiques pendant des décennies, qu'on en est rendu à cette situation.

Si vous rejetez cette explication, il ne vous restera plus qu'à adopter celle qui consiste à soutenir que d'une manière ou d'une autre l'humanité était destinée au chaos et à la barbarie et qu'il était impossible d'y échapper, parce qu'il n'en existe pas d'autres, soit la classe ouvrière serait en mesure d'accomplir la tâche historique qui consistait à en finir avec le capitalisme et le règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, soit elle en serait incapable et elle serait condamnée à perpétuité à la servitude dans les pires conditions qui soient.

2- "30 gamins par classe... 60 personnes dans une rame de métro... mais pas le droit de marcher une heure en famille sur plage ou sur une rive..."

LVOG - Le règne de la tyrannie est implacable, et il ne supporte pas la controverse, la critique, la polémique, le doute ou la moindre suspicion, vous devez y adhérer sous peine d'être violemment réprimé, éliminé. J'ignore si vous vous y ferez un jour, moi jamais, certains en redemandent furieusement, ils deviendront demain les auxiliaires de cette police politique impitoyable, là pour le coup vous avez le droit d'avoir peur ou de craindre pour votre avenir qui s'annonce cauchemardesque, terrifiant.

3- "Triste réalité. Dès qu'une note d'espoir se profile, nous assistons à une levée de boucliers ! Il ne peut exister de traitement. Une deuxième vague est inéluctable. Notre système immunitaire ne nous garantit ni contre une rechute imminente ni une immunité durable dans l'éventualité d'une contamination par ce virus dévastateur."

LVOG - Commencez par cesser de croire que ce virus serait "dévastateur", et vous verrez que la réalité est moins triste que celle qu'on vous présente, parce qu'elle recèle des contradictions explosives, qui, si elles étaient exploitées à bon escient, permettraient d'entrevoir une issue politique qui vous redonnerait le goût à la vie ou de renouer avec l'espoir de changer radicalement de société.

4- "Y en a marre ! Chaque commentateur dit le contraire du précédent. Et forcément chaque commentateur choisit les faits qui lui qui permettent de justifier ses commentaires." (Ma concierge)."

LVOG - Tout est fait minutieusement pour que plus personne ne comprenne la situation. J'en conclus que mes lecteurs sont des privilégiés, car eux ils savent de quoi il retourne. A moins que malgré tout ils s'y refusent, dans ce cas-là on ne pourrait rien plus pour eux.

Nous payons le prix de la capitulation sans combat des dirigeants du mouvement ouvrier tout partis et syndicats réunis.

- En Inde, le confinement prolongé de 2 semaines - Reuters 1 mai 2020

Le gouvernement indien a annoncé vendredi la prolongation pour deux semaines du confinement national qui devait prendre fin le 4 mai. Reuters 1 mai 2020

Le professeur Raoult : "Le consensus, c'est Pétain".

Avis à ceux qui se vautrent dans la fange en exigeant un prolongement du confinement et le port du masque obligatoire. Ils se sont discrédités à jamais.

Union nationale de l'extrême droite à l'extrême gauche en passant par l'extrême-centre.

- Hidalgo favorable au port du masque dans les rues de Paris - AFP 29 avril 2020

- Collomb pour l'obligation du port du masque dans l'espace public - AFP 30 avril 2020

- Déconfinement: Estrosi veut des passeports sanitaires pour entrer ou sortir de France - AFP 30 avril 2020

- L'étude inquiétante sur la propagation du coronavirus dans les avions - Yahoo 30 avril 2020

- Déconfinement : une étude française recommande le confinement des plus fragiles "jusqu'à février 2021" - Franceinfo 30 avril 2020

- Coronavirus: Éric Piolle (EELV) se félicite du "changement de ton" du gouvernement - AFP 29 avril 2020

Les classes moyennes atteintes.

- Déconfinement : 45% des Français prévoient de réduire considérablement leur budget mode - ELLE.fr 30 avril 2020

Ils en rajoutent un à leur panoplie de la terreur.

- Alerte rouge : comment repérer le moustique tigre, qui fait son grand retour ? - Yahoo 30 avril 2020

Communisme, terrorisme, climat, virus, astéroïde, ovni, moustique...

La fabrique du consentement a fonctionné à merveille.

- Déconfinement: les Français approuvent le plan sauf sur l'école - AFP 29 avril 2020

Les Français approuvent très majoritairement les principales mesures du plan de déconfinement annoncé mardi par le Premier ministre, à l'exception du retour à l'école dès le 11 mai qui les divise, selon un sondage OpinionWay publié mercredi.

Selon cette enquête pour les Echos, le taux d'approbation est supérieur ou égal à 80% pour cinq mesures : le maintien du télétravail (93%), l'obligation du masque dans les transports (91%), l'annulation des événements sportifs et culturels (82%), la possibilité de circuler sans attestation (80%) et l'interdiction des cérémonies religieuses jusqu'au 2 juin (80%).

L'approbation est aussi supérieure à 60 % pour sept autres mesures : le maintien de la fermeture des lycées (77%), la limitation à 10 personnes des rassemblements (77%), la réouverture des marchés (75%), un déconfinement plus strict dans les départements les plus touchés par l'épidémie (74%), la limitation à 15 élèves par classe (67%), la fermeture des cafés et restaurants au moins jusqu'à début juin (62%) et la réouverture des crèches (61%).

En revanche, la réouverture des écoles ne fait pas consensus: les sondés ne sont que 49 % à l'approuver (et autant à la désapprouver).

Pour autant, la confiance dans la capacité du gouvernement à "limiter les effets" de l'épidémie ne remonte pas et demeure à un plus bas de 40% dans ce baromètre quotidien.

Et le scepticisme se renforce même sur sa capacité à mener des tests à grande échelle comme l'a annoncé mardi Edouard Philippe.

72% des sondés (+5 points depuis le 14 avril) estiment que les pouvoirs publics ne seront pas en mesure de tester toutes les personnes symptomatiques (dont 32% répondent "certainement pas"). AFP 29 avril 2020

Commentaires d'internautes.

1- "Le pouvoir et les charlatans dit scientifiques ont tellement crée de la psychose fantasmée hors réalité, que la crainte des gens est palpable."

2- "Cela fait des années que les français approuvent n'importe quoi ou élisent n'importe qui Même qu'ils ont acceptés le confinement (sorte de suicide économique collectif) alors pourquoi pas approuver le déconfinement !

C'est en faisant n'importe quoi que l'ont devient n'importe qui !"

Et les cinglés ou fanatiques en redemandent.

- Le déconfinement ? Non merci ! Ces personnes comptent bien rester chez elles le plus longtemps possible - Yahoo 30 avril 2020

- Anthony Delon s'emporte contre les "crétins" qui ne respectent pas le confinement - Gala.fr 30 avril 2020

- Etat d'urgence sanitaire: vers une prolongation de deux mois, avec possibilité de placement à l'isolement - BFMTV 30 avril 2020

Le projet de loi prorogeant l'urgence sanitaire doit être présenté samedi en Conseil des ministres, avant son examen au Sénat dès lundi, puis à l'Assemblée nationale, en vue d'une adoption définitive dans la semaine. L'état d'urgence sanitaire "est prorogé pour une durée de deux mois à compter du 24 mai", indique l'avant projet de loi. BFMTV 30 avril 2020

Il nous faut revenir sur le fonctionnement du coronavirus ou corriger un point.

Apparemment l'ensemble de la population ne serait pas affectée parce que la durée de vie du coronavirus serait insuffisante. Au fur et à mesure que le temps s'écoule, il perdrait en intensité et en contagiosité, et il n'aurait plus la force de procéder à une mutation, temporairement ou non, on n'en sait rien.

En fait, le COVID-19 se comporte comme le virus de la grippe. Quant à savoir s'il sera saisonnier ou non, tout le monde l'ignore ou personne ne peut le savoir sauf les charlatans qui officient sur les plateaux de télévisions. S'il était saisonnier, aucun vaccin ne serait efficace puisqu'entre temps il aurait muté !

Nous voilà sous la botte masquée du fascisme.

L'absence de lucidité (sic!) de nos dirigeants confine à la trahison.

Les travailleurs n'avaient pas conscience d'être des esclaves, alors ils n'auront pas davantage conscience avec le confinement d'être les prisonniers d'une société rendue au stade du totalitarisme.

- Le philosophe croate Srecko Horvat - « La crainte d’une pandémie est plus dangereuse que le virus lui-même. Les images apocalyptiques des médias de masse cachent un lien profond entre l’extrême droite et l’économie capitaliste. Comme un virus qui a besoin d’une cellule vivante pour se reproduire, le capitalisme s’adaptera à la nouvelle biopolitique du 21e siècle ».

Giorgio Agamben - Et il y a pire encore : « Un nouveau despotisme, qui en termes de contrôles omniprésents et de cessation de toute activité politique, sera pire que les totalitarismes que nous avons connus jusqu’à présent ».

Agamben redouble ses analyses sur la science comme religion de notre temps : « L’analogie avec la religion est prise au pied de la lettre ; les théologiens ont déclaré qu’ils ne pouvaient pas définir clairement ce qu’est Dieu, mais en son nom ils dictaient des règles de conduite aux hommes et n’hésitaient pas à brûler les hérétiques. Les virologistes admettent qu’ils ne savent pas exactement ce qu’est un virus, mais en son nom, ils prétendent décider de la façon dont les êtres humains doivent vivre ». (Comment penser l’après-Planète en confinement par Pepe Escobar - Mondialisation.ca, 30 avril 2020)

Révélateur.

POI - En raison de la situation liée au Covid-19, IO (Informations ouvrières) est en libre accès... limité, la censure cela existe !

Quand j'ai voulu aller à la page abonnement, voici sur quoi je suis tombé : Your access to this site has been limited by the site owner. Traduction : Votre accès à ce portail a été limité par le propriétaire du portail (Informations ouvrières), circulez il n'y a rien à voir !

Autrement dit, ces démocrates dans l'âme m'interdisent de m'abonner en ligne à leur journal, intention que je n'ai jamais eu, c'était juste par curiosité, et ils ont formaté les pages Internet de telle sorte qu'on ne puisse ni les télécharger ni en copier des passages. Ils ont simplement oublier qu'on pouvait les photographier à l'écran, puis en réduire le volume et les formater en pdf, je les mettrai peut-être en ligne demain.

NPA le 29 avril 2020

- Contre ce gouvernement, c’est autour d’un véritable plan d’urgence sanitaire et sociale qu’il s’agit de se mobiliser, pour un « bouclier sanitaire » avec des tests et des masques gratuits, pour aller vers un déconfinement en toute sécurité, pour ne pas payer les frais de la crise économique de leur système. Sur les réseaux sociaux, les murs de nos quartiers, aux fenêtres et balcons, ou dans la rue en tenant compte des mesures de distanciation physique, ce 1er Mai sera une occasion de nous organiser dans cet objectif, une étape dans le déconfinement de nos colères.

LVOG - Ce sont bien des acteurs ou complices de la psychose collective pilotée depuis l'Elysée et Matignon...

Quand un parti cautionne la machination au coronavirus, il cautionne toutes les conséquences qui en découlent pour les travailleurs, il est corrompu et irrécupérable, tout le reste ensuite n'est plus que du baratin correspondant à ce que ses troupes voulaient entendre.

Ceux qui ont refusé de dénoncer cette monstrueuse machination, c'est-à-dire tous les partis dits ouvriers et l'ensemble des syndicats, de fait ils ont rejoint les rangs de l'union nationale derrière Macron. Ils sont morts politiquement et ils ne serviront jamais notre cause.

Pourquoi sur tous les grands évènements depuis le début du XXe siècle, ces dirigeants se réfugient-ils dans le déni de la réalité, pourquoi la falsifient-ils ?

Pour eux, le coronavirus, c'est forcément un phénomène naturel, puisque Macron et sa clique d'assassins l'ont décrété, c'est la vérité et il n'y a pas à revenir dessus. Ils considèrent que les conséquences du coronavirus révèleraient la crise du capitalisme, un point c'est tout. La discussion est terminée. Plutôt léger ou simplet comme explication.

Pour eux, l'origine de tous les évènements qui se sont produits de 1914 à 2020 se réduirait à la crise du capitalisme. Il n'existerait pas d'autres explications. Tous ces évènements auraient été provoqués uniquement par la crise du capitalisme, à aucun moment l'oligarchie financière ne les aurait provoqué, ils surviendraient pratiquement spontanément frappant à la fois toutes les classes, les riches comme les pauvres, personne ne les aurait vu venir. La crise du capitalisme se voit pour ainsi dire dotée d'un pouvoir surnaturel d'imposer sa volonté aux hommes, qui n'auraient plus rien d'autres à faire ensuite qu'en gérer aux mieux les conséquences en fonction de leurs besoins. Ce pouvoir pourrait être personnifié par un évènement concomitant secondaire, qui par miracle déclencherait une succession d'évènements en chaîne tellement imprévisibles que personne ne pourrait plus arrêter cette machine infernale jusqu'à ce qu'elle ait accompli son oeuvre destructrice.

Bref, la crise du capitalisme expliquerait tout. Mais dans ce cas-là, comment expliquer que le capitalisme ne s'est pas encore effondré depuis près de 90 ans, alors qu'il en a eu l'occasion à une multitude de reprises. Il faudrait être plus précis encore pour comprendre de quoi il s'agit vraiment. En fait, le capitalisme ne serait pas en crise auquel cas elle pourrait éclater à tout moment, il est plutôt au bord de la crise, il vit on the edge, sur le fil du rasoir. Il réunit tous les ingrédients et toutes les conditions qui devraient précipiter sa chute, mais elle ne se produit pas, il y a une main invisible à la manoeuvre qui le retient, qui l'empêche de sombrer totalement, mieux qui va voler à son secours pour qu'il puisse se refaire une santé en attendant la prochaine alerte, car il est quand même en proie à une menace bien réelle qu'il ne s'agit pas de nier.

Quand une crise éclate enfin, quel soulagement, pour peu de temps seulement, car il va falloir s'empresser de faire disparaître tous les éléments qui permettraient de comprendre qu'elle a été préméditée et provoquée délibérément, le mieux étant de s'en remettre à la version officielle que le plus grand nombre partagera spontanément. C'est ainsi par exemple que toutes les questions relatives aux conditions dans laquelle elle se produit et qui sont en contradiction avec le discours officiel devront disparaître, de même les délits d'initiés caractérisés, la présence de W. Churchill dans les allées de Wall Street le 29 octobre 1929 n'était que pure coïncidence, de la même manière les simulations d'attentats réalisées par les services de renseignement au moment même où ils vont se produire, de préférence sur les lieus mêmes, seront autant de facteurs jugés insignifiants pour qu'on les mentionne.

Ce qu'on voudrait nous faire croire, c'est que tous ces éléments qui manifestement ont un rapport avec certains évènements précis ou hors du commun, n'en auraient finalement aucun, le coronavirus et le confinement de toute la population non plus, qui plus est les conséquences sociales qui en découlent, du coup pourquoi faudrait-il en chercher l'origine, vaut mieux pratiquer l'autocensure cela évitera de remonter en arrière, car il ne faut pas découvrir des signes annonciateurs de ces évènements ou qui pourraient laisser penser qu'ils auraient été délibérément commis, cela entrerait en contradiction avec la théorie de la crise du capitalisme qui est censée tout expliquer par elle-même, quitte à partager le consensus ambiant ou à se compromettre gravement, ce qui n'a aucune importance puisque seulement une infime minorité en aura conscience.

Au bout du compte, à quoi cela rime-t-il, sinon à ménager l'oligarchie financière.

On est en présence d'un système ou d'un mode de pensée borné ou monolithique, qui ne peut concevoir que l'oligarchie serait le principal acteur du déclenchement de toutes les crises ou de tous les évènements déterminant l'orientation du capitalisme et de la société, et l'oligarchie est amenée à faire preuve d'autant plus d'audace de nos jours qu'elle concentre tous les pouvoirs plus que jamais dans le passé, ce qui lui garantit une impunité totale pour tous ses crimes. Mieux, elle est tellement sûre d'elle, qu'elle va jusqu'à se permettre d'annoncer la couleur à l'avance à ceux qui partagent leur idéologie pour qu'ils s'y préparent, sans leur fournir plus de détails, car peu font partie des initiés, pas même Trump ou Macron par exemple, on vient d'en avoir la preuve, sachant que si ses ennemis y faisaient référence, il lui suffirait de recourir à ses médias pour nier leurs allégations et les faire passer pour des complotistes pour s'en débarrasser.

Si vous vous en teniez à la littérature du mouvement ouvrier, vous ne seriez jamais en mesure de comprendre la situation, c'est fait exprès pour que vous dépendiez de leurs dirigeants pour vous orienter, dans une impasse évidemment.

Moi j'ai adopté une démarche diamétralement opposée, qui consiste à permettre à chaque lecteur de se forger librement ses propres idées en leur fournissant tous les faits à ma disposition, et peu importe l'usage qu'ils en feront, je n'ai pas à les juger. Au passage, je leur fournis les moyens de critiquer mes idées, ce qui est inconcevable pour ces dirigeants.

J'allais oublier de préciser que je ne néglige pas la crise du capitalisme. J'affirme que c'est devenu un facteur parmi d'autres que l'oligarchie a les moyens de manipuler ou d'instrumentaliser pour en tirer profit, afin d'instaurer un modèle de société totalitaire, où la crise du capitalisme serait relayée au second plan ; Je crois quand on y réfléchit un peu, que détenir la planche à billets ou contrôler l'argent ou la monnaie en circulation dans tous les sens du terme lui confère un pouvoir sans pareil. Aujourd'hui, qui voyons-nous au premier plan de la machination au coronavirus, l'oligarque le plus riche du monde, Bill Gates, un hasard sans doute !

Illustration. "Tout cet argent de la relance est dédié aux marchés de capitaux"

- Le Covid-19 fera émerger un nouveau paysage financier - euronews.com 1 mai 2020

Euronews -"Cette crise peut-elle changer les habitudes des investisseurs ? Devons-nous nous attendre à un nouveau paysage financier ?

Amro Zakaria Abdu, cofondateur de Market Trader Academy :

- "Absolument. Je pense que nous allons vers un élargissement du fossé entre le monde de la finance et l'économie. Ils devraient être liés, mais ils ne le sont pas. Il y aura plus de financiarisation, les gouvernements détiendront une plus grande partie de l'économie tout simplement parce qu'ils sont en train d'injecter beaucoup d'argent dans leurs économies pour les relancer. Cela accentuera aussi les disparités entre les riches et les pauvres, malheureusement, parce que tout cet argent de la relance est dédié aux marchés de capitaux et tout le monde ne possède pas des actions ou des obligations... Donc quand nous serons sortis de tout cela, nous serons dans un monde totalement différent en termes d'économie et de marchés financiers." euronews.com 1 mai 2020

Ceci explique cela.

La France a le gouvernement le plus réactionnaire et barbare de la planète, bravo aux dirigeants du mouvement ouvrier qui en portent la responsabilité.

Ils ne veulent surtout pas que la crise sociale s'amplifie, que l'économie s'effondre, les travailleurs risqueraient de prendre le chemin de la révolution, lisez leur littérature pour le vérifier par vous-même.

La seule réponse au confinement à perpétuité : Le 11 mai, grève générale pour préparer le renversement du régime et établir une République sociale.

Au lieu de cela, ils vous offrent un 1er mai au balcon ! Les cons ça osent tout, c'est même à cela qu'on les reconnaît (Les Tontons flingueurs), notre impolitesse est honorable parce que nos intentions sont louables et légitimes contrairement aux leurs.

En temps normal ils se font passés pour des révolutionnaires ou des anticapitalistes, en temps de crise, ils dévoilent leur crasse ignorance ou leur véritable nature réactionnaire.

Si vous refusez de l'admettre ou vous le niez, dans ce cas-là dites-vous bien que votre sort est réglé et vous pouvez dire adieu définitivement à un hypothétique changement de régime ou au socialisme. Si vous avez choisi le pire, vous l'aurez en pire encore, nos ennemis vous l'ont promis et on peut leur faire confiance sur ce plan-là. Moi, c'est ce qui m'inquiète le plus. Il faut être lucide.

Ils vous prennent pour des demeurés.

- Nous avons découvert, avec stupéfaction et confusion, que des pays beaucoup plus pauvres que nous s’en sortaient bien mieux que nous. Il est vrai que ces pays ont appliqué tout de suite le triptyque gagnant : dépister, isoler, soigner...

On ne peut pas se fier aux chiffres de la mortalité égrenés chaque soir à la TV par le croque-mort qui nous sert de directeur de la santé. On ne sait s’ils sont augmentés pour justifier le confinement, ou diminués pour justifier le gouvernement, ou simplement impossibles à établir en l’absence de tests. Mais une chose est sure, l’économie est en perdition.

On ne sait pas encore combien il y aura de faillites car tout est suspendu et il est impossible de faire de déclaration de cessation de paiement en ce moment, mais on sait d’ores et déjà que ça va être catastrophique pour les petits entrepreneurs que les gros pourront racheter pour une poignée de cacahuètes, et pour les salariés qui vont se retrouver au chômage dans une grande précarité, du fait que ce gouvernement vient de quasiment supprimer les indemnités. On sait que le confinement a augmenté les violences intrafamiliales ainsi que le mal être d’un peuple qui est déjà un des plus gros consommateurs d’anxiolytiques. Sans compter les menaces qui pèsent sur nos libertés.

Finalement, lorsqu’on dissipe un peu le brouillard qui entoure le coronavirus, on s’aperçoit que, malgré les apparences, l’oligarchie mondialiste, dont nos dirigeants ne sont que les porte-valises, n’est pas le moins du monde ébranlée. En fait, elle était bel et bien prête, non pas à sauver les peuples, mais à utiliser le virus, comme tout ce qui se produit sur terre, accidentellement ou pas, pour nous exploiter mieux et davantage. Pareille à elle-même, elle poursuit, « quoiqu’il en coûte », son rêve de prendre le contrôle absolu d’un peuple d’esclaves.

En face, ce peuple se défend comme il peut, à commencer par les travailleurs. La page FB, C’est la grève, liste les grèves en cours ou à venir. Il y en a beaucoup. Beaucoup de monde est en colère. Tous partagent le même objectif : en finir avec un système qui détruit l’environnement et l’humain. Mais cela n’est pas un projet de société. On dit que la bourgeoisie a mis quatre siècles à imposer la propriété privée des moyens de production, et qu’elle était instaurée dans les faits, bien avant de l’être dans la loi. La bourgeoisie savait exactement ce qu’elle voulait, c’est pourquoi elle l’a obtenu. A mon sens, il nous faudra avoir une idée plus précise et mieux partagée de la société dans laquelle nous voulons vivre, si nous voulons en changer. (Des phares dans la nuit du Coronavirus? par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 30 avril 2020)

LVOG - C'est faux de prétendre que "Tous partagent le même objectif : en finir avec un système qui détruit l’environnement et l’humain" pour s'en être très bien accommodés, ils ne cessent d'en faire la démonstration en exhibant leur servilité.

Non, ce n'est pas parce que "La bourgeoisie savait exactement ce qu’elle voulait, c’est pourquoi elle l’a obtenu", c'est parce que les forces productives étouffaient dans le cadre du mode de production féodal, donc pour qu'elles continuent de croître, il fallait passer à un mode de production supérieur que la bourgeoisie ou le capitaliste incarnera.

Quand on prétend que l'évolution de la civilisation humaine dépendrait de la volonté des hommes, et non des lois qui régissent le développement des forces productives au cours du processus dialectique matérialiste et historique inconscient, une telle confusion ne peut conduire que dans une impasse ou réduire à l'impuissance ceux qui envisageraient de changer de société, infailliblement ils en arrivent à louer le capitalisme ou à se ranger à ses côtés, et ainsi forger leur propre perte.

Et pendant ce temps-là, l'oligarchie se gave.

La France continue d’être le seul pays au monde à interdire la chloroquine ; et les profits des multinationales seront sauvés à coup d’argent public et sans aucune contrepartie. Cet argent (le nôtre) ira, comme de bien entendu, grossir les fortunes faramineuses accumulées dans les paradis fiscaux. Le président des riches imite, comme toujours, son mentor, les Etats-Unis. Le site WSWS.org ne manque pas de s’en indigner :

« Les milliardaires américains ont, depuis la mi-mars, augmenté leur richesse de $282 milliards. La fortune collective de ces 614 individus, qui s’élève à $3 200 milliards, a été soutenue et renforcée par la hausse continue de la valeur des actions à Wall Street, qui a encore fortement augmenté lundi ».

Et comment se fait-il que les actions aient grimpé de la sorte alors que l’économie étasunienne est frappée de plein fouet et que 10% de sa population active est au chômage (sans indemnités évidemment) ?

« La solution de l’énigme tient en trois lettres : “ Fed.” La Fed, – c’est-à-dire la Réserve fédérale américaine, – a clairement indiqué qu’elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir Wall Street. En conséquence, les marchés continuent de grimper. »

Voilà, comme toujours, on satisfait les milliardaires en renflouant le CAC 40 et en remettant les travailleurs au boulot, et on satisfait Big Pharma en interdisant le seul médicament sûr et bon marché utilisé par tous les autres pays et dont notre armée elle-même a commandé un stock de sécurité, et pour le reste, c’est fini, plus rien. (Des phares dans la nuit du Coronavirus? par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 30 avril 2020

Le confinement tient du fascisme, et le mouvement ouvrier s'en est accommodé, pire, il en redemande !

- La farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel» par Peter Koenig - Mondialisation.ca, 28 avril 2020

Extrait.

D’abord, il y a la farce, un gouvernement (presque) universel ment dans le monde entier au sujet d’un virus mortel, l’OMS, nommé COVID-19. La décision d’un verrouillage mondial – littéralement pour l’effondrement de l’économie mondiale – a déjà été prise lors de la conférence du Forum économique mondial (FEM) à Davos, du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l’OMS a déclaré que COVID-19 était une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). À cette époque, il n’y avait que 150 cas connus de COVID-19 en dehors de la Chine. Il n’y a aucune raison de déclarer une pandémie. Le 11 mars, le Dr Tedros, DG de l’OMS, a transformé la PHEIC en pandémie. Cela a donné le feu vert pour le début de la mise en œuvre du « Plan ».

La pandémie était nécessaire comme prétexte pour stopper et faire s’effondrer l’économie mondiale et le tissu social sous-jacent.

Ce n’est pas une coïncidence. Il y a eu un certain nombre d’événements préparatoires, tous orientés vers une catastrophe historique monumentale à l’échelle mondiale. Tout a commencé il y a au moins 10 ans – probablement bien avant – avec le tristement célèbre rapport Rockefeller de 2010, qui a décrit la première phase d’un plan monstrueux, appelé scénario « Lock Step » (étape de verrouillage). Parmi les derniers préparatifs de la « pandémie », il y a eu l’Événement 201 (Event 201), qui s’est tenu à New York le 18 octobre 2020.

L’événement était parrainé par le Centre de santé publique Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) et le Forum économique mondial (FEM), le club des riches et des puissants qui se réunit chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Un certain nombre de produits pharmaceutiques (groupes d’intérêt pour les vaccins), ainsi que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis et de la Chine y ont participé.

L’un des objectifs de l’événement 201 était une simulation informatique d’une pandémie de coronavirus. Le virus simulé était appelé SARS-2-nCoV, ou plus tard 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux : 65 millions de personnes ont été tuées en 18 mois et la bourse a chuté de plus de 30 %, entraînant un chômage et des faillites sans précédent. C’est précisément le scénario que nous vivons aujourd’hui depuis le début de la crise.

Le scénario « Lock Step » (verrouillage ou confinement) prévoit un certain nombre d’événements ou d’éléments épouvantables et inquiétants du plan qui sera mis en œuvre par l’Agenda ID2020, une création de Bill Gates, entièrement intégrée dans les objectifs de développement durable (SDG) des Nations unies – date cible d’achèvement – 2030 (également appelé Agenda 2030, l’agenda caché inconnu de la plupart des membres des Nations unies), la même date cible d’achèvement de l’Agenda ID02020.

Ici, juste les éléments clés en tant que précurseur de ce que le monde vit actuellement, et de ce qui est à venir, si nous ne l’arrêtons pas – pour démontrer comment cette imposture entièrement criminelle a été planifiée. Certaines parties du scénario le sont:

Un programme de vaccination massive, probablement par le biais de la vaccination obligatoire – le rêve et l’idée de Bill Gates est de vacciner 7 milliards de personnes. Une réduction massive de la population, un plan d’eugénisme – en partie par la vaccination et d’autres moyens (Réf. Bill Gates, « si nous faisons un vrai bon travail de vaccination, nous pourrions réduire la population mondiale de 10 à 15 % ». Voir « Innovating to Zero ! », discours prononcé lors de la conférence annuelle TED2010, Long Beach, Californie, 18 février 2010). Bill Gates défend depuis des années la nécessité d’une réduction massive de la population. En effet, depuis plus de 20 ans, les vastes programmes de vaccination de la BMGF en Afrique, en Inde et dans d’autres endroits du monde ont enregistré un record de stérilisation involontaire des femmes entre 14 et 49 ans. Voir En 2014 et 2015 : le Kenya a mené un programme massif de vaccination contre le tétanos, parrainé par l’OMS et l’UNICEF.

Une identification électronique pour chaque personne sur la planète – sous la forme d’une nano-puce, éventuellement injectée en même temps que la vaccination obligatoire. Cette nanopuce pourrait être téléchargée à distance avec toutes les données personnelles.

De l’argent numérisé, plus d’argent liquide.

Déploiement universel de la 5G, suivi plus tard par la 6G.

Cela conduit à un contrôle total de chaque individu sur la planète. Il est vendu au public sous le nom d’Internet des objets (IdO, en anglais Internet of Things), ce qui correspond à des voitures à conduite automatique, de l’équipement de cuisine robotisé, l’intelligence artificielle (IA) pour la production et la livraison de tout produit. Ce que le discours de vente ne dit pas, c’est comment les humains seraient marginalisés et réduits en esclavage. Pour faire avancer ce plan directeur, il faut des ondes électromagnétiques à haute fréquence. Par conséquent, le déploiement de la 5G est indispensable, quel que soit l’impact sur la santé des hommes, de la faune et de la flore – et quelle que soit son influence sur les infections virales, comme peut-être l’actuel COVID19.

L’OMS reste silencieuse, bien qu’elle admette qu’aucune étude officielle indépendante n’a été réalisée sur les dangers de la 5G – et des champs électromagnétiques en général. Cela signifie-t-il que l’OMS est cooptée par les Grands et les Puissants dans ce baratin mortel ? – Qu’il suffise de dire que, contrairement aux autres agences de l’ONU, l’OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller (RF) – voir The Lancet. Il convient également de noter qu’environ la moitié du budget de l’OMS provient de sources d’intérêt privées, principalement de l’industrie pharmaceutique, mais aussi d’autres sources, comme les géants des télécommunications.

C’est un signe avant-coureur pour comprendre comment les choses sont planifiées. Il peut aider à relier les points ensemble pour voir ce qui est à venir.

Il peut également nous aider à comprendre ce qui se passe actuellement, dans la première phase du scénario « Lock Step » (confinement). Il dépeint clairement la nature criminelle de l’obscure État profond.

Peu importe le krach boursier – c’est un syndrome de spéculateur, les risques des riches, car la bourse est une invention occidentale pour jouer avec le capital et les gains en capital au détriment des travailleurs, dont la vie dépend du travail de ce capital. Ils sont les premiers à partir, lorsque le Big Money (le pouvoir financier) appelle à une fusion – ou à une faillite.

Aujourd’hui, la quarantaine quasi universelle et justifiée par RIEN, le verrouillage complet de toutes les entreprises, petites ou grandes – restaurants, construction, tourisme, petites et grandes quincailleries, boulangeries, compagnies aériennes, transports -, l’interruption des chaînes d’approvisionnement – usines, transformation des aliments – et cela continue encore et encore.

Dans les pays du Nord (développés), jusqu’à 90 % des transactions commerciales proviennent de petites et moyennes entreprises (PME). La quasi-totalité d’entre elles sont aujourd’hui fermées. Deux tiers ou plus d’entre elles pourraient ne plus jamais ouvrir. Les employés et les travailleurs sont licenciés ou réduits à un travail à temps partiel, c’est-à-dire à un salaire à temps partiel – mais ils doivent quand même subvenir aux besoins de leur famille. La pauvreté et le désespoir s’installent et se généralisent. Aucun avenir en vue. Les taux de suicide vont augmenter – voir la Grèce lors de la crise de 2008-2009 – et jusqu’à dix ans plus tard – et on verra des familles ruinées, des saisies, des familles expulsées des appartements loués parce qu’elles ne peuvent plus payer leur loyer. La mendicité dans les rues devient normale, sauf qu’il n’y a plus personne pour donner un centime.

En Europe, un tiers au moins de la population active, voire plus de 50 % selon le pays et la structure de la main-d’œuvre, devrait être au chômage ou réduit à un travail à temps partiel. Et ce n’est qu’un début. Aux États-Unis, les chiffres officiels du chômage dépassent les 23 millions à l’heure actuelle – et devraient, selon les prévisions de la FED, Goldman Sachs, Bloomberg – atteindre entre 32 et 40 % au cours du prochain trimestre. Les faillites pourraient devenir insurmontables.

Le FMI prévoit pour 2020 une contraction de l’économie mondiale de seulement 3 % – et un faible taux de croissance dans la dernière partie de 2021. C’est tout à fait ridicule! – Sur quelle planète se trouvent ces gens ? Qui essaient-ils de tromper, et pourquoi ? Peut-être pour encourager les pays à emprunter d’énormes quantités de devises étrangères à ces institutions destructrices de Bretton Woods (au FMI et à la Banque mondiale) – pour s’endetter infiniment en pensant qu’avec les prévisions du FMI, tout ira bien ? – Pour les réduire davantage en esclavage par la tromperie ?

C’est le Nord global (Global North) – qui dispose d’une sorte de filets de sécurité sociale, aussi fragiles soient-ils – il y a une lueur d’espoir de soulagement. Une autre lueur d’espoir se construit sur les prémisses que l’humanité ne cessera de créer – en travaillant ingénieusement, en inventant – en avançant comme un fleuve coulant vers de nouveaux horizons, en créant de nouvelles dynamiques, de nouveaux emplois… oui, c’est ce que l’humanité peut faire – et dans notre confort, nous avons oublié cette vertu – une vertu essentielle pour la survie – la survie de la crise du coronavirus.

Le Sud global (Global South)- ou les pays en développement – présente une histoire plus sombre. Dans des circonstances normales, un tiers à la moitié de l’économie est informelle, c’est-à-dire qu’elle n’est soumise à aucune norme d’organisation formelle ou juridique. Ce sont des travailleurs temporaires, des travailleurs journaliers, des travailleurs horaires – vivant au jour le jour, sans épargne, sans filet de sécurité – et dans la plupart des cas sans couverture médicale. Ils sont laissés aux caprices du « marché », au sens propre du terme. Maintenant, le marché s’est effondré.

Il n’y a plus rien. Pas de travail, pas de revenu, pas d’argent pour payer la nourriture, le loyer, les médicaments – et le gouvernement leur ordonne, à eux les plus démunis, de rester « chez eux » – « enfermés » en quarantaine – pour se protéger d’un virus, un virus imposé que personne ne voit, mais le gouvernement et les médias veillent à ce que vous soyez conscients – et EFFRAYÉS – de ses dangers, vous ne savez jamais si c’est vrai ou faux.

Confinement à « domicile » ? – Où est la maison ? La maison est partie. Pas d’argent pour payer le loyer. Gardez une distance sociale – ne vous réunissez pas. Restez à l’écart. L’infection pourrait se propager. La peur est essentielle.

Prenez une ville comme Lima, au Pérou. La population totale du Pérou est d’environ 30 millions d’habitants. Lima, environ onze millions – dont 3 à 4 millions vivent en marge de la société ou en dessous du seuil de la pauvreté- dans des bidonvilles, ou pire. Travailleurs journaliers ou horaires. Ils vivent parfois à plusieurs heures de leur lieu de travail. Aujourd’hui, il n’y a plus de lieu de travail. Ils n’ont pas d’argent pour payer la nourriture, le transport ou le loyer – les propriétaires les mettent à la rue, les expulsent de leurs propriétés. Comment peuvent-ils rester confinés ? Comment peuvent-ils prendre soin d’eux-mêmes en étant mis en quarantaine – enfermés – sans abri, sans nourriture – cherchant désespérément à gagner juste assez d’argent pour survivre un jour de plus – et peut-être pour partager avec leur famille ? Ils ne le peuvent pas.

La protection par confinement (sic-sic) est réservée aux riches. Les pauvres, eux, meurent de faim avec leurs enfants et leurs familles – et peut-être aussi du coronavirus. Ils vivent dans des cercles de pauvreté et de misère, où il n’y a rien à épargner. Personne ne possède rien. Même pas en solidarité. Il n’y a tout simplement rien. Une privation totale, causée par un arrêt économique total – imposé au monde et surtout aux pauvres par des hommes diaboliques – et peut-être aussi par des femmes diaboliques.

Ces 3 à 4 ou 5 millions de personnes, elles sont toutes venues à un moment ou à un autre des provinces rurales, pour lesquelles le gouvernement ne fait rien, ou pas assez pour les aider. En quête d’une vie meilleure, ils abandonnent leurs « chacras » (petites parcelles de terre) et partent pour la grande ville – au paradis – où ils sont condamnés à vivre dans une plus grande misère que leurs maigres installations rurales. Ils endurent cela – toujours avec espoir. Aujourd’hui, la crise du Coronavirus provoquée par les hommes a rendu la vie encore pire, bien pire pour eux. Il n’y a pas ou très peu de subventions gouvernementales – ou alors elles arrivent trop tard ou se perdent dans la corruption.

Ils se rassemblent par solidarité. Ils doivent retourner dans leur province d’origine, dans leurs chacras, dans leur famille, où ils trouveront un abri et de la nourriture, où ils pourront à nouveau se sentir « chez eux » et aimés ou du moins accueillis.

Un gouvernement dictatorial de type militaire les empêche de partir – pour des raisons de sécurité, bien sûr – ils peuvent infecter d’autres personnes, – la farce continue. Et personne ne dit « peep ». Personne n’ose le faire, de peur d’être enfermé. Il y a la brutalité policière – bâtons, gaz lacrymogènes – la répression – et retour à nul part où s’abriter – il n’y a pas de nourriture. Jusqu’à ce que le gouvernement central tout-puissant décide d' »organiser » le rapatriement – par bus, mais il n’y a pas assez de moyens, ni d’organisation – le chaos s’installe – et le sort s’aggrave – et combien peut-il s’aggraver ? La famine frappera, les rendra de plus en plus faibles, plus sujets aux maladies et à la mort – non pas de la COVID19 , mais de la famine. Mais selon les statistiques, ces décès seront automatiquement attribués, sur ordre des maîtres, à la pandémie de Coronavirus. Naturellement. C’est ce qui se fait ailleurs, dans le Nord global.

Pourquoi pas dans le Sud ?

Lima n’est qu’un exemple parmi d’autres – il représente probablement la plupart des pays d’Amérique latine, à l’exception du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba. Dans ces derniers pays, au centre de la misère, il existe encore un sentiment de solidarité unissant le peuple. Le gouvernement est aux côtés du peuple, mais les gens souffrent davantage, à cause des sanctions occidentales. Les gens sont littéralement assassinés par les sanctions occidentales – d’abord par États-Unis, un état génocidaire.

Le New York Times (22 avril 2020) rapporte : « Au lieu du Coronavirus, la faim nous tuera ». Une crise alimentaire mondiale se profile à l’horizon. Selon les experts, le monde n’a jamais été confronté à une telle urgence alimentaire. Le nombre de personnes confrontées à la faim aiguë pourrait doublé pour atteindre 265 millions à la fin de cette année.

Par ailleurs, d’après le New York Times :

« À Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi, au Kenya, les habitants vivent déjà dans une extrême pauvreté. Des gens voulant désespérément manger ont déclenché une émeute de la faim lors d’une récente distribution de farine et d’huile de cuisine, faisant de nombreux blessés et deux morts ».

« En Inde, des milliers de travailleurs font la queue deux fois par jour pour obtenir du pain et des légumes frits afin de lutter contre la faim.

« Et à travers la Colombie, les familles pauvres accrochent des vêtements rouges et des drapeaux à leurs fenêtres et balcons pour indiquer qu’ils ont faim. »

« Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les gens. » Henry Kissinger

Cela nous rappelle la fameuse citation de Kissinger des années 1970 sur la famine,

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens », poursuit la citation,

« Qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

Kissinger, comme les Gates, les Rockefeller sont « bien intentionnés » : Ils n’ont jamais caché leur volonté de réduire la population mondiale sous une forme qui rappelle l’eugénisme, en » éradiquant la pauvreté « , par exemple par la vaccination – à commencer par l’Afrique. M. Gates a récemment proposé d’essayer son nouveau vaccin à effet corona en Afrique – ce à quoi même son copain, le Dr Tedros, directeur général de l’OMS, a protesté.

La pandémie de coronavirus a apporté la pauvreté et la famine à des millions de personnes dans le monde. Et il n’y a pas de fin à l’horizon.

Au contraire, il semblerait que presque tous les gouvernements soient cooptés ou contraints tacitement à adhérer aux « lignes directrices ».

C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Les « élites mondiales » croient vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir.

Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique – et mentent, mentent, mentent abjectement – à leur population. Ceux-là même qui sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir.

Dans les circonstances « normales » de l’inégalité prédatrice de notre planète, quelque 9 millions de personnes meurent chaque année de la faim et de maladies liées à la famine. Ce chiffre pourrait augmenter de façon exponentielle. Peut-être des dizaines de millions, voire plus.

La famine et les décès dus à la famine pourraient être encore plus importantes, causés par des pénuries alimentaires provoquées artificiellement, ou par des sécheresses ou des inondations – résultant d’un changement climatique délibérément provoqué par l’homme – non pas par l’augmentation de la température causée par le CO2, dont on parle ridiculement, mais par le système avancé HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) de l’US Air Force.

« Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d’ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l’objectif était de prolonger la saison des moussons et de bloquer les routes d’approvisionnement ennemies le long de la piste Ho Chi Minh ». Aujourd’hui, le système HAARP a été perfectionné et militarisé. Selon le document de l’US Air Force AF 2025 Final Report, la modification du temps (pour usage militaire) :

« offre au combattant de guerre un large éventail d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire …

La modification des conditions météorologiques fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de météo artificielle font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires] ».

Dans le cadre du programme de vaccination forcée proposé par la Fondation Gates, ceux qui refusent la vaccination pourraient, par exemple, ne pas pouvoir voyager.

La misère abjecte qui est délibérément imposée à l’humanité devient de plus en plus visible. Outre l’anéantissement des biens des gens et des entreprises, c’est la pauvreté et la famine…

Il n’existe aujourd’hui aucun tribunal de type Nuremberg, honnête, éthique et suffisamment puissant pour tenir les élites mondiales responsables et les traduire en justice. (Vous n'auriez rien de moins compromettant ? - LVOG)

Nous, les peuples, devons prendre les rênes de ce changement de paradigme en cours.

Nous, le peuple, devons sortir de ce verrouillage atroce. Mondialisation.ca, 28 avril 2020

Ce sont eux qui pilotent l'OMS et qui sont à l'origine de cette escroquerie au coronavirus.

- The Rockefeller Foundation and the international health agenda - May 11, 2013

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(13)61013-2/fulltext

Bien qu'elle ne soit plus la seule institution philanthropique à égaliser avec la santé mondiale, la Fondation Rockefeller (RF) a marqué le domaine comme aucune autre organisation. Intégré il y a un siècle ce mois-ci, le FR a établi la coopération en matière de santé comme une initiative légitime d'organisme intergouvernemental et privé et a façonné les principes, les pratiques et les institutions clés du domaine international de la santé. Contrairement aux acteurs mondiaux de la santé avertis des médias aujourd'hui, la RF n'a pas fait étalage de son rôle mais est souvent restée dans les coulisses (...)

La RF avait un rôle géopolitique qui allait bien au-delà de la santé (...) même temps que le FR était impliqué dans des activités pays par pays, il cartographiait également le cadre institutionnel de la santé internationale. Son organisation et ses pratiques ont jeté les bases d'une nouvelle architecture sanitaire internationale légitime, dotée de sa propre bureaucratie et de son propre mode de fonctionnement. L'Organisation de la Santé de la Société des Nations, fondée après la Première Guerre mondiale, était partiellement inspirée du Conseil international de la santé de la RF et partageait bon nombre de ses valeurs, de ses experts et de son savoir-faire en matière de lutte contre les maladies, de renforcement des institutions et de travaux éducatifs et de recherche. Lorsque l'Organisation de la Santé de la Société des Nations a été confrontée à une crise financière, la FR est devenue son principal mécène, finançant finalement une grande partie de son budget de fonctionnement. Après la création de l'OMS en 1948, l'IHD a été dissous. Pourtant, il a maintenu une présence indirecte pendant des décennies (...)

Même après que la RF se soit retirée de son rôle de premier plan dans la santé internationale, elle a gardé la main sur les activités liées à la santé et au développement - en finançant la «révolution verte» dans l'agriculture, le Population Council et les sciences sociales et la recherche médicale. À partir de la fin des années 70, il a cherché à circonscrire le passage de l'OMS aux soins de santé primaires à une variante plus technique et moins sociopolitique. Au cours des années 80, la FR a créé le Réseau international d'épidémiologie clinique et le programme des grandes maladies négligées de l'humanité. Dans les années 90, il a (...) largement inventé le modèle de partenariats public-privé qui est maintenant si omniprésent dans la santé mondiale.

Aujourd'hui, bien sûr, nous ne pouvons pas discuter de philanthropie de la santé sans invoquer la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a imité l'approche techniquement orientée de la RF en matière de santé. Pourtant, les deux fondations diffèrent actuellement de la RF d'antan. Dans le passé, le FR a défendu la responsabilité publique en matière de santé publique et a été ouvert à de vastes discussions. Plus récemment, la FR, après avoir revigoré son rôle de santé mondiale, a exprimé son soutien à la couverture universelle des soins de santé, mais uniquement en «mobilisant les ressources du secteur privé pour financer et fournir des services de santé». Le RF encourage également «l'investissement d'impact», incitant les investisseurs en capital-risque à «s'attaquer aux problèmes sociaux et / ou environnementaux tout en réalisant également des bénéfices». Peut-être que le marquage du centenaire de la RF stimulera la réflexion interne, incitant la fondation à revenir à ses objectifs historiques d'améliorer globalement le bien-être, plutôt que de générer des bénéfices pour les investisseurs. thelancet.com May 11, 2013

L’OMS et Trump ou la voix du Pentagone, de l'Etat profond.

- Coronavirus : L’OMS appelle Pékin à l'"inviter" pour enquêter sur les origines du virus - 20minutes.fr 1 mai 2020

Les autorités sanitaires mondiales, accusées par les Etats-Unis de ne pas avoir immédiatement saisi la gravité du nouveau coronavirus, ont appelé vendredi Pékin à les inviter à participer aux enquêtes sur les origines animales du virus. « L’OMS souhaiterait travailler avec des partenaires internationaux et, à l’invitation du gouvernement chinois, participer à l’enquête sur les origines animales », a indiqué un porte-parole de l’organisation, Tarik Jasarevic, à l’AFP.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui a jusqu'à présent couvert de louanges Pékin pour sa gestion de la crise, a expliqué vendredi qu’elle « croyait savoir qu’un certain nombre d’études visant à mieux comprendre l’origine de l’épidémie en Chine sont actuellement en cours ou prévues ».

Donald Trump a dit jeudi envisager de nouvelles taxes punitives contre Pékin après avoir acquis la certitude que le nouveau coronavirus provenait d’un laboratoire hautement sensible de Wuhan, et non d’un marché local d’animaux.

Selon l’OMS, les enquêtes en cours en Chine portent notamment sur des cas de personnes malades « dont les symptômes ont commencé à se manifester à Wuhan et dans ses environs à la fin de 2019, sur des échantillons pris dans les environs des marchés et des fermes des régions où les premiers cas humains ont été identifiés, et (…) sur des espèces sauvages et animaux d’élevage vendus sur ces marchés ». 20minutes.fr 1 mai 2020

Ils osent tout. Poser la question c'est y répondre. Que vaut la parole des services de renseignement

LVOG - Quelle est la nature d'un régime qui s'en remet à l'appareil policier de l'Etat en matière de santé publique ? Un régime totalitaire ou fasciste.

- Le renseignement US ne croit pas que le coronavirus a été fabriqué par l'homme - Reuters 30 avril 2020

- Le nouveau coronavirus n'a été ni créé par l'être humain ni modifié génétiquement, assurent les renseignements américains - Franceinfo 30 avril 2020

"L'ensemble des services de renseignement apporte constamment un soutien crucial aux dirigeants politiques et à ceux qui luttent contre le virus (provoquant la maladie) Covid-19, qui provient de Chine", a indiqué la direction nationale du renseignement (DNI) dans un communiqué. Donald Trump charge Pékin

"Les services de renseignements rejoignent le large consensus de la communauté scientifique pour convenir que le virus du Covid-19 n'a pas été créé par l'homme ou modifié génétiquement", ajoute le communiqué.

"La communauté du renseignement continuera a étudier avec rigueur les informations et renseignements qui émergeront pour déterminer si l'épidémie a commencé par un contact avec des animaux infectés ou si elle a été le résultat d'un accident de laboratoire à Wuhan", la ville chinoise d'où est partie la pandémie, conclut le communiqué.

Cette rare déclaration publique des renseignements américains intervient après que le président Donald Trump n'a pas exclu de réclamer des dédommagements à Pékin pour l'épidémie de coronavirus. Franceinfo 30 avril 2020

C'est contrariant tous ces pays où les gens ne veulent pas mourir...

- COVID-19: Le modèle vénézuélien… occulté par les médias par Thierry Deronne (Venezuela infos 20 avril 2020) - Mondialisation.ca, 29 avril 2020

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) – qui a envoyé ses experts à Caracas – le confirme. Au 20 avril 2020 seuls 9 décès sont à déplorer. On compte 45 % de guérisons sur un total de 256 cas, pour une population de 31 millions d’habitants (1). Face au blocus et aux sanctions renforcées par l’administration Trump, le pont aérien de la coopération chinoise et russe, mais aussi de l’OMS et de la Croix Rouge, se poursuit. Des centaines de tonnes de gants, masques, blouses, kits de dépistage débarquent depuis des semaines.

Conscience et discipline populaires, densité du réseau des centres de santé publique « Barrio Adentro », s’ajoutent au confinement général, tests massifs et port de masques décidés avant toute infection par le Président Nicolas Maduro. « Les faits parlent d’eux-mêmes » explique l’ex-Président Rafael Correa pour qui le Venezuela freine de manière exemplaire le Covid-19 en Amérique Latine alors que par contraste les régimes néo-libéraux font passer l’économie avant la vie, provoquant la mort de milliers de femmes et d’hommes.

Le succès du Venezuela s’explique aussi par la mise en ligne d’une enquête gouvernementale sur la plate-forme « Carnet de la Patria » créée à l’origine pour connaître les besoins des familles populaires face à la guerre économique états-unienne. Au 20 avril 18.637.699 citoyens y ont répondu, et pour certains, déclaré des symptômes qui ont permis aux médecins de les visiter rapidement pour effectuer le test de dépistage. Sans oublier la mission sociale « Barrio Adentro« , système de santé créé avec l’aide de Cuba, qui aide à massifier les tests. Plus de 300.000 tests ont déjà été effectués.

Pourquoi les grands médias le cachent-ils ? Pourquoi cachent-ils les mesures de protection des travailleurs décrétées par le Président Maduro ? Pourquoi cachent-ils le retour de milliers de vénézuéliens fuyant le Covid-19 qui explose en Colombie, au Pérou et en Équateur – principales destinations d’une migration économique qui avait fui les effets du blocus états-uniens (et attribuée par les médias à la « faillite du socialisme ») ?

La réponse réside dans le fait que ces pays n’offrent pas de solution sociale pour prendre en charge ces personnes, dont la plupart sont des travailleurs indépendants. Les routes de Colombie sont à nouveau pleines d’immigrants, mais cette fois dans l’autre sens. Malgré les attaques contre sa monnaie et le blocus maritime des Etats-Unis, le gouvernement bolivarien s’efforce de maintenir une assistance sociale de base. Et comme l’explique la journaliste brésilienne vivant au Venezuela, Fania Rodrigues, c’est ici, au Venezuela, que vivent leurs parents et que sont leurs racines. Pour elles et eux, à la frontière, le protocole de sécurité vénézuélien prévoit une assistance médicale totalement gratuite, des tests obligatoires et une quarantaine de 15 jours avant de se rendre dans leur État. Des refuges et des autobus de l’État ont été affectés à cette quarantaine, pour transporter ensuite les personnes concernées chez elles. C’est le cas des 910 vénézuéliens rentrés la semaine dernière du Brésil. Logés, nourris, confinés quelques jours avant de rentrer chez eux avec l’appui logistique du gouvernement, ils ou elles ont aussitôt reçu des masques et passé le test de dépistage. Mondialisation.ca, 29 avril 2020

LVOG - J'ai supprimé l'écriture inclusive de cet article, comme je le fais chaque fois que j'en rencontre.

Quand on vous le disait que c'était la nature du régime.

"Le consensus, c'est Pétain" : le professeur Raoult s'en prend au Conseil scientifique et à sa gestion du Covid-19 - francetvinfo.fr 30 avril 2020

Interview accordée à Paris Match.

Première cible : le Conseil scientifique, chargé de conseiller Emmanuel Macron. "Ces personnes ne savaient pas de quoi elles parlaient ! Et chacun poussait ses billes en avant. Il fallait faire plaisir, représenter l'Institut Pasteur, l'Inserm... Il n'y a rien de fiable scientifiquement là-dedans", accuse l'infectiologue qui a lui-même fait partie des onze experts nommés le 11 mars, avant d'en partir.

Toujours à propos de ses anciens confrères du Conseil scientifique, il dit qu'"on ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels". Avant de lâcher, plus loin : "Le consensus, c’est Pétain. Insupportable. On ne peut pas décider de cette manière."

"Trouver un vaccin est même un défi idiot"

Alors que le monde de la recherche est en quête d’un vaccin contre le Covid-19, le professeur Raoult juge que ce n'est pas la bonne solution. "Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante… C’est même un défi idiot, juge le scientifique, qui dirige l'IHU Infection Méditerranée, à Marseille. Près de 30 milliards de dollars ont été dépensés pour celui contre le VIH, voyez le résultat ! Ce n’est pas une guerre de laboratoire, mais d’intelligence. Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin !"

Lui continue de défendre son traitement à base d'hydroxychloroquine pour combattre le Covid-19. "L'hydroxychloroquine est le traitement de référence pour les pneumopathies [infections du système respiratoire], se permet-il de rappeler. Un Américain sur huit en prend une fois par an !"

Didier Raoult : Ce traitement est bête comme chou, c’est pour ça qu’il irrite. On part d’un fait : une maladie sans remède. La réflexion ensuite est banale. Quel médicament déjà actif pourrait fonctionner ? francetvinfo.fr 30 avril 2020

C'est comme cela les arrange.

- En effet, chaque pays va ou ne va pas prendre en compte certains critères. Pour le cas belge, il semblerait qu’une «surévaluation» du nombre de morts serait la cause principale à cette première place, comme le rapporte Le Monde. À l’opposé de certains États, la Belgique comptabilise tous les décès, tant au niveau de la localisation que les morts dites «suspectes» –pas obligatoirement testées–, entraînant ainsi une potentielle surévaluation. sputniknews.com 30 avril 2020

LVOG - On les compte ou on les compte pas, les morts dans les maisons de retraite, les morts à leur domicile. On ne sait pas au juste de quoi ils sont morts, on "suspecte" le coronavirus, bon allons y pour le coronavirus, et un coronavirus de plus histoire de gonfler les statistiques et de nourrir la psychose collective. Cela doit les divertir les psychopathes sadiques.

Ils ont été jusqu'à trier les condamnés à mort. (Applaudissez !)

Oui, les hôpitaux ont bien procédé au «tri» des patients - sputniknews.com 30 avril 2020

Une semaine après de premières révélations sur des recommandations des autorités sanitaires de «limiter fortement» l’admission en réanimation des «personnes les plus fragiles», le Canard enchaîné revient à la charge après le démenti du ministère. Le document en question existe bel et bien et Sputnik l’a analysé: il laisse peu de place au doute.

«Dans un hôpital public d’Île-de-France –des documents en possession du “Canard” en attestent–, aucun patient de plus de 70 ans n’a été admis en réa durant les six jours les plus critiques de la crise. Un “tri” que personne ne semble prêt à assumer aujourd’hui…»

Le constat dressé par le Canard enchaîné est sans appel. Une semaine après ses révélations concernant l’existence d’une «circulaire» en date du 19 mars qui «suggérait de limiter fortement l’admission en réanimation des personnes les plus fragiles», le palmipède en remet une couche dans son édition du 29 avril, en réponse au démenti du ministère de la Santé.

«Il n’y a pas de circulaire concernant la prise en charge des résidents d’Ehpad publiée à cette date. Nous ne savons pas de quel document il est question», répondait au Figaro le ministère de la Santé, dans un article paru le 23 avril.

Olivier Véran et son administration espéraient-ils s’en tirer à si bon compte? La veille de la publication cette réaction officielle dans les colonnes du Figaro, l’hebdomadaire satirique s’interrogeait quant à l’impact de cette fameuse «circulaire» sur une possible «aggravation du bilan de l’épidémie pour les patients les plus âgés».

Chiffres de l’Assistance publique de Paris à l’appui, l’auteur du papier soulignait ainsi qu’en une quinzaine de jours– à compter du 21 mars –, la part des patients de plus de 75 ans et de plus de 80 ans dans les services de réanimation avait fondu, passant respectivement de 19% à 7% et de 9% à 2%, alors qu’au même moment, l’épidémie «a explosé dans ces tranches d’âges élevées.»

«Son cabinet [d’Olivier Véran, ndlr.] joue sur les mots. Le Palmipède a improprement qualifié de circulaire un texte de recommandations régionales», répond cette semaine le «Canard», qui cette fois-ci, lâche les références exactes du fameux document, publié par l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Île-de-France «avec le visa du ministère, évidemment».

«Échelle de fragilité clinique»

Fort de ces informations, ce document disponible en ligne, qui «s’adresse particulièrement aux médecins», vise à apporter «un soutien conceptuel» aux équipes soignantes «sursollicitées» confrontées –dans le «contexte d’exception» d’une crise sanitaire où «les ressources humaines, thérapeutiques et matérielles pourraient être ou devenir immédiatement limitées»– à «des choix difficiles et des priorisassions dans l’urgence concernant l’accès à la réanimation» et qui «ne sont pas nécessairement habituées à la démarche réflexive des limitations des traitements.»

Six puces détaillent les «principes d’une décision d’admission en unité de soins critiques» [services de soins intensifs, de réanimation, ndlr]. Le document commence par la collégialité de la procédure, «définie par voie réglementaire au décours de la loi Clayes-Leonetti», et rappelle «la garantie d’un accompagnement et de soins pour tous, respectueux de la personne et de sa dignité». Le «respect des volontés et valeurs» du patient, «l’évaluation du nombre de défaillances d’organes au moment de la prise de décision», ainsi que la «prise en compte de l’état antérieur» de ce dernier figurent parmi les critères énumérés.

Afin d’éclairer les médecins sur l’évaluation de ce point particulier, le document de l’ARS suggère «au minimum» la prise en compte des comorbidités, de l’état des fonctions cognitives du patient, mais surtout «de son âge (à prendre particulièrement en compte pour les patients COVID)» et de sa «fragilité». À cette fin, il reprend l’«échelle de fragilité clinique» d’une étude canadienne sur la santé du Geriatric Medicine Research de l’université de Dalhousie (Halifax).

Silhouettes de personnes voûtées équipées de canne ou de déambulateur à l’appui, cette «échelle» illustrée classe les individus en neuf catégories, allant des «très en forme», à savoir des personnes «actives et motivées» à celles en «phase terminale», en passant par le stade «vulnérable», qui concerne les personnes non dépendantes, mais qui «se plaignent souvent d’être au ralenti ou fatiguées durant la journée», ainsi que les «très sévèrement fragiles» qui «habituellement, ne se remettraient pas même d’une maladie bénigne.» À partir du stade 5, tous sont dépeints comme étant des individus plus ou moins «fragiles».

«Démarche réflexive des limitations des traitements»

Le document canadien repris par l’ARS dresse un récapitulatif complémentaire, celui des «scores de fragilité» concernant les patients souffrant de troubles cognitifs. «Démence légère» pour ceux qui «oublient des détails d’un évènement récent» sans avoir oublié l’évènement lui-même, «modérée» pour une mémoire à court terme «très altérée» et un troisième et dernier niveau, qualifié de «sévère» pour les personnes nécessitant une aide pour effectuer leurs soins personnels. Un panel d’éléments censé aider les soignants à prendre leur décision d’accepter ou non de patients d’un certain âge en réanimation, dans le cas où ils ne refuseraient pas d’eux-mêmes d’y rentrer ou si l’absence de signe de gravité de la maladie justifierait un tel refus.

«Une telle admission risquerait aussi de priver un autre patient d’une prise en charge en réanimation, alors qu’elle/il aurait plus de chance d’en bénéficier. Ainsi, nous considérons licite de ne pas admettre un patient en réanimation dès lors qu’il s’agit d’une obstination déraisonnable, y compris si une place de réanimation est disponible», souligne le document de l’ARS d’Île-de-France.

Pour ces patients refoulés des services de soins intensifs, le document laisse peu de doute sur leur sort: «Chez ces patients non admis en soins critiques, les soins ne sont pas interrompus, mais s’intègrent dans le cadre d’un accompagnement en collaboration avec les spécialistes d’une telle prise en charge palliative afin d’assurer une absence de souffrance et une fin de vie digne et apaisée, en présence de leurs proches», développe la note.

En somme, les malades sont mis sur une voie de garage pour laquelle la mort semble être la seule issue envisagée.

«Un "tri" que personne ne semble prêt à assumer aujourd’hui»

Des malades refusés en réanimation pour lesquels un décret publié le 29 mars autorisait jusqu’à la mi-avril le recours au Rivotril (un puissant anxiolytique habituellement utilisé dans le traitement de l’épilepsie) afin de prodiguer des soins palliatifs. D’ailleurs, le tableau méthodologique concluant la note de l’ARS, qui évoque la nécessité pour les familles «d’anticiper» avec les médecins un éventuel recours à des soins palliatifs pour leurs proches en Ephad et en USLD (unités de soins de longue durée), rappelle ceux des fiches de «recommandations» adressées au personnel soignant vers lesquelles renvoyait le fameux décret du 29 mars.

Document qui fut dénoncé en son temps par plusieurs députés, l’un d’eux fustigeant un «passeport pour la mort douce», un autre s’interrogeant: «ne risque-t-on pas de passer de la sélection des patients à une euthanasie massive qui ne dit pas son nom?» sputniknews.com 30 avril 2020

Sinon, à quoi bon franchement !

- La Banque centrale européenne s'attend à un repli de "5 à 12%" du produit intérieur brut de la zone euro cette année, a annoncé sa présidente Christine Lagarde.

La France a annoncé un effondrement de 5,8% de son PIB au premier trimestre, l'Espagne de 5,2% et l'Italie de 4,7%. A l'échelle de la zone euro, l'activité a chuté de 3,8%, selon l'institut Eurostat.

L'économie canadienne risque de se contracter de 12% en 2020 en rythme annuel, selon une étude officielle.

Le nombre de chômeurs a bondi de 13,2% en Allemagne en avril, sa plus forte hausse en un mois depuis 1991. Le taux de chômage est désormais de 5,8%.

Les Etats-Unis ont enregistré 3,8 millions de nouveaux inscrits au chômage sur une semaine, ce qui porte à plus de 30 millions les nouvelles demandes depuis mi-mars. AFP 1 mai 2020

Continuez de vous empoisonner est leur priorité.

- 99% des McDonald's chinois et américains ouverts, 45% en Europe - BFMTV 1 mai 2020

Relativisons, sans direction nous serons toujours vaincus.

Le monde au bord d’une explosion sociale majeure - Les Echos 22 avril 2020

Le déconfinement progressif, qui se fait jour dans la plupart des pays du monde, pourrait relancer les mouvements de protestation. D’autant que les conséquences économiques du Covid-19 sont effroyables pour les plus démunis.

Troubles sociaux, manifestations violentes, révoltes, voire révolutions… Les risques d’effondrement de la société, mise sous le boisseau par les mesures de confinement adoptées dans la majorité des pays du monde, pour­raient de nouveau faire irruption dans le paysage. La semaine dernière, à l’occasion des réunions de printemps, virtuelles, du Fonds monétaire international (FMI), l’économiste en chef de l’institution multilatérale, Gita Gopinath, a mis en garde contre les effets de la récession qui se profile : « Si cette crise est mal gérée et que des citoyens estiment que leur gouvernement n’a pas fait assez pour les aider, des troubles sociaux pourraient émerger. »

Pour le directeur du département des finances publiques du Fonds, Vitor Gaspar, certains pays pourraient voir émerger des mouvements de contestation sociale si les mesures mises en oeuvre pour tenter d’atténuer l’impact de l’épidémie de nouveau coronavirus sont jugées insuffisantes ou inéquitables par la population. Les gouvernements marchent sur des oeufs.

Volcan endormi

Même en temps de confinement, des premiers troubles sont apparus. Aux Etats-Unis, par exemple, des manifestations appelant à la levée de ces mesures ont eu lieu en début de semaine, notamment en Pennsylvanie. Le gouvernement indien, lui, s’est vu obliger d’assouplir les conditions du confine­ment pour permettre à des millions d’Indiens de reprendre le travail depuis le début de la semaine pour leur éviter de mourir de faim. La perspective de la fin du confinement pourrait bien réveiller le volcan d’une contestation sociale qui couvait avant le déclenchement de la pandémie.

Dans la France confinée, plusieurs syndicats et organisations de jeunesse ont appelé, lundi, à la mobilisation. « Même confinés, manifestons toutes et tous le 1er mai avec des pancartes, banderoles ou en envahissant les réseaux sociaux, et donnons à cette journée une véritable force collective », revendiquent les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires et les mouvements lycéens FIDL, MNL, UNL et étudiant Unef.

Dans son rapport consacré aux finances publiques, le FMI avait souligné que de nombreux pays ont été le théâtre de mouvements sociaux de contestation tout au long de l’année 2019 – qu’il s’agisse des « gilets jaunes » en France, des manifestations à Hong Kong ou au Liban, en passant par l’Algérie ou le Chili. Selon le comptage du centre de réflexion Carnegie Endowment for International Peace, une centaine de mouvements de contestation du gouvernement s’est tenue depuis 2017, à l’instar des « gilets jaunes » en France ou des manifestations contre les leaders politiques des pays pauvres comme le Soudan et la Bolivie. Une vingtaine de ces soulèvements ont d’ailleurs renversé des dirigeants, tandis que plusieurs ont été réprimés de manière brutale.

Bombe sociale

La crise sanitaire du Covid-19 ne fera qu’exacerber les conditions préexistantes d’inégalité partout où elle frappe. A plus ou moins brève échéance, certains s’attendent à des soulèvements et des révolutions. L’Organisation internationale du travail a d’ailleurs averti que la crise détruirait près de 200 millions d’emplois dans le monde et réduirait considérablement les revenus de 1,25 milliard de personnes supplémentaires. Or, la plupart d’entre eux étaient déjà pauvres. Dans un tel contexte, il serait naïf de penser que, une fois l’urgence médicale passée, le monde pourra continuer comme avant. La colère et l’amertume trouveront de nouveaux débouchés. Pour Francesco Rocca, chef de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), la situation est explosive. « Dans les quartiers les plus difficiles des plus grandes villes, j’ai peur que dans quelques semaines nous ayons des problèmes sociaux. C’est une bombe sociale qui peut exploser à tout moment, car ils n’ont aucun moyen d’avoir un revenu », avait-il indiqué lors d’une conférence de presse des Nations unies fin mars. Le compte à rebours a commencé. Les Echos 22 avril 2020

La monstueuse imposture dévoilée petit à petit.

- Covid-19, une réponse sous influence ? - entelekheia.fr 25 avril 2020

Extrait.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Qui a guidé le gouvernement britannique vers cette politique de confinement douteuse et alarmiste ? L’hypothèse admise est que les conclusions ont été formées sur la base d’une analyse épidémiologique solide et de recherches menées par des médecins et des scientifiques qui se soucient du bien-être de tous.

La réalité est ce que nous allons examiner dans cet article. Neil Ferguson, professeur à l’Imperial College, a été le responsable de la modélisation du Covid-19. Son modèle virtuel a été recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et il s’est concrétisé dans des politiques, pratiquement sans examen. la prédiction catastrophiste de Ferguson de 500 000 morts dans le seul Royaume-Uni est devenue le fondement du revirement de Boris Johnson, qui est passé d’une volonté d’immunité collective à une quarantaine collective.

Si certains ont cru comprendre que Ferguson a par la suite revu ses calculs de mortalité à la baisse, il a en fait insisté sur ses prévisions sur Twitter, martelant qu’en l’absence de mesures de confinement drastiques, les chiffres seraient encore plus élevés.

Qui est Neil Ferguson ?

Ferguson est directeur par intérim du Consortium pour la modélisation de l’impact des vaccins (Vaccine Impact Modelling Consortium, VIMC), qui est basé à l’Imperial College de Londres. Selon la biographie de Ferguson sur le site web, « une grande partie de [son] travail est appliquée, informant les institutions de santé publique et mondiale sur les politiques de contrôle des maladies ».

Le professeur qui a fait dérailler l’ébauche de stratégie d’ « immunité collective » de Boris Johnson est un familier des controverses, et est décrit comme ayant un bilan « inégal » de modélisation des pandémies par un de ses pairs universitaires, le professeur Michael Thrusfield de l’université d’Edimbourg, un expert en épidémiologie vétérinaire.

Ferguson a contribué à la modélisation de la réponse du gouvernement britannique à la fièvre aphteuse de 2001, que Thrusfield a décrit comme « inadaptée » (2006) et « gravement déficiente » (2012). Thrusfield a souligné les limites des méthodes de modélisation mathématique de Ferguson, et a appliqué les doutes qu’il avait exprimé sur la fièvre aphteuse à la réponse actuelle à la « crise » du Covid-19.

Une estimation de douze millions d’animaux ont été abattus à la suite de l’initiative de Ferguson de 2001. La communauté agricole a été dévastée par des suicides et des faillites qui ont irrémédiablement modifié le paysage de l’agriculture britannique, en forçant des petites exploitations saines à fusionner avec des compagnies agro-alimentaires et en renforçant la gouvernance centrale de l’UE dans le secteur agricole.

Insight : Slaughtered on Suspicion, un documentaire réalisé par UK Column en 2015, donne un aperçu choquant des souffrances causées par le modèle de Ferguson et la « nouvelle normalité » imposée à la communauté agricole britannique. Voici une déclaration faite par l’un des contributeurs au programme :

12.000.000 d’animaux [statistiques de la Meat & Livestock Commission, Commission de la viande et du bétail] ont été abattus, mais cela ne comprend pas les agneaux de lait, les agneaux avortés, les veaux ou les porcelets. En outre, des dizaines de milliers de poulets ont été abattus au cours des premiers mois, au prétexte de santé. 88% des animaux abattus n’avaient pas contracté la fièvre aphteuse [source : ministère de l’environnement, de l’alimentation et des affaires rurales]. [2]

L’aérodrome du Grand Orton a été utilisé pour abattre des moutons sous prétexte d’abattage « volontaire » : c’était tout sauf volontaire, et les agriculteurs qui ne participaient pas étaient impitoyablement menacés. Un seul cas bénin de fièvre aphteuse a été enregistré parmi les milliers de tests sanguins effectués à Great Orton [source : DEFRA].

Un tapis roulant courait de la tente d’abattage de Great Orton jusqu’aux tombes. Il courait 16 heures par jour, transportant de jeunes agneaux « morts ». Les abatteurs qui y travaillaient m’ont dit que beaucoup d’agneaux étaient enterrés vivants.

L’homme qui conseillait Tony Blair pendant ce fiasco était, comme beaucoup le savent, le professeur Ferguson de l’Imperial College. Il aurait été licencié par le DEFRA à la fin de l’épidémie, mais le mal était fait ! Le professeur Ferguson a ensuite reçu la médaille de l’Ordre de l’Empire britannique en 2002 pour son travail pendant la fièvre aphteuse de 2001?. [Gras ajouté]

En 2002, Ferguson a prédit que jusqu’à 50 000 personnes mourraient de la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob connue sous le nom de « maladie de la vache folle », et que ce chiffre passerait à 150 000 si l’épidémie s’étendait aux ovins. La réalité est la suivante : « Depuis 1990, 178 personnes au Royaume-Uni sont mortes de la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, selon la National CJD Research & Surveillance Unit (unité nationale de recherche et de surveillance de la MCJ de l’université d’Édimbourg ». (2017) [3]

En 2005, Ferguson a affirmé que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient être tuées par la grippe aviaire ou H5N1. Début 2006, l’OMS n’avait attribué que 78 décès au virus, sur 147 cas signalés. [4]

En 2009, Ferguson et son équipe de l’Imperial College ont informé le gouvernement que la grippe porcine ou H1N1 allait probablement tuer 65 000 personnes dans le seul Royaume-Uni. Au final, la grippe porcine a coûté la vie à 457 personnes au Royaume-Uni. [5]

Aujourd’hui, en 2020, Ferguson et l’Imperial College ont publié un rapport selon lequel un demi-million de Britanniques et 2,2 millions d’Américains pourraient être tués par le Covid-19. Le rapport n’a toujours pas été examiné par des pairs ; malgré cela et malgré le sensationnalisme mathématique flagrant de Ferguson, le gouvernement britannique a adopté le verrouillage socio-économique dévastateur proposé par Ferguson. [6]

Pourquoi le gouvernement britannique a-t-il été si prompt à suivre le plan de Ferguson ? GAVI et l’Imperial College

Le Vaccine Impact Modelling Consortium (Consortium pour la modélisation de l’impact des vaccins, acronyme anglais VIMC ) est hébergé par le département d’épidémiologie de l’Imperial College. Le VIMC est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates [7] et par « GAVI, l’alliance pour les vaccins » (« Global Alliance for Vaccines and Immunisation » ensuite devenue « Gavi, The Vaccine Alliance »). [8] Bill et Melinda Gates ont commencé à financer l’Imperial College en 2006, quatre ans avant que la Fondation Gates ne lance la ‘Décennie de la collaboration en matière de vaccins des responsables de la santé mondiale’ (Global Health Leaders Launch Decade of Vaccines Collaboration, GHLLDVC) et un an après que Ferguson ait démontré son penchant pour les projections exagérées avec les chiffres de la mortalité du H5N1.

Jusqu’à la fin de 2018, la Fondation Gates a parrainé l’Imperial College à la hauteur mirifique de 185 millions de dollars. Cela fait de Gates le deuxième sponsor, battu au pied de la première place du podium par le Wellcome Trust, une organisation caritative britannique de recherche qui avait commencé à financer l’Imperial College avant la débâcle de la fièvre aphteuse de Ferguson et qui, à la fin de 2018, avait déjà fourni à l’Imperial College plus de 400 millions de dollars de financement. J’examinerai les connexions du Wellcome Trust dans la deuxième partie de cette série.

La Fondation Gates a créé le GHLLDVC en collaboration avec l’OMS, l’UNICEF et l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Ce qui suit est extrait du site web de la Fondation Gates :

Le plan d’action mondial pour les vaccins permettra une meilleure coordination entre tous les groupes de parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques – et identifiera les lacunes critiques en matière de politique, de ressources et autres qui doivent être comblées pour concrétiser le potentiel des vaccins à sauver des vies.

Le conseil de direction de la Collaboration comprenait à l’époque la directrice générale de l’OMS, le directeur de la NIAID (le Dr Anthony Fauci, aujourd’hui bien connu comme l’un des principaux détracteurs de la chloroquine aux USA, NdT], le directeur de l’UNICEF, le président de la Fondation Gates pour la santé mondiale et le président de l’Alliance des leaders africains contre le paludisme. Le comité directeur comprenait le Directeur de l’immunisation, le Ministère britannique de la santé et de nombreux autres représentants de l’OMS, de l’UNICEF et d’organisations associées. Il s’agit d’un groupe de personnes axées sur l’immunisation qui contrôlent la politique des organes directeurs de la santé mondiale, et qui se disent neutres.

L’OMS a été désignée comme « l’autorité directrice et coordinatrice de la santé internationale au sein du système des Nations unies » et a été créée pour être chargée de « définir le programme de recherche sur la santé », entre autres tâches liées à la politique d’immunisation mondiale. vL’UNICEF, « le plus grand fournisseur mondial de vaccins pour les pays en voie de développement », a accès aux enfants sur le terrain dans plus de 150 territoires et pays (2010).

Nous voyons déjà le potentiel de conflit d’intérêts sérieux derrière le modèle Ferguson sur le Covid-19, et cela deviendra encore plus évident, alors qu’aujourd’hui, ses interactions avec un complexe pharmaceutique protégeant potentiellement ses propres intérêts par rapport à toute préoccupation réelle pour la santé et le bien-être des populations mondiales sont de mieux en mieux comprises.

La GAVI est financée par le même réseau qui forme le GHLLDVC, avec quelques ajouts notables : la Banque mondiale et les gouvernements des pays donateurs. La Fondation Gates en est l’un des principaux sponsors, mais elle est devancée par le gouvernement britannique, qui a joué un rôle clé dans la création de la GAVI et qui en le principal donateur.

Alors que de nombreux secteurs de la société britannique ont vu leur niveau de vie chuter, que les personnes âgées sont gravement négligées, que le Service national de santé est en déclin et que le nombre de sans-abri augmente, le gouvernement britannique, via UKAID, a promis 1,44 milliard de livres sterling à GAVI pour 2016-2020 et hébergera la Conférence des donateurs de GAVI pour 2020, qui doit avoir lieu en juin prochain et sera destinée à « mobiliser au moins 7,4 milliards de dollars de ressources supplémentaires pour protéger la prochaine génération avec des vaccins, réduire les inégalités face aux maladies et créer un monde plus sain, plus sûr et plus prospère ». (gras ajouté)

La conférence prévoit de réunir des dirigeants politiques, des membres de la société civile, des donateurs publics et privés, des fabricants de vaccins et des gouvernements pour soutenir GAVI, l’alliance pour les vaccins – qui se vante d’avoir « aidé à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes ». Le lobby pro-vaccins ne tarit pas d’éloges sur cette affirmation, mais il faut tenir compte des préoccupations concernant l’efficacité et la sécurité de ces programmes de vaccination de masse, notamment lorsqu’ils sont testés dans des pays pauvres, en voie de développement.

Les recettes du marché mondial de la vaccination devraient atteindre 59,2 milliards de dollars en 2020 ; ce chiffre pourrait bien augmenter avec l’arrivée de Covid-19. L’investissement du gouvernement britannique dans la GAVI aux côtés du promoteur de vaccins Bill Gates doit, une fois de plus, soulever la question des conflits d’intérêts. Dans quelle mesure le gouvernement britannique protège-t-il ses propres actifs en imposant un confinement à sa population ? Les vaccins sont appelés à être une source majeure de revenus pour les plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde, et le gouvernement britannique est investi dans cet avenir lucratif. La conférence de reconstitution des ressources de la GAVI doit être hébergée par un gouvernement britannique dont la politique de confinement ébranle effectivement l’économie nationale et punit collectivement les plus vulnérables de la société.

Lorsque Bill Gates s’est associé à la GAVI il y a vingt ans, il réfléchissait à la prochaine cible de sa philanthropie et se concentrait « de plus en plus sur le pouvoir et le potentiel des vaccins ». C’est l’important parrainage de Gates qui a lancé la GAVI, et dix ans plus tard, Gates a lancé son propre plan de « Décennie des vaccins » pour les années 2010.

Le plan d’action mondial pour les vaccins (GVAP) 2012-2020, approuvé par les 194 États membres participant à l’Assemblée mondiale de la santé (2012), est dirigé par les membres mêmes du consortium Gates de la « décennie du vaccin », promu par l’OMS, et réunit des gouvernements, des élus, des professionnels de la santé, des universités, des fabricants, des agences mondiales, des organismes de recherche et développement, des membres de la société civile, des médias et le secteur privé – pour promouvoir la vaccination mondiale. Il s’agit d’un complexe d’entreprises à but lucratif qui exploite le secteur « humanitaire » pour donner du crédit aux prétentions de la philanthropie ou, de manière plus réaliste, du philanthro-capitalisme.

Notes de la traduction :

[1] Les mesures de confinement n’offrent aucun avantage scientifiquement prouvé, selon le Professeur Johan Giesecke, conseiller au gouvernement suédois, premier directeur scientifique du CDC européen et conseiller à l’OMS.

Il est probable que, si l’on avait appliqué la politique des tests en masse à la coréenne et confiné uniquement les gens positifs, nous aurions pu sauver des vies dans les Ehpad, au lieu de les transformer en clusters épidémiques comme nous l’avons fait en confinant ensemble des personnes âgées contaminées ou non.

[2] De notre côté, nous avons trouvé le chiffre officiel de 6 millions d’animaux abattus en Grande-Bretagne dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de fièvre aphteuse britannique de 2001… pour un total de 2000 cas déclarés (oui, c’est tout). Sources : BBC, Wikipedia. Le chiffre de 12 millions se réfère probablement aux animaux abattus (souvent en l’absence de cas mais par précaution comme en Espagne ou en Allemagne) dans toute l’Europe. La France en avait eu deux cas.

[3] En France, entre 1992 et 2019, la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (encéphalopathie spongiforme bovine) a fait… 28 morts.

[4] La pandémie fantôme de grippe H1N1 avait soulevé, à l’époque, bien des questionnements sur les enjeux financiers des politiques de vaccination (lien en français).

[5] La grippe aviaire H1N1 a fait 282 victimes au total dans le monde entre 2003 et 2009.

[6] Le 12 mars, Ferguson annonce à Emmanuel Macron sa prédiction : 500 000 morts en France « si on ne fait rien ». Le gouvernement français s’affole et entame le processus du confinement. Naïveté, incompétence ou suivisme complice ? Le fait est que personne, au gouvernement, n’a l’idée de vérifier le passé de prédictions apocalyptiques fallacieuses de Ferguson. Pourquoi suivre l’Imperial College, étant donné son historique exécrable ? Nous n’avons donc pas de bons modélisateurs en France ?

[7] Qu’est-ce qui justifie l’immense influence de Bill Gates auprès des organisations médicales supra-nationales ? Sur Politico, un portait du magnat de l’informatique le présente ironiquement comme « le médecin le plus puissant du monde », soulignant ainsi en creux que l’un des hommes les plus influents de la planète sur les questions médicales n’a aucune légitimité, à quelque titre que ce soit, pour peser sur les politiques de santé mondiales : c’est de l’exercice illégal de la médecine sur une échelle sans précédent, ni plus ni moins. De plus, en ce moment, il conviendrait de se pencher sur les raisons pour lesquelles Gates, qui prétend agir pour le bien de tous et notamment des pays les plus défavorisés, mène aujourd’hui une croisade contre l’hydroxychloroquine (un traitement facile à produire et bon marché parfaitement adapté aux besoins des pays en voie de développement), et dans l’attente de ses inévitables vaccins, propose à la place son remède à lui, l’injection de plasma de personnes guéries du Covid-19 à des malades, un processus thérapeutique coûteux qui demande une organisation et des équipements inaccessibles aux pays pauvres, et donc déplacé dans le cadre d’une pandémie mondiale. Et aussi, pourquoi cet « ami du peuple » a-t-il préconisé les mesures de confinement les plus draconiennes, à faire suivre par un semi-confinement jusqu’à l’arrivée éventuelle d’un hypothétique vaccin, au risque de ruiner des millions de personnes ?

[8] Gavi, l’alliance de Bill Gates pour les vaccins, travaille également avec l’INSERM et le CNRS.

Ceci explique cela.

Le constructeur aéronautique Boeing a confirmé qu'il allait réduire ses effectifs globaux d'environ 10%. Plusieurs grandes compagnies ont déjà annoncé des plans de suppressions d'emplois: 12.000 chez British Airways, 5.000 chez la scandinave SAS, 2.000 chez Icelandair... AFP 30 avril 2020

LVOG - Des centaines de milliers d'entreprises dans le monde vont les imiter...

- Coronavirus : pas de chômage partiel si vous refusez d'envoyer vos enfants à l'école - Yahoo 29 avril 2020

Les règles vont changer pour l’attribution du chômage partiel pour les parents d’élèves. À partir du 1er juin, les parents qui n’envoient pas leurs enfants à l’école alors que celle-ci peut les accueillir ne pourront plus bénéficier du dispositif de chômage partiel.

À défaut, les parents dont les enfants ne peuvent pas retourner à l’école, devront fournir à leur employeur une attestation de l’école précisant que l’établissement ne peut pas accueillir l’enfant. Cela peut être le cas lorsque certains établissements scolaires n’ouvrent pas, comme c’est envisagé par certains élus locaux.

Concernant l’ensemble des salariés concerné par le dispositif de chômage partiel, Muriel Pénicaud a précisé qu’il y aura une évolution progressive du dispositif à partir du 1er juin qui passera “probablement” par un taux de prise en charge “un peu moins important” par l’État des rémunérations versées par les entreprises, “mais ça va être progressif”, a-t-elle expliqué.

“Le but, c’est que le chômage partiel accompagne la reprise en douceur”, a expliqué la ministre en précisant que des discussions étaient en cours avec les partenaires sociaux pour organiser l’évolution du dispositif au-delà de cette date.

11,3 millions de personnes sont actuellement en chômage partiel, soit près de la moitié des salariés, selon les chiffres donnés le 29 avril par la ministre du Travail sur France Inter. Yahoo 29 avril 2020

Manipulation des faits. Quand ils font une découverte, il faut s'attendre au pire.

- Coronavirus : les enfants auraient autant de risque d'être contaminés que les adultes, selon une étude - Yahoo 29 avril 2020

“Les enfants sont aussi susceptibles d’être contaminés que les adultes”, conclut l’étude, qui ajoute qu’ils sont quand même moins nombreux à développer des symptômes sévères. Yahoo 29 avril 2020

Leur vieux monde empeste, il ne reste plus qu'à faire table rase !

- Suède : la ville de Lund déverse une tonne de fiente dans ses parcs pour décourager les fêtards - Franceinfo 29 avril 2020

- En Espagne, une station balnéaire asperge sa plage d'eau de Javel et provoque un tollé - Yahoo 29 avril 2020

En Andalousie, la petite station balnéaire de Zahara de los Atunes a provoqué un tollé en aspergeant sa plage d'eau de Javel pour protéger les enfants du Covid-19. Yahoo 29 avril 2020

Pendant que d'autres "manifestaient" au balcon !

- Liban: Heurts lors de manifestations contre le coût de la vie, un mort - Reuters 29 avril 2020

Des manifestations contre les difficultés économiques croissantes au Liban ont éclaté à Tripoli, ville portuaire du nord du pays située à 80 km de la capitale Beyrouth, et se sont étendues mardi à d'autres villes, donnant lieu pour la deuxième nuit consécutive à des heurts et à l'incendie de banques.

Un manifestant a été tué dans la nuit de lundi à mardi à Tripoli, selon des sources sécuritaires et médicales, alors que la crise économique a alimenté le mouvement de contestation et de remise en cause des élites accusées de corruption qui a émergé en octobre dernier.

Le confinement instauré dans le but d'enrayer la propagation du coronavirus a accentué la pression sur l'économie du Liban, l'un des pays les plus lourdement endettés du monde, avec un effondrement de la monnaie, une inflation grandissante et un taux de chômage croissant. Reuters 29 avril 2020


Le 3 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Et comme un fait exprès la climatisation (9 ans) est tombée en panne ! Avec plus de 30°C dans la maison à minuit, difficile de dormir. J'ai passé deux nuits sur une natte posée sur le sol et recouverte d'un drap, deux ventilateurs pour me rafraîchir un peu. Je n'ai dormi que quelques heures et je suis claqué. En principe cela devrait fonctionner demain. Dès le retour à la normale, j'en achète un portable.

A partir du 4 mai on va pouvoir sortir de 7 heures du matin à 7 heures du soir, mais on peut être reconfinés à tout moment.

Le professeur Raoult a fait le mauvais choix politique en s'encanaillant avec Onfray et Asselineau, le soutien que nous lui accordions n'ira pas plus loin que le plan médical.

Rabelais - Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

J'ai l'art de me faire des amis... En politique, les pires, ce sont encore les faux amis, ceux qui avancent masqués. C'est le thème de cette causerie.


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La guerre est la continuité de la même politique par d'autres moyens, le totalitarisme est la continuité de la dictature (de classe) en place par d'autres moyens.

Certains ont cru naïvement par intérêts mesquins inavouables ou par ignorance, qu'il suffirait de nier la réalité ou l'orientation totalitaire de la société pour y échapper, pour qu'elles finissent par coïncider ou par se conformer à l'interprétation falsifiée qu'ils en faisaient. Pas de bol, elles sont passées allègrement outre.

Que cela ne tiennent, ces dogmatiques fanatiques ou ces mythomanes endurcis refuseront de l'admettre jusqu'au bout, préférant encore participer à un suicide collectif quite à en être eux-mêmes les victimes, jusqu'à un certain point seulement puisqu'ils n'en subiront pas les pires conséquences, plutôt que reconnaître leur erreur ou leur ignorance, donc ils continueront de sévir et de répandre leur venin mortel dans nos rangs.

Nous affirmions que la civilisation humaine en était rendue à la croisée des chemins et qu'elle était gravement menacée dans son existence même, formule éculée qui pour une fois prenait tout son sens, puisque nous nous retrouvions en présence du pire scénario qu'on aurait pu imaginer, qui cette fois risquerait de lui être fatal.

Nous en sommes rendu là ce dimanche 3 mai 2020, car absolument aucun facteur ne permet à l'heure actuelle d'affirmer qu'on y échappera. Ce cauchemar est déjà omniprésent, nous le vivons au quotidien dès lors que notre liberté de mouvement est réduite à néant.

La totalité des dirigeants du mouvement ouvrier sans exception à ma connaissance en portent la responsabilité, ainsi que les intellectuels, les membres influents des classes moyennes qui ont préféré se ranger au côté du capitalisme en faillite parce qu'il leur avait consenti des privilèges, plutôt que se ranger au côté de la classe ouvrière et adopter le socialisme.

Pourquoi s'en prendre à ces dirigeants plutôt qu'aux oligarques ou à leurs représentants, ne trouvez-vous pas que vous y allez un peu fort ?

Parce que j'estime que le mouvement ouvrier demeure la seule solution pour nous libérer du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, et qu'elle ne viendra jamais de ces dirigeants faillis ou traîtres qui ont usurpé le statut qu'ils se sont accordés, en abusant de l'ignorance de travailleurs sincères et honnêtes qu'ils se sont employés à dévoyer ou corrompre systématiquement sur le plan idéologique pour en faire des pantins au service de l'ordre établi. N'ont-ils pas tous été Charlie ? Ne réclament-ils pas tous les mêmes mesures de confinement préconisées par Bill Gates, l'OMS, l'UE, Macron, le port du masque obligatoire partout, etc. autant de mesures totalitaires ?

Ne sont-ils pas des acteurs politiques de l'union nationale, du consensus réclamé par Macron et sur lesquels il peut s'appuyer pour mener à bien cette sordide machination contre les travailleurs et les peuples du monde entier ? Ils en sont les petites mains couvertes de sang, les exécutants des basses ou sales besognes au côté de ces tyrans. A cette occasion, ils sont donc passés de l'autre côté de la barricade avec armes et bagages, exactement comme la social-démocratie et le stalinisme avant eux.

Les faits sont les faits. Ils sont cruels pour tous ceux qui ont cru qu'ils pourraient les manipuler indéfiniment. La réalité en a décidé autrement, ils sont démasqués. Nous avions dit qu'un jour où l'autre l'heure viendrait où le terrible sort qui attendait l'opportunisme sonnerait, c'est maintenant.

Bien entendu que depuis très longtemps nous savions à quoi nous en tenir sur la nature opportuniste de leur engagement politique, mais nous ne pouvions pas l'afficher comme telle sans faire fuire la totalité des militants ou des lecteurs, qui manifestement n'étaient pas encore parvenus à cette conclusion. Il fallait qu'un évènement exceptionnel se produise pour qu'ils commettent l'imprudence de se présenter sans masque, à moins qu'ils y aient été contraints par le développement de la situation, forcés de prendre partie, ils choisiront le camp de l'imposture et de la réaction comme il fallait s'y attendre.

Et ils ne sont pas au bout de leur peine, car dans les semaines ou mois à venir des chiffres ou des statistiques sur la mortalité, des témoignages de médecins dans de nombreux pays, des preuves accablantes vont continuer de tomber qui confirmeront qu'on était bien en présence d'une machination. Compte tenu qu'ils ont joué avec nos vies, nous serons impitoyables avec ces fossoyeurs du mouvement ouvrier et du socialisme.

Voilà qui va faire le bonheur de nos matons estampillés de gauche ou d'extrême gauche.

- Coronavirus en France: le gouvernement va prolonger l'état d'urgence sanitaire - AFP 2 mai 2020

Le gouvernement entérine samedi la prolongation pour deux mois de l'état d'urgence sanitaire contre le Covid-19, mais il est aussi sous pression pour clarifier les modalités concrètes du déconfinement, notamment le casse-tête de réouverture des écoles et la polémique sur la vente des masques.

Après un 1er-Mai confiné pour cause du coronavirus, le Conseil des ministres se penche sur le projet de loi prorogeant l'urgence sanitaire à compter du 24 mai. Son examen au Sénat est prévu dès lundi, avant qu'il ne soit transmis l'Assemblée nationale en vue d'une adoption définitive dans la semaine.

Le texte précise que la mise en quarantaine et le placement à l'isolement, afin de lutter contre la propagation du virus, pourront intervenir "lors de l'arrivée sur le territoire national".

LVOG - Avec les compliments de nos dirigeants au côté de l'extrême-centre fasciste.

AFP - Ainsi, huit maires centristes de Seine-Saint-Denis (Bobigny, Drancy, Saint-Ouen, Coubron, Livry-Gargan, Noisy-le-Sec, Le Raincy et Le Bourget) avaient déjà exprimé, avant même le discours du Premier ministre mardi, leur intention de ne pas rouvrir leurs établissements scolaires.

LVOG - L'école devenu pire qu'une caserne.

AFP - Pour accueillir des élèves, les écoles devront respecter un protocole sanitaire très strict, dont les grandes lignes ont été dévoilées jeudi: lavage de mains répétés, jeux proscrits, désinfection du matériel, sens de circulation marqué au sol... AFP 2 mai 2020

Vous avez le droit de remercier nos dirigeants.

- Déconfinement: près de la moitié des Français ne partiraient pas en vacances cet été - Le HuffPost 2 mai 2020

A peine croyable ! En France le carcan du consensus continue de sévir.

- En Californie, la grogne grandit contre le confinement, et la fermeture des plages - euronews 02 mai 2020

En Californie, la grogne grandit contre le confinement, et la fermeture des plages. Des milliers de personnes ont manifesté, sans masques. euronews 02 mai 2020

Quand l'imposture se double d'une misérable arnaque comptable.

Allez petit coronavirus, encore un effort.

Début mai 240.000 supposés morts du COVID-19. 650.000 décès dus au virus de la grippe.

De quoi vais-je mourir ? Devine ? Dis, pourquoi faudra-t-il cocher la case coronavirus ? Au lieu de poser des questions, tu ferais mieux de la fermer ou de mourir tout de suite !

Extrait.

- Quand la pandémie aura officiellement pris fin en Suède, mais aussi en Hollande et dans les autres pays, il sera intéressant de comparer le nombre total de décès enregistré durant la période en comparaison avec les années précédentes comme 2018 qui avait vu l’émergence d’une épidémie de grippe plus meurtrière que la moyenne.

Et j’ai la nette impression qu’en lieu et place de l’hécatombe annoncée, on aura des statistiques parfaitement comparables aux autres années, sachant que tout naturellement, la mortalité peut varier fortement d’une année sur l’autre :

« Les statistiques sur les décès montrent que le nombre de décès par an peut varier considérablement d’une année à l’autre », explique Tomas Johansson, de Statistics Sweden, Statistics on Population and Economic Welfare. En 2019, moins de 89 000 personnes sont décédées, ce qui représente le plus faible nombre de décès en une seule année depuis 1977. En 2018, lorsque, entre autres, un nombre inhabituellement élevé de cas de grippe est décédé, plus de 92 000 Suédois sont morts. Source : SCB

Il faut bien comprendre que ces chiffres dépendent énormément de la manière d’attribuer ces décès (ou non) par les pays eux-mêmes. Ainsi, l’Allemagne ne compte comme décès « covid » que ceux ayant effectivement été testés positifs au coronavirus, et sont décédés ensuite… Bien que cette manière de faire ne soit pas vraiment correcte non plus. En fait on peut mourir d’un infarctus du myocarde ou de complication d’un diabète tout en étant testé positif. Ceci est à comparer à la majorité des autres pays (France, Italie, Espagne, Belgique) qui ont rangé dans la catégorie Covid à peu près tout ce qui leur tombait sous la main en ne testant qu’à la marge. Ainsi, si une seule personne meurt en ehpad en France et qu’elle est testée positive, non seulement elle sera rangée dans les stats covid mais tous les décès ultérieurs dans ce home, en l’absence d’un diagnostic sûr, seront également ajoutées aux statistiques « covid », la palme d’or revenant sans aucun doute à la Belgique. levilainpetitcanard.be 21 avril 2020

LVOG - Ce qui est soulevé dans cet article est repris à sa manière ou avec prudence par l'Insee, chacun comprendra pourquoi.

A la louche. Avec un rapport de 1 à 10 la manipulation était un jeu d'enfants pour arriver aux résultats escomptés.

LVOG - Nos dirigeants se prosternent habituellement devant l'Insee, une institution d'Etat, pensez-donc de braves fonctionnaires au-dessus de tout soupçon. C'est étonnant cette faculté qu'ils ont parfois de faire preuve d'autant d'ignorance que le plus profond arriéré... quand cela les arrange. Là ils ne pourront pas nous accuser de manipulation.

- La grippe, cause directe ou indirecte du décès - insee.fr

Une fois identifiée, reste à savoir de combien de décès l’épidémie est effectivement responsable. La réponse est complexe car elle doit tenir compte de la « comorbidité », c’est-à-dire la conjonction, en règle générale, de plusieurs facteurs lorsque l’épidémie de grippe touche chaque hiver la population : de fait, dans les certificats de décès, les médecins doivent coder les différentes causes, selon une classification internationale des maladies. La cause initiale de décès est alors définie comme étant la maladie, ou les circonstances en cas de mort violente (suicide, accident, homicide), « à l’origine du processus morbide ayant entraîné le décès ». C’est ainsi que pour un patient atteint par exemple d’une infection pulmonaire, d’une affection respiratoire ou d’un diabète, la grippe peut précipiter le décès sans être comptabilisée comme la cause directe Le décès serait alors survenu mais quelques semaines ou mois plus tard. Selon cette classification, sont recensés chaque année en France « seulement » quelques centaines de décès attribués à la grippe en cause principale : ce nombre a varié entre 317 et 1 890 selon les années entre 2011 et 2016, d’après les données collectées et publiées par le centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès. Il peut exister un rapport de 1 à 10 entre le nombre de décès causés directement par la grippe et recensés comme tels dans les certificats de décès et le nombre de décès dont l’épidémie est « responsable », mesuré à partir de l’analyse statistique de la surmortalité. (...)

En outre, la mesure de la mortalité spécifique imputable à un événement exceptionnel tel que l’épidémie de Covid-19 devra aussi être analysée conjointement avec ce qui a pu se passer avant ou ce qui se passera après :

– avant : la « clémence » de la grippe saisonnière – les mois de janvier et février 2020 sont des points bas de mortalité – a épargné des personnes très fragiles, ce qui a sans doute accru la population à risque face à cette épidémie ;

– après : on pourrait constater un « déficit de mortalité » correspondant aux vies écourtées par l’épidémie, comme cela a pu être après la canicule de 2003. De même, le pic de décès de janvier 2017 dû à la grippe a été suivi par des points bas de mortalité en mars et avril.

Dans ses publications, Santé publique France pointe que la hausse de la mortalité observée dans les régions les plus touchées est très probablement liée à l’épidémie de Covid-19, sans qu’il soit possible d’en estimer la part attribuable à cette date.

https://blog.insee.fr/mourir-de-la-grippe-ou-du-coronavirus-faire-parler-les-chiffres-de-deces-publies-par-linsee-avec-discernement/

A force de confondre dictature et démocratie, on récolte le totalitarisme.

- Surveillés et dociles? par Alexandre Klein - Mondialisation.ca, 02 mai 2020

Extrait.

Après les drones équipés de haut-parleurs qu’on a vu rappeler des citoyens récalcitrants à l’ordre en Chine puis à Paris, ce sont maintenant des dispositifs de pistage qui fleurissent un peu partout à travers le monde. En France, l’application Stop-Covid est ainsi mise en avant par le gouvernement comme un outil nécessaire au déconfinement, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, les compagnies rivales Apple et Google sont associées pour produire une application pour remonter la chaîne de transmission. À Toulouse, une entreprise propose même des bracelets électroniques pour suivre les malades du coronavirus. Nous sommes entrés, sans trop nous en rendre compte, dans une ère nouvelle, annonciatrice de ce que risque d’être le monde de demain.

Car, si partout on nous assure que ces mesures seront temporaires, l’Histoire tend à nous rendre sceptiques. En effet, les décisions prises en temps de crise sont (trop) souvent devenues les fondements du monde d’après. Ce fut le cas, par exemple, des mesures exceptionnelles adoptées aux États-Unis après le 11 septembre 2001 (le Patriot Act), ou en France dans la foulée des attentats de 2015 (l’état d’urgence), qui se sont inscrites durablement dans le droit et les usages communs de ces deux pays. Mais plus essentiellement encore, il faut se rappeler que c’est sur le modèle de la gestion de la peste que s’est établi, au cours de l’époque moderne, le mode d’organisation du pouvoir qui qualifie nos sociétés occidentales.

La clôture et le quadrillage du territoire, l’identification et la surveillance constante des individus (appelés à être «dociles», comme le rappelait récemment Geneviève Guilbault), la remontée par écrit des informations des périphéries vers le centre sont des modalités de gestions qui s’appliquent tant à Marseille en 1720 que dans un hôpital, une usine ou une école parisienne du XXe siècle. C’est pour cette raison d’ailleurs que la prise en charge de la pandémie de COVID-19 a pu d’abord s’appuyer sur des dispositifs de contrôle et de police déjà présents dans notre quotidien: le fonctionnement de nos sociétés est basé sur le modèle de gouvernance d’une ville pestiférée. Mais rapidement, cela n’a pourtant plus suffi.

C’est que depuis plusieurs décennies déjà nos sociétés disciplinaires sont en crise, les institutions d’enfermement sur lesquelles elles s’adossaient (écoles, hôpitaux, prisons, usines) ont toutes montré leurs limites et leur besoin d’être réformées en profondeur. C’est ce qui fit dire au philosophe Gilles Deleuze en 1990 que nous étions en train d’entrer dans une nouvelle forme de société: les sociétés dites de contrôle. Moins rigides et fixes que les sociétés disciplinaires établies autour de lourdes structures institutionnelles, ces nouvelles formes d’organisation sociale reposent sur la gestion chiffrée de vastes flux d’informations et sur une autorégulation accrue des populations, plutôt que sur la rééducation individualisée des citoyens déviants. Autrement dit, elles remplacent la prison par le bracelet électronique, l’usine par l’entreprise en open-space et l’école par l’enseignement en ligne. Elles sont le reflet de la transformation d’un capitalisme de production et de propriété, caractéristique du XIXe siècle, en un capitalisme de flux financiers dématérialisés, propre aux dernières années du XXe siècle.

Or, ce sont des dispositifs relevant de cette nouvelle forme de société auxquelles nous sommes actuellement en train de vouloir recourir pour lutter contre la pandémie. Cette dernière confirme en effet l’épuisement, ou du moins notre insatisfaction à l’égard des dispositifs disciplinaires traditionnels et annonce alors la généralisation de nouveaux dispositifs de contrôle, c’est-à-dire notre ancrage définitif dans le modèle des sociétés du même nom.

C’est pour cette raison que les décisions que nous prenons actuellement sont loin d’être anecdotiques ou simplement temporaires. Mondialisation.ca, 02 mai 2020

"Il se trouvera des idiots parfaits pour applaudir" et malheureusement ils sont plus nombreux et répandus qu'on le croyait.

- Mais où est le loup? par Philippe Huysmans - Mondialisation.ca, 02 mai 2020

Extrait.

Ceux qui ont suivi mes articles publiés depuis le 22 mars dernier au sujet du Covid19 auront réalisé que j’avais compris très tôt que non seulement le confinement n’a aucun sens en soi (ce que le recul nous permet de confirmer), mais que la maladie elle-même ne justifiait absolument pas de suspendre les droits qui vous sont garantis par la constitution. J’avais dès le début pointé du doigt le crash boursier majeur qui s’était produit le 9, puis le 12 mars comme étant la cause probable de cette véritable opération de guerre psychologique contre les peuples.

Affolées, les élites mondialisées n’ont trouvé pour tout expédient que d’étouffer à mort l’économie réelle pour pouvoir imputer, après coup, la responsabilité de l’effondrement global à un malheureux petit virus. Selon moi, c’est à tout le moins un crime de haute trahison, et je crois que tôt ou tard, ils auront à rendre des comptes pour cette infamie qui ne fera qu’ajouter au fardeau des citoyens.

Et parce que c’est dans les vieilles casseroles qu’on fait le meilleur bouillon, et puis aussi parce que nos gouvernant n’ont pas la plus petite idée de comment ils pourraient s’en tirer autrement, Il y a tout lieu de penser qu’ils appliqueront à cette crise la méthode dont ils avaient usé pour tenter d’endiguer les conséquences de la crise de 2008.

Seulement voilà, repousser l’effondrement mondial du système néolibéral ne sera possible qu’au prix de vous ruiner, littéralement. Je ne parle pas de prélever un petit impôt covid, non, je parle de vous amputer de 50% de vos avoirs et de diviser vos revenus à venir par deux. À côté de ça, la situation dans laquelle la Troïka avait laissé la Grèce vous paraîtra presque enviable. Le monde d’après, ce sera l’esclavage, et la dictature à tous les étages, histoire de parer à toute velléité de rébellion.

Pour comprendre ce qui va se passer, vous aurez besoin de comprendre comment fonctionne le principe de création monétaire. Alors évidemment, je vois d’ici les économistes de salon qui vont vous expliquer doctement que « tout ça, c’est très compliqué, ma petite dame ! », sauf qu’il n’en est rien.

Qu’est-ce que la monnaie ?

En principe, c’est un véhicule représentant une valeur, aisément convertible en produits/services. Aussi bizarre que cela puisse vous paraître, c’est aussi un produit comme un autre. Sa valeur est déterminée avant tout par son abondance, ou par sa rareté. Et de même nous pourrions payer nos marchandises en sacs de sable, il se trouve que ce n’est pas des plus commode à transporter, et que tout le monde n’est pas forcément prêt à vous échanger un pain contre un sac de sable.

Idéalement, la quantité de monnaie en circulation dans un pays devrait représenter la somme de toutes ses ressources de valeur : la force de travail de la population, les infrastructures, et (à la marge désormais), les réserves de métaux précieux à laquelle cette monnaie serait adossée.

Ainsi, si dans un pays vous avez trop peu de monnaie en circulation pour représenter valablement la richesse de ce pays, la monnaie est surévaluée, et l’économie peut entrer en récession. Si au contraire vous en avez trop, eh bien le montant total de la monnaie en circulation excède la valeur réelle des richesses, et en pareil cas, l’inflation s’installe, voire l’hyperinflation.

Oui mais me direz-vous, si l’on distribue à tout le monde 1 million d’Euros pour les dépenser, l’équilibre interne n’est pas rompu. C’est vrai mais l’évaluation d’une monnaie se fait essentiellement en la comparant aux autres (richesses des voisins). Ainsi, si avec votre million si facilement gagné vous alliez en Suisse pour y acheter une somptueuse résidence secondaire, il y a tout lieu de penser que les Suisses la trouveraient rapidement saumâtre. La valeur d’une monnaie c’est le prix que les autres sont prêts à payer pour l’obtenir, exactement comme pour n’importe quelle marchandise. Et ceci vaut également en interne. Si le banques centrales font tourner la planche à billet pour ne faire que racheter le secteur privé (soit les banques et les grosses capitalisations boursières), cela revient tout de même à prendre l’argent dans votre poche pour l’offrir à ces seuls bénéficiaires.

Le processus de création monétaire

Historiquement, il s’appuie sur deux leviers que sont la création monétaire par la banque centrale et la création monétaire par le crédit.

Création monétaire par la banque centrale

Avant le Traité de Lisbonne, les États européens avaient recours à leur banque centrale, en principe publique, pour créer ou détruire la monnaie pour adapter le volume en circulation à la réalité. Ainsi, en cas de croissance économique de mettons 3%, celle-ci mettait en circulation 3% de masse monétaire pour garder le système à l’équilibre. En cas de récession, elle en détruisait à concurrence des pertes. Il est important que ce système garantissait une certaine souplesse, et qu’il était par essence, gratuit.

Création monétaire par le crédit

Lorsque vous contractez un crédit auprès de votre banque pour acheter un bien immobilier, par exemple, et contrairement à une idée reçue, le banquier ne descend pas au coffre pour aller chercher la somme à vous prêter, mais il s’agit d’un simple jeu d’écriture. À partir de rien, il créé tout à la fois une dette (pour vous) et un crédit (pour lui). Ce faisant il a augmenté la masse monétaire en circulation. Au fur et à mesure du remboursement du crédit, les montants remboursés annuleront une partie de la dette pour qu’à la fin le banquier n’ait plus en mains que la somme des intérêts remboursés qui eux, ne proviennent pas de la création monétaire, mais de votre apport personnel, c’est ainsi qu’il se rémunère.

Traité de Lisbonne (TFUE)

Son article 123 interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales nationales d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions européennes et aux États.

Oui vous avez bien lu, le Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne stipule qu’il est interdit aux États de se financer ailleurs que sur les marchés privés. Ils sont donc contraints de se tourner vers le marché, vers les banques privées qui ne manqueront pas de prélever des intérêts plantureux lors de l’opération.

À titre d’information voici un lien vers une vidéo bien ficelée (durée 10?35) qui vous explique tout à la fois le principe de la création monétaire, et la dette publique.

Service de la dette

Lorsqu’en 2008 les marchés financiers se sont effondrés, suite à la crise des subprimes, et que les banques se sont vues happées dans une crise de liquidités sans précédent, le seul ressort des autorités financières que sont la FED (Banque Fédérale US) et la BCE (Banque Centrale Européenne) a été de baisser les taux directeurs afin que le service de la dette ne devienne pas insurmontable et que les États ne tombent pas en faillite les uns après les autres en raison de la charge des intérêts s’ajoutant au remboursement de dettes déjà colossales. En effet, le resserrement des crédits (credit crunch), en raison de la méfiance des acteurs bancaires avait poussé ceux-ci à être extrêmement frileuses s’agissant de prêter aux États (et même entre elles), faisant exploser (par le biais des agences de notations) les montants à rembourser au titre des seuls intérêts. S’en est suivi une logique crise des liquidités, et la crainte d’un blocage total, puis d’un effondrement de l’économie mondiale.

Ne parvenant pas à éteindre l’incendie, les banques centrales se sont mises à faire tourner la planche à billets à plein régime pour racheter des titres de dettes aux acteurs financiers, notamment des bons du trésor ou des obligations d’entreprise. Oui, vous avez bien lu, ils ont soutenu massivement les banques en rachetant leurs actifs parfois tout pourris avec votre argent, puisque vous savez maintenant que lorsqu’on augmente la masse monétaire sans ajouter de valeur, on diminue globalement la valeur de la monnaie (vos économies, vos revenus, la valeur réelle de chaque euro en circulation).

Et tout ça, avec votre argent, emballé dans un terme joliment technique baptisé quantitative easing. En gros, c’est le pire du communisme et le pire du capitalisme, tout-en-un, puisqu’on privatise les bénéfices et que l’on communautarise les pertes. (On ne voit pas trop ce que vient faire ici le communisme, à moins de lui reprocher d'employer les mêmes méthodes que le capitalisme, mais cette fois tournée contre les capitalistes et non contre les exploités. Le choix idéologique que fait l'auteur de cet article en adoptant le capitalisme, est contradictoire avec ce qu'il dénonce à juste titre par ailleurs. Il baigne en pleine confusion pour être incapable de rompre avec cette idéologie, et par conséquent il est incapable de proposer une autre alternative que le socialisme ou le communisme au capitalisme. Bref, il brasse du vent, l'activité privilégiée et inutile des intellectuels. - LVOG)

Qu’est-ce qui nous attend ?

Eh bien, à dire vrai, rien de bien plaisant, en fait. J’espère qu’au premier jour du confinement vous n’avez pas oublié de dire au revoir à vos droits constitutionnels, comme l’on dit au revoir à ses enfants avant de partir pour un long voyage, parce que vous n’êtes pas près de les revoir. Pas question que le pouvoir laisse à la plèbe la plus petite opportunité de renverser dans la rue ce qu’elle a décidé pour vous dans l’ambiance feutrée des boudoirs. Oh on vous laissera bien sortir, en laisse, plus ou moins, mais à la première petite bronca, ce sera à la niche, et à double tour (le retour du Corona). Accessoirement, et pour la même raison, on ne vous rendra pas le droit à vous assembler pacifiquement pour manifester, et l’on mettra tant et plus d’outils en circulation pour vous traquer jusque dans les moindres retranchements de votre vie privée.

D’un point de vue économique, la perspective est encore nettement moins réjouissante. À l’issue du déconfinement (toujours partiel et conditionné) ce ne sera probablement pas moins de 40% des petites et moyennes entreprises qui seront en dépôt de bilan, laissant dans leur sillage des dizaines de milliers d’emplois sur le carreau, diminuant d’autant les ressources financières que l’État devra compenser : où iront-ils chercher l’argent ? Ils iront l’emprunter sur les marchés, pardi, augmentant considérablement la charge de la dette.

Les grosses entreprises, elles, seront aidées, à coup de centaines de millions, qu’on ira chercher sur les marchés financiers, et il se trouvera des idiots parfaits pour applaudir quand l’État annoncera qu’il « prend ses responsabilités et nationalise » des entreprises comme Air-France, par exemple. Cela aussi revient à vous prendre directement l’argent dans votre poche pour le donner aux milliardaires.

Les défauts s’ajoutant aux défauts, les réassureurs tomberont comme des mouches, avec, en bout de ligne, les banques…

Mais les banques ne tomberont pas

Tout simplement parce que leur chute signifierait la révolution dans les 48h et que nos dirigeants sont parfaitement capables de comprendre que cela signifierait leur lynchage sans autre forme de procès, or d’une manière générale, ils sont très attachés à leur intégrité (physique) et répugnent à la violence (surtout quand elle serait tournée vers eux).

Alors on vous serine que depuis 2009, on a compris la leçon, et qu’en cas de faillite bancaire, un mécanisme européen a été mis en place pour garantir les dépôts des épargnants à concurrence de 100.000 EUR… Mais ce qu’on oublie de vous dire c’est que ces fonds sont très, très insuffisamment abondés ne serait-ce que pour faire face à la faillite d’une seule banque. Pour la Belgique, j’avais écrit et détaillé ceci dans un article en 2016, pour la France, il me semble qu’on tourne autour de 4 milliards (même pas libérables immédiatement) pour un total à couvrir de 2200 milliards. Quand on sait que pour la seule BNP-PARIBAS cela représente plus de 800 milliards on se demande de qui on se moque, à moins que ?

À moins que les banques, sûres du fait que l’État, pour les raisons que je mentionnais, ne peut en aucun cas se permettre de les laisser tomber, en serait réduit à emprunter autant que nécessaire pour les maintenir à flot, avec l’aide de la BCE qui continuera à imprimer tant et plus de fausse monnaie quitte à ce que l’euro perde 40% ou 50% de sa valeur. C’est sûr qu’après ça, on sera concurrentiels, avec des revenus à peine supérieurs à ceux d’un pays sous-développé, et un prix de la vie qui aura doublé.

N’est-ce pas de la folie ?

Eh bien ça dépend de quel point de vue vous regardez ça. Si vous voyez ça du point de vue de dirigeants dont l’objectif serait le bien de ses citoyens, c’est évident, mais croyez-vous réellement que l’objectif des patrons de nos dirigeants ne serait pas parfaitement en accord avec ce qu’amènera pareille situation ?

Vos dirigeants sont des marionnettes, et si vous ne vous réveillez pas, vous allez vous retrouver dans un monde qu’Orwell lui-même n’aurait pas imaginé dans ses pires cauchemars.

La seule question qui vaut la peine de se poser : Pourquoi "rien n’est pensé à cette occasion pour sortir du capitalisme qui était le problème à résoudre" ?

LVOG - Parce que la réponse tient en un seul mot : Socialisme.

- Coronavirus : A-t-on encore le droit de s’interroger? par Jean-Yves Jézéquel - Mondialisation.ca, 02 mai 2020

Il semblerait que toute pensée ne cadrant pas avec le discours de propagande des médias inféodés au pouvoir « stato-financier » – qui fait sentir en ce moment le poids des incohérences répétitives inhérentes à cette pathologie de la pensée unique, du politiquement correct et du centralisme jacobin qui va de pair en France – toute interrogation, tout bon sens, tout esprit critique, tout regard objectif posé sur la réalité qui nous entoure, seraient interdits et même condamnés par le totalitarisme qui s’est durement installé en ce pays depuis au moins les lois anti terroristes et la constitutionnalisation de « l’état d’urgence » le 20 novembre 2015.

Le choix prioritaire et habituel de la répression arbitraire, sur les plans, judiciaire comme policier, opéré par les régimes politiques successifs, depuis Sarkozy, fait de la France l’un des pays, prétendument « démocratiques », où il y a le moins de libertés publiques et privées, au monde : on n’ose même plus évoquer sa place dans la liste des pays totalitaires ni celle des accusés par la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU. (Cf., Indice de démocratie créé en 2006 : la France n’arrive même pas dans les 25 premiers pays considérés comme libres.)

J’ai l’impression que les Français ne se rendent pas vraiment compte que leurs libertés publiques ont été graduellement enterrées jusqu’au point même d’être aujourd’hui massivement « assignés à résidence » comme « des repris de justice ». La répression arbitraire des Gilets jaunes par les violences judiciaires et policières, nous avait démontré que l’étatisation jacobine, au service du « stato-financier » ayant pris le pouvoir grâce au chantage des médias inféodés, pratiquant la falsification et la manipulation, voulait bâillonner la volonté démocratique du peuple et sa revendication légitime à commander un État tenu de lui obéir, comme cela se doit dans une véritable démocratie…

Une constante de 70% à 72% des Français (ceux qui n’avaient pas voté Macron) soutenaient le mouvement des Gilets jaunes et ce mouvement avait fait des émules sur tous les continents (relisons les informations abondantes données sur les mouvements sociaux surgis partout dans le monde) en « menaçant » ainsi la Terre entière de se transformer par cette pandémie politique malencontreuse, en une grande démocratie planétaire ! Il fallait empêcher ce « malheur » pour « l’aristocratie stato-financière » et mettre fin à cette pandémie politique en organisant une contre-offensive d’envergure.

En France, la volonté acharnée de l’étatisme jacobin au service de la caste financière était bel et bien de mater la révolte, de réprimer, dans le sang et la brutalité des condamnations judiciaires injustes assurées par une magistrature ayant perdu toute indépendance, les deux catégories sociales majoritaires en termes de nombre, celles qui viennent juste après « l’aristocratie stato-financière » et « les élites de la petite bourgeoisie des professions indépendantes ayant fait des études supérieures ». (Cf., E.Todd, « La lutte de classes en France au XXIème siècle » Seuil, 2020)

Ces deux catégories sociales identifiées par Emmanuel Todd, le bloc central majoritaire des professions intermédiaires, les artisans et les ouvriers qualifiés, paysans et employés qualifiés et le dernier contingent, celui des plus précaires, le prolétariat des employés non qualifiés, constituaient le groupe des 70% de sympathisants avec les Gilets jaunes, les 2% supplémentaires venant s’y ajouter étant des gens de la deuxième classe sociale, celle des intellectuels.

Puis, après un an et demi de lutte déterminée et inflexible, allant toujours plus loin dans une résistance de plus en plus forte, face à l’autoritarisme étatique, « l’aristocratie stato-financière » se rendait compte qu’elle ne pouvait pas avoir le dernier mot. Ce constat était fait partout dans le monde par ceux qui détiennent le pouvoir, « l’aristocratie stato-financière ». C’est la raison pour laquelle il lui restait concrètement l’unique option possible : celle d’un massacre ayant l’inconvénient majeur de mettre le feu aux poudres d’une guerre civile qu’elle ne pourrait pas gagner, compte tenu des leçons de l’histoire !

C’est alors que la providentielle « pandémie du coronavirus » vint à son secours, grâce au décret de l’OMS qui déclenchait un vaste plan de confinement planétaire ! Tout le monde était ipso facto « assigné à résidence » ; le problème était réglé. Personne ne pouvait plus sortir de chez soi, pas même pour faire une promenade solitaire sur une plage déserte. Au milieu des règles énoncées pour le « confinement », beaucoup d’entre elles n’avaient strictement rien à voir, de toute évidence, avec une motivation sanitaire, avec la réalité de la pandémie elle-même, au regard du bon sens, de l’objectivité, de la raison…

C’est là qu’il était interdit de se poser des questions : nous devions faire preuve de « solidarité nationale » avec le corps des soignants qu’il devenait de bon ton d’applaudir chaque soir à 20h00, puis nous devions écouter « religieusement » la litanie des morts récitée chaque soir par le préposé du ministère de la « terreur programmée ». Enfin, les efforts héroïques des hôpitaux placés en première ligne d’une « guerre » déclarée comme telle par Macron, devaient être « aidés » par notre obéissance civique, cette guerre étant destinée à écraser un « ennemi invisible », non pas le virus de la fable – même si ce dernier était réel et allait répandre son malheur dans bien des familles – mais surtout le virus de la contestation ! La télévision inféodée au système répétait sans cesse comme un « mantra », « sauvez des vies : restez chez vous ! », sous-entendu par conséquent, « celui qui ne reste pas enfermé chez lui est un criminel » ! On imagine alors la « chasse aux sorcières » détestable qui pouvait en découler…

Le ministère de la « terreur programmée » allait donc nous évoquer les Julie A., une Parisienne de 16 ans ; les Vitor, un champion de football portugais de 14 ans ; les Rachel, une jeune Belge de 12 ans ; les Francisco, un entraîneur de football amateur de 21 ans ; les Luca, un Italien de 19 ans qui “était en pleine santé”; un bébé de six semaines né dans le Connecticut…

Les exceptions devenaient soudain la norme, car là était la « réalité » qu’on voulait nous montrer, nous disant au passage, « voyez de quoi nous vous protégeons » ! La panique et l’angoisse attendues étaient au rendez-vous. Des citoyens modèles se mettaient à dénoncer ceux qui auraient l’outrecuidance de ne pas obéir aux injonctions de « l’État innocent, protecteur, providence » ; d’autres iraient même jusqu’à l’intimidation du personnel soignant lui-même au nom de la même terreur et « guerre » menée contre le virus invisible et menaçant de mort toute vie qui passerait à sa portée…

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au moment où j’écris ce texte, 0,25% de la population française a été touchée par la maladie, mais 99,75% de la population n’ont pas été atteints par ce virus. On peut donc se poser réellement des questions sur le ton alarmiste des médias, les comptes rendus anxiogènes, les descriptions apocalyptiques faites sans arrêt dans les médias officiels et la justification d’un « confinement » radicalisé pour échapper à la mort tout en prétextant « soulager le système de santé » d’ailleurs mis à mal par les mêmes prédateurs du capitalisme ultra libéral depuis 20 ans !

Concernant ce COVID-19, seules les personnes les plus vulnérables étaient visées, la moyenne d’âge qui a été calculée étant de 79 ans, en France : poumons affectés, asthme, système immunitaire défaillant, malades du sida, ceux dont les traitements affaiblissent les défenses, comme les patients en chimiothérapie, les personnes âgées, les diabétiques, les malades du cœur ou du foie, les personnes atteintes d’hypertension, d’une maladie des reins ou sous dialyse, également les personnes souffrant d’obésité. 83% des personnes hospitalisées dans l’hexagone en réanimation ont été des obèses.

Puisque nous nous posons des questions interdites, demandons-nous si le régime macron pouvait sciemment décréter, au nom de l’OMS, un « confinement » de masse sans savoir à l’avance que cela provoquerait une destruction massive elle aussi de toute l’économie en plaçant d’office des millions de gens supplémentaires dans une précarité absolue sans nom, dans un malheur pire que celui engendré par le COVID-19 lui-même ? Là, ce ne sont pas les 0,25% de la population qui sont impactés, mais plutôt les quatre cinquièmes de la population !

Le désastre économique est bien là sans que ce pouvoir n’ait la moindre envie d’organiser ce qui serait l’occasion de sortir de la logique capitaliste ultra libérale qui a été la cause de tous nos maux, y compris celui du COVID-19 et du « confinement » qui a des conséquences encore plus néfastes que la théorique pandémie elle-même…

Il est clair que l’intention de « l’aristocratie stato-financière » au pouvoir, est bien celle de créer une dette telle qu’il sera désormais impossible d’en jamais sortir, pour l’immense bienfait du système bancaire à la fête. Il est évident que nous allons nous retrouver, à travers ce qui est imaginé par ces prédateurs au pouvoir, dans une dette ad vitam aeternam, car impossible à rembourser ; Notre « salut » viendra par la banque ; d’énormes capitaux seront déversés sur l’économie prise en otage, moyennant des conditions « annexes », comme celles d’une soumission encore plus grande à un système verrouillé de contrôle absolu sur les personnes.

Enfin, « Big Brother » pouvait réaliser ce qu’il avait si ardemment rêvé : enfin voici que « Big Brother vous regarde », enfin « les brigades » de la pensée et de la conformité pourront patrouiller à travers le territoire et pourchasser les récalcitrants ou les divergents ; enfin le « ministère de la vérité » pourra proclamer que la « guerre déclarée par Macron », c’est la « paix », que notre « liberté c’est notre esclavage », que notre « ignorance volontaire c’est la force » du pays tout entier ! (Cf., G.Orwell, 1984) Enfin, il n’y aura plus que les citoyens soumis d’un côté et les « conspirateurs » coupables de l’autre…

Ce chef-d’œuvre du manichéisme est celui de la caste de « l’aristocratie stato-financière » qui s’est emparée illégalement du pouvoir, depuis au moins le 20 septembre 1992, lorsque nous avons accepté par référendum le traité de Maastricht, célébrant notre entrée dans l’euro, puis répétitivement depuis cette époque à travers les présidentielles qui sont venues confirmer cette décision malheureuse, comme on l’a expliqué dans un article du 8 mai 2017 (Élections présidentielles en France. Falsification, mensonges, trahison : colère !, Mondialisation.ca).

Le référendum du 29 mai 2005, disant « non » à cette catastrophe ne serait pas respecté et l’avis du peuple ne compterait plus en rien à partir de ce moment-là. La dictature de l’UE était alors scellée et nous avions perdu toute souveraineté. Ce qui arrive donc aujourd’hui est la suite logique de cette tromperie historique.

Mais, dans de telles conditions, la résistance s’organise toujours et le projet des prédateurs allait s’en trouver bien vite contrarié.

Alors il fallait impérativement clouer le bec de ce Pr. Didier Raoult qui venait là comme un cheveu sur la soupe proposer son traitement « bon marché », ne faisant pas l’affaire de « l’aristocratie stato-financière » au pouvoir. Tout à coup, le médicament « coupable » de troubler la fête des lobbies de l’industrie pharmaceutique allait être interdit, il était même déjà déclaré « préventivement », par Agnès Buzyn, comme faisant partie des « poisons » depuis janvier 2020, comme si les médicaments de la pharmacopée allopathique n’étaient pas tous des poisons ! Pourtant la molécule de base de ce traitement avait rendu de loyaux et bons services à l’humanité depuis les années 1940 ! Les médecins eux-mêmes, traités comme des enfants, ne seraient pas autorisés à le prescrire, sous prétexte bidon que les « essais randomisés » n’avaient pas été faits… Enfin, la comédie pathétique que tout le monde connaît désormais, tellement elle nous a sidérés !

Dans l’Union Européenne, les Espagnols et les Italiens allaient au final adopter un traitement proche ou identique au protocole du Pr Raoult interdit en France et ils allaient déclarer qu’à partir du moment où ce protocole avait été adopté, les hospitalisations avaient massivement diminué. Ce fut encore le cas pour bien d’autres populations dans le monde, mais il est bien connu que « nul n’est prophète en son pays » ! Pourtant, une fuite d’information nous a permis d’apprendre que l’armée française s’était dotée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine achetées en Chine pour soigner ses troupes et constituer une réserve opérationnelle en cas de besoin !

Voilà une autre question que l’on est en droit de se poser : au nom de quoi le protocole du Professeur Raoult peut-il donc être formellement interdit en France ?

Nous avons entendu tous les argumentaires possibles et imaginables sur les télévisions inféodées du système, avec la même rengaine déconcertante d’une absence de bon sens. Disons-le tout de même, un très grand nombre de médecins se sont passés de l’avis des « experts » du Gouvernements qui donnaient la forte impression de n’avoir plus pratiqué la médecine de terrain depuis 20 ou 30 ans !

Que peut imaginer dès lors le citoyen ordinaire, concernant ces charlatans de la politique qui prétendent diriger le pays ?

De plus, on apprend peu à peu, par bribes d’une timidité quasi gênée aux entournures, que les essais « prestigieux », « randomisés » du Test Européen Discovery, n’auraient pas été concluants et qu’ils auraient même été carrément « décevants » ! Il faut citer ici le nom de Karine Lacombe qui doit rester dans toutes les mémoires et être associé désormais en même temps que devenir synonyme à lui tout seul d’un nouveau «malleus maleficarum» de la médecine inquisition contre la médecine de terrain au service des personnes malades !

Le « Panoramix » de Marseille étant si populaire auprès des « Gaulois réfractaires », la macronie au pouvoir, armée de tous ses a priori, pousserait donc « l’Ordre des médecins » à sanctionner le « druide » tenant tête au « César » du nouvel empire désireux de « soumettre » toute la Terre à sa loi de domination et de profit comme d’un règne sans partage… Mais, bien vite, l’Ordre des médecins aurait d’autres chats à fouetter, grâce à l’intervention inopinée de la Cour des Comptes s’étant penchée sur son cas…

Alors, nous avons été nombreux à nous poser des questions et nous continuons à nous poser les questions qui interpellent toute intelligence naturelle, comme le bon sens. Je renvoie le lecteur à l’article du docteur Pascal Sacré : Opération COVID-19: Tester le degré de soumission des peuples. Activation de nos interrupteurs de paranoïa, Mondialisation.ca, le 26 avril 2020.

Je renvoie encore le lecteur à l’écoute du « Coup de gueule du philosophe André Comte-Sponville sur l’après-confinement », France Inter du 14 avril 2020 à 17h10.

Comment peut-on raisonnablement comprendre un « confinement » radicalisé assorti d’une répression disproportionnée par une police aveugle, ne pratiquant aucun discernement, ne comprenant rien à la réalité des règles de la vie qui demeurent supérieures à celles dictées par une aristocratie stato-financière, illégitime de surcroît, et parfaitement criminelle ?

Pourquoi cette stratégie de la terreur, de la peur, de l’angoisse, de la tétanie mentale ? Quel genre de société peut naître d’une telle idéologie de la peur ?

Pourquoi cette mafia étatique a-t-elle organisé mondialement le massacre de l’économie, puisque rien n’est pensé à cette occasion pour sortir du capitalisme qui était le problème à résoudre ? Pourquoi a-t-elle organisé la précarisation forcée de millions de personnes, la pauvreté absolue et la faim qui va redevenir une réalité de la société moderne du XXIème siècle ? Pourquoi a-t-elle organisé le massacre ? Quelle est donc la suite du programme, si ce n’est pas la mise en place d’un système de contrôle permanent verrouillé grâce à un chantage devenu aisé, pesant désormais sur chaque individu prié de se soumettre à une surveillance de chaque instant au nom de la légitimité à survivre en ce monde « Big Brotherisé » ?

Avons-nous encore le droit de nous poser toutes ces questions ? Mondialisation.ca, 02 mai 2020


Le 6 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Cette causerie ne tient pas compte des infos de la veille.


18 pages au format pdf

Comment caractérisez-vous un tel régime ?

La France, avec la Belgique et le Canada, est l'un des rares pays au monde qui a interdit la vente libre d'un médicament, la chloroquine ou l'hydroxychloroquine, ainsi qu'une plante, l'Artemisia annua, qui renferment tous deux la molécule active contre la malaria ou paludisme et réduit la charge du COVID-19.

Serment d'hypocrite ou serment d'Hypocrate ?

Un internaute - La santé est un levier et la médecine est devenue une arme d'asservissement massive. Pas d'argent pas de soins. C'est d'actualité avec l'encadrement drastique de l'Aide Médicale d'Etat. Et le peuple applaudi..... Pathétique.

Merci docteur !

Un médecin témoigne - Rentré en France, Denis est fiévreux et se sent faible. Il consulte un médecin généraliste en période d'épidémie de grippe, et tout de suite le médecin part sur un diagnostic de grippe sans penser à lui demander s'il n'avait pas séjourné dans un pays tropical quelque temps auparavant... En fait le patient était atteint de paludisme.

Erreur fatale qui se soldera par des lésions cérébrales irréversibles et de graves séquelles, telles que perte de mémoire, d'orientation, fatigue permanente, troubles de l'équilibre, de l'élocution, de la concentration, difficulté à s'alimenter, etc. au point que la personne va se retrouver handicapée à vie.

Ce mal étrange et méconnu, le neuropaludisme. - 26 avril 2018

https://www.youtube.com/watch?v=4351VnK8s7Y

LVOG - En 2020, la plupart des médecins de ville ont été encouragés par les autorités à diagnostiquer une infection au coronavirus au lieu du virus de la grippe chez les patients qui avaient un peu de fièvre ou en présentaient les symptômes, et comme ils ignoraient tout de ce coronavirus et qu'ils croyaient ne disposer d'aucun remède pour traiter leurs patients, ils leur ont prescrit du paracétamol et de la vitamine C, de sorte que selon l'état de santé des patients et leur niveau d'infection, les uns se sont retrouvés en réanimation peu de temps après et un certain nombre d'entre eux sont morts, tandis que d'autres ou l'immense majorité s'en sont sortis en développant des anticorps naturels.

La science sans conscience est l'un des pires dangers qui menace la civilisation humaine. On aurait dû en prendre conscience depuis que l'uranium fut employé pour fabriquer des bombes atomiques ou même bien avant, quand la recherche servit à produire des armes de plus en plus sophistiquées et meurtrières, mais on est passé outre.

A quoi cela a-t-il servi de caractériser d'inconscient l'ensemble du processus historique, si c'était pour n'en tirer finalement aucun enseignement politique ou vanter le développement du capitalisme, tandis que sous de multitudes aspects il s'avérait nuisible à la société ou aux conditions d'existence des hommes qu'ils transformaient en acteurs de leur propre déchéance.

Par dogmatisme ou démagogie encore une fois, aveuglément on vénéra les maîtres d'école, les médecins, les scientifiques, etc. sans rire, les représentants du peuple ! Il en alla de même du charbon, du gaz et du pétrole, de l'automobile, du téléviseur, de l'ordinateur et plus récemment d'Internet, à vous de compléter la liste. Le miracle devait se transformer en cauchemar sans que personne ne le voie venir et en prenne conscience.

C'est l'absence de conscience tout court et de conscience politique qui est la ruine de l'âme, qui compromet l'avenir de la civilisation humaine, car à ce rythme-là, il ne faut pas se raconter d'histoire, elle est condamnée.

Rendu au stade final du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, après deux siècles d'existence les contradictions du capitalisme ont atteint les limites de ce qu'il pouvait supporter du fait principalement de l'accroissement exponentiel de la population mondiale ou du déséquilibre gigantesque entre les besoins de plus de 7,5 milliards d'hommes et de femmes, et ceux d'une poignée d'oligarques ou de capitalistes, la satisfaction des uns étant plus que jamais incompatible avec celles des autres, la question se trouve poser avec une acuité toujours plus pressante de l'élimination des uns pour que les autres puissent survivre.

D'où cette guerre à mort entre les classes en recourant à toutes les armes disponibles pour venir à bout de leurs ennemis, y compris bactériologiques si c'était nécessaire.

Merci patron !

Quel est le business le plus juteux du jour ? Le masque et le gel hydroalcoolique

Merci à nos dirigeants !

C'est la collaboration de la classes qui a permis d'aboutir à la distanciation sociale, au traçage (l’application StopCovid), au flicage généralisée, à la surveillance permanente ou au contrôle total de la population.

L'OMS est un lobby mafieux et criminel et rien d'autre. Qui en doute encore ?

Vidéo. Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ?

https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ&feature=emb_title

Alors que le paludisme fait 500 000 morts par an, principalement en Afrique, et que les parasites développent des résistances aux molécules anti-paludiques, les autorités sont toujours réticentes à recourir à l'Artemisia annua. Cette plante, l'armoise annuelle, est consommée depuis deux millénaires en Chine pour soigner le paludisme. Ni toxique, ni une drogue, elle est pourtant déconseillée par l'OMS et interdite dans certains pays, dont la France et la Belgique.

Vidéo. Cette plante peut sauver des millions de vies (et l'OMS n'en veut pas)

https://www.youtube.com/watch?v=8vx5CagbY7M

Auteure du livre "Artemisia : une plante pour éradiquer le paludisme", Lucile Cornet-Vernet raconte les combats de scientifiques et de citoyens venus des quatre coins du monde, pour faire admettre à l'OMS et à l'industrie pharmaceutique les vertus de l'artemisia annua, une plante qui peut terrasser la malaria. Au passage, elle évoque les impasses et les manquements d'une recherche scientifique soumise aux intérêts du monde de l'argent, et bien peu sensible à l'opensource et au "non-profit".

LVOG - Ce qu'il faut savoir :

- Sans vaccin, sans remède les pays industrialisés en Europe ont éradiqué la malaria depuis 1964 en recourant au DTT. 56 ans plus tard la malaria continue de faire entre 500 et 750.000 morts par an principalement en Afrique.

- La malaria : 100 pays, 178 millions de personnes infectées dans le monde en 2013.

- 75 à 80% des Africains continuent de se soigner avec des plantes.

- Seuls quelques pays en Afrique cultivent l'Artemisia annua, et les récoltes sont essentiellement destinées aux trusts pharmaceutiques des puissances impérialistes, ceci explique cela.

Artemisia annua. Quelles sont les propriétés de cette plante ?

Les propriétés et bienfaits de cette plante sont énormes. Elle soigne le paludisme, la fièvre, les maux de tête, la constipation, les règles douloureuses, l’acidité de l’estomac, la bilharziose, l’ulcère de Buruli, tuberculose, le diabète de type 2…

La personne atteinte du palu doit consommer 5 gr d’Artemisia annua pendant 7 jours. Après 2 jours, la fièvre est descendue et après 5 jours le patient ne montre plus de signe de palu.

https://www.au-senegal.com/artemisia-la-plante-miracle-contre-le-paludisme,14888.html

LVOG - 5 gr c'est très peu, c'est là qu'on comprend pourquoi l'homéopathie peut être efficace et qu'elle est en voie d'interdiction en France.

Il faut savoir que la feuille de l'Artemisia annua présente la caractéristique d'être composée d'un ensemble de molécules destinées à fonctionner ensemble, elles sont une et indivisible à l'état naturel. La molécule efficace contre le paludisme est associée à d'autres molécules, de sorte qu'elle demeurera active même si le parasite mutait. Or ce n'est pas le cas des médicaments dans lesquels ne figure plus que la molécule active proprement dite, du coup en l'absence de ces autres molécules le parasite a pu muter et ce médicament est devenu inefficace. Bref, la science avance... à reculons, c'est le progrès !

Cela me fait penser aux combinaisons naturels de molécules que les chercheurs ont cassé, qui lorsqu'elles sont absorbées séparément vont avoir tendance à vouloir se recombiner, et ce qu'il leur manque elles vont aller le puiser dans le corps qui les contient et l'affaiblir, le rendre malade, c'est le cas du riz, du blé, blanchis, dénaturés, amputés, et ce qui te restes a été conçu uniquement pour ne pas te laisser crever de faim, mais pas pour que tu sois en bonne santé.

Commentaires d'internautes.

1- "La devise de Big pharma : "un patient guéri est un client en moins''."

2- "Allez croire que l'industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c'est comme qui dirait croire à des fabricants d'armes qui lutteraient pour la paix !"

3- "Artemisia annua pas autorisée en France , par contre les 11 vaccins de Big pharma eux sont imposés : quelle bande de crapules!"

4- "D'où l'urgence d'avoir un laboratoire pharmaceutique public nationalisé."

5- "Il y a 5 ans, ceux qui en parlaient, étaient traités de complotistes...

L'industrie pharmaceutique, le véritable cancer !"

6- Si on résume l'historique : une plante simple à utilisé juste en tisane soigne à 99% la malaria. L'industrie pharmaceutique préférant le format cachet dans un flacon, dans une boite, dans une pharmacie qui possède une caisse en extrait un composé. Comme c'est un seul composé et non 20 comme dans la plante, la bactérie s'adapte et mute pour devenir résistante. Bravo !

L'histoire n'est pas finie. L'industrie pharma s'emploie à dénigrer, interdire, tuer les promoteurs de la plante / tisane au motif que la bactérie s'est adaptée au composé qu'ils ont extrait et diffusé.

Pour moi il y a des gens à pendre pour crime humanitaire.

7- Les labos ne veulent pas guérir les gens, ils veulent qu'on se soigne à vie avec leurs médicaments !

8- Bill Gates et sa fondation ont fait pression auprès de l'OMS pour développer un vaccin contre le paludisme, plutôt que d'utiliser cette plante qui pourrait sauver des millions de vie. La cupidité de l'Homme est sans fin. Quelle tristesse !

https://youtu.be/Dqzt6yAmdDE

9- Pourquoi l'OMS n'en veut pas?

Parce que la fondation Bill Gates a usé de toute son influence sur cet organisme corrompu pour la faire interdire.

Un grand philanthrope, non? Du moment qu'il a un retour sur investissement...

10- Armoise grande famille de plantes

On y trouve l'estragon l'absinthe et l'armoise

Cette plante sauvage européenne éloigne les parasites, tiques, puces poux, il est urgent de restaurer l'herborisme en France, seul pays européen où ce diplôme n'est pas reconnu suite à une interdiction de Pétain pendant la seconde guerre mondiale

11- Les médecins sont des cons qui ne font pas de parallèle entre un agent infectieux capable de muter et de résister aux médicaments, et un système immunitaire incapable de résister. D'un côté un organisme fonctionnel, et d'un autre un non-fonctionnel. C'est la raison de ce non-fonctionnement qu'il faut chercher, mais comme il n'y a rien à vendre la médecine s'en désintéresse, voire s'y oppose. Il faudrait étudier aussi, et de près, l'hypothèse selon laquelle le système immunitaire aurait l'ordre de ne rien faire, ce qui est pourtant évident surtout que ça concerne des tas de maladie. Le seul malade qui résiste contre sa propre maladie, c'est le médecin.

12- C’est comme l’argent colloïdal, les labos ont tous fait pour l’interdire en interne pour se gaver à vendre leurs antibiotiques.... alors que l’argent colloïdal est naturel

13- Ah le capitalisme... Toujours aussi beau, bon et désintéressé pour le bien de l'humanité...

14- Au Maroc on utilise la tisane comme vermifuge et aussi en cas d’aménorrhées. Elle est très efficace.

15- C'est bien d'avoir un cas documenté de tentative d'homicide par un big Pharma et d'obstruction délibérée à la santé publique. De là on peut en tirer les conséquence pour d'autres pathologies : cancer, hiv, etc

16- Le médecin congolais à la base de ces recherches et de la promotion du traitement à été assassiné il y a quelques jours à Uvira...

LVOG - J'ai trouvé la confirmation ici :

https://www.coupsfrancs.com/ils-ont-finalement-assassine-le-chercheur-africain-qui-a-trouve-le-remede-contre-le-paludisme/

- Le Dr Dieudonné Manenga est connu pour avoir découvert un traitement efficace contre le paludisme. Il a été assassiné par des hommes armés non identifiés, le 16 septembre dernier à son domicile à Uvira (Rep. Dém. Congo)

Rappelons ici qu’il fut depuis la découverte de l'artémisia, la cible des lobbies pharmaceutiques qui voyaient en ce brillant médecin et chercheur une véritable menace pour leurs intérêts. A dire que le jeune chercheur était devenue une “semence dangereuse” pour l’industrie pharmaceutique occidentale qui voyait leur recette en voie de voler en éclat en Afrique, à cause des prouesses scientifiques de cette “épine encombrante”. coupsfrancs.com 3 octobre 2019

Vous devez continuer d'avoir peur de votre ombre.

- Coronavirus: la carte du déconfinement s'améliore, les inquiétudes demeurent - AFP 4 mai 2020

- Pénicaud juge "raisonnable" d'envisager un télétravail massif jusque l'été - AFP 4 mai 2020

La ministre du Travail a jugé lundi "raisonnable de dire" que l'on va avoir un télétravail massif jusqu'à l'été et a appelé les partenaires sociaux à négocier rapidement un encadrement de ce mode de travail s'ils le souhaitent. AFP 4 mai 2020

Big Pharma se goinffre.

- Le déconfinement s'accélère en Europe, l'UE lève plus de 7 milliards pour un vaccin - AFP 5 mai 2020

Un précédent.

- Le vaccin contre la grippe H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants. Ne laissez pas cela se reproduire par Prof Michel Chossudovsky - Mondialisation.ca, 04 mai 2020

En 2009, le directeur du NIAID, Anthony Fauci, a soutenu avec fermeté un projet de vaccin contre la grippe H1N1 de plusieurs milliards de dollars

Aujourd’hui, il est un fervent partisan d’un vaccin contre la COVID-19.

Ce qu’il ne reconnaît pas, c’est que le vaccin H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants.

Il a été développé par Glaxo Smith Kline qui est aujourd’hui à la pointe de l’initiative du vaccin COVID-19.

Selon l‘International Business Times UK dans un rapport de 2014

Les patients ayant subi des dommages cérébraux suite à la prise d’un vaccin contre la grippe porcine vont recevoir des paiements de plusieurs millions de livres de la part du gouvernement britannique.

Le gouvernement devrait recevoir une facture d’environ 60 millions de livres, chacune des 60 victimes devant recevoir environ 1 million de livres.

Peter Todd, un avocat qui a représenté de nombreux demandeurs, a déclaré au Sunday Times :

« Il n’y a jamais eu une affaire comme celle-ci auparavant. Les victimes de ce vaccin sont atteintes d’une maladie incurable qui dure toute la vie et nécessitera une médication importante ».

Suite à l’épidémie de grippe porcine de 2009, environ 60 millions de personnes, pour la plupart des enfants, ont reçu le vaccin.

Il a ensuite été révélé que le vaccin, Pandemrix, peut provoquer une narcolepsie et une cataplexie chez environ une personne sur 16 000, et que de nombreux autres devraient présenter les mêmes symptômes.

Dans toute l’Europe, on sait que plus de 800 enfants ont été rendus malades par le vaccin jusqu’à présent.

La narcolepsie affecte le cycle de sommeil d’une personne, la rendant incapable de dormir pendant plus de 90 minutes à la fois, et l’amenant à perdre conscience pendant la journée. Cette affection endommage les fonctions mentales et la mémoire, et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales. .

Glaxo Smith Kline a participé au développement du vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 :

Le vaccin Pandemrix fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) a été administré à 6 millions de personnes en Grande-Bretagne et à des millions d’autres en Europe pendant la pandémie de grippe porcine de 2009-2010, mais il a été retiré lorsque les médecins ont constaté une augmentation des cas de narcolepsie chez les personnes ayant reçu le vaccin.

En juin, un garçon de 12 ans a reçu 120 000 livres sterling d’un tribunal qui a jugé qu’il avait été gravement handicapé par une narcolepsie causée par Pandemrix. Cette victoire a mis fin à une bataille de trois ans avec le gouvernement qui soutenait que sa maladie n’était pas assez grave pour justifier une indemnisation.

La narcolepsie est un état permanent qui peut provoquer l’endormissement de personnes des dizaines de fois par jour, même lorsqu’elles sont en pleine conversation. Certains souffrent de terreurs nocturnes et d’un problème de contrôle musculaire appelé cataplexie qui peut les conduire à s’effondrer sur place. (Guardian, 25 septembre 2015)

Le point de vue des grandes entreprises pharmaceutiques : Peu importe les enfants… C’était un « dommage collatéral » pour Big Pharma qui a gagné des milliards de dollars en vendant le vaccin H1N1. Par une ironie amère, c’est le gouvernement britannique (plutôt que GSK) qui a payé pour le vaccin

Dommages cérébraux chez les enfants.

Mais les dommages cérébraux documentés au Royaume-Uni et dans l’UE n’étaient que la partie visible de l’iceberg.

Des milliers de personnes sont tombées malades à cause du vaccin H1N1 (cas déclarés et non déclarés)

Lors d’un rare essai sur les effets secondaires présumés du vaccin, les parents affirment que le vaccin contre la grippe H1N1 a tué leur fille de 5 ans.

En 2009, le gouvernement a subi d’importantes pressions pour se procurer le vaccin et l’administrer à grande échelle, mais en même temps, des préoccupations ont été exprimées quant à sa sûreté.

Il a fallu dix ans pour obtenir un jugement. La famille a perdu. GSK a décliné toute responsabilité pour sa mort. Et le gouvernement canadien a remboursé les frais juridiques de GSK.

Si je me souviens bien, beaucoup de gens au Canada sont tombés malades après avoir été vaccinés contre la grippe H1N1.

Les mêmes entreprises qui ont été appelées à retirer leurs vaccins sûrs en 2010 sont à nouveau à l’œuvre.

Les grandes entreprises pharmaceutiques seraient en train de développer un vaccin COVID-19 « sûr » :

Les entreprises pharmaceutiques et les scientifiques du monde entier participent activement à cet appel aux armes, avec au moins cinq vaccins candidats en évaluation clinique et 71 autres en évaluation préclinique clinique, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). (Rapport de CTV, 28 avril 2020)

Le battage médiatique. La campagne de peur du H1N1

En 2009, les médias américains ont été complices de la propagation de la peur et des mensonges (et ils le font encore en ce qui concerne COVID-19).

Le battage médiatique a contribué à soutenir le vaccin contre la grippe H1N1 des grandes entreprises pharmaceutiques, tout comme l’administration Obama. Il s’agissait d’une escroquerie de plusieurs milliards de dollars :

« La grippe porcine pourrait frapper jusqu’à 40 % des Étasuniens au cours des deux prochaines années et plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient mourir si une campagne de vaccination et d’autres mesures ne sont pas couronnées de succès ». (Déclaration officielle de l’administration Obama, Associated Press, 24 juillet 2009).

« Les États-Unis s’attendent à disposer de 160 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine en octobre », (Associated Press, 23 juillet 2009)

Les pays les plus riches, comme les États-Unis et la Grande-Bretagne, paieront un peu moins de 10 dollars par dose [de vaccin contre la grippe H1N1]. … Les pays en développement paieront un prix plus bas ». [environ 40 milliards de dollars pour les grandes entreprises pharmaceutiques] (Business Week, juillet 2009)

Mais la pandémie de grippe H1N1 n’a jamais eu lieu.

La pandémie de grippe H1N1 était une escroquerie approuvée par le CDC et le NIAID dirigé par le Dr Fauci

Il n’y a pas eu de pandémie affectant 2 milliards de personnes…

Des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine avaient été commandées par les gouvernements nationaux à Big Pharma. Des millions de doses de vaccin ont ensuite été détruites : une aubaine financière pour Big Pharma, une crise de dépenses pour les gouvernements nationaux.

Aucune enquête n’a été menée pour déterminer qui était derrière cette fraude de plusieurs milliards.

Plusieurs critiques ont déclaré que la pandémie de H1N1 était « fausse ».

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), qui veille au respect des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs qui ont poussé l’OMS à déclarer une pandémie. En effet, le président de son influent comité de santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Forbes, 10 février 2010)

Selon le British Medical Journal :

La gestion de la pandémie de grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé a été profondément entachée par le secret et les conflits d’intérêts avec les sociétés pharmaceutiques, a déclaré vendredi un journal médical de premier plan.

Le British Medical Journal, ou BMJ, a constaté que les directives de l’OMS sur l’utilisation des médicaments antiviraux ont été préparées par des experts qui avaient reçu des honoraires de consultation des deux principaux fabricants de ces médicaments, Roche et GlaxoSmithKline, ou GSK.

En violation apparente de ses propres règles, l’OMS n’a pas révélé publiquement ces conflits lors de l’élaboration des lignes directrices en 2004, selon le rapport, rédigé conjointement par le Bureau of Investigative Journalism, un organisme à but non lucratif basé à Londres.

Les conseils de l’OMS ont conduit les gouvernements du monde entier à stocker de grandes quantités d’antiviraux, et sa décision de déclarer une pandémie en juin 2009 a déclenché l’achat de vaccins fabriqués à la hâte pour une valeur de plusieurs milliards de dollars.

Une grande partie de ces stocks sont restés inutilisés car la pandémie s’est avérée bien moins mortelle que ne le craignaient certains experts, ce qui alimente les soupçons selon lesquels les grandes sociétés pharmaceutiques ont exercé une influence indue sur les décisions de l’OMS.

Le rapport révèle également qu’au moins un expert du « comité d’urgence » secret de 16 membres formé l’année dernière pour conseiller l’OMS sur la question de savoir si et quand déclarer une pandémie a reçu un paiement de GSK en 2009.

L’annonce que la grippe porcine était devenue une pandémie mondiale a automatiquement déclenché des contrats latents pour la fabrication de vaccins avec une demi-douzaine de grandes entreprises pharmaceutiques, dont GSK. L’OMS a refusé d’identifier les membres du comité, arguant qu’ils doivent être protégés des pressions de l’industrie. « La crédibilité de l’OMS a été gravement mise à mal », a déclaré la rédactrice en chef du BMJ, Fiona Godlee, dans un éditorial. AFP 4 juin 2010 (c’est nous qui soulignons) Mondialisation.ca, 04 mai 2020

« Gouverner, c’est faire croire » a écrit Machiavel.

- Le grand simulacre par Dominique Muselet - Mondialisation.ca, 04 mai 2020

« Gouverner, c’est faire croire » a écrit Machiavel. C’est clairement tout ce que notre société a retenu de ce grand penseur, bien qu’il ait surtout été un grand amoureux de la liberté. Selon lui, pour être autonomes, nous devons vivre dans un État libre, c’est-à-dire un État, lui-même libre, où la liberté de chacun se mesure à l’aune de la liberté de tous. (Ce qui ne veut absolument rien dire, car il ne peut exister d'Etat libre, soit il est inféodé à la classe dominante ou qui détient le pouvoir économique, soit il n'aurait aucune raison d'exister dès lors que les classes sociales auraient disparu. Ce sont les rapports sociaux qui déterminent la nature (de classe) de l'Etat selon la classe qui détient le pouvoir, ce qui valait aussi pour les Etats où le capitalisme avait été exproprié, par exemple l'URSS, la Chine ou Cuba, où la caste bureaucratique au pouvoir régnait pour le compte du capitalisme mondiale dont leur existence dépendait... - LVOG)

De fait, toute la société occidentale repose sur le faux-semblant, la capacité de « faire croire ». Naître dans une telle société est hautement perturbant et déstabilisant car un enfant fait naturellement confiance aux adultes qui l’entourent et quand il s’aperçoit que leurs actes sont loin de correspondre à leurs paroles, il se retrouve coincé dans un double-bind. Ou il « trahit » ceux dont il dépend en les démasquant comme des menteurs, des tricheurs, des hypocrites, ou il se trahit lui-même en niant ses perceptions. L’issue de ce combat destructeur dépend de la confiance que l’enfant a en lui-même, et la plupart décident évidemment de s’aveugler au prix de leur équilibre mental. Par la suite, la majorité d’entre eux trompent à leur tour, « en toute bonne foi » les enfants dont ils ont la charge.

(LVOG - En effet, toute notre éducation repose sur une hypocrisie que l'école met en musique en formatant les esprits pour qu'ils servent plus tard docilement le régime. On s'aveugle soi-même pour s'intégrer dans la société, et au mieux on passera le restant de nos jours à essayer d'y voir clair, en souhaitant à chacun d'y parvenir le plus tôt possible pour combattre la capitalisme et le régime en place.)

« Faire croire » que notre régime est démocratique

Un des plus gros mensonges sur lequel repose notre société est évidemment l’affirmation selon laquelle nous serions le « monde libre » pendant que la plupart des autres pays du monde seraient des « dictatures ». Des pays parfois plus démocratiques que les nôtres, au sens où le peuple y a davantage de pouvoir et/ou y est plus écouté, sont ainsi calomniés de la sorte pour, tout à la fois, servir de contre-exemple, nous « faire croire » que nous avons beaucoup de chance et saper leur influence ou leur développement (Chine, Russie, Iran) et/ou leur voler leurs ressources (Libye, Syrie, Palestine).

(LVOG - Au lieu de parler à tort et à travers de démocratie, on ferait mieux d'évoquer l'indispensable nécessité pour les capitalistes de parvenir à un équilibre entre les classes, qui rend tolérable l'exploitation et sa domination de classe. Cet exercice est si périlleux, que pour maintenir cet équilibre précaire les capitalistes doivent recourir à l'appareil judiciaire et répressif de l'Etat pour le faire respecter par les exploités. Le régime en place est le produit à un moment donné à la fois, du rapport de forces qui existe entre les classes tel qu'il est issu de la lutte de classe du passé, mais aussi du présent, ce qu'on a fâcheusement tendance à oublier, et du stade auquel est parvenu le développement économique (ou la crise économique) qui s'inscrit dans un cycle du capitalisme parvenu au stade de l'impérialisme pourrissant. Le régime en place à l'échelle planétaire est une dictature exercée par la classe des capitalistes sur l'ensemble des classes exploitées et opprimées, selon des modalités économiques et politiques qui tiennent à l'histoire de chaque pays ou peuple ou qui ont été influencées par le développement de la lutte des classes à l'échelle mondiale.)

Le Venezuela a le malheur de cocher toutes les cases et il est donc l’objet de sanctions, de tentatives de coup d’état, de sabotages fomentés de l’intérieur par la droite extrême et de l’extérieur par les États-Unis. Sans le soutien de son peuple et de la Russie, Maduro aurait été renversé depuis longtemps et le pétrole pillé par son puissant voisin du nord. Or le Venezuela, malgré les attaques crapuleuses qu’il subit, fait tellement mieux que nous dans la lutte contre le coronavirus, avec l’aide de Cuba, que l’ONU vient de lui demander l’autorisation d’étudier sa stratégie de suppression de la pandémie pour la reproduire dans d’autres pays. (Si je ne me trompe pas, le Venezuela est demeuré l'un des principaux fournisseur en pétrole des Etats-Unis, mais il est politiquement incorrect de le rappeler, notamment. - LVOG)

« Depuis le début de la pandémie jusqu’au 1er mai 2020, et malgré le redoublement des sanctions états-uniennes qui l’empêchent d’acheter l’ensemble du matériel médical nécessaire, le Venezuela a limité à 10 le nombre de décès (soit un taux de 0,3 par million d’habitant(e)s), et à 335 le nombre de personnes infectées (avec un taux de guérison de 43% parmi ces patient(e)s qui sont aussitôt pris en charge gratuitement). Pour consulter les chiffres du Covid-19 au Venezuela et dans le monde, l’OMS a mis en ligne une carte en temps réel ».

Naturellement, les Etats-Unis ne se sont pas contentés de priver le Venezuela de médicaments et de vivres. En pleine crise du Covid-19, ils ont envoyé une armada dans la mer des Caraïbes. C’est le plus grand déploiement militaire américain dans la région depuis 1989 et l’arrestation de Norriega. Cette fois c’est le président vénézuélien Nicolas Maduro qui est accusé de narco-trafic. Tout cela avec le soutien de l’UE, qui est de tous les mauvais coups.

Attendez-vous à ce que les médias dominants, qui ne peuvent plus maintenant dissimuler le succès du Venezuela, l’attribuent au fait que le pays est une dictature, comme ils l’ont fait pour la Chine, et, qui plus est, mafieuse !

Faire croire aux droits humains et au devoir d’ingérence humanitaire

La Déclaration universelle des droits de l’homme a été promulguée en 1948.

« Selon ce concept, tout être humain — en tant que tel et indépendamment de sa condition sociale — a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés » et donc opposables en toutes circonstances à la société et au pouvoir » (Wikipedia).

Rien de plus noble en apparence que ce concept, mais comme, dans l’état, il ne nous servait pas à grand’chose, nous l’avons complété par le droit d’ «ingérence humanitaire », plus opérationnel.

(LVOG - Détrompez-vous, l'auteur de cet article est de mauvaise foi ici, car au même moment l'ONU entérinait la partition, et donc la liquidation de la Palestine. Cette déclaration a servi à la cautionner. On ne peut donc pas affirmer qu'elle servirait à rien, c'est induire les lecteurs en erreur. Pour ainsi dire dans ce genre d'articles, c'est chaque paragraphe qu'il faudrait corriger pour rétablir la vérité.)

« L’expression a été inventée à la fin des années 1980 par Bernard Kouchner, fondateur de Médecins sans frontières et homme politique, et par Mario Bettati, professeur de droit international public. Selon eux, certaines situations d’urgence peuvent justifier moralement un « devoir d’ingérence » dans les affaires d’un Etat, remettant ainsi en cause le principe de souveraineté des Etats ».

(LVOG - Quand la satisfaction des besoins du capitalisme en crise devient urgente ou impérieuse, les principes, le droit, les traités ou conventions, la paix et les bonnes intentions, volent en éclats. Cela signifie qu'ils existaient uniquement pour que la classe des capitalistes puissent continuer d'exercer sa domination de classe, ce qui nous renvoie à la notion d'équilibre abordée plus loin.)

Nous étions donc fin prêts lorsque George W. Bush a déclaré, après les attentats de 2001 :

« « Cela va être une bataille monumentale du bien contre le mal, mais le bien l’emportera » ».

Depuis nous « faisons croire » que toutes les agressions militaires de l’OTAN, sous commandement étasunien, sont motivées par ce noble objectif. En ont fait les frais, entre autres, la République fédérale de Yougoslavie, en 1999, un état européen allié mais qui avait le tort d’être « socialiste » et de constituer « un obstacle au triomphe planétaire de l’économie de marché », la Libye pour l’empêcher de créer une monnaie africaine et lui voler son pétrole et son or, et la Syrie avec moins de succès du fait du veto de la Russie.

Nous avons atteint les sommets de l’hypocrisie, nous ne pouvons qu’être fiers de nous. Notre aveuglement sur nous-mêmes n’a d’égal que la malhonnêteté et la cruauté avec lesquelles nous traitons les pays qui ne font pas partie de la « Communauté internationale », une autre tartufferie, puisque cette communauté ne comprend que les États-Unis et leurs satellites, dont l’UE.

(LVOG - L'hypocrisie atteint également des sommets quand on idéalise des Etats qui continuent d'exploiter et d'opprimer leur peuple, ce qui n'est pas sans conséquences. Car c'est l'un des aspects de la situation que les idéologues de l'oligarchie vont pouvoir exploiter ou instrumentaliser au détriment du socialisme. Car ces Etats sont en proie à des contradictions, qui les conduisent à s'accommoder d'injustices sociales et à réprimer ceux qui s'y opposent, "la malhonnêteté et la cruauté" consiste aussi à le minimiser ou à le nier, à faire croire que ces Etats seraient des modèles de société, alors que ce n'est pas du tout le cas. A défaut de rompre avec le capitalisme, on arrive à s'en accommoder, et à lui trouver des vertus merveilleuses au détriment des conditions des exploitées qui demeurent les mêmes. A force de croire à cette tromperie, on finit par croire que les peuples ne mériteraient pas mieux... )

Faire croire à l’État de droit

« Un État de droit est un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit. Il est fondé sur le principe essentiel du respect ses normes juridiques (ou « primauté du droit »), chacun étant soumis au même droit, que ce soit l’individu ou bien la puissance publique. Il est donc possible pour un particulier de contester les actions de l’État ou d’un dirigeant politique s’il les considère comme illégales ».

(LVOG - Foutaise, le droit est le produit des rapports sociaux établis. Il est tributaire des inégalités entre les classes qui constituent les fondements du capitalisme. Il incarne ces inégalités dont il peut s'employer à atténuer les conséquences sans jamais les remettre en cause ou en "contester" l'existence. Voilà pour les limites du droit qui tient lieu de fétiche à ceux dont le capitalisme est l'horizon indépassable.)

Ce serait génial si tous les pays l’appliquaient mais malheureusement ce n’est pas le cas, et là aussi nous somme à la pointe du progrès, grâce aux États-Unis qui se servent de la loi et du droit quand ça les arrange, pour mettre à terre leurs amis et leurs ennemis, et qui s’en exemptent quand ça les arrange.

(LVOG - Il est frustré, ils ne l'ont pas consulté avant ! L'orientation politique des intellectuels petits bourgeois acquis au capitalisme est bien résumée ici. Elle repose sur des abstractions, des illusions, des hypothèses ou des conditions sans consistance ou que la réalité balaie d'un geste méprisant somme toute justifié. Peu importe, ils continuent d'y croire à défaut d'avoir la volonté de rompre avec le capitalisme. Finalement l'auteur de cet article s'emploie aussi à nous faire croire que le monde serait merveilleux si miraculeusement il était autrement. Autrement dit, il recourt à la même méthode hypocritement ou par ignorance pour se donner bonne conscience et nous tromper, désolé, mais on vous a démasqué.

En le lisant, il me fit penser à tous ces gens qui sont prompts à discerner la brindille qui dans les yeux des autres les empêche de voir la réalité en face, et qui ne voit pas la poutre qu'ils ont devant les leurs, de sorte que la réalité leur apparaît déformée. C'est banal, direz-vous peut-être, certes, mais la manière dont cela peut être présenté peut être bien emballé ou très sophistiqué, de sorte que plus d'un s'y laissera prendre, d'où l'intérêt de décrypter ce genre de discours alambiqués que l'on rencontre quotidiennement. Une fois qu'on a bien compris comment cela fonctionnait, on est vacciné pour toujours, car quel que soit le masque ou la mutation rhétorique qu'empruntera un auteur, il ne pourra s'empêcher de recourir aux mêmes procédés éculés, bref, la nature revient au galop et il n'y peut rien.)

Ils se sont dotés, à travers l’extraterritorialité du droit américain, d’un « puissant instrument de prédation », selon l’expression de Jean-Jacques Urvoas, souvent assorti de corruption et de chantage car ils ne reculent devant rien. Hervé Juvin écrivait en 2016 :

« L’application extra-territoriale du droit américain a détruit des entreprises françaises (Alcatel et Alstom notamment), elle a permis d’extorquer des milliards d’euros à des entreprises européennes. Elle s’apprête à attaquer Sanofi, Airbus, Safran et bien d’autres. Elle a pour prétexte la lutte anti-corruption, le respect des embargos américains, le combat anti-terroriste, pour objectif affiché l’efficacité économique, la moralisation des affaires, l’établissement des conditions d’une concurrence libre, ouverte et équitable partout dans le monde ».

Evidemment, plus c’est immoral et inique, plus on s’abrite derrière la morale :

« Ce dispositif à prétention universel s’accompagne d’un affichage moral, toujours précédé de campagnes de presse appuyées par des Fondations et des ONGs mobilisées dans un but de légitimation. »

Le cas d’Alstom est particulièrement exemplaire, car les États-Unis ont été jusqu’à emprisonner, sans charges, le patron d’une filiale, Frédéric Pierucci, pour faire pression sur Alstom. Alstom est une entreprise stratégique qui produit les turbines de nos centrales nucléaires, de sorte que désormais les États-Unis peuvent couper l’électricité de la France à tout moment. Notre gouvernement compradore de l’époque, dont Macron était ministre des finances, a « trahi » la France selon Arnaud Montebourg. Mais bizarrement aucun parti politique n’a jugé utile d’invoquer l’article 68 de la Constitution française pour déclencher la procédure de destitution du président de la République.

(LVOG - Cela n'a rien de plus bizarre que prendre Montebourg pour référence ou s'apitoyer sur le sort de Pierucci... et de la France, c'est du même tonneau monsieur l'opportuniste!)

Faire croire à la « protection » des populations et au souci du « bien commun »

La crise sanitaire que nous vivons aura au moins eu le mérite de mettre en lumière certaines des pires hypocrisies de nos sociétés. Notamment la fiction que ce sont nos dirigeants nationaux qui nous gouvernent et qu’ils le font pour notre bien.

(LVOG - Vos "dirigeants nationaux", voilà qui n'est pas une fiction perdue pour tout le monde, représentent ceux qui gouvernent ou détiennent le pouvoir, d'où la nécessité de les combattre ensemble. De la même manière qu'on ne peut pas séparer le combat contre l'oligarchie et le capitalisme, ainsi que ses institutions.)

Big Pharma

L’histoire de la Chloroquine est emblématique à ce sujet. Il est clair que ce n’est pas Macron qui dirige, tout Napoléon qu’il se prétende, ce sont les multinationales. Comme chacun sait, la France et le Canada ont interdit la chloroquine alors qu’elle est utilisée presque partout ailleurs. On sait que les laboratoires pharmaceutiques ne veulent pas de la chloroquine contre le virus, parce qu’ils veulent imposer soit un médicament nouveau et cher comme le Remdesivir, soit un nouveau vaccin.

Par contre, big Pharma a imposé la chloroquine contre le paludisme il y a des dizaines d’années, alors que, pour prévenir et guérir le paludisme, il existe une plante, beaucoup plus efficace, sans effet secondaire et bien moins chère, l’Artémisia. Mais la chloroquine, dans ce cas, est rentable pour les labos. Ce documentaire de France 24 l’explique très bien. On découvre aussi que l’OMS, qui ne veut pas de l’Artémisia et qui promeut la médication chimique et la vaccination tous azimut, est aujourd’hui financée à 80 % par des intérêts privés.

C’est Pasteur qui a donné ses lettres de noblesse à la vaccination. Un article fort intéressant de Karen Selick relate le combat de Pasteur contre Béchamp. Ils avaient deux approches opposées de la maladie, celle de Pasteur se fondait sur l’éradication du germe et celle de Béchamp privilégiait le renforcement des défenses immunitaires. Pour ce dernier, « le virus n’est rien, le terrain est tout ». Malheureusement pour nous, mais heureusement pour Big pharma, c’est Pasteur qui était « habile à s’auto-promouvoir » qui a gagné.

(LVOG - C'est le même combat entre l'allopathie et l'homéopathie.)

Le complexe militaro-industriel

En France les médias de masse font l’omerta sur les guerres que la France mène un peu partout dans le monde, au profit des multinationales françaises (Areva au Sahel) ou étasuniennes. Eux qui ne manquent pas de relever le moindre pas de côté de la Chine, sont restés muets sur l’illégalité des frappes d’avril 2018 en Syrie. Ils ne trouvent pas davantage nécessaire d’apprendre aux Français que la France est accusée par l’ONU d’être complice de crimes de guerre au Yémen.

(LVOG - Vous ne voudriez tout de même pas que les "les médias de masse" servent à autres choses. Cette illusion est désastreuse.)

Depuis les manifestations contre la loi travail sous Hollande, l’État français fait aussi la guerre à son peuple. La répression des manifestants, par une police de mieux en mieux armée, a engendré des actions militantes contre des usines de fabrication d’armes du maintien de l’ordre. Malheureusement, il n’y a pas de mouvement populaire contre les opérations de la France à l’étranger, pourtant souvent illégales et toujours très coûteuses, et le complexe militaro-industriel peut continuer de s’enrichir sans problème à coup de marchés publics.

(LVOG - Au lieu de s'apitoyer sur notre triste sort, on ferait mieux de chercher à comprendre comment on a pu en arriver là. Mais apparemment personne n'y tient vraiment.)

Les banques

Chaque crise conforte et augmente le pouvoir des banques. L’État ne peut pas se permettre de les laisser tomber :

« Tout simplement parce que leur chute signifierait la révolution dans les 48h », comme l’explique In absentia. Si bien que l’État en sera « réduit à emprunter autant que nécessaire pour les maintenir à flot, avec l’aide de la BCE qui continuera à imprimer tant et plus de fausse monnaie quitte à ce que l’euro perde 40% ou 50% de sa valeur » (plus on injecte de monnaie, plus ça la dévalue).

(LVOG - L'euro ne fait qu'imiter la voie déjà empruntée par le dollar...)

Résultat des courses :

« Repousser l’effondrement mondial du système néolibéral ne sera possible qu’au prix de vous ruiner, littéralement. Je ne parle pas de prélever un petit impôt covid, non, je parle de vous amputer de 50% de vos avoirs et de diviser vos revenus à venir par deux. »

Et in Absentia de conclure :

« C’est sûr qu’après ça, on sera concurrentiels, avec des revenus à peine supérieurs à ceux d’un pays sous-développé, et un prix de la vie qui aura doublé. À côté de ça, la situation dans laquelle la Troïka avait laissé la Grèce vous paraîtra presque enviable. Le monde d’après, ce sera l’esclavage, et la dictature à tous les étages, histoire de parer à toute velléité de rébellion ».

(LVOG - C'est effectivement ce qui nous pend au nez, mais il faudra relativiser cette situation aussi longtemps que la majorité disposera d'un niveau de vie supérieur au reste de la population dans chaque pays ou au regard de la situation dans le reste du monde. Que ce soit une concession accordée par l'oligarchie pour maintenir la paix sociale ou l'équilibre politique des régimes en place ne sera pas sans conséquence sur le développement de la lutte des classes et la nature de ces régimes tendant toujours plus vers le totalitarisme.)

Faire croire que la « transition écologique » est compatible avec le système capitaliste

La notion de transition écologique a désormais remplacé celles de croissance verte et de développement durable.

Dominique Bourg dans une interview portant sur son livre Transition écologique, plutôt que développement durable règle son compte au développement durable. Mais, s’il milite pour une 6ième République, il ne mentionne pas une seule fois le système capitaliste.

Simon Charbonneau, lui, fustige tout à la fois :

« Développement durable », « transition », « croissance verte », « économie circulaire », etc., autant d’exercices rhétoriques pénibles qui ne sont que des mensonges au regard de la tragédie en cours que devrait vivre consciemment l’humanité qui, chaque jour, travaille à sceller son destin ».

Et il rend l’oligarchie responsable de cette catastrophe :

« Les grands défis auxquels nous devons faire face, parmi lesquels se situent en tout premier lieu la catastrophe écologique en cours, ne sont pas relevés par l’oligarchie, bien au contraire, puisque cette dernière travaille tous les jours à les aggraver tout en prétendant les résoudre!»

Mais lui non plus ne semble pas remettre en question le système capitaliste.

(LVOG - Dominique Muselet non plus, mais il ne s'en est pas encore aperçu ! Vous voyez à quel point notre méthode pour décrypter ce genre d'articles peut être efficace. On ne s'en laisse pas compter par la première déclaration venue quand tout le reste la contredit. Tenez, lisez, il en fait immédiatement la démonstration. )

On est donc un peu surpris de voir la CGT se lancer dans le même combat à la suite de Greenpeace. Dans un article intitulé, Austérité (rebaptisée sobriété), dogme vert, chômage et décroissance : triste 1er mai ! Pierre Lévy nous informe que :

(Le voilà "surpris" que la CGT partage le combat d'une officine de l'oligarchie !)

« La direction confédérale de la CGT a « co-signé avec deux douzaines d’organisations, dont… Greenpeace, un appel titré, là aussi de manière bizarre «1er-Mai : « plus jamais ça »», qui met en cause «les dérèglements du capitalisme néolibéral et productiviste ainsi que les dysfonctionnements de l’actuelle gouvernance mondiale ».

« Désormais, s’indigne Pierre Lévy, elle souscrit à un manifeste qui se contente de critiquer… les «dérèglements» du premier, et les «dysfonctionnements» du second… Tout cela pour «affronter ensemble les urgences écologiques, sociales et démocratiques». ?? Voilà enfin une revendication facile à satisfaire : le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, vient de marteler la même chose : il faut «faire de la France une économie décarbonée» car «ce serait une erreur historique de bâtir une relance bâclée avec les énergies fossiles». C’est exactement la bataille que mène la Commission … Et comme le hasard fait décidément bien les choses, le jour même où le texte «1er-Mai : plus jamais ça» était publié, un autre texte paraissait en Allemagne avec précisément la même exigence. Les signataires en sont… une soixante de patrons des plus grosses entreprises, parmi lesquels des amis bien connus de la classe ouvrière : Thyssen-Krupp, Bayer-Monsanto, Allianz ou Deutsche Telekom. …

Ecologie, «sobriété» et décroissance, un si beau consensus… Merci patron ! On a connu 1er Mai plus conquérant. »

La « sobriété » fait en effet florès. Simon Charbonneau dans un article intitulé Austérité imposée et sobriété volontaire, la justifie ainsi :

« On peut estimer opportune l’austérité imposée par l’implosion de la croissance dans la mesure où sa contrainte encouragera nécessairement les démarches de sobriété volontaire au niveau individuel comme collectif. »

Autrement dit, à force d’être contraint à l’austérité, les populations seront trop heureuses de pratiquer la sobriété volontaire. Là encore, aucune remise en cause du système établi, même pas de la dette dont la plus grande partie est pourtant illégitime.

(LVOG - Pourquoi devrait-on attendre des philistins qui se sont fondus dans le "système établi", qui en sont le produit, qui s'emploie quotidiennement à le légitimer, qu'ils le remettent en cause ? Encore une fois, l'auteur s'emploie à vouloir nous faire croire que ce serait possible, il agit donc inconsciemment en agent du régime. )

Même Emmanuel Todd, pourtant un esprit libre prompt à déceler les arnaques et autres simulacres, embrasse avec enthousiasme la sobriété heureuse :

(LVOG - Emmanuel Todd un "esprit libre", où a-t-il vu cela ? Encore une vue de l'esprit !)

« Mais l’idée d’une écologie qui s’intégrerait à la nouvelle morale, explicite, de sobriété aurait quelque chose de merveilleux. Il faut définir une écologique démocratique. La sortie de l’euro va nous libérer mais il y aura après une phase dure quoi qu’il arrive. Dans un tel contexte, la notion morale de sobriété permettrait l’éclosion d’une écologie d’un genre nouveau, qui répartirait sur toutes les catégories sociales les efforts à faire. »

(LVOG - Et qui c'est qui serait chargé d'établir cette répétition ? Vous connaissez la réponse.)

Faire croire que le virus covid-19 est dangereux

Jean-Dominique Michel, dans une vidéo virale du 26 avril, exprime, avec verve, une position proche de celle du professeur Raoult :

« D’après ce qu’on sait aujourd’hui, les caractéristiques de l’épidémie de Covid-19, en termes de contagiosité, de dangerosité et de létalité sont exactement les mêmes que les épidémies d’influenza qu’on a année après année. Mais depuis le début on a un traitement médiatique halluciné qui en fait une catastrophe planétaire… Ils disent : heureusement qu’on a confiné alors que c’est l’inverse qu’il aurait fallu faire, il fallait dépister et surtout pas confiner … Les morts sont des morts politiques, conséquence d’une politique sanitaire imbécile et létale. Ils disent : regardez comme le virus est dangereux ! On marche sur la tête, on a atteint un degré incroyable de malhonnêteté et de perversité ».

Pour lui, si on peut comprendre que les gouvernements qui n’étaient pas prêts (ceux qui étaient prêts n’ont pas confiné) aient pris au départ de mauvaises décisions, mais on ne comprend pas que, les faits leur donnant tort, ils s’enferment dans un « déni de réalité », au lieu de « corriger le tir ». Selon lui,

« la désinformation et la propagande tiennent lieu de politique publique dans nos pays » et « l’essentiel de la production scientifique est falsifié » parce que « les revues appartiennent à l’industrie pharmaceutique ».

Il s’indigne de ce que « les vrais facteurs de risque : la pollution, la mal bouffe, le stress et la sédentarité » soient ignorés alors qu’ils sont à l’origine des décès du covid-19. Pour lui, tout cela est :

« révélateur de la nocivité systémique d’une civilisation qui privilégie les intérêts privés au bien de la population et du déni d’humanité d’une administration rabougrie ».

(LVOG - Comme s'il suffirait de changer d'administrateurs ou le personnel des institutions pour que cela change quoi que soit, balivernes quand on refuse d'envisager un changement de régime.)

Où trouver de l’aide ?

En l’absence d’une véritable opposition politique et/ou syndicale au règne des propriétaires privés capitalistes des moyens de production qui, pour mieux s’approprier toute la richesse que nous produisons par notre travail, veulent nous réduire en esclavage, qui va donc nous défendre ?

(LVOG - Là il a eu un instant de lucidité qui malheureusement va rapidement s'estomper ou aura été inutile. Effectivement, c'est la clé de la situation l'absence "d’une véritable opposition politique et/ou syndicale au règne des propriétaires privés capitalistes des moyens de production", bien qu'il existe des partis qui revendiquent cette opposition, mais ils se sont trop fourvoyés ou corrompus pour faire offices de pôles de regroupement des masses ou tout du moins de leurs éléments les plus avancés. Du coup, comme un naufragé perdu en pleine mer, il va se raccrocher désespérément à la planche pourrie du droit et couler avec.

Peut-être les tribunaux :

« Un tribunal d’arrondissement de Prague a redonné aux Tchèques une plus grande liberté. Le tribunal a décidé il y a quelques jours que les restrictions de sortie à cause du Corona ne reposaient pas sur une base juridique suffisante et étaient donc inadmissibles.

(LVOG - Tout simplement parce la situation économique ne permettait pas de faire autrement, car en dernier lieu c'est ce facteur qui pèse sur les mesures adoptées par les représentants du capitalisme dont fait partie la magistrature.)

En Israël, un tribunal a décidé que la surveillance des téléphones portables des patients atteints de virus doit être arrêtée en raison de l’absence de base juridique.

(LVOG - Que cela ne tienne, d'ici peu le gouvernement israélien va s'atteler à combler cette "absence de base juridique" et cet argument tombera à l'eau, comme tous ceux ou presque que contient cet article.)

En Bavière, l’interdiction de vente des grands magasins a été déclarée inconstitutionnelle par la cour. »

(LVOG - Parce que la concurrence libre et non faussée concerne aussi les rapports économiques dans chaque pays et pas seulement entre les pays de l'UE. Les patrons des grands magasins ont plaidé leur cause auprès des juges et ils ont été entendus, voilà tout. En France c'est pire, comme toujours de nos jours, ils n'ont pas eu besoin de réclamer quoi que ce soit, Macron y a pourvu d'office.)

Pour conclure, avez-vous remarqué que plus quelqu’un met en avant quelque « valeur » que ce soit, moins il l’applique lui-même ? Avez-vous remarqué que les états moins puissants, et donc plus en butte aux critiques, sont aussi les moins menteurs ? Avez-vous remarqué que le mot « effectivement » revient à chaque phrase dans la bouche de gens qui ne font que nourrir la psychose, à longueur de journée, à la TV ; des gens pour qui il n’y a absolument rien d’effectif, rien de concret, ni les morts en Ehpad, ni les dommages collatéraux, ni le confinement, ni les amendes, ni rien, parce que leur statut les protège de tout ?

(LVOG - On vit dans un monde où l'imposture et le nihilisme sont élevés au rang de principes chez ceux qui nous gouvernent et leurs armées de larbins, chez ceux qui détiennent le pouvoir, et cela dans absolument tous les domaines. Donc si c'était pour nous dire cela, nous voilà bien avancés, merci on le savait déjà depuis longtemps.

La plupart des lecteurs se reconnaissent dans ce genre de discours démagogique, parce qu'ils y trouvent ce qu'ils avaient envie d'entendre, et peu importe qu'ils soient inconsistants. L'essentiel pour eux, c'est de constater qu'ils ne sont pas les seuls à penser la même chose, même si cela ne leur sert à rien, hormis perdre leur temps, et peut-être rasséréner leur bonne conscience parfois ébranlée par la cruauté du capitalisme par crainte qu'elle les atteigne un jour.

On vit dans un monde épouvantable, mais hélas mon bon monsieur on n'y peut rien, et la vie continue sans que cela les perturbent plus que cela, c'est une manière comme un autre de tout justifier inconsciemment le plus souvent et de s'en accommoder finalement, ils ne sont pas à une incohérence ou à une contradiction près.

La pire illusion, je crois que c'est encore de vouloir se faire passer pour ce qu'on n'est pas. C'est vouloir faire croire qu'on serait différent de ceux que l'on critique, alors qu'en réalité on leur ressemble sur l'essentiel pour ne pas dire en tout points. J'avoue prendre un malin plaisir à les démasquer. Je regrette seulement que mes lecteurs n'en profitent pas pour me témoigner leur soutien ou n'envisagent de faire quelque chose ensemble. )


Le 4 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Hier soir j'ai regardé L'homme qui en savait trop d'Alfred Hitchcock, c'est d'actualité ou cela nous concerne directement.

Le mouvement ouvrier s'est vautré dans le corporatisme le plus immonde qui soit, vous ne voudriez tout de même pas qu'on chante ses louanges, de quoi on aurait l'air, franchement ?

Ici, ce lundi 4 mai 2020, la vie a repris son cours comme avant ou presque, sans masque surtout.

Dans quelques semaines ou mois, on s'apercevra que finalement cela n'avait été qu'une épidémie bénigne ayant causé beaucoup moins de morts dans le monde que le virus de la grippe, qui laisse indifférent en temps normal autorités et populations.

Son instrumentalisation aura permis de faire davantage de victimes dans les pays dominants de manière à neutraliser la lutte de classes, sans avoir réellement besoin de le justifier, puisque la totalité des acteurs politiques de l'extrême droite à l'extrême gauche l'auront acceptée en réalisant un consensus que l'on croyait jusque là inimaginable, confirmant que le mouvement ouvrier tel qu'il existe depuis le milieu du XXe siècle (ou bien avant) ne peut plus servir à l'émancipation du capital ou du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme.

Ils s'étaient assignés deux objectifs : neutraliser la lutte de classes et mater les classes moyennes.

Pourquoi ont-ils visé l'Italie, la France, la Belgique, l'Espagne, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis principalement? Parce que c'est dans ces pays-là que, même frelatée, la tradition de la lutte de classe s'est perpétuée jusqu'à nos jours, hormis les Etats-Unis où le mouvement ouvrier a quasiment disparu, et parce que ce sont ces pays-là qui comportent la classe moyenne la plus nombreuse ramenée au nombre d'habitants et la plus riche, qu'il faut réduire et appauvrir. Si l'Allemagne a été épargnée, c'est parce qu'elle remplit déjà le rôle de gendarme de l'Europe pour le compte de l'oligarchie anglo-saxonne à laquelle elle est liée historiquement depuis au moins le XVIIe siècle, et le mouvement ouvrier ne s'est jamais remis après avoir opté pour le fascisme et la guerre au détriment du socialisme.

Le 1er mai Macron avait de quoi savourer sur un air narquois le confinement du mouvement ouvrier, en déclarant :"nous retrouverons dès que possible les 1er mai joyeux, chamailleurs qui font notre nation" (AFP), sachant à quoi s'en tenir sur ses "partenaires sociaux" ou complices acquis à son idéologie ou au régime en marche vers le totalitarisme.

Taux de mortalité : 0,0005%, une gigantesque pandémie !

Reuters - La Corée du Sud compte quelque 52 millions d'habitants.

Le dernier bilan officiel communiqué par les autorités sud-coréennes fait état d'un total de 10.778 cas confirmés de contamination au SARS-CoV-2, dont 250 mortels.

La Corée du Sud a opté pour une stratégie de tests massifs, de traçage intensif des personnes ayant été en contact avec des individus contaminés et des applications de suivi, évitant les mesures de confinement drastiques imposées dans d'autres pays. Reuters 3 mai 2020

LVOG - Sans avoir à recourir au traçage, il était possible d'inciter les personnes infectées à se souvenir des personnes avec lesquelles elles avaient eu un contact proche pour les informer, afin qu'elles se fassent tester également et qu'elles soient éventuellement tenus à l'écart du reste de la population le temps qu'elles cessent d'être contagieuses sous la forme d'un arrêt maladie. Toutefois ce procédé aurait été inopérant dans le cas des personnes simplement croisées dans la rue ou ailleurs, sans pour autant justifier la privation de liberté de la totalité de la population.


9 pages au format pdf

Extraits des Chroniques orwelliennes - Sur le contrôle des esprits - Par Jean-Jacques Rosat professeur au Collège de France.

Voilà pourquoi vous n'avez rien à en attendre, sauf exceptions qui confirment la règle.

- Le système de contrôle des esprits fonctionne dans l’Angleterre libérale, chez des intellectuels de gauche qui ne craignent pourtant strictement rien pour leur vie et leur carrière s’ils dénoncent les faits et les injustices en question. Mais ils refusent de les voir.

LVOG - C'est justement parce que leur carrière ou leur vie ne sont pas menacées qu'ils réagissent ainsi, la classe ouvrière peut souffrir de mille maux, ils s'en moquent ou ne remettrons pas en cause l'ordre établi. Ce n'est que sous la menace d'être violemment précipités dans la précarité ou la pauvreté, qu'ils seront tentés de rejoindre le combat de la classe ouvrière, comme lors de la Commune par exemple. En temps normal, ces intellectuels dits de gauche sont des réactionnaires, et en attendre quelque chose c'était versé dans l'opportunisme.

Rien ni personne ne peut se soustraire aux rapports sociaux établis.

- Dans le système de 1984, ce qui est donné comme « devant être cru » à un moment donné n’a absolument aucune consistance propre ni aucune autonomie. Il n’est pas demandé à Winston de croire que « 2+2 =5 » parce que, selon l’idéologie du régime, il aurait été établi d’une manière ou d’une autre que « 2+2=4 » est faux et que « 2+2=5 » est vrai. La seule raison pour laquelle il lui est demandé de croire que « 2+2=5 » est que le régime a décidé que c’est présentement ce qu’il faut croire ; et il faudra croire, de la même manière, que « 2+2=3 » ou de nouveau que « 2+2=4 » sitôt que le régime l’aura décidé. La marque d’obéissance et de fidélité au régime, ce n’est pas de croire à une idéologie déterminée présentée comme vérité, mais de croire à ce qui est donné à croire pour la seule raison que c’est donné à croire et pour le temps que c’est donné à croire. L’instabilité absolue des croyances et leur changement permanent est un des traits essentiels du système du contrôle des esprits. C’est un point crucial pour comprendre le concept proprement orwellien de totalitarisme.

LVOG - Quel que soit le moyen employé pour conditionner les masses pour les asservir, il repose toujours sur des rapports sociaux que cristallise une idéologie ou avec lesquels une idéologie s'identifie. Aussi l'exercice qui consiste à vouloir déconnecter le totalitarisme de l'idéologie relève du faussaire intéressé. Que le professeur au Collège de France Jean-Jacques Rosat s'y adonne, est somme toute normal au regard de la nature de cette auguste institution qui incarne l'ordre établi.

Quotidiennement l'ensemble des porte-parole du régime empruntent dans leurs discours des éléments propres à différentes idéologies, de la même manière que s'y trouvent mêlés vérités et contrevérités ou mensonges, faits réels et faits falsifiés, etc. sans pour autant qu'ils se départissent un seul instant de l'idéologie qui incarne les intérêts de classe qu'ils représentent et défendent.

L'essentiel ne réside pas tant dans les moyens employés pour conditionner et tromper les masses, bien qu'il soit très important de les identifier avec précision pour les démonter, réduire leur efficacité ou les rendre inopérants, bref les combattre, mais dans la nature sociale de ceux qui y recourent, par la place qu'ils occupent au sein des rapports sociaux qui les trahira à un moment ou un autre. Voyez les efforts désespérés de RN-FN pour se faire passer pour un parti ouvrier, en vain.

Macron ou Le Pen peuvent très bien affirmer que 2+2=5 et le lendemain =4, et le jour suivant =3, 4 représentant l'idéologie qu'ils combattent, la nôtre, celle du socialisme, quoiqu'ils disent ou fassent le 4 n'incarnera jamais leur idéologie.

Vous me direz à juste titre que ce n'était pas tout à fait ce que voulait dire monsieur Rosat ou Orwell, pour peu qu'il n'est pas déformé ce que voulait dire Orwell.

Ce que je voulais dire, c'est que ce n'était pas tenable à la longue de vouloir faire prendre des lanternes pour des vessies à toute la population aussi arriérée ou inconsciente soit-elle. Car, soit que cela constituerait à terme une entrave au fonctionnement de la société, soit que des voix de plus en plus nombreuses finiraient par s'élever pour contester l'existence d'un tel régime, d'où la durée de vie limitée de tous les régimes dictatoriaux qu'on a connus dans le passé, mêmes les plus sophistiqués, les perpétuer indéfiniment n'entraînerait pas seulement la disparition de la civilisation, mais aussi celle de la classe qui se destinait de la dominer par le totalitarisme.

Comme quoi il existe toujours un espoir de les vaincre. Si on l'évoque moins souvent actuellement, c'est parce que la situation ne s'y prête guère vraiment, nous ne sommes pas là pour semer des illusions dans la tête des militants ou des travailleurs, vous comprenez.

Le totalitarisme n'est pas seulement un régime, mais aussi un ensemble de méthodes valables en temps normal.

- Tel qu’[Orwell] l’emploie, le terme “totalitarisme” désigne des stratégies (à la fois pratiques et intellectuelles) qui […] sont appelées ainsi parce qu’elles ont pour but de parvenir à un contrôle total de la pensée, de l’action et de sentiments humains.

LVOG - Des stratégies, instruments, techniques, procédés, mécanismes d'ordre psychologique, qui font partie de la panoplie de la guerre idéologique que l'oligarchie mène contre tous les peuples.

Quand on observe avec quelle facilité ils ont privé de liberté de mouvement plus de la moitié de l'humanité, vous m'excuserez mais je pense qu'il est urgent de mener le combat politique également sur ce plan.

Nos dirigeants l'ont déserté, parce que selon eux ce serait un facteur secondaire qui n'entrerait pas en ligne de compte dans la lutte des classes, alors que les faits viennent une nouvelle fois de démontrer le contraire de manière éclatante. Ne vous faites pas d'illusions, ils n'en tireront absolument aucun enseignement, d'ailleurs ils le prouvent quotidiennement.

A défaut d'exister, elles sont "immenses" ! Qui complote ?

- Coronavirus : Des « preuves immenses » que le virus vient d’un laboratoire de Wuhan, selon Mike Pompeo - 20minutes.fr 03 avril 2020

Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a affirmé ce dimanche qu’il existait un « nombre significatif de preuves » que le nouveau coronavirus provient d’un laboratoire de la ville chinoise de Wuhan, berceau de la pandémie. « Il existe des preuves immenses que c’est de là que c’est parti », a insisté le secrétaire d’Etat américain sur la chaîne ABC, refusant de dire s’il pensait que le virus avait été libéré intentionnellement par Pékin. « Il faut que nous puissions aller là-bas »

« La Chine est connue pour sa propension à infecter le monde et à utiliser des laboratoires ne respectant pas les normes », a-t-il développé. « Ce n’est pas la première fois que le monde est mis en danger à cause de virus provenant de laboratoires chinois ». 20minutes.fr 03 avril 2020

LVOG - Si ces preuves existaient, cela signifierait qu'ils les détiendraient réellement, alors pourquoi ne pas les rendre publics ? Craignent-ils à ce point que cette accusation se retourne contre l'Etat terroriste des Etats-Unis ?

Que l'AFP à l'origine de cet article de 20minutes fasse preuve de complaisance envers Pompéo n'étonnera personne qui a à l'esprit que l'AFP est contrôlé par l'Etat profond. L'agence Reuters fournissait une précision qui ne figurait pas dans l'article de l'AFP/20minutes, et pour cause.

Reuters - Quand son interlocuteur sur ABC a souligné que ce n'était pas la conclusion des agences de renseignement américaines, le secrétaire d'Etat a fait marche arrière. "J'ai vu ce que la communauté du renseignement a dit. Je n'ai aucune raison de croire qu'ils se trompent", a-t-il dit. Reuters 4 mai 2020

Une sorte de rappel à l'ordre à Pompeo, qui laisse penser qu'il ne ferait pas non plus partie des initiés à l'origine de cette machination au coronavirus lancée lors de la dernière réunion du Forum de Davos.

Ecarter l'hypothèse d'une intervention humaine ou d'une fuite d'un laboratoire manipulant des virus et coronavirus à l'origine de cette épidémie, sert à discréditer l'idée que les Américains pourraient y être liés tout autant que les Chinois, menace que l'Etat profond ne peut pas laisser planer plus longtemps. Pourquoi ? On devine la réponse, mais à ce jour on ne dispose d'aucune preuve ou témoignage permettant d'accuser les Américains, bien qu'il existe un nombre troublant de coïncidences ou de faits concordants permettant d'accréditer cette hypothèse.

A défaut d'investigations suffisamment poussées aux Etats-Unis, on se retrouve dans le pire cas de figure qui soit, de sorte qu'à tout moment ils pourront recourir à nouveau à cette arme contre les peuples.

Avec Macron, le régime en France est devenu le plus réactionnaire de la planète.

Totalitarisme. Quand ils regrettent que l'OMS n'ait pas le statut de ministère mondial de la Santé.

- L'OMS, terrain d'affrontement entre puissances mondiales en pleine crise du Covid-19 - slate.fr 04 mai 2020

LVOG - Le procès d'intention qui va servir à justifier l'objectif qu'ils se sont fixés.

Slate - Certains estiment que la Chine joue de son poids économique afin d'influencer le directeur général de l'OMS, l'Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus.

LVOG - L'objectif de cette propagande aux relents totalitaires : Instaurer un ministère mondial de la Santé auquel tous les Etats seraient soumis.

Sachant que l'OMS compte parmi ses principaux contributeurs financiers Bill Gates et le gang mafieux et criminels des oligarques les plus puissants du monde, cela reviendrait à leur donner le pouvoir de renforcer leur contrôle sur la population mondiale, et de déterminer l'orientation de sa démographie qui ne pourrait être qu'eugéniste.

Slate - La faiblesse de l'OMS vient plutôt du fait qu'elle n'a aucun pouvoir cœrcitif, elle ne peut que faire des recommandations, libres aux États membres de les suivre ou pas. Par ailleurs, si elle n'a pas tout de suite envoyé des experts en Chine, c'est parce qu'elle est obligée d'avoir l'accord de l'État hôte: «Si on veut une OMS plus forte, il faut lui donner plus de pouvoir», affirme Anne Sénéquier, codirectrice de l'Observatoire de la santé mondiale.

Cette diplomatie non contraignante est une volonté des États membres, car elle leur permet d'éviter toute ingérence dans leurs affaires nationales. Mais cela entraîne une désorganisation et des politiques individuelles qui ne favorisent pas la lutte contre un virus mondial. Pour Antoine Flahault, directeur de l'Institut de santé globale à l'université de Genève, avant de critiquer l'OMS, les États membres devraient «d'abord balayer devant leur propre porte». slate.fr 04 mai 2020

Ils multiplient les effets d'annonce pour faire diversion et entretenir le climat de psychose collective.

- Coronavirus: ce que peut changer la découverte d'un nouveau "patient zéro" en France - BFMTV 03 mai 2020

Ils y tiennent à leur "deuxième vague" de contamination, le nombre de morts n'est pas assez élevé et cela les inquiète.

- Pas de quarantaine pour "toute personne en provenance de l'UE" - Le HuffPost 03 mai 2020

Là où l'épidémie aurait été la plus meurtrière, étrange, non ? A moins que cela ne fut pas le cas...

La liste de vos ennemis s'allonge encore : Communisme, terrorisme, climat, coronavirus, astéroïde, ovni, moustique... et frelon ! Mais pas le capitalisme !

- Des frelons géants d'Asie repérés aux États-Unis - Le HuffPost 04 mai 2020

- Moustique tigre : 57 départements français placés en vigilance rouge - BFMTV 03 mai 2020

Totalitarisme. Le traçage est une arme de guerre contre la classe ouvrière.

- Covid-19 : une application de traçage testée avec l'armée suisse - AFP 03 mai 2020

L'armée suisse est mise à contribution pour tester la validité d'une application de traçage de malades atteints du Covid-19, actuellement en cours de développement au sein de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL).

En complément.

- Robots et caméras: la Chine ne badine pas avec le confinement - AFP 03 mai 2020

Où est passé le mouvement ouvrier qui aurait dû appeler à une telle grève en Europe ?

LVOG - Pendant ce temps-là ses dirigeants arpentaient les couloirs des ministères ou des institutions...

- Covid-19 : des milliers de locataires new-yorkais entament une grève des loyers - Yahoo 3 mai 2020

Selon les estimations de l'organisation Housing Justice for All, au moins 12 000 locataires, représentant 100 immeubles, ont manifesté vendredi à New York, pour appeler à une annulation des loyers, affichant le hashtag #cancelrent à leurs fenêtres ou sur les réseaux sociaux, en réaction à la pandémie de Covid-19 qui a fait basculer plus de 30 millions d'Américains au chômage et donc dans la précarité. Yahoo 3 mai 2020

Parole de médecin.

LVOG - Il y en a dans nos rangs qui dans leurs publications ou dans les réseaux dits sociaux donnent la parole à des membres du corps médical qui se font les porte-parole de l'OMS ou du gouvernement, nous nous avons choisi de donner la parole à des praticiens qui les combattent.

- Covid-19: Et maintenant? par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 03 mai 2020

COVID-19 [1], réchauffement climatique attribué au CO2 et aux humains [2], vaccinations de masse [3-4], 5G [5], surveillance mondiale globale sur le modèle chinois avec traçage et emprisonnement de n’importe qui sous tous les prétextes imaginables [6], états d’urgence permanents [7], dictature numérique et états policiers [8].

Cette énumération n’est même pas complète.

Sur tous ces sujets brûlants qui devraient concerner tous les êtres humains de cette planète, vous pouvez constater que les versions officielles, gouvernementales ou institutionnelles, sont contestées.

Elles le sont par des experts dans leur domaine, des personnes éclairées et par des citoyens pondérés bien insérés dans la société.

Dans la crise du COVID-19, des médecins eux-mêmes contestent les prises de position médicale officielles et institutionnelles.

Cela concerne par exemple la prescription d’hydroxychloroquine (Plaquenil°) et/ou d’Azithromycine, interdite par les institutions officielles et par les gouvernements belge et français, mais pratiquée depuis le début par des médecins de terrain avec des résultats positifs.

Ces médecins de terrain ne sont pas des fous, ils sont diplômés, bien insérés dans la société et n’ont eu jusque-là aucun problème avec l’ordre des médecins.

Ainsi le docteur Rob Elens aux Pays-Bas [9], le docteur Jean-Louis Bellaton en France [10], le cardiologue Gonzague Retournay en France [11], des médecins mosellans et un médecin belge [12], le professeur Christian Perronne, chef du service d’infectiologie à Garches [13], entre autres, testent prudemment ces traitements et observent des résultats positifs.

Et pourtant, que font les autorités : interdire, empêcher [14], menacer, intimider [15], désinformer.

Le professeur Didier Raoult est l’un des premiers médecins à avoir évoqué l’utilité de l’hydroxychloroquine dans la prise en charge de l’infection COVID-19 ou ce qu’on appelle comme tel. Il a mis au point un protocole associant hydroxychloroquine (Plaquenil°) et Azithromycine [16], avec des résultats probants, même s’ils doivent être confirmés [17]. Mais des survivants au COVID sont des survivants au COVID.

La médecine ne devrait pas être réduite à des études multicentriques en double aveugle.

La médecine traite des êtres humains, avant tout.

Une étude américaine [18] a tenté de discréditer le protocole du professeur Raoult, suggérant que la prise d’hydroxychloroquine augmenterait la mortalité.

Expert renommé en maladies infectieuses, le professeur Raoult connaît bien la chloroquine et l’hydroxychloroquine (Plaquenil°), antipaludéens (médicaments contre la malaria).

Il les utilise depuis de nombreuses années. Ce médecin rétablit la vérité dans un article réponse [19] soulignant les défauts méthodologiques (biais) de l’étude américaine.

Un de ces défauts méthodologiques principaux serait d’administrer l’hydroxychloroquine trop tard, à un stade déjà trop avancé de la maladie.

Un médecin états-unien, Vladimir Zelenko, a également administré un protocole similaire à ses compatriotes, en y associant du zinc, à New-York, avec à nouveau de très bons résultats sur le terrain [20].

De même en Algérie [21], au Maroc [22], etc.

Autant de médecins de spécialités, d’âges, de nationalités, d’horizons différents pourraient-ils se tromper ?

Des médecins de terrain, consciencieux, qui soignent, sont au chevet de leurs malades, ne voulant que les sortir de là.

Et ils ont des résultats, loin des chiffres, d’études et de statistiques, ils voient en direct l’efficacité de leurs traitements, sans complications ou à peine.

Quand les gens comprendront-ils où se trouve vraiment leur intérêt ?

Quand les populations comprendront-elles en qui elles doivent avoir confiance ?

Dans les institutions officielles, anonymes, qui interdisent, qui attendent des études qui de toute façon seront faussées, qui répriment et ne voient les gens que comme des statistiques ?

Ou bien dans ces médecins de terrain, dignes de confiance, animés seulement par leur bienveillance et leur volonté d’aider les gens à s’en sortir ?

Pourtant, il est temps aujourd’hui, vraiment, que suffisamment de gens réagissent et défendent ces personnes honnêtes, ces médecins intègres que les institutions officielles cherchent à bâillonner et à remplacer, alors qu’elles, elles ne veulent que contrôler et faire des études.

D’autres médecins critiquent également les statistiques officielles d’infection et de mortalité au COVID-19.

Dans ce cas, ce sont à nouveau des médecins intègres, insérés dans la société, honnêtes, tel que le docteur Gary Kohls, médecin de famille rural dans le Minnesota aux États-Unis [23], ou ce médecin californien, le Dr Dan Erickson qui déclare que le taux de mortalité du Covid-19 est inférieur à 0,1% et que des médecins ont été obligés de porter un diagnostic de Covid 19 alors qu’ils n’étaient pas d’accord [24]. Vous trouverez facilement des témoignages d’autres médecins de par le monde pour confirmer cette situation de mensonge forcé.

Moi-même, intensiviste en exercice en Belgique, je confirme que de nombreux décès douteux ou même non douteux, sont très souvent encodés comme des décès COVID-19, grossissant artificiellement les statistiques de pathologies et de mortalité attribuées au COVID-19.

- Traitements efficaces empêchés, discrédités.
- Médecins généralistes et spécialistes de terrain, honnêtes et exemplaires, intimidés, menacés, bâillonnés.
- Statistiques fausses, servant un processus de peur permanente et de panique organisée.

De l’autre côté…

Des institutions et des organismes officiels (OMS, Agence européenne du médicament, Hautes Autorités de Santé…) rongées par les affaires de corruption et de conflits d’intérêt dont il existe des listes documentées longues comme la Tour Eiffel.

Qu’attendent les gens pour choisir leur camp ?

Et surtout, qu’attendent-ils pour le faire savoir ?

Les médecins intègres et toutes les autres professions (pharmaciens, avocats, économistes, psychologues, sociologues…) qui tentent de restaurer la vérité et le bons sens dans la « pandémie COVID-19 » ont besoin de vous ! Ont besoin de ce soutien affiché !

Écoutez ces parlementaires courageux qui dénoncent également cette escroquerie mondiale maquillée en action humanitaire :

En Italie, la parlementaire Sara Cunial [25].

En Autriche, le parlementaire Herbert Kickl [26].

Regardez et écouter ces vidéos sur YouTube, vite avant qu’elles ne soient censurées et retirées.

Elles montrent que politique ne rime pas nécessairement avec maléfique.

Voilà des parlementaires courageux qui défendent réellement le peuple qu’ils représentent.

Cela me rappelle le courage de la Pologne en 2009, lors de la précédente tentative de l’OMS de déclencher une panique mondiale et un achat record de vaccins, avec la fausse pandémie H1N1, et le refus de la ministre de la santé polonaise, Eva Kopacz de participer à cette mascarade [27-28].

Vraiment.

Qu’attendent les gens ?

Qu’attendez-vous ?

Il en va aujourd’hui de votre santé, de vos libertés de vous promener, de vous serrer dans vos bras, de manifester, de refuser, de débattre, de donner votre opinion, de conserver votre intimité, de faire vos propres choix concernant votre vie, votre famille, vos projets !

Tout cela est mis en danger par la peur, le mensonge, la malhonnêteté, la désinformation qui se trouve là où vous ne vous y attendez pas.

Le conspirationnisme et les fake news ne sont pas là où on vous dit qu’ils sont.

Les docteurs Elens, Bellaton, Retournay, Perronne, Raoult, Zelenko, Kohls, Erickson ne sont pas des conspirationnistes.

Les parlementaires Sara Cunial et Herbert Kickl ne répandent pas de fake news.

Nous sommes en danger, bientôt, il sera trop tard pour y changer quoi que ce soit, d’un instant à l’autre.

Il ne faut pas seulement secouer la tête et se réveiller, relever la tête après cette douche froide, mais réagir, bouger, mener des actions en justice, se liguer, se faire entendre.

La vérité en a besoin.

Les docteurs Elens, Bellaton, Retournay, Perronne, Raoult, Zelenko, Kohls, Erickson et tous leurs confrères courageux qui veulent vous soigner loin des recommandations malhonnêtes ou manipulées des institutions officielles, ont besoin de vous.

Les parlementaires Cunial, Kickl et tous ceux qui veulent parler et ne l’ont pas encore fait ont besoin de savoir qu’ils ne se sont pas levés et pris des risques pour rien.

Car ils les ont pris pour vous.

Il est plus que temps.

Dr Pascal Sacré - Anesthésiste-intensiviste. Mondialisation.ca, 03 mai 2020

LVOG - Merci et bravo à eux, ils ont notre soutien inconditionnel, mais qu'ils ne comptent pas sur celui du mouvement ouvrier qui a délibérément choisi le camp de leurs ennemis, des ennemis des peuples, de leur santé.


Le 8 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

J'ai corrigé quelques défauts ou erreurs dans la page d'accueil.

On se détend un peu avant de rejoindre le champ de bataille, je vous mets en condition, je suis sympa!

Hier soir j'étais tranquillement en train de fignoler cette causerie, quand j'entends des hurlements dehors. C'était mon voisin d'en face qui piquait une crise, il devait être complètement bourré ; Imaginez un peu, il n'a pas picolé pendant 40 jours et depuis quelques jours de l'alcool circule clandestinement dans le coin, alors il se rattrape !

Mon nouveau beau-frère m'en a proposé, j'ai refusé poliment. Il me doit une grosse somme d'argent qu'il ne veut plus me rembourser, donc je n'ai pas à lui dire merci pour quoi que ce soit, c'est un principe, je n'ai rien à lui devoir.

Et puis je m'en passe très bien. Il me reste un seul vice, la clope, et en ce moment cela me coûte très cher. Manger de la viande n'est pas un vice, parce qu'en tant qu'hominien, nous appartenons au sous-ordre des mammifères et à l'ordre des mammifères carnivores ; si nous ne l'avions pas été carnivores, l'homo sapiens n'existerait pas tout simplement, alors nous faire un procès pous cela, c'est vouloir notre mort, décidément, ils sont nombreux en ce moment à la vouloir, mais ils n'auront pas notre peau, on se battra jusqu'au bout pour les vaincre.

La réflexion suivant m'est venu à l'esprit spontanément dans la foulée, la première partie pourrait préfigurer l'orientation politique de la Constitution d'une République sociale.

Nul à titre privé ou collectif n'a le droit de s'accaparer le produit du travail ou le bien d'autrui, qui sont un bien commun ou partagé inaliénable, répartis entre tous les membres de la collectivité sans distinction de classe sociale en fonction de leurs besoins.

La propriété privée est abolie ou plutôt elle est répartie sur l'ensemble de la collectivité humaine, de telle sorte que personne ne peut l'accaparer au détriment d'autrui ou n'éprouve le besoin de nuire à quiconque sous peine de se nuire à lui-même.

De la même manière, la liberté s'arrête où commence celle d'autrui. Personne ne doit ou ne peut empiéter dessus sous peine de se marcher dessus ou d'attenter à ses propres aspirations au bien-être, à s'épanouir individuellement, à vivre en harmonie et en paix avec les autres, à la liberté.

Les rapports de dominant à dominé sont proscrits de la société par voie naturelle, dès lors que la notion et les moyens d'appropriation et d'exploitation, d'oppression, sont décrétés hors la loi. Donc, les institutions du capital ou l'Etat qui servaient dans l'ancien régime à leur fournir un cadre et une justification à la fois légitime et juridique, et gravaient dans le marbre l'exploitation de l'homme par l'homme pour l'éternité, sont abolies.

L'émancipation définitive du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme qui coïncidera avec la fin des inégalités et des injustices sociales, de la société divisée en classes sociales, de la lutte des classes qui se poursuivra jusqu'à tant qu'on atteigne cet objectif à l'échelle mondiale. (Précisons en exergue, pour peu qu'on parvienne à s'en tenir aux faits, à la réalité.)

Une réflexion en appelle une autre.

C'est précisément sur cette question que nous buttons, nous en tenir aux faits, cette causerie en fait la démonstration si nécessaire. C'est ce problème auquel il faut nous attelerpour rassembler nos forces, nos bataillons prêts à partir à l'assaut de la citadelle du vieux monde pour terrasser nos ennemis...

Quand ils ont détruit la Syrie notamment, ils ne se sont pas posés de questions d'ordre morale, non, ils sont restés sur le plan idéologique, la morale n'étant qu'un levier parmi d'autres pour atteindre un objectif, un instrument ou un outil pour façonner la société et le monde à leur image ; les oligarques en ont une panoplie à leur service, ils peuvent tout instrumentaliser et instaurer le règne du chaos et de la peur à perpétuité. C'est assez terrifiant qu'ils disposent d'un tel pouvoir, leur retirer est notre objectif politique. Et on est mal barré pour y parvenir rapidement. A suivre.


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On y est :

- La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie: Une prison sans murs, dont les prisonniers ne songeraient pas à s’en évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. Aldous Husley - Le Meilleur des Mondes.

Ne réclament-ils pas que "l'après" ressemble à l'avant ? C'est vrai qu'on nageait déjà dans le bonheur ! Au moins on était plus libre. C'est très relatif en réalité. La prison était un peu plus vaste et on ne voulait pas le voir.

A quoi le combat du mouvement ouvrier tous courants confondus a-t-il été consacré au cours des 70 dernières années, sinon à l'augmentation du pouvoir d'achat, expression détestable qui symbolisait à elle seule l'adaptation à la dictature en place ou à cet esclavage.

C'est ainsi que le combat pour l'amélioration de la condition ouvrière devait se transformer en son contraire, dès lors qu'il était déconnecté du combat pour l'émancipation du capital. N'écoutez pas ceux qui prétendent que cela aurait été inévitable ou un moindre mal et qu'on s'en remettra. Quand ? Un jour. Mais quand? A une date indéterminée, autant dire aux calendes grecques ! En effet, le prolétariat américain avant nous ne s'en est jamais remis, quoique nos dirigeants vont avoir de plus en plus de mal à avancer ce type d'argument frauduleux tant la société avance vers le totalitarisme.

Les travailleurs n'étant pas prêt pour la révolution socialiste, c'est un euphémisme, au mieux on leur tint un discours révolutionnaire coupé de la réalité qu'ils vivaient, de sorte que cela faisait fuir les uns, l'immense majorité, ou attirait une infime minorité qui y voyait un moyen de lutter pour préserver leurs privilèges ou leur statut, ou encore qui croyaient aux miracles ou se berçaient d'illusions en faisant l'impasse sur les conditions à réunir pour voir surgir une révolution, comme si elle pouvait s'en passer, on les laissa y croire cyniquement, j'en fis partie à une autre époque, ce qui explique pourquoi la plupart ont fini par basculer du réformisme bourgeois vers le corporatisme, quand d'autres à la suite de désillusions répétées, de révolutionnaires acharnés, démoralisée ils finirent par cesser le combat politique, au pire on leur tint un double discours tout en s'en défendant, de sorte que chacun pouvait y trouver son compte ou ce qu'il voulait sans que l'incohérence et l'opportunisme de cette démarche n'inquiète personne ou presque.

Voilà quels genres de militants il reste pratiquement dans les partis dits ouvriers ou de l'avant-garde, farcis d'illusions, gauchistes à leurs heures, collaborationnistes le reste du temps, quoi d'étonnant à ce qu'aujourd'hui ils réclament la poursuite du confinement et que tout le monde porte des masques, se faisant ainsi les agents de cette sordide machination tout en se présentant comme les champions de la lutte de classe. Quel énorme gâchis !

Quelle pandémie mondiale ! Cherchez l'imposture.

Afrique :

- 1,216 milliard d'habitants
- 2 000 décès dus au Covid-19.

Chine :

- 1,4 milliard d'habitants
- 5 000 décès dus au Covid-19

Inde :

- 1,38 milliard d'habitants
- 1783 décès dus au Covid-19

Total :

- 3,996 milliard d'habitants
- 8783 décès dus au Covid-19

C'est l'équivalent du nombre de morts en France toutes causes confondues en 5,5 jours durant toute l'année.

Il y a eu, en 2019 (les chiffres varient d'année en année), 610 000 décès en France. Soit une moyenne de 1 670 par jour. (Source : Insee.)

C'est là que l'on mesure à quel point ceux qui hurlent à la pandémie ou à la catastrophe relèvent de la folie ou de la psychiatrie. En politique, on appelle cela des imposteurs, des charlatans.

Nous ne le répèterons jamais assez, n'oublions pas que tous les acteurs politiques disposaient des mêmes informations que nous et même davantage encore, ils n'ont donc absolument aucune excuse pour prétexter une méprise ou je ne sais quoi. Non, c'est délibérément ou en toute conscience qu'ils ont décidé de nous tromper. Quel sort devrions-nous leur réserver, lorsque le soufflé sera retombé ou cette cabale sera éventée ? Le même qu'on réserve aux traîtres.

Tout s'explique. La tendance générale à la hausse importante des décès depuis 2015 en France devrait se poursuivre jusqu'en 2060.

LVOG - Nos dirigeants n'auraient-ils pas accès aux statistiques de l'Insee ? Pourquoi feignent-ils de les ignorer pour hurler au catastrophisme en choeur avec les autorités et l'OMS? Ils en sont rendus eux aussi à instrumentaliser des morts, il faut avoir conscience que rien ne les arrête pour nous tromper.

- 606 000 personnes sont décédées en France en 2017, la moitié avait plus de 83 ans », Insee Focus n° 128, octobre 2018.

Parmi les personnes décédées en 2017, un quart ont plus de 90 ans et la moitié ont plus de 83 ans

En 2018, 610 000 personnes sont décédées en France, soit 3 000 de plus qu’en 2017 et 16 000 de plus qu’en 2016. Le nombre de décès en France n’a jamais été aussi élevé depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

Il a tendance à augmenter mécaniquement depuis le début des années 2010, du fait de l’arrivée des générations nombreuses du baby boom (nées entre 1946 et 1974) à des âges de forte mortalité. En 2004, un point bas avait été atteint avec 519 000 décès, après la forte hausse liée à la canicule de 2003.

L’épidémie de grippe de l’hiver 2018 a été précoce et très longue : elle a débuté début décembre 2017 et s’est achevée fin mars 2018 [Bernard-Stoecklin S. et al., 2018]. Le niveau particulièrement élevé des décès en janvier 2017 n’a toutefois pas été atteint (60 000 décès en janvier 2018 contre 68 000 en janvier 2017), mais le cumul sur les trois premiers mois de l’année en 2018 (172 000 décès) dépasse légèrement celui de 2017 (171 000 décès).

https://www.insee.fr/fr/statistiques/3629105

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4218743?sommaire=4204068

- A une épidémie de grippe particulièrement meurtrière lors des trois premiers mois de l’année 2015 – 24 000 décès supplémentaires ont été décomptés au cours de cette période par rapport à la même période en 2014...

Cette stabilité du nombre de décès entre 1946 et 2014 est étonnante. La population a augmenté de plus de moitié (passant de 40 à 64 millions) et a vieilli au cours de cette période, ce qui aurait dû là aussi entraîner une hausse des décès. Pourquoi cela n’a-t-il pas été le cas ? Le nombre de décès va-t-il se maintenir à ce niveau dans les prochaines années ? La forte augmentation de 2015, qui s’inscrit elle-même dans une tendance à la hausse depuis le creux de 2004, annonce-t-elle une nouvelle période ?

L’effet de l’augmentation de la durée de vie

La première raison expliquant que le nombre de décès n’ait pas augmenté sensiblement entre 1946 et 2014 est l’allongement de la vie...

Depuis 1995, les projections de mortalité sont beaucoup plus optimistes et, comme celle de « mortalité basse » de 1986, s’appuient sur l’hypothèse de progrès constants [3]. Elles annoncent néanmoins une hausse importante des décès à terme en raison de deux phénomènes nouveaux : la fin de l’effet des classes creuses nées pendant la Première Guerre mondiale, et l’arrivée des baby-boomers aux grands âges.

Les décès des classes creuses nées pendant la Première Guerre mondiale

L’arrivée de ces classes creuses aux âges élevés où l’on meurt est l’une des raisons de la baisse temporaire des décès à partir du début des années 1980. La courbe est en train de remonter lentement au début des années 2000, l’effet des classes creuses étant alors à son maximum, lorsque survient la canicule de l’été 2003. Elle entraîne un pic de décès cette année-là, suivie d’une baisse sensible en 2004 liée à un « effet de moisson » : des personnes fragiles qui seraient mortes en 2004 s’il n’y avait pas eu de canicule, sont mortes plus tôt, en 2003. Il en résulte un gonflement des décès de 2003 et une diminution à l’inverse des décès de 2004. (On peut donc prévoir une légère baisse des décès en 2021, mais elle peut aussi ne pas se produire. - LVOG)

Le nombre de décès va augmenter en écho au baby-boom

Un autre phénomène de même type a débuté : les générations nombreuses nées pendant le baby-boom, entre 1946 et 1973, arrivent à leur tour aux âges élevés où l’on meurt, entraînant un effet inverse d’augmentation des décès annuels. Ce phénomène est déjà visible sous forme de « vague » sur la figure 2 et il va prendre plus d’ampleur dans les prochaines décennies, gonflant le nombre annuel de décès le temps que ces générations vieillissent puis disparaissent, les dernières générations de baby-boomers devant s’éteindre dans les années 2060. Les projections les plus récentes publiées par l’Insee annoncent toutes une hausse des décès jusqu’à près de 770 000 par an vers 2050 dans le scénario central [4]. Elles font pourtant l’hypothèse d’une poursuite de l’augmentation de l’espérance de vie qui gagne 7,6 ans entre 2007 et 2060 dans ce scénario, passant de 80,9 ans à 88,5 ans sexes confondus. Deux hypothèses haute et basse encadrent ce scénario central, avec des progrès de l’espérance de vie respectivement inférieurs et supérieurs de 2,5 ans à ceux du scénario central. Mais ces variantes ne modifient en rien la tendance générale à la hausse importante des décès, n’augmentant ou ne réduisant que de 30 000 les 770 000 décès annoncés par le scénario central pour 2060.

Même dans un scénario improbable où des innovations majeures en matière de lutte contre le vieillissement biologique permettraient à l’espérance de vie de faire un bond rapide de 10 à 20 ans, on n’échapperait pas à une forte hausse du nombre de décès quand viendrait le moment de la mort pour les baby-boomers, leurs propres décès n’étant alors retardé que d’une à deux décennies.

Résumé.

La population de la France a augmenté de plus de moitié depuis 70 ans et a vieilli, ce qui aurait dû entraîner une hausse du nombre annuel de décès. Deux facteurs expliquent qu’ils se soient maintenus à peu près constants au cours de cette période : l’augmentation de la durée de vie et l’arrivée aux grands âges des classes creuses nées pendant la Première Guerre mondiale. Leur extinction et l’arrivée à ces âges des générations nombreuses du baby-boom vont entraîner une hausse des décès dans les prochaines années.

https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/194/population.societes.2016.531.deces.conjoncture.france.fr.fr.pdf

LVOG - C'est simple à comprendre, non ?

Le professeur Didier Raoult ne parle pas à tort et à travers et moi non plus, je m'en tiens strictement aux faits, qui démontrent que la surmortalité depuis 2015 est naturelle ou normale et va se poursuivre, car voyez-vous l'homme n'est pas encore devenu immortel !

De toutes manières, en admettant qu'ils échappent à des virus ou qu'ils demeurent en bonne santé jusqu'à un âge très avancé, il arrivera bien un jour où les hommes vont mourir ou doivent mourir qu'on le veuille ou non, et ce jour-là un nouveau palier aura été franchi qui se soldera par une augmentation considérable de morts (jusqu'à 770.000 par an) durant toute une période et ainsi de suite ou pas tout à fait, parce qu'il arrivera forcément un moment où nous atteindrons une limite infranchissable, à moins de croire que les hommes seraient devenus éternels ! Le délire actuel montre à quel point il y en a qui y croient, inconsciemment certes, ils se comportent comme s'ils y croyaient, ce qui montre aussi à quel point ils sont déconnectés de leur nature ou de la réalité.

Macron le criminel dégage !

LVOG - Il fallait un maximum de morts pour justifier les mesures liberticides et antisociales qui allaient suivre...

Covid-19 : Emmanuel Macron avait été alerté en décembre sur les dangers du virus - Yahoo Actualités 6 mai 2020

En décembre 2019, peu avant l'arrivée du Covid-19 en Europe, l'Elysée et le Quai d'Orsay avaient reçu des informations alarmantes dont ils n'ont pas tenu compte, révèle le Canard Enchaîné. Laurent Bili, l’ambassadeur de France à Pékin, avait ainsi fait part de sa grande inquiétude à propos du dangereux virus signalé à Wuhan. Emmanuel Macron et Jean-Yves Le Drian étaient alors restés sourds à ces informations.

Pis, le ministre des Affaires étrangères a attendu fin janvier pour organiser le rapatriement par avion des ressortissants français de Wuhan, épicentre chinois du Covid-19, qui fut - en partie - une concession française, de 1896 à 1943. "Quand sont parvenues à Paris les informations relatives à l’apparition d’un nouveau virus, il était encore possible, pour un président conscient de ses responsabilités, de constituer un bon stock de masques, de tests et de respirateurs. Mais Macron n’a pas trouvé le temps d’y penser", fait remarquer froidement le palmipède.

Si le premier cas français de Covid-19 a été officiellement signalé le 24 janvier par les autorités sanitaires, le professeur Yves Cohen, chef du service de réanimation des hôpitaux Avicennes (Bobigny) et Jean-Verdier (Bondy), a affirmé dimanche qu'un homme d'une cinquantaine d'années était déjà infecté 27 décembre. Yahoo Actualités 6 mai 2020

Commentaires d'internautes.

1- "Alors c'est pire que ce qui a été jusqu'à ce jour tracé. Aux dernières nouvelles, A. Buzyn avait prévenu Macron des risques encourus le 11 janvier (cf. son interview du Monde) et la direction générale de la Santé avait été avertie officiellement le 12 janvier par l'OMS via son Bulletin d'information (consultable sur le Net). Ce qui revient à admettre aujourd'hui que le gouvernement n'a rien fait (!) pendant plus de 75 jours. Edifiant !"

2- "Cela nous aura fait 20 000 morts de trop et une interdiction de les soigner en préventif à l'Hydroxychloroquine."

- "Bien sûr qu'il était au courant bien avant que l'épidémie arrive en France, il est président et a accès a des informations du monde entier 24h sur 24h. Donc la vraie question est : pourquoi n'a-t-il pas anticipé ? pourquoi a-t-il attendu si longtemps avant d'agir? L'intérêt des gens qui ont financé sa campagne n'est pas celui du peuple, il n'est qu'un pantin tenu par des puissants qui ont volontairement laissé l'épidémie arriver et faire des dégâts pour leurs intérêts..."

3- "Donc il ont n'ont rien fait pendant trois mois. C'est purement criminel. Dans une démocratie, les responsables politiques devraient être jugés et condamnés à la prison à vie."

Un labo peut en cacher un autre... aux Etats-Unis par exemple.

LVOG - Question : A qui profite le crime ? A ceux qui l'avaient annoncé à Davos à la même date, simultanément, qui s'y étaient minutieusement préparés de longue date et qui l'ont perpétré.

- Covid-19 : des athlètes français contaminés à Wuhan en octobre ? - leparisien.fr 5 mai 2020

Plusieurs sportifs, de retour des Jeux mondiaux militaires organisés fin octobre en Chine, se sont plaints de symptômes à leur retour. Ils pourraient avoir contracté le Covid-19.

Ce sont des mots qui n'ont pas fait de bruit sur le moment. Pourtant, ils pourraient offrir un éclairage capital dans la difficile recherche des origines du Covid-19. Lors d'un entretien accordé le 25 mars au JT de la chaîne locale Télévision Loire 7, pour évoquer l'actualité liée au report des Jeux olympiques de Tokyo, Elodie Clouvel, la championne du monde de pentathlon moderne, a glissé une réponse précieuse. Ce témoignage pourrait s'avérer tout aussi troublant que l'analyse rétroactive de tests conservés à l'hôpital de Bondy qui a permis d'identifier un porteur du virus dès le 27 décembre en France.

Elodie Clouvel venait d'être interrogée sur son éventuelle inquiétude à envisager un été au Japon, « sur un continent où s'est déclarée la maladie ». « Non, parce que je pense qu'avec Valentin (NDLR : Belaud, son compagnon, pentathlète lui aussi) on a déjà eu le coronavirus, enfin le Covid-19 », a-t-elle alors lancé.

« On n'en parlait pas encore »

Et la jeune femme de 31 ans d'expliquer : « On était à Wuhan pour les Jeux mondiaux militaires fin octobre. Et, en fait, il s'avère qu'après on est tous tombés malades. Valentin a loupé trois jours d'entraînement. Moi j'ai été malade aussi. […] « Je pense qu'avec Valentin (son compagnon également pentathlète, ndlr), on a déjà eu le coronavirus, enfin le Covid-19. Il s'avère qu'après on est tous tombés malades. Valentin a loupé trois jours d'entraînement. Moi j'ai été malade aussi. […] J'ai eu des trucs que je n'avais pas eus avant. On ne s'est pas plus inquiété que ça parce qu'on n'en parlait pas encore », explique-t-elle. » (Complété avec valeursactuelles.com 5 mai 2020)

Sa conclusion est là aussi sans équivoque : « Il y a beaucoup d'athlètes des Jeux mondiaux militaires qui ont été très malades. On a eu un contact avec le médecin militaire récemment qui nous a dit : je pense que vous l'avez eu parce qu'il y a beaucoup de gens de cette délégation qui ont été malades. »

Pour rappel, jusqu'à aujourd'hui, le premier cas reconnu de Covid-19, en Chine, remonte au 17 novembre. Les Jeux mondiaux militaires - près de 10 000 athlètes représentant 100 nations - se sont, eux, déroulés du 18 au 27 octobre. Ils étaient déjà apparus dans la chronologie des événements lorsque Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, avait laissé entendre sur Twitter, le 12 mars, que le coronavirus pourrait avoir été introduit par la délégation américaine y ayant participé.

Plusieurs témoignages

Les dires de la sportive vont dans le sens des déclarations d'un autre des 281 autres athlètes français membres de la délégation. Ce dernier a assuré à BFM TV être « tombé malade tout comme plusieurs membres de la délégation française » à son retour de Wuhan. (Complété avec lepoint.fr 5 mai 2020)

Elodie Clouvel, de son côté, n'a pas souhaité donner suite à nos sollicitations pour reparler du sujet. Sa sortie médiatique du 25 mars n'aurait pas forcément été du goût de la hiérarchie militaire. Depuis, il a été d'ailleurs été demandé à la plupart des athlètes de ne plus répondre aux journalistes sur le sujet. Comme plusieurs nous l'ont confié : consigne leur a été donnée de renvoyer les questions à la direction de la communication des armées. Des athlètes tricolores, présents à Wuhan, avaient pourtant reçu, il y a quelques semaines, un appel de l'armée pour les rassurer. « On nous dit : il n'y a pas de risque, vous êtes repartis le 28 octobre et le virus est arrivé le 1er novembre », témoigne l'un d'entre eux.

Dans un tel contexte, les Français n'ont aucune raison d'avoir été les seuls athlètes potentiellement contaminés. De nombreux malades ont ainsi été répertoriés au sein de la délégation suédoise forte d'une centaine de membres, dont certains victimes de fortes fièvres à leur retour. « Mais aucune des personnes testées n'a donné de résultat positif » a précisé mi-avril, au site NSD, le service de communication des forces armées suédoises. (Elles ne vont pas avouer le contraire, personne ne doit être dupe. - LVOG)

Le site de L'essentiel, rapporte, lui, les témoignages de certains sportifs luxembourgeois. Le nageur Julien Henx se souvient d'un contrôle infrarouge de température corporelle à la descente de l'avion. Le lanceur de poids Bob Bertemes se souvient que « dans le village ils nettoyaient tout deux fois par jour et à minuit ils passaient au nettoyage des rues ». Avant d'ajouter, au sujet du nageur Raphaël Stacchiotti : « Il a été malade là-bas. Depuis on le chambre en lui disant que c'était lui le premier cas ».

Ce mercredi soir, le ministère a assuré par communiqué qu' il n'y avait pas eu, « au sein de la délégation française des JMME, de cas déclarés auprès du Service de santé des armées (SSA) de grippes ou d'hospitalisation pendant et au retour des JMME, pouvant s'apparenter, à postériori, à des cas de Covid-19. » (Le ministère de la Guerre couvre les auteurs de cette machination, c'est naturel. - LVOG) leparisien.fr 5 mai 2020

Coronavirus : Elodie Clouvel et d'autres sportifs contaminés à Wuhan en octobre ? - tl7.fr 6 Mai 2020

https://www.tl7.fr/replay/reportage-tl7_5/coronavirus-elodie-clouvel-et-d-autres-sportifs-contamines-a-wuhan-en-octobre_x7tqpjx.html

Commentaires d'internautes.

1- "Oui, tout est possible. Et on ne saura peut-être jamais la vérité. Ce n'est peut-être ni les Chinois, ni les Américains... ce qui est certain, c'est que l'exploitation de cette épidémie, sans proportion avec sa réalité, est l'oeuvre des mondialistes qui ont préparé un tel scénario depuis longtemps. C'est pire qu'un complot, une idéologie planificatrice pour détruire les nations et instaurer une dictature mondiale."

2- "Oui , votre réponse me convainc . C’est tellement abasourdissant que le mot qui vient en premier c’est « c’est pas possible c’est complotiste » mais effectivement tout est possible et il est difficile de savoir la vérité ; les faits issus des langues qui se délient sont de plus en plus perturbants ; ce qui sûr en revanche c’est que les intentions dictatoriales du mondialisme transparaissent de plus en plus ...pour qui sait voir et entendre. Merci."

Qui a dit ?

- "Les responsabilités ne sont engagées que quand il y a des risques inconsidérés qui sont pris, des négligences qui sont faites, ce n'est évidemment pas le cas du protocole sanitaire que nous avons établi".

Réponse : Le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer auditionné à l'Assemblée nationale. AFP 7 mai 2020

LVOG - Ils osent tout les pires pourritures. On est en présence d'un psychopathe endurci qui ne mérite ni la camisole de force ni un jugement ce serait lui accorder trop de considération...

Faites tomber les masques. La fabrique du consentement a conquis l'extrême gauche. A droite toute !

LVOG - Leur indignation sert uniquement à camoufler leur capitulation ou trahison. Macron ne pouvait rêver meilleurs alliés.

- GMI - Pour protéger les enfants et les travailleurs de l’enseignement primaire, grève générale des écoles à partir du 11 mai !

L’appel à la grève générale jusqu’au report de la rentrée scolaire

C’est la seule voie pour protéger les personnels, les élèves et leurs familles. C’est la seule voie pour interdire la circulation du virus et une seconde vague mortelle. GMI 3 mai 2020

- POID - La Tribune des travailleurs. A la Une : Un déconfinement de tous les dangers par Daniel Gluckstein.

- Le pays va au-devant d’une véritable catastrophe sanitaire, mais aussi sociale et économique.

LVOG - On se croirait à la tribune de l'OMS !

- Huit semaines de confinement ont montré, en creux, la puissance de la classe ouvrière.

LVOG - Traduire : Son impuissance et son inconscience. Et l'imposteur d'en rajouter une couche à chaque paragraphe pour alimenter la psychose qui justifie toutes les attaques portées par Macron contre les travailleurs.

- ... la catastrophe qui menace...
- ... un programme d’urgence pour imposer en particulier (...) la distribution massive et gratuite des masques ...
- ... la catastrophe qui se dessine chaque jour un peu plus...
- ... la catastrophe qui vient...

LVOG - Mais quel cinglé !

Le catastrophisme a servi à Macron à réaliser l'union nationale ou un consensus allant de l'extrême droite à l'extrême gauche.

Le catastrophisme repris par les dirigeants du mouvement ouvrier sert uniquement à resserer les rangs de leurs troupes, au détriment de la cause qu'ils prétendaient défendre et qu'ils ont piétinée. On a connu autrefois ou plutôt jadis tellement il faut remonter loin dans le temps, une avant-garde qui n'hésitait pas à aller à contre-courant des masses ou du mouvement ouvrier quand leur orientation était réactionnaire. De nos jours, dans le même cas de figure, il faut adopter la même orientation que les masses même si elle est réactionnaire.

Ensemble, avec Macron et son gang mafieux, ils auront commis l'exploit dont ils peuvent être fiers, d'avoir fait adhérer la presque totalité de la population à cette machination conçue par l'oligarchie financière et rendue publique lors du dernier forum de Davos. C'est le seul succès significatif qu'ils pourront revendiquer depuis 40 ans... pour le compte de l'oligarchie, du capitalisme, bravo ! J'y tiens pour qu'on ne nous accuse pas de sous-estimer leur mérite ou d'être injuste envers eux.

Etions-nous dans la fabulation ou dans l'outrance, quand nous affirmions que le mouvement ouvrier était mort, et qu'il fallait le reconstruire sur la base de la rupture avec le capitalisme et ses institutions ?

Ce principe et cet objectif politique devraient figurer en tête des statuts de tout parti ou syndicat ouvrier. Dans le cas contraire, ils n'auraient rien d'ouvrier ou ils incarneraient l'idéologie des capitalistes. C'est cela aussi être réellement de gauche.

Totalitarisme et corporatisme. Le dialogue social est “le maître mot” (La ministre du Travail, Muriel Pénicaud).

- Il faut relancer le débat sur le temps de travail, selon l'Institut Montaigne - LeFigaro.fr 6 mai 2020

Comment la France règlera-t-elle la facture de la crise hors-norme du coronavirus? Dans une note intitulée «Rebondir face au Covid-19 : l'enjeu du temps de travail», l'Institut Montaigne met les pieds dans le plat. Le think tank libéral, sous la plume de l'économiste Bertrand Martinot, fait neuf propositions pour relancer l'économie en appuyant sur la corde - sensible - du temps de travail.

Le think tank libéral n'appelle pas à un retour généralisé aux 39 heures mais propose des ajustements pour augmenter la durée du travail, petit bout par petit bout. Il propose notamment de supprimer le jeudi de l'Ascension comme jour férié. «Si la France est dans une situation moyenne par rapport à ses partenaires européens pour le nombre de jours fériés, elle se caractérise par un nombre particulièrement élevé de jours au cours du mois de mai (trois ou quatre jours fériés selon les années, dont le jeudi de l'Ascension qui entraîne chaque année un « pont »)», précise-t-on dans la note.

Le HuffPost - L’Institut Montaigne souhaite un “accroissement du temps de travail sans pour autant que la rémunération supplémentaire correspondante ne soit versée immédiatement par les entreprises”. Par exemple, en intégrant le versement des heures supplémentaires “dans la formule de calcul de la réserve minimale de participation versée l’année suivante”, voire ultérieurement.

Il propose d’“assouplir quelques verrous juridiques persistants” en permettant aux entreprises de “déroger au temps de repos minimum quotidien de 11 heures minimum par jour dans le cadre d’un accord sur le droit à la déconnexion”. “Le problème du jour, c’est le retour au travail, et sauver l’emploi”, a pour sa part déclaré sur Europe 1 la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, jugeant que le dialogue social est “le maître mot” et estimant que “les entreprises qui ont un bon dialogue social (...) aménagent déjà le temps de travail”. Le HuffPost 6 mai 2020

De même, l'Institut propose que «toute formation figurant sur le plan de développement des compétences de l'entreprise pourrait être effectuée en dehors du temps de travail du salarié avec l'accord de celui-ci», à condition que la formation en question ne soit pas obligatoire.

Ces mesures ne devraient pas seulement permettre aux entreprises de donner un coup d'accélérateur soudain à leur activité, argumente l'économiste Bertrand Martinot: «on va vivre pendant de nombreux mois avec le virus, donc dans un environnement sanitaire très particulier qui va faire perdre énormément de productivité horaire aux entreprises». Une perte que l'augmentation du nombre d'heures travaillées devrait venir compenser.

Des efforts demandés aux services publics

L'économiste appelle également le service public à contribution en diminuant d'«une dizaine» le nombre de RTT dans la fonction publique, «à titre provisoire» et sans compensation salariale obligatoire. La crise est selon lui l'occasion de procéder «un nouvel examen de l'organisation du temps de travail dans la fonction publique, qui a déjà fait l'objet de nombreux rapports». L'économiste souhaite mettre l'administration publique au régime, en mettant à plat, «à moyen terme», la question de la durée et de l'aménagement du temps de travail dans ses organismes.

Le HuffPost - La fonction publique fait l’objet de plusieurs propositions de l’Institut Montaigne, telles que la hausse temporaire de la durée de travail pour les “fonctionnaires de secteurs d’activité nécessaires à la vie économique ou en tension (...), en contrepartie d’une rémunération supplémentaire et après concertation avec les organisations syndicales”. Pour être crédible, l’Etat devrait d’abord solder les heures supplémentaires impayées, suggère-t-il. Le HuffPost 6 mai 2020

Enfin, l'Institut Montaigne appelle à supprimer la première semaine vacances de la Toussaint de l'automne 2020 pour les élèves, afin de leur permettre de «rattraper les semaines de scolarité en partie perdues durant le printemps et l'été 2020». «Il s'agirait de s'inspirer de la réaction de Singapour à la crise du SRAS en 2003, pays qui a supprimé 15 jours de vacances scolaires du mois de juin pour rattraper les retards scolaires accumulés», argumente-t-il.

Mesures très politiques

Les propositions formulées par l'Institut Montaigne ne sont pas sans rappeler les propos le président du Medef. «Il faudra bien se poser la question tôt ou tard du temps de travail, des jours fériés et des congés payés pour accompagner la reprise et faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire», avait ainsi estimé Geoffroy Roux de Bézieux dans nos colonnes, le 10 avril.

Contacté par nos soins, le ministère du Travail n'a pas réagi à la note du think tank pour l'heure. Au sein du gouvernement, le sujet très sensible du temps de travail n'a été publiquement évoqué que par la secrétaire d'État à l'Économie, Agnès Pannier-Runacher. «Il faudra probablement travailler plus que nous ne l'avons fait avant. Il faudra mettre les bouchées doubles pour créer de la richesse collective», avait-elle déclaré mi-avril, dans la droite ligne des préconisations du Medef et de l'Institut Montaigne. LeFigaro.fr 6 mai 2020

Commentaires d'internautes.

1- "Il va y avoir un record mondial de chomeurs et il faut travailler plus ? Où est la logique ?"

2- "On attend la réaction de l'institut Montaigne, sur le fait que les assurances, vont verser des milliards en dividendes, au mois de Juin....Ils sont scandalisés ?...Ou, ils palpent ?"

Faites tomber les masques ou en famille. La véritable nature réactionnaire de Mélenchon et LFI éclate au grand jour. "Demi-tour… droite !

LVOG - La guerre et les crises sont des épreuves révélatrices et destructrices pour les opportunistes

Covid-19 : quand Mélenchon rentre les griffes - LePoint.fr 7 mai 2020

Le leader de La France insoumise annonce qu'il abandonne la stratégie du choc frontal contre le gouvernement. Objectif : attirer les électeurs modérés. LePoint.fr 7 mai 2020

Demi-tour… droite ! Dans un entretien donné à Leading European Newspaper Alliance (Lena), une alliance de journalistes européens, et relayé par le journal espagnol El Pais, Jean-Luc Mélenchon annonce un changement drastique de direction. Si le leader de La France insoumise assume qu'il a usé « jusqu'à maintenant » de « la stratégie du choc frontal » sur tous les sujets, comme « générateur de conscience politique », il la considère comme désuète en période de crise sanitaire et trompette une approche toute nouvelle : « Il n'est pas question d'agresser ceux qui nous gouvernent », prévient-il. LePoint.fr 7 mai 2020

LVOG - Hier, quand il se plaignait d'être victime d'amalgames avec l'extrême droite, nous les dénoncions. Si demain s'il se plaignait d'être victime d'amalgames avec l'extrême-centre de Macron, nous ne les dénoncerions pas puisqu'ils seraient légitimes.

La machine infernale à fabriquer le consentement a fait du bon boulot.

Sondage Odoxa Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo. lefigaro.fr 6 mai 2020

Les Français sont persuadés que la sécurité promise pour le déconfinement ne sera pas au rendez-vous que ce soit dans les écoles (69 %) où les transports (74 %).

Sur ce dernier point, la défiance est d’autant plus forte que l’on se rapproche des grands centres urbains, à commencer par la région parisienne où la densité des transports est plus forte que dans le reste de la France. «80 % des “Parisiens” se montrent pessimistes à ce sujet», souligne ainsi l’étude.

Les Français expriment une grande confiance dans les entreprises pour qu’elles assurent un niveau de sécurité suffisant à leurs salariés. «Ce résultat vient confirmer un autre enseignement inattendu de cette crise sanitaire, souligne Odoxa. La réhabilitation de l’entreprise dans le cœur des Français.» lefigaro.fr 6 mai 2020

Ceci explique cela et pas seulement en France

- Etat d'urgence: Gilles Le Gendre (LREM) s'attend à une nouvelle prolongation après juillet - AFP 6 mai 2020

Le chef de file des députés LREM Gilles Le Gendre ne "pense pas que ce soit la dernière fois qu'on ait à prolonger l'état d'urgence" sanitaire et s'attend à discuter d'une nouvelle prolongation en juillet, a-t-il indiqué mardi. AFP 6 mai 2020

- Coronavirus: L'état d'urgence prolongé en Espagne - Reuters 6 mai 2020

Le Parlement espagnol a approuvé mercredi la prolongation pour deux semaines à compter de dimanche de l'état d'urgence en vigueur pour lutter contre l'épidémie due au coronavirus. Reuters 6 mai 2020

Le pire virus, c'est lui, effrayant !

- Masqué, Macron visite une école de Poissy pour rassurer sur la rentrée - AFP 6 mai 2020

Portant pour la première fois un masque grand public, en tissu bleu nuit, Emmanuel Macron a visité mardi matin une école de Poissy (Yvelines) et discuté avec des maires pour tenter de rassurer sur une rentrée très contestée après le 11 mai. AFP 6 mai 2020

Ministère de la Vérité. Les médias-oligarques se chargent très bien eux-mêmes de la police de la pensée.

- Le gouvernement renonce à son service controversé "Désinfox coronavirus" - AFP 5 mai 2020

LVOG - Ne cherchez plus, il a renoncé à tout. Ce sont les idéologues et les technocrates au service de l'oligarchie qui leur dictent la politique qu'il doit appliquer. Hier, c'était le GIEC sur le climat, aujourd'hui c'est l'OMS sur le coronavirus, et on pourrait multiplier les exemples par dizaines ou centaines depuis 40 ans.

Totalitarisme. Etat policier permanent.

Déconfinement: Pécresse réclame des forces de l'ordre ou de sécurité dans les gares - AFP 7 mai 2020

La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, a réclamé mardi des "renforts" en forces de l'ordre ou de sécurité dans les gares pour mieux filtrer les usagers des transports et faire respecter la distanciation pour le déconfinement à partir de lundi. AFP 7 mai 2020

L'oligarchie ne lésine pas sur les moyens pour faire taire les scientifiques qui les dérangent.

- Prêt à faire des «conclusions très significatives» sur le Covid-19, un professeur tué par balles - sputniknews.com 6 mai 2020

Un professeur de l’université de Pittsburgh qui était sur le point d’annoncer «des conclusions très significatives» concernant le Covid-19, selon son université, a été tué par balles ce week-end. Le meurtre a été suivi par le suicide de l'auteur de l'attaque, fait savoir la police américaine citée par CNN. sputniknews.com 6 mai 2020

Commentaire d'un internaute

- "Un scientifique qui va donner des informations très significatives sur le Covid19 qui se fait tuer, ça signifie très clairement que le Covid19 n'a rien de naturel. Quant au suicide du tueur, c'est juste qu'il a été éliminé (on déguise généralement ce "nettoyage" en suicide ou en accident)."

C'est toujours bon à savoir.

- Où en est le débat sur l’Hydroxychloroquine ?

https://www.youtube.com/watch?v=eqb1VXHKAAs

- Pour FrontPopulaire.fr, la revue de Michel Onfray, le combat de Didier Raoult contre le coronavirus 4 mai 2020 https://www.youtube.com/watch?v=-juM9NdKDJ0

- Didier Raoult se confie à Apolline de Malherbe sur BFMTV 1 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=cj4bGVszZP8

- Le médicament «sur lequel la France a misé ne marche pas», estime Didier Raoult - sputniknews.com 05 mai 2020

Le professeur Didier Raoult a critiqué le choix de la France de miser sur le Remdesivir pour lutter contre le Covid-19. Selon lui, le traitement à l’hydroxychloroquine est plus efficace et a fait la preuve de sa non-toxicité.

Dans le cadre d’un entretien filmé par l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée, le professeur Didier Raoult a pointé du doigt le recours au Remdesivir, un antiviral actuellement testé dans la lutte contre le coronavirus.

Selon lui, la France a misé sur ce médicament qui s’est révélé inefficace.

«Le médicament sur lequel la France a beaucoup misé, qui est le Remdesivir, ne marche pas. Il y a une énorme étude multicentrique qui a été faite, contre placebo, qui montre que ça ne marche pas. On sait maintenant […] que le Remdesivir ne permet pas de sauver les gens. Il n’y a pas de différence dans la mortalité», a-t-il ainsi commenté au cours de cet entretien.

Le Remdesivir a en particulier été utilisé en France pour traiter l’un des premiers malades du coronavirus, fin janvier, au CHU de Bordeaux, comme le rapporte Le Parisien.

L’hydroxychloroquine non toxique

Par contraste, le professeur Didier Raoult a affirmé que le traitement à l’hydroxychloroquine s’était révélé plus efficace. Il a également assuré que la toxicité de ce traitement, qu’il promeut depuis le début de l’épidémie, n’était pas avérée.

«Nous n’avons eu aucune toxicité avec l’hydroxychloroquine. On n’attendait pas qu’il y ait une toxicité, c’est un fantasme. Je ne sais pas d’où il est parti. Était-ce un fantasme pour promouvoir le Remdesivir? […] Je n’en sais rien. Mais ce n’est pas raisonnable», a-t-il déclaré dans cette vidéo.

L’infectiologue conclut en soulignant l’importance de travailler désormais sur les possibles séquelles laissées par la maladie. Il en appelle à un suivi régulier des personnes anciennement infectées, dont certaines pourraient présenter «une évolutions vers une insuffisance respiratoire». sputniknews.com 05 mai 2020

Quelle catastrophe ! Quel délire !

- La «gravité monstrueuse» du coronavirus est un «délire», affirme Didier Raoult - sputniknews.com 05 mai 2020

Le professeur Didier Raoult a émis quelques réserves sur la gravité de l’épidémie actuelle, affirmant que les taux de mortalité et la contagiosité du Covid-19 n’étaient pas extrêmes.

Le professeur Didier Raoult est revenu sur la gravité de l’épidémie de coronavirus, dans une vidéo réalisée par l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée, où il exerce ses fonctions.

Estimant que la pandémie touchait à sa fin, l’infectiologue s’est autorisé à tirer un premier bilan, soulignant les faibles taux de mortalité liés au Covid-19.

«Tout le délire autour de la gravité monstrueuse de cette maladie est déraisonnable. Ce n’est pas vrai. Globalement ça ne présente pas à la fin une surmortalité exceptionnelle. C’est grave chez les sujets déjà à risques, qu’il fallait essayer de détecter et de traiter le plus tôt possible», a-t-il ainsi expliqué dans cet entretien filmé.

Selon lui, l’épidémie prend une forme de cloche qui est «très banale, pour les maladies virales», soulignant qu’elle se comportait comme toutes les autres.

Et d’exprimer encore une fois ses doutes quant à un éventuel rebond.

«On voit qu’on s’approche de la fin. Les réanimations se vident, la mortalité diminue. Tout ça est en train de disparaître. Personne ne sait si ça réapparaîtra l’année prochaine».

Une faible contagiosité en fin de compte

Le professeur Didier Raoult a également avancé le faible taux d’hospitalisation des plus jeunes, estimant pour sa part ne pas avoir eu affaire à des «forme exceptionnelle de gravité chez l’enfant».

Selon l’infectiologue, la contagiosité du virus a été également surestimée, et s’avère moins importante que prévue.

«La contagiosité ne paraît non plus si extraordinaire qu’on le disait. On peut estimer […] que peut-être 3% de la population a été touchée. C’est beaucoup moins qu’une grippe par exemple. La contagiosité n’a pas été extrême et elle est probablement de plus en plus basse puisqu’on est en fin d’épidémie», déclare-t-il dans cette vidéo. sputniknews.com 05 mai 2020

Dépités par l'insuffisance de morts à l'échelle mondiale, les criminels fantasment.

- Des virologues allemands prédisent «avec une grande certitude» une deuxième vague de Covid-19 - sputniknews.com 06 mai 2020

Alors que la pandémie de coronavirus a déjà tué plus de 257.000 personnes à travers le monde, des virologues de l’Institut Robert Koch en Allemagne affirment «avec une grande certitude» qu’il y aura une nouvelle vague. Le chef de l’Institut a souligné l’importance d’y être bien préparé.

L’humanité peut être confrontée à de nouvelles vagues de propagation du coronavirus, a déclaré Lothar H. Wieler, président de l’Institut Robert Koch (RKI) auprès du ministère allemand de la Santé lors d’une conférence de presse mardi 5 mai.

«Les virologues conviennent en grand nombre qu'il y aura "avec une grande certitude" une deuxième vague», a-t-il indiqué avant d’ajouter: «Beaucoup ont supposé qu'il y aurait également une troisième vague».

La deuxième vague a déjà été prédite par de nombreux scientifiques et personnalités politiques. Ainsi, la représentante de l’Organisation mondiale de santé en Russie, Melita Vujnovic, a déclaré le 30 avril aux médias russes qu’elle était imminente car la majorité de la population mondiale n’est pas immunisée. sputniknews.com 06 mai 2020

- Quel est le risque d’attraper le coronavirus chez soi? La réponse d’un scientifique - sputniknews.com 06 mai 2020

La possibilité de contracter le coronavirus chez soi a été évaluée par un virologue russe Anatoli Alschtein. Selon lui, l’infection peut être transmise aussi bien par des personnes venant de l’extérieur que par des produits alimentaires et des objets.

«À titre de précaution, il faut utiliser de l’eau bouillie, laver les fruits et les légumes, sans oublier de faire un traitement thermique des produits», a déclaré à la la chaîne russe 5-tv le virologue et professeur, tout en précisant qu’un tel risque est minime.

Afin de ne pas attraper le virus par l’intermédiaire des personnes cohabitant avec vous et qui peuvent être des sources potentielles de contamination, le spécialiste préconise les fameux gestes barrières:

«Pour cela, il faut porter un masque, se laver les mains et se distancier au maximum, notamment garder une distance d’au moins deux mètres avec l’autre personne». sputniknews.com 06 mai 2020

- Une souche dominante du coronavirus plus contagieuse que celle d’origine aurait été identifiée - sputniknews.com 05 mai 2020

Des scientifiques disent avoir identifié une souche du nouveau coronavirus qui, depuis son apparition en février en Europe et sa rapide propagation aux États-Unis, se montre plus contagieuse que celle qui circulait pendant les premières semaines de l’épidémie en Chine, écrit Los Angeles Times.

Une étude menée par des chercheurs du laboratoire national de Los Alamos a révélé l’existence d’une souche du nouveau coronavirus responsable, selon eux, de la rapide propagation du Covid-19 en Europe et aux États-Unis à partir du mois de février, relate Los Angeles Times.

Les scientifiques ont notamment analysé 6.000 séquences de virus provenant de plusieurs pays du monde après quoi ils ont réussi à identifier 14 mutations qui ont eu lieu parmi environ 30.000 paires de base d’ARN constituant le génome de l’agent pathogène.

L’étude a été concentrée sur la mutation baptisée D614G qui s’est avérée responsable du changement des fameuses protubérances protéiques à l’aide desquelles le virus entre dans les cellules humaines.

D’après l’étude, partout où cette dernière souche est apparue, elle a rapidement infecté beaucoup plus de personnes que les souches antérieures issues de Wuhan, en Chine. Ainsi en quelques semaines, c'était la seule souche qui était répandue dans certains pays. Sa prédominance sur ses prédécesseurs montre qu’elle est plus contagieuse bien que les raisons n’en soient pas encore évidentes.

Par exemple, Washington a été parmi les premiers États américains touchés par la souche d'origine fin février, mais déjà le 15 mars, la souche mutée avait commencé à dominer. New York a été frappée par le virus d'origine vers cette date, mais en quelques jours, la nouvelle souche a pris le relais.

L'étude de Los Alamos n'indique pas que la nouvelle souche du virus est plus meurtrière que celle d’origine, mais les personnes infectées par la souche mutée semblent avoir une quantité de particules virales plus élevée.

En plus de se propager plus rapidement, la nouvelle souche peut rendre les personnes guéries vulnérables à une réinfection, avertit le rapport.

Quoi qu’il en soit, l'étude prévient que si la pandémie ne diminue pas à mesure que le temps se réchauffe, le virus pourrait subir d'autres mutations pendant que les scientifiques préparent les premiers traitements médicaux et des vaccins. sputniknews.com 05 mai 2020

La sale besogne achevée, il s'éclipse.

- Neil Ferguson démissionne du SAGE - Réseau Voltaire 6 mai 2020

Le professeur Neil Ferguson a démissionné du Scientific Advisory Group for Emergencies (conseil scientifique consultatif pour les situations d’urgence) (SAGE) britannique.

Le SAGE est un organisme dépendant du Comité COBRA (Cabinet Office Briefing Rooms) chargé de la Sécurité nationale du Royaume-Uni.

Le professeur Ferguson conseille les gouvernements britanniques depuis une vingtaine d’années. C’est lui qui, en 2001, avait conseillé au Premier Ministre, Tony Blair, d’abattre six millions de têtes de bétail par crainte de la fièvre aphteuse ; une mesure qui coûta 10 milliards de livres à l’agriculture britannique et marqua la fin de son élevage bovin [1].

Le professeur Ferguson n’a cessé de prophétiser toutes sortes de calamités, dont 550 000 décès du Covid-19 au Royaume-Uni si un confinement généralisé obligatoire et des distances sociales n’étaient pas mises en œuvre. Ces mesures n’ont jamais été testées lors d’épidémies précédentes. En France, il est parvenu à convaincre le président Emmanuel Macron d’adopter ce plan d’urgence sanitaire.

Le professeur Ferguson n’est pas médecin, mais statisticien.

Il a démissionné après que le Daily Telegraph ait révélé qu’il n’appliquait pas lui-même les règles qu’il avait imposées au pays. Il recevait sa petite amie chez lui en plein confinement.

[1] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020. Réseau Voltaire 6 mai 2020

A bas Charlie !

- Corruption de la presse - Réseau Voltaire 6 mai 2020

Chaque pays a connu dans son histoire des scandales d’achat secret de médias par des agents économiques. C’est aujourd’hui le cas au niveau européen.

Par exemple, la Bill and Melinda Gates Foundation a versé en 2019 :

- Der Spiegel : 2 537 294 $
- Die Zeit : 297 124 $
- Le Monde : 2 126 790 $
- The Atlantic : 500 222 $
- The Bureau of Investigative Journalism : 1 068 169 $
- The Guardian : 175 000 $
- The Project Syndicate (tribunes libres) : 1 619 861 $

Notez bien qu’en finançant des enquêtes (Bureau of Investigative Journalism) ou en rémunérant des auteurs de tribunes libres traduites et diffusées en plusieurs langues (Project Syndicate), le « donateur » « soutient » tous les journaux qui les reprennent sans avoir à leur verser directement d’argent. Réseau Voltaire 6 mai 2020

Et il ne s'est pas effondré en moins de 10 secondes, comme c'est étrange !

Un gratte-ciel résidentiel en proie aux flammes aux Émirats arabes unis - sputniknews.com 05 mai 2020

Un gratte-ciel de 45 étages a été ravagé par le feu dans l’émirat de Charjah dans la soirée du mardi 5 mai, indiquent les médias locaux.

Plusieurs vidéos de témoins montrent que le feu s’est rapidement propagé et a englouti presque tout le bâtiment. sputniknews.com 05 mai

L'autre fascisme ordinaire.

- Le gouvernement israélien approuve l'extension d'une colonie de Cisjordanie - Reuters 6 mai 2020

"Environ 7.000 logements" peuvent être construits sur le terrain concerné, précise le ministère de la Défense dans un communiqué. "La dynamique de construction ne doit pas s'arrêter une seule seconde", a par ailleurs tweeté le ministre, Naftali Bennett, qui est également chef de file de la Nouvelle droite, un parti nationaliste religieux.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui tente de former un gouvernement d'union nationale, a promis d'annexer les colonies de Cisjordanie ainsi que la vallée du Jourdain et souhaite entamer le 1er juillet les discussions à ce sujet avec les membres de l'exécutif.

Les Etats-Unis se sont dits prêts à reconnaître cette annexion, dans le cadre du plan de paix présenté en février par Donald Trump.

"La souveraineté en Judée-Samarie (Cisjordanie, ndlr) et dans la vallée est une décision israélienne. Nous sommes prêts", réaffirme l'ambassadeur américain en Israël David Friedman, dans un entretien accordé à Israel Hayom. Reuters 6 mai 2020


Le 10 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

C'est une très sale histoire qu'on est en train de vivre.

Les infos de la veille ne figurent pas dans cette causerie, il est 13h53 et je n'ai pas eu le temps de me connecter à Internet, j'ai été faire quelques courses, tout est fermé à partir de 13h. En principe on devrait retrouver notre liberté de déplacement le 18 mai.

Je vous conseille vivement de lire attentivement les articles que nous avons mis en ligne, cela vous aidera à mieux comprendre dans quel société nous vivons et ce que nous préparent les tyrans qui dominent le monde.

Etant donné qu'on ne peut pas compter sur nos dirigeants pour nous informer, même si les auteurs de ces articles ne se situent pas sur le terrain du socialisme, les informations qu'ils contiennent sont indispensables pour comprendre la situation. Et pour agir.

Les oligarques, qui participent à l'Etat profond, ont des intentions néfastes et criminelles envers tous les peuples sans exception, qu'ils maquillent tant bien que mal en intentions généreuses et désintéressées, qui ne doivent tromper personne.

Notre devoir de militant ouvrier socialiste est de les porter à la connaissance du plus grand nombre possible de travailleurs. Faites circuler ces articles, discutez-en entre vous, soumettez-les à vos dirigeants ou aux cadres de votre parti ou syndicat, faites-en des copies et distribuez-les autour de vous, à vos proches, collègues de travail, voisins, organisez des réunions pour en discuter, il est toujours possible d'agir qu'on soit ou non organisé.

Soyons lucide ou regardons la réalité en face.

Leur machination climatique leur a servi également a testé leur pouvoir politique à l'échelle mondiale, je parle du premier cercle de l'oligarchie financière, et il faut bien reconnaître que l'épreuve s'est avérée concluante et encourageante pour l'avenir, le leur, car nous et les générations suivantes n'en auront pas au rythme où nous sommes partis.

Cela ne devait pas surprendre nos lecteurs qui savaient déjà à quoi s'en tenir, bien que je doute qu'ils m'aient réellement pris au sérieux. On en est arrivé au point, où parler de civilisation humaine sera bientôt déplacé ou inapproprié, pour caractériser le stade supérieur de développement auquel était parvenu le seul hominidé encore en vie, l'homo sapiens.

Le niveau de conscience du milieu, de la société ou du monde dans lesquels ils vivaient, est l'unique facteur qui n'ait pas progressé au cours de la seconde moitié du XXe siècle jusqu'à nos jours, il ne s'est pas fossilisé, il s'est désagrégé, il a même régressé par rapport au demi-siècle antérieur.

Avec l'organisation des travailleurs, c'était la seconde tâche politique qui aurait dû être adoptée par un parti ouvrier, et tous ont échoué lamentablement au point que le niveau de conscience de leur militants a régressé également, dans des proportions qui dans la plupart des cas ne permettent plus la moindre discussion sérieuse et libre. Quand on consulte leurs publications, on s'aperçoit au premier coup d'oeil, qu'ils en sont restés à une analyse du capitalisme et de la lutte de classe du XIXe siècle, exactement comme si rien ne s'était passé depuis.

Ainsi va le dogmatisme suicidaire et criminel des dirigeants qui ont confisqué le mouvement ouvrier, qui n'est plus qu'un instrument au service du régime. Ils ne publieront absolument aucun article que nous publions ici, parce qu'ils considèrent que tous les sujets qu'ils traitent n'ont rien à voir avec la lutte de classe, ils les considèrent hors sujet, sans intérêt, bien qu'en réalité ils soient directement liés à la lutte des classes.

Ces dirigeants, souvent âgés ou très âgés, appartiennent à des générations qui ont vu le jour et grandi à une tout autre époque. Ils ont hérité du mode de penser des générations antérieures qui avait été façonné lors d'une période historique qui appartient désormais au passé ou qui a disparu, mais qu'ils tentent à tous prix de maintenir en vie artificiellement, et évidemment cela ne pouvait que nous mener dans une impasse politique ou nous réduire à l'impuissance.

Nous, nous proposons un mode de penser et d'action, qui s'inspirent de la réalité et qui s'inscrit dans le présent, en intégrant les enseignements de la lutte de classe du passé et l'ensemble des transformations que la société et le capitalisme ont subies notamment depuis un demi-siècle, de manière à être en phase avec la réalité et à pouvoir tracer une perspective politique qui nous projette dans le futur débarrassé du capitalisme et des institutions de la Ve République, bref, de se donner les moyens théoriques et politiques d'aborder sérieusement et de résoudre la question d'un changement de régime.


20 pages au format pdf

De la menace à la mise en application du totalitarisme.

LVOG - Nous soutenons ces médecins.

Vidéo. Cri d'alarme et alerte d'un médecin - Violation du secret médical - 6 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=2g71I-Qpvn8&feature=emb_title

Vidéo. Dr Éric Menat - Il y a urgence !

https://www.youtube.com/watch?v=a3FWeatEF9k&feature=emb_title

Des tests frauduleux positif à n'importe quel virus ou coronavirus

LVOG - Cette arnaque, il fallait y penser, ils ont mis sur le marché des tests qui réagissent indistinctement à n'importe quel virus ou coronavirus, ce qui aura une conséquence non seulement sur le diagnostique mais aussi sur le traitement destiné à chaque malade potentiel. Si parce que les tests ne sont pas suffisamment précis une personne est diagnostiquée positive au coronavirus, alors qu'elle a été infectée par le virus de la grippe, elle sera comptabilisée parmi les personnes décédées du coronavirus, et le tour est joué pour fausser les statistiques et faire croire à une pandémie.

Dans de nombreux pays il y a eu des plaintes sur la qualité des tests dont l'efficacité a été contestée. A l'inverse, ils existaient des tests qui ne permettaient pas de diagnostiquer le coronavirus et des milliers de personnes en sont mortes.

Ce qu'il y a d'avantageux avec ces tests foireux, c'est que dans les deux cas que nous venons d'évoquer, ils aboutissaient à faire plus de morts, l'objectif recherché par les oligarques à l'origine de cette criminelle machination.

Tanzanie : des test de COVID-19 frauduleux sont positifs sur des animaux et des fruits geopolintel.fr 6 mai 2020

Les tests ont été réalisés en aveugle sur plusieurs échantillons non humains, notamment d’une papaye, d’une chèvre et d’un mouton, à qui on avait attribué des références humaines avec un nom et un âge.

Ces échantillons ont ensuite été soumis au laboratoire tanzanien pour y rechercher le coronavirus, les techniciens de laboratoire ayant délibérément ignoré leur origine.

Les échantillons de papaye et de chèvre ont été testés positifs pour le COVID-19, le président John Magufuli affirme que cela signifiait qu’il était probable que certaines personnes soient testées positives alors qu’en fait, elles n’étaient pas infectées par le coronavirus.

M. Magufuli a déclaré ,« Il se passe quelque chose. J’ai dit auparavant que nous ne devrions pas accepter ça et que l’aide destinée à la nation doit nous être bénéfique », ajoutant que les kits devraient faire l’objet d’une enquête.

Samedi, M. Magufuli a dit qu’il avait commandé un traitement à base de plantes (Artémisia annua) pour le coronavirus dont le président de Madagascar fait la promotion.

« J’ai déjà écrit au président de Madagascar et nous allons bientôt envoyer un avion pour aller chercher le médicament afin que la Tanzanie puisse également en bénéficier ».

Le remède à base de plantes, appelé « Covid Organics » et préparé par l’Institut malgache de recherche appliquée, est fabriqué à partir d’Artemisia, une plante cultivée sur l’île de Madagascar dans l’océan Indien.

Malgré le manque de preuves scientifiques, le président malgache Andry Rajoelina a affirmé que le remède avait déjà guéri certains Malgaches de COVID-19. Les enfants qui retournent à l’école ont été obligés de le prendre. geopolintel.fr 6 mai 2020

Source :

https://www.aljazeera.com/news/2020/05/tanzania-president-questions-coronavirus-kits-animal-test-200503174100809.html

Comment les chefs d'Etat ou de gouvernement des puissances occidentales ont délibérément conduit à la mort des dizaines de milliers de personnes.

- Pompeo et les caprices du virus - entelekheia.fr 6 mai 2020

Extrait.

Le ministère de la santé à Téhéran a déclaré samedi que le taux d’infection a enregistré une nette tendance à la baisse. Cela a été possible parce que pas moins de 78 millions de personnes ont été dépistées dans la première phase d’un programme national contre le Covid-19, et 30 millions dans la seconde phase.

Pour un pays de 84 millions d’habitants, c’est un record stupéfiant. En revanche, les tests aux États-Unis restent rares, avec environ 5,5 millions de tests effectués depuis le premier cas confirmé aux États-Unis le 20 janvier.

Une analyse récente de chercheurs de Harvard et du STAT montre qu’alors que les États-Unis tentent de dépasser la débâcle des tests de dépistage du coronavirus, qui dure depuis des mois – tests défectueux, pénurie de tests, et directives excluant de nombreuses personnes qui auraient dû être testées pour contrôler l’épidémie – ils risquent de passer à côté du prochain défi : tester suffisamment de personnes pour déterminer quelles villes et quels États peuvent rouvrir et rester ouverts en toute sécurité.

Les chiffres correspondants en Iran racontent une toute autre histoire : L’Iran compte un total de 97 424 cas de coronavirus. 78 422 patients se sont rétablis et sont sortis des hôpitaux jusqu’à présent. Le nombre de décès dus à l’épidémie a augmenté de 47 cas au cours des dernières 24 heures pour atteindre 6 203, le plus bas niveau atteint par l’Iran en près de deux mois. [Update : aujourd’hui, le 5, l’Iran compte 63 décès de plus].

La population iranienne représente un quart de la population des États-Unis et, d’après les évaluations américaines, au moins un quart de million de citoyens iraniens auraient dû être infectés et environ 18 000 vies auraient dû être perdues à ce jour.

D’après ce qu’a dit Trump, le Covid-19 pose une énigme à son administration. Il a tué près de 70 000 Américains jusqu’à présent, mais en Irak, le nombre de morts est inférieur à 100 ; en Malaisie, il est également d’environ 100 ; au Bangladesh, de 182.

Ou encore, prenez le décompte des décès dans les pays voisins de la Chine : Taiwan – 6 ; Kazakhstan – 27 ; Kirghizistan – 10 ; Laos – 0 ; Cambodge – 0 ; Myanmar – 6 ; Népal – 0 ; Thaïlande – 54. La métropole de New York a été dévastée alors que des villes asiatiques surpeuplées comme New Delhi, Mumbai et Kolkata ont été jusqu’à présent largement épargnées.

Pompeo aurait-il une réponse ? Il est vexé que Pékin n’ait pas permis aux scientifiques occidentaux d’entrer à Wuhan et de mener des recherches. Mais ce privilège n’a pas non plus été accordé au Vietnam. Peut-être que le Vietnam peut enseigner aux États-Unis quelque chose qui pourrait avoir de profondes implications sur la façon dont les pays réagissent au virus. (Conseil déplacé ou grotesque sachant que les autorités américaines avaient besoin d'un maximum de morts. - LVOG)

Le Vietnam, qui partage une frontière avec la Chine et se trouve à environ 2000 kilomètres de l’endroit où l’épidémie a été signalée pour la première fois à Wuhan, a enregistré 271 cas confirmés avec 95 guérisons et aucun décès. Oui, aucun décès. entelekheia.fr 6 mai 2020

Désinformation. L'Agence Française de Propagande détient la palme des fake news.

AFP - Il n'y a pas encore de preuves avérées que ce dérivé de la chloroquine (l'hydroxychloroquine) soit efficace pour prévenir ou soigner la maladie de Covid-19, mais les médecins syriens, comme d'autres à travers la planète...

Dans plusieurs pays, certains médecins utilisent les antipaludiques pour traiter les patients, assurant avoir des résultats probants. AFP 8 mai 2020

LVOG - En fait, les trois quart des pays du monde deviennent "plusieurs pays" à l'AFP, et ils n'utilisent pas des antipaludiques, mais un antipaludique spécifique, et n'assurent ou ne jurent rien, ils ont prouvé qu'ils avaient des résultats probants pour avoir soigné des dizaines de milliers de patients qui ont été traités avec cet antipaludique, la chloroquine (l'hydroxychloroquine) associée à un antibiotique.

Totalitarisme et négationisme. Plus on approche de la fin de l'épidémie, et plus la meute enragée des porte-parole de Big Pharma se fait belliqueuse et menaçante.

LVOG - Quel acharnement de la part de médecins qui préfèrent laisser crever des patients plutôt qu'essayer de les soigner ou de les sauver ! Ils signent ainsi leurs crimes.

David Gorski : En promouvant la chloroquine, Raoult a causé des dégâts considérables - lexpress.fr 7 mai 2020

Pour David Gorski, Didier Raoult "colporte sa science grotesquement mauvaise" dans les médias.

Le rédacteur en chef de Science-Based Medicine analyse les dommages causés sur la recherche d'un traitement efficace contre le Covid-19 par les agissements du Pr Raoult pour promouvoir son "remède miracle"

Le Dr David Gorski, rédacteur en chef du site américain Science-Based Medicine, qui défend une médecine basée sur la science et les faits, est chirurgien oncologue à l'institut du cancer Barbara Ann Karmanos et professeur à l'école de médecine de l'université Wayne State, à Detroit (Michigan). L'article dont L'Express vous livre ici la traduction est paru le 27 avril sur Science-Based Medicine.

A la mi-mars, un "médecin franc-tireur" français, Didier Raoult, a sorti une étude en tous points exécrable et peut-être même frauduleuse affirmant que la combinaison HCQ-azithromycine avait le pouvoir d'éliminer le Sras-COV-2, le coronavirus causant le Covid-19. lexpress.fr 7 mai 20

Une étude dénonce l’inefficacité de la chloroquine - 7sur7.be 8 mai 2020

L'administration d'hydroxychloroquine, un médicament contre le paludisme, n'a ni amélioré ni détérioré de manière significative l'état de patients gravement malades du coronavirus, selon une étude publiée jeudi et réalisée dans des hôpitaux new-yorkais.

L'Agence américaine du médicament (FDA) a par ailleurs autorisé en urgence la semaine dernière l'utilisation de l'antiviral expérimental remdesivir. 7sur7.be 8 mai 2020

Un généraliste qui prescrit la chloroquine menacé de sanctions par l’Ordre des médecins - capital.fr 6 mai 2020

En Charente-Maritime, un praticien qui a prescrit de l’hydroxychloroquine en traitement du Covid-19 s’est attiré les foudres de l’antenne locale de l’Ordre des médecins.

En France, contrairement à d’autres pays tels que l’Italie la prescription et la délivrance du Plaquenil par les médecins libéraux et les pharmacies de ville est donc, depuis peu, rigoureusement proscrite en dehors des indications thérapeutiques de l’AMM. Et ce, alors même que le médicament était en vente libre jusqu'à la fin du mois de janvier. capital.fr 6 mai 2020

La chloroquine dézinguée par un ténor de la pharmacologie - capital.fr 4 mai 2020

Le chef de service de pharmacologie médicale du CHU de Bordeaux affirme qu'il n'y a pour l'instant aucune vraie preuve de l'efficacité de la chloroquine contre le coronavirus.

"Pour l'instant, je n'ai pas le début du commencement d'une preuve que c'est efficace". C'est ce qu'il a déclaré dimanche au micro d'Europe 1.

"Il faut savoir s'arrêter le plus vite possible, car on a des dizaines de médicaments qui peuvent être donnés et qui peuvent potentiellement être efficaces contre le Covid-19. Si on pousse plus loin un médicament qui ne marche pas, on a gaspillé de l'argent, de l'énergie, des ressources et mis en danger des patients", explique-t-il en détail. capital.fr 4 mai 2020

Pour imposer la distanciation sociale, ils ont trouvé mieux.

Détecté dans du sperme, le coronavirus serait aussi une MST - sputniknews.com 8 mai 2020

Une équipe de chercheurs chinois a constaté que le sperme de plusieurs personnes ayant contracté le Covid-19 était positif au virus, y compris chez des patients en rémission, écrit l’AFP, se référant à une étude publiée jeudi par la revue scientifique Journal of the American Medical Association. sputniknews.com 8 mai 2020

Sinon, vous avez la version Les envahisseurs pour vous faire peur.

Un ver toxique à tête de marteau venant d'Asie découvert pour la première fois dans la Drôme - sputniknews.com 7 mai 2020

Une espèce de ver toxique en provenance d’Asie, et qui représente par conséquent une menace importante pour la biodiversité française, a été détectée pour la première fois dans la Drôme.

Déjà présent dans les Pyrénées-Orientales, un ver plat à tête de marteau a été signalé pour la première fois près de Montélimar, dans la Drôme, relate Le Dauphiné Libéré.

Déjà présent dans les Pyrénées-Orientales, un ver plat à tête de marteau a été signalé pour la première fois près de Montélimar, dans la Drôme, relate Le Dauphiné Libéré. - sputniknews.com 7 mai 2020

Le Japon se prépare en cas de rencontre avec un ovni - Slate.fr 8 mai 2020

En réaction aux images déclassifiées par le Pentagone. Nous n'avons jamais croisés d'ovni mais nous voulons pouvoir réagir correctement si cela devait arriver. Slate.fr 8 mai 2020

Il y a urgence, le climat refroidit !

Une tempête de neige historique menace la côte est des Etats-Unis - BFMTV 8 mai 2020

Une tempête de neige est attendue sur la côte est des Etats-Unis ce week-end, révèle la chaîne de télévision ABC. Elle pourrait entraîner des chutes de neige historiques pour cette période de l'année.

Les villes de Syracuse, Albany ou encore Scranton pourraient être recouvertes d'un épais manteau blanc. En campagne, on attend jusqu'à 15cm de neige par endroits. Cela établirait un nouveau record pour un mois de mai. Des températures négatives

Les températures vont par ailleurs fortement baisser pendant le week-end. Plus de 50 records de température pourraient être atteints samedi ou dimanche avec un thermomètre affichant jusqu'à 6°C (20°F) de moins que les normales de saison. BFMTV 8 mai 2020

Ceux qui sont à l'origine d'un problème n'ont aucune légitimité pour prétendre le résoudre.

Le dernier film de Michael Moore accuse les énergies renouvelables d’être dans la poche de géants du pétrole - entelekheia.fr 1er mai 2020

Extrait. Le complexe climato-industriel demande la tête du cinéaste Michael Moore après que son dernier film ait mis en lumière l’hypocrisie de l’industrie des « énergies renouvelables », en exposant la relation intime de ses dirigeants avec les croquemitaines des énergies fossiles.

Le documentaire polémique de Moore sur le changement climatique, ‘Planet of the Humans’, réalisé par Jeff Gibbs, a été vu plus de quatre millions de fois sur YouTube en un peu plus d’une semaine. Mais deux jours seulement après la sortie du film, prévue pour la Journée mondiale de la Terre, le cinéaste Josh Fox a porté plainte pour que Moore – qui avait été un de ses « héros » – soit censuré pour cause de désinformation alléguée. Dans une lettre sévère, Fox a exigé non seulement une « rétractation et des excuses » de Moore, mais aussi que le film soit entièrement retiré de la distribution.

Un « who’s-who » de gros bonnets de l’environnement ont suivi, reprochant à Moore d’avoir censément répété « des éléments de langage faussaires de l’industrie des combustibles fossiles, trompant son public sur les énergies renouvelables » et attaquant « d’importants leaders climatiques » ainsi que « des campagnes pour le climat et contre les combustibles fossiles ».

En fait, les critiques se sont retenus in extremis de traiter l’écologiste de longue date de « négationniste du changement climatique », et ont fait de leur mieux pour le décrire comme un agent des ploutocrates mêmes du Big Business dont il expose, dans le film, la présence discrète sous la surface de l’industrie des « énergies renouvelables ».

Le distributeur de documentaires Films for Action a brièvement retiré le film de sa filmothèque en ligne, expliquant qu’il n’avait pas vu le « produit fini » mais qu’il l’avait pris sur la foi de la réputation de Moore – pour ensuite faire marche arrière, en soulignant qu’une censure du film lui donnerait « plus de pouvoir et de portée qu’il n’en mérite ».

Ce qui m’amène aux raisons pour lesquelles Moore a été éreinté par les forces mêmes qui étaient autrefois ses alliés de la gauche.

‘Planet of the Humans’ s’attaque directement au rêve selon lequel les biocarburants, l’énergie solaire et l’énergie éolienne sauveront le monde de l’industrie rapace des combustibles fossiles et, par extension, du changement climatique lui-même. Bien qu’une grande partie du documentaire ait apparemment été filmée il y a des années, ses conclusions restent d’actualité, d’autant plus que les partisans des énergies renouvelables exigent que le crash provoqué par la pandémie devienne l’ « Année Zéro » de la construction d’une nouvelle économie fondée sur les énergies renouvelables.

Moore ne s’écarte pas un seul instant de son orthodoxie sur le changement climatique. Cependant, il n’hésite pas à accuser des noms prestigieux comme Bill McKibben, de 350.org, et le Sierra Club d’être partisans d’une industrie tout aussi destructrice que le pétrole, le charbon et le gaz naturel, et qui exige dans de nombreux cas l’utilisation de ces combustibles « sales » très mal vus pour maintenir la fiction selon laquelle l’énergie « propre » peut soutenir la civilisation.

Le concept de « biomasse », en particulier, se révèle une sale blague, cet euphémisme couvrant le fait que des forêts coupées ras sont présentées comme une source d’énergie « durable » parce que les arbres introduits dans les broyeurs « repousseront ».

Le film affirme exposer la réalité destructrice des sources d’énergie « renouvelables », en soulignant que les panneaux solaires nécessitent du charbon et des terres rares non durables pour être fabriqués – et que les bailleurs de fonds de ces projets sont souvent les mêmes qui ont fait fortune avec le pétrole et le gaz.

Moore note que les redoutables frères Koch [*] ne se contentent pas de construire des centrales solaires, mais qu’ils fabriquent un type spécial de verre utilisé pour les panneaux. Ils sont présents à chaque étape du processus de production de l’énergie solaire, présentée comme une bouée de sauvetage pour l’humanité par un mouvement vert qui insulte ses ennemis en les traitant d’agents de ces mêmes frères Koch. Dans le même temps, d’autres mastodontes du business comme Michael Bloomberg (qui met le gaz naturel dans le même panier que le solaire et l’éolien comme source d’énergie renouvelable) et le magnat du bois Jeremy Grantham sont présentés comme des parrains de projets apparemment écologiques qui, à l’examen, ne font que violer la planète d’une façon nouvelle.

Le plus révélateur est peut-être la demande des critiques de retirer complètement le film de la circulation parce qu’il serait « dangereux ». Même si Moore était un « agent caché des Frères Koch » qui nierait le changement climatique – ce qu’il n’est manifestement pas – il serait loin d’être le seul dans le monde du cinéma en ligne, car de nombreux films correspondant à cette description font le tour du web quotidiennement sans rencontrer d’opposition aussi virulente de la part des têtes de file de l’environnement.

Mais Moore est crédible dans les cercles « verts » et militants, et son exposé a la capacité de couper l’herbe sous le pied des mouvements réputés qui exercent actuellement des pressions sur les institutions et gouvernements pour qu’ils renoncent aux combustibles fossiles et investissent dans les « énergies renouvelables ». Qui descendait dans la rue pour exiger le désinvestissement du pétrole et du gaz, sachant que l’argent investi dans les « énergies renouvelables » retournera dans les poches des profiteurs des combustibles fossiles ?

Il y a d’autres failles dans le film de Moore, bien sûr. Beaucoup ont souligné son apparente focalisation sur ce qu’on appelle par euphémisme le « contrôle de la population » comme seule solution possible au problème du changement climatique. En fait, il existe d’autres moyens – tels que la réduction des activités des plus grands consommateurs de ressources au monde, le complexe militaro-industriel – pour contrôler la consommation humaine desdites ressources.

Mais la plupart des critiques « verts » de Moore ne contestent pas l’idée malthusienne – et naturellement répréhensible – selon laquelle les problèmes de l’humanité ne peuvent être résolus qu’en débarrassant la planète de tous les gens « excédentaires », non plus que les ploutocrates comme Bloomberg et Grantham, dont l’hypocrisie est révélée dans le film.

En effet, les critiques du documentaire et son réalisateur ne divergent que sur la volonté de perpétuer l’illusion confortable selon laquelle on pourrait faire confiance aux personnes mêmes qui ont créé la « crise » du changement climatique pour la résoudre. Ainsi, alors que les critiques peuvent bien tourner Moore en dérision en le traitant d’éco-fasciste, ce sont les sujets de son film qui méritent cette injure.

Qui est le plus dangereux, les entreprises qui suggèrent que la biomasse, les êtres vivants comme les plantes et les animaux, sont un combustible durable sur lequel on pourra compter pour alimenter l’avenir, ou le cinéaste qui souligne leur hypocrisie ? Il vaut mieux laisser le spectateur en décider. entelekheia.fr 1er mai 2020

LVOG - Pour autant, je ne considère pas que la consommation de pétrole, de charbon et de gaz naturel serait à l'origine du réchauffement climatique, qui a démarré bien avant le développement industriel...

Le conformisme est la pire des pandémies, historique!

Eh bien n'y allez pas !

- Aller chez le coiffeur vous coûtera "2 à 5 euros" plus cher à partir du 11 mai - Yahoo 8 mai 2020

Eh bien n'en portez pas !

- Les masques vont coûter cher aux familles - Yahoo 8 mai 2020

Faites tomber les masques.

- Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ? - Futura 6 mai 2020

« Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Autrement dit, le masque n’est pas recommandé pour l’ensemble du public. « Il n’existe aucune preuve que le port d’un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infecté par des virus respiratoires », insiste l’OMS.

Le 12 avril, une étude sud-coréenne concluait à l’inefficacité des masques, y compris chirurgicaux dans la limitation de la transmission, en raison notamment de la taille des particules virales, capables de traverser les masques.

Aucune preuve solide de l’efficacité des masques

« ll n'y a aucune preuve solide que le masque peut réduire la transmission du virus dans la communauté », rejette Ben Killingley, consultant en médecine aiguë et en maladies infectieuses à l'hôpital University College de Londres, interrogé par le Guardian. « Les études sur les masques faciaux n'ont pas été menées pendant une pandémie ou dans le contexte d'un nouveau virus », met en garde le spécialiste. De plus, les tests sont menés en laboratoire, bien loin des conditions réelles de la vie de tous les jours.

Or, selon plusieurs spécialistes, les inconvénients des masques l'emportent largement sur ses bénéfices. « L'utilisation de masques médicaux à grande échelle peut créer un faux sentiment de sécurité, et entraîner la négligence d'autres mesures essentielles, telles que l'hygiène des mains et la distanciation physique », remarque par exemple l'OMS.

En second lieu, la gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage avec leurs mains potentiellement contaminées, ce qui accroît le risque d'attraper le virus. Sans compter les difficultés à respirer au travers de certains masques. De fait, on voit un grand nombre de personnes ayant réclamé des masques à cor et à cris porter les masques... sur le menton. « Je suis allergique au tissu », plaide par exemple Sophie, caissière à Strasbourg. Dernier souci : le masque doit en principe être lavé après chaque usage, ce qui est loin d'être le cas. Futura 6 mai 2020

En totalitarisme toutes les valeurs sont inversées ou elles ne comptent plus.

Nice impose le port du masque dans tout son espace public à compter du 11 mai - AFP 09 mai 2020

Que cela ne tienne, Big Brother va vous surveiller.

- Déconfinement: des caméras détecteront le port du masque à la station Châtelet - BFMTV 8 mai 2020

Ce dispositif fera l'objet d'un test pendant trois mois. Son objectif: estimer le nombre d'usagers respectant l'obligation du port du masque dans les transports et non verbaliser, selon la RATP. BFMTV 8 mai 2020

Ces monstres comptent bien faire durer le plaisir - pour eux - le plus longtemps possible.

- Coronavirus: un déconfinement progressif et encore très encadré - AFP 8 mai 2020

Tout en desserrant l'étau, le gouvernement maintient ou instaure de nombreuses obligations : masques dans les transports en commun sous peine de 135 euros d'amende; attestations exigées de l'employeur pour les déplacements aux heures de pointe dans les transports en Ile-de-France; création d'une nouvelle attestation justifiant d'un "motif professionnel ou familial impérieux" (dont les deuils et l'aide aux personnes vulnérables) pour les voyages à plus de 100 km de son domicile à vol d'oiseau, a précisé le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. AFP 8 mai 2020

La terrible pandémie aura foudroyé la France avec 0,0003% de décès.

- «Désastre» du confinement de Macron: bientôt l’heure des comptes - sputniknews.com 8 mai 2020

Après deux mois de crise sanitaire, quel bilan tirer de la stratégie de l'Élysée? Avec 25.500 morts officiellement recensés, dont une partie pourrait être imputable aux manquements des pouvoirs publics, et une récession inédite, le confinement aura-t-il fait plus de mal que de bien?

Dans l’Hexagone, le Covid-19 a fait jusque-là un peu plus de 25.500 morts, selon les chiffres officiels au 6 mai, soit un taux de mortalité rapporté à la population française de 0,0003%, seul chiffre incontestable, faute de tests en nombre suffisant. Le jeu en valait-il la chandelle? Non, selon Jean-Dominique Michel, expert en santé publique et auteur d’un brûlot publié le 29 avril dernier, COVID-19: anatomie d’une crise sanitaire. «Oui je parle de désastre», a-t-il déploré à l’antenne de CNews.

De fait, dans le bilan français, les personnes âgées comptent pour la moitié des décès, soit près de 12.800 personnes.

Les seniors auraient-ils été mieux protégés par un confinement ciblé que le bilan du Covid-19 en France aurait sans doute été beaucoup moins lourd. Parlant de bilan dans les hôpitaux comme dans les Ehpad et maisons de retraite privées, difficile aussi de savoir ce qui, du coronavirus ou des autres facteurs de morbidité, a réellement causé la mort de nombre de patients durant l’épidémie.

«Il faut d’abord avoir en tête quelques ordres de grandeur: en France, le nombre de décès annuel est de 600.000, soit 1.650 en moyenne par jour; on meurt plus souvent en hiver qu’à la belle saison et le nombre de décès journaliers est en général compris entre 1.500 en été et 1.800 en hiver, mais il peut dépasser 2.000 lors des pics de grippe saisonnière (comme en janvier 2017, avec 2.200 décès par jour en moyenne).»

Le suivi annuel de la mortalité permet d’affirmer que la grippe tue en moyenne chaque année en France, explique l’INSEE, 10.000 personnes, souvent âgées. 8.000 environ en 2019, 13.000 en 2018, 14.500 en 2017.

Un bilan, en tout état de cause, bien inférieur à celui annoncé pour le SARS-CoV-2, qui ne prend même pas en compte les morts à domicile, jusque-là passées sous les radars. Pourtant, le doute persiste, à tort ou à raison, sur l’ampleur de la mortalité avec ses effets délétères sur l’opinion.

Malgré un recours massif au chômage partiel, qui concerne désormais 12,1 millions de salariés et près d’un million d’entreprises, l’économie française s’est retrouvée au premier trimestre en situation de destruction nette d’emplois pour la première fois depuis 2015. Selon une première estimation publiée par l’INSEE, un total de 453.800 destructions nettes d’emplois salariés dans le secteur privé a été recensé sur la période janvier-mars, contre 88.800 créations nettes sur les trois derniers mois de 2019.

L’empressement du gouvernement durant la semaine écoulée à relancer l’activité économique l’indique: le plus grand danger, y compris dans sa dimension sanitaire, c’est sans doute l’effondrement économique. - sputniknews.com 8 mai 2020

L'heure des comptes pour Mélenchon aussi.

- Déconfinement : Mélenchon prédit que «la situation va se dégrader» à partir du 11 mai - LeFigaro.fr 8 mai 2020

L'Afrique ne doit pas échapper au chaos selon leur stratégie eugéniste et totalitaire

- Peut-on envisager une Afrique sans catastrophe? - Slate.fr 8 mai 2020

Dans leurs articles sur la pandémie de Covid-19, les médias préfèrent évoquer le futur hypothétiquement horrible du continent que de commenter un présent objectivement encourageant.

«L'Afrique, bombe à retardement», «Une catastrophe redoutée», «L'Afrique en première ligne» , «L'évolution "dramatique" de la pandémie dans un continent mal armé»... Les titres alarmistes s'enchaînent jour après jour. Depuis le début de l'épidémie de Covid-19, à chaque fois que les regards se tournent vers le continent africain, c'est pour annoncer l'inéluctable catastrophe qui semble sceller son sort.

À ce jour, le continent est de loin le moins touché au monde et pourtant, c'est celui sur lequel on projette les plus funestes prédictions. Nos médias semblent compter les jours restant avant que l'effondrement de l'Afrique ne soit officiellement prononcé.

En dépit de la réalité objective, il semble impossible de ne pas associer l'Afrique au chaos.

Un article de Nasir Javaid, Fazal Jamil and Muhammad Salar Khan, traduit par Courrier international, rappelle que le virus frappe plus durement les personnes âgées, proportionnellement moins nombreuses en Afrique, où les moins de 25 ans «représentent au contraire 60% de la population».

Les auteurs évoquent également la faible densité sur l'ensemble du continent, qui limiterait la propagation du Covid-19, ainsi que des aéroports faiblement fréquentés par des vols en provenance d'autres continents, ce qui aurait freiné son importation.

Ainsi les métropoles africaines, toujours présentées comme des terres quasi sauvages et peu organisées, semblent-elles résister là où New York, symbole de notre monde prétendument moderne, s'est révélée impuissante à contenir l'épidémie –au point de devenir la ville de la planète la plus cruellement touchée par le Covid-19.

Même quand les catastrophes n'ont pas lieu, elles sont annoncées, comme la destinée fatidique d'un continent condamné à l'horreur. Comment des puissances du monde entier pourraient-elles être en proie à une telle calamité sans que l'Afrique ne soit frappée?

Un cataclysme qui survient en Afrique, c'est vraisemblablement l'ordre des choses imprimé dans l'inconscient collectif, et si cela n'arrive pas tout de suite, on ne peut s'empêcher d'imaginer que cela doit arriver. Inexorablement. Slate.fr 8 mai 2020

Un sabotage au regard des conclusions attendus, mais soyons prudent, ils osent tout.

Essai clinique Discovery: nouveau fiasco européen face au Covid - sputniknews.com 7 mai 2020

Les essais cliniques Discovery, basés sur la coopération européenne, ont tourné à la déconfiture. Retards en série, complications bureaucratiques, désintérêt de certains pays, hormis les 740 patients français, un seul Luxembourgeois participe depuis une semaine à cette étude, qui met en lumière l’incapacité des Européens à travailler de concert.

Ses premiers résultats étaient attendus pour début avril, comme l’annonçait sur France Info, dès la fin mars, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Ce sera finalement le 14 mai, a assuré Emmanuel Macron lors d’un point presse à l’Élysée le 4 mai dernier. «Une étape importante», a déclaré le Président qui, en même temps, a tenu à se montrer prudent en précisant que pour l’heure, «on n’a rien de concluant».

Et pour cause, si depuis plusieurs semaines, différents accrocs à l’avancée de l’étude ont paru dans la presse, comme les retards pris suite au manque de volontaires pour tester les traitements expérimentaux autres que l’Hydroxychloroquine (l’un des quatre traitements attribués aléatoirement aux patients, avant que ceux-ci et leur médecin ne soient informés sur la thérapie reçue), ou ceux pris dans la délivrance des antiviraux à des centres hospitaliers participant aux essais, on apprend que seul le Luxembourg a jusqu’ici collaboré à cette étude européenne.

S’il s’agissait bien sûr de trouver un remède à l’épidémie meurtrière, Discovery a surtout été présenté comme la réponse aux espoirs et craintes suscitées par l’Hydroxychloroquine.

Associé à un antibiotique, l’Azithromycine, cet antipaludique constitue en effet le traitement préconisé par le professeur Didier Raoult. Si le chef de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) affirme l’efficacité de son protocole pour les malades pris à un stade précoce, ses détracteurs lui reprochent de ne pas avoir suivi les protocoles standard d’essais cliniques.

Au moment du lancement de Discovery, la polémique faisait rage, alimentée par la saisie des stocks d’Hydroxychloroquine des pharmacies et l’interdiction pour les médecins de ville d’en prescrire sous prétexte de potentiels effets secondaires pour les personnes cardiaques. De plus, les révélations sur de possibles conflits d’intérêts touchant certains détracteurs du professeur ont ajouté à la controverse.

Pourtant, l’Hydroxychloroquine ne sera intégrée qu’in extremis à des tests qui ne concernaient à la base que le Remdesivir (un antiviral conçu pour Ebola), le Lopinavir en combinaison avec le Ritonavir (un médicament contre le VIH appelé Kaletra). De plus, l’antipaludique figure dans Discovery sans l’Azithromycine et pour les malades les plus gravement atteints: on est loin des préconisations de l’infectiologue marseillais.

Autant de facteurs qui ont fait planer le doute sur la réelle volonté de l’étude promue par l’INSERM de tester le traitement préconisé par le professeur Raoult. Il est en effet de notoriété publique que le président de l’institut est brouillé avec le ponte marseillais. Ajoutez à cela une série de retards et d’échecs potentiellement imputables à la volonté d’avoir voulu jouer à tout prix la carte de la coopération européenne et les ingrédients d'un scandale pourraient bien se retrouver réunis. sputniknews.com 7 mai 2020

Une contribution politique

LVOG - Je ne partage pas bien des passages de cet article, et je n'ai pas le temps de le décrypter.

Si on n'a pas un pouvoir centralisé, un Etat pour affronter les firmes transnationales, on ne pourra jamais les vaincre. Elles disposent d'une richesse qui leur permet tout, et je crois que c'est ce qu'on n'a pas encore suffisamment assimilé. Si on n'en prend pas conscience très rapidement, elles vont devenir les maîtres du monde. Cela mérite qu'on y réfléchisse, non ?

Le danger est prégnant, la menace soutenue, le harcèlement permanent pour façonner votre cerveau et votre comportement, ils dépensent sans compter pour y arriver, ils sont absolument déterminés à nous imposer leur modèle totalitaire de société. Si nous ne sommes pas aussi déterminés qu'eux pour les affronter et les vaincre, vous devinez qui va remporter cette guerre. Ce ne sera peut-être pas la dernière, mais cela aurait été la dernière qu'on pouvait encore espérer gagner, car après cela deviendra totalement inenvisageable. Ne pas le comprendre relève de la mauvaise foi ou de l'ignorance qui serait fatale à la civilisation humaine.

S'ils parvenaient à nous implanter un traceur à l'occasion d'une vaccination obligatoire, la civilisation humaine cesserait d'exister à l'instant même et vous pourriez dire adieu définitivement au socialisme. Donc, douter, tergiverser, hésiter à engager le combat politique pour renverser leur régime totalitaire serait faire preuve d'une insouciance suicidaire ou criminelle.

- Penser l’après déconfinement par Jean-Yves Jézéquel - Mondialisation.ca, 08 mai 2020

La question de la peur et la moralisation

À cinq jours du 11 mai, Odoxa a réalisé un sondage pour Le Figaro et Franceinfo. Dans les détails, les Français sont à 65 %, pour le déconfinement, contre 35 % qui affirment vouloir rester dans le confinement révélant une angoisse qui a été alimentée par des opérations de communication sans doute volontairement désastreuses et les mesures contradictoires, donc hautement anxiogènes, qui ont été prises effectivement par le gouvernement tout au long d’une gestion assez (ou volontairement) chaotique de la crise.

Inutile de préciser que les partisans du confinement prolongé ne peuvent être que ceux qui ont les moyens de se le payer !

Un célèbre journaliste, « bien avisé » s’exprimait le jeudi 7 mai sur une chaîne d’infos continues CNews, en disant aux Français brutalisés par cette opération de confinement : en prime, « vous allez devoir travailler plus et gagner moins » ; « travailler aussi le dimanche » ; « vous allez devoir subir un colossal appauvrissement » ; « tout le monde va s’appauvrir » ; « vous allez perdre les RTT », vous allez devoir « sacrifier vos congés payés » ; vous allez entrer dans une « régression spectaculaire », « nous allons retourner au 19ème siècle » ; « c’est une évidence, c’est absolument certain et inévitable… »

On se demande sur quelle planète vivent ces « élites » de la classe qui se pense toujours « supérieure » et associée à celle de « l’aristocratie stato-financière » (les riches et les très riches), celle de la petite bourgeoisie ayant fait des hautes études ! C’est un abîme sidérant qui sépare ces deux premières classes des deux autres majoritaires en France, (selon la classification d’Emmanuel Todd), celle qui est faite des 65% de Français du sondage ayant l’obligation de retourner au travail.

Qui peut sérieusement penser aujourd’hui, sans délirer, que les revendications sociales acharnées depuis novembre 2018 jusqu’à la veille de la pandémie, auraient été effacées purement et simplement de la mémoire politique du peuple Français : tout cela n’aurait jamais existé, cette lutte inflexible se serait évanouie soudain dans les oubliettes de l’histoire à cause d’un coronavirus et les Français, comme un troupeau de moutons bêlant, se précipiteraient têtes baissées dans un sacrifice collectif suicidaire pour « sauver le système capitaliste ultra libéral », les entreprises du CAC 40 qui détournent des milliards de l’impôt annuel et la mafia bancaire? Qui sont donc ces gens délirants qui pensent « sincèrement » une telle absurdité ?

Ce célèbre journaliste et expert de la société française, « élite » du politiquement correct et de la pensée unique ne pouvait pas en démordre de sa « croyance » et récitait son « credo » en croyant rappeler à « ceux qui ne sont rien », « toute la vérité et rien que la vérité » !

Le capitalisme ultra libéral sur la sellette

On le voit, il n’est même pas question pour les « élites » de la classe se pensant toujours « supérieure » d’imaginer que les ressources des personnes ne doivent plus dépendre de l’aléa de leur activité et que seul le salaire lié à la personne permet de sortir de la forme capitaliste de la rémunération liée à des activités aléatoires.

Tout en tenant ce discours moralisant sur « l’évidence » d’un sacrifice collectif obligatoire des classes de travailleurs, on se garde bien de dire que les effets désastreux de la crise présente doivent être mis au compte du capitalisme ultra libéral qui a généré les conditions favorables et nécessaires à la possibilité même de la pandémie du coronavirus et à ses effets destructeurs …

Il est clair que la mondialisation a été le vecteur principal de la pandémie et que les délocalisations massives, provoquées par la logique capitaliste de l’ultra libéralisme, ont fortement contribué à la déroute colossale qui a été observée dans l’absence de réactivité pour la lutte contre la pandémie sur le territoire !

Il n’est même pas fait allusion ici à ce système ultra libéral qui a été à l’origine du démantèlement de toute l’organisation sanitaire en France, comme dans tous les pays de l’UE qui avaient du mal à respecter la règle de Maastricht sur la limite des 3% de déficit du PIB à ne pas dépasser… L’origine du malheur qui nous a durement frappés aujourd’hui, se trouve bien dans le capitalisme ultra libéral ne raisonnant qu’en termes de profit et ayant arbitrairement imposé ses règles avec la création de la monnaie unique euro.

Certes, la santé n’est pas un domaine compatible avec le rentable, le profit, la logique de cette société européenne qui est dirigée par des gestionnaires, des comptables et des banquiers et leurs fondés de pouvoir dans les Gouvernements des Nations ! Pour eux, l’humain d’abord est anachronique et c’est à cette occasion que chacun a pu constater le genre de résultat que cette logique absurde pouvait donner !

Pourtant, il est certain, et on l’a déjà entendu, que les chantres de cette erreur de civilisation vont continuer dans les médias inféodés à s’égosiller sur leurs certitudes, incapables de se remettre en question. Des « gestionnaires » de la fonction publique ont répété que les plans déjà engagés pour la suppression d’hôpitaux, ainsi que de places d’accueil dans des structures de santé, seraient poursuivis, dès la fin de la crise ! La leçon présente donnée aux « comptables » de l’Etat jacobin, n’a toujours pas été comprise par la vision bornée qu’impose en soi une conception jacobine étatiste de la fonction publique en France. A ce sujet, des collectifs de médecins ont dénoncé l’extrême pesanteur de multiples structures inutiles, comme les ARS, qui ont été des obstacles majeurs à la mission de soins du corps médical dans son ensemble et à sa réussite.

A l’heure des bilans de la situation, des conclusions à tirer de cette expérience inédite, les médecins comptent bien reprendre la main en ce qui concerne les questions sanitaires relevant de leur compétence et de leur responsabilité, et renvoyer toutes ces structures administratives de flicage et de répression, n’ayant rien à y faire, hors du domaine de la santé publique. Car la santé ne doit pas être dirigée par des gestionnaires et des comptables qui servent des causes incompatibles avec les intérêts humains prioritaires de ce secteur. Les impératifs de la vie passent avant toute considération économico-financière !

La précarité massive

Nous devons maintenant réaliser qu’il y a aussi environ un million de Français qui vont se retrouver d’office à la rue, compte tenu du désastre économique qui s’annonce. Le Régime Macron y a-t-il pensé et qu’a-t-il prévu en la matière ? Nous n’avons aucun élément de réponse à ce jour, pas même après la nouvelle intervention publique des ministres le jeudi 7 mai à 16h00 … A la limite, on pourrait penser que cet effet négatif collatéral du « confinement » était précisément attendu ?!

Nous allons dépasser très largement les 10 millions de précaires absolus en France, qui ne mangeront pas à leur faim et cela en 2020, une situation qui est contraire aux normes du progrès se révélant être un fiasco total. Cela n’empêche pas à l’arrogance journalistique de continuer à vomir son discours méprisant sur la classe de ceux « qui ne sont rien » !

La société capitaliste ultra libérale a démontré sa faiblesse totale et son incapacité à garantir le droit à une vie décente aux individus de la société qu’elle a prétendu organiser au nom de ses principes déclarés « les plus performants » de tous les systèmes connus dans l’histoire de l’humanité.

En revanche, le seul élément que nous avons pour expliquer la réalité d’une telle régression s’étant avérée possible – alors que nos moyens n’ont jamais été aussi forts, techniquement, scientifiquement, sur le plan de la connaissance et de l’expérience comme sur le plan financier – c’est une perversion du système en soi, celui dans lequel on se trouve : le système capitaliste ultra libéral. C’est lui qu’il faut pointer du doigt, car tout nous renvoie résolument à cette plaie…

Pourquoi l’aristocratie stato-financière fait la guerre à ce qui est bon pour le peuple ?

Nous savons aujourd’hui que les propositions faites par le Pr. Didier Raoult nous protègeraient effectivement de la menace Covid-19. Pourtant, le Régime Macron au pouvoir interdit farouchement la prescription du protocole par les médecins ; le traitement n’est toujours pas autorisé « officiellement » dans les hôpitaux. Tout est fait pour barrer la route à cette bithérapie bon marché mise au point par le Pr. Raoult et qui a plus que largement démontré sa pertinence comme son innocuité. Nous le savons déjà : les brillants essais « randomisés » européens, « Discovery », conduits par l’INSERM, sont un échec absolu et l’expression d’une « bérézina » technocratique, concernant d’ailleurs tout ce qui provient des initiatives habituelles contre productives de l’UE. L’Union Européenne est le terrain de chasse privé des lobbies de tout genre, y compris du lobby pharmaceutique. Cette falsification permanente sous-jacente du mensonge européen annonçait déjà l’issue fatale de cette étude vouée a priori à l’échec !

Je renvoie ici le lecteur à l’excellent article de Jean Dominique Michel, un anthropologue et spécialiste de la santé publique, expert Genevois de renommée internationale, publié le 18 mars 2020. Ce qu’il analysait déjà à cette période de la crise se révèle aujourd’hui être parfaitement exact et tout à fait éclairant. (Cf., Covid-19 : fin de partie ?! : Anthropo-logiques 18/03/2020, les Blogs, en partenariat avec la Tribune de Genève)

En réalité, l’immense majorité du monde médical en France a bel et bien utilisé le protocole du Pr. Raoult, comme le déclarait clairement un médecin sur le plateau de Cnews, le jeudi 7 mai 2020 à 11h45, ajoutant que la colère des médecins était grande en France, compte tenu que les « autorités sanitaires » les avaient implicitement empêchés de respecter leur serment d’Hippocrate. Les grandes unités hospitalières ont également utilisé le protocole Raoult, tout en le cachant ou en le niant, pour éviter les problèmes avec les instances administratives qui ont fait preuve, encore une fois, de leur complète inutilité.

La classe dirigeante n’est pas au service des intérêts du bien commun, mais au service du Capital.

Décoloniser les Provinces

On l’aura retenu et on s’en souviendra pour longtemps : non seulement toutes ces instances d’un étatisme ringard jacobin sont inutiles, mais plus encore, elles sont un obstacle aux intérêts du bien commun. Il est plus que temps de « décoloniser les Provinces » (CF., Michel Onfray)

Cet épisode du fiasco absolu de la gestion de la crise Covid-19, pour le peuple, doit être rattaché en grande partie à cette maladie jacobine qu’est, en soi, la mentalité infantilisante qu’elle génère, et qui se traduit par les tracasseries administratives dominant sans cesse la réalité sur le terrain et lui mettant en permanence des « bâtons dans les roues » pour ce même motif, celui d’un pouvoir qui ne veut pas entendre parler de démocratie, d’indépendance des régions, de responsabilité des élus locaux, de gouvernement par le peuple et du service d’un Etat obéissant à la souveraineté constitutionnelle du peuple…

C’est là une des premières conclusions à tirer de l’expérience malheureuse de la pandémie COVID-19 de 2020 : l’évidence pratique d’en venir à une « décolonisation des Provinces »…

Lorsqu’on a enfin laissé plus d’initiatives aux responsables locaux, on a vu la situation s’améliorer considérablement. Là où on a vu des entreprises relocaliser leur activité industrielle, prenant en main le relais d’une déficience avérée des moyens de l’Etat, les communautés locales s’en sont mieux sorties et ont solutionné les problèmes qui se posaient. Lorsque l’Etat jacobin s’est retiré, faute de ne pouvoir assurer le succès de sa prétention républicaine centralisée, l’ordre et la sécurité, le bon déroulement du confinement, sont revenus dans les communes à l’initiative des élus locaux mais aussi des citoyens eux-mêmes qui ont compris qu’ils devaient se débrouiller localement pour la gestion de cette crise qui les concernait.

Les médecins nous ont ouvert la voie en désobéissant massivement et collectivement aux directives des « autorités jacobines de la santé publique » et en prenant leurs responsabilités sans attendre une « permission » d’un système qui s’est révélé à cette occasion incapable d’être à la hauteur de sa mission…

Nous venons de vivre en direct l’expérience qui démontre que nous n’avons pas besoin d’un Etat, jacobin ou non, pour nous gouverner.

Car, en réalité, nous n’avons pas besoin de gouvernance. Les humains ne sont pas obligatoirement des pervers et des loups pour leurs frères en humanité. Ils peuvent s’organiser sans avoir besoin d’un Pouvoir qui les conduise à l’image du troupeau de moutons que l’on peut tondre ainsi à souhait ou conduire à l’abattoir ! Chaque citoyen responsable peut animer la vie commune par sa responsabilité et c’est cela le fondement de la légitimité d’une « gouvernance participative », la démocratie.

Le pouvoir n’est même plus entre les mains de gens identifiables et identifiés, ceux que l’on voyait auparavant imprimés sur les billets de banque, désormais ce sont des bâtiments, des ponts, des constructions architecturales qui sont imprimés sur les euros, car le Pouvoir est désormais dans les infrastructures de ce monde et de ce fait il est devenu invisible. Les politiques, ces « élus » de la comédie politicienne, sont donc là pour un leurre, celui de la distraction et de la diversion, car ce ne sont pas eux qui exercent le vrai pouvoir sur nous les citoyens dépouillés de notre souveraineté depuis longtemps morte et enterrée. Le Pouvoir n’est plus dans les Institutions, il est dans l’organisation même de ce monde. Ce Pouvoir invisible n’a donc rien de secret (rien de la conspiration) puisque nous savons qui il est et où il est : dans l’organisation elle-même de ce monde modelé par une idéologie qui transcende les esprits devenus incapables de s’émanciper de son emprise s’exerçant sur eux grâce à son « invisibilité »…

C’est pour cela qu’un peuple peut se passer parfaitement d’un gouvernement, puisque le gouvernement est dans l’organisation du monde lui-même. Le gouvernement n’est plus dans le Gouvernement même représentatif ! L’Etat jacobin se terre dans l’architecture de la société elle-même : c’est à travers elle qu’il exerce sa tyrannie. Dès qu’un mouvement de révolte ou un comportement émancipé, (comme celui qui consisterait à se promener seul sur une plage déserte lors du confinement décrété par l’Etat jacobin), s’attaque au cadre ainsi défini de la vie quotidienne, cette infraction devient un sacrilège provoquant des cris et protestations de la bien-pensance. Le Pouvoir est dans l’organisation elle-même de ce monde. S’attaquer à cette organisation c’est donc s’attaquer au Pouvoir lui-même. Le Pouvoir s’est fondu dans le décor et respecter ce décor, comme étant quasi sacré, veut dire respecter ce Pouvoir que l’on condamne, que l’on rejette, auquel nous n’accordons aucune légitimité, parce qu’il n’est pas la vie, mais l’enfermement de la vie et sa mise à mort symbolique en l’identifiant avec l’objet qui en soi est froid, vide de ce sens et de la conscience quant à elle capable en soi de surconscience et de sacralisation… Voilà la raison réelle, hors motivation sanitaire, de cet acharnement à châtier les promeneurs solitaires dans les forêts des Vosges ou sur les plages « abandonnées » de France !

La responsabilité citoyenne c’est d’abord une capacité à l’auto-organisation de la vie commune qui de ce fait ravage les infrastructures du Pouvoir descendu dans les formes. Cette capacité à l’auto-organisation provoque un blocage du Pouvoir, car celui-ci est dans l’organisation de ce monde. Si je vais dans l’auto-organisation je sors de l’organisation, je m’en émancipe et le Pouvoir se retrouve sans pouvoir, d’où cet acharnement à réprimer des gestes qui ne menaçaient en rien les motifs sanitaires faussement implorés.

Si nous créons une auto-organisation généralisée de la Nation, nous évacuons purement et simplement la nature même du Pouvoir, comme si nous tirions la chasse des WC de la dépendance après s’en être débarrassée pour notre aisance.

Cette expérience du coronavirus nous donne l’occasion de nous auto-organiser en toute indépendance, abolissant le lien matériel au Pouvoir et le lien politique qu’il crée de cette manière à nos dépens. Nous ne devrions pas craindre la pénurie si nous savons nous auto-organiser dans la solidarité et l’échange des compétences. Il s’agit de sortir d’une situation de survie pour aller vers une situation de vie. Il nous est possible de sortir et de mettre en place un nouveau rapport au monde, non marchandisé, mais en « communaux collaboratifs » auto-organisés et indépendants de tout pouvoir oppresseur et exploiteur.

La police cybernétique

L’aristocratie stato-financière poursuit, sans le dire, son projet associé aux « brigades » qu’il a toujours l’intention de lâcher sur tout le territoire. Puisque le Pouvoir veut conduire la conduite des personnes, dépouillées de leur souveraineté citoyenne, il suffit pour lui d’installer ce contrôle par le traitement algorithmique des informations disponibles sur elles, sans avoir besoin de faire confiance, la confiance étant remplacée systématiquement par la surveillance. Ce gouvernement que l’on peut nommer « cybernétique », prépare la catastrophe assurée, puisque sa finalité est d’abord d’empêcher toute contestation, tout esprit critique ou divergent, en s’appuyant sur le merveilleux prétexte de veiller sur la santé et la sécurité de tous, pour créer perpétuellement un contrôle des systèmes par la circulation obligatoire des informations sur soi-même, faisant définitivement abstraction d’un droit de la protection naturelle de ses données et de leur confidentialité…

Ce système cybernétique qui se met en place silencieusement mais sûrement, soigne les apparences en nous laissant croire que nous pouvons toujours communiquer librement entre nous, mais le projet ouvertement affiché c’est de « réinventer les systèmes sociaux dans un cadre rigoureusement contrôlé » (Déclaration d’un expert du MIT).

La police cybernétique prévoit d’agir directement sur le virtuel afin de structurer les possibles. Prochainement, ceux qui refuseront d’utiliser Google, Amazon, Facebook, Apple, ou d’autres systèmes concoctés pour l’occasion, seront traités en suspects, déviants, divergents, voire même « terroristes » potentiels.

Tous ceux qui refuseront d’avoir un profil virtuel, un smartphone ou un contact habituel avec des systèmes de données online, seront suspectés d’avoir quelque chose à cacher et donc susceptibles d’enfreindre la loi ! La mesure « antiterroriste » consistera alors à créer un fichier des « gens cachés ». Si vous n’avez aucun profil sur un réseau social, cela entraînera ipso facto des fouilles approfondies lorsque, par malheur, vous vous présenterez dans un aéroport. Cela pourrait même aller jusqu’à vous interdire carrément de voyager, d’entrer dans un magasin, de réaliser toutes sortes de paiements, d’acheter de la nourriture, s’il est démontré que vous n’avez pas été pucé ou vacciné !

La liberté et la surveillance relèvent au final du même paradigme de la gouvernance par l’organisation du système. Pour nous, actuellement, dans ce monde qui est le nôtre, il n’y a de liberté que surveillée.

En réalité, il n’y a personne ni rien à organiser, nous sommes nous-mêmes la force qui grandit de l’intérieur, qui s’organise elle-même et se développe de l’intérieur. La répression policière tente toujours de séparer les « gouvernés » de leur puissance politique à agir, en isolant ceux qu’elle qualifie de « violents », alors que l’agir politique est en soi une violence faite au système qui veut l’inaction, la sidération, la pétrification des individus et leur silence accompli. C’est là la stratégie de la peur qui est effectivement présente depuis le début de la pandémie.

Chaque fois que la répression tombera sur l’un d’entre nous, qu’il sache que le système cherche simplement à le séparer du reste des hommes afin de pouvoir le ficher dans une identité politique même fictive, mais lui permettant par la suite de l’éliminer sans chercher à rien comprendre de ses motivations légitimes.

S’organiser serait donc trouver des gens qui travaillent ensemble, qui s’entendent sur les projets de vie, qui apprennent à se connaître honnêtement, qui recruteront d’autres personnes ayant les mêmes motivations, qui formeront des réseaux de connivences, qui créeront une nouvelle société émancipée du monde orwellien de la surveillance et du dressage.

Aujourd’hui, le Pouvoir a peur de voir les citoyens habiter un territoire et d’assumer sa configuration située du monde, une façon d’y vivre et d’y demeurer, des valeurs, des vérités, et à partir de cela entrer en conflit ou en complémentarité avec les autres entités sociales du monde.

C’est notre organisation quotidienne dans la complémentarité qui nous fait découvrir que l’État est inutile, que le gouvernement est superflu, que sans lui la coopération devient aussitôt naturelle.

Les communaux collaboratifs c’est la promesse faite entre des personnes de se tenir ensemble, se jurant assistance ; c’est s’engager à se soucier les uns des autres et à se défendre contre tout oppresseur. Une commune c’est un serment commun. Le communal collaboratif c’est le serment de se confronter ensemble au monde. C’est compter sur ses propres forces communes pour s’assurer la liberté, l’égalité et la fraternité. Il s’agit d’une qualité de lien et une façon d’être dans le monde. La commune de Paris en 1871 c’était cela : des gens qui ont consenti à se lier les uns aux autres.

(LVOG - Liaison qui ne peut être établie que sur une base de classe ou qui doit exclure impérativement les capitalistes et leurs représentants. Cette condition vaut pour les autres sujets abordés dans cet article. Sans rupture avec le capitaliste, tout ce qui peut être préconisé avec les meilleures intentions du monde ne peut que servir les desseins du régime en place. Autrement dit, sans conscience de classe, on ne peut que sombrer dans l'opportunisme. - LVOG)

La situation actuelle d’un grand nombre va entraîner un retour massif de l’économie sociale et solidaire. En fait, la guerre de tous contre tous n’est pas ce qui vient quand l’État n’est plus là, mais c’est ce qu’il organise habilement tant qu’il existe. Mondialisation.ca, 08 mai 2020

LVOG - Ce que nous propose l'auteur de cet article, c'est une sorte d'autogestion revisitée aux relents de collaboration de classes et de féodalisme enveloppée dans un gilet jaune. Lors de chaque crise, il y en a toujours pour nous rejouer ce tour d'illusionniste, il s'inscrit dans la même logique idéologique archaïque et dévastatrice, réactionnaire, que les concepts de décroissance ou de démondialisation, utopie chères aux écologistes et aux néostaliniens ou à une partie de l'extrême gauche (NPA notamment.

Mise en garde.

Quand ils font référence à la Commune de 1871, ce n'est pas parce que ce serait des révolutionnaires ou des opposants au capitalisme, puisqu'à cette époque il n'était pas suffisamment développé pour permettre à une révolution socialiste de l'emporter ou pour passer à un mode de production supérieur. Donc, le modèle de société qu'ils préconisent, renvoie à un stade du développement des forces productives et de la lutte des classes antérieurs à celui qui a permis à la civilisation humaine de réaliser d'importants progrès sociaux. Et ce n'est certainement pas un hasard si ce que préconise monsieur Jézéquel coïncide avec le stade de sous-développement auquel l'oligarchie et les adeptes de Green New Deal voudraient nous renvoyer. En dernière analyse, à qui et à quoi sert ce type de discours, on vient de vous fournir la réponse.

Confirmation. L'Etat profond ou le sommet de l'oligarchie dispose des moyens financiers pour mener tout type de machination criminelle dans le monde. La preuve.

- Venezuela: L'opposition a négocié avec une firme pour chasser Maduro - Reuters 8 mai 2020

Des membres de l'opposition vénézuélienne ont négocié en octobre dernier un accord de 213 millions de dollars avec une petite société de sécurité de Floride pour qu'elle mène une opération dans le pays afin de chasser du pouvoir le président Nicolas Maduro, selon un document publié jeudi par le Washington Post.

Les autorités vénézuéliennes ont arrêté durant la semaine écoulée plus d'une dizaine de personnes, dont deux ressortissants américains travaillant pour la société de sécurité Silvercorp USA, qu'elles accusent d'une opération d'incursion destinée à faire chuter Nicolas Maduro.

Des images diffusées par la télévision publique vénézuélienne montrent les deux détenus américains déclarer qu'ils ont été chargés par Silvercorp de prendre le contrôle de l'aéroport de la capitale Caracas dans le but d'y exfiltrer Maduro.

Le document de 42 pages publié par le Washington Post, dont Reuters n'a pas pu vérifier dans l'immédiat l'authenticité, détaille de nombreux éléments tactiques - notamment le matériel militaire à utiliser - mais n'offre aucune explication sur la manière dont un petit commando peut venir à bout de centaines de milliers de membres des forces de sécurité loyales à Maduro.

D'après le journal, les termes généraux de l'"accord de service" ont été rédigés par le directeur de Silvercorp, Jordan Goudreau, qui avait publiquement reconnu avoir organisé l'opération. Les éléments détaillés ont été fournis par l'opposition vénézuélienne, précise le Post.

Sur le document figurent les signatures de Juan Guaido, de l'un de ses conseillers, Juan Rendon, et d'un élu de l'opposition vénézuélienne, Sergio Vergara, en plus de celle de Jordan Goudreau.

S'exprimant sur la chaîne CNN, Rendon a déclaré avoir signé un "accord exploratoire" avec Silvercorp mais que celui-ci n'a jamais été conclu. Il a ajouté que la firme de sécurité avait mené une opération "suicide" dans le soutien de Guaido. Reuters 8 mai 2020


Le 12 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Voilà une misérable mystification qui aura marché du tonnerre de dieu grâce à la servilité de nos dirigeants. Nous saurons nous en souvenir, ils peuvent compter sur nous...

Autrefois les dirigeants du mouvement ne furent pas seulement de brillants ou profonds penseurs, ce furent des militants doués d'un courage extraordinaire qui sacrifièrent leur vie pour notre cause, ne concédant aucune concession aux représentants des régimes qu'ils combattaient, ce qui leur valut d'être traqués, emprisonnés, conduits à l'exil ou d'être assassinés.

La plupart vécurent dans la précarité, la pauvreté ou au bord de la misère sans jamais se plaindre de leur condition, qu'ils considéraient comme le juste prix à payer au regard des souffrances qu'endurait le prolétariat mondial. Tout cela contribua à former des dirigeants ou des hommes d'une qualité exceptionnelle, pas seulement sur le plan politique, mais humain aussi, doués d'une détermination sans faille, d'une volonté de fer, d'une morale irréprochable, qui aujourd'hui font honte aux dirigeants qui s'en réclament ainsi que du socialisme.

Tout le monde ou presque s'interrogeait sur l'état d'esprit des masses ou leur niveau de conscience politique, et bien maintenant au moins vous savez à quoi vous en tenir, et ce n'est guère rassurant ou encourageant pour la suite. Il a suffit qu'un tyran claque des doigts pour que tous ses sujets se mettent au garde-à-vous sans broncher à commencer par leurs chefs.

Ici on préfère causer de la réalité, de la vie, à la légère, à la bonne franquette entre camarades ou amis inconnus, en prenant parfois un air décontracté histoire de pouvoir placer ce qu'on avait envie de dire qui pouvait choquer, il n'en demeure pas moins, qu'on traite chaque sujet le plus sérieusement du monde sans jamais porter le moindre masque.

On ne partage pas des émotions ou des opinions, on ne cherche même pas à produire un effet quelconque dans la tête des lecteurs, on se contente juste de partager les enseignements des expériences qu'on a vécues parmi lesquelles figurent une multitude de réflexions dont certaines sont achevées et d'autres encore à développer, toujours sans aucune ambition personnelle particulière.

Quand on adopte cette démarche, on est moins sujet à subir malgré soi des influences toxiques qui viendraient parasiter la manière dont nous observons ou nous abordons la réalité, on gagne en indépendance ou on la conforte, de sorte qu'on reste tendu vers notre objectif.

Quant au recours au langage outrancier, je l'assume. Il n'est pas involontaire ou incontrôlé. Il sert juste à contrebalancer le langage servile de nos dirigeants, qui induit en erreur les militants ou travailleurs sur la nature du régime ou sur ce qui les attend à plus ou moins brève échéance, pas pour leur éviter le pire comme le font démagogiquement nos dirigeants, mais pour les aider à prendre conscience de la menace qui plane sur leur destin dès à présent. Vous avouerez qu'après coup, la plupart du temps les faits m'ont donné raison contre mes contradicteurs qui ont passé leur temps à vous endormir ou à vous détourner de l'essentiel en versant dans le gauchisme. Ce qui chez nous a pu être caractérisé par certains de grotesque ou de complotiste à un moment donné, est devenu réalité, au-delà même de tout ce qu'on avait pu imaginer.

Quand on confond ce qui est en devenir, et qui existe déjà à l'état latent dans la situation ou dont l'orientation se dessine en filigrane dans les rapports entre les classes, avec des spéculations d'ordre dogmatique ou les manifestations d'une imagination fantasques détachée de la réalité, on peut facilement se méprendre sur la situation, ses différents acteurs, sur les intentions d'un militant ou d'une personne.

Je ne vous demanderai pas d'applaudir, je le ferai pour vous, je plaisante, c'est mon état d'esprit habituel.

Au fait, j'allais oublier de vous le dire, ça y est, on est déconfiné, ce matin tout était ouvert et la plupart des masques étaient tombés, pas un seul policier ou milicien à l'horizon.

Le régime en Inde est moins pourrie que celui de la France, quoique cela ne veuille pas dire grand chose, en fait, le gang mafieux de Gates, Rockefeller, Link, Buffett, Soros et Cie. a plus à faire dans les pays développés qu'ici. Ici on a déjà un régime semi-féodal ou totalitaire, c'est seulement le sous-développement qui les empêche d'aller plus loin pour le moment.


24 pages au format pdf

Pour se détendre un peu ou pour se rafraîchir avant de continuer le combat.

Vidéo. Un berger qui a tout compris sur le Corona ! - 13 avr. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=3eYy1Giw1bo&feature=emb_title

L'élévation du niveau conscience des peuples pour éradiquer le capitalisme de la surface de la planète doit être notre priorité absolue avec leur organisation.

- « C’est le peuple qui s’asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix d’être serf ou d’être libre, renonce à son indépendance et prend le joug… tous les hommes, tant qu’ils ont quelque chose d’humain, ne se laissent assujettir que pour deux raisons, par contrainte ou par tromperie ». (Étienne de la Boétie, Discours de la servitude volontaire)

LVOG - La tromperie va être suivie de la contrainte. Tu as renoncé à ton indépendance, tu auras les deux !

Dans les pays occidentaux, c'est la ploutocratie qui fait régner le régime tyrannique de la peur par l'entremise de leurs Constitutions, qui octroient les pleins pouvoirs au chef de guerre qui trône au sommet de l'Etat en la personne du Président ou du Premier ministre.

Cette bande de malfaiteurs mafieux et criminels est parvenue à enfermer des peuples entiers pour mieux les tenir dans leurs mains, en recourant à un règlement policier en guise de droit inaliénable, ce qui signifie qu'ils n'ont de compte à rendre à personne et qu'ils peuvent agir en toute impunité quels que soient les forfaits qu'ils commettront.

Quand tu es un militant socialiste, tu as juste envie de te soulever pour abattre ce régime totalitaire, tout le reste ne compte plus ou passe au second plan. Le plus dramatique, c'est qu'il n'y a aucun parti ouvrier qui prenne le relais.

Aux bonnes consciences, aux hypocrites, aux opportunistes qui s'accommodent du capitalisme.

En 2018, la pneumonie a tué un jeune enfant toutes les 39 secondes (Le double sont morts de faim ou de malnutrition - LVOG)

- 800 000 enfants sont morts de pneumonie dans le monde en 2018.
- 437 000 enfants de moins de 5 ans sont morts de maladies diarrhéiques en 2018 dans le monde.
- 272 000 du paludisme. (Source : OMS)

LVOG - Ce qui inhumain et intolérable, c'est de le tolérer sans se poser de questions, sans agir. Engagez-vous dans la lutte de classe, et ne vous découragez pas aux premiers obstacles ou désillusions, persévérez, faites preuve de détermination, lisez, réfléchissez, étudiez, discutez, donnez-vous les moyens de progresser et ensemble nous y arriverons, nous vaincrons !

Applaudissez, encouragez-le, portez un masque. Allez petit coronavirus, encore un petit effort si tu veux figurer dans le Guinness Book des records !

- How Many Car Accident Deaths Are There Per Year? Nearly 1.25 million people are killed in car crashes each year. On average, that's 3,287 deaths a day. An additional 20-50 million are injured or disabled.17 oct. 2019.

Traduction LVOG - Combien de personnes meurent-elles dans un accident de voiture chaque année aux Etats-Unis ? 1,25 million, soit environ 3,287 morts par jours. Entre 20 et 50 millions sont blessés ou handicapés. Yahoo 17 oct. 2019

LVOG - Covid-19, tu es franchement ridicule !

Etats-Unis. En réalité, la plupart sont morts du virus de la grippe et non du Covid-19. Le vaccin, une farce de Big Pharma. Ils le disent eux-mêmes.

Capital - Outre-Atlantique, l’hiver 2019-2020 est le plus meurtrier depuis dix ans, pour cause de grippe. Selon les statistiques des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l'agence fédérale des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, “la saison actuelle de la grippe touche entre 26 et 36 millions d’Américains, a causé entre 250.000 et 440.000 hospitalisations et tué au moins 14.000 personnes aux États-Unis au cours des 16 semaines qui se sont écoulées depuis le déclenchement de la maladie”, rapporte l’expert. Jamais depuis l'épidémie mondiale de la grippe du porc, qui avait touché 60 millions d'Américains et fait 12.469 morts en 2009 et 2010, les États-Unis n'ont subi une épidémie aussi sévère, relève-t-il.

Au cours d'une année standard, “la grippe tue entre 3.000 et 49.000 Américains. Cependant, cette année, le nombre total de décès pourrait dépasser allégrement les 56.000 de 2014- 2015. Si plus de 80% des décès surviennent généralement chez les personnes âgées et les personnes ayant des problèmes de santé sous-jacents, cette année, des personnes plus jeunes et apparemment en meilleure santé sont également hospitalisées”, souligne John Plassard.

Il y a plusieurs raisons à la pandémie de grippe. La première est dans le virus même de la grippe. En effet, “il semble que la vaccination soit la moins efficace depuis que les injections contre cette maladie existent. Des chercheurs Américains ont relevé que l'efficacité du vaccin avait été nettement limitée en 2016, ne protégeant que 20 à 30% des personnes vaccinées. La faute à une mutation de la souche dominante de la grippe. Le vaccin pour la saison 2019-2020 est similaire à celui-ci, ce qui augure une saison difficile”, juge l’expert.

“La pandémie que connaissent actuellement les États-Unis est bien plus dramatique que ce que l’on a connu ces dernières années et n’a rien à envier (le mot est fort) au coronavirus”, met en garde l’expert. capital.fr 25 février 2020

L'ombre de la mort rôde partout, tremblez fragiles et pécheresses créatures !

- Coronavirus : des maladies mortelles prospèrent dans l'ombre de la pandémie - francetvinfo.fr 11 mai 2020 Des maladies infectieuses continuent de tuer des millions de personnes, dont de nombreux enfants, dans les pays en développement.

Plus de 2 500 enfants meurent chaque jour de pneumonie, une infection bactérienne qu'on sait soigner avec des médicaments efficaces et peu chers. Plus de 800 000 morts pourraient être évitées chaque année, selon des études.

La tuberculose reste la maladie infectieuse la plus meurtrière de la planète, avec environ 10 millions de nouveaux cas par an et 1,5 million de morts, même si des traitements existent.

Chez les femmes, c'est le diabète qui s'avère le plus meurtrier, selon Vicki Pinkney-Atkinson, responsable de l'Alliance NCD en Afrique du Sud. Alors qu'on peut vivre avec, si l'on a les bons médicaments au quotidien. francetvinfo.fr 11 mai 2020

Et dire qu'on a osé appeler cette société cruelle et barbare de démocratique, la civilisation humaine.

LVOG - Notez bien qu'à chaque fois il existe des traitements très simples, mais ils ne sont pas abordables pour les victimes. Quand l'ONU célèbre le jour de l'enfant, c'est ce décompte morbide à mettre à son actif qu'elle doit fêter.

Il est indécent ou opportuniste d'attendre quelque chose de l'ONU ou ses agences, et se prétendre anti-impérialiste ou anticapitaliste, c'est incompatible.

OMS - On estime que la pneumonie cause 15% du nombre total de décès d’enfants de moins de 5 ans. 922 136 enfants de moins de 5 ans sont morts de pneumonie en 2015.

On peut traiter la pneumonie causée par des bactéries avec des antibiotiques.

https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/pneumonia

OMS - Jusqu'à 650 000 décès par an sont dus à la grippe saisonnière

Ce chiffre représente une hausse par rapport à l’estimation précédente qui s’établissait entre 250 000 et 500 000 à l’échelle mondiale; elle datait de plus de 10 ans et portait sur l’ensemble des décès liés à la grippe, y compris les maladies cardiovasculaires ou le diabète. Les nouveaux chiffres, compris entre 290 000 et 650 000 décès, reposent sur des données plus récentes issues d’un groupe de pays plus large et plus divers, incluant des pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, et excluent les décès dus à des affections autres que respiratoires.

«Ces chiffres témoignent de la forte charge de mortalité due à la grippe et de son coût social et économique considérable à l’échelle mondiale», déclare le Dr Peter Salama, Directeur exécutif du Programme OMS de gestion des situations d’urgence sanitaire. «Ils soulignent l’importance de la prévention face à l’épidémie saisonnière de grippe, ainsi que de la préparation à d’éventuelles pandémies.»

https://www.who.int/fr/news-room/detail/14-12-2017-jusqu-%C3%A0-650-000-d%C3%A9c%C3%A8s-par-an-sont-dus-aux-affections-respiratoires-li%C3%A9es-%C3%A0-la-grippe-saisonni%C3%A8re

LVOG - Le traitement : le paracétamol pour faire baisser la fièvre et calmer douleurs et courbatures, et la vitamine C pour lutter contre la fatigue et stimuler les défenses immunitaires. Il existe un vaccin, mais son efficacité est aléatoire parce que le virus mute en permanence.

Le capitalisme en crise ne peut survivre que par la surexploitation de toutes les ressources de la nature, dont l'homme ou la force de travail, la faune et la flore destinées à la consommation à leur risque et péril.

- Salmonelle : plus de 500 000 oeufs rappelés - Yahoo 11 mai 2020

Ces œufs ont été vendus chez Atac, Auchan, Carrefour, Système U, Intermarché ou E.Leclerc, comme le rapporte le site de 60 Millions de Consommateurs.

Les salmonelles peuvent causer des toxi-infections alimentaires. Comme le rappelle l’Anses, les bactéries du genre Salmonella représentent la cause la plus fréquente d’épidémies d’origine alimentaire et la deuxième cause de maladies d’origine alimentaire en Europe. La salmonellose se manifeste par des troubles gastro-intestinaux : douleurs abdominales, diarrhées, vomissements, nausées, fièvre. Le plus fréquemment, les aliments impliqués sont les œufs et les produits à base d’œufs crus comme la mayonnaise. “Chez les nourrissons ainsi que chez les personnes au système immunitaire affaibli (maladie auto immune, immunosuppressive, traitement médical immunosuppresseur, etc.), une infection par les salmonelles peut devenir très grave, voire mortelle”, alerte l’Anses. Enfin, il est déconseillé aux personnes âgées, malades, immunodéprimées, aux jeunes enfants et aux femmes enceintes, de consommer des œufs crus ou peu cuits. Yahoo 11 mai 2020

Covid-19 : Une arme contre tous les dissidents de la propagande de guerre.

- Non plus « conspirationistes », mais « traîtres » - L’UE, l’Otan, NewsGuard et le Réseau Voltaire par Thierry Meyssan - Réseau Voltaire 5 mai 2020

Le dispositif de propagande visant à étouffer toute voix dissidente a franchi un pas. Il ne s’agit plus simplement de les accuser de commettre des erreurs factuelles ou de mentir délibérément, mais de les présenter comme des traîtres à la solde d’une puissance étrangère.

Par Thierry Meyssan

Le Service européen pour l’action extérieure (European External Action Service) a créé en 2015 l’East StratCom Task Force, une unité chargée de lutter contre la désinformation des services secrets russes. Celle-ci édite un site internet, EUvsDisinfo.eu, et expédie chaque semaine des e-mails aux journalistes de l’Union afin qu’ils répercutent sa bonne parole. Nous avons déjà relaté que cette unité est reliée au Centre de communication de l’Otan à Riga [1].

Cette unité vient de mettre en garde les journalistes de l’Union et accessoirement tous ceux qui se sont abonnés à sa lettre d’information [2] que notre article du 31 mars, « Des putschistes à l’ombre du coronavirus » [3], est une désinformation russe [4].

Premièrement, nous sommes outrés de figurer sur un site officiel de l’Union chargé de recenser la désinformation russe —et ce n’est pas la première fois—. Nous n’avons aucun lien, ni avec les autorités russes, ni avec celles de quelque autre pays que ce soit. Ceci est de la pure diffamation.

Deuxièmement, la réfutation de l’UE se borne à indiquer que notre travail serait : « Une interprétation exagérée d’un article de Newsweek de la mi-mars. Newsweek décrit le rôle de l’armée américaine en cas d’incapacité des dirigeants politiques » (An exaggerated interpretation of a Newsweek article article from Mid-March. Newsweek describes the role of the US military, should the political leadership be incapacitated). Or, nous avons cité une partie de l’article de William Arkin sans le déformer et en analysant ses informations au regard d’autres qui ne sont pas plus contestées. C’est la mise en perspective de l’ensemble de ces données qui gêne l’UE.

Jusqu’à présent, les pouvoirs publics avaient financé des initiatives privées pour décrédibiliser les sources dissidentes. C’est par exemple la fonction du Decodex du Monde [5]. Il s’agit maintenant d’aller plus loin et de les accuser de trahison.

Pour distinguer, le vrai du faux, exercez votre esprit critique !

NewsGuard, une société new-yorkaise créée pour évaluer la fiabilité des sites internet et faire apparaître une note sur les moteurs de recherche, nous a contactés nous demandant d’abord quelles sont nos relations avec l’État syrien, puis ce que nous « pensons de cette critique ».

NewsGuard est on ne peut plus neutre. Son Conseil d’administration est secret, mais son Conseil consultatif comprend aussi bien l’un des cofondateurs de Wikipedia (Jimmy Wales) que l’ancien directeur de la CIA et de la NSA (le général Michael Hayden), l’ancien secrétaire général de l’Otan (Anders Fogh Rasmussen), l’ancien secrétaire à la Sécurité de la Patrie (Tom Ridge) ou encore l’ancien sous-secrétaire d’État à la diplomatie publique —c’est-à-dire à la Propagande— (Richard Stengel) [6].

De par les Traités européens, l’Otan protège l’UE. C’est-à-dire que l’Union européenne n’est que le volet civil d’un ensemble dont l’Otan est le volet militaire.

Après plusieurs tentatives d’enlèvement ou d’assassinat contre un de mes collaborateurs et contre moi dans quatre pays différents, nous avons toutes les raisons de penser que c’est l’Alliance atlantique qui, de nombreuses fois, a saturé, voire hacké, notre site internet. Nos adversaires semblent revenir à des moyens non-létaux : le mensonge et la diffamation.

La Propagande de guerre est un processus en trois phases visant à engager le public dans des causes que normalement il réprouverait :

- La première consiste à mêler le faux au vrai tout en accusant ceux qui disent la vérité d’être dans l’erreur ou dans le mensonge (fake news).

- La seconde à écarter tous les discours dissidents et à créer ainsi une apparence d’unanimité autour de la vérité trafiquée. À ce moment, les dissidents ne sont plus des hurluberlus affabulateurs, mais deviennent des traîtres.

- La troisième à pousser les cibles à pratiquer des actes symboliques d’acquiescement de la nouvelle idéologie.

Un pas vient d’être franchi.

Notes.

[1] « La campagne de l’Otan contre la liberté d’expression », Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 décembre 2016.

[2] “Subscribe”

[3] « Des putschistes à l’ombre du coronavirus », Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 mars 2020.

[4] “Disinfo : The bankers and the military prepare a takeover in the US”, EUvsDisinfo.eu, April 30, 2020.

[5] « L’Otan et l’Union européenne derrière le Décodex », Réseau Voltaire, 16 février 2017. « La vérité sur les "fake news" », Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 janvier 2018.

[6] “Our Advisory Board”, NewsGuard, consulted May 3, 2020.

LVOG - Soutien total à Thierry Meyssan et les membres de son association. Il nous arrive d'avoir des échanges professionnelles et cordiaux par courriel... Ils ont plus de courage et de dignité que nos piètres dirigeants, et ils nous sont plus indispensables pour comprendre la situation.

Comment nos ennemis peuvent-ils mentir éhontément à la face du monde ?

Parce qu'il n'existe aucune force politique organisée pour les contredire ou les affronter, tous les partis ouvriers sont corrompus par l'idéologie du capital et reprennent en choeur la rhétorique de Macron ou des médias aux ordres, voilà la vérité. Et le plus grave, c'est que les militants s'en foutent ou la partagent.

Fake news signée de l'agence de presse russe Sputnik

- "Alors que la pandémie de Covid-19 fait des ravages dans le monde entier". - sputniknews.com 28 avril 2020

Les enragés resservent le couvert quotidiennement.

Rendez-vous compte, ils ont découvert un cas en Chine, un autre en Corée du Sud. Et lorsque l'épidémie de grippe se termine chaque année, quelques personnes ou dizaines de personnes continuent d'en mourir au cours des mois suivants ou toute l'années comme c'est le cas aux Etats-Unis.

Ce qui était la norme hier, devient soudainement un cas hors norme parce que les porte-parole des idéologues de l'oligarchie en ont décidé ainsi, autant dire que cette instrumentalisation peut s'étendre pendant une durée indéterminée ou devenir permanente, histoire de justifier les mesures (numériques, législatives, etc.) toujours plus liberticides à venir.

L'intox a pris des proportions monstrueuses.

Taux de mortalité de la population totale en Indonésie : 0,0004%. Quelle pandémie !

- Indonésie: Plus de 14.000 cas, près de 1.000 morts - Reuters 10 mai 2020

Quand les puissances occidentales organisent la fraude aux macchabées à grande échelle.

LVOG - Voilà ce que cautionnent les dirigeants du mouvement ouvrier qui hurlent à la pandémie.

- La pandémie 2020: De la fraude statistique à la société de contrôle par Vincent Mathieu - Mondialisation.ca, 09 mai 2020

Extrait.

Dans une lettre ouverte écrite à la Chancelière allemande Angela Merkel, le Dr Sucharit Bhakdi mentionne:

L’erreur est commise dans le monde entier de signaler les décès liés au virus dès qu’il est établi que le virus était présent au moment du décès – indépendamment d’autres facteurs. Cela viole un principe de base de l’infectiologie : un diagnostic ne peut être établi que lorsqu’il est certain qu’un agent a joué un rôle important dans la maladie ou le décès.

Le 16 avril 2020, le Dr Arruda déclarait dans le point de presse quotidien du gouvernement québécois: « Il y a eu un changement de méthode dans la saisie des données et l’analyse épidémiologique de la part de la santé publique, sur des patients décédés au cours de la dernière semaine. Le choix qu’on a fait c’est de déclarer tous les patients, même les patients qui n’ont pas été testés, mais qui ont toutes les définitions pour être des patients qui sont décédés de la Covid-19. »

Autre aberration dans la façon de comptabiliser les décès, la santé publique choisit de considérer comme « mortes de la Covid-19 » des personnes qui ont simplement côtoyé de près d’autres personnes atteintes ou décédées de la Covid-19. Autrement dit, si une femme en CHSLD mourait et qu’elle occupait une chambre adjacente à un cas confirmé de Covid-19, on la déclarait morte de la Covid-19. Voici ce que déclarait le Dr Arruda lors du point de presse du 14 avril 2020 suite à une question concernant le dépistage non systématique:

« On n’attend pas l’enquête du coroner, on compte ces cas-là. On n’a pas testé tous les cas. C’est une définition de cas qu’on nomme cas en liens épidémiologiques. S’il y a des cas en CHSLD, sur le même étage 1 cas ou 2 confirmés en laboratoire, si dans la chambre à côté vous avez un cas, pas d’autres raisons de décès comme tel, on est presque sûr, à bon pourcentage, que c’est du Covid-19 ».

Dans le point de presse du 22 avril 2020, le Dr Arruda revenait sur cette analyse épidémiologique en la qualifiant de « scrupuleuse » et « transparente ». Voici la déclaration hallucinante qui s’en est suivie quelques secondes plus tard:

« Je voudrais vous rappeler qu’à chaque année, en temps ordinaire, il y a environ 1000 personnes par mois qui meurent en CHSLD. Et dans le fond il faut comprendre que des décès actuels qu’on comptabilise associés au Covid-19, (ils) seraient survenus malgré la situation ».

À son émission quotidienne, mise en ligne sur le site du Journal de Montréal le 23 avril 2020, Mario Dumont recevait le Dr Vinh-Kim Nguyen, urgentologue à l’Hôpital général juif de Montréal. M. Dumont posait des questions sur la façon de comptabiliser les décès liés à la Covid-19 car on se demandait si certains des décès observés en CHSLD n’étaient pas liés davantage à un manque de soin qu’à la Covid-19. Voici une partie de l’échange entre M. Dumont et le Dr Nguyen:

Dr. Nguyen: « Ce qu’on peut faire et ce que font déjà les Français et d’autres pays c’est que en état de pandémie, on comptabilise tous les décès en plus que la moyenne. C’est-à-dire que si aujourd’hui en moyenne au Québec on a 58 décès, et que cette année-ci on en a 82, on va rajouter, ça fait 24, 24 de plus, on va (les) attribuer à la Covid. On va pas aller chercher plus loin, aller fouiller dans les certificats (de décès).

M. Dumont: « On va présumer que le surplus de décès est lié à la pandémie qui est en place ». Dr Nguyen: « Lié à la pandémie directement ou indirectement ». Il est difficile de comprendre pourquoi les journalistes acceptaient béatement cette méthode de calcul inflationniste sans la remettre en question.

La méthode selon laquelle les personnes sont déclarées mortes de la Covid-19 par liens épidémiologiques ou tout simplement parce que la moyenne annuelle des décès aurait augmentée cette année-ci défie toute logique.

On semble avoir développé une manière ad hoc de comptabiliser les morts pour les besoins de la cause, car le taux de mortalité de la grippe saisonnière se calcule de façon beaucoup plus conservatrice.

Dans le Bilan démographique du Québec 2019 préparé par l’Institut de la statistique (voir nbp 6), on différencie la mortalité liée à la grippe et la mortalité liée à des affections comorbides. On peut y lire: « Il est difficile de mesurer la part exacte des décès directement ou indirectement attribuables au virus de la grippe, en raison notamment de la présence fréquente de comorbidité (autres causes concomitantes de décès). Les grippes et pneumopathies sont fréquemment citées comme cause secondaire de décès; elles peuvent donc être impliquées dans un plus grand nombre de décès que dans les cas où elles sont retenues comme cause initiale (principale) ».

Ceci est diamétralement opposé à la méthode de calcul utilisée pour établir la mortalité du nouveau coronavirus. En effet, au contraire de la grippe, on considère systématiquement le coronavirus comme la cause principale de décès sans même effectuer de test et par simples liens épidémiologiques. Je réitère que comme le déclarait le Dr Arruda dans une conférence de presse précédemment citée, toutes les personnes décédées présentant des symptômes s’apparentant à la Covid-19 étaient considérées décédées de la Covid-19.

À noter que si on en croit les propos du Dr Bhakdi dans sa lettre ouverte à la chancelière Merkel, cette méthode de calcul qu’il nomme « soupçon de Covid » est généralisée et a probablement été utilisée en France, en Espagne et en Italie. Ces pays ont dévoilé un taux de mortalité très élevé dès les débuts de la crise et ont contribué à l’établissement de l’atmosphère de peur que l’on a connue en Occident.

Peut-on conclure que la surmortalité officielle associée à la Covid-19 par rapport à la grippe n’est pas réelle, mais qu’elle dépend principalement de la méthode de calcul?

Ce qu’on pourrait qualifier de fraude statistique s’est observée partout dans le monde. Aux États-Unis, quelques médecins ont eu le courage de parler et ont déclaré avoir senti des pressions pour indiquer, dans les certificats de décès, que la Covid-19 était la principale cause de mortalité des patients. Dans une vidéo mise en ligne sur youtube, vidéo rapidement retirée par cette même chaîne, le Dr Daniel Erickson, urgentologue à Bakersfield en Californie, déclare:

« On parle de comorbidités… La Covid faisait partie du tableau clinique, ce n’est pas la raison pour laquelle ils sont morts les amis! C’était une des raisons, donc d’être si simplistes et de dire que c’est une mort Covid parce qu’ils avaient la Covid, savez-vous combien de personnes meurent avec des pneumonies, ou combien de personnes meurent de la grippe, ou devrais-je dire avec la grippe? …

Leurs poumons sont affaiblis par une maladie pulmonaire obstructive chronique, ils ont eu une crise cardiaque deux années auparavant, ils ont une santé fragilisée. On n’est pas incité à tester pour la grippe… Mais je parlais à un ami qui disait, tu sais c’est intéressant, quand j’écris mon rapport de décès, je reçois de la pression pour écrire « Covid ».

Pourquoi est-ce que c’est comme ça? Pourquoi on nous fait des pressions pour écrire « Covid »? Pour peut-être gonfler les chiffres et les faire paraître pires qu’ils ne le sont? Je pense que oui ».

À noter que dans cette vidéo, le Dr Erickson expose avec des statistiques indépendantes (sans filtre médiatique) que le nouveau coronavirus n’est pas plus létal que la grippe saisonnière.

La Dre Annie Bukacek, médecin à Kalispell dans l’état du Montana, mentionne essentiellement la même chose. Elle dit que sur le site internet du Center of disease control and prevention (CDC; principale agence fédérale en matière de santé publique aux États-Unis), les données sur la mortalité incluent à la fois les cas confirmés et les cas présumés de Covid-19. Selon les instructions de la CDC, on encouragerait les médecins à faire des diagnostics de Covid-19 sur la base de simples suppositions. Elle déclare :

« La CDC compte les vrais cas de Covid-19 et les cas hypothétiques de Covid-19, comme s’ils étaient la même chose, ils les appellent morts par Covid-19… Ils surestiment automatiquement le vrai nombre de décès de leur propre aveu… Vous pouvez être certains que le nombre réel (de décès) est substantiellement plus bas que celui qui vous est dit ». Médecin et sénateur du Minnesota, le Dr Scott Jensen décrit une situation analogue dans une entrevue avec le journaliste Chris Berg:

« Vendredi dernier j’ai reçu un document de 7 pages qui, en quelque sorte, me disait que si j’avais un patiente de 86 ans qui avait une pneumonie mais n’avait jamais été testée pour la Covid-19, mais qui après meurt de pneumonie et dont on a appris qu’elle avait été en contact avec son fils qui n’avait pas de symptôme mais qui a été testé positif ultérieurement à la Covid-19, ce serait approprié de mettre sur le certificat de décès Covid-19…. Si quelqu’un a une pneumonie au milieu d’une épidémie de grippe, et que je n’ai pas de test pour dépister l’influenza, je ne mettrai pas un diagnostic d’influenza sur le certificat de décès. Je vais écrire cette personne est décédée de pneumonie ».

Le Dr Jensen mentionne ensuite que normalement, la pratique médicale exige de faire des diagnostics sur la base de faits et non de suppositions, contrairement à ce qui leur est demandé actuellement avec la Covid-19. Le journaliste Berg lui demande pourquoi alors, selon lui, il reçoit ce genre d’instruction et quel serait l’objectif de fausser ainsi les statistiques.

« Et bien, la peur est un excellent moyen de contrôler le monde. Je m’inquiète que, parfois, on soit seulement intéressé à faire grimper la peur».

Si toutes les épidémies de grippe avaient, dans le passé, été traitées de la même façon par les autorités sanitaires et médiatiques, nous serions dans un état de panique constant. Faut-il le rappeler, ce sont les fausses statistiques de mortalité, cette fausse idée de dangerosité pour nos vies, martelées soir et matin par les médias de masse, qui ont contribué au climat de peur collective et justifier toutes les mesures de confinement et d’atteintes aux droits et libertés que nous avons subies au printemps 2020.

Sommes-nous collectivement le malade imaginaire de Molière? Malade par peur d’être malade; qui implore sa thérapeutique pour être sauvé au grand bonheur d’une médecine cupide et outrecuidante. Si tel est le cas, les décisions prises par la santé publique doivent être dénoncées, particulièrement vu les impacts sociaux et économiques qu’elles ont eues. Parmi ces impacts; des décès et des vies qui auraient, elles aussi, mérité d’être sauvées. Mondialisation.ca, 9 mai 2020

- La tyrannie du coronavirus – et la mort par la famine par Peter Koenig - Mondialisation.ca, 10 mai 2020

Extrait. En Occident, l’attention se concentre sur le chaos créé par la mauvaise gestion du système de santé privatisé et à but lucratif. Elle met lentement en lumière la manipulation grossière, aux États-Unis, des infections et des taux de mortalité liés à la COVID-19 – comment les hôpitaux sont prétendument encouragés à « admettre » des patients atteints de la COVID-19 – pour chaque patient atteint de la COVID-19, l’hôpital reçoit une « subvention » de 13 000 dollars US (dans le cadre du Medicare), et si le patient est mis sous respirateur (taux de mortalité moyen de 40 à 60 %), la « prime » s’élève à 39 000 dollars US.

Selon le Dr Scott Jensen, sénateur du Minnesota, dans une interview de Laura Ingraham à Fox News : « En ce moment, l’assurance maladie détermine que si vous êtes admis à l’hôpital avec un COVID-19, vous recevez 13 000 dollars. Si ce patient COVID-19 est placé sous respirateur, vous recevez 39 000 dollars, soit trois fois plus. Personne ne peut me dire, après 35 ans dans le monde de la médecine, que parfois ce genre de choses a un impact sur ce que nous faisons ».

Les architectes de cette pandémie COVID-19 – qui ont l’ordre universel d’ordonner aux gouvernements nationaux de suivre un strict et total verrouillage – sont, consciemment ou non, responsables de « crimes contre l’humanité ». Mondialisation.ca, 10 mai 2020

LVOG - Tous les dirigeants du mouvement ouvrier connaissent les portails du Réseau Voltaire et du Centre de recherche sur la mondialisation. Alors quand ils adoptent le discours officiel sur la pandémie, ils mentent délibérément aux militants et aux travailleurs avec le même cynisme que Macron ou l'OMS.

En totalitarisme la vérité devient une théorie du complot.

Un internaute - "Pourquoi ne pas citer les faits qui tendent à prouver que le traitement, correctement appliqué du Pr Raoult marche ? N'y a-t-il pas une volonté de manipulation de l'info encore une fois ? Quelle confiance avoir ensuite face à ces intox à répétition ?"

Un assassinat de masse programmé. Pourquoi y a-t-il eu une hécatombe dans les maisons de retraite et plus généralement chez les vieux ?

Parce qu'ils ont refusé d'appliquer un traitement prophylactique à la chloroquine au personnel soignant, aux pensionnaires des maisons de retraite, aux personnes âgées, on peut ajouter aux personnes plus jeunes fragilisées à la suite d'une maladie grave, à peine rétablies ou encore sous traitement.

Si, si, applaudissez ! Vous voulez être infecté et mourir, rendez-vous à l'hôpital.

Dans l'institut Hospitalo-Universitaire de Marseille dirigé par le professeur Diider Raoult où plus de 5.000 patients porteurs du coronavirus sont passés, aucun des quelques 400 membres du personnel médical et de recherche n'a été malade ou est mort. Pourquoi ? Mais parce qu'ils ont été testés et traités préventivement à la chloroquine, pardi !

En Inde, c'est aussi à titre préventif que le gouvernement a décidé d'opter pour les mêmes mesures prophylactique pour protéger le personnel médical, résultat : aucun décès à ma connaissance.

Je ne sais pas si vous vous rendez vraiment compte de la situation, la France et son régime tyrannique sont pires que l'Inde et le régime du milicien d'extrême droite Modi.

Mais alors pourquoi ces mesures n'ont-elle pas été prises dans les pays occidentaux, par exemple l'Italie où il y a eu plus de 130 médecins ou infirmières décédés du coronavirus ? Pour que la panique ou la peur soit maximum ou n'épargne personne, c'est la seule explication plausible et sérieuse.

Question : Pourquoi le personnel hospitalier ne l'a-t-il pas exigé au lieu de se prononcer stupidement en faveur du confinement et du port du masque qui sont tous les deux inutiles ou pire, contreproductifs ?

Ce qu'on n'a pas compris au début, c'est que le confinement représentait un terrible danger pour la population. Comment cela ?

Dans la mesure où il a faussé la manière dont se répandrait le virus et donc la manière de l'aborder et de le traiter, afin d'éviter des dizaines de milliers de morts. Dès lors, qu'il était impossible d'en mesurer la contagiosité exacte et de prendre tranquillement les mesures en conséquence, les autorités pouvaient développer leur propagande alarmiste et justifier toutes les mesures liberticides qu'elles allaient prendre.

Dit autrement, c'était uniquement en mettant en contact la population avec le virus qu'on pouvait rapidement se rendre compte de sa contagiosité et mesurer son taux de létalité, ce que les Chinois n'ont pas fait puisqu'ils ont immédiatement confiné des dizaines de millions de personnes. E

n occident, le confinement a retardé le pique des contaminations et des décès en l'amplifiant, puisque parallèlement aucune mesures prophylactiques à caractère médicale n'avait été prise en direction des populations à risques qui constituent 98% des décès ou que les autorités ont livré dès lors à une mort certaine. Pire, elles n'ont même pas appliqué ces mesures au personnel hospitalier ou des maisons de retraite qui comptabilisent environ la moitié des 26.000 morts en France. Et en livrant à eux-mêmes des personnes infectées en les confinement au lieu de les tester, les traiter et les isoler, elles ont fait en sorte que les personnes qui les côtoyaient soient également infectées pour qu'il y ait le plus de malades et de morts possible.

Bref, Macron a délibérément laissé mourir ces dizaines de milliers de vieux ou vieilles ou encore les personnes déjà affaiblies par une maladie grave.

Ces hôpitaux transformés en mouroirs à l'instard des maisons de retraite.

- L’hôpital où elle suit un traitement devient un foyer de Covid-19 - sputniknews.com 2 mai 2020

Une femme a contracté le Covid-19 qui s’est répandu dans les services d’un hôpital de Montréal, où elle était soignée pour des problèmes hépatiques, a affirmé sa fille au Journal de Montréal.

Admise dans un hôpital de Montréal afin de suivre un traitement pour son foie malade, une femme y a contracté le coronavirus, d’après les dires de sa fille.

«Ça me fâche beaucoup, car ça fait un mois et demi que je fais tout pour la protéger. [...] Je l’envoie à l’hôpital et elle rentre à la maison infectée», a-t-elle affirmé, citée par Le Journal de Montréal.

Sa mère de 72 ans, qui vit avec elle, a une santé fragile et souffre d’une cirrhose, en plus de diabète et d’emphysème. Dès le début du confinement, à la mi-mars, maintes précautions ont été prises pour la protéger, de même que ses trois jeunes petits-enfants puisque tous habitent ensemble. Plus personne n’a quitté la maison ou la cour, a ainsi expliqué la fille.

Toutefois, sa mère a commencé à avoir des saignements dans l’œsophage et a dû être hospitalisée. À son admission, elle aurait passé un test de dépistage du coronavirus qui se serait révélé négatif. Mais alors que la patiente était sur le point de quitter l’établissement, ce dernier a constaté l’expansion du virus SARS-CoV-2 dans l’unité où elle était soignée, a poursuivi la fille.

Toujours selon sa fille, la femme étant asymptomatique deux jours plus tard, elle a été renvoyée à la maison.

Or dès le lendemain, elle a commencé à beaucoup tousser et sa famille craint à présent que son état ne s’aggrave.

Entre temps, le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal a annoncé que 317 personnes avaient été déclarées positives au nouveau coronavirus dans deux centres hospitaliers, dont celui où a séjourné la femme, a précisé Le Journal de Montréal. sputniknews.com 2 mai 2020

«Je veux m’en aller avec ma femme»:ce couple décide de mourir du Covid-19 ensemble - sputniknews.com 26 avril 2020

Deux handicapés canadiens ont décidé de s’éteindre ensemble après avoir contracté le Covid-19, rapporte Radio-Canada. Gina Lepage et René Desmarchais, tout deux cinquantenaires, étaient atteints de spina bifida, une maladie congénitale du tube neural. Mariés en 2012, ils vivaient ensemble dans le même CHSLD (Centre hospitalier de soins de longue durée) à Montréal. Lorsque Gina a contracté le Covid-19 et a refusé l’intubation, son mari lui a emboîté le pas.

Au sein de l’établissement qu’ils fréquentaient, l’inquiétude prévaut désormais. Une vingtaine d’autres résidents ont déjà été infectés, et placés dans une section à part. sputniknews.com 26 avril 2020

LVOG - C'est triste à dire, mais en ne vivant pas la suite qui s'annonce comme un cauchemar sans fin, ils ont échappé au pire.

Vous sauver ou sauver cette pandémie fabriquée, à vous de choisir.

LVOG - Ce qu'on apprécie, c'est quand ils parlent au conditionnel... quand il est trop tard !

Cette vitamine pourrait réduire de moitié le taux de mortalité du Covid-19 - sputniknews.com 10.05

Des chercheurs de l'université Northwestern, dans l’Illinois, ont découvert une importante corrélation entre les carences graves en vitamine D et les taux de mortalité des suites du Covid-19.

Ils ont analysé les relevés d’hôpitaux et de cliniques dans de nombreux pays, notamment en Chine, en France, en Iran et en Corée du Sud, et ont constaté que les patients des pays à taux de mortalité élevés, comme l'Italie, l'Espagne et le Royaume-Uni, avaient des niveaux de vitamine D inférieurs à ceux des patients des pays qui n'étaient pas aussi gravement touchés.

Et bien que certains évoquent une éventuelle différence de la qualité des soins, la répartition des âges dans la population, le nombre de tests ou les souches de coronavirus, l’équipe s’est tournée vers une autre hypothèse.

«Aucun de ces facteurs ne semble jouer un rôle important et le système de santé du nord de l'Italie est l'un des meilleurs au monde», a déclaré Vadim Backman qui a dirigé l’étude.

En outre, des différences de mortalité existent dans le même groupe d'âge et des disparités dans le taux de mortalité restent présentes même lors de l’examen de pays avec un nombre similaire de tests, a-t-il précisé.

«Par contre, nous avons constaté une corrélation significative avec une carence en vitamine D», a-t-il poursuivi.

En analysant les données de patients du monde entier, les chercheurs ont découvert qu’il existait un lien entre le niveau de vitamine D et la tempête de cytokines, une hyper-inflammation causée par un système immunitaire qui réagit de manière excessive.

«La tempête de cytokines peut gravement endommager les poumons et entraîner un syndrome de détresse respiratoire aiguë et la mort […] C'est ce qui semble tuer la majorité des patients atteints de Covid-19, et non la destruction des poumons par le virus lui-même», a fait remarquer pour sa part Ali Daneshkhah, co-auteur de l’étude.

Les scientifiques estiment qu’un niveau «correct» de vitamine D pourrait jouer un rôle protecteur.

«Cela n'empêchera pas un patient de contracter le virus, mais cela peut réduire les complications et empêcher la mort des personnes infectées», suppute l’étude.

Non seulement la vitamine D améliore notre système immunitaire, mais encore elle l’empêche de devenir dangereusement hyperactif.

«Notre analyse montre que cela pourrait réduire le taux de mortalité de moitié, a affirmé David Backman.

Selon lui, cette corrélation permettrait d’expliquer notamment pourquoi les enfants sont moins susceptibles de mourir. En effet, les petits n'ont pas encore de système immunitaire acquis pleinement développé qui est plus susceptible de réagir de manière excessive. sputniknews.com 10.05

En complément.

Il y a deux manières de couvrir ce besoin quotidien: l’exposition au soleil et la consommation d’aliments riches en vitamine D. Cependant, si la première solution pose problème compte tenu des mesures de restrictions de circulation, les aliments peuvent y pourvoir.

Parmi ceux riches en vitamine D, l’Anses note le hareng, les sardines, le saumon et le maquereau, les abats (notamment le foie), le jaune d’œuf, les produits laitiers enrichis en vitamine D, le beurre et la margarine, le fromage et la viande.

Le risque d’apport insuffisant en vitamine D est plus élevé pour certaines personnes à risque.

L’Anses met toutefois en garde contre des compléments alimentaires contenant de la vitamine D qui peuvent conduire à des apports trop élevés. sputniknews.com 20 avril 2020

Dès qu'un traitement pas cher est à la disposition de la population, l'Anses fera tout pour le discréditer pour le compte de Big Pharma.

J'ignore qui elle est, mais elle a raison, le bon sens populaire l'emporte contre la tyrannie.

LVOG - Observez comment ces chiens enragés la traîne dans la boue.

- Kim Glow fait polémique avec des propos complotistes comparant le coronavirus aux camps de concentration - programme-tv.net 10 mai 2020

Kim Glow se retrouve une nouvelle fois dans l'oeil du cyclone.

Kim Glow crée une nouvelle fois la polémique et choque les internautes en comparant le coronavirus aux camps de concentration. Ce samedi 9 mai, la starlette de télé-réalité a pris la parole sur Snapchat pour faire par de sa dernière "illumination", partageant avec ses abonnés sa théorie du complot sur la crise sanitaire actuelle : "Aujourd'hui, tu ne peux pas t'amuser à faire des guerres. Avec la bombe nucléaire, toute la planète elle crève d'un coup. Donc ils ont créé ce virus pour que les plus faibles ils crèvent. C'est une sorte de... comme le truc qu'on étudie à l'école... comment ça s'appelle... les camps de concentration. En gros, là c'est une guerre pour les plus faibles. C'est horrible mais c'est vrai."

Kim Glow en est persuadée, le coronavirus a été créé par les puissants pour éliminer les faibles et les vieux pour sauver la terre et le système des retraites : "Nan mais j'ai un moment de lucidité, là, quand j'y pense. Mais c'est une évidence en fait ! La planète est surpeuplée, ça va mal. Là, avec les personnes âgées qui meurent, ça va alléger les caisses de retraite pour l'Etat. Ah, mais c'est trop une évidence ! D'un coup, c'est comme si j'avais une illumination. C'est une évidence. Réfléchissez !". La jeune femme conclut ensuite sa tirade par un texte écrit tout aussi complotiste : "Nous subissons une guerre bactérienne, nous sommes des pions. Les plus faibles meurent. Ils veulent alléger la planète qui est en surpopulation. LA FIN DU MONDE APPROCHE." Des propos qui ne sont pas sans rappeler l'étrange sortie de Juliette Binoche sur les vaccins. programme-tv.net 10 mai 2020

- Juliette Binoche : sa théorie sur les vaccins choque les internautes - programme-tv.net 7 mai 2020

Sur son compte Instagram, Juliette Binoche a relayé des thèses complotistes sur l'utilisation des données de santé par le gouvernement, qui ont surpris et choqué les internautes. programme-tv.net 7 mai 2020

Ce mercredi 6 mai, Juliette Binoche faisait l'actualité avec une lettre ouverte, dont elle était l'initiatrice avec le philosophe Aurélien Barreau, parue dans Le Monde. L'actrice du Patient Anglais réclamait une prise de conscience internationale à repenser notre système, notre économie et nos habitudes, à l'aune de la crise sanitaire que nous traversons. Une tribune signée notamment par d'immenses stars comme Robert De Niro, Madonna, Sting ou Monica Bellucci. Mais, dans le même temps, la comédienne relayait sur son compte Instagram une vidéo qui prête à débat. Dans celle-ci, un jeune homme, se présentant comme médecin, alerte sur "les trois violations du secret médical" qui seraient orchestrées par le gouvernement. Il explique, entre autres, que l’État contraint les médecins à "recenser" toutes les personnes de l'entourage du patient contaminé, "avec leurs coordonnées et leur adresse, pour les faire remonter à l'assurance maladie, afin qu'ils leur envoient une brigade sanitaire". Juliette Binoche critiquée

Devant la stupeur exprimée par certains de ses followers à la découverte de sa vidéo, Juliette Binoche a renchéri dans les commentaires : "Ce sont des opérations organisées par des groupes financiers internationaux (principalement américains), depuis longtemps. Ils manipulent (sans être parano !) : les vaccins qu’ils préparent en font partie. Mettre une puce sous-cutanée pour tous : c’est NON. NON aux opérations de Bill Gates, NON à la 5G." Juliette Binoche sous-entend donc que le fondateur de Microsoft prépare un vaccin contenant des puces, afin de pouvoir géolocaliser la population. Une théorie du complot, largement reprise sur certains sites, mais sans preuves. ( Alors qu'elles abondent ! - LVOG)

Si certains internautes remercient Juliette Binoche de communiquer autour de ce sujet, la plupart ont été choqués de cette prise de position, l'accusant de profiter de sa notoriété pour colporter des messages complotistes, voire d’être "en plein délire". Cherchant sans doute l'apaisement, Juliette Binoche n'a pas réagi à ces critiques, venus pour la plupart de fans éberlués devant les propos de la star, pourtant habituée à plus de mesure...

LVOG - On croirait un porte-parole du ministère de la propagande du régime nazi.

Qui sont réellement ceux qui traitent de complotiste tous ceux qui dévient de l'idéologie dominante ? Une officine de l'Etat profond.

- Que répondre à quelqu’un qui vous envoie une vidéo complotiste sur le Covid-19? - slate.fr 10 mai 2020

Le magazine The Atlantic offre un petit guide des bonnes pratiques pour répondre aux personnes qui propagent des vidéos contenant de fausses informations sur la pandémie mondiale de Covid-19. slate.fr 10 mai 2020

LVOG - Passons sur le fait qu'il n'y ait jamais eu de pandémie mondiale.

Atlantic, qu'est-ce que c'est ?

Leur portail : https://www.theatlantic.com/masthead/

David G. Bradley,

PDG. Membre du Council on Foreign Relations (CFR) et the New America Foundation.

On ne présente plus le CFR.

La Fondation New America est un think tank néolibéral. En 2017 cette fondation avait un budget de 26,788,098 millions de dollars.

La Fondation New America a reçu en 2013 une donation d'1 million dollars de la part de chacun de ses généreux donateurs, dont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Lumina et le Département d'Etat américain.

La Fondation New America sponsorise Google.

Sa président, Helene D. Gayle, est également membre du CFR. Elle a travaillé à la Fondation Bill et Melinda Gates avant de rejoindre le Centers for Disease Control and Prevention (ONU) où elle travaille depuis 20 ans. Elle a servi dans l'administration d'Obama.

Gayle siège à plusieurs conseils d'administration, dont le Center for Strategic and International Studies, Colgate-Palmolive Company, ONE Campaign, Coca-Cola, Brookings Institutions, New America, la Federal Reserve Bank of Chicago et l'Economic Club of Chicago, la Rockefeller Foundation .

Retour à Atlantic.

Laurene Powell Jobs

Fondatrice et principale actionnaire, épouse du cofondateur d'Apple, Steve Jobs.

The Atlantic est lié à l'Institut Aspen depuis 2005, financé par the Carnegie Corporation, the Rockefeller Brothers Fund, the Gates Foundation, the Lumina Foundation, and the Ford Foundation. (wikipédia en anglais)

La plupart des journalistes qui officient dans ce magazine viennent du New Yorker, du New York Times et du Washington Post, ces deux derniers sont deux piliers du groupe Bilderberg.

Le 14 janvier 2013, le site Web de l'Atlantique a publié un «contenu de parrainage» faisant la promotion de David Miscavige, le chef de l'Église de Scientologie.

En 2016 il s'engagea au côté d'Hillary Clinton.

Jeffrey Goldberg

Editeur en chef. Un néolibéral ultra sioniste assumé.

Chroniqueur pour the Los Angeles Times, The New York Times, The Washington Post, Slate, il a également écrit pour le Jewish Daily Forward et a été chroniqueur pour le Jerusalem Post.

LVOG - Conclusion : Ceux qui veillent à ce que vous ne soyez pas la proie de complotiste, sont ceux qui en sont à l'origine, les artisans de Big Brother ou du totalitarisme, parce qu'ils ne tiennent pas à attirer l'attention sur eux...

Stratégie de la peur et fake news. Le taux réel du chômage aux Etats-Unis enfin révélé et instrumentalisé comme il se doit.

LVOG - De nombreuse sources diverses depuis des décennies affirmaient que le taux officiel de chômage était truqué, et qu'en réalité au lieu de se situer aux alentours de 5%, il était en réalité supérieur à 10%. D'ailleurs comment aurait-il pu en être autrement puisqu'il était évalué à la manière d'un sondage téléphonique, et non à partir d'un contrôle strict réalité par l'agence de l'emploi. Les dizaines de millions de travailleurs américains qui jusque là n'étaient pas comptabilisés se sont fait connaître à l'occasion du confinement pour bénéficier de l'aide financière dispensée par l'Etat aux chômeurs. Que quelques millions de chômeurs les aient rejoints ne fait aucun doute par ailleurs.

Contrairement à ce qu'on peut lire pratiquement partout, je ne crois pas à la perte de millions d'emplois dans aucun pays dans les mois à venir parce que leurs employeurs auront besoin d'eux. On est donc en présence d'un autre énorme mensonge destiné à faire peur à tous ceux qui ont encore un emploi pour qu'ils acceptent sans broncher l'amputation de leurs droits ou les mesures antisociales déjà annoncées par les différents gouvernements, travailler plus pour gagner moins, pour sauver son emploi.

Le chômage atteint 14,7 % aux Etats-Unis, son plus haut niveau depuis les années 1930 - lemonde.fr 09 mai 2020

Le taux de chômage américain a atteint 14,7 % en avril, tandis que 20,5 millions d’emplois ont été détruits en raison de la crise causée par le coronavirus. Le confinement généralisé a fait basculer les Etats-Unis du plein-emploi, avec un chômage de 3,5 % – au plus bas depuis un demi-siècle –, à la pire situation enregistrée depuis les années 1930, lorsqu’un Américain sur quatre était sans emploi. En un mois, le nombre de chômeurs a crû de 15,9 millions, pour atteindre 23,1 millions, sur une population active de 156 millions. S’y ajoutent les 6,5 millions d’Américains qui se sont retirés du marché du travail en avril. lemonde.fr 09 mai 2020

LVOG - En matière de manipulation rien ne les arrête.

Faites tomber les masques de l'imposture.

POID - La Tribune des travailleurs s'est encore illustrée.

LTT - 6 mai 2020 – La distribution (payante) de masques par les grandes surfaces et supermarchés fait scandale.

LTT - Toujours sur les masques !

8 mai 2020 – Les particuliers peuvent désormais se procurer des masques à usage unique en pharmacie. Mais ils auraient pu en acheter beaucoup plus tôt.

8 mai 2020 – La police interdit une distribution gratuite de masques à Paris

LVOG - Vous aurez compris pourquoi le gouvernement peut vous imposer le port du masque, il peut compter sur de nombreux alliés.

Quand on pense à ces dizaines de milliers de militants qui ont sacrifié les meilleures années de leur vie pour ces partis pourris, on a sincèrement de la peine, mais quand on observe qu'ils ne sont même pas foutus de réagir à cette dernière trahison, là on n'a plus du tout envie de les plaindre. Laissons-les macérer dans leur jus puisqu'ils s'y complaisent. Il y a peu de chance qu'ils en sortent indemne un jour, on le sait malheureusement pas expérience, hormis quelques rares cas isolés auxquels je m'adresse en attendant peut-être des jours meilleurs ou que la relève soit assurée par de nouvelles générations de militants. Mais à l'allure où l'on va, cela risque de prendre trop de temps ou d'être compromis et augure des jours encore sombres à venir, pourvu que je me trompe.

LTT - Production suspendue à l’usine Renault de Sandouville après une décision de justice

7 mai 2020 – L’usine, qui employait l’an dernier environ 1.900 personnes, avait été la deuxième usine française de Renault à reprendre une activité partielle fin avril. A la suite de la procédure en référé portée par la CGT Sandouville le 24 avril 2020, l’activité de l’usine de Sandouville est arrêtée depuis le jeudi 7 mai après-midi et jusqu’à nouvel ordre. Le tribunal du Havre critique les modalités de présentation des mesures sanitaires renforcées mises en place par le constructeur automobile dans le cadre de la pandémie de coronavirus.

LVOG - Question : Depuis la reprise du travail le 24 avril, combien d'ouvriers ont été infectés sur leur lieu de travail, combien en sont-ils morts ? Aucun sinon ils l'auraient évoqué. Qu'il y en ait qui soient porteurs du coronavirus n'aurait rien d'extraordinaire, puisque l'épidemie n'est pas encore terminé, comme chaque année avec le virus de la grippe.

Voilà ce qu'ils redoutent tous.

Le Figaro - Dans un sondage Ifop pour le JDD et Sud Radio publié dimanche, près de 50% de Français indique la lutte contre le chômage et la lutte contre la précarité comme «tout à fait prioritaires». Signe donc qu'après la santé, la situation économique fait figure de préoccupation première. D'autant qu'en France, la hausse du chômage couplée à un niveau de défiance record laisse présager d'une nouvelle crise sociale. Un autre défi de «l'après-crise» pour le chef de l'État. L'exercice du déconfinement s'amorce à peine mais il s'annonce déjà périlleux pour l'exécutif. lefigaro.fr 10 mai 2020

Les représentants du mouvement ouvrier redoutent plus que les travailleurs finissent par se soulever, plutôt que le capital et ses méfaits. Alors dans quel camp combattent-ils ?

Par ailleurs, je me suis refusé à mettre en ligne les articles alarmistes suivants en attendant d'en savoir davantage.

- La tyrannie du coronavirus – et la mort par la famine par Peter Koenig - Mondialisation.ca, 10 mai 2020

- Une sinistre nouvelle normalité à venir? Pire que le 1984 d’Orwell. Une pauvreté mondiale et une misère humaine sans précédent par Stephen Lendman - Mondialisation.ca, 09 mai 2020

LVOG - Après les prévisions catastrophiques sur le nombre de morts à venir dus au coronavirus, des millions, ils nous annoncent la même chose avec les pertes d'emplois... A suivre.

En totalitarisme, les citoyens n'ont plus aucun droit constitutionnel ou politique.

- En Italie, un opposant au confinement placé en hôpital psychiatrique - Réseau Voltaire 9 mai 2020

En Sicile, à Ravanusa, Dario Musso, un homme de 33 ans, est passé en voiture dans sa ville avec un mégaphone pour réveiller ses concitoyens au cri de « La pandémie n’est pas grave ! Sortez, enlevez vos masques ! Ouvrez les magasins ! ».

Les témoins affirment tous qu’il était parfaitement sain d’esprit, simplement révolté.

Les carabiniers l’ont arrêté. Il a été envoyé en hôpital psychiatrique, ligoté durant 4 jours à un lit, nourri au goutte à goutte par un cathéter et placé sous sédatif.

L’hôpital refuse de communiquer.

L’article 21 de la Constitution italienne dispose : « Tout individu a le droit de manifester librement sa pensée par la parole, par l’écrit et par tout autre moyen de diffusion ». L’article 32 : « Nul ne peut être contraint à un traitement sanitaire déterminé, si ce n’est par une disposition de la loi. La loi ne peut, en aucun cas, violer les limites imposées par le respect de la personne humaine ». Réseau Voltaire 9 mai 2020

En complément.

- En Europe, le ras-le-bol des citoyens confinés : ils manifestent contre les restrictions - euronews 10 mai 2020

Il faut les enfermer d'urgence !

- Déconfinement: la deuxième vague sérieusement envisagée par les chercheurs - Le HuffPost 12 mai 2020

Il est impossible de prédire avec certitude l’évolution de la situation en France. Mais les chercheurs tentent, via des modélisations mathématiques, d’imaginer les scénarios futurs. Ces modèles doivent donc être pris avec beaucoup de pincettes. Mais ce qui est sûr, c’est que leurs estimations sont loin d’être optimistes.

Ces modèles ne sont pas, une fois encore, des boules de cristal, mais ils nous mettent tous en garde: si la vague actuelle de Covid-19 semble derrière nous, le coronavirus est loin d’avoir disparu et il va falloir adapter notre vie en conséquence dans les mois à venir. Le HuffPost 12 mai 2020

LVOG - Les chercheurs qui substituent des modèles mathématiques à la réalité et qui spéculent sur le futur sont des charlatans.

- Pour ce psychiatre, le confinement a permis de soigner des cas très graves - Le HuffPost 10 mai 2020

- Le confinement est prolongé au moins jusqu'au 1er juin au Royaume-Uni - BFMTV 10 mai 2020

- Déconfinement: au Canal Saint-Martin, la police disperse les Parisiens trop serrés - Le HuffPost 11 mai 2020

Alors, vous êtes contents de vous ?

- Coronavirus : "On a beaucoup d'interventions liées à des troubles psychiatriques", selon un ambulancier - Franceinfo 10 mai 2020

- Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire en raison de la pandémie - BFMTV 10 mai 2020

- France. Coronavirus : le Parlement adopte la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 10 juillet - francetvinfo.fr 9 mai 2020

Après une semaine de tractations entre députés et sénateurs, le Parlement a définitivement adopté, samedi 9 mai, la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 10 juillet face à l'épidémie de nouveau coronavirus.

A gauche, à l'inverse, Jean-Luc Mélenchon, leader de la France insoumise, a défendu sans succès à l'Assemblée une motion de rejet préalable pour contester l'absence de "mesures sociales" comme la "gratuité" et la distribution de masques pour tous et mettre en garde contre l'installation d'une "société de surveillance". francetvinfo.fr 9 mai 2020

- Pour compenser le confinement, la droite s'en prend aux 35 heures - Le HuffPost 11 mai 2020

La question du temps de travail devra se poser”, a expliqué Christian Jacob, qui n’écarte pas l’hypothèse d’une semaine à 40 heures. “Non seulement ça ne me choque pas, mais je pense que c’est une réponse qui peut être apportée. On gagnerait sur tous les fronts”, a-t-il insisté. Le HuffPost11 mai 2020

Politiquement ou socialement et psychologiquement inconscient.

LVOG - Pour n'avoir pas su ou voulu combiner les deux, comme si ces aspects de la nature humaine n'avaient aucun rapport entre eux ou existaient indépendamment l'un de l'autre, l'avant-garde du mouvement ouvrier a lamentablement échoué.

Dans la réalité, ils se combinent et l'un à des effets sur l'autre réciproquement, de sorte que l'un peut entraver l'évolution de l'autre ou lui nuire ou au contraire en favoriser l'épanouissement. Il était donc fortement recommandé de les traiter ensemble pour qu'ils puissent se développer harmonieusement. C'est la raison pour laquelle ici nous menons de front la guerre à la réaction et à l'opportunisme sur le plan idéologique ou politique, ainsi que sur le plan psychologique ou de la propagande, du conditionnement.

Ce qui me désole parfois, mais est révélateur, c'est que je n'ai pas trouvé un seul cadre ou dirigeant pour mener avec moi ce combat à ce niveau-là.

PSY-OP COVID-19: assignés à résidence! - Analyse de la crise COVID-19 du point de vue psychologique – 1è partie par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 11 mai 2020

Extrait.

Comment peut-on en arriver là ?

Stanley Milgram – Soumission à l’autorité

Stanley Milgram est un psychosociologue états-unien. Il mène une expérience célèbre au début des années soixante.

Prétextant une étude sur la mémoire, il met en contact un « maître » (le véritable sujet de l’expérience) et un « élève » devant mémoriser des mots et les répéter.

Les « élèves » sont en réalité des comédiens. Ils sont dans le coup avec l’expérimentateur en blouse blanche qui joue le rôle de l’autorité.

Le sujet testé est le maître qui doit punir l’élève par une décharge électrique de plus en plus puissante en cas de mauvaise réponse ou d’absence de réponse.

En fait, les élèves-comédiens ne reçoivent rien et simulent la douleur en criant, en pleurant ou en se contorsionnant.

Sous la pression verbale de l’expérimentateur qui incarne l’autorité, la plupart des maîtres vont infliger des décharges électriques très élevées, 450 volts pour les plus intenses.

Pourtant, les maîtres sont bien au courant de la souffrance infligée et du risque de décès chez les élèves.

Pour Milgram, ces actions choquantes peuvent s’expliquer par la notion « d’état agentique » :

L’individu se considère comme l’agent exécutif d’une volonté étrangère (à lui), par opposition à « l’état autonome » dans lequel il estime être responsable de ses actes. L’individu, dans cette perspective de soumission, estime être engagé vis-à-vis de l’autorité et donc, il ne se sent pas responsable des ordres donnés par celle-ci.

Cette expérience démontre l’extraordinaire degré d’asservissement des individus à l’autorité.

Malgré les décisions contradictoires de nos gouvernements, leur amateurisme ou au contraire leur autoritarisme, malgré le fait que des médecins généralistes ont été empêchés de prescrire certains médicaments, malgré les scandales sur les masques, les tests, l’isolement des personnes âgées, l’encadrement policier brutal d’une population assignée à résidence, malgré l’absence de catastrophe dans les pays qui n’ont pas recouru au confinement, malgré toutes ces aberrations, la majeure partie des populations confinées continue d’obéir.

Solomon Asch – le poids du conformisme

Solomon Asch est chercheur en psychologie au Swarthmore College, aux États-Unis.

Au début des années 1950, il mène lui aussi une expérience sociale très intéressante : comment un individu peut aller jusqu’à renoncer à son propre jugement, et mentir pour se conformer aux décisions du groupe.

L’expérience est présentée comme une expérience de perception visuelle.

Sur une image, un premier trait vertical est représenté.

Sur une deuxième image, trois traits verticaux désignés par A, B et C sont représentés. Un seul des traits (C) a la même longueur que celui représenté sur la première image.

La bonne réponse est évidente.

Dans l’expérience d’Asch, 8 personnes sont évaluées. 7 d’entre elles sont des complices de l’expérimentateur.

Le sujet étudié est toujours interrogé en dernier. Les 7 complices, interrogés en premier, donnent leur réponse à voix haute et précisent, sur la deuxième image, le trait qui a la même longueur que celui de la première image.

Lorsque les 7 sujets complices se mettent à donner une fausse réponse, le sujet étudié, malgré son intime conviction, donne à son tour une mauvaise réponse.

Cela fut observé chez 3 sujets sur 4.

Cela veut dire que la majorité des gens préfèrent se conformer au reste du groupe, même si cela implique de se tromper ou de mentir.

Un point intéressant est qu’à la fin du test, on a fini par révéler aux sujets étudiés le but réel de l’expérience.

Asch a alors recueilli trois types de réponses parmi ceux qui avaient suivi l’avis erroné du groupe :

- Le déni : certains sujets continuaient de penser qu’ils avaient donné la bonne réponse.
- L’influence : certains sujets ont reconnu avoir été trompés par le groupe
- L’acceptation : certains sujets avaient la bonne réponse mais n’ont pas osé dénoter par rapport à l’avis général

La conclusion de cette expérience est que nous sommes bien plus influençables que nous voudrions le croire !

L’expérience a été reproduite de nombreuses fois.

Henri Laborit – L’inhibition de l’action

Que se passe-t-il quand on ne peut ni fuir, ni lutter face à une situation conflictuelle ?

Le professeur Henri Laborit, chirurgien et neurobiologiste français né en 1914, a mené ces expériences sur des rats de laboratoire.

Cadre de l’expérience :

Laborit utilise une cage grillagée dont le plancher est électrifié. La cage comporte deux compartiments séparés par une cloison munie d’une porte. Les planchers de chaque compartiment sont parcourus de décharges électriques alternativement.

Quatre secondes après un flash lumineux et un signal sonore, un courant électrique est envoyé au plancher d’un des compartiments de la cage.

Laborit mène d’abord deux expériences.

Dans la première expérience, il permet au rat de quitter le compartiment électrifié en laissant la porte ouverte.

Le rat associe très vite le flash lumineux, le signal sonore et la survenue du choc électrique. Ainsi, dès qu’il perçoit le flash et entend le son, il passe dans l’autre compartiment, ainsi de suite chaque fois qu’il entend le son et perçoit le flash, évitant ainsi les décharges électriques.

Dans la deuxième expérience, il place deux rats dans le compartiment et la porte est fermée. Les deux rats ne peuvent pas quitter ce compartiment. Ils subissent les chocs électriques sans pouvoir s’enfuir. Alors, ils se battent, se mordent, se griffent.

Dans les deux expériences, ce stress électrique est appliqué 10 minutes par jour, pendant 10 jours.

À la fin des deux expériences, lorsqu’on examine les rats, même ceux qui se sont battus (hormis leurs griffures), ils sont tous en bonne santé.

Laborit mène alors une troisième expérience décisive.

Un rat est placé dans le compartiment, porte fermée. Il est seul et ne peut pas s’enfuir. Au bout d’un moment, Laborit observe que le rat n’essaie même plus de bouger. Il reste prostré, parcouru de décharges électriques. À la fin de l’expérience, il accuse une perte de poids importante, une hypertension artérielle prolongée (plusieurs semaines) et présente de multiples ulcères à l’estomac.

Cette expérience montre qu’un être vivant confronté au stress, s’il ne peut pas agir dessus, fuir ou lutter, se fige, se prostre et développe des maladies.

C’est l’inhibition de l’action.

Parmi les milliards d’êtres humains confinés, beaucoup se sont soumis à l’autorité, certains prêts à suivre tous les ordres donnés, mêmes absurdes, et à les faire respecter à leur tour.

D’autres ont préféré croire au mensonge ou faire comme si c’était vrai, de peur d’affronter la pression de leur groupe.

La majorité, enfin, figés, prostrés, sous l’effet conjugué de la peur et du confinement, ont inhibé toute action, réflexion, soumis à l’ordre de rester chez eux, de respecter un isolement agressif sans pouvoir ni bouger ni lutter.

J’ai comblé cette lacune, et j’ai parlé de Milgram, Asch et Laborit à mes enfants.

Il y a un espoir.

Stanley Milgram relativisait la portée de son expérience en rappelant toutes les situations historiques dans lesquelles la résistance à une autorité malveillante a pu se développer grâce à l’action collective.

De même, Solomon Asch précisait que dès que le sujet étudié n’était plus seul, mais qu’un autre résistait à la pression mensongère du groupe, alors le sujet étudié résistait à son tour beaucoup plus et le taux de conformisme baissait considérablement. Il suffit d’être plusieurs à résister.

Enfin, Henri Laborit a démontré que ce n’est pas le stress qui nous arrive ou qu’on nous inflige qui compte, mais notre réaction face à ce stress ! L’important est d’y réagir et de ne pas le subir sans rien faire.

Agir.

Ensemble, comme ici en Suisse, Des protestataires ont manifesté ce samedi dans plusieurs villes de Suisse alémanique contre les mesures imposées par le gouvernement pendant la pandémie du coronavirus.

Seule une action collective, concertée, intelligente et déterminée viendra à bout des pouvoirs intrusifs que le COVID-19 a lâchés sur nous.

En complément. Quand ils découvrent la circulation sanguine !

- Coronavirus: la pandémie s'intensifie, les symptômes se multiplient - AFP 10 mai 2020

De la tête aux orteils, en passant par les poumons et même les reins: chaque semaine la liste des symptômes provoqués par le nouveau coronavirus s'allonge et peu d'organes semblent épargnés par cette maladie dont les formes varient de bénignes à graves. AFP 10 mai 2020


Le 15 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

On rajoutera des documents en ligne plus tard. La causerie ne tient pas compte des infos de la veille.

J’incite les lecteurs à télécharger les longues causeries au lieu de les lire dans cette page, car cela ne leur servirait à strictement rien. Si j’y consacre des dizaines d’heures, c’est que bien des sujets méritent qu’on y réfléchisse attentivement, et je n’ai pas la prétention de réfléchir à la place des lecteurs.

On va être totalement déconfiné lundi prochain, en principe.

Si le mouvement ouvrier n'avait pas obéi au doigt et à l'oeil aux injonctions des gouvernements, les travailleurs auraient été portés à adopter un tout autre comportement. A ne jamais perdre de vue.

Ceux qui refusent de dénoncer la supercherie à la pandémie, ne sont pas qualifiés ou ils n'ont aucune légitimité pour combattre les conséquences liberticides et antisociales qui en découlent, ce sont des imposteurs ou des charlatans.

Au fait, je n'ai jamais acheté ou porté un masque, un grand mouchoir autour du coup et baissé la plupart du temps fit l'affaire. Je ne suis pas du genre à obéir au doigt ou à l'oeil ou à marcher à la baguette, je ne suis pas fait du même bois que nos dirigeants qui nous font honte.

Eux, ils sont du genre à baisser la garde ou à se mettre au garde-à-vous à la moindre injonction ou à déguerpir à la moindre menace. Moi, je reste inflexible ou je l'affronte aussi longtemps que possible. Même en présence de serpents, je teste ma résistance ! Je ne recule jamais avant que ce soit devenu une nécessité impérieuse ou lorsque mes intérêts fondamentaux sont gravement menacés. Eux, leur statut de fonctionnaire les a toujours protégés. Moi, mon statut de salarié du privé ne m'a jamais protégé de rien du tout, et j'ai bossé dans plus de 45 boîtes en une vingtaine d'années, donc la pauvreté, la précarité, les licenciements, le chômage, le logement vétuste, les menaces d'expulsion, les difficultés sans nombre, etc. je connais, eux non. Eux ils sont incapables de sortir de leur rhétorique et de leur terminologie insipides, qui résonnent comme un syllogisme sorti d'un asile d'aliénés. Moi, je suis capable d'en changer en fonction de mes interlocuteurs.

Ici c'est différent, ils sont tellement différents les uns des autres, que j'ai dû adopter une sorte de discours hybrides mêlant différents niveaux de langue comme l'on dit en linguistique, afin d'être compris par le plus grand nombre. Je sais que la terminologie des militants indispose la plupart des travailleurs pour ne pas dire qu'elle les emmerde profondément. Elle leur est étrangère et ils ne se reconnaissent pas dedans, c'est l'une des raisons pour lesquelles ils prennent les militants pour des illuminés, des farfelus ou des cinglés, des gens pas très sérieux, même s'ils n'osent pas leur dire en face, un ton modérément moqueur ou un sourire en coin a suffi à le faire comprendre au militant de terrain que j'ai été dans le passé.

Je n'ai pas reçu ma retraite complémentaire qui devait m'être versée le 1er avril, je la reçois trimestriellement tellement elle est misérable, 142 euros par mois, qui viennent s'ajouter à ma retraite générale toute aussi famélique de 242 euros par mois, je n'avais cotisé que 93 trimestres.

Je ne remercierai jamais assez les partenaires sociaux du patronat de m'avoir réservé ce généreux sort pour mes vieux jours, comme à bien d'autres travailleurs. Je suis plus en phase avec les conditions d'existence des marxistes du milieu du XIXe siècle et du début du XXe qu'avec celles de leurs héritiers autoproclamés, bien que mon sacrifice n'arrive pas au niveau du leur, puisque même en étant pauvre je peux vivre à peu près normalement en Inde, donc je n'ai aucun mérite.

Je fais partie des travailleurs qui doivent se battre quotidiennement pour survivre, dont la moindre erreur peut compromettre l'existence. Cela nous incite à faire preuve de rigueur dans notre vie ou dans tout ce qu'on fait ou entreprend.

On est habitué au danger, sans pour autant paniquer ou être pris d'angoisse. On a une tête et on essaie de s'en servir, tout en sachant que ce qui est vrai aujourd'hui pourra être faux demain, mais si on ne considérait pas nos connaissances comme vrai dans le présent, on ne pourrait jamais parvenir à considérer qu'elles étaient fausses dans le futur, aussi on ne progresserait pas et l'homo sapiens n'aurait tout simplement jamais pu exister. On en est à devoir réhabiliter la connaissance que la philosophie nihiliste des néolibéraux ou de l'extrême-centre nie ou souhaite faire disparaître avec notre espèce.

Ma soeur cadette m'a envoyé pleins de photos que je n'avais jamais revues depuis 50 ou 63 ans. Quel choc! Je ne me suis pas reconnu partout. J'ignorais que j'étais monté sur le pont d'un paquebot de croisière au Havre, quand mon père menuisier travaillait sur ce bateau. Et les neuf dixième des personnes présentes sur ces photos sont déjà mortes, quand je vous disais qu'elle rôdait, je déconne. Encore un sujet de réflexion et d'étonnement, d'enseignement...


28 pages au format pdf

Invitation.

J'ai reçu une invitation d'un parti que je ne connaissais pas, le Parti de la cause ouvrière (en portugais : Partido da Causa Operária, PCO), c'est un parti politique brésilien de tendance trotskiste fondé en 1995. (Source : wikipédia)

- Vous êtes invité par le PCO à participer à une conférence et discussion par vidéoconférence, en français.

Débats marxistes n ° 13 - Escola Marxista n ° 3 - La «théorie de la révolution permanente» de Léon Trotsky

Je crois que c'est à 20h en France, 0h30 du matin en Inde, à cette heure-là je dors, j'ai oublié de noter le jour, désolé, et puis je ne vois pas l'intérêt d'une conférence sur ce thème en ce moment.

Voyez-vous, je suis un travailleur pauvre à la retraite, un ouvrier devenu enseignant sur le tard et pendant une brève période en Inde, un militant de base qui a rompu avec tous les dogmatismes, qui ne dispose comme référence que les enseignements qu'il a tirés de l'école de la vie, la meilleure selon Lénine, de ses quelques années de militantisme quand il était jeune, et qui a adopté la méthode scientifique du matérialisme dialectique et historique comme mode de pensée ou pour observer et ensuite interpréter le monde, méthode qui me sert de guide dans la vie quotidienne.

Quand j'ai un calcul à faire, je fais appel aux mathématiques et non à philosophie, et bien quand je dois interpréter le comportement de la matière, de la nature, des hommes, de la société, je fais logiquement appel aux lois de la dialectique qui déterminent leur fonctionnement et non à la métaphysique ou à des modèles mathématiques foireux.

Le mot du jour : Ceci explique cela.

Quel syndicat ou quel parti dit ouvrier a dénoncé cette mystification au coronavirus ? Absolument aucun.

Le visage hideux du capitalisme, c'est ce que nous vivons au quotidien. Mais apparemment certains s'en accommodent, parce qu'ils s'en tirent mieux que d'autres, pas toujours, et jusqu'à un certain point ils se moquent de savoir dans quelles conditions pourvu qu'ils puissent continuer de vivre comme avant, cela existe sans doute plus qu'on ne le croit.

Cela dit il n'y a pas lieu d'être pessimiste plutôt qu'optimisme, on s'en tient aux faits ou aux principaux facteurs qui déterminent l'orientation de la situation politique, et on n'accorde pas davantage d'importance qu'elles ne méritent aux déclarations d'où qu'elles viennent.

Mais vous mettez l'accent sur ce qui est négatif... Normal, puisque c'est ce qui l'emporte en période de réaction sur toute la ligne, non ? Ce n'est pas moi qui suis négatif, ne confondons pas. Et puis, si on met l'accent sur ce qui est négatif, c'est aussi parce que c'est ce que nous devons combattre aussi. Dire les choses simplement, s'en tenir à un constat ou aux faits, serait-ce être négatif ? Sans doute chez ceux qui voudraient nous faire taire.

Qui dit mieux ?

- Selon l'ONG Oxfam, la crise sanitaire pourrait précipiter 500 millions d'humains dans la pauvreté. AFP 14 mai 2020

LVOG - Vous ne trouvez pas cela suspecte cette propension à dramatiser quotidiennement la situation sociale ?

En réalité, ils jouent la même comédie qu'avec une banale épidémie qu'ils se sont employés à monter en épingle. Finalement, le Covid-19 se sera comporté comme le virus de la grippe ou les autres virus ou coronavirus apparus au cours des décennies antérieures.

Au lieu de le traiter de la même manière, ils ont décrété à Davos qu'il fallait transformer une simple épidémie en une terrifiante pandémie, histoire de déclencher une psychose collective qui justifierait des mesures coercitives et liberticides, antisociales, et permettrait à la ploutocratie d'avancer son agenda totalitaire et eugéniste.

La crise du capitalisme couvait ou s'était déjà répandue à l'échelle mondiale sur fond de récession économique annoncée ou en cours et de guerres permanentes, réduisant à la pauvreté et à la précarité des centaines de millions de travailleurs sans que cela ne préoccupe plus que cela la majorité des peuples des pays dits les plus riches ou développés, les travailleurs les mieux nantis et les couches des classes moyennes disposant d'un mode de vie supérieur à celui du reste de la population mondiale.

Aussi, cette machination à la pandémie imaginaire en paralysant une grande partie de l'économie mondiale aura présenté l'insigne avantage de projeter au premier plan ces centaines de millions de travailleurs pauvres, de manière à inquiéter tous ceux qui n'en faisaient pas encore partie, et auxquels par la suite ils sera exigés de nombreux sacrifices sous peine de les rejoindre un jour, ce qu'ils accepteront volontiers, quitte à devenir les esclaves et les complices d'un modèle de société détestable ou de plus en plus totalitaire, peu importe du moment que leur mode de vie privilégié aura été préservé ou n'aura été que peu écorné, ce qui en fait ne les changera guère ou pas du tout, l'essentiel étant que le régime dispose d'une base sociale minimale sur laquelle se reposer pour assurer sa stabilité politique, afin également de pouvoir mater ou réprimer en toute tranquillité toute velléité de soulèvement des couches les plus pauvres ou défavorisés.

On peut lire un peu partout que l'économie mondiale s'est écroulée et que le pire est devant nous. Le capitalisme va s'effondrer, survivra-t-il ? L'UE va exploser. Les classes moyennes vont dégraisser comme des millions d'entreprises qui vont envoyer au chômage des centaines de millions de travailleurs, des millions de petits commerces et de petites entreprises vont disparaître. Bref, cela annoncerait la fin du modèle de société que nous connaissions et que nous pouvions contester, ce qui deviendrait impossible s'ils nous numérisaient, vous cesseriez d'être humain. Je ne crois pas à cet effondrement, je n'ai aucune raison de croire dans des effondrements contrôlés, en revanche je crois en leur détermination à nous réduire en esclavage dans le cadre d'un régime totalitaire.

Ils font croire que des centaines de millions d'emplois pourraient disparaître du jour au lendemain, pour que ceux qui ont la chance d'avoir un emploi, c'est-à-dire, tous ceux qui ont été mis au chômage partiel et qui vont retrouver demain leur emploi, adoptent sans broncher le modèle antisociale que l'oligarchie leur aura concocté entre temps ou les mesures que le gouvernement a déjà annoncées et qui seront mises en oeuvre pendant une durée indéterminée, mesures justifiées par la nécessité de faire redémarrer l'économie et rembourser les 400 milliards d'euros que l'Etat a eu la générosité de distribuer aux braves capitalistes, non pas pour qu'ils s'enrichissent davantage ou spéculent, mais pour sauver des millions d'emplois et empêcher que ces travailleurs se retrouvent au chômage ou sombrent dans la pauvreté, accessoirement pour procéder à des licenciements. Ainsi, ils seront amenés à dire, merci Macron, merci patron ! Avec en guise d'encouragement, la bénédiction des dirigeants syndicaux et des partis dits ouvriers.

Combien vont-ils rester sur le carreau, pendant combien de temps, telle est la question, et selon la réponse dépendra qu'on s'acheminera vers une situation révolutionnaire ou l'inverse sachant que le pire serait encore à venir. Raoult n'est pas devin dans son domaine, moi non plus dans le mien.

Ce n'est pas aussi difficile que cela.

A propos de l'édito de la Tribune des travailleurs (POID) du 13 mai 2020.

Extraits.

LTT - Comme quoi « combattre la lutte des classes » – c’est-à-dire tenter de l’étouffer dans l’union nationale ou le corporatisme –, c’est plus facile à écrire qu’à faire dans la vraie vie.

LVOG - On va démontrer comment c’est tout aussi facile "à faire dans la vraie vie".

Nos dirigeants sont des bricoleurs amateurs, des dilettantes, ce qui "n'a pas de sens" c'est de réclamer une autre politique dans le cadre d'un régime totalitaire, parce que l'obstacle est justement l'existence du régime qu'il faut abattre, en présentant les choses ainsi, ils évitent d'affronter le régime, ils le ménagent. On se demandera comment on peut en arriver à faire référence à "la vraie vie", en ne tenant pas compte de la nature du régime en place, sinon par pur opportunisme.

A entendre notre philistin de service, la lutte de classe du prolétariat n'aurait pas été "étouffée" durant le confinement, elle n'aurait pas été non plus étouffée sous Sarkozy, Hollande et maintenant Macron, mais peut-être ne parlons-nous pas de la même chose. Moi j'évoque la lutte de classe des travailleurs qui a une orientation révolutionnaire, qui n'a pas un contenu réactionnaire ou corporatiste, or à quoi avons-nous assisté depuis des lustres ? Lui il en fait la promotion, moi je la combats. Chacun son camp !

On nous rétorquera que c'est démagogique de prétendre que le mouvement ouvrier pourrait avoir une orientation révolutionnaire en période de réaction sur toute la ligne. Autrement dit, cela justifierait tous les reniements possibles et imaginables. Toutes les combines pourries qui consistent à ménager les intérêts de l'aristocratie ouvrière ou des couches moyennes et supérieures des classes moyennes au détriment des autres couches de travailleurs, les plus défavorisées, celles où les travailleurs ne sont pas organisés et qui ne peuvent pas opposer de résistance au patronat et au gouvernement, seraient pour ainsi dire légitimes. Ce qu'il essaie de nous vendre, c'est une version prolétarienne (sic!) de la théorie du ruissellement chère aux "premiers de cordée".

Tandis que quelques millions de travailleurs bénéficient de la garantie d'emploi, d'un statut, de conventions collectives, de règlements intérieurs, de comités d'entreprise, de salaires leur permettant d'avoir un mode de vie relativement confortable, devinez qui fait les frais principalement des mesures adoptées dans le cadre du "dialogue social", sinon l'immense majorité des travailleurs précarisés sur la tête desquels plane en permanence l'épée de Damoclès du chômage et de l'extrême pauvreté ou de la misère. Un tel consensus suffit, pas besoin d'évoquer l'union nationale ou le corporatisme au conditionnel, ils figurent déjà en toile de fond de la situation.

LVOG - Une hypothèse mille fois vérifiée dans le passé, faisons comme si nous ne le savions pas.

LTT - Dans cette hypothèse qui verrait des syndicats accepter de coorganiser la baisse des salaires et l’allongement de la durée de travail, l’emploi serait-il préservé pour autant ? Même pas, reconnaît Soubie, qui prévoit de gigantesques plans de suppression d’emplois dans tous les cas.

LVOG - Ah, si au moins les emplois étaient préservés, rien ne dit que notre brave trotskyste n'accepterait pas que les salaires des travailleurs soient amputés, bravo !

La question a été posée et elle était de trop, même au conditionnel, ô combien révélatrice, les masques tombent ! Car que vaut votre parole contre celle de Soubie ? Que dal, la même chose pour Soubie, des cacahuètes pour les travailleurs, à ceci près qui fait toute la différence, c'est que le plus avantageux pour les travailleurs serait encore de croire qu'ils pourraient conserver leur emploi, donc ils seraient davantage portés à croire Soubie s'exprimant au nom du patronat.

LTT - Ce qui n’a pas de sens, c’est que le gouvernement ait fait voter par une Assemblée nationale unanime un plan de 343 milliards (devenus ensuite 400 milliards) d’euros déversés aux capitalistes pour qu’ils licencient en masse !

LVOG - Répétons-le encore une fois, ceux que vous nous avez vendus frauduleusement pour les représentants de la gauche pendant des décennies, n'ont-ils pas déjà accompagné des centaines de plans de licenciements brisant des millions de vie d'ouvriers et leurs familles tout au long de leur funeste carrière ?

Les réhabiliter ne suffisait pas, il fallait aussi faire croire en se servant de la classe ouvrière comme caution, procédé dégueulasse s'il en est, qu'ils pourraient prendre position pour l’interdiction des licenciements, alors qu'ils n'ont eu de cesse de les accompagner...

LTT - Ce qui ne ferait pas sens pour les travailleurs, ce serait que les organisations qui se réclament du mouvement ouvrier accompagnent un tel scénario. Ce qui fait sens pour la classe ouvrière, c’est précisément l’interdiction des licenciements et la confiscation des 400 milliards pour les affecter à l’emploi, les salaires, l’école, la santé et les services publics.

LVOG - Comment forger "le bloc uni de la classe ouvrière et de ses organisations rompant tout lien avec Macron", alors qu'elles sont génétiquement inféodées au régime, c'est encore faire croire que la classe ouvrière pourrait les submerger lors d'une mobilisation de masse, certes admettons-le pour l'occasion, mais privée de direction politique, sur quelle orientation sinon corporatiste, quelle en serait l'issue politique, on le sait d'avance, des concessions ou des miettes seraient accordées temporairement aux couches les plus mobilisées, tandis que les autres seraient mises à contribution pour régler l'addition.

S'il y en a encore qui croient que ce serait en alimentant ce genre d'illusions, qu'on va parvenir à résoudre la question de la direction de la classe ouvrière ou du mouvement ouvrier, on peut attendre indéfiniment.

Faites tomber les masques. Une imposture peut en cacher une autre.

POI 8 mai 2020 - Une véritable rentrée scolaire ? Non, un mensonge et une imposture !

En multipliant prises de position, déclarations, pétitions, des milliers de parents, d’enseignants avec leurs syndicats, refusent ce chaos. Pour que les écoles puissent rouvrir, ils exigent que les conditions de sécurité (le dépistage systématique, les masques...) soient réunies, que l’école reste l’école et qu’elle ne soit pas transformée en garderie.

Comme les personnels hospitaliers qui refusent la destruction du service public de santé et ses conséquences meurtrières, comme les personnels de Sécu qui refusent de fliquer les malades du Covid 19 et leurs contacts...

LVOG - En somme, l'ouvriérisme ou la crasse démagogie sans masque des fossoyeurs du socialisme.

Comment ça fonctionne ? C'est très simple

D'un côté, ils alimentent la psychose collective, de l'autre, ils en dénoncent les conséquences sur le plan social.

Parlons-en du personnel hospitalier, qui jusqu'à l'apparition de cette mystification au coronavirus, s'est accommodé "de la destruction du service public de santé et ses conséquences meurtrières" notamment. On pourrait en dire autant du personnel enseignant transformé en auxiliaire de la propagande du régime.

Les agents des transports en commun pourront verbaliser le non-respect du port du masque a-t-on appris, il serait sanctionner par une amende de 135 euros, de mieux en mieux !

Quant au personnel de la Sécu, en temps ordinaire il ne refuse pas de fliquer, sanctionner ou réprimer les assurés sociaux pour le moindre retard dans la transmission d'un document qui parfois leur a déjà été transmis, par exemple, au lieux de s'attaquer aux escrocs en col blanc des laboratoires ou des cliniques privées, aux praticiens qui prescrivent des traitements, des analyses, des opérations inutiles et coûteuses.

La plupart de leurs dirigeants sont issus de l'Education nationale ou sont fonctionnaires, idem au POID, LO, NPA, ceci explique cela.

Ce n'est qu'un constat et non une accusation, qu'on se comprenne bien. Comment voulez-vous combattre efficacement les conséquences de mesures que vous partagez ou auxquelles vous participez vous-même tout en sachant qui en est à l'origine, il faudra qu'on nous l'explique.

Les opportunistes flattent le comportement des fonctionnaires pour les recruter ou leur vendre leur camelote, c'est leur fond de commerce, au détriment du combat contre le régime et pour élever leur niveau de conscience politique qui jusqu'à preuve du contraire est compatible avec le corporatisme, ce qui les dérange le moins du monde, ceci explique cela.

Quand ils ne tiennent pas compte de la nature totalitaire du régime.

Coronavirus: plus de 60 plaintes déposées contre le gouvernement - AFP 13 mai 2020

LVOG - Apparemment, l'épisode de la répression féroce qui s'était abattue sur les Gilets jaunes pendant un an ne leur aura pas servi de leçon. L'amnésie ou l'incohérence du comportement des uns et des autres est stupéfiante. Jamais je ne signerai une pétition destinée à cautionner la légitimité de Macron et de ce régime. Déjà que j'ai peut-être fait une connerie en signant celle du POID...

Il y a des questions qu'on évite de se poser, parce que l'on craint les réponses qui risquent d'y être apportées.

Prenons la démographie mondiale.

Il ne faudra pas attendre que la population mondiale ait doublé ou triplé pour se poser la question de sa maîtrise et aborder sa réduction, car si on attendait d'être 15 ou 20 milliards pour se pencher dessus, il y a fort à parier qu'il serait alors trop tard pour reconstituer tout ce qui aurait été irrémédiablement épuisé ou détruit en terme de faune, flore et ressources naturelles ou matières premières, sans parler des graves dommages qui auraient été causés à la civilisation humaine, quand ils ne seraient pas irréversibles, car on n'imagine pas qu'une telle masse d'humains pourraient cohabiter paisiblement dans une société harmonieuse garantissant les libertés individuelles et collectives.

Il ne faut pas rêver, ce serait un cauchemar inimaginable, où la moindre pensée ou le moindre geste serait si sévèrement encadré, surveillé, orienté, que l'idée même de liberté ne nous viendrait même plus à l'esprit, le chaos précédant l'asservissement total de la population, qui n'étant plus maître de sa destinée pourrait dégénérée et la civilisation humaine disparaître.

La psychose collective doit être permanente pour instaurer le totalitarisme avec le soutien de la population.

À Wuhan, cela fait plus d’un mois que le confinement a été levé mais cinq nouveaux cas ont été détectés lundi 11 mai et en tout, le pays a signalé 17 nouveaux cas sur son territoire. francetvinfo.fr 12 mai 2020

LVOG - 17 nouveaux cas sur 1,4 milliard de Chinois, cela fait combien : 0,0000001% de la population, voilà ce qui sert à justifier des mesures d'un Etat policier, totalitaire.

Si les Chinois les acceptent, c'est que leurs facultés cognitives sont réduites à néant, ce ne sont plus que des zombis, ils sont plus qu'écervelés, comme lobotomisés.

L'épidémie de grippe saisonnière démarre chaque année aux environs de la 40e semaine de l'année et s'arrête entre la 12e et 16e de l'année suivante, elle dure donc entre 24 et 28 semaines. L'épidémie de Covid-19 ayant démarré lors des premières semaines de janvier elle devrait s'achever entre la fin juin ou juillet. Donc entre temps des gens vont encore mourir de ce coronavirus,

La stratégie du chaos et de la peur, de la guerre permanente comme unique principe de gouvernance des tyrans qui détiennent tous les pouvoirs.

LVOG - Il ne manquera plus bientôt que la sueur, mais la sueur, c'est pour la bonne cause!

Coronavirus : Bientôt 300 000 morts, le virus pourrait « ne jamais disparaître », selon l’OMS - 20minutes.fr 14 mai 2020

Au moment où des pays commencent à lever progressivement les restrictions imposées pour tenter de freiner l’épidémie apparue en décembre en Chine, l’OMS a lancé mercredi un message alarmant. « Nous avons un nouveau virus qui pénètre la population humaine pour la première fois et il est en conséquence très difficile de dire quand nous pourrons le vaincre », a déclaré Michael Ryan, directeur des questions d’urgence sanitaire à l’OMS, lors d’une conférence de presse virtuelle à Genève. « Ce virus pourrait devenir endémique dans nos communautés, il pourrait ne jamais disparaître », a-t-il insisté.

Autre élément inquiétant, une étude montre que le coronavirus pourrait bien se transmettre non seulement par la toux ou l’éternuement mais même par la parole. Les microgouttelettes de salive générées par la parole peuvent rester suspendues dans l’air d’un espace fermé pendant plus de dix minutes, selon une expérience publiée mercredi dans la revue PNAS et qui souligne le rôle probable des microgouttelettes dans la pandémie de Covid-19. 20minutes.fr 14 mai 2020

Ils ont de la suite dans les idées. Comment pourraient-ils vous pourrir la vie éternellement ? Suivez le guide.

LVOG - Vont-ils en profiter pour embrayer avec le virus de la grippe à l'automne prochain, la tentation est grande. Sachant qu'il existe un vaccin... et qu'il est inopérant, cela promet !

Coronavirus : et si l’on en faisait autant contre la grippe ? - lemonde.fr 09 mars 2020

Imaginez un virus contre lequel existeraient des médicaments, des barrières efficaces et un vaccin, et qui pourtant ferait en moyenne 10 000 morts par an en France. La collectivité nationale accepterait-elle pareil scandale ? Au vu de la mobilisation générale contre le SARS-CoV-2, qui a déjà infecté 1 126 personnes en France et en a tué 19, selon, le bilan effectué le 8 mars, on pourrait penser que non. Or ce virus et ce scandale existent. Ce sont ceux de la grippe saisonnière et de ses morts oubliés.

Cette maladie-là a engendré une surmortalité d’environ 8 100 décès lors de la saison 2018-2019, 13 000 l’année précédente et 14 000 en 2016-2017, selon Santé Publique France. Certes, des campagnes de vaccination sont organisées chaque hiver.

Les vaccins antigrippaux n’offrent qu’une protection partielle, en raison des mutations des souches virales.

Le tableau général est celui d’une large ignorance des bénéfices pour autrui de la vaccination. Ainsi, le système immunitaire affaibli des personnes âgées ne leur permet de profiter que très partiellement de la protection offerte par l’injection. Les vacciner n’est donc qu’une partie de la solution. La circulation du virus est plus efficacement stoppée parmi les plus jeunes, qui sont aussi les plus aptes à résister sans vaccin.

Il faut rappeler la dimension citoyenne de la vaccination : ce n’est pas uniquement pour soi que l’on surmonte la crainte de la seringue, mais pour les plus vulnérables – nourrissons, personnes immunodéprimées et âgées. Or ces dernières sont souvent invisibles dans notre société : affaiblies, elles meurent dans l’anonymat, fauchées par un virus grippal opportuniste. En 2019, 84 % des morts de la grippe avaient plus de 75 ans. Une forme de fatalisme et de désinvolture semble entourer ces fins de vie.

A ceux qui dénoncent un emballement excessif face au coronavirus en relativisant son impact par rapport à celui de la grippe si familière, proposons une question : combien de décès de la grippe seraient-ils évités chaque année si nous adoptions collectivement, et individuellement, ne serait-ce qu’une partie des comportements de précaution qu’a ressuscités l’arrivée du Covid-19 ? lemonde.fr 09 mars 2020

LVOG - Des "comportements de précaution imposés y compris par la force et non "ressuscités".

L'heure des comptes approch et ils vont s'avérer particulièrement cruels pour les uns et les autres.

Vidéo. COVID19 : Quelles leçons doit-on tirer de l'épidémie ? - 12 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=nGPaQsh_rVM

Big Brother Pharma l'a mauvaise, le Pr Didier Raoult a dévoilé un pan de leur sordide machination et il bénéficie du soutien de plus de 90% de la population, du coup sur YouTube "les commentaires sont désactivés" !

«On n'a pas voulu soigner les gens», fustige le Pr Didier Raoult - sputniknews.com 12 mai 2020

Dans un entretien filmé, le professeur Didier Raoult critique vertement les carences en matière de soins et d’hospitalisation des malades durant la crise sanitaire. Il pointe en particulier du doigt l’absence de tests systématiques et les essais thérapeutiques sur des substances qui auraient retardé les soins.

Selon lui, la crise sanitaire a mis en lumière que certains patients ont parfois été livrés à eux-mêmes.

À ce sujet, la décision des autorités de ne pas autoriser immédiatement l’hydroxychloroquine, traitement dont il vante l’efficacité contre le Covid-19, le laisse perplexe.

«Il ne faut pas que cette peur de l’épidémie, qui semble avoir tout envahi, finisse par remplacer ce qu’est la médecine habituelle. Il faut soigner les gens, il ne faut pas les laisser à la maison. […] Il s’est mis en place quelque chose de très étonnant. On ne soigne pas les gens, ensuite on interdit de prescrire les médicaments qui pourraient marcher. Ces épidémies ne doivent pas faire perdre les nerfs au point où en oublie la médecine elle-même», explique-t-il dans cet entretien.

«Tout ça a été rendu confus, car il y a un grand projet d’évaluation scientifique. C’est peut-être la raison pour laquelle on n’a pas voulu soigner les gens, en attendant qu’il y ait un essai thérapeutique qui arrive. Essai dont on connaîtra les résultats quand il n’y aura plus personne de malade […]», déclare-t-il dans cette vidéo.

Absence de tests systématiques

Le professeur Raoult a également souligné l’échec des autorités à mettre en place une politique de tests systématiques pour dépister les malades. Il y voit le signe d’une attitude «profondément antimédicale».

«Nous avons été incapables de développer les stratégies de tests systématiques, qui ont été mis en place dans la plupart des pays. Pourtant c’est banal, il y a plein de gens volontaires pour les faire. Il y a eu une tentative de monopoliser la capacité à diagnostiquer les gens, qui est profondément antimédicale», affirme-t-il. sputniknews.com 12 mai 2020

En complément. La désinformation n'est pas un "miracle" hélas !

- «Le traitement miracle n’en fait pas»: Michel Cymes lance une nouvelle pique à son confrère Didier Raoult – sputniknews.com 11 mai 2020

Quand les escrocs professionnels réclament des "certitudes" là où il n'en existe pas, et nient celles qui existent belles et bien.

Le Professeur Raoult ou le messie des temps modernes - La Tribune 12 mai 2020

Extraits.

LVOG - Des spécialistes du coronabusiness vous parlent ! Délirant !

La Tribune - Par Jamal Bouoiyour (IRMAPE, ESC Pau Business School, CATT, Université de Pau), Amal Miftah (LEDa, DIALUMR 225, Université de Paris-Dauphine, ESC Pau Business School) et Mariem Brahim, enseignante-chercheuse (ESLSCA Business School Paris).

LVOG - Sa démarche est salutaire, un cauchemar pour Big Brother !

La Tribune - La démarche du professeur pose aussi d'autres problèmes comme le risque de faire naître de faux espoirs, de décrédibiliser la science et de briser une confiance, déjà fragile, envers les institutions scientifiques.

LVOG - Quand sa létalité est inférieur à celui de la grippe, de la pneumonie, de la tuberculose, du VIH, etc.

La Tribune - Or, en ces temps de vacarme et de tumulte, les citoyens ont besoin de certitudes et de clarté, tant ils sont abasourdis par la virulence du Covid-19 et par l'ampleur de ses dégâts sur les plans économique, social mais surtout humain.

LVOG - Quand ce traitement a été administré par des dizaines de milliers de médecins et dans un grand nombre d'hôpitaux.

La Tribune - Sans oublier que, seuls les patients de l'IHU de Marseille ont « profité » de ce traitement ainsi que certaines personnalités bien en vue.

LVOG - Ne pas soigner les malades, ne pas sauver des vies, voilà leur éthique, criminelle !

La Tribune - Il semble évident que la recherche scientifique demande de la méthode et la médecine requiert de l'éthique.

LVOG - Ils ne s'en remettent pas, les médias ont été discrédités par les interventions du professeur Raoult.

La Tribune - Il est évident que le Pr. Raoult a raflé, en quelque sorte, la mise médiatique. N'empêche ! Sa croyance sans faille dans l'efficacité de la chloroquine le fera entrer, soit dans le panthéon des héros et du registre de vaillants lanceurs d'alerte si le traitement est efficace, soit dans les geôles de l'histoire, dans le cas contraire. L'avenir (proche) nous le dira. La Tribune 12 mai 2020

LVOG - Sans attendre votre place est toute trouvée, dans les poubelles de l'histoire !

Commentaires d'internautes.

1- La question est: faut-il faire confiance à la haute autorité médicale, des bureaucrates qui ne savent pas ce qu'est un patient.... ou alors faire confiance à une sommité reconnue des maladies infectieuses, qui lui est en contact permanent avec des patients.... mon choix est sans appel.

Merci Professeur pour la ponctualité de vos interventions et la pertinence de votre discours durant ces quelques semaines...

J'ose espérer que cela fera bouger le système et remettra l'église au milieu du village et surtout, qu'on arrêtera de financer ces bureaucrates bon à rien...

2- Article débile. Ce sont les Sud-coréens et les Chinois qui ont utilisé les premiers ce traitement. Puis des tas de pays et de médecins. Le Maroc a opté massivement pour la bi thérapie hydroxychloroquine azythromycine moins de 200 morts. Des tas de pays de Bahreïn, au Costa Rica, etc.

3- "On peut se poser la question de savoir si les analyses et les méthodologies académiques habituelles sont adaptées aux situations d'urgence sanitaire"

Tout est là. Et qui a donné les clés de bagnoles à des scientifiques ? Macron.

Si la crise avait été géré par des médecins militaires ou une comité ad hoc de crise, ayant pour objectif de "sauver le maximum de gens", on n'aurait pas 30 000 morts mais 5x moins.

Raoult ne fait que reprendre le protocole chinois qui propose 8 remèdes.

Les données ne sont pas statistiquement géniales, mais peut on se permettre d'attendre à 500 morts par jour comme en avril ?

Le plasma fonctionne il a été mis en œuvre massivement par la Chine aussi.

Le tocilizumab c'est la Chine aussi.

Alors ces études longues sont criminelles.

Quand en plus on sait que nos scientifiques ont osé donner du placebo (rien !) à des mourants, c'est monstrueux.

4- Les chiffres parlent pour le professeur Raoult 0.4 % de morts chez les gens atteint du coronavirus a Marseille contre plus de 2 % a Paris. Ce n'est pas le Christ mais juste un bon docteur au service des malades. Les autres sont des rapaces qui pensent qu'au fric versé par les labos.

5- Buzyn la grande critique de Raoult, a donné son traitement à la chloroquine à un proche.

La seule chose que les gens voient c'est que les labos ont un grand réseau de toubib qu'ils financent et que les politiques sont sous leur influence.

Le personnel soignant, les gens aisés et les politiques se soignent avec le traitement Raoult. Ca aussi on le voit.

Notre santé ne vaut pas bien chère pour tous ces toubibs, ils m'écoeurent.

6- Il a traité l'urgence comme un médecin de guerre et pour ceci il a eu raison. Point barre

7- Ah mais ça vient de la Tribune, ce journal de hyènes galeuses et de mous du bulbe ! Combien vous êtes payés bande d'ordures pour cracher sur le professeur Raoult ?

8- Au Sénégal moins de 30 morts merci Raoult.

9- Qui a dit qu'il était un messie ? Pas lui en tout cas. Comment essayer de faire passer quelqu'un pour un vantard alors qu'il n'a rien dit ni rien demandé. Cet homme est un scientifique, contrairement à toutes les dindes qui s'emploient à le contredire et le ridiculiser. Il fait honneur au serment d'Hippocrate et ne plie pas face aux lobbys pharmaceutiques.

C'est un médecin, un vrai

10- Il est juste resté honnête, l'appât du gain il s'en fout.

11- En tout cas, on ne parle pas assez de la tisane à base d'Artemisia de Madagascar qui est sans effet secondaire !

12- Ce n'est pas le messie le Professeur Raoult mais au moins comme il le dit très modestement, son devoir de médecin est de soigner les malades et d'en sauver le plus possible. Quoiqu'il en soit, il est navrant de constater qu'on empêche les gens de se soigner comme on veut pour préserver l'industrie de la grande pharmacie chimique et cela au détriment de remèdes naturels utilisés depuis très longtemps en Chine ou ailleurs et sans effet secondaire.

13- C'est juste un type rationnel.

Ce qui détonne beaucoup dans le monde d'aujourd'hui.

14- La communauté scientifique n'évalue que dal sinon la capacité des labos à faire de la tune sur le désespoir des gens.

La chloroquine est baucoup moins nocive que des tas de médicaments américains Ibuprofène et Zantac qui ont l'aval de cette même entité et qui rendent les patients encore plus malades. La nivaquine ne date pas d'hier des milliers de personnes dont je fais partie sont vivantes grâce à ce médicament qu'on a pris en Afrique et continue de prendre sans effet secondaire aucun. Seulement, qu'aux jours d'aujourd'hui on veut réinventer la roue, il faut des versions 2.0 avec leur sacro sainte technologie sinon ils croient retourner en arrière même si cela est ce qu'il y a de mieux pour sauver des vies dès le début des symptômes, pas au milieu, ni en fin de parcours. Ce qui connaissent n'ont pas besoin d'être convaincus, ni des discours de pseudo-experts qui ne sont en fait que des pions de la machine sanitaire mondiale qui au mois d'octobre simulait déjà des scénarios plausibles de cette pandémie; cherchez sur Google Event 201 vous verrez bien ce que nous préparait les bien pensants de ce monde capitaliste véreux.

15- Encore un article pour décrédibiliser le professeur Raoult.

Cependant maintenant nous savons tous qui il est, un homme intègre, dirigeant un bataillon de professeurs, de médecins et de chercheurs (+ de 800 personnes sur le site de l'IHU)

Nous connaissons tous son pedigree, un professeur de renommé mondiale, le n°1 de la recherche épidémiologique. Il y a suffisamment de documents consultables sur le net pour ajouter crédit à sa notoriété et à la qualité de ses recherches.

Nous voyons tous ses vidéos sur Youtube, ou sa façon d'expliquer sa lutte au quotidien nous permet de voir quel homme, quel scientifique il est. En comparaison avec les pseudo spécialistes des plateaux TV, cet homme, ce professeur là est en permanence sur le terrain, dirigeant les recherches et conduisant les travaux (test, analyses,etc) afin de bâtir une stratégie, une doctrine sur la lutte contre ce virus.

Notez aussi que d'innombrables scientifiques, professeurs, médecins appuient ses travaux et confirment sa vision de l'épidémie et cela malgré les tentatives grotesques du gouvernement de museler l'information et de décourager ceux qui veulent marcher dans ses pas !

Français, nous ne sommes pas aveugles, nous voyons qui cherche à nous soigner et qui poursuit le but de nous maintenir dans une situation de stress et de peur afin de nous soumettre.

Résistance.

16- Une seule chose est vraie: En temps de guerre (dixit Macron) on use pour soigner les blessés tout ce qu'on a sous la main et on ne peut pas attendre qu'un comité donne ou ne donne pas son aval pour tel ou tel soin. Le curieux dans cette affaire c'est que le gouvernement a interdit aux médecins d'user le médicament qui existait et en quantité sur le marché sous prétexte qu'il n'était pas admis pour soigner le covid19 mais autre chose. Les médecins ont été privés du droit de soigner leurs patients selon leurs critères. Et cela pour protéger les intérêts financiers des grands Labos qui veulent s'enrichir encore plus avec cette pandémie... Là, après faudra que ce "pouvoir" rende des comptes car des milliers de morts vont réclamer pour leur vies!

17- Une chose est sûre, cette crise et le professeur Raoult m'ont permis de réaliser la puissance et le culot des lobbies des grands groupes pharmaceutiques ! Même preuves à l'appui, ils continuent à essayer de vendre leurs merdes en démolissant (avec la collaboration des médias et des médecins de plateaux télévisés) les produits efficaces dont le seul défaut est d'être bon marché !

18- Il semble plus logique de faire confiance à un expert-professeur avec une renommée mondiale, qu'à une bande de politicards, pseudo-médecins et porte-parole qui vendraient leurs parents pour leur carrière.

19- Les auteurs de l'article : Jamal Bouoiyour (IRMAPE, ESC Pau Business School, CATT, Université de Pau), Amal Miftah (LEDa, DIALUMR 225, Université de Paris-Dauphine, ESC Pau Business School)

Bref ! de grands infectiologues ou virologues en herbe français...

20- Comment voulez-vous que les laboratoires qui cherchent un vaccin qui leur rapportera des milliards puissent tolérer qu'on soigne la COVID19 avec des comprimés à 80 Cts ! En empêchant cette thérapie il y a eu des milliers de morts inutiles mais personne ne leur fera payer.

21- Propagande anti Raoult. Lamentable. Ce n'est pas du journalisme et vous manquez totalement d'intégrité.

22- Encore un article de voyous qui fait semblant d'aller dans le sens du poil pour démolir le Professeur Raoult.

Mais le Professeur n'aura pas sur la conscience des milliers de morts tétanisés par la peur et la tragédie.

23- En tant que spécialiste en méthodologie expérimentale je ne peux qu'approuver le Pr Raoult et désapprouver Madame Agnès Buzyn qui a déjà montré son inaptitude à un jugement pragmatique quant à ses décisions sur le remboursement de l'homéopathie. Le consensus scientifique est extrêmement dangereux, rappelez vous Galilée et Giordano Bruno.

24- Normalement une courbe naturelle d’épidémie a un pic, un plateau, ça redescend et ça diminue de virulence , quelques sursauts et ça disparaît comme le Sras en 2003... si ce virus se maintient et ça s’aggrave : il faut une enquête internationale sur les origines non naturelles de ce virus.

La récession économique mondiale était déjà existante avant le virus.

Les Marseillais ont la chance d’avoir le Professeur Raoult.

25- Je suis encore surpris des jugements que les journalistes utilisent alors qu'ils n'ont manifestement aucune aptitude à juger. Le journaliste écrit "on retrouve la question de la méthode « scientifique » qui évalue rigoureusement la réelle efficacité d'un traitement, et garantit aussi son innocuité et sa non-toxicité"

Je voudrais tout d'abord, en tant que scientifique, (un doctorat et quelques années de recherche derrière moi), vous préciser que dès le premier test du Professeur Raoult, la rigueur scientifique était présente, ce premier essai préliminaire est exactement ce que font tous les chercheurs dignes de ce nom, afin de détecter un éventuel effet. 3 fois 24 patients subissant trois traitements différents est un test riche d'enseignement. Les résultats obtenus sont si différents qu'ils sont indiscutable et statistiquement déjà représentatifs. L'effet est démontré comme significatif. Il ne se trouvera aucun chercheur digne de ce nom qui pourra démontrer le contraire.

En contrepartie, les précisions de l'effet différencié ne sont déterminées avec précision, comme c'est le cas dans chaque essai préliminaire mais ce n'est pas le sujet. Les biais d'un tel test qui réduiraient la pertinence de la démonstration ne sont pas décrits par ses détracteurs et personne n'en a même abordé un seul.

Quant aux effets secondaires, ils sont connus depuis si longtemps qu'aucun médecin de ville ne se laisserait surprendre par eux. Alors pourquoi répéter bêtement ce que des pseudo médecins de bureau ou de salon en disent. A croire qu'ils sont si incompétents qu'ils viendraient de les découvrir, ils devraient retourner en cabinet, ça leur ferait du bien.

26- Encore une fois cet article fait la part belle au mythe du messie alors que le Pr Raoult lui-même a dit plusieurs fois que Nostradamus c'est pas à Marseille c'est à Salon-de-Provence. Il faudrait le comparer au général Patton plutôt, Raoult a un esprit militaire, il sait organiser et commander et il ne se fait pas que des amis mais l'efficacité est la seule chose qui compte. En résumé il fonce comme Patton le faisait et pose la question de l'efficacité globale de l'action qui consiste en l'occurrence à tester, diagnostiquer et traiter VITE (le traitement n'est qu'une part de son action). Et il faut constater que 17 décès sur plus de 3200 patients, c'est un résultat qui dépasse tout ce qui existe même dans certains pays où on teste beaucoup. Le facteur prépondérant c'est la rapidité et la qualité de la prise en charge, c'est visible partout dans le monde. C'est pourquoi certains pays font (beaucoup) mieux que d'autres et si on ajoute la bithérapie Raoult c'est encore mieux. Et pourquoi aussi quand on regarde les essais faits sur des patients déjà gravement atteints, voire déjà en réanimation les résultats sont bien pires, traitement ou pas. D'après les spécialistes, c'est toujours comme ça pour toutes les maladies infectieuses. Raoult n'est ni un prophète ni un messie ni un politique, c'est un guerrier. Il s'est construit comme ça, à l'image de son père (général) et de son grand-père résistant.

27- Résultat surtout de la pensée binaire imposée par les médias de masse et plus particulièrement la télévision dont la capacité de manipulation est de loin la plus puissante.

"Le controversé professeur Raoult" c'est comme ça que je l'ai vu traité par un présentateur de l'information télé, on ne peut décemment pas parler de journalisme, le cantonnant de suite dans le "mal" cataloguant d'emblée, sans aucun débat, ses partisans.

Les partisans de ce fait se retrouvent également cantonnés à défendre tout entier un personnage alors que cela n'est sémantiquement pas possible et le piège sémantique est bien en place.

L'intelligence voudrait simplement que l'on se penche sur ses affirmations et que l'on tente ça et là de voir ce que cela donne et de l'utiliser quand il y en a besoin mais non la binarité sémantique médiatique impose que l'on choisisse un camp bannissant définitivement ainsi la vérité.

Votre papier n'échappe pas à la règle tandis qu'un article étoffé, prenant du recul sur les phénomènes, pesant le pour et le contre ne fera pas le buzz certes parce que comme le dit Nietzsche il est plus facile de convaincre les gens avec une demi vérité qu'une vérité toujours plus longue à expliquer alors que le cerveau humain n'aime pas ce qui est long à expliquer, mais servira de référence pour des siècles à venir, la cupidité pathologique et maladie des propriétaires de ces médias leur impose de traduire leur obscurantisme qu'ils prennent pour une vérité sur le "papier" générant des articles jetables.

Ne vous ne faites pas ils sont la règle car les écoles de journalisme formatent l'individu à la production et non aux raisonnements forcément bien trop dangereux pour nos dragons célestes dont la suprématie ne se repose pas sur leur génie mais seulement sur la cupidité et faiblesse de leurs serviteurs alimentant leurs propre cupidité et faiblesse.

Fake news. Cette "découverte" chinoise (sic!) vous est offerte généreusement par... BlackRock !

LVOG - Le but de la manoeuvre : Ecarter l'hypothèse qu'un laboratoire pourrait être à l'origine du SARS-CoV-2 ou Covid-19.

Comment se fait-il qu'il ait été séquencé le 5 janvier 2020 à l'université Fudan de Shanghai en Chine, et que ce soit quatre mois plus tard que des chercheurs chinois se réveillent et découvrent qu'il présenterait certaines similitudes et différences (pour ne retenir que ces dernières) avec un coronavirus issu de chauves-souris?

En réalité, les chercheurs chinois le savaient depuis des mois ou même depuis le début, puisqu'ils avaient séquencé le coronavirus RmYN02 entre mai et octobre 2019, il suffisait de comparer les deux coronavirus dès le mois de janvier pour s'en apercevoir. La revue Nature le confirma le 3 février (https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7).

Restait à démontrer que le Covid-19 aurait été le produit de mutations d'un tel coronavirus, le RmYN02. Ne trouvant toujours pas d'explications, ils en déduisent soudainement sur fond de polémique, que ces mutations tout en étant "inhabituelles", n'auraient pas pu être conçues en laboratoire, et comme ils ne craignent pas le ridicule ou ils peuvent sévir en toute impunité, ils affirment que ces mutations auraient une "origine indépendante" sans savoir laquelle évidemment, écartant autoritairement une intervention humaine.

Vous aurez noté au passage qu'en réalité ils ne savaient pas grand chose, entre ce qui est "inhabituelles" ou qu'ils sont incapables d'expliquer, et ce qui a une "origine indépendante" et demeure un mystère, ce qui ne les a pas empêché de devenir impératif au moment de nous servir leur conclusion, là où ils voulaient en venir sans doute.

On sait que dans de nombreux laboratoires, y compris militaires aux Etats-Unis notamment, des chercheurs manipulent des virus ou coronavirus provenant de toutes sortes d'animaux dont les chauves-souris, et qu'ils vont même jusqu'à les modifier pour en observer le comportement... Donc l' "origine indépendante" des mutations d'un virus de la chauve-souris pourrait très bien se trouver dans un laboratoire.

Si le coronavirus RmYN02 pratiquement similaire au Covd-19 était incapable d'infecter les cellules humaines, parce qu'il n'y avait aucune ressemblance avec "la partie du génome codant le domaine protéique associé au récepteur de l’Homme ACE2", pourquoi ne pourrait-on pas envisager qu'il ait fait l'objet d'une manipulation en laboratoire, qui aurait permis de combler cette lacune et de contaminer les hommes ? L'origine du Covid-19 serait établi et la polémique serait close, mais cela ne règlerait pas pour autant la question de l'origine de cette mutation.

Ce qui est étonnant, après les multiples coïncidences (sic!) qui ont entouré l'apparition de ce coronavirus depuis octobre 2019, et dont vous trouverez tous les détails dans ce portail, on apprend qu'au même moment ou durant la période allant de mai à octobre 2019, des chercheurs avaient collectés au même endroit, dans la province chinoise de Wuhan, justement là où l'épidémie allait démarrer, pas moins de 227 échantillons de coronavirus sur des chauves-souris.

Vous avouerez que cela fait décidément beaucoup trop de coïncidences pour en être vraiment, sans préjuger de ce qui s'est réellement passé et qu'on ne sera peut-être jamais, sans pour autant accorder le moindre crédit à la déclaration de ces chercheurs. D'autant plus qu'ils ont publié le résultat de leur recherche dans une revue américaine dont le principal actionnaire est BlackRock, lisez, cela ne s'invente pas.

En guise d'épilogue.

S'il est exact qu'aucun de ces 227 échantillons de coronavirus prélevés sur des chauves-souris n'était transmissible à l'homme, sachant qu'une chauve-souris peut accueillir jusqu'à 1500 virus, cela ne prouve rien. Previous studies have shown that some bat SARSr-CoVs have the potential to infect humans (Nature, id). Traduction : Des études antérieures ont montré que des chauves-souris porteuses de SARSr-CoVs avaient le potentiel d'infecter les humains. En admettant que ce ne soit pas le cas, cela signifierait que le Covid-19 serait venu d'ailleurs, d'où, on n'en sait rien. Il existe seulement un faisceau de coïncidences qui mène à Davos à défaut de preuves.

Et ces horribles russes qui ne veulent pas mourir du Covid-19 !

Coronavirus : que se passe-t-il en Russie, où l'on recense 10 000 nouveaux cas de Covid-19 chaque jour, mais où le nombre de morts reste relativement bas ? - francetvinfo.fr 14 mai 2020

Le phénomène se répète depuis dix jours. Toutes les 24 heures en Russie, un peu plus de 10 000 nouveaux cas de contamination au coronavirus sont recensés, d'après les données de l'université américaine Johns-Hopkins*. C'est désormais le deuxième pays le plus touché au monde en termes de contaminations, avec 242 271 cas confirmés, mercredi 13 mai.

Deuxième Etat le plus touché en nombre de cas, mais pas en morts liées au Covid-19. Avec 2 212 victimes officielles du coronavirus, la Russie arrive très loin derrière les Etats-Unis (82 548 morts), mais aussi derrière l'Espagne (près de 27 000 morts) et le Royaume-Uni (plus de 33 000 décès), deux pays affichant pourtant des niveaux équivalents d'infections au virus.

"Il semblerait que la vague épidémique en Russie ait du retard sur l'Europe occidentale. Le pays a été touché un peu plus tard", observe Luc Lacroix, correspondant permanent de France Télévisions à Moscou.

L'ampleur du dépistage du coronavirus en Russie expliquerait aussi, selon les autorités, ces bilans quotidiens si élevés. Mardi, pas moins de 5,8 millions de tests avaient été recensés dans le pays, sur une population d'environ 145 millions d'habitants. Le président de la Fédération, Vladimir Poutine, a d'ailleurs assuré lundi que jusqu'à 300 000 tests seraient réalisés quotidiennement, contre 170 000 en début de semaine.

"L'une des raisons de leurs bons chiffres officiels (en termes de décès), selon eux, c'est qu'ils ont pris des mesures tôt", explique Luc Lacroix. Le confinement a débuté le 30 mars à Moscou "et l'isolement des personnes de plus de 65 ans a commencé une semaine plus tôt", précise le correspondant de France Télévisions.

La Russie assure en parallèle avoir pris à temps des mesures au niveau de ses frontières. Mi-mars, elle les fermait à tout citoyen étranger, alors que sa frontière avec la Chine était close depuis le 30 janvier. Les personnes revenant de pays considérés à risque ont été placées en quarantaine chez elles, pendant 14 jours.

Selon certaines critiques du pouvoir russe, plusieurs milliers de morts liées au Covid-19 n'ont pas été correctement recensées dans le pays. Des données relayées par le journal Moscow Times* montrent qu'il y a eu 20% de décès en plus à Moscou en avril, en comparaison avec le nombre moyen de décès recensés le même mois au cours des dix dernières années. Une augmentation liée à l'épidémie ? C'est possible, répond Vladimir Kozlov. Pour Aleksei I. Raksha, démographe à Moscou interrogé par le New York Times*, 70% des morts liées au Covid-19 dans la capitale russe n'ont pas été rapportées. Une sous-évaluation qui pourrait être liée à la méthode de recensement des décès.

Et "si en France nous comptons largement, en Russie, on estime qu'il faut que le Covid-19 soit la seule cause du décès, explique Luc Lacroix. Si vous avez par exemple un problème cardiaque et le Covid-19, on ne comptera pas forcément le Covid-19 comme cause de votre mort." A Tcheliabinsk par exemple, trois morts ont été recensées comme ayant été provoquées par le virus. Sept autres personnes sont mortes après avoir été testées positives au Covid-19, mais les statistiques officielles estiment qu'elles sont mortes d'autres causes, relate le Moscow Times*. Le journaliste relève que les deux premières victimes du coronavirus en Russie ont par la suite été "déclassées" : "Ces personnes avaient une autre pathologie, on a ensuite estimé que le virus ne les avait pas tuées". francetvinfo.fr 14 mai 2020

LVOG - Vous aurez particulièrement apprécié cet aveu d'une cruauté inouïe "si en France nous comptons largement", à la louche pour entretenir la psychose et justifier le confinement, le masque et le traçage numérique, la remise en cause de nos droits sociaux, le totalitarisme.

Il faut croire qu'il y aurait plus de médecins honnêtes en Russie qu'en France ou en Italie, en Espagne, en Belgique, en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis notamment.

Une découverte... idéologique.

Des scientifiques chinois auraient percé le mystère de l’origine du coronavirus de Wuhan - sputniknews.com 12 mai 2020

Une équipe de scientifiques chinois a découvert que les mutations inhabituelles qui caractérisent le coronavirus SARS-CoV-2 se retrouvent dans un autre virus récemment identifié, issu de chauves-souris. Cette découverte réfute la théorie selon lequel le nouveau type de coronavirus aurait été créé en laboratoire. Les résultats de leur étude ont été publiés dans la revue Current Biology.

Le coronavirus RmYN02 a été détecté parmi 227 échantillons collectés dans la province chinoise de Wuhan entre mai et octobre 2019. Il s'avère que certaines parties du génome ARN RmYN02 sont presque identiques à ce qui est observable chez SARS-CoV-2. Par exemple, les ARN des deux virus sont similaires à 97,2% pour les protéines codant le gène 1ab.

Toutefois, dans la partie du génome codant le domaine protéique associé au récepteur de l’Homme ACE2, aucune ressemblance n'a été détectée. Cela signifie que RmYN02 est incapable d'infecter les cellules humaines, contrairement à SARS-CoV-2.

La principale ressemblance entre les deux virus est qu'ils ont tous les deux des insertions aminoacides au niveau de la protéine responsable de l'infiltration du pathogène dans la cellule. Ces mutations étaient considérées comme une particularité unique de SARS-CoV-2 et étaient présentes dans tous les génomes du coronavirus de Wuhan jusqu'à présent. Et parce que ces mutations étaient inhabituelles, certains experts avaient suggéré qu'elles pourraient indiquer l’élaboration du virus en laboratoire, indique la revue. …et différences

Toutefois, les insertions de séquences chez RmYN02 diffèrent de celles de SARS-CoV-2, ce qui indique leur origine indépendante. Suite au fait que le RmYN02 ne se trouve que dans la faune sauvage, cela réfute l'hypothèse selon laquelle les insertions du coronavirus de Wuhan puissent être le résultat d'une manipulation génétique. sputniknews.com 12 mai 2020

Un internaute : Nos commentaires sont systématiquement supprimés, je ne comprend pas ?

LVOG - On va vous expliquer pourquoi.

Qu'est-ce que Current Biology ?

Wikipédia - Current Biology (abrégé en Curr. Biol.) est une revue scientifique américaine de biologie cellulaire, biologie moléculaire, zoologie, botanique, neuroscience, immunologie, virologie, microbiologie, génétique, et physiologie, écologie, éditée depuis décembre 1991. Elle a été fondée par le groupe Current Science puis acquise en 1998 par Elsevier avant d'être intégrée au groupe Cell Press depuis 2001. Elle est publiée bimensuellement en anglais.

Qu'est-ce que Cell Press ?

Cell Press, est une maison d’édition basée aux États-Unis et filiale du groupe éditorial Elsevier

Qu'est-ce que Elsevier ?

Elsevier B.V. est un groupe éditorial, filiale de la multinationale néerlando-britannique RELX Group.

En 1991, la revue The Lancet, propriété de Robert Maxwell via Pergamon Press est acquise par Elsevier.

En 1993 a lieu la fusion avec le groupe britannique Reed, spécialisé dans l'événementiel professionnel et les médias, pour former le groupe Reed Elsevier.

En 2005, le groupe rachète l'éditeur scientifique français Masson et le fusionne avec Elsevier France pour former Elsevier Masson.

En 2015, Reed Elsevier prend le nom de RELX Group.

Elsevier dispose de plus de 7 000 collaborateurs répartis sur une centaine de sites à travers le monde.

Qu'est-ce que RELX Group ?

RELX Group, anciennement Reed Elsevier, est un groupe international d'édition professionnelle, issu de la fusion, en 1993, de la société britannique Reed International PLC et de la maison d'édition néerlandaise Elsevier NV.

En 2009, le groupe était le second plus grand éditeur mondial et employait plus de 32 000 personnes réparties dans 200 pays.

Reed Business Information France a été cédé à Edmond de Rothschild Investment Partners le 31 mai 2013.

Principaux actionnaires

BlackRock Investment Management
BlackRock Fund Advisors
The Vanguard Group
Lazard Asset Management LVOG – Quel taux de fiabilité accordez-vous à cette “découverte” ? Zéro !

Les rats quittent le navire infecté ou ils sont exfiltrés une fois la sale besogne accomplie

Le directeur de l'OMC prévoit de quitter ses fonctions, rapporte Bloomberg - Reuters 14 mai 2020

Le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Roberto Azevedo, prévoit de quitter ses fonctions avant la fin de son mandat en 2021, a rapporté mercredi soir Bloomberg, citant quatre personnes au fait de la question. Reuters 14 mai 2020

Totalitarisme. Ils haïssent la liberté d’expression, une menace...

Haine en ligne: le Parlement valide des mesures de lutte controversées - AFP 13 mai 2020

A l'issue d'un long parcours chaotique, le Parlement a adopté définitivement mercredi, via un ultime vote de l'Assemblée à main levée, la proposition de loi de Laetitia Avia (LREM) visant à "mettre fin à l'impunité" de la haine en ligne, un texte jugé "liberticide" par ses détracteurs.

Les députés se sont prononcés par 355 voix pour, 150 contre et 47 abstentions sur ce texte qui prévoit à partir de juillet pour les plateformes et les moteurs de recherche l'obligation de retirer sous 24 heures les contenus "manifestement" illicites, sous peine d'être condamnés à des amendes allant jusqu'à 1,25 million d'euros. Sont visées les incitations à la haine, la violence, les injures à caractère raciste ou encore religieuses.

Il s'agit de la première loi au menu sans lien avec le coronavirus, depuis le début de l'épidémie en France. Mais selon le secrétaire d'Etat au Numérique Cédric O, "la haine en ligne a augmenté" durant le confinement et ses auteurs "se sentaient plus que jamais intouchables".

Dans le droit fil de l'engagement d'Emmanuel Macron depuis 2018 à renforcer la lutte contre la haine raciste et antisémite qui prospère sur internet, la proposition de loi avait entamé son parcours parlementaire en avril 2019.

Fustigeant un texte confiant aux GAFA (Google, Amazon, Facebook et Apple) "le soin de réguler une liberté publique", le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a annoncé une saisine du Conseil constitutionnel.

Les opposants au texte déplorent que la caractérisation d’un contenu «manifestement illicite» soit mise entre les mains des réseaux sociaux, et non de la justice. «Ces messages explicites n’ont pas besoin d’une procédure judiciaire de plusieurs mois pour être retirés», estime Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT. «Ce texte n’est pas parfait, mais il répond à un problème important.» Autre crainte: que les plateformes censurent à tour de bras les contenus signalés afin d’échapper aux sanctions financières. Cet argument est repris par les réseaux sociaux. «Le régulateur doit être prudent lorsqu’il souhaite confier à une entreprise privée la question de la légalité d’un propos, plutôt que de se référer à la justice», affirmait en février au Figaro Monika Bickert, directrice de la politique des contenus de Facebook. «Traiter le contenu gris, difficile à qualifier, suppose des modérateurs formés et qualifiés, car l’intelligence artificielle ne peut pas tout, ajoute Loïc Rivière, directeur de Tech In France, qui représente notamment les plateformes. Or le coronavirus empêchera de recruter et former rapidement le personnel nécessaire.» Les plateformes demandent donc de repousser l’entrée en vigueur du texte, prévu pour le 1er juillet.

Le texte de loi impose aux grandes plateformes comme Facebook, Twitter ou YouTube de retirer sous 24 heures tout contenu «manifestement haineux» qu’il leur sera signalé par leurs utilisateurs. Sont concernés: l’injure, la provocation ou l’appel à la haine contre des personnes en raison de leur religion, orientation sexuelle ou origines. La négation et l’apologie des crimes contre l’humanité sont aussi concernées, tout comme le harcèlement sexuel en ligne. Un volet du texte, ajouté en cours de route, fixe aussi une limite d’une heure pour le retrait des contenus terroristes et pédopornographiques signalés par les autorités.

En attendant, la bataille se déplacera sur le champ des décrets d’application du texte. Il s’agira de déterminer quels sites seront réellement concernés par la nouvelle loi. Il n’est pas encore tranché si les forums et les sections commentaires des sites d’information seront concernés. De plus, un seuil, fixé en fonction du nombre de visiteurs du site, devra être défini pour épargner les plus petits d’appliquer les lourdes obligations prévues. «L’objectif est de cibler les gros acteurs, ceux qui présentent le plus grand risque de large propagation des contenus haineux, explique-t-on dans l’entourage de Cédric O. Mais nous voulons également éviter tout phénomène de déport des contenus haineux vers des sites non couverts.» AFP et Le Figaro 13 mai 2020

Commentaires d'internautes, du Figaro, s'il vous plaît.

1- Après le masque... le bâillon !

2- Nous voilà bâillonnés. La prochaine étape, c'est quoi ? nous bander les yeux ?

- Ces lois étendent abusivement les pouvoirs discrétionnaires de plates-formes et de juges, dans un régime où la morale est monopolisée par l'Etat, après qu'il ait évacué toutes les autres par une mensongère "neutralité".

3- Une honte absolue. Chaque jour ce régime enchaîne la France un peu plus.

4- On vit une époque formidable, des siècles pour obtenir la liberté d’opinion, de parole, de caricature, et finalement ça n’aura duré qu’une fraction de seconde à l’échelle de l’histoire. Le pouvoir s’est toujours arrogé le droit de mettre en cage les enragés nuisibles. Maintenant on va appeler à la délation et vous ranger dans des cases. Nietzsche disait que les puissants sont des bêtes sauvages non-attachées.

5- Alors je n'ai plus le droit de dire que je hais l'homme qui a tué mon enfant ?

C'est un exemple de la stupidité de cette loi.

6- Une loi liberticide de plus.

Seul l’éveil des consciences individuelles pourra sauver le monde.

7- Un monde parfait sans pensée déviante à portée de main, le monde idéal pour celui qui peut définir ce qui est le bien.

Une tyrannie pour les autres.

8- Encore un déni de démocratie! LaReM instaure une dictature en France. Révoltons nous !

9- Le siècle des lumières ? Le pays des droits de l'homme ? Liberté, égalité, fraternité ? Ah oui, c'était avant. Foutaise désormais.

Et dire que la majorité actuelle selon les dernières élections ne représente que 15% des Français.

10- La loi Avia donne à la France de 2020 un air de l'Allemagne des années 1933 à 1945. Le guide est la manœuvre.

11- Interdire un sentiment, encore une réussite de LREM. 1984, nous voilà.

12- Encore une atteinte de plus à la liberté d'expression, un vieil acquis de la révolution, et cap sur le bien-pensant et la pensée unique. Ils sont loin les Coluches, Desproges, etc... On ne peut pratiquement plus rien dire, avant on pouvait... reste plus qu'à subir.

13- Pathétique. J'ai honte pour mon pays.

Cela fait belle lurette que la raison d'Etat n'existe plus en occident ou aux Etats-Unis.

Déconfinement : pour Muriel Pénicaud, "il n'y a pas de raison que l'Etat continue à payer l'intégralité des salaires" du secteur privé - francetvinfo.fr 11 mai 2020

"Aujourd'hui, il y a 12,2 millions de salariés qui sont couverts par le chômage partiel", soit "six emplois sur dix du secteur privé", a déclaré Muriel Pénicaud sur LCI. Mais "aujourd'hui, les conditions de la reprise sont là. Donc il n'y a pas tellement de raison que ce soit l'Etat qui continue à payer l'intégralité des salaires de 12 millions de salariés en France", a poursuivi la ministre.

"C'est pour ça qu'on va définir je pense dans la semaine quelle est la part de salaire que paiera l'entreprise", a-t-elle précisé, en indiquant que ce montant n'était "pas encore décidé". "Ce sera modeste dans un premier temps mais progressif", a-t-elle néanmoins promis.

Actuellement, les salariés du privé mis au chômage partiel par leur entreprise bénéficient d'une garantie de 84% du salaire net (100% pour les salariés au smic), que l'Etat et l'assurance-chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 smic.

En raison du déconfinement, le gouvernement a toutefois prévu que les entreprises contribuent dans des "proportions raisonnables" aux salaires des employés maintenus au chômage partiel, après le 1er juin. Toutefois, le chômage partiel restera pris en charge "à taux plein" dans certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration, qui ne sont pas autorisés à reprendre leur activité. francetvinfo.fr 11 mai 2020

Non, ils bossaient gratis !

- Télétravail: les employeurs doivent-ils indemniser leurs salariés? - Le HuffPost 13 mai 2020

La Grande-Bretagne prolonge de quatre mois le dispositif de chômage partiel - Reuters 12 mai 2020

La Grande-Bretagne a prolongé mardi de quatre mois, jusqu'en octobre, son dispositif de chômage partiel financé par l'Etat pour permettre aux entreprises de faire face aux conséquences de la crise du nouveau coronavirus.

Quelque 7,5 millions de salariés bénéficient actuellement de ce dispositif, qui permet de toucher 80% de sa rémunération dans la limite de 2.500 livres (2.834 euros) par mois.

Le programme, destiné à éviter une envolée du chômage comme celle observée aux Etats-Unis, coûte à l'Etat britannique environ 10 milliards de livres par mois, soit l'équivalent des dépenses consacrées aux services publics de santé.

Les entreprises utilisant ce dispositif seront autorisées à compter du mois d'août à demander à leurs salariés de retourner au travail, a déclaré Rishi Sunak.

Il a ajouté qu'à cette date les entreprises devraient commencer aussi à partager le coût du programme, promettant de fournir des précisions sur le sujet d'ici la fin mai. Reuters 12 mai 2020

Mêmes la pauvreté et la précarité, qu'en temps ordinaire ils ignoraient, doivent faire l'objet d'une instrumentalisation.

En Italie, les "nouveaux pauvres" du coronavirus - AFP 14 mai 2020

En février, la pandémie a trouvé une économie déjà fragile, plombée par une grande inégalité, l'endettement public, un chômage à 9%, et une part importante du travail au noir, notamment dans le sud.

Selon le syndicat agricole Coldiretti, le nombre de personnes ayant recours à l'aide alimentaire a augmenté de plus d'un tiers, pour atteindre 3,7 millions de personnes, soit un million de plus qu'auparavant, ceux que le syndicat a décrits comme les "nouveaux pauvres".

En Grande-Bretagne, presqu'un million de personnes, soit dix fois plus qu'en temps normal, ont entrepris de demander le crédit universel, la principale aide publique; aux Etats-Unis, les rangs des chômeurs se sont gonflés de 20 millions de personnes.

En avril, l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), a prévenu que 27% des Italiens pourraient tomber dans la pauvreté s'ils devaient renoncer à trois mois de revenus. Or, la Repubblica a évalué à 11,5 millions le nombre de personnes qui ont subi des pertes de revenu, soit la moitié de la force de travail du pays.

Caritas explique que les demandes d'aide dans ses centres ont plus que doublé depuis le début de la pandémie ("114%). L'association Nonna Roma, qui aide les Roms de la capitale italienne, une population très vulnérable, aidait 300 familles, le chiffre est passé à quasiment 4.000, dit à l'AFP son président Alberto Campailla.

"Il ne s'agit plus seulement des familles en situation de pauvreté absolue, mais aussi de ceux qui travaillaient au noir, des travailleurs indépendants, des jeunes, et donc de nombreux migrants. Ces gens n'ont plus de travail", dit ce responsable associatif.

Nonna Roma distribue des denrées de base chaque week-end. Beaucoup de ceux qui en bénéficient expliquent à l'AFP ne pas avoir encore reçu les bons alimentaires, pour un maximum de 100 euros par semaine et par famille. Selon la mairie, 60.000 ont été distribués, mais les associations estiment les besoins à 90.000.

Venu chercher un colis à l'association Nonna Roma, une Philippine qui dit se prénommer Marie-Thérèse, explique n'être pas la plus à plaindre. Près de chez elle, les sans domicile fixe ne trouvent plus à manger dans les poubelles: "Personne ne jette plus rien." AFP 14 mai 2020

Il y en aura toujours qui seront incurables dans leur société.

- Déconfinement: une partie de l'Europe redécouvre le plaisir du shopping - AFP 13 mai 2020

- Disneyland rouvre à Shanghai avec de multiples restrictions - AFP 12 mai 2020

Comment fonctionne le conditionnement des masses. Mode d'emploi.

LVOG - A Slate, une officine de Big Brother, ils ont la haine que leur machination ait eu des failles. Ce qui est intéressant ici, c'est que toutes les critiques que l'auteur de cet article portent contre le gouvernement suédois, se retournent ou vont comme un gant aux autorités de tous les pays qu'ils encensent, y compris l'OMS. Et le tout en toute inconscience, c'est cela la leçon qu'il faut en tirer.

Je viens de rentrer en Suède et suis horrifié par sa gestion du Covid-19 - slate.fr 12 mai 2020

Extrait.

L'exception suédoise est un concept que la Suède se plaît depuis longtemps à mettre en avant dans de nombreux domaines, qu'il s'agisse de l'art, de la pop culture, de la technologie ou de la science. (Vous pouvez ajouter l'alcoolisme et le taux de suicide ! Et le corporatisme. - LVOG)

Toutefois, la réponse de la Suède à la pandémie de Covid-19 a quelque peu terni la belle image dont elle jouissait. Ces dernières semaines, le monde a ainsi pu observer comment l'agence de la santé publique suédoise a choisi d'ignorer en grande partie le consensus scientifique qui s'est fait internationalement sur la réponse la plus efficace à apporter au Covid-19: la distanciation sociale. La Suède est le seul membre du groupe des pays les plus développés à avoir opté pour un laisser-faire presque complet face à la pandémie. (Un "consensus scientifique" aussi frauduleux que celui sur le climat... "Laisser-faire" en guise de dénigrement, le confinement total de la population en revanche c'était du sérieux... pour les psychopathes, les dictateurs en herbe. - LVOG)

Je suis Suédois, mais j'ai passé ces dix dernières années aux États-Unis. Récemment, toutefois, je suis retourné dans mon pays et je dois avouer avoir beaucoup de mal à comprendre la position incroyablement imprudente et arrogante de mon pays, même si cette réaction n'était pas totalement imprévisible. (Quand on a passé "ces dix dernières années aux États-Unis", on n'en ressort pas indemne et cela se voit au premier coup d'oeil ! - LVOG)

...le port de masques, de gants ou d'autres protections en public n'est pas recommandé. Les gens qui portent des masques sont regardés de travers... (Normal, ils se comportent comme des fous ! - LVOG)

Au moment même où les États-Unis et la majeure partie de l'Europe renforçaient leurs restrictions, les bars suédois se voyaient autorisés à ouvrir leurs patios extérieurs plus tôt que d'habitude. À quelques rares exceptions près, les bars, les cafés, les restaurants, les clubs et les magasins restent ouverts. Le nombre de morts du Covid-19 par habitant en Suède compte parmi les plus élevés au monde. (Ma réponse plus loin. - LVOG)

Comme l'ont montré les données de géolocalisation anonymisées fournies par Google, la population suédoise est en Europe celle qui a le moins changé ses habitudes à des fins de distanciation sociale. Lorsque je suis arrivé en Suède depuis Los Angeles le mois dernier (un voyage obligatoire que j'ai réalisé vêtu d'un masque, de gants et d'un ersatz de combinaison Hazmat n'étant pas sans rappeler celle des Beastie Boys dans «Intergalactic»), j'ai eu l'impression de débarquer dans un univers parallèle: aucun contrôle d'aucune sorte, aucune brochure sur les précautions à prendre contre le Covid-19... c'était comme si le virus n'avait jamais quitté la ville chinoise de Wuhan. (Il est vrai que lorsqu'on voyage "vêtu d'un masque, de gants et d'un ersatz de combinaison Hazmat", c'est qu'on est déjà mentalement déséquilibré, gravement atteint de schizophrénie ou on vit dans "un univers parallèle". - LVOG)

Lors du trajet jusqu'à mon appartement de Stockholm, j'ai rapidement remarqué à quel point les choses paraissaient normales pour cette période de l'année. Le printemps –ce moment où les Suédois tentent de se remettre de la longue période hivernale en s'exposant compulsivement le visage au soleil, les yeux fermés– semblait plus normal que jamais. Je n'ai vu personne qui semblait se préoccuper de distanciation sociale. Les cafés étaient pleins à craquer et les gens pique-niquaient dans les parcs, assis à plusieurs sur une même couverture. Durant les premières heures de mon retour à Stockholm, j'ai vu plus de poignées de mains et d'embrassades que je n'en avais vu en deux mois à Los Angeles (où je n'en avais vu aucune, il faut dire). (Sous influence vous en arrivez à croire que ce qui est normal ne le serait pas, et que la réalité qu'on a fabriquée et substituée à la place serait la normalité, on baigne en plein dans 1984 d'Orwell. - LVOG)

Après avoir passé cette dernière décennie à travailler à San Francisco et Los Angeles en tant que journaliste culturel et producteur TV, j'ai choisi de revenir temporairement en Suède pour m'occuper de ma grand-mère, 71 ans, durant cette période difficile (en tenant compte de toutes les mesures de précaution internationalement recommandées et plus encore). Être témoin de telles différences entre mon pays natal et mon pays d'adoption était extrêmement déconcertant et cela m'a mis en colère. (Un " journaliste culturel et producteur TV" tout s'explique, c'est l'un des milieux les plus pourris qui soient ! - LVOG)

Avant mon retour, l'expression «Nous ne faisons que suivre les recommandations» revenait déjà sans cesse depuis deux mois dans la bouche de mes amis suédois. Susan Sontag a ainsi décrit cette tendance à la conformité: «Dès que cela est possible, les situations et les mots sont pris au pied de la lettre.» Souvent, cela implique d'écouter les conseils que dispensent les spécialistes pour le bien général. (Il est tellement conditionné, qu'il ne s'aperçoit pas qu'il parle de lui-même, qu'il décrit son propre cas ! Hallucinant, mais la folie est ainsi, ceux qui l'ont étudiée le savent très bien. - LVOG)

Mais que se passe-t-il lorsque les spécialistes donnent aux gens des conseils qui peuvent les rendre malades? Dans une société où le taux d'éducation est si élevé, on pourrait imaginer que la population se révolterait face à une réponse gouvernementale d'autant plus aberrante qu'il est aujourd'hui prouvé qu'elle entraîne de nombreuses morts, n'est-ce pas? La réponse est non. (Et aux Etats-Unis ? Pas touche ! - LVOG)

L'épidémiologiste Anders Tegnell a été l'une des voix les plus fortes et les mieux écoutées de l'équipe en charge d'apporter une réponse à l'épidémie. Il a affiché un détachement proche de la lobotomie pour parler du coût tragique de son plan de réponse et a refusé d'assumer la responsabilité des pires résultats du plan en question, en rejetant sur les établissements pour personnes âgées la responsabilité des morts inévitablement causées par l'approche gouvernementale. (Ma réponse plus loin. - LVOG)

Il faut expliquer qu'en Suède, le modèle national d'approche du Covid-19 a été défendu de manière très agressive par nombre d'éditorialistes et autres commentateurs et commentatrices. Une culture destructrice de dénigrement systématique des journalistes (ou même des scientifiques!) qui critiquent la position suédoise s'est mise en place. Et les éditorialistes qui se posent en garants (autoproclamés) d'idéologies supposément empathiques sont clairement les plus véhéments. (Parce que les propagandistes hystériques de la pandémie n'auraient pas agi ainsi ? Il est déjà lobotomisé ! - LVOG)

Aveuglés par un sentiment d'invincibilité, des auteurs et autrices ont commencé à attaquer des spécialistes et à empêcher tout débat critique. Jansson a récemment adressé une réponse virulente aux responsables de cette tendance inquiétante dans le quotidien suédois Aftonbladet. «Je vous accuse, écrit-il, d'avoir détruit toute possibilité de débattre autour de la question la plus importante qui se pose à la Suède depuis la Seconde Guerre mondiale. Vous mettez des vies en danger. Vous devriez avoir honte.» (Quand on est atteint à ce point par le virus néolibéral, c'est incurable. - LVOG)

Ce que je n'ai pas vu beaucoup, en revanche, ce sont des discussions rationnelles sur les raisons qui font que le peuple suédois pense que sa petite agence de santé publique est à ce point supérieure au savoir accumulé au sujet du Covid-19 dans tous les autres pays développés.

On entend aussi malheureusement très peu parler aux informations des personnes décédées et de leurs familles, ou même des soignants qui risquent leurs vies en raison des conditions épouvantables auxquelles les exposent nos autorités. Pour un petit pays comme la Suède, il y aurait de quoi créer un véritable traumatisme national. (Il regrette qu'il n'ait pas eu lieu en Suède, c'est bien un psychopathe endurci. - LVOG)

Quelques rares éditorialistes ont toutefois réussi à faire entendre leur avis discordant. Par exemple, Peter Wolodarski, le rédacteur en chef du journal le plus important du pays, Dagens Nyheter, n'a pas suivi l'opinion de la plupart de ses collègues. (Qu'il se rassure, il n'y a eu aucun à ma connaissance en France, Italie, Espagne, etc. - LVOG)

La réponse unique de la Suède face au Covid-19 s'explique en partie par la grande confiance que la population suédoise a toujours eue dans son gouvernement. (Une "réponse" qui n'a pas été unique, mais universelle et majoritaire a des degrés divers. Une belle réussite jusqu'à maintenant. - LVOG)

Il existe chez le peuple suédois une tendance à la passivité lâche et un sentiment de supériorité morale qui a refait surface depuis cette époque. (Ailleurs aussi en occident si cela peut le rassurer. - LVOG)

Ces notions culturelles spécifiques à la Suède, la notion de lagom, la confiance démesurée dans les experts du gouvernement et le sentiment intériorisé d'exceptionnalisme ont souvent profité au pays. Mais en cas de crise mondiale, ils deviennent un handicap. Il est toujours possible que la réponse suédoise face à la pandémie finisse par être justifiée –si par exemple, l'immunité collective fait son effet et que le taux de mortalité en Suède s'avère inférieur à celui des pays voisins en fin de crise. Cette issue semble hautement improbable, mais c'est toujours de l'ordre du possible. slate.fr 12 mai 2020

LVOG - L'immunité collective n'existe pas. Suède : 10 millions d'habitants, 3 200 morts le 11 mai dus à raison ou à tort au coronavirus, cela donne un taux de mortalité de 0,032%, identique à celui des Etats-Unis, le confinement et ses conséquences sociales en moins. Une grande partie de ces morts aurait pu être évitée s'ils avaient procédé à un traitement prophylactique à la chloroquine des personnes âgées ou à risque.

Totalitarisme. Répression tout azimut.

LVOG - Le préfet de police de Paris, l'Ordre des médecins et le syndicat MG France même pourriture, même combat ! Tout leur est bon pour opprimer le peuple.

Déconfinement : le préfet de police de Paris interdit la consommation d'alcool sur l'ensemble des voies sur berges "à - Franceinfo12 mai 2020

Déconfinement : un syndicat de médecins met en garde contre "le risque de revenir en arrière" après les rassemblements au canal Saint-Martin à Paris - Franceinfo 12 mai 2020

"Si on veut se retrouver un petit peu sur l'espace public, au moins portons un masque", insiste Jacques Battistoni du syndicat MG France, après que le préfet de Paris a pris une mesure d'interdiction de consommation d'alcool sur les berges motivée par des fêtards trop enthousiastes.

Je pense qu'il faut mettre des règles, rappeler l'interdiction des groupes de plus de 10 personnes, que même ces groupes de moins de 10 personnes doivent respecter les distances et porter des masques. C'est capital si l'on ne veut pas se rater et que l'épidémie redémarre.

Je pense qu'il y a eu un moment où les gens ont eu envie de souffler. C'est tout à fait regrettable car le virus circule toujours, il faut que les Français en restent persuadés, il faut qu'ils portent des masques et qu'ils respectent les distances de sécurité.

Car nous ne sommes pas sortis de ce virus, il faut que les Français en soient persuadés, il va falloir apprendre à vivre avec et c'est une course de longue durée dont on ne connaît pas la fin. Franceinfo 12 mai 2020

Afrique du Sud: une interdiction de la vente de tabac qui passe mal - lepoint.fr 12 mai 2020

Le 23 avril, le président Cyril Ramaphosa annonce, dans le cadre d'un assouplissement progressif des mesures de confinement, la levée à partir du 1er mai de l'interdiction de la vente des cigarettes, en vigueur depuis fin mars.

Six jours plus tard, la ministre de la Gouvernance, Nkosazana Dlamini-Zuma, membre-clé du cabinet resserré en charge de la crise sanitaire, fait marche arrière.

"La façon dont le tabac est partagé ne permet pas de distanciation sociale", justifie la ministre qui, il y a plus de vingt ans, s'était illustrée dans une croisade anti-tabac au ministère de la Santé.

"Quand les gens se roulent une cigarette", ajoute-t-elle, "ils mettent de la salive sur le papier puis ils partagent cette cigarette." Fin de l'explication.

Les fumeurs sont furieux. Depuis fin mars, plus d'un demi-million de personnes ont signé une pétition dénonçant une "farce" et exigeant la reprise du commerce de cigarettes. lepoint.fr 12 mai 2020

Essonne : des jeunes affirment avoir reçu des centaines d'amendes sans contrôle - Capital 12 mai 2020

Ce sont de lourdes accusations que portent des jeunes d’Epinay-sous-Sénart dans l’Essonne. Ces habitants du quartier des Cinéastes affirment en effet avoir reçu une centaine d’amendes pour violation du confinement sans jamais avoir été contrôlés. Selon les documents consultés par Le Parisien deux personnes différentes auraient ainsi reçu un PV à une minute d’intervalle alors qu’elles se trouvaient à plus d’un kilomètre l’une de l’autre.

"La police municipale nous reconnaît sur les caméras de la ville et nous envoie les amendes sans même nous contrôler, nos attestations ne servent à rien", avance ainsi Mohamed dans les colonnes du quotidien. "Qu’on sorte pour aller à la boulangerie ou quoi que ce soit on est verbalisés. Pourtant on n’a croisé aucune patrouille de la police municipale", peste le jeune homme.

Une douzaine de jeunes seraient ainsi concernés. Des amendes impossibles à contester pour certaines, car il est stipulé sur le PV "vous avez été interpellé". Un "mensonge" selon plusieurs jeunes. Par ailleurs, selon le Parisien, certaines adresses inscrites sur les PV correspondent bien à des lieux où se trouvent des caméras de vidéosurveillance. Avec ces preuves, plusieurs jeunes ont décidé de faire un recours et d’envoyer un courrier à la préfecture.

Des élus d’opposition à la mairie ont également saisi la municipalité à ce sujet alors que le problème ne semble pas nouveau. "On avait déjà connu le problème avant le confinement avec des amendes par caméra pour stationnement, ou pour avoir traversé en dehors du passage piéton… Et certains destinataires des amendes n’étaient même pas là au moment des faits reprochés", affirme ainsi Constant Lékiby, élu d’opposition MoDem à Epinay-sous-Sénart. Capital 12 mai 2020

En Inde.

Inde: Modi annonce un plan de relance de 245 milliards d'euros - Reuters 13 mai 2020

Le Premier ministre indien Narendra Modi a annoncé mardi un plan de relance de l'économie du géant de l'Asie du Sud de 20.000 milliards de roupies (245 milliards d'euros) pour faire face aux conséquences de la crise engendrée par le coronavirus.

L'Inde a officiellement enregistré à ce jour plus de 70.000 cas de contamination au SARS-CoV-2. Les mesures de confinement à domicile ont été prolongées jusqu'au 17 mai, a annoncé Narendra Modi.

Dans une allocution à la nation, le Premier ministre a déclaré que le plan de relance représentait 10% du produit intérieur brut indien.

En mars dernier, son gouvernement avait annoncé le déblocage de 1.700 milliards de roupies de transferts d'argent, principalement pour les plus pauvres, mais beaucoup avaient critiqué des mesures beaucoup trop modestes face à l'ampleur des conséquences économiques de la crise sanitaire.

Dans son discours, Narendra Modi a promis que les modalités précises du plan de soutien, qui s'accompagnera de réformes du marché foncier et du marché du travail, seraient détaillées dans les prochains jours.

"Le plan (...) s'articulera autour de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, des travailleurs, des classes moyennes, des industries, entre autres", a-t-il dit. Reuters 13 mai 2020

LVOG - Avec l'isolement je ne sais pas trop ce qui se passe et je n'ai pas le temps de lire la presse en anglais. On y reviendra plus tard.


Le 17 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Et la lutte des classes, même si l'immense majorité l'ignore encore...

- "Une des victoires les plus éclatantes des oligarchies est l’aliénation qu’elles ont imposée à la conscience collective : faire croire que seules les forces du marché font l’histoire, et que ce n’est plus l’Homme qui est le sujet de sa propre histoire. (...)

Le virus va provoquer la rupture de la conscience aliénée et d’une manière ou d’une autre, des mouvements populaires vont naître et vont abattre ce système cannibale du capitalisme…

Et bien on ne peut pas se prononcer sur le chemin que le peuple prendra, mais le fait qu’il y aura une insurrection, c’est certain." (7 mai 2020 - Jean Ziegler, vice-président du comité consultatif des Droits de l’Homme aux Nations-Unies)


28 pages au format pdf

Il figure à la suite de la causerie dans la version pdf, un article commenté d'une tendance du NPA .

38 pays représentant 5 793 294 379 habitants = 48 906 décès dus au Covid-19 au 16 mai 2020 = Taux de mortalité de la pandémie imaginaire : 0.008%.

(Source : L'IUH de Marseille)

Chine = 1 401 501 343 d'habitants = 4 633 décès.
Inde = 1 380 004 385 d'habitants = 2 753 décès.
Indonésie = 273 523 615 d'habitants = 1 076 décès.
Pakistan = 220 892 340 d'habitants = 220 décès.
Brésil = 212 559 417 d'habitants = 14 962 décès.
Nigéria = 206 139 589 d'habitants = 171 décès.
Bangladesh = 164 689 383 d'habitants = 298 décès.
Russie = 145 934 462 d'habitants = 2 418 décès.
Mexique = 128 932 753 d'habitants = 4 767 décès.
Japon = 126 476 461 d'habitants = 713 décès.
Ethiopie = 114 963 588 d'habitants = 0 décès.
Philippines = 109 581 078 d'habitants = 806 décès.
Egypte = 102 334 404 d'habitants = 592 décès.
Vietnam = 97 338 579 d'habitants = 0 décès.
Turquie = 84 339 067 d'habitants = 4 055 décès.
Iran = 83 992 949 d'habitants = 6 902 décès.
Thailande = 69 799 978 d'habitants = 56 décès.
Tanzanie = 59 734 218 d'habitants = 21 décès.
Afrique du Sud = 59 308 690 d'habitants = 247 décès.
Kénya = 53 771 296 d'habitants = 45 décès.
Corée du Sud = 51 269 185 d'habitants = 262 décès.
Colombia = 50 882 891 d'habitants = 546 décès.
Ouganda = 45 741 007 d'habitants = 0 décès.
Argentine = 45 195 774 d'habitants = 356 décès.
Algérie = 43 851 044 d'habitants = 536 décès.
Soudan = 43 849 260 d'habitants = 91 décès.
Ukraine = 43 733 762 d'habitants = 476 décès.
Iraq = 40 222 493 d'habitants = 117 décès.
Poland = 37 846 611 d'habitants = 907 décès.
Maroc = 36 910 560 d'habitants = 190 décès.
Arabie saoudite = 34 813 871 d'habitants = 292 décès.
Pérou = 32 971 854 d'habitants = 2 392 décès.
Angola = 32 866 272 d'habitants = 2 décès.
Malaysie = 32 365 999 d'habitants = 112 décès.
Mozambique = 31 255 435 d'habitants = 0 décès.
Ghana = 31 072 940 d'habitants = 28 décès.
Népal = 29 136 808 = 0 décès.
Madagascar = 27 691 018 d'habitants = 0 décès

LVOG - Avez-vous encore un doute sur l'origine de cette machination monstrueuse ? Si oui, c'est incurable, c'est que vous êtes déjà cérébralement mort.

Le confinement était idéologique. Qui en doutait ?

Coronavirus : le professeur Didier Raoult pas convaincu de l'utilité du confinement - Yahoo 16 mai 2020

En se penchant sur les résultats d’une étude menée par le ministère de la Santé espagnol et l’Institut de la Santé Carlos III, l’infectiologue marseillais a ainsi relevé un chiffre étonnant.

Plus de contaminés dedans que dehors

En travaillant sur un échantillon de 60 983 personnes, les chercheurs ont ainsi montré que 5% de la population avait développé des anticorps, bien loin de l’immunité collective recherchée par certains. Mais le professeur Raoult a été surpris par une autre donnée. En effet, d’après cette étude, 5,3 % des travailleurs essentiels, qui ont continué à se rendre au travail, présentent des anticorps... contre seulement 6,3 % de ceux placés en télétravail. En d’autres termes, le virus a davantage touché les personnes confinées.

Il n’en fallait pas plus pour que le sulfureux professeur se questionne. “Séroprévalence de 60 000 personnes en Espagne : parmi les travailleurs actifs, ceux qui exercent une profession essentielle et ont continué à sortir ont été moins contaminés par le Covid-19 que ceux confinés. Cela doit amener à réfléchir sur le confinement”, a-t-il ainsi tweeté. Yahoo 16 mai 2020

Ils ne sont plus à un amalgame près.

- Manifestations anti-restrictions aux quatre coins de l'Europe - euronews.com 16 mai 2020

En Allemagne, au Royaume-Uni ou en France, des milliers de personnes ont manifesté ce samedi contre le maintien de mesures de confinement encore en vigueur dans leurs pays.

Ces rassemblements réunissent un assemblage hétéroclite de militants de l'extrême droite et de l'ultra gauche, de la mouvance conspirationniste, de personnes authentiquement inquiètes d'une limitation de libertés publiques, d'opposants aux vaccins, voire d'antisémites. Tous se rejoignent pour dénoncer le port du masque dans les magasins ou les restrictions de mouvement qui subsistent après le déconfinement.

Le mouvement n'est pas marginal. Près d'un Allemand sur quatre dit comprendre les manifestations, selon un sondage Civey. euronews.com 16 mai 2020

Coronavirus : l'OMS met en garde contre une seconde vague en Europe cet hiver - euronews.com 16 mai 2020

C'est une sévère mise en garde qu'a lancé par le directeur régional de l'OMS pour l'Europe. Alors que les restrictions sont allégées sur le continent, Hans Kluge prévient dans une interview au Telegraph : le coronavirus reviendra cet hiver. Une seconde vague qui pourrait être plus terrible encore que la première car elle sera associée à d'autres épidémies saisonnières comme celle de la grippe. euronews.com 16 mai 2020

Ils osent tout.

Avez-vous remarqué sur quel ton léger, décontracté, ils ont annoncé que le déconfinement se déroulait à merveille, tandis que le nombre de morts baissait peu ou stagnait ou il est même reparti à la hausse dans certains pays, ce qui montre bien que c'est autre chose qui les a conduit à nous imposer cette assignation à résidence de plus de 50 jours.

En Inde c'est la même chose. Au Tamil Nadu le nombre de morts a doublé en quelques jours passant de 33 à 66 le 14 mai, ce qui demeure insignifiant sur une population de 72 millions d'habitants, peu importe, le rétablissement de la circulation des bus et de tous les trains est annoncé pour lundi prochain 18 mai.

Il faut en conclure, qu'ils doivent estimer être parvenus aux objectifs qu'ils escomptaient, car par ailleurs on n'a perçu aucun signe perceptible d'affolement sur les conséquences sociales du confinement, tout du moins au sommet de l'Etat ou dans les ministères, hormis certains chroniqueurs de la presse aux ordres, qui ni une ni deux sont passés de la peur au coronavirus à la crainte du chômage massif ou de sombrer dans la pauvreté pour des millions de travailleurs, là ils sont prolixes et tous les jours ils en rajoutent une grosse louche, la palme revenant à une ONG qui prévoie 500 millions de chômeurs dans les mois à venir dans le monde, en plus par rapport à la période antérieure à cette machination, qui dit mieux !

Maintenant le thème en vogue, ce sont les vacances des Français en juillet et août, mais ils n'ont pas précisé quelles saloperies ils leur réserveraient durant cette période, qu'ils découvriront en septembre, il faut donc rester très vigilant ou ne pas baisser la garde, la guerre de classe continue.

Il ne se passe pas un jour sans une attaque contre la thérapie appliquée par le professeur D. Raoult ou contre sa personne. Sans qu'on nous parle aussi de vaccin ou de traitements hypothétiques parce qu'il n'existerait aucun traitement, aucun médicament, aucune molécule efficace, nulle part dans le monde, ils l'ont décrété et cela ne se discute pas, ils en ont le pouvoir, alors ils en usent et abusent.

Dans quel journal du mouvement ouvrier avez-vous entendu parler de machination, d'instrumentalisation, de manipulation, d'escroquerie, de supercherie, de mystification au coronavirus ? Nulle part, à ma connaissance, ils en ont tous été les complices. Ceux qui refusent ce constat ne valent pas mieux, leur déni ou leur mode de pensée valent ceux de la réaction.

Pour la rupture avec le capitalisme et ses institutions.

- Lordon: Problèmes de la transition - 16 mai 2016

Nicolas Hulot, passé à l’état de flaque de sirop, est répandu partout dans la presse. Macron laisse entendre qu’il réfléchit à un « green deal à la française ». Sur l’échelle ouverte de Richter du foutage de gueule, on se prépare des sommets — et les « jours heureux » nous sembleront comparativement un modèle de sincérité. Pendant ce temps, des économistes rêvent éveillés de « monnaie verte ». Benoît Hamon sort de son catafalque. On ne parlera plus bientôt que de « transition », comme déjà l’Union européenne sous les avisés conseils de BlackRock. Comme avec « l’Europe sociale et démocratique », mais un niveau au-dessus, on essaye de nouveau d’estimer le temps que toutes ces imbécillités vont nous faire encore perdre.

La transition n’est pas une question « écologique » (pour « écologistes »). Il ne s’agit pas de transiter vers un « capitalisme-respectueux-de-l’environnement » — on appelle « quadrature du cercle » les projets de transition vers les cercles carrés, et ça n’a jamais très bien fonctionné. Il ne s’agit pas de sortir du capitalisme « pas encore vert ». Il s’agit de sortir du capitalisme tout court.

Une transition de cette nature se réfléchit alors autour de trois grandes questions, toutes liées à la division du travail :

1) ce qu’on en garde, et ce qu’on en jette — le plus possible : nous avons sur les bras une planète qui tourne tantôt à l’incendie tantôt à la boîte de Pétri géante. 2) Le fait que la division du travail, spécialement sous la contrainte du « à garder », nécessite d’interroger la solution des autonomies locales. 3) Les nouveaux rapports sociaux dans lesquels la couler — pour qu’elle ne soit plus une division du travail capitaliste — et, d’abord, les fausses solutions qui rôdent en cette matière.

La division du travail : en garder et en jeter

Deux choses doivent être claires : 1) ce dont nous sommes mis en demeure, c’est d’en finir avec le capitalisme ; 2) sortir du capitalisme, c’est perdre le « niveau de vie » du capitalisme. À un moment, il faut se rendre à un principe de conséquence. On ne pourra pas vouloir la fin du système qui nous promet le double désastre viral et environnemental, et la continuation de ses « bienfaits » matériels. C’est un lot : avec l’iPhone 15, la voiture Google et la 7G viendront inséparablement la caniculisation du monde et les pestes. Il faudra le dire, le répéter, jusqu’à ce que ces choses soient parfaitement claires dans la conscience commune.

Toute la question du communisme a donc pour préalable celle des renoncements matériels rationnellement consentis, et de leur ampleur. Ceci est un sujet éminemment politique. Dans le capitalisme, le périmètre des satisfactions matérielles est abandonné à la croissance spontanée, anarchique, de la division du travail sous la conduite aveugle et folle de la valeur d’échange. Dans le communisme, ce périmètre redevient une question de délibération collective. Avec quels objets voulons-nous vivre, desquels pouvons-nous nous passer, desquels non ? C’est à nous de décider — et ce sera, en effet, de la politique : car tout le monde ne sera pas d’accord. Comme toute décision politique, celle-ci sera imparfaite, majoritaire seulement (la politique ne connaît pas l’unanimité).

C’est un lot : avec l’iPhone 15, la voiture Google et la 7G viendront inséparablement la caniculisation du monde et les pestes

Encore pour l’être — majoritaire — requerra-t-elle un principe de prudence, c’est-à-dire de discernement. Partant de la situation présente, du degré d’aliénation marchande auquel le capitalisme nous a réduits, avec un très grand succès d’ailleurs, on ne peut pas prendre pour hypothèse le surgissement instantané de l’homme nouveau, ni envisager de lui faire faire tout de suite des bonds de géant en matière de renoncements matériels. Des déplacements oui, des bonds non. La vie à la ZAD : un bond de géant — à la portée de quelques-uns seulement. Dans cette mesure même admirable… et impropre à soutenir une hypothèse majoritaire, en tout cas pour l’heure.

Bien sûr, on ne saurait présenter une transition révolutionnaire comme un simple renoncement, là où en fait il s’agit plutôt d’une grande substitution : abandonner une chose mais pour en gagner une autre : à la place de la vie comme quantité (le parfaitement nommé « niveau de vie »), la vie comme qualité ; à la place des futurs colifichets perdus par anticipation (iPhone 15, etc.), la tranquillité matérielle pour tous, de vastes services collectifs gratuits, une nature restaurée et, peut-être par-dessus tout, du temps. Cependant la grande substitution restera un fantasme sans suite si elle est trop exigeante, si le rapport des contreparties est trop défavorable relativement à ce que l’homme-pas-nouveau peut tolérer.

Par exemple, parmi les ennemis mortels de tout processus révolutionnaire, il y a les étals vides, et son corrélat : le marché noir inflationniste. Une transition révolutionnaire qui se retrouve face à ça est cuite. C’est dire qu’il y a intérêt à l’avoir pensé avant. La collectivité doit s’organiser pour déterminer l’ensemble des biens sur lesquels une tranquillité absolue doit régner pour tous : alimentation de qualité, logement de qualité — évidemment encore à conquérir, mais qu’au moins il n’y ait aucun recul — énergie, eau, moyens de communications, médecine et pharmacie, et « quelques autres choses encore » (Marx et Engels). Le renoncement et la substitution ne commencent qu’à partir de ce socle.

Héritant du niveau de développement des forces productives du capitalisme, nous avons des chances raisonnables d’y parvenir — c’est tant mieux. Les révolutions antérieures n’avaient pas eu cet avantage, et elles l’ont cruellement payé. On connaît le paradoxe de la révolution russe, survenue dans le pays où Marx la jugeait la moins probable du fait, précisément, de son arriération matérielle. Le paradoxe ne cessa pas d’être mordant puisque, la prise révolutionnaire du pouvoir accomplie, l’effort de développement eut à s’effectuer dans les pires conditions, toutes les ressources devant être dirigées vers le rattrapage des forces productives à marche forcée, le primat de l’industrialisation et des biens d’équipements — les moyens de produire tout le reste, notamment les biens de consommation, mais qui viennent logiquement avant eux. Et de même la Chine de Mao et son Grand Bond en avant, dont on sait dans quel état il a laissé la population chinoise. Drames du décollage économique forcé dans des rythmes infernaux, drames d’ailleurs pas seulement économiques : drames humanitaires, puisque ces transitions se sont payées de terribles famines, et drames politiques car seule la poigne de fer des régimes a « tenu » les populations à la grande transition dans des conditions aussi difficiles.

Sauf à être soutenues par un désir commun très puissant, les trajectoires de sacrifice se payent au prix politique fort. Les frustrations matérielles vécues finissent toujours par s’exprimer comme tensions politiques, parfois très violentes, dont la réduction ne fait pas dans la dentelle — et l’expérience révolutionnaire chargée d’espérance de verser dans l’autoritarisme le plus désespérant. Ces trajectoires ne sont plus envisageables. Heureusement nous avons désormais les moyens de nous les épargner. Dans le bilan historique du capitalisme, il restera donc qu’il était sur le point de détruire l’humanité en l’homme, de rendre la planète inhabitable, mais aussi qu’il nous laisse l’état de très haut développement de ses forces productives, et, partant, nous permet d’envisager de l’abandonner dans des conditions matérielles plus favorables que jamais — merci, au revoir.

Il va cependant sans dire que, si c’est pour faire tourner les machines capitalistes comme les capitalistes mais sans eux, ça n’est pas exactement la peine de se lancer dans des chambardements pareils. C’est donc la délibération politique qui détermine ce qu’il y a à garder de la division du travail capitaliste et ce qu’il y a à jeter. Qu’il faille en jeter un maximum, la chose est certaine. Mais qu’il faille en garder — évidemment pour la couler dans de tout autres rapports sociaux — ne l’est pas moins. Alors il faut reprendre la question du local et du global, mais cette fois sous l’angle des « autonomies » — et pour y faire des distinctions.

Des « autonomies »

Ici il faut redire et la valeur essentielle et l’insuffisance matérielle des pratiques « locales » de l’autonomie — pour les raisons mêmes qui viennent d’être indiquées : elles ne peuvent à elles seules fournir le « socle matériel » à partir duquel seulement le gros de la population peut entrer dans la logique du renoncement et de la substitution — les paris « anthropologiques » aventureux, à grande échelle, sur les « conversions frugales » finissent mal en général (soit en cruelles désillusions soit en autoritarismes politiques).

Mais il y a plusieurs manières d’envisager l’autonomie : l’autonomie purement « localiste », ou bien réinscrite dans un ordre social global. Purement « localiste », soit elle demeure partielle — autonomie centrée sur une pratique particulière (jardin, garage, dispensaire, etc.), et par-là reste branchée sur l’extérieur du système tel qu’il est ; soit elle va aussi loin que possible dans la reconstitution d’une forme de vie complète mais alors ne concerne que des participants « d’élite ».

Chacune à sa manière, les deux courent le même risque : celui de se détourner de fait de la transformation du système d’ensemble. Souvent d’ailleurs les pratiques de l’autonomie naissent au cœur d’une crise, comme des réponses réactionnelles à des situations de détresse matérielle. Ainsi, sans doute, par exemple, du mouvement très contemporain vers les jardins potagers dont la visée d’autosuffisance est manifeste… et suffit à dire son ambivalence : tourné vers la subsistance du petit collectif concerné, et de fait désintéressé du changement d’ensemble, soit : l’autonomie-expérimentation tournant en autonomie-fuite, sans égard pour ce qui reste derrière. C’est peu dire que le capitalisme s’en accommode fort bien. Il s’en accommode doublement même. D’abord parce que certaines de ces autonomies de nécessité sont réversibles : les participants retournent au système institutionnel standard dès que celui-ci refonctionne à peu près correctement — l’activité des clubs de troc et de monnaies parallèles en Argentine, par exemple, était très corrélée à la conjoncture globale, leurs membres revenant dès qu’ils le pouvaient au salariat comme solution privilégiée d’accès à l’argent.

Les pratiques de l’« autonomie » forment donc un ensemble tout sauf homogène

Ensuite parce que, même quand ces expérimentations résistent au reflux et persévèrent, elles demeurent des isolats et le système d’ensemble n’en est pas affecté : au travers de la crise des années 2010, le capitalisme grec, au passage ravi que « ces gens aillent faire leurs affaires ailleurs, désencombrent les guichets de l’État-providence et nous épargnent des charges », n’en a pas moins continué son cours après qu’avant la floraison des lieux collectifs auto-organisés. Bien sûr, ce que le capitalisme grec ne voit pas, c’est que si ces expérimentations ne l’affectent pas dans le court terme, elles sont cependant des matrices à déplacements individuels, qui finissent par faire des déplacements collectifs, et lui préparent des situations difficiles quand ils viendront à maturité — c’est là l’éminente valeur de toute cette vie sous les radars des institutions officielles. Mais pour l’heure, c’est vrai, il a la paix. Les pratiques de l’« autonomie » forment donc un ensemble tout sauf homogène : « autonomies de détresse » réversibles, « autonomies de persévérance » locales et autocentrées, « autonomies locales mais de combat » branchées, elles, sur une perspective politique de propagation, selon un modèle de défection généralisée. À quoi il faudra ajouter une dernière sorte : « autonomies réinscrites dans une division du travail d’ensemble ». C’est à ces dernières qu’on verra ce que la transition ne doit pas être : de la « décroissance ». Impasse de la décroissance

Car l’esprit humain va au bout du déni et des procédés dilatoires pour ne pas regarder en face ce qu’il lui est trop pénible d’envisager. Alors il continue de tirer jusqu’au bout du bout sur l’élastique pour faire durer encore un peu ce qui ne peut plus durer — en se racontant quand même qu’il est en train de « tout changer ». Typiquement : la décroissance. La décroissance est le projet insensé de n’avoir pas à renverser le capitalisme tout en espérant le convaincre de contredire son essence — qui est de croître, et indéfiniment. Au vrai, on peut très bien « décroître » en capitalisme. Mais ça s’appelle la récession, et ça n’est pas beau à voir.

De deux choses l’une donc : soit il est précisé que « décroissance » est un autre nom pour « sortie du capitalisme ». Mais alors pourquoi ne pas dire simplement… « sortie du capitalisme » ? Et surtout pourquoi maintenir cette problématique de la croissance (dont la décroissance n’est qu’une modalité) qui, en réalité, n’a de sens que dans le capitalisme. Il y a des questions qui appartiennent tellement à un cadre (ordre social) particulier qu’elles s’évaporent comme absurdités sitôt qu’on en sort. Par exemple, dans le cadre théologico-superstitieux, la survenue d’une pandémie peut donner lieu à des problèmes caractéristiques comme : « Qu’avons-nous fait qui ait pu offenser Dieu ? ». Alors le débat fait rage : « ceci l’a offensé, non c’est cela… ». Dans le cadre rationnel-scientifique, évidemment, ces questions-là n’ont pas trop lieu d’être — ont perdu tout sens. Les problèmes sont posés d’une façon tout à fait autre : la façon de la virologie, de l’épidémiologie, de l’économie politique, de la science des milieux naturels, etc. De même pour croissance et décroissance. Elles ne sont des obsessions cardinales que du monde capitaliste. Dans un monde communiste, on en est tellement libéré que ça ne traverse plus la tête de personne. Certes, le contrôle politique collectif de la division du travail ne cesse d’avoir à l’esprit (comme jamais d’ailleurs) les problèmes de l’inscription humaine dans la nature, et des dégâts qu’elle peut y commettre. Mais ces problèmes-là ne sont plus du tout codés dans les catégories de la « (dé-)croissance », qui n’ont de sens qu’attachées à l’ordre capitaliste. Si les mots ont une importance, pourquoi ceux qui entendent bien la « décroissance » comme sortie du capitalisme continuent-ils donc de couler leur discours dans les catégories du capitalisme ?

Soit, donc, la décroissance comme autre nom de la sortie du capitalisme, soit la décroissance comme autre chose dans le capitalisme — la version hélas la plus répandue. Qui se figure gentiment qu’un mode de production dont l’essence est la croissance pourrait se mettre à la décroissance-demain-j’arrête, et surtout qui a tout organisé selon la logique de la croissance : notamment l’emploi. Cas extrême, mais significatif : entre 2008 et 2014, la Grèce perd 33 % de PIB — une très belle performance de décroissance —, moyennant quoi son taux de chômage atteint 27 %. Oui, c’est l’ennui : dans le capitalisme, le rapport entre croissance et emploi est bien serré.

Hors de situations aussi critiques, ne pourrait-on cependant le dénouer un peu ? Par exemple envisager de maintenir l’emploi à taux de croissance moindre, voire négatif, en faisant porter l’ajustement sur la productivité — dont la baisse devrait être concomitante à celle de la croissance. Mais la baisse de la productivité, c’est celle du profit. Interrogeons les capitalistes : — « Êtes-vous prêts à maintenir une masse salariale invariante en face d’un chiffre d’affaire diminué ? » — « Mais certainement Madame Teresa, on commence demain ». Un patron un peu roué aurait même la ressource de l’hypocrisie bien fondée, et de répondre que lui voudrait bien, mais ses actionnaires… Et de fait : s’il ne leur donne pas satisfaction, il sautera.

Pour rendre compatible maintien de l’emploi et décroissance capitaliste(s), il faudrait donc en finir avec le pouvoir actionnarial. Donc avec ses structures — celles de la déréglementation des marchés de capitaux. Tout ça commence à devenir très compliqué — en tout cas dans la logique qui voudrait bricoler une solution « à l’économie ». Et surtout très contradictoire. Car, dans l’alternative radicalisée désormais posée par l’état présent du capitalisme (et du capital), décidé à ne plus céder sur rien, soit l’épreuve de force tournera court, soit elle prendra l’ampleur d’un affrontement total où s’amorcera de fait un processus de rupture, pas seulement avec la « financiarisation », mais avec le capitalisme dans son ensemble. Mais alors, dans ces conditions, pourquoi ne pas y aller carrément ?

Tout, dans le capitalisme, trouve sa justification par l’emploi. L’emploi est la solution imposée aux individus par le capital pour simplement survivre

On aurait tort de se gêner car, en définitive, le petit problème « d’emploi » de la décroissance en capitalisme vient indiquer qu’il est en réalité celui du capitalisme. C’est le capitalisme qui a fait de l’emploi un problème — plus exactement notre problème, le problème des non-capitalistes —, tout de même que les curés avaient fait du courroux divin le problème des croyants sur lesquels ils régnaient. Et comme ceux-ci étaient pris en otages par le salut éternel, ceux-là sont pris en otages (d’une manière un peu plus rudement objective) par l’emploi. Et la société entière, sous l’ultimatum, se voit enrôlée dans les indifférences de la valeur d’échange, donc possiblement à faire tout et n’importe quoi : des pneus, du nucléaire, du gaz de schiste. Tout, dans le capitalisme, trouve sa justification par l’emploi. L’emploi est la solution imposée aux individus par le capital pour simplement survivre. Quand on a coulé les données de la survie des individus dans la forme de la valeur d’échange, tout le reste s’en suit sans coup férir. Un journaliste de France Info en décembre 2019 interviewe, pour le contredire, un opposant à la réouverture de Lubrizol : « mais quand même c’est bon pour l’emploi ». Le pire étant qu’il n’y a objectivement pas grand-chose à opposer à ça — sinon bien sûr qu’il faut urgemment se débarrasser du système qui fait régner ce genre de logique.

Car, comme toujours, le partage du « possible » et de l’« impossible » est conditionnel à l’acceptation implicite, et le plus souvent impensée, d’un certain cadre. Pour que du possible ré-advienne, il faut briser le cadre qui condamnait — objectivement — à l’impossible. Dans leur cadre, les capitalistes et les néolibéraux ont objectivement raison. Mais dans leur cadre seulement. De sorte qu’ils n’ont pas absolument raison. Ce que révèle, même, la pandémie, c’est que leur cadre est inclus dans un cadre plus grand — où se déterminent des enjeux, ceux de la planète et de la situation des hommes sur la planète, qui leur donnent absolument tort.

Nous commençons alors à mieux voir ce que nous avons à faire, et selon quelles lignes nous orienter : nous libérer simultanément des tyrannies de la valeur capitaliste et de l’emploi. Donc en détruire les institutions caractéristiques : la finance, le droit de propriété privé des moyens de production, le marché du travail.

À suivre (blog.mondediplo.net/problemes-de-la-transition)

LVOG - Je ne connais pas particulièrement Lordon. C'est un intellectuel très brillant, il lui manque un cadre organisationnel dans le cadre du mouvement ouvrier...

Le nouvel ordre mondial totalitaire ou le socialisme, choisissez, vite.

- La véritable victime du coronavirus: Les relations humaines par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 13 mai 2020

Extraits.

« Seuls le toucher, le remède et la parole peuvent véritablement guérir. » – Hippocrate, 5è siècle avant J-C

Certains disent que le monde va changer. Pour moi, il a déjà changé en mars 2020.

Un monde « coronavirus ».

Un monde meilleur ?

Cela dépend.

Pour moi, le monde ne change pas en mieux. Ce n’est jamais qu’un point de vue, mon point de vue, car pour les fabricants de futurs médicaments et vaccins [1], bien sûr, c’est un changement en mieux.

La minorité pour laquelle le monde change en mieux grâce au coronavirus :

Des profits phénoménaux en perspective. Une véritable pluie de dollars et d’euros à venir pour les actionnaires majoritaires et les CEO de Big Pharma, déjà immensément riches.

Pour les gens déjà les plus riches du monde, c’est un changement en mieux, oui [2].

D’après Forbes [3],

« Le taux de chômage et le nombre de cas COVID-19 continuent de monter en flèche, mais le marché boursier se porte mieux. Le Dow Jones Industrial Average et le S&P 500 ont tous deux bondi de plus de 12% au cours de la semaine se terminant le 9 avril. (Les marchés ont fermé le 10 avril pour le Vendredi Saint). Les actions ont fait un bond notable jeudi alors que la Réserve fédérale a annoncé un prêt de 2,3 billions (mille milliards) de dollars pour soutenir l’économie. Les gains du marché ont entraîné une augmentation combinée de 51,3 milliards de dollars pour 10 des milliardaires du monde depuis la fermeture du marché il y a une semaine, le 2 avril. »

Je me suis toujours demandé pourquoi, à un tel niveau de richesses, vouloir être encore plus riche.

Mais c’est là, certainement, l’interrogation naïve d’une personne qui ne fait pas partie de ce monde (et ne veut pas en faire partie).

Pour les gouvernements, chefs d’entreprise, directeurs, pour toute personne de pouvoir attirée par une dérive autoritaire, voire totalitaire, dictatoriale [4], c’est un changement en mieux aussi.

C’est le cas au niveau mondial, au niveau national mais également dans toutes les structures de pouvoir, majeures comme mineures.

Partout où les dirigeants préfèrent imposer que proposer, forcer que convaincre, la crise du coronavirus permet de suspendre des droits, d’instaurer manu militari leurs programmes d’austérité, presque ni vu ni connu.

La crise du coronavirus menace de nous faire vivre dans une dictature « à la chinoise » [5], un modèle social « Amazon » [6], un modèle éthique « Apple » [7], un modèle moral « Google [8], un modèle de droiture à la « Facebook » [9] … cette fois à l’échelle du monde entier.

Dans le monde « coronavirus », vous êtes un numéro, un morceau de viande, une part de cerveau plus ou moins rentable, sans protection sociale, sans droit si ce n’est celui de faire ce que le pouvoir vous dit de faire.

En usant toujours du même langage de propagande :

« Plus de sécurité contre moins de libertés ».

« État d’urgence… sanitaire ».

Leitmotiv novlangue répétés à l’infini et plus c’est répété, plus c’est accepté.

Ainsi, dans certains pays, des malades peuvent sortir de l’hôpital en acceptant de porter un bracelet électronique [10]. Ceci n’est qu’un échantillon de toutes les mesures totalitaires envisagées voire déjà décidées par nos gouvernements à la faveur de la crise du coronavirus. Cela va beaucoup plus loin, c’est sans limites [11] et cela touche une bonne partie du monde, sinon le monde entier [12 :

« Après les drones équipés de haut-parleurs qu’on a vu rappeler des citoyens récalcitrants à l’ordre en Chine puis à Paris, ce sont maintenant des dispositifs de pistage qui fleurissent un peu partout à travers le monde. En France, l’application Stop-Covid est ainsi mise en avant par le gouvernement comme un outil nécessaire au déconfinement, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, les compagnies rivales Apple et Google sont associées pour produire une application pour remonter la chaîne de transmission. »

Ce n’est pas étonnant qu’Apple, Google et Facebook se mettent « au service » (gros profits en perspective) de ces dérives totalitaires.

De même pour YouTube, dont la PDG Susan Wojcicki s’est arrogée le droit de supprimer toutes les informations qui ne suivent pas les recommandations de l’OMS [13].

Après Bill Gates, un non médecin qui nous dit ce qu’il faut faire, c’est au tour du PDG d’un site de vidéos en ligne de se mêler de nos santés et de décider ce qui est bon ou mauvais pour nous de savoir. Au nom de quoi ? De qui ?

Quant aux médecins, les vrais, ou d’autres spécialistes comme l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel [14], eux sont vilipendés. On dit aux gens qu’il ne faut pas les écouter !

Quel monde inversé !

Plus de contrôle contre moins d’autonomie.

Entre temps, tous les droits constitutionnels chèrement acquis par nos ancêtres et tous les droits de l’Homme sont attaqués.

Libertés de manifester, de se réunir, libertés d’expression, de se prendre dans les bras, de respirer librement, de se déplacer, de contester tout dogme sanitaire venant de la ligne officielle.

Ce qui est sensé et scientifiquement fondé est fake news.

Ce qui est une fausse nouvelle est la vérité inattaquable.

Dans ce monde « coronavirus » qui va profiter à la minorité décrite au début de cet article.

Certaines personnes ont été internées de force dans des hôpitaux psychiatriques, pratique que je pensais reléguée au siècle dernier ou aux dictatures communistes. C’est aujourd’hui, en Italie [15], en Allemagne [16], dans ce nouveau monde « coronavirus ». (Aux dictatures staliniennes.- LVOG)

Donc,

Pour les gens très riches (non, c’est bien plus que ça, pour les gens riches de manière stratosphérique)

Pour les actionnaires majoritaires et les CEO des monstres financiers que sont devenus les laboratoires pharmaceutiques ( 1000 milliards d’euros de profits en vingt ans )

Pour les médias, aux mains des premiers [17- situation en France], et qui vivent mieux de la peur et des crises pour vendre

Pour toutes personnes intéressées par plus d’autorité, plus de pouvoir pour elles et par moins d’autonomie et de libertés pour les citoyens

Le monde change en mieux.

Pour des milliards de gens, vous, moi, le monde change en pire.

Oui, ici, pour autant que vous ne soyez pas un de ces gouvernants, CEO de laboratoire pharmaceutique, journaliste porte-parole des gouvernements ou directeur addict au pouvoir fort, c’est de vous, de moi qu’il s’agit à présent.

Ce monde « coronavirus » est un changement en pire.

Deux visions du monde s’affrontent aujourd’hui, exacerbées par cette crise du coronavirus.

D’un côté :

Un monde froid, sans contacts, masqué et tyrannique, le même pour tous, sans réflexion ni bon sens, promesse de pouvoirs et profits gigantesques pour une minorité de gens déjà immensément riches et puissants.

De l’autre côté :

Un monde où le contact, la chaleur, le regard, le sourire restent la base inviolable de toute humanité.

Un monde où le toucher, le remède (naturel) et la parole [20] continuent de former le pilier inébranlable de la médecine humaine.

Un monde où l’on ne sacrifie pas tout, la dignité humaine, les droits de l’Homme (et de la Femme), en échange de la vie à tout prix, car faire cela ôte sa valeur à la vie, justement.

Notes

[1] Coronavirus : la course contre la montre pour trouver un vaccin

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Coronavirus-la-course-contre-la-montre-pour-trouver-un-vaccin-1678996

[2] La grande arnaque du COVID 19:les 10 milliardaires ont gagné 51 milliards $ la semaine dernière

https://michelduchaine.com/2020/04/23/la-grande-arnaque-du-covid-19les-10-milliardaires-ont-gagne-51-milliards-la-semaine-derniere/

[3] 10 Billionaires Gained $51 Billion This Week As Markets Edged Up From The Stock Crash, Forbes.com, 11 avril 2020.

https://www.forbes.com/sites/hayleycuccinello/2020/04/11/billionaire-gainers-ortega-bezos-buffett/#3bdb43b23e8d

[4] Techno-tyrannie: Comment l’Etat sécuritaire étasunien utilise la crise du coronavirus pour concrétiser une vision digne d’Orwell

https://www.mondialisation.ca/techno-tyrannie-comment-letat-securitaire-etasunien-utilise-la-crise-du-coronavirus-pour-concretiser-une-vision-digne-dorwell/5645402

[5] Le coronavirus pousse à la dictature et pas seulement en Chine

https://www.contrepoints.org/2020/03/23/367242-le-coronavirus-pousse-a-la-dictature-et-pas-seulement-en-chine

[6] Des témoignages de l’intérieur ont montré un autre visage d’Amazon : celui d’une firme maltraitante, ultra-libérale, important des méthodes de management difficilement compatibles avec le droit français. Là-dessus, le ministre fait silence.

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20140320.RUE2786/tu-travailles-a-amazon-oh-mon-pauvre-tu-tiens-le-coup.html

[7] Apple est-elle une entreprise éthique : la grande illusion du dividende.

https://www.lemonde.fr/blog/finance/2012/03/25/apple-est-elle-une-entreprise-ethique-la-grande-illusion-du-dividende/

[8] Google ne respecte plus ses principes éthiques, selon un ancien directeur. L’ancien directeur des relations internationales de Google accuse le géant d’internet d’avoir abandonné ses valeurs morales fondatrices et de se rendre complice de violations des droits humains dans certains pays, comme la Chine ou l’Arabie saoudite. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/google-ne-respecte-plus-ses-principes-ethiques-selon-un-ancien-directeur-20200102

[9] Facebook et son éthique douteuse, flicage d’utilisateurs.

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/586642-facebook-et-son-ethique-douteuse-s-agit-il-du-veritable-nom-de-votre-ami.html

[10] Dans plusieurs pays comme la Russie, les malades peuvent décider de sortir de l’hôpital à condition de porter un bracelet électronique. Le gouvernement français étudierait cette possibilité.

https://www.gentside.com/news/coronavirus-des-bracelets-electroniques-pour-les-malades-en-france_art94922.html

[11] Dans une école maternelle de Varèse en Italie, des bracelets électroniques pour la distanciation sociale des enfants

https://fr.sott.net/article/35556-Dans-une-ecole-maternelle-de-Varese-en-Italie-des-bracelets-electroniques-pour-la-distanciation-sociale-des-enfants

[12] Surveillés et dociles. C’est au tour de Justin Trudeau de se laisser séduire par les sirènes des applications de pistage.

[13] Coronavirus: YouTube supprime toutes les informations qui ne suivent pas les recommandations de l’OMS. La PDG de YouTube, Susan Wojcicki, a déclaré à CNN que tout contenu lié au coronavirus allant à l’encontre des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sera supprimé de sa plateforme.

https://fr.theepochtimes.com/coronavirus-youtube-supprime-toutes-les-informations-qui-ne-suivent-pas-les-recommandations-de-loms-1342397.html

[14] Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé

https://www.inrees.com/soutien/Jean-Dominique-Michel/

[15] En Italie, un opposant au confinement placé en hôpital psychiatrique, 9 mai 2020

https://www.voltairenet.org/article209863.html

[16] Covid-19, avocate internée en psychiatrie parce qu’elle à osée, se mettre sur le chemin du Coronavirus. Me Beate Bahner, une avocate installée à Heidelberg / Allemagne, a déposé un recours d’annulations des mesures prises par le gouvernement allemand. En effet, suite au Covid-19 des mesures restrictives ont étés mises en place par la chancelière. Me Bahner plaide le viol des droits de liberté que subit le peuple allemand vis à vis des mesures mises en place pour freiner l’avancée du virus. Elle a donc demandé à La Cour constitutionnelle fédérale d’annuler ces mesures de restriction des libertés. Résultat ? Internement en psychiatrie !

Origine : Polizei bringt « Coronoia »-Anwältin Bahner in die Psychiatrie

https://strategies-de-survie.fr/covid-19-avocate-internee-en-psychiatrie/

https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_87699240/corona-krise-polizei-bringt-coronoia-anwaeltin-beate-bahner-in-die-psychiatrie-.html

[17] Médias français, qui possède quoi

https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA

[20] Le toucher, le remède, la parole, par Roberta Milanese et Simona Milanese, éditions SATAS, 2015 édition originale en italien, 2018, traduction en français. Soigner, c’est s’occuper autant de la personne que de la maladie.

http://www.mieux-etre.org/Le-toucher-le-remede-la-parole.html

Quand "tout, au plan économique, reviendra à la normale", c'est ce que souhaite ardemment la soi-disant gauche canadienne.

LVOG - Voilà un très bon exercice pour les militants.

Que la vie continue comme avant, c'est aussi ce que souhaite l'ensemble de la pseudo-gauche ou extrême gauche en France, pas de crise, pas de dépression, il ne faut surtout pas que les travailleurs souffrent davantage... Cela signifie qu'ils ne souhaitent pas que les conditions indispensables au surgissement d'une révolution soient réunies. Pourquoi ? Parce qu'ils ont tourné le dos au socialisme dont elles se réclament.

Leurs dirigeants n'ont aucune confiance dans la capacité de la classe ouvrière à accomplir la tâche historique de se débarrasser du capitalisme et de mettre un terme au règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, donc finalement ils trouvent que vivre sous le régime actuel ce ne serait pas si insupportable que cela, s'exprimant ainsi au nom de l'aristocratie ouvrière ou des classes moyennes, et non au nom de l'ensemble des exploités et des opprimés.

Si ces dirigeants n'ont aucune confiance dans la capacité de la classe ouvrière à accomplir sa tâche historique, c'est parce qu'ils incarnent au premier rang l'incapacité de se doter d'une direction politique capable d'organiser et de guider la classe ouvrière pour accomplir cette tâche. Autrement dit, c'est l'aveu de leur propre faillite politique ou qu'il n'y a rien à en attendre pour mener le combat pour en finir avec le capitalisme, ce n'est pas leur objectif.

- La sévère récession économique actuelle peut-elle se muer en une véritable dépression économique mondiale? par Prof Rodrigue Tremblay - Mondialisation.ca, 12 mai 2020

Extraits.

- Une baisse de 5 à 10% du PIB, et peut-être davantage, n’est guère hors de question en 2020

Les données préliminaires concernant la baisse du produit intérieur brut (PIB) au cours du premier trimestre de 2020 ne donnent pas une image complète des pertes économiques causées par le confinement et la fermeture d’entreprises. Pour le moment, aux États-Unis, on s’attend à une baisse de 4,8% du PIB au taux annuel. Cependant, le deuxième trimestre, lequel se termine avec le mois de juin, devrait montrer une plus importante perte.

C’est pourquoi, une contraction du PIB américain de l’ordre de 5 à 10%, pour l’ensemble de 2020, est certes possible, et pourrait même être dépassée, s’il survient une

- La grande importance relative du secteur des services

Il est important de comprendre que la structure des économies avancées modernes accorde une grande place à la production de services par rapport à la production de biens tangibles. De nos jours, la part des services dans la production nationale dépasse de beaucoup la production des secteurs primaire et secondaire de biens (agriculture, foresterie, mines, fabrication, énergie, etc.). Par exemple, le secteur tertiaire des services (services personnels aux consommateurs, soins de santé, éducation, commerce de détail et de gros, services financiers, tourisme, transports, médias, culture, etc.) représente 80% du PIB aux États-Unis, et c’est aussi là que l’on retrouve 80 pour cent des emplois.

Tout cela pour dire que la perte de production pendant le blocage économique est vraiment une perte qui ne sera pas entièrement récupérée lorsque l’économie rebondira. En effet, on ne peut entreposer des services.

On peut donc conclure d’une façon préliminaire que même avec un rebond économique important au second semestre de 2020 et avec une poursuite en 2021, comme de nombreux économistes anticipent, cela sera loin de compenser pour les dommages économiques importants causés par le verrouillage de l’économie pendant le premier semestre de cette année.

Aux États-Unis, une baisse de 5% du PIB réel pour 2020 dans son ensemble signifierait une perte de production d’environ 1,1 billion de dollars américains. Cependant, dans le cas d’un scénario plus pessimiste de baisse de 10% du PIB, cela pourrait se traduire par une perte de production de quelque 2,1 billions de dollars américains.

- Un objectif de première importance : Empêcher qu’une déflation structurelle durable n’apparaisse

Parmi les responsabilités de première ligne des banques centrales et des gouvernements, en cette période de crise virale et économique, est de prendre les mesures nécessaires pour empêcher qu’une dangereuse déflation structurelle ne s’installe à demeure.

Une déflation structurelle ou maligne est causée par une demande insuffisante dans un environnement de surcapacité de production.

Elle peut être la conséquence d’un vieillissement de la population. Il en résulte alors une pression durable à la baisse sur les prix et les salaires. Une telle situation économique se produit lorsque plusieurs secteurs (ex. marchés financiers, agriculture, énergie, mines, etc.) subissent une baisse des prix, quand une demande stagnante oblige les producteurs à abaisser leurs prix pour écouler leurs surplus de stocks d’inventaire.

Il en résulte une baisse dans les bénéfices et un déclin dans la demande de main-d’oeuvre. À son tour, la hausse du taux de chômage fait chuter les salaires, et c’est alors qu’une dangereuse spirale de baisse des prix et des salaires peut se mettre en marche.

En effet, lorsqu’une économie se trouve confrontée à une baisse des prix des titres financiers, à des fermetures d’entreprises et à un chômage massif, les banques, les entreprises et les consommateurs les plus endettés subissent alors de lourdes pertes financières à cause du poids écrasant de leurs dettes. Cela peut conduire à des fermetures de banques, à des défauts de paiement, à des défaillances et faillites d’entreprises et à des saisies hypothécaires… ainsi qu’à une baisse additionnelle de la demande, des prix et des salaires. C’est dans un tel contexte déflationniste qu’une récession économique ordinaire pourrait se muer en une dépression économique qui enregistrerait des taux de chômage supérieurs à 20 pourcent, pendant plusieurs années.

- Une déflation pourrait entraîner une désastreuse déflation des dettes

Quand une économie est surchargée de dettes, comme c’est le cas actuellement pour de nombreuses économies, une déflation structurelle peut sonner le glas au retour durable de la croissance économique. En effet, le talon d’Achille des économies est le niveau historiquement élevé d’endettement par rapport au produit intérieur brut (PIB).

Voici un bref aperçu des niveaux d’endettement aux États-Unis, à la mi-2019:

1- La dette totale des entreprises aux États-Unis (dette des sociétés non financières des grandes entreprises, dette des petites et moyennes entreprises, entreprises familiales et autres dettes commerciales) était de 15,5 billions de dollars, soit 72% du PIB américain.

2- La dette totale des consommateurs américains (cartes de crédit, prêts automobiles, prêts étudiants, hypothèques immobilières et autres dettes des ménages) était de 13,95 billions de dollars ou 65,2% du PIB.

3- La dette totale du gouvernement américain (dette non remboursée du gouvernement fédéral) était de 22,7 billions de dollars ou 106,1% du PIB.

En somme, le niveau d’endettement total des États-Unis, excluant le secteur financier, égalait l’an dernier environ 52 000 milliards de dollars, soit 243% du PIB pour une économie qui produit environ 22 000 milliards de dollars par an de biens et de services. C’est comme si un cavalier pesant 250 kilos chevauchait un poney.

Avec un déficit budgétaire fortement en hausse à hauteur de 3 700 milliards de dollars en 2020-21, et un autre déficit d’environ 2 000 milliards de dollars en 2021-22, la dette totale du gouvernement américain, à lui seul, pourrait facilement grimper à 27 700 milliards de dollars.

Hormis une menace inflationniste imminente, les gouvernements peuvent faire appel à la banque centrale pour que cette dernière fasse gonfler la masse de monnaie fiduciaire en monétisant les dettes gouvernementales. Cependant, les entreprises privées et les consommateurs surendettés n’ont guère ce luxe. Ils peuvent n’avoir d’autre choix que celui de faire défaut sur leurs dettes ou de réduire considérablement leurs dépenses.

Dans le contexte actuel, les conséquences économiques d’une telle déflation des dettes pourraient mettre un frein important à la forte reprise économique à laquelle de nombreux observateurs s’attendent, une fois la crise pandémique surmontée et un retour de l’économie à la normale.

- Le marché des prêts corporatifs à hauts risques

Finalement, en plus de toutes les dettes publiques et privées ordinaires, les autorités devraient porter une attention particulière au marché des prêts corporatifs à hauts risques, un marché financier parallèle d’environ $1 200 milliards et qui a pris de l’importance au cours de la dernière décennie. Il s’agit d’un marché très peu réglementé.

Il met en cause des fonds spéculatifs et les prêts que ces derniers font à des entreprises déjà fortement endettées. Cette catégorie de dettes n’est pas sans rappeler la crise des subprimes au cours des années 2007-2008, laquelle fut une des causes de la grande récession de 2007-2009. Ces prêts corporatifs à hauts risques pourraient être la première tranche de dettes à s’effondrer si la présente récession allait empirer.

- Conclusion

Ce n’est pas souvent qu’un problème majeur de santé publique se juxtapose à un déclin économique majeur. Dans un tel contexte de crise à la fois sanitaire et économique, bien malin pourrait prédire avec certitude ce qui arrivera dans l’avenir.

C’est pourquoi, permettez-moi d’identifier trois scénarios économiques possibles : Un scénario optimiste à court terme, lequel suppose que tout se passe pour le mieux, tel que souhaité ; un scénario de stagflation à moyen terme, quand une pression inflationniste et une faible croissance économique vont de pair ; et, un scénario plus pessimiste, quand une déflation généralisée, de mauvaises prises de décision tant politiques que sanitaires, et un niveau élevé d’endettement font en sorte de plonger l’économie dans une dépression économique.

Le scénario optimiste : tout se passe bien, les mesures gouvernementales de soutien à l’économie sont suffisantes pour empêcher l’émergence d’une déflation structurelle et d’une dangereuse spirale de déflation des dettes. Le chômage revient à ses niveaux historiques. —Ce scénario repose sur l’hypothèse que la menace d’une contagion virale s’estompe de façon permanente et ne persiste pas pendant des mois, voire des années. Cela suppose aussi que les chaînes d’approvisionnement des entreprises se rétablissent sans problèmes et sans dangereuses guerres commerciales.

1. Un scénario de stagflation à moyen terme : la situation actuelle entraîne d’importantes pénuries dans certains secteurs de production ; les prix au détail grimpent et une certaine forme de rationnement localisé devient nécessaire. C’est le scénario de la stagflation. Le chômage demeure élevé.

2.Un scénario plus pessimiste : après des années d’irresponsabilité budgétaire et d’une forte accumulation de dettes, la récession économique actuelle se transforme en une véritable dépression économique mondiale et l’économie est aux prises avec un processus de déflation des dettes. Les gouvernements et les banques centrales répètent les erreurs des années ’30, à savoir poussent les taux d’intérêt à la hausse, laissent la masse monétaire se contracter, et adoptent des politiques commerciales protectionnistes. Le tout se combine pour transformer une récession économique en une dépression économique mondiale, avec pour conséquence que tous les pays sortent perdants. Un chômage généralisé se maintient au-delà de 20 pourcent pendant plusieurs années.

3. Au plan géopolitique, si on se fie aux déclarations intempestives de Donald Trump et de son administration (Pompeo, Kushner, Miller, etc.), lesquelles visent à établir un lien entre la pandémie du Covid-19 et les attaques de Pearl Harbor, on ne peut exclure la possibilité que les États-Unis soient tentés de déclencher une guerre, commerciale ou autre, contre la Chine et/ou contre l’Iran. Si cela se produisait, cela pourrait jeter de l’essence sur le feu et transformer une très mauvaise situation en une grande catastrophe économique, avec peut-être le danger de créer une inflation galopante, voire une hyperinflation monétaire. Quoique rares, de tels évènements sont déjà arrivés dans le passé.

Par conséquent, il est trop tôt pour crier victoire et penser que tout, au plan économique, reviendra à la normale, une fois que la crise virale aura perdu de son intensité et que le blocage économique aura été complètement levé. — On verra. Mondialisation.ca, 12 mai 2020

LVOG - Quelle victoire ? Pour qui en réalité, devinez.

Qui a osé dire ?

- "Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, la Russie et la Chine diffusent beaucoup de désinformation, essayant ainsi de changer l'ordre mondial".

Réponse : Le secrétaire général de l’Otan, Stoltenberg. (sputniknews.com 15 mai 2020)

Propagande idéologique hystérique contre science et médecine.

- Plus de 500 effets indésirables liés aux traitements contre le coronavirus, incluant l'hydroxychloroquine - sputniknews.com 16 mai 2020

Sputnik - Les signalements d'effets indésirables des traitements liés au Covid-19 atteignent plus de 500, selon un point de l'Agence du médicament (ANSM), qui souligne en particulier que le «signal de cardiotoxicité» de l'hydroxychloroquine «continue à être confirmé», selon l’AFP.

LVOG - 500, qui dit mieux pour un médicament prescrit depuis 70 ans dans le monde entier, employé par les médecins du monde entier et recommandé par l'OMS avant qu'ils ne le criminalisent pour l'occasion. Ils en font tellement trop que plus personne ne leur accordera le moindre crédit, excellent.

L'ANSM rappelle que le risque de troubles neuropsychiatriques était déjà connu pour l'hydroxychloroquine et la chloroquine (psychose, nervosité, insomnies, dépression, etc.) et pourrait être aggravé par le contexte lié à la pandémie et au confinement. Une évaluation à ce sujet est en cours au niveau européen.

LVOG - Ce sont les membres de l'ANSM qui sont mentalement déséquilibrés et qu'il faudrait enfermer pour qu'ils cessent de nuire à la population.

C'est la peur et le confinement qui causent des dommages psychologiques à des milliers de personnes ou enfants dont certaines étaient déjà mentalement fragiles. La France demeure championne du monde en terme de consommation de psychotropes ou tranquillisants par habitants, mais cela ils ne le rappelleront pas.

Sputnik - Concernant les autres effets indésirables, l'ANSM remarque que «le nombre de cas d'effets indésirables cardiaques des traitements avec l'hydroxychloroquine seule ou en association connaît une augmentation moins importante par rapport aux semaines précédentes».

L’hydroxychloroquine derrière la plupart des effets indésirables cardiaques

LVOG - Admirez "il semble" mais ils en tirent des conclusions hâtives, la prescription de l'hydroxychloroquine devrait être déclarée hors la loi. Ils racontent n'importe quoi, la plupart des personnes qui "sont plus fragiles sur le plan cardiovasculaire" l'ignorent elles-mêmes et leurs médecins également.

Quel délire une fois de plus ! Ils voudraient nous faire croire que les personnes qui seront un jour atteintes d'une grave maladie l'auraient prédit ou le savaient avant qu'elle se déclare, très fort ! Autrement dit, une personne, qui n'aurait fait aucune étude de médecine, aurait pu acquérir un niveau de conscience et de connaissance qui en ferait un médecin hors pair capable de diagnostiquer la futur maladie dont elle souffrira un jour avant même que le moindre symptôme n'apparaisse. Alors qu'on est en présence d'une population particulièrement insouciante, manifestement inconsciente ou profondément ignorante, comme elle vient de l'illustrer magistralement.

Ces manipulateurs enragés iront jusqu'à ignorer dans le paragraphe suivant, que c'était des personnes obèses ou très âgées de préférence qui avaient présenté les symptômes les plus graves du Covid-19 ou qui en étaient mortes, personnes dont le système cardiovasculaire était fragilisé du fait de leur état de santé défectueux ou de leur grand âge, allant même jusqu'à oublier que, lorsqu'une personne encore en relative bonne santé meurt dans son lit entre 80 et 100 ans, on ne peut pas attribuer sa mort à une maladie ou à un accident, elle décède le plus naturellement du monde d'un arrêt du coeur, tout simplement parce qu'il était fatigué ou usé, cela arrive ! Ce qu'ils remettent en cause ou instrumentalise, c'est le cycle naturel de la vie, aussi incroyable que cela puisse paraître.

Sputnik - Il semble que «les malades du Covid sont plus fragiles sur le plan cardiovasculaire et donc plus susceptibles que les personnes lambda d'avoir des problèmes avec des médicaments qui sont délétères pour le coeur» tels que l'hydroxychloroquine, avait expliqué le directeur général de l'ANSM Dominique Martin à l'AFP début avril.

- Le nombre de décès liés à l'hydroxychloroquine survenus en milieu hospitalier est toujours de quatre. sputniknews.com 16 mai 2020

LVOG - 4 décès éventuellement causés par l'hydroxychloroquine pour des centaines de milliers de vie sauvées dans le monde, et malgré ce bilan extrêmement positif ils voudraient en interdire définitivement l'usage pour traiter préventivement les personnes prédisposées à attraper le Covid-19 ou à tomber malades.

A l'IUH où le professeur Didier Raoult travaille et où il a traité des milliers de patients avec cette molécule, aucune n'est décédée. Mais il avait pris soin d'exclure de ce traitement les personnes qui présentaient un risque cardiaque évident, précaution que n'ont manifestement pas prise d'autres médecins.

Quand on voit de quelle manière épouvantable ont été pris en charge les patients dans les hôpitaux, il ne faut s'étonner de rien, entre les tests bâclés ou défectueux, les interprétations d'analyses ou de scanners foireuses, les diagnostics erronés, les médications prescrites au petit bonheur la chance, tout a été fait minutieusement pour aboutir au résultat actuel, là où les initiateurs de cette sadique machination voulaient en arriver. Que toutes les agences de presse en soient les complices ne devraient plus étonner personne.

- L'hydroxychloroquine n'est pas efficace, selon deux études - sputniknews.com 15 mai 2020

La première étude, menée par des chercheurs français, conclut que ce dérivé de l'antipaludéen chloroquine ne réduit pas significativement les risques d'admission en réanimation ni de décès chez les patients hospitalisés avec une pneumonie due au Covid-19.

Selon la seconde étude, menée par une équipe chinoise, l'hydroxychloroquine ne permet pas d'éliminer le virus plus rapidement que des traitements standard chez des patients hospitalisés avec une forme «légère» ou «modérée» de Covid-19. En outre, les effets secondaires sont plus importants.

«Considérés dans leur ensemble, ces résultats ne plaident pas pour une utilisation de l'hydroxychloroquine comme un traitement de routine pour les patients atteints du Covid-19», estime dans un communiqué de presse la revue médicale britannique BMJ, qui publie les deux études.

Première étude

La première porte sur 181 patients adultes admis à l'hôpital avec une pneumonie due au Covid-19 qui nécessitait qu'on leur administre de l'oxygène.

84 de ces patients ont reçu de l'hydroxychloroquine quotidiennement moins de deux jours après leur hospitalisation, contrairement aux 97 autres.

Le fait d’en recevoir ou pas n'a rien changé, que ce soit pour les transferts en réanimation (76% des patients traités à l'hydroxychloroquine étaient en réanimation au bout du 21e jour, contre 75% dans l'autre groupe de patients) ou pour la mortalité (le taux de survie au 21e jour était respectivement de 89% et 91%).

«L'hydroxychloroquine a reçu une attention planétaire comme traitement potentiel du Covid-19 après des résultats positifs de petites études. Cependant, les résultats de cette étude n'étayent pas son utilisation chez les patients admis à l'hôpital avec le Covid-19 qui nécessitent de l'oxygène», concluent les chercheurs de plusieurs hôpitaux de la région parisienne, cités par l'AFP.

Seconde étude

La seconde étude portait sur 150 adultes hospitalisés en Chine avec essentiellement des formes «légères» ou «modérées» de Covid-19. La moitié a reçu de l'hydroxychloroquine, l'autre non.

Là encore, le fait de recevoir ou non ce traitement n'a rien changé sur l'élimination du virus par les patients au bout de quatre semaines. De plus, 30% de ceux qui en avaient reçu ont souffert d'effets indésirables (le plus fréquent était la diarrhée) contre 9% chez les patients qui n'en avaient pas pris.

Utilisée pour traiter des maladies auto-immunes, le lupus et la polyarthrite rhumatoïde, l'hydroxychloroquine a de fervents partisans. Le professeur français Didier Raoult promeut ainsi l'usage de ce médicament chez des patients en début de maladie, associé à un antibiotique, l'azythromycine. sputniknews.com 15 mai 2020

Commentaires d'internautes.

1- "Sauf que l'hydroxychloroquine doit être administrée dans les 15 premiers jours, associée il faut le répéter, à un antibiotique et non pas administrée dans les 15 et derniers jours suivants, sans quoi elle perd de son efficacité. Ceci pour répondre à la 1ere étude. Car dans le développement d'une affection due au covid, il y 4 phases.

L'hydroxychloroquine ne doit pas être administrée seule. Le covid affaiblit les défenses immunitaires mais n'empêche nullement le développement des pathologies sous-jacentes, les microbes, virus et autres qui eux se développeront puisque le système immunitaire ne répond quasiment plus. Ceci pour répondre à la deuxième étude.

Le problème de ces deux équipes, c'est qu'elles ne respectent aucunement le PROTOCOLE d'administration. Donc et évidemment, on aboutira à la conclusion fournie par ces deux équipes. Ces deux équipes ont donc correctement répondu à la question posée à savoir l'effet de l'hydroxychloroquine seule. Par conséquent, ces équipes apportent une réponse totalement faussée à pouvoir mettre en opposition au protocole de traitement du Pr Raoult. Il faudrait se poser la question de savoir quel labo a financé cette étude tronquée."

2- La CHQ est efficace dans tous les pays où elle était utilisée. Le seul cas exceptionnel était en France où elle était prescrite sur des pathologies approchant de la fin. Je serais curieux de voir l'étude chinoise alors que c'est le remède qui fut utilisé en masse pour soigner...

3- Le fait est que l'hydroxychloroquine semble être très efficace contre les profits industriels et boursiers. Les réactions d'opposants à l'utilisation de ce médicament éprouvé signent leurs liens financiers et leurs conflits d'intérêts, non leur science médicale.

- L’ancien ministre de la santé Douste blazy a communiqué des chiffres qu’il serait bon de savoir s’ils sont véridiques, pourcentage de morts par rapport aux malades 5 % en France, 0.8% à Marseille. Ce qui est bizarre c’est que ces informations n’ont pas été démenties par les autorités. 4.2% de morts en plus cela fait du monde.

4- "Donnez moi les noms de ceux qui ont commandé cette étude , et je vous dirai ce que cette étude va vous révéler " … Je ne me rappelle pas qui a dit ça , mais tout est dit !

Fake news de la pseudo-gauche britannique. Des fausses victimes du Covid-19 de tout âge.

- La mort d’un bébé de trois jours en ferait la plus jeune victime du Covid-19 - sputniknews.com 15 mai 2020

La principale cause du décès est une encéphalopathie hypoxique ischémique sévère, ce qui signifie que son cerveau était privé de sang et d’oxygène. L’infection au nouveau coronavirus a été jugée cause secondaire. Il serait la plus jeune victime du Covid-19, souligne le Guardian. sputniknews.com 15 mai 2020

- Coronavirus : un enfant meurt du syndrome de Kawasaki pour la première fois - LePoint.fr 14 mai 2020

Des tests de sérologie ont montré que cet enfant « avait été en contact » avec le coronavirus, mais il n'avait pas développé les symptômes du Covid-19, a indiqué à l'Agence France-Presse le professeur Fabrice Michel, chef du service de réanimation pédiatrique à La Timone.

LVOG - Comment faire pour parvenir à lier ce syndrome au Covid-19, quel casse-tête !

Dans son point hebdomadaire jeudi soir, l'agence sanitaire Santé publique France faisait mention du décès de ce garçon, atteint d'une autre maladie, « une comorbidité neuro-développementale », sans préciser laquelle. Mais, selon le Pr Michel, cette autre maladie n'a joué aucun rôle dans son décès : « Qu'il l'ait eue ou pas, ça ne change rien. »

LVOG - Alors qu'il ignore encore de quoi il est mort au juste, bravo !

LVOG - Un mystère que l'OMS se charge d'éclaircir, devinez dans quel sens.

La maladie intrigue les autorités sanitaires de plusieurs pays depuis deux semaines alors même que les enfants ne sont que très peu atteints par les formes graves du Covid-19. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué qu'elle étudiait un possible lien entre les deux maladies.

LVOG - Sans aucune certitude, peu importe. "Probable"... ou pas. "Evoquait"... ou son contraire. "Très en faveur"... ou en sa défaveur, piochez dans la pochette surprise, au choix.

Plus de la moitié des cas ont été testés positifs au Covid-19, et « le lien au virus était probable » chez 12 % des petits patients, car ils avaient été en contact avec un sujet positif ou avaient eu un scanner qui évoquait le Covid-19. « Ces résultats sont très en faveur d'un lien entre l'infection par le Sars-CoV-2 et cette pathologie », juge Santé publique France...

LVOG - Au passage cet aveu ne vous aura pas échappé, "un scanner qui évoquait le Covid-19", ce qui signifie qu'un grand nombre de personnes ont été diagnostiquées atteintes du Covid-19 suite à un scanner qui ne voulait rien dire ou qu'ils furent incapables d'interpréter, d'où la surmortalité attribuée au Covid-19 artificiellement.

Deux études parues ces derniers jours dans la revue médicale The Lancet ont décrit les premiers cas survenus en Angleterre et en Italie. En Angleterre, six des huit premiers cas observés étaient des enfants noirs, « d'origine afro-caribéenne », selon l'une de ces études, ce qui pourrait suggérer une piste génétique. Le garçon mort à Marseille était lui aussi « d'origine africaine », selon le Pr Michel, qui n'en tire toutefois pas de conclusion : « C'est peut-être aussi des populations où le virus circule plus. »

LVOG - Surtout s'il ne revenait pas d'Afrique ou il résidait en France depuis longtemps, les virus sont éternels, comme les hommes, c'est bien connu, n'importe quoi.

Le crétinisme est une maladie infectieuse.

- Greta Thunberg, «spécialiste des maladies infectieuses» sur CNN, la toile laissée bouche bée - sputniknews.com 14 mai 2020

Après être devenue l’une des leaders d’opinion mondiales sur les questions climatiques, Greta Thunberg se retrouve désormais invitée à une émission de débat en public organisée par la chaîne CNN, au milieu d’un panel d’experts… du coronavirus. L’invitation n’a pas tardé à enflammer l’opinion publique aux États-Unis.

Le tweet de Donald Trump junior, fils du Président, en est exemple très éloquent:

«Greta Thunberg a une carrière remarquable dès son adolescence, puisqu’elle est aujourd’hui une spécialiste des maladies infectieuses et une épidémiologiste de renommée mondiale ET une voix scientifique de premier plan en matière de politique climatique mondiale. C’est vraiment impressionnant.»

Si les sympathisants de Donald Trump ont abondé dans ce sens, certains analystes plus modérés que l’entourage du Président des États-Unis sont, eux, surpris par cette décision.

Après avoir été nommé par le magazine Times «personne de l’année», finaliste dans la course pour le prix Nobel de la paix, et l’une des 100 femmes les plus influentes par le magazine Forbes, la jeune activiste scandinave, devenue une figure familière dans les foyers aux États-Unis, se retrouve une nouvelle fois sous le feu des projecteurs. sputniknews.com 14 mai 2020

Peut-être une bonne nouvelle.

- Coronavirus: Pas de vaccin avant deux ans, selon le patron de Novartis - Reuters 15 mai 2020

La droite se dote d'un nouveau masque... de gauche.

- Une quarantaine d'intellectuels de gauche lancent une nouvelle revue - lefigaro.fr 14 mai 2020

Le projet est encore confidentiel. Mais ils sont une quarantaine d'intellectuels et de hauts fonctionnaires à travailler dessus depuis un an désormais. Tous se sont attelés à la création d'une nouvelle revue d'idées. Publiée chez l'éditeur bordelais engagé Le Bord de l'eau, cette revue nommée « Germinal », pourrait voir le jour à l'automne prochain. Elle veut être « l'équivalent pour la gauche de la revue Commentaire du début des années 80 ».

À la manœuvre, aucun politique mais des intellectuels comme les philosophes Dominique Meda ou Bruno Karsenti, l'historien Thomas Branthôme ou l'économiste Xavier Ragot. Un jeune étudiant orchestre l'ensemble, qui n'est autre que Nathan Cazeneuve, le fils de l'ex premier ministre Bernard Cazeneuve. Âgé de 24 ans, ce normalien, agrégé de philo, en dernière année à l'École d'affaires publiques de Sciences Po s'apprête à engager une thèse sur « l'état social et la théorie de la souveraineté ».

Dans un message envoyé aux éventuels contributeurs que Le Figaro s'est procuré, la revue Germinal se présente comme « une revue socialiste, au sens théorique, engagée et de référence, capable d'opposer un discours fort et construit aux limites du libéralisme ainsi qu'au populisme et au nationalisme ». Les initiateurs déplorent « la malheureuse et trop grande faiblesse des idées de gauche dans le débat public par rapport à l'urgence sociale et environnementale actuelle ». lefigaro.fr 14 mai 2020

Immanquable.

- Sylvain Maillard (LREM) : « Instaurons une TVA sociale ! » - LePoint.fr 15 mai 2020

Totalitarisme. Les GAFAM instruments privilégiés du contrôle des populations.

- Le FBI pourrait bientôt accéder sans mandat à l'historique des internautes - LePoint.fr 15 mai 2020

Mercredi 13 mai, les sénateurs américains ont d'ailleurs rejeté un amendement bipartisan qui visait à interdire aux forces de l'ordre, comme le FBI, d'accéder sans mandat aux historiques de navigation et de recherche en ligne des Américains, relaie BFM TV, s'appuyant sur le site Gizmodo.

Le vote se déroulait dans le cadre de la réforme du Patriot Act, cette loi antiterroriste entrée en vigueur en 2001 après les attentats du 11 Septembre, et qui accroît les prérogatives des agences de renseignements et des agences fédérales policières, notamment en matière de données informatiques. Certains outils de la loi ont expiré le 15 mars, mais l'amendement voté mercredi allait plus loin que le texte originel, autorisant explicitement les forces de l'ordre à ne pas fournir aux opérateurs télécom et aux fournisseurs d'accès à Internet une preuve que l'individu à surveiller aurait commis des actes répréhensibles.

L'amendement a finalement recueilli le vote de 59 sénateurs, alors qu'il en fallait 60 pour qu'il soit adopté. Plusieurs sénateurs favorables à l'amendement, dont Bernie Sanders, ne se sont pas présentés en session, faisant donc échouer l'adoption du texte. Désormais, la loi modifiée, sans l'amendement en question, donc, doit être votée dans les prochains jours par les sénateurs. Une fois cette étape franchie, l'ensemble du texte devra être signé par Donald Trump. LePoint.fr 15 mai 2020

Qui complote ? Encore ? Oui et toujours, on n'invente rien, c'est officiel.

- Une unité secrète pour la « reconstruction » du Venezuela à Londres - Réseau Voltaire 15 mai 2020

Le site internet d’information anglo-saxon The Canary vient d’obtenir la déclassification de documents officiels britanniques relatifs au Venezuela. Ils prouvent l’existence depuis janvier 2019 d’une unité secrète au sein de Whitehall (le ministère britannique des Affaires étrangères et du Commonwealth) chargée de la déstabilisation puis de la reconstruction du pays.

Nous avions annoncé dès décembre 2018 que les États-Unis préparaient une guerre de pays latino-américains contre le Venezuela [1], puis en avril 2020, nous avions révélé l’existence d’une coordination des anciennes puissances coloniales du continent (Espagne, France, Portugal, Pays-Bas, Royaume-Uni) sous présidence US pour enlever le président constitutionnel, Nicolas Maduro [2].

Les documents consultés par The Canary attestent de l’investissement du Royaume-Uni dans ce projet. Les personnes qui pourraient être portées au pouvoir dont Juan Guaido, se sont engagées à favoriser les intérêts économiques de la Couronne au détriment de leur propre population.

Revealed : Secretive British unit planning for ‘reconstruction’ of Venezuela, John McEvoy, The Canary, May 13th, 2020.

Notes

[1] « Les États-Unis préparent une guerre entre latino-américains », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 décembre 2018.

[2] « Trump adapte la stratégie énergétique US », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 14 avril 2020.


Le 20 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

La température est montée à 40°C à l'ombre, normal, c'est la saison. Hier soir à 23h il faisait encore 32°C à l'extérieur, un peu plus à l'intérieur de la maison. 26°C avec la clim dans la chambre de 1h à 5h du matin, après je la coupe pour faire des économies d'électricité. Toujours pas reçu ma retraite complémentaire qui devait m'être versée par Humanis le 1er avril. Bonne journée et bon courage, il en faut ! On vaincra !

Ils osent tout.

Ils déconfinent comme ils ont confiné, et vous croyez que cela questionnerait les misérables manipulateurs qui ont soutenu la nécessité du confinement et du port du masque puisque cela allait ensemble généralement, pas le moins du monde. Quand on est profondément conditionné, apparemment il en faut plus pour en sortir.

Quel militant ouvrier va-t-il tirer des enseignements politiques de cet épisode sordide ? Lesquels en sont-ils encore capables ? Combien sont-ils, qui sont-ils ? On l'ignore sans se faire d'illusions. Même si notre portail a une très faible audience, il est connu de milliers de militants, cadres et dirigeants du mouvement ouvrier. Le fait qu'aucun ne souhaite s'exprimer ici ou manifester son soutien à l'auteur de ce portail, témoigne suffisamment de l'endoctrinement qu'ils ont subi ou de l'influence du discours officiel qui pèse sur eux. Peu importe ou dommage, nous ne changerons pas notre orientation politique ou nous n'abandonnerons pas nos principes et notre idéal pour autant.

Ceci explique cela.

Le bout de gras et le corporatisme sur fond de populisme (confinement et masque), voilà ce qui reste de la lutte de classe de l'avant-garde (sic!) du mouvement ouvrier, dont acte.

Entre nous, si un jour quelqu'un me traitait de salaud, d'ordure, de salopard, de réactionnaire, ma première réaction serait de me demander pourquoi j'aurais mérité un tel sort, qu'est-ce que j'aurais fait ou qu'est-ce que je n'aurais pas fait, je serais extrêmement choqué, humilié, un cauchemar à se taper la tête contre les murs. Face à une situation comparable la première réaction de nos dirigeants serait de demander à cette personne d'où elle sort cela, parce que cela ne pourrait pas venir d'eux-mêmes. Vous saisissez la différence. Moi je ne crois pas être infaillible, eux si ! Vous comprenez pourquoi dans ces conditions on ne pourra jamais s'entendre.

Tenez, on pourrait en profiter pour corriger une erreur. J'avais reproduit l'information selon laquelle 70% de la population pourrait être infectée par le coronavirus, alors qu'en fait le taux tournerait autour de 3 à 5%, en fait on en apprend un peu plus tous les jours. Notez bien que cela ne signifierait pas forcément grand chose, car un virus peut être très contagieux sans pour autant est plus létal qu'un virus qui serait peu contagieux mais davantage mortel. On ne sait jamais à l'avance comment un virus va se comporter dans le temps, il n'y a que les devins qui trônent sur les plateaux de télévisions ou dans les rédactions des médias aux ordres qui le savent.

Ce matin, Vidje, un cousin de ma compagne Selvi est passé chez nous. Il a un peu plus de 20 ans, il travaille comme soudeur dans une usine produisant des moteurs électriques destinés à l'exportation. On se connaît depuis 7 ans. Je lui ai prêté de l'argent à plusieurs reprises.

Il débarque pendant que j'étais devant l'ordinateur, un grand mouchoir lui couvrant la moitié du visage. Je lui dis en souriant qu'il peut l'enlever, il refuse en me répondant que le coronavirus est très dangereux. Là j'éclate de rire et je tente de lui arracher. Impossible, il s'accroche à son mouchoir avec ses deux mains, et il me demande pourquoi c'est une farce. J'essaie de lui expliquer posément, le plus simplement du monde en lui citant des faits très concrets, rien à faire. Je lui donne le cas de l'Inde avec son taux de mortalité ridiculement bas, 0,0003%, sans effet, il ne se rend pas compte de ce que cela représente. On en restera là.

Vous comprenez pourquoi j'enrage, parce qu'ils ont réussi à conditionner et à pourrir la vie de milliards de travailleurs. C'est dégueulasse, épouvantable, que les dirigeants du mouvement ouvrier se soient faits les complices de cette sordide machination en notre nom. Le mouvement ouvrier n'est pas plus réformable que le capitalisme, il faut le refonder entièrement.

On a appris que les syndicats s'apprêtaient à discuter avec le gouvernement d'un énième plan sur la santé et qu'ils en attendaient quelque chose, ce n'est pas une blague ou une fake news. Au même moment Macron s'adressait un satisfecit sur la gestion des masques, dont personnellement je n'ai rien à foutre, ce qui n'est pas le cas de nos dirigeants enragés qui voulaient en imposer le port à tout le monde dans les espaces publics. Je me suis demander, mais où on va comme cela, les voilà plus royalistes que le roi sans dénoncer cette mascarade. Et vous savez pourquoi, parce que le personnel soignant se verrait attribuer par le gouvernement une obole de 300 euros. Autrement dit tout s'achète, surtout la paix sociale, et c'est grosso modo le contenu de tous les mouvements sociaux en cours, filez nous une prime et tout pourra continuer comme avant, on fera comme si rien ne s'était passé. C'est l'orientation politique de nos braves révolutionnaires. Quand ils proposent une issue politique à la crise du capitalisme, ils y croient autant que les bureaucrates syndicaux corrompus lorsqu'ils appellent les travailleurs à se mobiliser en faisant tout pour qu'ils n'en fassent rien.

C'est d'autant plus grave et dangereux, car cela signifie que les travailleurs n'auront tiré absolument aucune leçon de cette expérience de 50 jours de privation de liberté, opération qui pourra se renouveler n'importe quand dans l'avenir. A bas Macron, Macron dégage, Macron démission, ça c'est du passé, ce n'était pas plus sérieux que cela, c'était juste un mot d'ordre lancé en l'air sans lien avec la lutte des classes, une posture inconsistante d'opportunistes en peine de légitimité.


24 pages au format pdf

Un commentaire modéré adressé à un portail scientifique belge.

Bonjour monsieur,

Merci pour ces articles très brillants.

Intéressante discussion sur la crédibilité des scientifiques qui se proclament climato-réalistes, remarque qui vaut pour tous les scientifiques en général.

Sans être scientifique, je partage en grande partie les conclusions temporaires des climato-réalistes sur l'origine des variations climatiques qui n'est manifestement pas due à l'activité humaine.

Il est vrai que rares sont les scientifiques capables de tenir un discours accessible au plus grand nombre. Partant de ce constat, on a la fâcheuse impression, qui ne joue pas en leur faveur, qu'ils sont déconnectés du monde réel dès qu'ils sortent de leur domaine scientifique de prédilection ou dès qu'ils doivent donner leur avis sur un tout autre sujet, le Covid-19 ou la crise à laquelle est en proie la civilisation humaine, par exemple, les deux sont d'ailleurs liées.

Autant sur la question climatique ils rompent avec l'idéologie officielle, et dans la plupart des autres domaines, dont les deux cités précédemment , ils y adhèrent ou ils la partagent avec le même empressement et aveuglement dont fait preuve un citoyen lambda profondément ignorant ou incapable de réfléchir par lui-même.

Là pour le coup, ils semblent soudainement tétanisés et dépourvus de tout esprit scientifique (et critique), comme s'ils méconnaissaient les instruments logiques les plus élémentaires auxquels ils recourent quotidiennement pour mener à bien leurs recherches scientifiques.

En conclusion, cette vulnérabilité ou cette perméabilité à l'influence de l'idéologie dominante ou officielle, va porter un coup fatal à la crédibilité qu'ils avaient eu tant de mal à acquérir auprès d'un large public parmi le plus évolué, qui sait par expérience et qui conserve présent à l'esprit, que les intentions qui guident ceux qui nous gouvernent sont généralement malsaines et inavouables au point de ne leur accorder aucun crédit, principe de précaution que ces scientifiques n'adoptent pas visiblement.

Alors, quand ces mêmes scientifiques climato-réalistes adoptent la rhétorique de la pandémie au coronavirus pour aborder une simple épidémie virale, ils brisent tout espoir de rallier à leur théorie sur le climat de nouveaux citoyens, pire, ils vont perdre la confiance d'une grande partie de ceux qui avaient partagé cette théorie avec eux, non pas sur la base de critères scientifiques car ils en étaient incapables, mais uniquement par méfiance envers les représentants du régime en place, peu importe ici la valeur contestable de leur argument, seul compte le fait que ces scientifiques demeureront marginaux, et les citoyens, disons les plus progressistes ou humanistes, resteront privés du soutien de scientifiques ou d'intellectuels, qui leur fait tant défaut pour faire prévaloir la légitimité de leurs analyses pour changer la société.

Dès qu'un sujet d'actualité en rapport avec la question sociale se présente, on s'aperçoit que systématiquement les scientifiques vont se fourvoyer pour ne pas dire pire encore ; Même sur la question climatique, puisqu'à défaut de remettre en cause le régime en place, ils vont le charger de la résoudre. Voilà une aberration qu'aurait dénoncé Einstein, pour lequel il ne faut pas demander à celui qui est à l'origine d'un problème de trouver une solution pour le résoudre.

Au final, les scientifiques sont limités, non pas intellectuellement, mais influencés idéologiquement et c'est bien dommage.

Elevons-nous au-dessus de la médiocrité ambiante avec A. Einstein dont nous partageons les observations ou aphorismes.

- Trois grandes forces dominent le monde: la stupidité, la peur et la cupidité.

- Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. (Parmi ceux qui savent et s'accommode du capitalisme. - LVOG)

- Petit est le nombre de personnes qui voient avec leurs yeux et pensent avec leurs esprits. (Comme les yeux sont directement connectés au cerveau, si la connexion ne se fait pas entre les deux, vous voilà avec un cerveau aveugle ou qui ne fonctionne pas. Cela peut donner les émotions les plus folles. - LVOG)

- Folie : faire la même chose encore et encore et attendre des résultats différents. (Des mêmes dirigeants ou partis. - LVOG)

- La condamnation avant enquête est la plus haute forme d'ignorance. (Ou de malveillance. - LVOG)

- Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.

- Le comble de la stupidité est le plus clairement démontré par l'individu qui se moque de quelque chose dont il ne sait rien. (C'est la forme de stupidité la plus communément répandue. - LVOG)

- Ne sous-estimez jamais votre propre ignorance.

- Le progrès technique est comme une hache qu'on aurait mise dans les mains d'un psychopathe.

- Il est hélas devenu évident aujourd'hui que notre technologie a dépassé notre humanité.

- Les amères leçons du passé doivent être réapprises sans cesse.

- Il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé.

- Peu d'être sont capables d'exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d'arriver à formuler de telles opinions.

- L'intelligence n'est pas la capacité de stocker des informations, mais de savoir où les trouver. (Encore faut-il les chercher. - LVOG)

- Ce n'est pas que je suis si intelligent, c'est que je reste plus longtemps avec les problèmes.

- La mesure de l'intelligence est la capacité de changer.

- L'imagination est beaucoup plus importante que l'intelligence. (Le déni de la réalité est le pire ennemi de l'imagination. - LVOG)

- La seule vraie chose précieuse est l'intuition. (A condition de s'y fier. - LVOG)

- Un homme qui lit trop et qui fait trop peu d'efforts cérébraux prend vite des habitudes de paresse d'esprit. (Cela vaut pour les intellectuels en général. - LVOG)

- Apprendre d'hier, vivre aujourd'hui, espérer pour demain. L'important est de ne pas arrêter de poser des questions. (A condition de ne pas craindre les réponses qu'on risque de trouver. - LVOG)

- Je ne suis ni particulièrement intelligent ni particulièrement doué. Je ne suis que très, très curieux. (Notre éducation nous a enseigné que c'était un vilain défaut. - LVOG)

- Je n'ai pas de talent particulier. Je suis simplement curieux. (Une tare que dénoncent les dogmatiques, les esprits étroits et bornés. - LVOG)

- Penser est un travail difficile. c'est pourquoi si peu le font. (Et dire qu'il y en a qui croient que tout le monde pense. - LVOG)

- Nous ne pouvons pas arriver là où nous rêvons d'être demain sans changer notre façon de penser aujourd'hui. (Dites-le à ceux qui ont adopté un mode de penser monolithique. - LVOG)

- Plus j'apprends, plus je réalise que je ne sais pas. (La modestie n'est pas le point fort des hommes. - LVOG)

- Dès que tu cesses d'apprendre, tu commences à mourir. (C'est ainsi que le monde est peuplé de morts vivants prêts à partir à l'abattoir. - LVOG)

- La seule erreur dans la vie est la leçon non apprise. (Celle qu'on ne tire pas de nos expériences. - LVOG

- Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée lorsque nous les avons créés. (Et le malheur des hommes réside dans le fait qu'ils croient que ceux qui sont à l'origine de leurs problèmes les résoudront. - LVOG)

- La seule chose dont nous pouvons être certains dans cette vie, c'est que nous ne pouvons être certains de rien. (Mais nous ne pourrions pas arriver à cette conclusion si nous n'étions pas certain de quelque chose. Pourquoi ? Parce qu'en partant de rien on n'arriverait même pas à rien, il faut bien partir de quelque chose ou de quelque part. - LVOG)

- Viser la justice sociale est la chose la plus précieuse à faire dans la vie. (La seule qui fait sens. - LVOG)

- J'ai le sentiment que les différences de classe sociale ne sont pas justifiées et qu'elles ne reposent en fin de compte que sur la violence. (C'est effectivement sur ce type de rapports que repose le régime capitaliste. - LVOG)

- La possession de merveilleux moyens de production n'a pas apporté la liberté, mais le souci et la famine.

- Nous ne pouvons pas désespérer des hommes, puisque nous sommes nous-mêmes des hommes. (C'est la raison d'être du socialisme. - LVOG)

- Si vous voulez mener une vie heureuse, associez-la à un objectif, et non à des personnes ou à des objets. (Au socialisme par exemple. - LVOG)

"Abroger le mensonge" pour abolir le capitalisme, sinon c'est remplacer un mensonge par un autre.

La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus. Quand le mensonge devient la vérité, il n'y a pas de retour en arrière par Prof Michel Chossudovsky - Mondialisation.ca, 18 mai 2020

Extraits.

Le monde est trompé sur les causes et les conséquences de la crise du coronavirus.

La crise COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous les auspices de l’OMS qui sert de prétexte et de justification au déclenchement d’un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique.

L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le verrouillage, malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Ce qui se passe est sans précédent dans l’histoire du monde.

D’éminents scientifiques soutiennent le verrouillage sans sourciller, comme une « solution » à une urgence sanitaire mondiale.

Amplement documentées, les estimations de la maladie COVID-19, y compris la mortalité, sont grossièrement manipulées.

En retour, les gens obéissent à leurs gouvernements. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur ?

Causes contre solutions ?

La fermeture des économies nationales appliquée dans le monde entier entraînera inévitablement la pauvreté, le chômage de masse et une augmentation de la mortalité. C’est un acte de guerre économique.

Pourquoi les politiciens mentent-ils ?

Ils sont les instruments politiques de l’establishment financier, y compris les « philanthropes ultra-riches ». Leur tâche est de mener à bien le projet de restructuration économique mondiale qui consiste à geler l’activité économique dans le monde entier.

Dans toutes les grandes régions du monde, les politiciens ont reçu l’ordre de puissants intérêts financiers de maintenir le verrouillage et d’empêcher la réouverture de l’économie nationale.

Les gouvernements corrompus agissent comme des « chiens bergers » avec l' »instinct de gérer les troupeaux » de moutons.

Le « troupeau » a-t-il trop peur pour s’en prendre à son « gouvernement » ?

L’analogie peut être simpliste, mais néanmoins considérée comme pertinente par les psychologues.

Mais il y a une autre dimension. Les politiciens de haut niveau chargés de « convaincre leur troupeau » croient en fait aux mensonges qui leur sont imposés par une autorité supérieure.

Le mensonge devient la vérité. Les politiciens approuvent le consensus, ils appliquent l' »ingénierie sociale », ils croient en leurs propres mensonges.

Ne nous faisons pas d’illusions, il s’agit d’une opération soigneusement planifiée. Il n’y a rien de spontané ou d’accidentel. La récession économique est provoquée aux niveaux national et mondial. À son tour, cette crise est également intégrée dans la planification militaire et de renseignement des États-Unis et de l’OTAN. Elle vise non seulement à affaiblir la Chine, la Russie et l’Iran, mais elle consiste également à déstabiliser le tissu économique de l’Union européenne (UE).

« Gouvernance mondiale »

Une nouvelle étape dans l’évolution du capitalisme mondial est en train de se dérouler. Un système de « gouvernance mondiale » contrôlé par de puissants intérêts financiers, dont des fondations d’entreprises et des think tanks de Washington, supervise la prise de décision au niveau national et mondial. Les gouvernements nationaux deviennent subordonnés à la « gouvernance mondiale ». Le concept de gouvernement mondial a été soulevé par David Rockefeller (décédé en 2017) lors de la réunion de Bilderberger, Baden Allemagne, en juin 1991 :

«Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux yeux de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. » (cité par Aspen Times, 15 août 2011, je souligne)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui va à l’encontre des intérêts des États-Unis, que ma famille et moi sommes des « internationalistes » et que nous conspirons avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée, un seul monde si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable, et j’en suis fier ». (Ibid)

Les gens ne remettent pas en cause le consensus, un consensus qui frôle l’absurde.

Cette crise provoquée est sans précédent dans l’histoire du monde. Il s’agit d’un acte de guerre.

Le verrouillage déclenche un processus de désengagement des ressources humaines et matérielles du processus de production. L’économie réelle est paralysée. La réduction de l’activité économique compromet la « reproduction de la vie réelle ». Cela ne concerne pas seulement la production réelle des « nécessités de la vie » (alimentation, santé, éducation, logement), mais aussi la « reproduction » des relations sociales, des institutions politiques, de la culture, de l’identité nationale. Au moment où nous écrivons ces lignes, le verrouillage ne déclenche pas seulement une crise économique, il mine et détruit également le tissu même de la société civile, sans parler de la nature du gouvernement et des institutions de l’État (paralysés par l’accumulation des dettes), qui seront finalement privatisés sous la supervision des créanciers du « pouvoir de l‘argent » (Big Money).

Il y a des conflits au sein du système capitaliste qui sont rarement abordés par les grands médias. Les milliardaires, les puissantes institutions bancaires et financières (qui sont créanciers à la fois des gouvernements et des entreprises) mènent une guerre non déclarée contre l’économie réelle. Alors que les établissements financiers et bancaires du « pouvoir de l‘argent » (Big Money) sont des « créanciers », les entreprises de l’économie réelle qui sont déstabilisées et conduites à la faillite sont des « débiteurs ».

La crise redéfinit la structure du paysage économique mondial. Elle déstabilise les petites et moyennes entreprises dans le monde entier, elle précipite des secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment le transport aérien, le tourisme, le commerce de détail, l’industrie manufacturière, etc. dans la faillite.

Ce processus diabolique ne se limite pas à l’anéantissement des petites et moyennes entreprises. Le « pouvoir de l’argent » est également le créancier des grandes entreprises (notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels, les laboratoires de haute technologie, les détaillants, les entreprises d’import-export, etc.

L’establishment financier mondial n’est pas monolithique. Il est marqué par des divisions et des rivalités. La faction dominante du « pouvoir de l’argent » (Big Money) cherche à déstabiliser ses concurrents de l’intérieur. Il en résulterait une série de faillites d’institutions bancaires régionales et nationales ainsi qu’un processus de consolidation financière mondiale.

Ce que ces rapports omettent de mentionner, ce sont les causes non-avouées : une campagne de peur au nom des créanciers, les instructions de gouvernements corrompus de fermer l’économie, prétendument pour « sauver des vies », ce qui est un gros mensonge. Des vies ne sont pas sauvées, et ils le savent.

Les intérêts du « pouvoir financier » (Big Money) (intérêts financiers mondiaux) se recoupent avec ceux des Big Pharma, Big Oil (les supermajors du pétrole), les entrepreneurs de la Défense, etc. Les grandes institutions bancaires étasuniennes, dont JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup, Wells Fargo, State Street Co. et Goldman Sachs, investissent dans l’économie de guerre, notamment dans le développement d’armes nucléaires dans le cadre du programme d’armement nucléaire de Trump, d’un montant de 1,2 trillion de dollars (mis en place sous Obama).

L’objectif ultime du « pouvoir de l’argent » (« Big Money ») est de transformer les États nationaux (avec leurs propres institutions et une économie nationale) en « territoires économiques ouverts ». C’est le sort de l’Irak et de l’Afghanistan. Mais maintenant, vous pouvez le faire sans envoyer de troupes, en ordonnant simplement à des gouvernements par procuration (proxy government) asservis par des politiciens corrompus de fermer leur économie pour des raisons humanitaires, ce qu’on appelle la « responsabilité de protéger » (R2P) sans qu’il soit nécessaire d’intervenir militairement.

Impossible à estimer ou à évaluer. Plus de la moitié de l’économie mondiale est perturbée ou au point mort.

Soyons clairs. Il s’agit d’un programme impérial (imperial agenda). Que veulent les élites financières mondiales ? Privatiser l’État ? Posséder et privatiser la planète entière ?

La tendance est à la centralisation et à la concentration du pouvoir économique. Les gouvernements nationaux lourdement endettés sont les instruments du « pouvoir de l’argent » (Big Money). Ils sont des mandataires. Les principales nominations politiques sont contrôlées par des groupes de pression représentant Wall Street, le complexe militaro-industriel, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes sociétés pétrolières, les médias d’entreprise et les géants de la communication numérique, etc.

En Europe et en Amérique, le « pouvoir de l’argent » (« Big Money« ) (par l’intermédiaire des groupes de pression de Washington) cherche à contrôler les gouvernements nationaux.

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire.

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

Comment inverser la tendance. La première priorité est d’abroger le mensonge.

À cet égard, il est regrettable que de nombreuses personnes « progressistes » (y compris des intellectuels de gauche éminents) soient – malgré les mensonges – favorables au verrouillage et à la fermeture de l’économie comme solution à l’urgence de santé publique. C’est la position du parti démocrate aux États-Unis, qui va à l’encontre du bon sens.

La vérité est une arme puissante pour abroger les mensonges des médias corporatifs et des gouvernements.

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Sans la campagne de peur et la propagande médiatique, les actions entreprises par nos gouvernements n’auraient pas de fondement.

La « distanciation sociale » n’empêche pas les élites financières de donner des instructions à des politiciens corrompus.

D’autre part, la « distanciation sociale » combinée au confinement est utilisée comme un moyen de subordination sociale. Elle empêche les gens de se réunir et de protester contre ce soi-disant nouvel ordre mondial.

L’organisation, la vérité et la solidarité sont essentielles pour renverser la tendance. La première étape d’un mouvement mondial est la « contre-propagande ». Mondialisation.ca, 18 mai 2020

Parmi la liste des 20 plus riches du monde ne figurent pas certains qui devraient y être, dont Rockefeller.

- Plan US : contrôle militarisé de la population par Manlio Dinucci - Réseau Voltaire 19 mai 2020

La Fondation Rockefeller, qui entretient des liens historiques avec l’État fédéral US, a présenté un plan national pour contrôler l’épidémie de coronavirus. Il vise à tester 30 millions de personnes par jour aux frais de l’État et à soumettre les citoyens US à un strict contrôle militaire.

Illustration d'une photo.

Le président de la Fondation Rockefeller, le docteur Rajiv Shah, est un haut fonctionnaire US spécialiste de la manipulation des « secours humanitaires » comme moyens de pression politique. Il a notamment été directeur du programme écologique de la Fondation Bill & Melinda Gates en Afrique, puis a été nommé par Hillary Clinton directeur de l’Agence US de développement international (USAID). Il serait membre de The Fellowship, le groupe de prière qui réunit les chefs d’état-major US et Hillary Clinton à côté du Pentagone.

Par Manlio Dinucci

La Fondation Rockefeller a présenté son Plan d’action national pour le contrôle du Covid-19, en indiquant les « pas pragmatiques pour ré-ouvrir nos lieux de travail et nos communautés ».

Mais il ne s’agit pas, comme il apparaît dans le titre, simplement de mesures sanitaires. Le Plan —auquel ont contribué certaines des plus prestigieuses universités (Harvard, Yale, Johns Hopkins et autres)— préfigure un véritable modèle social hiérarchisé et militarisé. Au sommet : le « Conseil de contrôle de la pandémie, analogue au Conseil de production de guerre que les États-Unis créèrent durant la Seconde Guerre mondiale ».

Il serait composé de « leaders du monde des affaires, du gouvernement et du monde universitaire » (ainsi listé par ordre d’importance, avec au premier rang non pas les représentants gouvernementaux, mais ceux de la Finance et de l’Économie). Ce Conseil suprême aurait le pouvoir de décider productions et services, avec une autorité analogue à celle conférée au président des États-Unis en temps de guerre par la Loi pour la production de la Défense. Le Plan prévoit qu’il faut soumettre au test Covid-19, hebdomadairement, 3 millions de citoyens états-uniens, et que le nombre doit être porté à 30 millions par semaine en six mois. L’objectif, à réaliser en une année, est celui d’atteindre la capacité de soumettre à des tests Covid-19 30 millions de personnes par jour.

Pour chaque test on prévoit « un remboursement adéquat à un prix de marché de 100 dollars ». Il faudra donc, en argent public, « des milliards de dollars par mois ».

La Fondation Rockefeller et ses partenaires financiers contribueront à créer un réseau pour la fourniture de garanties de crédit et la signature des contrats avec les fournisseurs, c’est-à-dire avec les grandes sociétés productrices de médicaments et équipements médicaux. Selon le Plan, le « Conseil de contrôle de la pandémie » est aussi autorisé à créer un « Corps de réponse à la pandémie » : une force spéciale (non fortuitement nommée « Corps » comme celui des Marines) avec un personnel de 100 à 300 000 membres. Ils seraient recrutés parmi les volontaires des Peace Corps et des Americorps (créés par le gouvernement US officiellement pour « aider les pays en voie de développement ») et parmi les militaires de la Garde Nationale.

Les membres du « Corps de réponse à la pandémie » recevraient un salaire moyen brut de 40 000 dollars annuels, pour lequel est prévue une dépense publique de 4 à 12 milliards de dollars annuels. Le « Corps de réponse à la pandémie » aurait surtout la tâche de contrôler la population avec des techniques de type militaire, à travers des systèmes digitaux de traçage et d’identification, dans les lieux de travail et d’étude, dans les quartiers de résidence, dans les locaux publics et au cours des déplacements. Des systèmes de ce type —rappelle la Fondation Rockefeller— sont réalisés par Apple, Google et Facebook.

Selon le Plan, les informations sur les personnes individuelles, relatives à leur état de santé et à leurs activités, resteraient confidentielles « autant qu’il est possible ». Elles seraient cependant toutes centralisées dans une plate-forme digitale cogérée par l’État Fédéral et par des sociétés privées.

Sur la base des données fournies par le « Conseil de contrôle de la pandémie », serait décidé tour à tour quelles zones seraient soumises au confinement et pour combien de temps. Ceci, en synthèse, est le plan que la Fondation Rockefeller veut opérer aux États-Unis et ailleurs. S’il était réalisé même partiellement, se produirait une ultérieure concentration du pouvoir économique et politique dans les mains d’élites encore plus restreintes, au détriment d’une majorité croissante qui se verrait privée des droits démocratiques fondamentaux.

Opération conduite au nom du « contrôle du Covid-19 », dont le taux de mortalité, d’après les données officielles, est jusqu’à présent inférieur à 0,03 % de la population états-unienne. Dans le Plan de la Fondation Rockefeller le virus se trouve utilisé comme une véritable arme, plus dangereuse encore que le Covid-19 même.

Réseau Voltaire 19 mai 2020

Document joint.

National Covid-19 - Testing Action - Plan Pragmatic steps to reopen our workplaces and our communities - The Rockefeller Foundation - Tuesday, April 21, 2020

https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/TheRockefellerFoundation_WhitePaper_Covid19_4_22_2020.pdf

National Covid-19 - Testing Action - Plan Pragmatic steps to reopen our workplaces and our communities. (18.04)

Déjà ? Ils anticipent une mauvaise nouvelle.

- Coronavirus : comment se terminent les épidémies ? - Franceinfo 19 mai 2020

Une imposture peut en servir une autre.

- "Il faut qu'on fasse de cette crise un levier pour accélérer la transition écologique" : Bruno Le Maire annonce des plans de soutien pour l'automobile et l'aéronautique - Franceinfo 17 mai 2020

Scientisme et manipulation. Quand ils prennent leur désir pour la réalité, c'est forcément morbide. Quand le "probable devient une certitude.

- Covid-19 : pourquoi le réchauffement estival ne stoppera pas l'épidémie - Yahoo 19 mai 2020

Le Sars-Cov-2, le virus qui cause le Covid-19, est-il saisonnier ? Peut-on espérer un retour à la normale avec l’arrivée de l’été en France ? Depuis plusieurs semaines, les scientifiques du monde entier se demandent s’il existe, ou non, une corrélation entre la météo et l’épidémie. En effet, le climat, en particulier l’humidité, jouent un rôle dans la propagation d’autres coronavirus et de la grippe. Pourquoi n’en serait-il pas de même dans le cas du Sars-Cov-2 ?

Pour répondre à cette question, des chercheurs de l’université américaine Princeton ont mené une vaste étude publiée ce lundi 18 mai dans la revue Science. Ils ont modélisé plusieurs scénarios, dans plusieurs régions du globe, avec différentes températures et niveaux d’humidité. Résultat : le lien entre le climat et la propagation du virus est tellement infime qu’il est trop ambitieux de croire que le Covid-19 disparaîtra avec le réchauffement estival. “Nous prévoyons que les climats plus chauds et humides ne ralentiront pas le virus dans les stades initiaux de la pandémie”, explique Rachel Baker, chercheuse en post-doctorat à l’université de Princeton, dans un communiqué. Vers un virus hivernal

“Le virus se propagera vite, quelles que soient les conditions climatiques”, ajoute la scientifique. En cause, la faible immunité collective contre le Sars-Cov-2. Les chercheurs estiment qu’à ce stade, trop peu de gens ont été infectés par le virus pour stopper sa progression. Selon l’Institut Pasteur, moins de 5% de la population en France serait immunisé contre cette forme de coronavirus. Les experts considèrent qu’il faudrait que 50 à 60% de la population soit infectée pour développer une immunité collective. C’est seulement à partir de ce moment que le virus pourra devenir saisonnier.

"D'autres coronavirus humains, comme ceux du rhume, dépendent fortement de facteurs saisonniers, en culminant pendant l'hiver en dehors des tropiques", explique le professeur Bryan Grenfell.

"Si, comme c'est probable, le nouveau coronavirus est également saisonnier, on peut s'attendre à ce qu'il se transforme en virus hivernal au fur et à mesure qu'il deviendra endémique dans la population".

Pour les auteurs de cette étude, cela ne fait aucun doute : “les régions tropicales et tempérées doivent se préparer à des épidémies sévères, et que les températures estivales ne vont pas contenir la propagation des infections". La patience est donc de rigueur. Yahoo 19 mai 2020

En complément

SRAS - 2002-2003 - A travers le monde. L'épidémie s'est naturellement arrêtée au début du printemps. Il semble que seuls les contacts rapprochés et prolongés avec des personnes très malades entraînaient une contagion.

MERS-Cov - 2012 - De rares cas sporadiques sont régulièrement enregistrés au Moyen-Orient. Le MERS se propage essentiellement par les contacts rapprochés avec le chameau, l'hôte intermédiaire du virus, même si de rares cas de transmission interhumaine ont été enregistrés dans un hôpital du Corée du Sud.

Ebola - 1979 puis 2014 et 2016 - Ebola sévit toujours en République démocratique du Congo. Le virus ne se transmet pas par aérosol mais par contact étroit avec du sang, des sécrétions souillées ou des animaux sauvages. Le contenir est donc beaucoup plus facile en appliquant des mesures d'hygiène strictes.

Zika - 2015 - Le virus Zika, de la même famille que celui de la dengue ou la fièvre jaune. Une lutte efficace contre le moustique (qui prolifère d'ailleurs seulement une partie de l'année) a permis d’éradiquer l’épidémie, même si le virus reste présent dans la région (Amérique du Sud).

Grippe H1N1 (grippe aviaire) - 2009 - Se transmettant par voie aérosole comme la grippe saisonnière, le H1N1 s'est pourtant avéré trois fois moins contagieux et son impact est resté limité. D'autre part, « certaines personnes avaient déjà rencontré soit l'épitope H1, soit N1, et possédaient donc déjà une certaine immunité», explique Étienne Decroly sur LCI. futura-sciences.com 20 avril 2020

Virus de la grippe - Le confinement est le facteur principal de son développement. wikipedia.org (Tiens, donc ! - LVOG)

La grippe est nettement plus fréquente et épidémique en hiver dans les zones tempérées, sauf lors de certaines pandémies. Ce phénomène est mal compris. Des dizaines d’hypothèses tentent d'expliquer cette saisonnalité, parmi lesquelles :

- en période froide, rester plus souvent à l'intérieur, où l'atmosphère confinée et immobile maintient les micro-gouttelettes porteuses de virus, favorise leur transmission ;

- diminution du taux de vitamine D lié à un ensoleillement plus faible en hiver ;

- le faible taux d'humidité de l'air à l'intérieur durant l'hiver assèche davantage la muqueuse nasale, la rendant plus fragile et perméable à la pénétration du virus. Un air sec apparaît comme un milieu propice à la diffusion des particules virales qui ne sont pas rabattues vers le sol par la condensation... wikipedia.org

LVOG - Il est indiqué par ailleurs, que la déficience en zinc, en vitamine C et D sont des facteurs favorisant l'infection aux différents virus ou coronavirus. Cette déficience est due essentiellement à une alimentation défectueuse et non à des causes surnaturelles ou extérieures. L'insouciance pour sa santé dont fait preuve la population en général - comme pour bien d'autres choses, est responsable de cette carence qui peut s'avérer fatale. C'est à cela qu'on peut aussi mesurer le niveau de conscience médiocre de la population.

Une imposture enfle, gonfle, se façonne au jour le jour. En fait de découverte, que du réchauffé.

Coronavirus: Âge, surpoids, tabac... Ce que nous dit la plus vaste étude sur les risques de décès - Le HuffPost 19 mai 2020

Il semblerait que les facteurs de comorbidité ne soient pas les principaux facteurs de décès.

Cette étude, qui n’a pas encore été publiée dans une revue à comité de lecture, est sortie le 7 mai dernier. Elle a été réalisée pour le compte de NHS England. L’information principale qui ressort de ces cherches est le poids primordial de l’âge dans les risques de décès liés au Covid-19. Jusqu’à présent, c’était les comorbidités qui semblaient être les principaux facteurs. L’augmentation de l’âge augmente les risques.

LVOG - L'art de tout dire et son contraire.

Le HuffPost - Interrogé par Le HuffPost, le Professeur Denis Malvy, infectiologue au CHU de Bordeaux relativise: “Il y a la réalité statistique et la réalité logique.” L’âge est “la variable qui écrase toutes les autres mais il est complété par d’autres comorbidités”, particulièrement dans la tranche 50-60 ans. D’ailleurs, cette dernière sert de base pour calculer les multiplicateurs de risques de décès.

Des comorbidités comme le surpoids, l’obésité et les infections respiratoires chroniques sont des facteurs de risques importants.

“Des comorbidités sévères comme le surpoids/obésité sont conformes à l’observation de tous les réanimateurs”, confirme le Professeur Denis Malvy. En général, les personnes souffrant d’obésité, cumulent des pathologies comme le diabète ou l’hypertension. Mais dans leurs études, les chercheurs ont été surpris de voir que ces maladies n’entraînaient pas de sur-risques de décès.

Un des résultats plus inattendu de cette étude - même si déjà évoqué lors par des premières remontées de terrain - est le lien entre les facteurs de décès et le tabagisme. D’après les résultats de l’étude, les non-fumeurs et les anciens fumeurs ont plus de chance de mourir du Covid-19 que les fumeurs actifs.

LVOG - Politiquement incorrect, ils n'hésitent pas à remettre en cause cet aspect de cette étude.

Carole Dufouil, épidémiologiste à l’Inserm rapporte au Monde, “des doutes sur les effets protecteurs du tabac observés dans cette étude qui sont sans doute la conséquence d’une modélisation erronée.”

LVOG - Une étude biaisée, peu importe, elle sert à valider le nombre de morts attribués au coronavirus et contestés par de nombreux médecins.

L’étude se concentre sur les personnes décédées à l’hôpital et exclut par conséquent les populations mortes dans les Ehpad ou à leur domicile. Certains patients sont également décédés sans avoir eu de test virologique. Le HuffPost 19 mai 2020

En complément

- Covid-19 - Selon un récent article paru dans le journal Le Monde, repris par La Ligue contre l'obésité, 83 % des patients en soins intensifs seraient en surpoids ou obèses. futura-sciences.com 9 avril 2020

« Dans un hôpital de La Nouvelle-Orléans, 60 % des cas critiques concernent des personnes obèses »

Lors de l’épidémie de H1N1, en 2009. En Californie, une étude avait alors montré que sur 268 patients hospitalisés ou décédés, 58 % étaient obèses et, parmi eux, deux tiers présentaient une obésité sévère. Deux tiers également souffraient de diabète, d’une maladie pulmonaire ou cardiaque. « Mais même les obèses métaboliquement sains sont des sujets à risque, car leur immunité est compromise », précise M. Ravussin. Le Monde 7 avril 2020

https://liguecontrelobesite.org/actualite/le-rapport-americain-qui-pointe-du-doigt-lobesite-comme-facteur-aggravant-du-covid-19/

Chacun y va de sa petite ou grande musique. Flûte alors !

Selon une étude, il n'existerait pas de risques de contamination au covid-19 dans les orchestres - LeFigaro.fr 19 mai 2020

Les musiciens ne se transmettent pas entre eux le nouveau coronavirus lorsqu'ils jouent de leur instrument, selon une étude réalisée par l'Orchestre philharmonique de Vienne, qui pense ne pas avoir besoin d'adapter sa pratique dans la perspective du déconfinement.

Les résultats du docteur Fritz Sterz, communiqués lundi par le Philharmonique à l'AFP, montrent que qu'«il ne faut pas s'attendre à ce que l'air exhalé par un artiste excède une distance de 80 centimètres». Seule la flûte traversière a émis des particules loin du musicien, jusqu'à 80 centimètres. LeFigaro.fr 19 mai 2020

Il ne manquait plus que la voyante.

Greta Thunberg annonce la fin du monde dans le nouveau clip de Pearl Jam - LeFigaro.fr 19 mai 2020

La jeune Suédoise joue à la voyante dans la vidéo du morceau très écolo Retrograde. LeFigaro.fr19 mai 2020

LVOG - Retrograde, quand la conscience humaine régresse jusqu'à l'infantilisme en déclarant progresser dans les pas de U2, pitoyable.

Les médias, l'infâme et cynique machine à désinformer, à conditionner, à décérébrer.

Didier Raoult fustige les médias : "la plupart du temps, les informations sont de meilleure qualité sur YouTube" - Yahoo 17 mai 2020

Dans une interview donnée jeudi à la chaîne de télévision israélienne i24news, Didier Raoult a fustigé les médias dits "traditionnels", estimant que les informations étaient "la plupart du temps de meilleure qualité sur YouTube".

Selon Didier Raoult, les réseaux sociaux mettent en danger les médias traditionnels, et cela se "traduit par beaucoup de violence". "Si sur un podcast j'ai trois fois la notoriété du journal Le Monde, je comprends que ce journal ne m'aime pas, a poursuivi le patron de l'IHU Méditerranée Infection. Moi ça coûte rien, ça ne me rapporte rien et je deviens donc un rival incontrôlable dans la clarté ou la réalité de l'information, car je n'ai pas du tout d’a priori dans la vie".

Pour conclure, le spécialiste des virus considère qu'il n'y a pas plus "d'informations exactes" dans les médias traditionnels que sur les réseaux sociaux. "On voit que les médias traditionnels identifient comme des fake news - ça m'est arrivé - des news qu'ils ne relaient pas. (...) On est dans un tournant historique de la distribution de l'information qui explique des conflits qui me dépassent de très loin.". Yahoo 17 mai 2020

Coronavirus: entretien exclusif avec le professeur Didier Raoult - 14 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=yqxvhbciPQ8&feature=emb_title

LVOG - Dans cet entretien, le professeur Raoult a martelé une fois de plus que le masque ne servait strictement à rien, hormis pour le personnel soignant se trouvant à 10 ou 20 centimes de la bouche d'un malade.

Ils vous le disent. Vous devez être malade et si nécessaire mourir plutôt que vous soigner et vivre.

Coronavirus : Donald Trump annonce prendre de l'hydroxychloroquine "depuis une semaine et demie" - BFMTV 18 mai 2020

Interrogé pour savoir s'il avait des symptômes du virus, le président américain a répondu par la négative. "Zéro symptôme!", a-t-il assuré à la presse, avant d'ajouter: "De nombreuses personnes sur le terrain en prennent, et ils ont l'air de très bien se porter". BFMTV 18 mai 2020

Si vous prenez de l'hydroxychloroquine en traitement préventif comme Trump, voici ce que vous risquez - huffingtonpost.fr 19 mai 2020

En réalité, il y a beaucoup de risques à prendre un médicament au bénéfice très hypothétique contre le coronavirus, mais aux effets secondaires très clairs.

LVOG - On pourrait les cataloguer dans le camp de la mort. Comme matons !

Huffingtonpost - Mais après tout, “qu’est-ce que vous avez à perdre”? Eh bien justement, sur cette question, les choses sont un peu plus claires.

LVOG - Vraiment ? Pour nous ressortir les lieux communs mille fois rabâchés en vain.

Huffingtonpost - Car l’hydroxychloroquine est un médicament bien connu. Ses effets secondaires également. Comme le rappelle Science Magazine, on sait que ce traitement peut provoquer de l’arythmie cardiaque. Même si ces effets sont rares, ils ne sont pas négligeables. Surtout que l’azithromycine provoque également un effet similaire. Et ce cocktail semble décupler les problèmes. huffingtonpost.fr 19 mai 2020

LVOG - Des effets "rares", peu importe, ils ont décrété qu'ils n'étaient pas "négligeables" donc considérables ! L'article se terminait en appelant la population à ne surtout pas utiliser cette molécule "il ne devrait donc surtout pas être utilisé en auto-médication". En Inde, c'est la seule méthode efficace que j'ai à ma disposition pour me soigner, et je m'en porte bien. Pour quelques dizaines de roupies seulement.

Les "médias traditionnels" pas crédibles, et pour cause...

Jean-Jacques Bourdin tacle Didier Raoult : « Il n’a pas eu la politesse de répondre à mes messages » - starmag.com 19 mai 2020

Jean-Jacques Bourdin - Je l’ai invité, une fois ou deux mais, comme j’ai vu qu’il ne me répondait pas, qu’il n’avait même pas la politesse de répondre à mes messages, je ne l’ai plus invité ! C’est très simple. C’est vrai que je l’ai invité au début, parce que j’étais curieux, et puis il n’est pas venu. Je ne sais pas pourquoi.

LVOG - Il avait mieux à faire ! Pour qui se prend-il ce psychopathe?

Jean-Jacques Bourdin - Je l’ai invité deux fois, il ne m’a pas répondu. Je ne vais pas me mettre à plat ventre pour Didier Raoult. C’est son problème, s’il ne veut pas venir, il ne vient pas. starmag.com 19 mai 2020

LVOG - Et il n'en mourra pas espèce de cinglé.

Et pour cause...

- Inde, Russie : les nouveaux épicentres du coronavirus ? - Yahoo 18 mai 2020

L’Inde et la Russie sont très sévèrement touchées par le nouveau coronavirus, battant des records de contamination. Pourtant, les deux pays ont choisi d’assouplir le confinement. Yahoo 18 mai 2020

LVOG - 3 041 morts en Inde pour 1,380 milliard d'habitants ; 2 722 morts en Russie pour 145 millions d'habitants. Ils ne digèrent pas qu'il n'y ait pas plus de morts à travers le monde et que le confinement mondial prenne fin. Qu'ils se rassurent la pointe de l'épidémie n'étant pas atteinte au même moment sous les différentes latitudes, le nombre de morts va augmenter dans plusieurs pays.

Yahoo contredit par Reuters le même jour.

- Les nouveaux cas de coronavirus baissent encore en Russie - Reuters 18 mai 2020

Et pour cause...

- Coronavirus: des traces repérées sur un scanner datant de novembre à Colmar - huffingtonpost.fr 18 mai 2020

Pour le Dr Michel Schmitt, interviewé par Le Parisien, le but est de rechercher des “anomalies pulmonaires typiques provoquées par le Covid-19” pour mieux cerner quand, comment et à quelle vitesse la maladie s’est propagée. Des premiers résultats qui devront être confirmés.

Un scanner datant du 16 novembre montre ces anomalies sur un premier cas. Un second cas a été trouvé pour le mois de novembre, douze en décembre et seize en janvier. Selon le média, la prochaine étape est de rencontrer, mener des analyses épidémiologiques, afin de retracer leur histoire et découvrir comment ils ont pu être contaminés alors que l’épidémie n’était pas encore déclarée dans le pays.

Aussi, certaines lésions peuvent être visibles sans que toutefois elles soient nécessairement imputables au Covid-19. “On aimerait se dire: on a un examen et il est fiable à 100 %. Malheureusement, ce n’est pas si simple, explique au Parisien Chantal Raherison-Semjen, présidente de la société de pneumologie. On rencontre des lésions en verre dépoli (des inflammations visibles dans les clichés de Covid-19) dans beaucoup de maladies. Le scanner est un outil, mais pas la panacée”. huffingtonpost.fr 18 mai 2020

LVOG - La polémique faisant rage sur le confinement et l'hydroxychloroquine, et la fin de cette machination étant annoncée, certains se lâchent.

Après les tests plus ou moins fiables ou carrément défectueux, les masques passoires qui ne servent à rien, les déclarations se multiplient affirmant que les images produites par les scanners sont compliquées à interpréter ou peuvent faire l'objet d'interprétations erronées. De là à douter de l'existence d'une pandémie, on n'en est plus très loin.

La question qui tue ceux qui en portent.

- Les masques sont-ils réellement efficaces pour lutter contre l'épidémie ? - programme-tv.net 18 mai 2020

Et pour cause, il fallait la trouver celle-là, vous la devez à FranceInfo ou à la voix du régime.

Coronavirus: des tests sur les hamsters prouvent l'efficacité des masques pour réduire le risque de contamination - Franceinfo 17 mai 2020

Inquiétant.

- Masque obligatoire à Levallois-Perret : "c'est très réconfortant", se félicite le maire Jean-Yves Cavallini - Franceinfo 17 mai 2020

D'autres villes ayant pris des arrêtés similaires ont vu leurs décisions annulées par la justice administrative. Une issue qui n'inquiète pas l'élu levalloisien, qui argue que sa ville se trouve dans "une situation très particulière". Franceinfo 17 mai 2020

Et pour cause, ce sont des parasites à éliminer. Attention, un autre ennemi vous guettte : Les tiques !

- Avec le retour des balades en forêt, comment se protéger des tiques? - BFMTV 17 mai 2020

LVOG - Restez chez vous et vous ne rencontrerez pas de tiques. Ne voyez plus personne, ne parlez plus à personne, n'écoutez plus personne, sauf ceux qui distille la bonne parole au 20H...

Mais vous pouvez aussi vous enfermer dans votre bagnole, vous verrez, cela peut être miraculeux !

Première messe en "drive-in" de France : "C'était magnifique", se réjouit l'évêque de Châlons, à l'origine de l'initiative - Franceinfo 17 mai 2020

Chacun dans sa voiture a pu suivre via son autoradio la cérémonie de Mgr Touvet, l'évêque de Chalons, qui décrit un moment "magnifique" et "d'une joie profonde". Franceinfo 17 mai 2020

Sinon vous pouvez essayer la serpillère, mais on ne vous le conseille pas.

- Pour Ségolène Royal, "ce n'est plus le moment de critiquer" l'exécutif - BFMTV 17 mai 2020

Et pour cause.

Il a « créé le Covid 19 », veut « dépeupler la terre », « implanter des puces »… Bill Gates, « poupée vaudou » des complotistes sur le Web - 20minutes.fr 17 mai 2020

Bill Gates a « créé le Covid-19 », veut « dépeupler la Terre », « implanter des puces électroniques à la population »… Des fausses affirmations comme celles-ci, partagées des millions de fois, explosent littéralement sur Internet. Le célèbre milliardaire américain est devenu la cible favorite des complotistes, dont les publications bénéficient d’une visibilité accrue à la faveur de la pandémie, et qui essaiment sur Internet sous diverses déclinaisons.

Présentes dans le monde entier et de nombreuses langues, on les retrouve sur Facebook, Twitter, Instagram, WhatsApp, ou sur les forums 4chan, Reddit… Avec des citations et vidéos détournées, décontextualisées, des photomontages, des raccourcis mensongers, ces publications l’accusent de vouloir donner un vaccin empoisonné aux Africains, d’avoir paralysé des centaines de milliers d’enfants, de posséder l’OMS, d’utiliser notre cerveau pour créer des cryptomonnaies ou même… d’être sataniste.

Si beaucoup circulaient déjà avant la pandémie du nouveau coronavirus, les allégations visant Bill Gates ont un point commun : l’accuser de vouloir tirer profit de la pandémie, telle la figure du « profiteur de guerre » : asservir le monde ou s’enrichir en vendant des vaccins. « Ces théories (…) peuvent réduire la confiance des gens dans les organisations de santé et faire baisser les taux de vaccination, c’est inquiétant », poursuit Rory Smith.

« Parce qu’il a critiqué l’administration Trump, qu’il est un magnat de la technologie devenu philanthrope, un fervent promoteur et financeur de la vaccination, le cofondateur de Microsoft est le bouc-émissaire parfait d’une crise, qui est à l’intersection de la technologie et de la science médicale », résume-t-elle.

Engagée dans de nombreux projets humanitaires -notamment en Afrique, où les infox sur Bill Gates sont particulièrement nombreuses-, pourvoyeuse de fonds d’entreprises privées et deuxième financeuse de l’OMS, la Fondation sert de terreau à bien des rumeurs visant le milliardaire.

Pour autant, démonter les fausses affirmations, ça ne « revient pas à expliquer que tout le monde est gentil », dit-il encore, rappelant qu’il peut y avoir des interrogations étayées et légitimes sur l’usage des données personnelles par les groupes technologiques ou des gouvernements par exemple. La Fondation a par ailleurs déjà fait l’objet de critiques sur un manque de transparence de sa gestion ou sur ses choix de financements, dans la revue scientifique prestigieuse The Lancet par exemple. 20minutes.fr17 mai 2020

LVOG - 90% des accusations portées contre Bill Gates sont exactes et vérifiables, les 10% restant sont le fait de provocateurs destinés à décrédibiliser les 90% largement documentés et jamais réfutées. Lire dans la causerie du 2 mai, traduit en français :

- The Rockefeller Foundation and the international health agenda - May 11, 2013

Un internaute.

- "Pourquoi l'institution caritative la plus riche du monde est-elle actionnaire de sociétés à l'origine des fléaux sanitaires et écologique qu'elle s'est donné pour objectif de combattre ?"

Les barbares sont hors catégorie.

- Virus au Qatar: jusqu'à 3 ans de prison pour non-port du masque - AFP 17 mai 2020

Le Qatar a commencé dimanche à appliquer les sanctions les plus sévères au monde contre les personnes ne portant pas de masque en public, pouvant aller jusqu'à trois ans de prison, pour endiguer l'épidémie de coronavirus qui progresse rapidement dans le pays. AFP 17 mai 2020

Totalitarisme. A toutes les époques ils ont recouru au gaz.

- Pologne: Gaz lacrymogènes contre des manifestants anticonfinement - Reuters 17 mai 2020

La police a fait usage de gaz lacrymogènes contre des manifestants à Varsovie réclamant une accélération de la réouverture des entreprises après un confinement destiné à lutter contre l'épidémie de coronavirus.

Des centaines de personnes se sont rassemblées dans la Vieille Ville de Varsovie en début d'après-midi avec des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "du travail et du pain" notamment.

Les manifestants, qui se sont réunis à plusieurs reprises ces dernières semaines, estiment que l'assouplissement doit être beaucoup plus rapide afin qu'ils puissent subvenir à leurs besoins.

La police a bloqué la manifestation qui était prévue, en déclarant dans un communiqué diffusé sur internet que les rassemblements publics étaient toujours interdits. Reuters 17 mai 2020

C'est sûr qu'ils vous le feront payer le prix fort.

- Macron et Merkel proposent à l'UE un plan de relance de 500 milliards - AFP 19 mai 2020

Le couple franco-allemand a proposé lundi un plan de relance de 500 milliards d'euros afin d'aider l'Union européenne à surmonter la crise historique engendrée par la pandémie de coronavirus, via un mécanisme inédit de mutualisation de la dette européenne.

"Pour soutenir une reprise durable qui rétablisse et renforce la croissance dans l'UE, l'Allemagne et la France soutiennent la création d'un Fonds de relance ambitieux, temporaire et ciblé" dans le cadre du prochain budget de l'UE doté "de 500 milliards d'euros", souligne une déclaration commune.

Élément inédit dans la construction européenne: Paris comme Berlin proposent que ce soutien soit financé par des emprunts de la Commission sur les marchés "au nom de l'UE".

Cet argent sera ensuite reversé en "dépenses budgétaires" aux pays européens et "aux secteurs et régions les plus touchés", souligne la déclaration.

"Ces 500 milliards ne seront pas remboursés par les bénéficiaires de ceux qui utiliseront cet argent", a affirmé le président français Emmanuel Macron dans une conférence de presse commune avec la chancelière allemande Angela Merkel.

"Ce ne seront pas des prêts mais des dotations" directes aux pays les plus touchés, a-t-il martelé.

Ces 500 milliards viendraient s'ajouter aux 500 milliards environ déjà décidés par les ministres des Finances de la zone euro et constitués de capacités de prêts notamment.

Au total, l'Europe débloquerait donc environ 1.000 milliards d'euros pour contrer la récession historique qui se profile pour 2020 dans la zone euro (-7,7% selon les dernières prévisions de la Commission).

Reste désormais au couple franco-allemand à convaincre l'ensemble des Etats membres de l'UE.

"Les propositions franco-allemandes sont ambitieuses, ciblées et bienvenues", s'est félicitée la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s'est également "réjouie de la proposition constructive de la France et de l'Allemagne".

Elle doit elle-même présenter le 27 mai prochain son propre plan pour la relance économique de l'UE.

"Cette proposition (franco-allemande) va dans le sens de celle préparée par la Commission, laquelle tiendra également compte des points de vue de tous les États membres et du Parlement européen", a-t-elle ajouté. AFP 19 mai 2020

- Chômage partiel : le bouclier européen validé - euronews.com 19 mai 2020

L'UE valide le dispositif d'urgence européen de chômage partiel. Les Etats membres ont donné mercredi leur accord à l'instrument temporaire proposé par la Commission européenne. Cet outil, appelé SURE, propose jusqu'à 100 milliards d'euros sous forme de prêts pour aider les systèmes nationaux. La Commission veut ainsi atténuer les conséquences sociales de la crise du coronavirus.

Depuis le début de la pandémie près de 42 millions de travailleurs en Europe ont fait appel à différents dispositifs de chômage partiel :

47,8 % en France
46,6% en Italie
26,9% en Allemagne
24,1% en Espagne

Le dispositif européen doit permettre d'éviter les licenciements et de limiter le choc de la crise sur l'économie et le marché du travail. L'objectif est de maintenir les revenus des ménages, de préserver la capacité de production et de sauvegarder le capital humain des entreprises.

Les syndicats se félicitent de cette adoption mais ils précisent qu’il ne s’agit que d’une étape. "SURE n'est qu'un début sur la route d'une Europe plus sociale et plus juste", insiste Miranda Ulens du syndicat belge FGTB. (Encore un syndicat bien pourri, chut! - LVOG)

Pour les pays membres avec un taux d'endettement élevé, comme l'Italie, cet outil européen est un accès facilité à des lignes de crédit. euronews.com 19 mai 2020

Capitalisme : Stop ou encore ?

- Covid-19 : en Espagne, les banques alimentaires sont débordées - euronews.com 17 mai 2020

L'une des conséquences de la crise du coronavirus en Espagne est la difficulté pour se nourrir. Selon la fédération des associations de quartier de Madrid, 100 000 personnes se rendent régulièrement dans les services sociaux et les réseaux d'aide de quartier pour se procurer un sac de nourriture.

Elle remplissait pourtant les conditions pour recevoir la subvention spéciale de l'État, mais la saturation du service public de l'emploi retarde son allocation. Sa situation avant la pandémie était déjà compliquée. Salvadorienne, elle a émigré de son pays à la mort de son mari et survit en louant une chambre avec ses deux filles dans une colocation. Certains évitent d'aller dans les services sociaux

Selon l'association de voisinage du quartier d'Aluche à Madrid, certains n'ont pas accès aux allocations de l'Etat ou ont peur d'utiliser les services sociaux. "Il y a des gens qui ont essayé d'accéder aux services sociaux, mais ils sont débordés et n'acceptent pas plus de gens" explique Alba Diéz, bénévole.

"Peut-être qu'ils ne peuvent tout simplement pas parce qu'ils pourraient avoir un problème juridique. Il y a des gens qui n'ont pas de papiers et ne peuvent pas aller aux services sociaux".

Résultat, les réseaux d'entraide de quartier débordent. À Aluche, le nombre de sacs de provisions fourni aux personnes dans le besoin a quadruplé en seulement un mois.

Selon le programme de stabilité envoyé par le gouvernement espagnol à Bruxelles, plus de 7 millions de personnes ont demandé une allocation au gouvernement, soit parce qu'elles ont cessé leur activité, soit parce qu'elles sont devenus temporairement ou indéfiniment sans emploi. Mais cette statistique ne prend pas en compte les travailleurs invisibles, ceux qui n'ont pas de contrat de travail, beaucoup d'entre eux attendent ici dans les files d'attente. euronews.com 17 mai 2020

- Grande-Bretagne: Hausse sans précédent des inscriptions au chômage en avril - Reuters 19 mai 2020

Les demandes d'allocations au chômage ont augmenté de 856.500 en avril, la plus forte progression jamais enregistrée d'un mois sur l'autre (+69%), pour atteindre 2,097 millions, un plus haut depuis juillet 1996, a déclaré l'Office des statistiques nationles (ONS).

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre bien inférieur à 676.500 avec des prévisions s'échelonnant de 56.000 à 1,5 million.

L'augmentation aurait été encore plus forte sans le dispositif de chômage partiel financé par l'Etat qui permet à huit millions de salariés de toucher 80% de leur rémunération.

"Je pense que nous devons nous préparer à une augmentation importante du taux de chômage", a déclaré Therese Coffey, la ministre britannique du Travail et des Retraites.

Les changements apportés en urgence au système de protection sociale britannique impliquent que les chiffres du chômage incluent davantage de salariés toujours en activité mais ayant subi une importante baisse de revenu.

D'autres données publiées par l'ONS montre que le taux de chômage est tombé à 3,9% sur la période janvier-mars, qui ne couvre qu'une semaine sous les mesures de confinement, mises en place le 23 mars, contre 4,0% au cours des trois mois à février.

L'organisme public de prévisions budgétaires a prévenu que le taux de chômage pourrait atteindre 10% sur cette période. Reuters 19 mai 2020

LVOG - On a du mal à suivre, il y aurait moins de chômage en réalité, mais en incluant "davantage de salariés toujours en activité mais ayant subi une importante baisse de revenu", il augmente ! En fonction de l'évolution de la situation ils modifient les règles pour comptabiliser les chômeurs, c'est comme pour évaluer la cause des morts intervenus depuis 4 mois, elle serait imputable au coronavirus mais pas à l'état de santé grave ou profondément délabré de certaines catégories de la population dont les plus âgées.

On aurait dû s'en douter, puisque c'était déjà ce qui existait avec le virus de la grippe, qui en réalité ne tue pas 8 à 18000 personnes chaque année en France, mais environ 1500, le virus servant uniquement de porte d'entrée à des bactéries chez la plupart des personnes qui vont décéder. Il joue donc toutefois un rôle déterminant.

Mais alors pourquoi sortent-ils toujours ce nombre important de morts du virus de la grippe, jusqu'à 650.000 dans le monde annuellement ? Pour vendre leur saloperie de vaccin qui est inefficace ou inutile, et puisque le virus mute tous les ans, cela devient une rente juteuse pour les trusts pharmaceutiques. Sans parler des milliards que rapportent les traitements qui existent.

- Coronavirus: manifestations en Espagne pour exiger la démission du Premier ministre - AFP 19 mai 2020

Des centaines de personnes, mécontentes de la gestion de la pandémie de coronavirus par le gouvernement, descendent dans les rues de plusieurs villes espagnoles et demandent la démission du Premier ministre socialiste Pedro Sanchez. AFP 19 mai 2020

- Faim au Chili: manifestation violente en banlieue de Santiago - AFP 19 mai 2020

Des habitants d'une ville pauvre de la banlieue de Santiago du Chili, El Bosque, ont affronté lundi la police pour protester contre les pénuries alimentaires en temps de confinement pour cause d'épidémie de coronavirus.

Des barricades ont été dressées, et la violence a monté jusqu'à des affrontements à coups de bâton et de jets de pierre du côté des manifestants, et de gaz lacrymogène et de canons à eau du côté des forces de l'ordre, a constaté un journaliste de l'AFP.

La police a fait état de 21 interpellations, étalées sur plusieurs heures dans l'après-midi.

D'autres manifestations ont eu lieu en soirée dans trois autres endroits autour de Santiago. Un bus a été incendié, et des barricades ont aussi été dressées.

Le gouvernement du président Sebastian Piñera avait décrété vendredi le confinement de toute la population de la région de la capitale, qui concentre 80% des cas de coronavirus du pays. AFP 19 mai 2020

- Etats-Unis. Taxe Covid : le supplément de restaurants qui ne passe pas - Yahoo 18 mai 2020

Aux États-Unis, certains clients de restaurants ont eu la surprise de découvrir une “taxe Covid” au bas de leur addition.

“Merci de comprendre que nous ne faisons pas cela pour profiter de vous !”, a écrit le restaurant. “Nous le faisons pour ajuster au plus juste les frais supplémentaires chaque semaine, plutôt que d’augmenter l’intégralité de nos menus, liés à l’augmentation des prix de nos fournisseurs sur la viande, la volaille, les fruits de mer et l’ensemble des produits alimentaires.”

Avec les mesures de confinement, les fermetures d’usines et les difficultés liées au transport de marchandises, les prix se sont effectivement envolés. Aux États-Unis, celui de la viande fraîche a bondi de plus de 8% sur le mois d’avril. Yahoo 18 mai 2020

On a gardé le meilleur pour la faim. Quand la pauvreté est "une solution et non un problème".

- Afrique : comment le « PochVid-20 » s'est installé à côté du Covid-19 - LePoint.fr 19 mai 2020

Dans les pays en développement, les activités informelles concernent les deux tiers de l'emploi, et les quartiers informels abritent entre un tiers et deux tiers des citadins, selon les pays. Ce secteur informel est touché de plein fouet par la crise liée au Covid-19. Les médias d'Afrique francophone parlent d'une épidémie de « PochVid-20 », plus dangereuse qu'un coronavirus.

Les quartiers précaires (informels) sont plus sensibles aux épidémies que les quartiers aisés. En effet, les maladies chroniques et la malnutrition, facteurs de comorbidité, y sont plus fréquentes qu'ailleurs. La présence de migrants informels, de déplacés internes et de personnes sans domicile fixe non enregistrés dans les services sociaux y est plus importante. La prévention de la diffusion du virus est rendue difficile par le manque d'accès à l'eau : 24 % seulement de la population d'Afrique subsaharienne bénéficie de l'eau à domicile. Les lacunes en termes d'infrastructures de santé sont flagrantes. L'hôpital de Bangui en Centrafrique, par exemple, dispose seulement de douze lits pour la prise en charge des malades du Covid-19, pour une population de plus de 1 million d'habitants.

Les mesures de confinement renforcent la promiscuité au sein des foyers. La moitié de la population d'Abidjan habite dans des logements qui accueillent plus de trois habitants par pièce. Les gestes barrière de distanciation sociale sont très difficiles dans ce contexte. De plus, les restrictions de mobilité accroissent le risque de violences domestiques.

Les quartiers informels sont une solution et non un problème, ils fournissent aux populations des logements lorsque la puissance publique n'en a pas les moyens. De même, les activités économiques informelles proposent souvent des biens et des services de proximité et offrent de nombreux emplois. LePoint.fr 19 mai 2020

LVOG - Cela ne vous étonnera pas si je vous dis qu'ici en Inde on se sent plus proche que vous des Africains.

Les activités et les quartiers informels : Quel bonheur !

Alors le capitalisme : Stop ou encore ?

Nos ennemis osent absolument tout comme vous venez de le voir dans cette causerie, ils se contrefoutent des conséquences qui en découleront pour des milliards de travailleurs et leurs familles à travers le monde tant qu'ils peuvent les contrôler.

Alors nous devons envisager d'en faire autant en nous contrefoutant de savoir ce qu'en penseront nos ennemis et ceux qui partagent leur idéologie. Parmi ces derniers un grand nombre nous rejoindrons si nous faisons preuve d'une détermination sans faille, ce qui manque manifestement à nos dirigeants.

Au début nous serons forcément peu nombreux, comme aujourd'hui, puis une fois que le mécanisme ou le dynamisme sera enclenché plus rien ne pourra l'arrêter, même pas la désinformation médiatique dès lors que nous continueront à la casser quotidiennement.

Nos arguments présentent l'avantage sur ceux de nos ennemis d'être vérifiables, imparables, inattaquables, inoxydables, rien ne peut entamer notre légitimité à vivre dans une société débarrasser de toute cette pourriture, du capitalisme et tous les maux qu'il réserve à tous les peuples, nous n'avons pas à le justifier.

Nous savons par expérience, que vouloir commencer à justifier le modèle de société dans lequel nous voulons vivre conduit infailliblement au reniement, au renoncement. La soi-disant impossibilité de changer de régime économique, social et politique repose uniquement sur une croyance, cela relève de l'obscurantisme, de la manipulation des consciences destinée à nous faire accepter le sort misérable que les capitalistes nous ont réservé.

Tous les changements de régime qui se sont produits dans le passé étaient inconcevables la veille encore, pendant des lustres on entendit dire que le régime en place était éternel ou de droit divin jusqu'au jour où il fut renversé. Soyons les artisans de cette révolution à venir pour que la civilisation humaine renoue avec le progrès social et vive en paix. Ne nous laissons pas intimider par la tâche colossale qui nous attend, ramenée aux milliards d'exploités et d'opprimés que nous sommes face à une poignée d'oligarques, en la partageant nous nous apercevrons ébahis que ce défit n'était pas aussi insurmontable qu'il en avait l'air. Vive le socialisme !


Le 23 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Bonne lecture et bon week-end.


18 pages au format pdf

Depuis une semaine on assiste l'air de rien à un glissement sémantique, ils sont passés d'une pandémie à une simple épidémie.

Il est interdit de penser, de réfléchir, d'exister.

Qu'est-ce que serait un homme qui, à partir de la situation qu'il rencontrerait ou au regard des expériences auxquelles il aurait été confronté dans la vie, ne se poserait pas de questions, n'émettrait pas d'hypothèses, ne ferait preuve d'aucune imagination ? Ce ne serait pas tout à fait un homme.

Internet, les réseaux sociaux, parlons-en, ils fourmillent d'articles ou de vidéos invitant les tyrans qui gouvernent le monde à revoir leur copie, on croit rêver, on se demande si ces gens-là ont vraiment un cerveau.

Rappelez-vous, dès qu'on a commencé à analyser le fonctionnement des réseaux sociaux, on en a déduit que c'était de formidables instruments conçus pour asservir davantage les hommes et rien d'autres.

On vient d'en avoir une magistrale illustration avec l'épisode de la machination au Covid-19, où les quelques dizaines d'articles ou vidéos rendant compte réellement des faits ont été noyés parmi des centaines de milliers de documents relayant la propagande officielle, conformément à ce qu'on a pu observer quotidiennement pendant quatre mois sur les plateaux de télévision ou dans les salles de rédaction de la presse écrite ou encore dans les studios de radios.

Si dans les médias se sont des intellectuels médiocres et corrompus qui interviennent pour distiller la parole toxique du régime, dans les réseaux sociaux, ce sont des centaines de milliers de citoyens lambdas ignorants qui les relaient, de sorte qu'ensemble ils forment un consensus ou une chape de plomb empêchant la population d'accéder à la réelle information, de sorte qu'elle ne peut pas se faire une idée libre de la situation. Elle sera donc amenée à partager les idées et à adopter le comportement de ce qu'elle croit être la majorité, alors qu'en réalité c'est une minorité qui oriente ses décisions dans un but inconnu et non avouable ou allant à l'encontre de ses intérêts.

Bref, on est en présence d'une entreprise malhonnête, sournoise et criminelle, qui sévit dans le seul but de conditionner les esprits de la population, de manière à lui faire accepter toutes les mesures liberticides ou antisociales qui lui seront imposés par la suite par les autorités, en les présentant comme bénéfiques à leur bien-être ou à leur sécurité.

Il n'est pas interdit de penser que les travailleurs sont des crétins, je dirais même que c'est fortement recommandé, sauf pour ceux qui se trouvent bien ainsi et l'ignorent, les ouvriéristes ou ceux qui vouent un culte aux masses pour exploiter leur ignorance.

Je vais avoir bientôt 65 ans, et je me souviens encore de l'époque où j'étais profondément arriéré, j'étais pour tout dire un abruti fini à l'âge de 19 ans, un crétin, un gros con comme on en croise ou on en entend tant autour de nous, au point que j'en suis encore choqué quand j'y repense 41 ans plus tard, car j'aurais très pu le rester, et le fait d'y avoir échappé ravive cette humiliation et ce cauchemar chaque fois que j'évoque cette période de ma vie.

Nous vivons dans une société fortement hiérarchisée, dont tous les rapports sont structurés sur la base des rapports sociaux de production, qui ont pour origine la répartition de la population au sein de classes sociales présentant la particularité de n'être ni libres ni égales face à la propriété des moyens de production ou à la production des richesses qui déterminent sa répartition, inégalités qui traduisent les rapports existant entre exploiteurs et exploités, maîtres et esclaves, oppresseurs et opprimés, dominants et dominés.

La société toute entière va reproduire ces rapports, c'est ce qui caractérise sa nature inégalitaire, injuste, antidémocratique, autoritaire. Elle va les reproduire absolument partout, dans les familles, dans les relations entre deux personnes, à l'école, dans les entreprises, toute notre éducation en sera imbibée, toutes nos connaissances aussi, aucune de nos expérience n'y échappera, même quand on se croit plus libre ou plus intelligent que la moyenne des gens, c'est un leurre qu'on aura l'occasion d'expérimenter tout au long de notre vie, mais apparemment sans en tirer le moindre enseignement.

De la même manière que certains ou la majorité avaient perdu de vue que l'homme ne fait pas de miracle ou qu'il est vulnérable aux aléas du climat ou de la nature, ils n'ont pas plus conscience qu'ils étaient parfaitement ignorants comme tout un chacun quand ils sont venus au monde, et qu'à partir de ce moment-là on n'a pas cessé de leur inculquer un certain nombre d'idées et de comportements durant toute leur enfance, puis pendant leur adolescence jusqu'à l'âge qu'ils ont aujourd'hui, sans soupçonner le moins du monde que ces idées et comportements avaient été conçus sur la base de ces rapports entre dominants et dominés par ceux qui avaient tout intérêt à reproduire indéfiniment ce type de rapports de domination, donc sans jamais se poser de questions sur la manière dont les connaissances qu'ils avaient acquises leur avaient été transmises, ni sur la forme et le contenu de l'éducation qu'ils avaient reçues, de telle sorte qu'à l'arrivée, ils seraient incapables de tirer le moindre enseignement des expériences auxquelles ils seraient confrontés au cours de leur vie, de façon à ce qu'ils soient susceptibles de préférence de croire ou de partager n'importe quoi, du moment que cela viendrait d'une autorité supérieure ou de la majorité.

Voilà en quelque sorte très brièvement, comment se forge le culte du pouvoir en place auquel s'adonne l'immense masse de la population, y compris de la part de ceux qui le combattent, quand on observe qu'ils flattent sa bêtise ou crasse ignorance.

C'est le système économique basé sur l'exploitation de l'homme par l'homme qui en est responsable, dont le capitalisme incarne le dernier cycle avant que la civilisation humaine sombre définitivement dans le chaos, la peur, la barbarie, disparaisse en somme, ou se hisse à un niveau supérieur en réalisant le socialisme, puis le communisme, pour atteindre le règne de la liberté, là où l'homme fera sa propre histoire consciemment au lieu de la subir.

Le confinement, non merci, j'ai déjà donné.

Je suis d'autant plus scandalisé par les prises de position de nos dirigeants (du mouvement ouvrier), que j'étais devenu un crétin innommable dans ma jeunesse, parce que je l'avais passé en grande partie confinée dans à peine 15m² au 6è étage d'un immeuble sans ascenseur en plein centre de Paris, sans fenêtre à part deux vasistas, enfermé là jusqu'à ma 12è année, de sorte que mon imagination allait être totalement étouffée, au point que ce que j'avais vécu jusque là allait littéralement s'effacer au fur et à mesure de ma mémoire, qui serait endommagée à jamais, un terrible handicap que je surpasse aujourd'hui au prix d'un effort colossal dont les lecteurs n'ont pas idée pour réaliser ces causeries. Inutile d'applaudir, je n'ai donc aucun mérite à avoir pris partie contre le confinement de la population. Si j'ajoute que plus tard mes parents me menaceront de m'envoyer en pensionnat, puis en maison de correction, et enfin en asile psychiatrique. Vous comprendrez pourquoi je prête une attention toute particulière à tous les rapports qui servent à asservir les hommes, à les priver de liberté, à reproduire ce modèle de société infâme.

Le fait d'avoir été un enfant battu, en plus, explique sans doute en partie pourquoi j'ai si longtemps manqué d'imagination, en user et elle aurait été brutalement réprimée.

C'est le choc de découvrir qu'il existait des jeunes différents de moi que me permettra d'évoluer, quand nous quitterons Paris pour aller s'installer en banlieue dans une bicoque en bois mis à la disposition de mes parents par un de mes oncles. En réalité, il m'aura encore fallu attendre 8 ans pour me faire des copains plus évolués, et surtout plus libres que moi. Car c'est la liberté qui permet à l'imagination de s'épanouir et de trouver les solutions aux problèmes qu'on rencontre dans la vie ou la société. Il n'y avait donc décidément rien de bon à attendre du confinement, honte à ceux qui en ont redemandé ainsi que des masques, quelle horreur !

Sans imagination on ne pourrait pas saisir les choses intuitivement, on ne pourrait pas se projeter dans l'avenir, on serait condamné à les subir. Nous avons parcouru du chemin en partant des faits, vous ne trouvez pas ? C'est encourageant, non ?

Nous vivons une situation inédite dans l'histoire de l'humanité dans de nombreux domaines, dans ces conditions, étouffer les libertés, la liberté d'expression, la liberté des scientifiques, la création artistique, revient à vouloir interdire au peuple d'en prendre la mesure ou conscience, c'est vouloir lui interdire d'exercer son imagination pour modifier ou orienter la situation conformément à ses besoins et à ses aspirations légitimes pour qu'il accède à un monde meilleur et plus juste. Il n'existe pas de recette magique ou une voie unique pour accéder à un niveau de conscience supérieure, il faut donc toutes les explorer afin de trouver la bonne, celle qui doit permettre à chacun de progresser.

On a pu constater comment le culte des puissants a été observé rigoureusement par la population, à quel point elle avait manqué d'imagination, à quel degré de servitude elle était parvenue.

Le défit auquel nous sommes confrontés, ne pourra pas être relevé si la population demeurait à un tel stade d'ignorance ou d'inconscience (et donc d'organisation, les deux sont liés), sauf à croire aux miracles, la civilisation humaine ne pourrait pas franchir avec succès cette étape décisive, il faut en prendre conscience. C'est une des leçons qu'on peut tirer de l'épisode du coronavirus.

Sur le plan politique, cet épisode a mis au premier plan le rapport qui existe entre le capital et le travail, et au lieu de se cantonner à ce rapport en exigeant l'interdiction des licenciements, il aurait fallu l'étendre à l'expropriation des capitalistes, pour que ce mot d'ordre s'inscrive réellement dans la perspective d'une rupture avec le capitalisme, dans une perspective révolutionnaire, c'est la moindre des choses quand on prétend construire un parti révolutionnaire.

Cet épisode a également mis en relief le lien qui existait entre un acte autoritaire, un acte de guerre contre le peuple, l'assignation à résidence de la totalité de la population, Macron et la Constitution de la Vé République, dans la mesure où c'était la Constitution qui lui conférait ce pouvoir, donc il aurait fallu lier le mot d'ordre à bas le confinement jamais prononcé par un dirigeant du mouvement ouvrier, à celui de l'abrogation de la Constitution de la Vé République ouvrant la voie à l'instauration d'une République sociale... Là aussi nos dirigeants ont loupé le coche, ils étaient trop occupés à vouloir faire respecter le confinement et à nous faire porter des masques, consensus oblige. Nous les avons démasqués, nous avons fait notre devoir.

Comme c'est difficile d'être un "homme ordinaire".

LVOG - Je dirais plutôt être un homme libre, là où c'est seulement possible de l'être sous le régime actuel

Chroniques orwelliennes par Jean-Jacques Rosat - Quand les intellectuels s’emparent du fouet - Collège de France

- La question politique décisive est de savoir comment, dans le monde moderne, chacun, même s’il est un intellectuel, peut rester un homme ordinaire, comment il peut conserver sa capacité de se fier à son expérience et à son jugement, comment il peut préserver son sens du réel et son sens moral. (...)

Comme le fait observer le philosophe américain James Conant, les jugements de perception et les jugements arithmétiques élémentaires ont un point commun :

- Une fois qu’un membre de notre communauté linguistique est devenu compétent dans l’application des concepts appropriés (perceptuels ou arithmétiques), ce sont deux types de jugements dont il peut facilement établir, individuellement et par lui-même, la vérité ou la fausseté. Une fois qu’il a acquis les concepts appropriés et qu’il les a complètement maîtrisés, ce sont des domaines où il est capable de prononcer un verdict sans s’occuper de ce que devient, au sein de sa communauté, le consensus les concernant. […]

L’existence du monde ordinaire repose donc sur la capacité de chacun de nous à établir la vérité d’un certain nombre d’affirmations par lui-même, indépendamment de ce que peuvent affirmer les autres et, plus encore, indépendamment de tout pouvoir. Cette capacité est la caractéristique première de l’homme ordinaire.

4. James Conant, « Freedom, Cruelty, and Truth », in Robert B. Brandom, Rorty and his Critics, Blackwell, 2000, p. 299. Traduction française à paraître : James Conant, Orwell ou le pouvoir de la vérité, Agone, 2012.

LVOG - "La vérité d’un certain nombre d’affirmations", ce sont les faits et leurs enchaînements, y compris les effets produits par les hommes, sans filtre, les faits bruts. Quant à l'interprétation qui en sera faite, elle doit demeurer bien distinct ou séparée des faits pour éviter toute confusion, elle ne doit en aucun cas se substituer aux faits, c'est un principe auquel on devrait se tenir strictement.

Le socialisme repose sur les faits et pour ainsi dire rien d'autres, il faut donc en déduire qu'on se débrouille mal pour les mettre en valeur ou on peine à les rassembler pour présenter un tableau fidèle à la réalité. On nous dira peut-être, qu'il serait naïf de croire que cela pourrait suffire pour convaincre quelqu'un de quelque chose. Certes, il existe des gens, et ils sont très nombreux, qui ne voudront jamais rien entendre, comme ce jeune indien dont j'ai parlé dans ma précédente causerie, mais il existe aussi un nombre considérable de travailleurs qui sont disponibles pour prêter attention aux faits, et en tenir compte pour forger leurs propres convictions. Les deux existent, cependant si on mise sur les premiers pour aller de l'avant, on aura tout faux, et comme c'est justement ce qu'on n'a pas arrêté de faire depuis des lustres, il ne faut pas s'étonner du résultat pitoyable. Ce n'est pas la démarche qui serait en cause ou défectueuse, mais la méthode pour aborder et présenter les faits.

On va arrêter là car j'ai encore du boulot.

Ce qui est étrange ou qu'on n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi des travailleurs qui vivent la même expérience que nous l'interprète différemment. On nous dira que c'est normal parce que dans le passé nous avons vécu autres choses, ou même dans le présent notre condition n'est pas identique... Certes, il n'empêche que toutes ces expériences se sont déroulées dans le même cadre, sous le même régime, dans la même société, sans qu'on en ait conscience, ce qui expliquerait pourquoi on les interprète différemment. Et si on considérait tout ce qui nous sépare parfois, le milieu social, toutes les expériences que nous n'avons pas vécues contrairement à d'autres ou pas au même moment, on arriverait au même constat puisque nous les avons vécues sans faire preuve de conscience non plus..

Pour autant que je m'en souvienne, quand j'ai découvert Marx et Engels et le socialisme à l'âge de 22 ans, j'étais prêt à m'en remettre qu'aux faits, mais je l'ignorais. C'était de cela que j'étais en quête inconsciemment, rassasié de philosophie au cours des deux ou trois années antérieures, je restais sur ma faim. Tous ces systèmes de pensée savants ou très sophistiqués n'avaient pas apporté de réponses pratiques aux questions que je me posais. Je ne comprenais pas pourquoi le monde était ainsi fait et comment il fonctionnait, comment il serait possible de le changer, et le but de mon étude était de le découvrir.

Avec Marx et Engels, c'est le déroulement de l'histoire qui s'étalait soudain sous mes yeux. J'en fus stupéfait et j'étais comblé de bonheur. Mais ma joie fut de courte durée en réalisant à quel point la tâche allait s'avérer difficile pour changer de société, je faillis en faire une dépression. Marx et Engels n'étaient pas des magiciens, ils avaient juste réussi à remettre chaque chose à leur place, de telle façon que la situation m'apparaissait enfin clairement pour la première fois de ma vie, je leur dois une reconnaissance infinie. De mon côté, je n'avais pas changé, je n'avais subi aucun conditionnement particulier pour me préparer à accueillir cette découverte fabuleuse, cela m'est tombé dessus, en un clin d'oeil ma vie s'illuminait et allait prendre une toute autre tournure.

J'avais cessé d'être un crétin fini depuis quelques années en m'étant mis à la littérature et à la philosophie, mais j'ignorais totalement où cela allait me mener. J'ai suivi le fil de ce qui me semblait être la connaissance, je m'y suis accroché désespérément, plus seul que jamais, et j'ai progressé pas à pas, le lexis Larousse toujours à porter de la main, étudiant tous les sujets qui se présentaient, j'étais déterminé plus que jamais à vaincre la crasse ignorance qui m'avait habité si longtemps, c'était mon pire ennemi, et le restant de mes jours j'allais m'y consacrer avec plus ou moins de bonheur.

Je pense que c'était la bonne voie parce que cela m'a porté chance quelque part. Cela m'a aidé à prendre des décisions délicates, cela m'a aussi permis d'éviter bien des écueils, de faire face à bien des difficultés, de toujours m'en sortir en restant honnête et fidèle à mes principes, de m'assumer tel que je suis, c'est déjà pas mal en sachant d'où je reviens. Si cela s'est traduit par un parcours chaotique ou anachronique, paradoxal ou contradictoire parfois, je crois que c'était inévitable dès lors qu'on refuse de se fondre dans le conformisme ou de se compromettre. Et puis on n'a pas toujours le choix, c'est même plutôt rarement le cas. La société est impitoyable et les hommes sont cruels, ajoutons les femmes pour l'occasion car elles le méritent bien, quand on aime il faut être juste, n'est-ce pas ? donc vaut mieux s'en tenir aux critères de la lutte de classe plutôt que formuler des jugements sur nos semblables qui seraient forcément injustes ou injustifiés.

Si au cours de notre vie on doit combattre toute forme de domination, je veux dire par là qu'il serait inadmissible qu'elle ait cours chez nous, dans notre propre foyer, avec nos enfants, avec les gens qu'on côtoie, avec nos semblables qu'on ne connaît pas, c'est contre la domination de classe qu'il faut consacrer tous nos coups. C'est le contenu que doit prendre notre combat contre l'ignorance des masses.

Le rapport de cause à effet vous dit-il quelque chose ?

Relevé dans un commentaire et un article.

- La formule de confinement mondial a provoqué, presque du jour au lendemain, la pire crise économique depuis des générations.

- La notion de confinement obligatoire généralisé n’est justifiée par aucune justification médicale, ni par des recherches épidémiologiques de pointe, lorsqu’il s’agit de lutter contre une pandémie. Pourtant, le confinement a été consacré comme la politique hégémonique – avec le corollaire inévitable d’innombrables masses en proie au chômage. Tout cela sur la base de modèles mathématiques délirants et ratés de type Imperial College, imposés par de puissants groupes de pression allant du Forum Économique Mondial (WEF) à la Conférence de Munich sur la Sécurité.

Le rapport, confinement = crise économique = chômage de masse, est incontestable. On était donc en droit d'attendre que ceux qui prétendent lutter contre les licenciements et le chômage condamnent le confinement qui en est la cause. Eh bien non ! Le culte qu'ils entretiennent de la démocratie aura eu raison de la logique la plus élémentaire et les aura amenés à se placer au côté des représentants du régime En Marche vers le totalitarisme. Les applaudissements seraient fortement déplacés.

Le culte de la démocratie, parce qu'aux yeux des dirigeants du mouvement ouvrier, tout partis et syndicats confondus, si le président de la République, le Premier ministre, le ministre de la Santé, l'OMS, le Pentagone, le Forum Economique Mondial (Davos), Rockefeller et Gates pour le sommet de l'oligarchie financière, l'intégralité des médias institutionnels, etc. si en choeur ils ont préconisé et imposé le confinement de la population mondiale, c'était parce qu'en tant que représentant des peuples, donc démocrates s'il vous plaît, voire philanthropes, cette mesure était forcément conçue pour leur bien-être, leur santé, leur sécurité, pour leur éviter bien des souffrances inutiles, bref, partant de là ils se sentirent obligés de réaliser un consensus avec ces monstrueux criminels.

Il ne faut pas confondre crise rampante et crise ouverte du capitalisme.

Le capitalisme était en proie à une crise rampante depuis déjà plusieurs décennies avant que survienne l'épisode de la machination à l'urgence sanitaire... pour le sauver.

En fait, cela faisait plus d'un siècle qu'il était entré dans une phase de crise permanente au tournant de son passage au stade de l'impérialisme, étant dans l'incapacité de contenir les forces productives qu'il avait contribué à développer, ainsi que les forces sociales correspondantes où la masse des travailleurs qui exigeaient que leurs besoins soient satisfaits.

Pour remédier temporairement à cette situation lourde de menace pour l'hégémonie de la classe dominante ou faire baisser la pression qui pesait sur elle, à deux reprises au cours du XXe siècle l'oligarchie financière va recourir à des stratagèmes destructeurs et guerriers, qui se solderont par la destruction massive de forces productives à l'échelle mondiale à laquelle participeront les forces sociales correspondantes, la classe ouvrière et paysanne.

Bien que la classe ouvrière et paysanne ait servi de chair à canon au capitalisme, hormis la Russie et la Chine, des pays sous-développés, ainsi que leurs satellites qui représentaient ensemble 1/6e du marché mondiale, nulle part et jamais la classe ouvrière ne sera en mesure de revendiquer le pouvoir politique laissant donc les capitalistes décider de leur sort à leur place. Dans la longue période qui allait suivre, un sorte de statu quo s'instaura entre les différentes forces sociales en présences, dont les conflits se réglèrent dans le cadre de la lutte des classes et des régimes en place, sans qu'ils soient réellement menacés, puisqu'entre temps sous les coups répétés du stalinisme et de la social-démocratie dégénérée le mouvement ouvrier international allait définitivement abandonner le socialisme.

Deux guerres mondiales n'étant pas venues à bout des contradictions du capitalisme, le nouveau cycle du capital qui couvre la période allant de 1945 à nos jours allait être caractérisé par le recours à la planche à billets ou à la dette de manière à mieux pouvoir enchaîner les travailleurs et les Etats au destin du capitalisme, les asservir aux lois du marché. C'est ainsi qu'ils allaient régler les spasmes de cette crise du capitalisme qui devaient surgir périodiquement dès la fin des années 60, et qui devaient leur permettre de rebondir ou d'accroître leur richesse et leur pouvoir politique. Aucune crise n'allait être le produit d'un effondrement spontané ou imprévisible du capitalisme comme cela avait eu lieu au XIXe siècle, non, toutes allaient être minutieusement programmées et contrôlées pour en tirer un maximum de profit.

La population mondiale ayant plus que doublé entre 1945 et 2000, la crise du capitalisme ne pouvait prendre qu'une tournure particulièrement violente, sans que cette fois ils puissent recourir à une nouvelle mondiale au regard des armes nucléaires, chimiques, bactériologiques qui essaimaient sur tous les continents, il leur fallait donc concevoir d'autres stratégies.

Dans un premier temps, après avoir créé des institutions financières internationales pour cadenasser le marché mondial, FMI et Banque mondiale, imposer le dollar comme principale monnaie pour les transactions commerciales internationales, ils vont se mettre à exporter en Asie une partie des masses colossales de capitaux qu'ils avaient accumulés au cours des 3 décennies d'après-guerre, appelées aussi les "Trente glorieuses" au profit du capitalisme de préférence et non de la classe ouvrière contrairement à ce que les opportunistes nous ont enseigné, ce qui va se traduire par l'accroissement des forces productives en incluant dans la division internationale du travail des centaines de millions de nouveaux travailleurs surexploités, ce qui va permettre de créer de nouvelles classes moyennes ou de nouveaux marchés, histoire de compenser la baisse tendancielle du taux de profit et réaliser de gigantesques profits.

On comprend au premier coup d'oeil que cette stratégie ne pouvait pas résoudre durablement la crise d'accumulation du capital, elle devait au contraire l'amplifier et l'accélérer comme jamais auparavant, ce qui allait donner lieu à toute une suite de crises prenant la forme d'épiphénomènes ou ne constituant pas une réelle menace pour le capitalisme, dans la mesure où elles seront toutes supervisées par les sommets de l'oligarchie financière anglo-saxonne, de celle en Thaïlande en 1998 à celle de 2008 aux Etats-Unis, en passant par celle d'Eon et d'Internet, etc.

Le 11 septembre 2001, ils allaient commettre un coup d'Etat aux Etats-Unis, afin de justifier la relance de la guerre au Moyen-Orient provoquant d'énormes destructions et massacres de population. Dès lors la course aux armements repartira de plus belle à travers le monde.

En 2008 ils laisseront s'effondrer Lehman Brothers, souvenez-vous durant le week-end qui précéda ce lundi noir aucun banquier n'était joignable aux Etats-Unis, ce qui donnera lieu à une crise financière mondiale qu'ils solderont en se distribuant plus de 30.000 milliards de dollars fraîchement fabriqués par les différentes banques centrales, au point que 10 ans plus tard, en un temps records les oligarques auront accru leur fortune dans des proportions inégalées dans le passé, ainsi que le pouvoir politique qui va avec, hormis la Russie et la Chine et leurs alliés respectifs, qui seules peuvent concurrencer les Etats-Unis en tant que grande puissance impérialiste, tous les autres Etats deviendront des vassaux dociles de l'oligarchie financière anglo-saxonne quand elle n'aura pas pris directement le contrôle de leur gouvernement ou de leurs institutions (Italie, Grèce, Grande-Bretagne, Espagne, France, Pologne, les pays baltes, l'Ukraine, la Georgie, etc.).

Entre temps, entre 1990 et 2020, la population mondiale aura encore augmenté d'environ 1,5 milliard d'habitants posant de gigantesques défis aussi bien aux capitalistes qu'à la civilisation humaine ou encore à notre planète, dont les ressources et les besoins sont condamnés par le capitalisme au même sort que ceux légitimes des travailleurs exigeant impatiemment qu'ils soient satisfaits.

C'est dans cette situation qu'ils recourront à l'imposture climatique, puis au coronavirus dans la foulée, histoire de pouvoir justifier la création de milliers de milliards de dollars qu'ils se distribueront à nouveau, accroître la dette des Etats dans des proportions monstrueuses envers les banques centrales privées, les marchés ou les banquiers, de sorte qu'ils soient en mesure de leur dicter la marche à suivre sur la plan social sans qu'ils aient leur mot à dire, d'où la stratégie de la peur et du chaos que viendra couronner le confinement, qui à son tour entraînera une régression sociale et politique sans précédent sans que les travailleurs puissent s'y opposer, puisque leur lutte de classe sera neutralisée après que le mouvement ouvrier n'eut offert aucune résistance à la mise en place de ces mesures totalitaires, pire, puisqu'il ira jusqu'à reprendre à son compte le confinement (et le port de masque) de tous les peuples.

Je n'ai plus le temps de poursuivre cette analyse.

D'autres questions surgissent évidemment, quelques-unes me viennent à l'esprit pour y avoir déjà réfléchi : Qui va payer la note et comment vont-ils s'y prendre pour nous la faire payer ? Pourquoi les Bourses s'emballent-elles à nouveau ? Pourquoi le capitalisme ne s'est-il pas effondré une fois de plus ? Alors sur quoi repose réellement l'économie mondiale ? Quel rôle y joue le système financier mafieux ? Sur quels relais s'appuie-t-il dans le monde, sur quelles institutions ? De quels moyens politiques disposent-ils ? Dispose-t-il de moyens et de pouvoirs illimités ou au contraire sont-ils faillibles, en quoi et pourquoi ? Quels sont les objectifs de leur stratégie ? Ont-ils décidé qu'il fallait réduire la population mondiale pour conserver leur hégémonie et leur existence dans le futur ? Ont-ils décidé au contraire de la laisser croître indéfiniment au risque que la situation devienne également un cauchemar pour eux ? Quel avenir pour le mouvement ouvrier s'il demeurait l'otage d'opportunistes ? Quelle stratégie politique, quelle conception de la lutte de classe adopter sachant que les enseignements tirés du développement du capitalisme sont en grande partie obsolètes ? Comment doit s'articuler la lutte contre la guerre idéologique et psychologique que l'oligarchie mène contre les masses ? Peut-on envisager de la vaincre sans remporter la victoire sur ces deux tableaux ? Peut-on envisager de la vaincre sans convaincre une partie des classes moyennes et des intellectuels de rejoindre notre combat, et pourquoi pas d'en prendre la direction ? Quels rapports adopter avec le régime et ses représentants, ses institutions, sachant qu'ils tendent de plus en plus ouvertement vers le totalitarisme ? Comment s'adresser aux couches les plus défavorisées sachant que ce ne sont pas forcément les plus arriérées ? Etc.

Einstein - Apprendre d'hier, vivre aujourd'hui, espérer pour demain. L'important est de ne pas arrêter de poser des questions.

Des vaccins ou des poisons ?

- COVID-19 – Idolâtrie pour le dangereux, mépris pour le naturel par Docteur Pascal Sacré. - Mondialisation.ca, 21 mai 2020

Extrait.

Sur le site d’Association Liberté Information Santé [11], des informations rétablissent l’équilibre des connaissances sur la vaccination.

Ainsi, j’ai pu apprendre de quoi les vaccins sont composés, matière étrangement absente de nos cours de médecine [12-13], je vous encourage à consulter ces documents, c’est édifiant :

Béta-propiolactone (cancérigène)
Levures génétiquement modifiées
Latex
Glutamate de sodium (neurotoxique-tératogène-mutagène)
Aluminium
Formaldéhyde (formol)
Micro-organismes
Polysorbate 80 (cancérigène chez les animaux)
Glutaraldéhyde (poison tératogène chez l’animal)
Mercure (théoriquement interdit dans les vaccins depuis 1999)
Phénol/phénoxyéthanol (antigel)
Borate de sodium ou borax (insecticide, raticide contenu dans le Gardasil) …

Notes

[11] ALIS Nous sommes une association Loi 1901 qui ne professe aucun dogme aucune doctrine.

http://www.alis-france.com/alis/lassociation

[12] Composants des vaccins

http://s175833897.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2017/04/composants_vaccins.pdf

[13] QUE TROUVE-T-ON DANS LES VACCINS

http://www.alis-france.com/que-trouve-ton-dans-les-vaccins

Sauvons le pays, sauvons la France, sauvons les capitalistes, et vive le socialisme !

Un appel du bureau national du POID du 16 mai 2020.

Extraits.

POID - Une catastrophe certaine menace notre pays.

LVOG - Plus catastrophiste que moi, tu meurs ! Bravo ! En tant que "citoyen du monde" (Marx), je ne me reconnais pas dans la France. Voilà un concept incompatible avec la reconnaissance de la lutte des classes. On peut être Français sur le plan administratif, mais au-delà nous faisons partie d'une classe sociale. Cette sorte de social-patriotisme nauséabond n'est pas fortuit ou un accident, la suite va le démontrer.

POID - Une catastrophe certaine menace notre pays. Tout le monde le sait. Mais rien n’est fait pour l’empêcher.

LVOG - Macron le devrait-il par hasard ? Il manque à tous ses devoirs décidément!

POID - À gauche, les députés des partis – Parti socialiste, Parti communiste, La France insoumise – ont voté...

LVOG - Non ce n'était pas un accident pour caractériser de gauche des partis réactionnaires, de droite, liés organiquement au régime.

POID - À gauche, les dirigeants des partis émettent des critiques...

LVOG - Ils y tiennent ! Pourquoi ? Parce qu'ils y sont idéologiquement liés, les trotskystes, ce qui expliquent pourquoi sur le confinement ils forment un consensus avec eux et Macron. Ces "trotskystes" jouent le même rôle qu'hier le stalinisme, avant-hier la social-démocratie...

POID - Il y a urgence à empêcher la catastrophe.

LVOG - Sachant que sans catastrophe, la vie continuera comme avant, c'est d'ailleurs ce qu'ils appellent de leur voeu, ne comptez pas sur eux pour affronter le régime ou pour en changer. C'est le cri de désespoir non pas de la révolution socialiste, mais de la contre-révolution. On sait pas expérience que ce sont les catastrophes, la guerre par exemple, qui sont à l'origine des révolutions, dès lors vouloir à tous prix les éviter, c'est refuser que soient réunies les conditions objectives propices à poser la question du pouvoir ou qui précipitent une crise révolutionnaire. Là encore, entre le capitalisme et le socialisme, nos braves révolutionnaires imitent les social-démocrates et les staliniens. Plus loin, ils vont essayer de nous embobiner d'une autre manière, en voulant nous faire croire que sans catastrophe tout serait possible, ce qui ne s'est jamais produit au cours de la lutte des classes, peu importe, ils ne sont plus à une contradiction ou à une invention près.

Cela ne veut pas dire pour autant qu'on souhaiterait que les travailleurs souffrent davantage, nous ne sommes pas masochistes. On a simplement voulu montrer comment ils alimentaient la peur chez les travailleurs, sachant qu'elle les réduit à l'impuissance, à l'instar des représentants du régime qui passent leur temps à les effrayer avec le terrorisme, le climat, maintenant le coronavirus, etc. Sachant que les travailleurs ne comprennent pas ce qui se passe réellement, tout le monde s'emploie à les manipuler. Vous croyez arriver à quoi en employant de tel procédé ? Que dal ! Ou si, à les rendre complètement schizophrènes et paranoïaques.

POID - Les mesures pour cela sont connues de tous : (...) assurer la distribution gratuite et massive des masques...

LVOG - On comprend pourquoi ils préfèrent sortir masqués, nous, nous n'en avons pas besoin. Des masques gratuits ? Quelle connerie, vous avez déjà vu quelque chose de gratuit dans leur société vouée au mercantilisme, ils vous les feront payer d'une manière ou d'une autre.

POID - Oui, les mesures nécessaires sont connues de tous

Pour cela, bien sûr, on ne peut pas s’en remettre à Macron. Il faut au contraire rompre avec lui et sa politique, sans attendre, non pour le remplacer par un autre « homme providentiel » dans deux ans, mais pour en finir avec la Ve République, ce régime autoritaire et autocratique, et convoquer l’Assemblée constituante souveraine par laquelle le peuple définira lui-même ce que doit être la démocratie, sans hésiter à remettre en cause le carcan de l’Union européenne et de ses traités.

LVOG - Non, je ne leur ai pas fait un procès d'intention, puisque quand ils disent en parlant de Macron "Il faut au contraire rompre avec lui et sa politique", le POID s'adresse à des partis de droite, le PS, le PCF et LFI.

POID - Que toutes les organisations qui se revendiquent de la classe ouvrière s’accordent sur un plan de lutte et de mobilisation pour imposer de telles mesures d’urgence qu’elles affirment qu’elles n’hésiteront pas à poser la question du pouvoir sous la forme d’un gouvernement d’unité ouvrière rassemblant les organisations et les représentants de travailleurs afin d’imposer ce programme d’urgence et de rupture. Nul doute que les travailleurs et la jeunesse répondraient avec enthousiasme à un tel appel à agir et s’organiser pour que l’emportent leurs besoins vitaux. Dans ces conditions, la catastrophe peut être empêchée.

Il s’agira d’aider à rassembler la force qui combat pour l’unité, pour ouvrir la voie à la rupture, empêcher la catastrophe, permettre une issue ouvrière à la crise.

LVOG - On croit rêver en lisant ces balivernes, "que toutes les organisations (...) s’accordent sur un plan de lutte et de mobilisation", mais elles ne font que cela, contre la classe ouvrière précisément. Ce n'est pas la classe ouvrière qui caractérise de gauche ces partis réactionnaires, le PS, le PCF et LFI, ce sont les dirigeants du POID, et ils imputent cette caractérisation aux travailleurs, c'est une manipulation des faits car les travailleurs n'ont aucune confiance dans ces partis pourris.

Savez-vous pourquoi ils peuvent encore entonner ce refrain ? Parce que les travailleurs n'ont pas une conscience politique très aiguisée. Donc il est facile d'instrumentaliser le produit de leur inconscience et de leur faire dire ce qu'on veut. Par exemple, qu'il existerait une différence entre ces partis et les partis de droite, alors que fondamentalement il n'en existe pas, elle repose uniquement sur des déclarations d'intention jamais suivies d'effets ou des illusions, des apparences trompeuses.

De nombreux travailleurs en ont parfaitement conscience, mais ce n'est pas sur eux que le POID compte s'appuyer contrairement à ce qu'on serait en droit d'attendre d'un parti soi-disant organisant l'avant-garde de la classe ouvrière, ce n'est pas à eux qu'ils s'adressent manifestement, ils ne les intéressent pas, ils préfèrent s'adresser aux travailleurs qui sont bourrés d'illusions ou qui sont les plus facilement manipulables, qui sont aussi les plus influencés par l'idéologie de la classe dominante, bref, ceux qui sont les plus éloignés du socialisme, ce qui n'est pas un problème pour le POID puisqu'il l'a balancé par dessus bord.

Le Covid-19 : Un attentat de l'oligarchie sous faux drapeau.

- Une épidémie bien planifiée par Mark Taliano - Mondialisation.ca, 21 mai 2020

Les preuves démontrent que l’opération Coronavirus a commencé bien avant les « confinements » et les campagnes de peur.

Considérons, par exemple, qu’alors que l’OMS a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) le 30 janvier 2020 (1), le Coronavirus Aid Relief and Economic Security Act (CARE Act), également connu sous le nom de H.R 748 a été introduit plus d’un an auparavant, le 24 janvier 2019, à un moment où la plupart n’avaient même pas entendu parler du Coronavirus.

Selon le descripteur, le projet de loi « répond à l’épidémie de la COVID-19 (c’est-à-dire la maladie à coronavirus 2019) et à son impact sur l’économie, la santé publique, les gouvernements des États et des collectivités locales, les individus et les entreprises ». (2) Le président Trump qualifiera par la suite le CARE Act ( un plan de sauvetage de 6,2 billions de dollars) de « plus grand plan d’aide économique de l’histoire américaine » (3).

Tout ceci est significatif, car il contredit l’idée que le virus ou d’autres parties ont causé le krach, car il renforce la probabilité que le krach a été en fait créé, volontairement. Le virus est le bouc émissaire ou le faux drapeau des plans de sauvetage économique, du chômage, de la détresse fiscale et sociale, des lois d’urgence, de l’autoritarisme, des programmes de vaccination et d’une « quatrième révolution industrielle » imposée.

Mais ce n’est pas tout. Le 20 novembre 2018, la Fondation Bill et Melinda Gates, par l’intermédiaire du Pirbright Institute, dont elle est « l’une des principales parties prenantes », a acquis un brevet sur le coronavirus lui-même (4). Ils sont donc les « propriétaires » du « problème ». Ils ont également investi des fonds dans les « solutions » envisagées, qui incluraient des vaccins.

Considérez également, comme le souligne Mike Champine, que l’administration Trump a mené ces « exercices de pandémie » en 2019 :

1. Crimson Contagion par le ministère américain de la santé et des services sociaux de l’administration Trump (janvier-août 2019).

2. Éclosion urbaine, par le Collège de guerre de la marine américaine et Johns Hopkins (septembre 2019). Elle a été suivie immédiatement par la création, par le gouvernement étasunien, d’un groupe de travail sur le vaccin antigrippal.

3. Événement 201, par Johns Hopkins, le Forum économique mondial et la Fondation Gates (octobre 2019).

Alors que les porte-parole des gouvernements appellent maintenant à une « deuxième vague » de la « pandémie », nous pouvons anticiper davantage d’enseignement et de soins de santé numériques, plus d’autoritarisme, plus de pauvreté, des taux de « surmortalité » plus élevés et une sphère publique de plus en plus ravagée.

Nous n’avons pas consenti à tout cela. Mondialisation.ca, 21 mai 2020

Notes

(1) Prof. Michel Chossudovsky et Bonnie Faulkner, « COVID-19 Coronavirus : The Crisis/Transcription complète de l’interview du professeur Michel Chossudovsky et de Bonnie Faulkner sur les armes à feu et le beurre ». Global Research, 27 mars 2020 Guns and Butter 19 mars 2020.

(https://www.globalresearch.ca/covid-19-coronavirus-crisis/5706741?fbclid=IwAR3j3fSb4Sx8JjxhZDwYt2pgZAzJwo1Wg7kzOp8BqcBMcs6qWTZOCga_uhI ) Consulté le 13 mai 2020.

(2) H.R.748 – CARES Act, Sponsor : Rep. Courtney, Joe [D-CT-2] (Présenté le 24 janvier 2009).

(https://www.congress.gov/bill/116th-congress/house-bill/748?fbclid=IwAR0YAAx1kNmSfMeJopDVtxUIBLxZLCZ3NNFYL5-SJkrVjiT_JjdiPAsjf5c ) Consulté le 13 mai 2020. (voir aussi : https://www.congress.gov/bill/116th-congress/house-bill/748/all-info?fbclid=IwAR1zVMX0k0_DIXZ81MoqX46pQA6OlQuf-XEqPVtUmEa5jpMv4Db5WRHhdXk )

(3) « Remarques du Président Trump lors de la signature de la loi H.R.748, The CARES Act » (

(https://www.whitehouse.gov/briefings-statements/remarks-president-trump-signing-h-r-748-cares-act/) Consulté le 13 mai 2020.

(4) Mark Taliano, « Problem, Reaction, Solution » www.marktaliano.net

(https://www.marktaliano.net/problem-reaction-solution/) Consulté le 13 mai 2020

Voir aussi :

https://www.facebook.com/donna.durant.5/videos/3137146132972082/?fref=mentions

Quand "les patients sont arbitrairement classés dans la catégorie COVID-19 sans test ni diagnostic."

- Les décès COVID-19 des foyers de soins de Montréal. Taux de mortalité COVID-19 à la hausse au Québec? par William Walter Kay et Prof Michel Chossudovsky - Mondialisation.ca, 20 mai 2020

Extrait.

La seconde concerne la manipulation pure et simple des statistiques relatives aux causes de décès au Québec. Les patients sont soit diagnostiqués par un médecin, et/ou « testés » pour le COVID-19 avec le test standard des anticorps (voies respiratoires). Aucune de ces deux procédures ne prouve l’incidence du COVID-19. De plus, dans de nombreux cas, les patients sont arbitrairement classés dans la catégorie COVID-19 sans test ni diagnostic.

Une fois que le patient est classé dans la catégorie COVID-19 (« présumé », avec ou sans tests), COVID-19 sera inclus comme « cause de décès » (sur le certificat de décès), indépendamment de l’état de santé réel du patient âgé décédé dans la maison de retraite.

Et ensuite, ces données de mortalité (basée sur COVID-19 comme cause de décès) seront tabulées et entrées dans la banque de données COVID-19 pour la province de Québec et le Canada. Et ces données sont ensuite transmises à l’OMS, qui les intégrera dans la banque de données des statistiques mondiales.

Selon toute probabilité, la majorité des patients en phase terminale dans les maisons de retraite ne sont pas morts de la COVID19.

Ces statistiques de décès enregistrées (arbitrairement attribuées à COVID-19) serviront ensuite à entretenir l’illusion que le coronavirus au Québec augmente à un rythme alarmant, justifiant ainsi le maintien du confinement et de la distanciation sociale.

C’est un gros mensonge. Et le personnel médical et les politiciens québécois le savent. Pourtant, les médias n’en parlent pas. Mondialisation.ca, 20 mai 2020

LVOG - Si j'ai bien compris, tout le monde le sait et tout le monde se tait. Applaudissez !

Pourquoi ? Quelle en est la signification politique ? Chut ! Cette question est tabou, parce que la réponse remet en cause les analyses et les stratégies opportunistes de LFI au POID en passant par le POI, le NPA et LO.

On tient le bon bout, on a tenu jusqu'au bout, tout le monde ne peut pas en dire autant.

- Didier Raoult : "Sur le plan de l’épidémie, on est au bout" - Yahoo 20 mai 2020

Dans une nouvelle vidéo publiée mardi sur Youtube, le professeur Didier Raoult s'est une nouvelle fois montré rassurant sur l'épidémie de Covid-19. "On est au bout", a-t-il promis, avant de se lancer dans une comparaison des mortalités entre Marseille et Paris.

Les semaines se suivent et se ressemblent pour Didier Raoult. Depuis fin avril, le populaire fondateur de l'IHU Méditerranée Infection a toujours martelé qu'il n'y aurait pas de deuxième vague de Covid-19. Et il a continué de le faire dans sa dernière vidéo publiée sur YouTube ce 19 mai.

"Sur le plan de l’épidémie, on est au bout, a-t-il affirmé. Il ne reste que quelques cas sporadiques mais les choses sont en train de se résoudre, à Marseille comme ailleurs. Le nombre de patients hospitalisés en réanimation, de morts et de cas nouveaux diminue à peu près partout et l’épidémie disparaît donc au milieu du printemps comme c’était une possibilité non négligeable".

Le professeur de microbiologie en a également profité pour se lancer dans une comparaison entre Marseille et Paris concernant la mortalité liée au Covid-19. "La mortalité de Paris est plus de 5 fois supérieure à celle de Marseille, a-t-il fait remarquer, chiffres à l’appui. Cela fait une grosse différence. (...) En France, si on prend les données de Santé publique France, le nombre de décès par million d’habitants est de 419, ce qui est beaucoup, avec des pics considérables à 600 morts dans le Grand Est ou encore 759 morts à Paris, ce qui est considérable”.

”Pour vous donner une idée, il y a eu plus de morts en Île-de-France qui compte 12 millions d’habitants qu’à Wuhan pour le même nombre d’habitants, a poursuivi le professeur de microbiologie. (...) Et si on compare à la région PACA, il y a eu 168 morts par million d’habitants, et aux alentours de 140 à Marseille. (...) À l’IHU, avec notre protocole thérapeutique (hydroxychloroquine+azithromycine), on a un taux de mortalité de 0,5%, ce qui est extrêmement bas." Un traitement dont l’efficacité n’a pas encore été prouvé scientifiquement jusqu’à présent. Yahoo 20 mai 2020

LVOG - Admirez la répartie des faussaires de Yahoo (Microsoft - Bill Gates).

Coronavirus: entretien exclusif avec le professeur Didier Raoult - i24News 14 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=yqxvhbciPQ8

Commentaires d'internautes.

1- Il existe deux catégories de personnes, une qui fait les choses, par intérêt, calculées, et une autre qui les fait par passion. Ce qui explique les difficultés rencontrées par le Pr Raoult pour faire admettre ce protocole.

2- "En France on attend toujours les résultats d'un test alors que l'épidémie est finie" En une phrase il résume tout.

3- Heureusement que nous avons le professeur Raoult qui nous donnent de vrais news car les guignols du gouvernement se contredisent systématiquement en nous prenant pour des abrutis. Nous sommes avec vous Mr Raoult.

4- Ce n'est pas un visionnaire, c'est un professeur en virologie intègre, qui fait son travail avec humanité, une personne rare. Bravo professeur Raoult.

5- Répondre "j'en sais rien" quand on est une "sommité" est d'une honnêteté rafraîchissante. Une qualité qui se fait rare.

6- Il a juste soigné passionnément les malades sans chercher à gagner de l'argent, il est gênant pour ceux qui veulent faire du fric sur des cadavres.

7- "Les gens normaux n'intéressent personne" Le professeur a fait le choix de soigner ! Merci à lui de son intégrité !

8- Professeur, vous avez toute ma confiance, vous n'avez pas trahi le serment d'Hippocrate!

9- Un tout grand merci pour le travail de l’IHU et le soutien direct à la population qui avait besoin d’une écoute et d’être soignée ! Votre travail et l’action durant le coeur de la crise a permis à moi à ma famille et mes amis de comprendre et de garder l’espoir mais surtout d’y voir clair! C’est tout simplement fabuleux.

10- Je suis stupéfaite qu'on fasse tout "ce foin" en France (port du masque dans les transports, plexiglas dans les magasins,...), que les restaurants soient toujours fermés,... alors que l'épidémie est en train de se terminer... vraiment je ne comprends pas... si ce n'est de nous distiller de la peur en perfusion... mais dès qu'on dit ça, on est accusé de complotisme... un truc de dingue...

Et voilà comment une thérapie se voit étiqueter d'extrême droite !

- Coronavirus: le Brésil de Bolsonaro parie sur la chloroquine - AFP 20 mai 2020

Le ministère de la Santé du Brésil a recommandé mercredi l'usage de chloroquine et d'hydroxychloroquine pour les patients légèrement atteints par la Covid-19, après des semaines de pressions du président Jair Bolsonaro, qui y voit un remède miracle. AFP 20 mai 2020

LVOG - On n'attendra pas de miracle de l'Agence Française de Propagande de Big Brother.

Peu importe, il n'a jamais rien vu venir !

- Coronavirus : Pelloux, médecin urgentiste ne "voit pas la deuxième vague arriver" - AFP 21 mai 2020

Comme on lui demandait s'il "redoutait" une deuxième vague de l'épidémie de coronavirus, l'urgentiste a répondu: "de moins en moins".

"Les modèles mathématiques donnaient la possibilité d'une remontée (...) avec un petit pic qui devait commencer maintenant et en fait on ne le voit pas", a-t-il lancé. "Cela ne veut pas dire que l'épidémie est arrêtée", a-t-il ajouté, insistant bien sur la nécessité de continuer à respecter les gestes barrières et porter le masque. AFP 21 mai 2020

LVOG - Profil bas le scélérat du PS !

Ils l'appellent de tout leur voeux, c'est plus fort qu'eux, ils veulent encore plus du sang, de larmes et de cadavres.

- L'Europe doit s'attendre à une deuxième vague de coronavirus, alertent les responsables sanitaires - AFP/ Le HuffPost 21 mai 2020

C’est une question de temps, mais de l’avis les responsables sanitaires européens, la venue d’une deuxième vague de coronavirus est certaine. Alors que de nombreux pays ont amorcé un déconfinement, la directrice du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), Andrea Ammon a alerté sur la nécessité de s’y préparer.

La question n’est pas de savoir s’il y aura une nouvelle vague de contaminations, mais “quand et de quelle ampleur”, a affirmé Andrea Ammon dans un entretien paru ce jeudi 21 mai dans le quotidien britannique The Guardian.

“Le virus est autour de nous, circulant beaucoup plus qu’en janvier et février”, a-t-elle ajouté, soulignant que les chiffres concernant l’immunité de la population n’étaient pas encourageants: “85% à 90%” restent exposés à la maladie Covid-19.

“Je ne veux pas dresser une image catastrophique mais je pense que nous devons être réalistes. Ce n’est pas le moment, maintenant, de se relâcher complètement”, a-t-elle ajouté. AFP/Le HuffPost 21 mai 2020

LVOG - The Guardian ou Pelloux, c'est du pareil au même, la social-démocratie pourrie.

Vaguelette ou déferlante ?

LVOG - A les entendre en parler sur un ton nonchalant je parierais pour le clapotis ou une onde de choc réduite ou amortissable, d'autant plus que le mouvement ouvrier s'est gravement compromis dans cette affaire. Je peux me tromper, je suis loin et je peux difficilement me fier à ce que je lis en la matière, entre ceux qui en rajoutent et ceux qui minimisent à terme les conséquences du confinement. Je préfère m'abstenir.

- Déconfinement: comme le coronavirus, la crise économique va frapper par vagues - Le HuffPost 21 mai 2020

“Cette crise n’est pas une affaire de semaines, pas une affaire de mois, mais une affaire d’années”, alertait le ministre de l’Économie Bruno Le Maire cette semaine. De fait, tous les indicateurs montrent que la crise sanitaire du nouveau coronavirus a déclenché une crise économique et sociale, qui, loin d’être linéaire, pourrait se faire par vagues successives, lesquelles suivront indéniablement le rythme du Covid-19.

Mais plus que la phase de confinement, c’est surtout la phase de déconfinement qui préfigurera de l’ampleur de la crise. “Ce sera une vague structurelle, certains secteurs d’activité ont une capacité de rattrapage, d’autres non. Certains repartent tout de suite, d’autres secteurs doivent attendre encore. C’est le principe de base”, relève Pascal De Lima. Plus l’activité retrouvera ses couleurs habituelles rapidement, moins le choc sera violent. En l’état, les indicateurs arrivent au compte-goutte, mais ils sont loin d’être optimistes.

“La reprise est partielle, plusieurs secteurs n’ont pas pu rouvrir et des salariés ne peuvent pas reprendre non plus leur activité, parce qu’il sont malades, à risque, ou qu’ils ont des enfants. Par ailleurs, en sortie de confinement, de nombreuses entreprises se retrouvent à court de liquidités, et là encore les prêts garantis par l’État ne permettent pas d’absorber tout”, détaille Bruno Ducoudré, en évoquant l’exemple de l’entreprise d’ameublement Alinéa.

Avant le confinement, l’entreprise se trouvait déjà en délicatesse financière. Et celle-ci s’est accentuée ces dernières semaines. Résultat: la société vient d’être placée en redressement judiciaire, comme la marque de vêtements pour femmes Naf Naf ou le vendeur de chaussures, le groupe André.

“On risque d’avoir dans les semaines et les mois qui viennent, une multitude d’entreprises qui se retrouvent dans cette situation et donc avec des emplois dont la pérennité n’est pas assurée. On va au devant de plans de restructuration et de licenciement, qui pourraient se généraliser”, juge Bruno Ducoudré.

Un balancier qui pourrait commencer à tanguer particulièrement à partir du 2 juin, moment à partir duquel le chômage partiel sera moins pris en charge par l’État ”afin d’encourager les entreprises à reprendre l’activité et éviter de se reposer uniquement sur le chômage partiel”. À l’inverse, certains secteurs seront soutenus plus longtemps comme celui du tourisme.

En se basant sur une estimation, jugée plutôt optimiste d’une chute de 8% du PIB cette année, le FMI table sur un taux de chômage à 10,4% à la fin de l’année 2020 en France. Une situation explosive qui fait craindre au gouvernement un “appauvrissement généralisé”, pour reprendre les mots d’Édouard Philippe le 7 mai dernier lors de la présentation de son plan de déconfinement.

Les associations caritatives, elles-mêmes en danger, tirent la sonnette d’alarme. Nombreuses sont celles a avoir observé une hausse de leurs bénéficiaires dans le cadre des distributions alimentaires.

Le logement est également vu comme une véritable “bombe à retardement”. “Certains bailleurs sociaux parlent déjà de 10% de loyers impayés depuis le début du confinement mais le risque, majeur, de défaut de paiement de loyers et de charges est encore devant nous, avec à terme, la menace d’expulsion”, explique ainsi à France Culture, Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre...

Si les plans de restructurations et que les faillites s’enchaînent, on risque de basculer dans un régime qui s’auto-entretient: une faible activité, pas de confiance des ménages pas d’investissement des entreprises. Le HuffPost 21 mai 2020

LVOG - C'est le scénario qui mènerait à la dépression et à la guerre, mais comme de guerre il ne peut pas y avoir lieu, ce serait une guerre civile sans fin, à suivre.

On vit déjà sous un régime policier.

La torture.

- Le masque vous fait mal aux oreilles? Voici 5 solutions pour y remédier - Le HuffPost 21 mai 2020

Un air de franquisme.

- Espagne : prolongation de l'état d'alerte, jusqu'au 6 juin - euronews 20 mai 2020

Les députés ont voté une prolongation de deux semaines de l'état d'alerte. Cette mesure d'exception permet notamment de limiter la liberté de circulation. euronews 20 mai 2020

Un air de Vichy.

- Coronavirus : À Paris, la police évacue l'esplanade des Invalides bondée - Le HuffPost 21 mai 2020

Déconfinement total. Ce mercredi 20 mai au soir, les forces de l’ordre ont dû intervenir dans le VIIe arrondissement de Paris pour mettre un terme à un immense rassemblement qui s’était formé de manière spontanée sur l’esplanade des Invalides.

Par petits groupes, des centaines de Parisiens s’étaient effectivement installés dans l’herbe haute pour profiter d’une soirée à l’allure estivale, au mépris des règles de distanciation sociale et des gestes barrières. Le HuffPost 21 mai 2020

Un air de Big Brother.

- Intox. Plus de tests de dépistage = plus de nouveaux cas de contamination, quoi de plus normal !

Coronavirus: L'OMS fait état d'un nombre record de nouveaux cas - Reuters 20 mai 2020 Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé mercredi que 106.000 nouveaux cas de contamination au coronavirus avaient été dénombrés dans le monde au cours des 24 dernières heures, un chiffre qui n'avait encore jamais été atteint. Reuters 20 mai 2020

LVOG - Plus les pays testent la population, plus il y a de cas dénombré, voilà ce qu'ils instrumentalisent. En admettant que 5% de la population mondiale (7,5 milliards) pourraient être porteurs du coronavirus, avant d'arriver à 375 millions de personnes infectées ils ont encore de la marge pour alimenter la psychose collective.

Quelle aubaine ! Non, une coïncidence. Une de plus. Une de trop ?

- Vaste plan social chez Rolls-Royce : 9000 suppressions de postes - euronews 20 mai 2020

- Renault envisagerait de fermer plusieurs sites en France - euronews 20 mai 2020

Selon l'hebdomadaire satirique Le Canard Enchaîné, Renault envisagerait de fermer quatre sites en France - Flins, Dieppe, Choisy-le-Roi et les Fonderies de Bretagne - dans le cadre d'un plan de 2 milliards d'euros d'économies qui doit être dévoilé le 29 mai.

L'Etat français, premier actionnaire de Renault avec 15% du capital, prévoit de garantir un prêt bancaire d'environ 5 milliards d'euros pour le constructeur. euronews 20 mai 2020

LVOG - Les opportunistes vont hurler, comment des milliards pour les capitalistes... C'est à croire qu'ils ont oublié qu'on vivait sous le régime capitaliste, à force de s'en accommoder, voilà ce qui arrive...

Et puis il y a un autre truc à avoir à l'esprit et qui leur échappe ou plutôt dont ils se contrefoutent.

Imaginons que le gouvernement distribue des milliards à certaines catégories de travailleurs en France. D'après vous, où va-t-il les chercher ces milliards, dans la poche des capitalistes ou des actionnaires? Vous voulez rire ou quoi, un peu de sérieux s'il vous plaît. Non, ce sont les autres travailleurs qui vont régler la note en France, à moins qu'ils la paient tous ensemble d'une manière ou d'une autre, ou alors ce sont les travailleurs ailleurs dans le monde qui la règleront. Cela fait plus de deux siècles que cela dure, alors pourquoi ne pas continuer, après tout, on est ou on n'est pas internationaliste, n'est-ce pas ?


Le 26 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

L’autocensure : La pire atteinte à la liberté d’expression. Ajoutons, la plus sournoise qui soit.

Tu avais déjà l'air con, mais en marchant dans la rue avec un téléphone à la main et un masque sur le visage, maintenant tu n'as plus grand chose d'humain.

Il y a quelques jours, je me suis dit qu'on vivait sous un régime fasciste, dès lors que notre liberté de mouvement était entravée, et voyez-vous je ne le supporte pas.

La seconde partie de la causerie est réservée aux militants de préférence.

J'ai bâclé la relecture, il fait une chaleur à crever et je suis épuisé.


20 pages au format pdf

PREMIERE PARTIE.

Il appelle cela le progrès. L'illettrisme remplacé par l'illectronisme.

- 13 millions de Français sont victimes d'illectronisme - huffingtonpost.fr 26 mai 2020

Alors que l’usage du numérique a plus que jamais explosé avec le confinement, “des millions” de Français sont victimes d’illectronisme.

Dans le cadre de la mission d’information “sur la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique” mise en place au Sénat mi-mai, le Défenseur des droits a été auditionné ce lundi 25 mai. Comme le rapporte Le Point, Jacques Toubon a estimé qu’environ “13 millions de personnes déclarent avoir des difficultés dans l’usage des outils numériques”.

Il a pointé plusieurs lacunes, allant de l’absence de connexion Internet pour les personnes de plus de 70 ans, au manque d’équipement pour d’autres. huffingtonpost.fr 26 mai 2020

LVOG - Ce qu'ils ne disent pas, c'est que cela a un prix faramineux, car compte tenu que les systèmes d'exploitation (95, 98, XP, Vista, System 7, 8, 10 etc.) qui servent au fonctionnement des ordinateurs changent en permanence ou sont obsolètes au bout de quelques années, sous peine de les actualiser, donc d'acheter les nouvelles versions (ou de les pirater) vous ne pourrez plus accéder à certaines applications ou utiliser vos logiciels, regarder ou télécharger des vidéos, il vous faudra passer encore et encore à la caisse ou vous en passer, sauf que lorsqu'il s'agit de documents officiels, cela pose problème. Sans parler des problèmes posés par l'actualisation gratuite de certains logiciels qui ne fonctionnent plus avec votre système d'exploitation, sans que vous puissiez revenir à la version antérieure, sauf si vous avez des connaissances en informatique, ce qui n'est pas le cas d'une personne sur deux au moins.

C'est ainsi qu'ils obligent les utilisateurs à changer de système d'exploitation. Et si votre ordinateur est trop ancien pour supporter le nouveau système d'exploitation, vous devrez en changer, donc débourser une somme importante, je suis dans ce cas-là. C'est du racket ou cela assure une gigantesque rente à vie aux oligarques tel Bill Gates. L'idéal, c'est encore, quand c'est possible, de tout pirater comme je le fais depuis 15 ans.

Cela aurait-il quelque chose à voir avec le changement climatique ?

- Le champ magnétique de la Terre s’affaiblit pour des raisons inconnues, selon l’ESA - sputniknews.com 24 mai 2020

Le champ magnétique de notre planète, qui protège la couche d'ozone des radiations cosmiques et des rayons ultraviolets nocifs, est en train de s'affaiblir par endroits pour des raisons inconnues, selon l'Agence spatiale européenne (ESA).

En 200 ans, le champ magnétique de la Terre a perdu 9% de son intensité et continue de s’affaiblir, l’apparition d’une nouvelle zone d’intensité minimale en Afrique en témoigne, a annoncé l’Agence spatiale européenne (ESA) citant des données de sa mission Swarm, une constellation de satellites mise en orbite en 2013.

«Un nouveau minimum oriental de l'anomalie de l'Atlantique sud est apparu au cours de la dernière décennie et n’a cessé de se développer ces dernières années», a indiqué Jürgen Matzka, du Centre allemand de recherche en géosciences.

L’anomalie de l’Atlantique sud est une zone située entre l'Afrique et l'Amérique du Sud où le champ magnétique est plus faible que dans les autres régions du globe. Depuis sa découverte en 1958, cette zone s'est développée et s'est déplacée vers l'ouest à un rythme d'environ 20 kilomètres par an.

«De 1970 à 2020, l'intensité minimale du champ dans cette zone est passée d'environ 24.000 nanoteslas à 22.000», précise l’ESA.

La deuxième zone de faible intensité magnétique, qui a émergé en Afrique du Sud, serait un signe annonçant que l'anomalie de l'Atlantique sud «pourrait se diviser en deux zones distinctes». Une inversion des pôles Nord et Sud?

Selon une hypothèse de l’ESA, le comportement bizarre du champ magnétique terrestre pourrait s’expliquer par une inversion des pôles Nord et Sud, puisque des études récentes ont montré que la position du pôle magnétique Nord change rapidement.

Pour l’instant, l’affaiblissement du champ magnétique, qui protège la Terre des radiations cosmiques et des rayons nocifs du Soleil, ne présente pas de danger pour les humains, estime l’ESA. sputniknews.com 24 mai 2020

La stratégie de la peur permanente sert à anhilier toute tentation de remise en cause de l'ordre établi.

Ce que la crise va changer : les leçons d'un confinement - Le Point.fr 22 mai 2020

La peur du virus s'installe durablement dans tous les pays touchés par l'épidémie

Alors que les courbes des décès retombent fort heureusement dans la plupart des pays, les courbes de la peur liée au virus continuent, elles, de plafonner, signe que si l'épidémie ralentit, la crainte, elle, reste très présente. C'est ce que montre le baromètre No Com des deux crises, la sanitaire et l'économique, réalisé des deux côtés des Pyrénées. Le Point.fr 22 mai 2020

Le Covid-19 a-t-il agi comme révélateur de notre degré de déshumanisation ? - entelekheia.fr 25 mai 2020

Extrait

L’homme occidental, enivré de sa richesse et de sa puissance, s’est pris pour un démiurge. Et c’est dans cet état de toute-puissance absolue, d’auto-satisfaction sans faille et de mépris total pour le reste de l’humanité que nous a surpris la « pandémie ».

On peut le dire sans crainte d’être lynché, maintenant que de plus en plus de médecins osent avouer à la TV que l’épidémie est finie, le monstre qui nous a tous terrorisés par le biais des médias stipendiés a finalement accouché d’une souris. Et pourtant, tout est détruit...

Comment est-ce possible, nous demandons-nous, ébahis ?

Eh bien ce n’est pas l’épidémie qui nous a vaincus. Elle n’a été qu’un révélateur. Nous sommes tout simplement tombés sous le poids de nos aveuglements, de nos contradictions, de nos excès et du scientisme aveugle qui nous éloigne de plus en plus de la réalité et nous pousse à vitesse accélérée vers la déshumanisation, la réduction de l’humain à des variables comptables.

Le risque zéro est une chimère. Mais ce n’est pas étonnant, notre société s’est spécialisée dans la poursuite de chimères : une vie sans fin, une croissance sans fin, un progrès sans fin, une productivité sans fin, des profits sans fin.

David Cayley résume bien le dilemme dans lequel nous nous sommes enfermés : « L’effort massif et coûteux déployé pour endiguer et limiter les maux causés par le virus est-il le seul choix qui s’offre à nous ? Cet effort est-il une sorte de réponse évidente, inévitable, dictée par la simple prudence, afin de protéger toutes les personnes les plus vulnérables ? Ou bien n’est-il pas une forme désastreuse, qui cherche à contrôler ce qui est clairement hors-contrôle ? Un effort qui doublera les dégâts provoqués par la maladie d’autres problèmes, qui auront une incidence dans un futur plus ou moins éloigné ? »

Poser la question, c’est y répondre. Et comment cherchons-nous à contrôler l’incontrôlable ? Par la science, la norme, la statistique, les probabilités, les sondages, les courbes, les tableaux, les chiffres, les nombres. On traite « de plus en plus des cas particuliers comme des cas généraux, comme représentants d’une catégorie ou d’une classe, plutôt que comme des situations délicates uniques ».

Nous ne sommes plus des êtres humains, nous sommes des corps sans âme, des corps en série...

La norme, la courbe et la statistique dominent le discours sur le coronavirus...

Le président général en chef de la frange des Français qui ont voté pour lui ne montre-t-il pas l’exemple ? « Dès le 12 mars, dans son adresse aux Français, Emmanuel Macron donne le ton : « Un principe nous guide pour définir nos actions (…) : c’est la confiance dans la science ». Ou plutôt dans la statistique : « La première des sciences inexactes », selon Edmond et Jules de Goncourt. Vous vous rappelez des prédictions alarmantes qui ont inspiré les choix d’Emmanuel Macron, de Donald Trump ou de Boris Johnson ? Eh oui, il parait que ce sont les prédictions complètement fantaisistes de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson qui sont responsables du désastre…

Mais cela n’empêche pas le mathématicien Cédric Villani de se vanter de ce que « Le nouveau groupe Ecologie, démocratie, solidarité s’appuiera sur la science ». Pour lui, « s’appuyer sur la science va au-delà de l’écologie mais s’applique à toute la vie publique. La science est indispensable au conseil politique ».

Continuons donc à faire toujours plus de la même chose, cela nous réussit si bien…

De toute façon, il y a longtemps que les Autorités ne se préoccupent plus de la réalité. Macron ne vient-il pas de nous affirmer que nous n’avions « jamais été en rupture de masques », après nous avoir assuré que tout allait changer à l’hôpital : fini les coupes budgétaires et les tableaux excel !

Peu importe que sur le terrain ce soit tout le contraire, comme nous l’indique Politis, « Si, de concert, Emmanuel Macron et Olivier Veran ont annoncé l’ouverture de discussions pour remettre en question le système de gestion hospitalière, force est de constater que celui-ci a la vie dure. Les réflexes budgétaires reprennent dans certains hôpitaux qui voient la pression monter sur les reprises d’activités. Une pression qui s’appuie sur un outil désormais bien connu : le tableau Excel … Censés donner une image de l’activité d’un service, ces tableaux Excel sont surtout l’outil d’une gestion budgétaire et d’une pression de rentabilité ».

Quant à la promesse de cesser de couper les vivres à l’hôpital, Marianne a vite douché nos espoirs : 2,6 milliards d’économies : comment le gouvernement Macron a continué d’essorer les hôpitaux.

Pendant que nous courons à l’abîme derrière des dirigeants hors-sol, empêtrés dans des habitudes et des croyances mortifères, pendant que nous laissons nos aînés mourir seuls dans les Ehpad pour le plus grand désespoir de leurs proches, il y a des pays, en Europe même, qui se comportent de manière pragmatique, empirique, et qui ont de bien meilleurs résultats que nous : « La Grèce est un pays que nous regardons de haut dans l’Union. C’est la la deuxième population plus âgée de l’Union, 55% des Grecs sont en surpoids ou obèses, l’hôpital compte 4,2 lits pour 1000 habitants (8 en Allemagne), et depuis 2009, 18 000 médecins ont quitté le pays. Et c’est un pays sans véritable frontière simple à fermer. Tout pour être la victime désignée du Covid-19. Or, la Grèce, au 23 avril 2020, compte 12 morts par million d’habitants, contre 68 pour l’Allemagne, 178 pour la Suisse, 267 pour la France, 415 pour l’Italie. Aux premiers signes de maladie, chloroquine et l’antibiotique azithromycine sont prescrits, des médicaments à coût très bas.

De fait, les Grecs ont suivi les recommandations du Pr Raoult, des recommandations pour pays pauvres. La France recommande de rester chez soi en cas de fièvre … qui doit disparaître en quelques jours … puis en raccourcis de se rendre à l’hôpital … devenu exsangue. C’est une démarche de pays riche. Si l’expression « pays pauvre » gêne, il faut la remplacer par « start-up ». Les start-up se débrouillent avec les astuces et moyens du bord, les grandes entreprises se réfèrent à des processus … et ne savent plus innover ».

En France, nous préférons nous désoler de ne pas avoir de traitement et sortir étude sur étude pour prouver – plus ou moins malhonnêtement, comme le montre cet article de France-soir – que le professeur Raoult est un charlatan…

Il y a moins de morts là où on a appliqué son traitement ? Quelle importance, puisque, selon la TV, les statistiques disent le contraire… entelekheia.fr 25 mai 2020

The Lancet est à la médecine, ce que The Economist est à l'économie, ce que l'extrême-centre est à la politique, la voix de Big Pharma, de Big Brother, de l'extrême droite néolibérale.

Cette "manipulation (qui) équivaut à un délit criminel et à une faute."

Shocking Report from Medical Insiders - F. William Engdahl - 18.06.2015

https://journal-neo.org/2015/06/18/shocking-report-from-medical-insiders/

Extrait.

Un aveu choquant du rédacteur en chef de la revue médicale la plus respectée au monde, The Lancet, a été pratiquement ignoré par les médias grand public. Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet a récemment publié une déclaration déclarant qu'une quantité choquante de recherches publiées n'est au mieux pas fiable, sinon complètement fausse, comme dans, frauduleuse.

Horton a déclaré: «Une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut simplement être fausse. Affligée par des études avec de petits échantillons, de minuscules effets, des analyses exploratoires invalides et des conflits d'intérêts flagrants, ainsi que par une obsession de poursuivre des tendances à la mode d'une importance douteuse, la science a pris un tournant vers l'obscurité. »

En d'autres termes, Horton déclare sans détour que les grandes sociétés pharmaceutiques falsifient ou manipulent des tests sur la santé, la sécurité et l'efficacité de leurs divers médicaments en prélevant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs ou en embauchant des laboratoires de tests ou des scientifiques où le laboratoire ou le scientifique a des conflits d'intérêts flagrants tels que le fait de plaire à la société pharmaceutique pour obtenir des subventions supplémentaires. Au moins la moitié de tous ces tests sont sans valeur ou pire, selon lui. Étant donné que les drogues ont un effet majeur sur la santé de millions de consommateurs, la manipulation équivaut à un délit criminel et à une faute.

Les études parrainées par l'industrie pharmaceutique Horton font référence au développement de médicaments ou de vaccins commerciaux censés aider les gens, utilisés pour former du personnel médical, pour former des étudiants en médecine et plus encore.

Horton a écrit ses commentaires choquants après avoir assisté à un symposium sur la reproductibilité et la fiabilité de la recherche biomédicale au Wellcome Trust à Londres. Il a noté les règles de confidentialité ou de «Chatham House» où les participants sont interdits de nommer des noms: «« Beaucoup de ce qui est publié est incorrect. »Je ne suis pas autorisé à dire qui a fait cette remarque parce qu'on nous a demandé d'observer les règles de Chatham House . On nous a également demandé de ne pas prendre de photos de diapositives. »

Autres voix

Le Dr Marcia Angell est médecin et a longtemps été rédacteur en chef du New England Medical Journal (NEMJ), considéré comme l'un des plus prestigieux journaux médicaux à comité de lecture au monde. Angell a déclaré:

«Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

Harvey Marcovitch, qui a étudié et écrit sur la corruption des tests médicaux et la publication dans des revues médicales, écrit que «les études montrant des résultats positifs pour un médicament ou un appareil à l'étude sont plus susceptibles d'être publiées que les études« négatives »; les éditeurs sont en partie à blâmer pour cela, tout comme les sponsors commerciaux, dont les études méthodologiquement bien menées avec des résultats défavorables avaient tendance à ne pas voir le jour… »

Au Neural Dynamics Research Group de l'Université de la Colombie-Britannique au Département d'ophtalmologie et des sciences visuelles, le Dr Lucija Tomljenovic a obtenu des documents qui montraient que «les fabricants de vaccins, les sociétés pharmaceutiques et les autorités sanitaires connaissaient les multiples dangers associés aux vaccins, mais ont choisi de les cacher au public. Il s'agit d'une fraude scientifique, et leur complicité suggère que cette pratique se poursuit à ce jour. »

Le Dr Horton du Lancet conclut: «Ceux qui ont le pouvoir d'agir semblent penser que quelqu'un d'autre devrait agir en premier. Et chaque action positive (par exemple, le financement de réplications bien alimentées) a un contre-argument (la science deviendra moins créative). La bonne nouvelle est que la science commence à prendre très au sérieux certains de ses pires défauts. La mauvaise nouvelle est que personne n'est prêt à faire le premier pas pour nettoyer le système.

La corruption de l'industrie médicale dans le monde est un problème énorme, peut-être plus dangereux que la menace de toutes les guerres réunies... journal-neo.org 18.06.2015

Coronavirus : l'hydroxychloroquine et la chloroquine sont inefficaces et même néfastes, selon une nouvelle étude - franceinfo 22 mai 2020

Cette étude, la première de cette ampleur, apporte une "preuve statistique robuste" que ces deux traitements promus en France par le professeur Raoult ne fonctionnent pas et sont même dangereux.

Ni la chloroquine, ni son dérivé l'hydroxychloroquine ne se montrent efficaces contre le Covid-19 chez les malades hospitalisés, et ces molécules augmentent même le risque de décès et d'arythmie cardiaque, prévient une vaste étude parue vendredi 22 mai dans The Lancet, qui recommande de ne pas les prescrire en dehors des essais cliniques.

Menée sur près de 15 000 malades, cette étude est la "première étude à large échelle" à montrer une "preuve statistique robuste" que ces deux traitements, promus notamment par le professeur Didier Raoult et le président américain Donald Trump, "ne bénéficient pas aux patients du Covid-19", déclare le docteur Mandeep Mehra, auteur principal de l'étude publiée dans la prestigieuse revue médicale.

Ces patients ont reçu quatre combinaisons différentes à base de chloroquine (un antipaludéen) et d'hydroxychloroquine (prescrit contre la polyarthrite rhumatoïde par exemple) : les traitements étaient soit administrés seuls, soit associés à un antibiotique de la famille des macrolides. L'étude a analysé des données d'environ 96 000 patients infectés par le virus Sars-CoV-2 admis dans 671 hôpitaux entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020, sortis ou décédés depuis. Environ 15 000 d'entre eux ont reçu l'une des quatre combinaisons (chloroquine seule ou associée à l'antibiotique, hydroxychloroquine seule ou associée à ce même antibiotique), puis ces quatre groupes ont été comparés aux 81 000 malades du groupe témoin n'ayant pas reçu ce traitement. Un risque de mortalité bien plus élevé

Résultat, les quatre traitements ont tous été associés à un risque de mortalité bien plus élevé qu'au sein du groupe témoin (qui était de 9,3%) : 16,4% de décès pour la chloroquine seule, 22,2% quand elle était combinée à l'antibiotique ; 18% pour l'hydroxychloroquine seule, et 23,8% quand elle était associée au même antibiotique. Les auteurs estiment ainsi que le risque de mortalité est de 34% à 45% plus élevé chez des patients prenant ces traitements que chez des patients présentant des facteurs de comorbidité, c'est-à-dire de facteurs de risque.

Ils ont aussi découvert de sérieuses arythmies cardiaques graves plus fréquentes chez les patients recevant chloroquine ou hydroxychloroquine, surtout avec la combinaison hydroxycholroquine-macrolide (8% des malades contre 0,3% dans le groupe témoin). Le risque d'arythmie serait en définitive cinq fois plus élevé avec la prise de ces deux molécules, même si le lien de cause à effet n'est pas directement prouvé, expliquent les auteurs, qui demandent une confirmation "urgente" via des essais cliniques randomisés (patients choisis par tirage au sort) avant toute conclusion.

Soulignant que des études préliminaires à petite échelle ont déjà "échoué à identifier des preuves robustes d'un bénéfice" de ces deux traitements, "nous savons maintenant avec notre étude que les chances d'améliorer" l'état des malades du Covid-19 "sont plutôt minces", écrit le docteur Frank Ruschitzka, du centre hospitalier universitaire de Zurich, coauteur de l'étude. Alors que plusieurs pays comme le Brésil parient sur l'usage de la chloroquine et de son dérivé, l'étude recommande de ne pas administrer ces traitements en dehors des essais cliniques. L'hydroxychloroquine est actuellement testée dans plusieurs essais cliniques, dont l'essai européen Discovery. franceinfo 22 mai 2020

Au vu de ces résultats alarmants, le ministre de la Santé Olivier Véran vient d'annoncer ce samedi 23 mai qu'il avait saisi le Haut Conseil de la santé publique pour qu'il analyse cette étude et lui "propose sous 48 h une révision des règles dérogatoires de prescription" de l'hydroxychloroquine. Programme.TV 23 mai 2020

LVOG - Je vous renvoie à la causerie du 2 mai 2020.

Ce sont eux qui pilotent l'OMS et qui sont à l'origine de cette escroquerie au coronavirus.

- The Rockefeller Foundation and the international health agenda - May 11, 2013

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(13)61013-2/fulltext

Vous y apprendrez notamment que "l’OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller", ce qu'ignore la plupart des gens. Ceci explique cela.

«On peut le dire haut et fort, Didier Raoult se trompe!»: l’hydroxychloroquine à nouveau désapprouvée dans une étude - sputniknews.com 24 mai 2020

Le professeur Jean-François Bergmann, ancien vice-président de l’ANSM, condamne les pseudo-sciences, dont l’hydroxychloroquine recommandée par Didier Raoult.

«Maintenant que la situation s'est calmée, on peut le dire haut et fort, ce monsieur se trompe!», lance-t-il, affirmant que suffisamment de preuves sont désormais réunies pour prouver l’inefficacité de cette molécule dans le traitement du Covid-19.

Selon M.Bergmann, également ancien chef de médecine interne à l’hôpital Lariboisière à Paris, la lenteur des recherches en France a favorisé l’apparition de ces pseudo-sciences. «On s'en est pris plein la figure. Lui avait le traitement et nous, on était des crétins auxquels il refusait tout débat scientifique. On s'est tus avec élégance», confie-t-il. Il pointe par ailleurs la lourdeur administrative dans l’Hexagone concernant la validation des médicaments, regrettant que la recherche ne soit «pas assez valorisée».

Alors que d’autres grands essais cliniques sont toujours en cours, le professeur privilégie l’attente d’un vaccin, rappelant qu’aucun médicament ne traite encore aujourd’hui la varicelle, la rougeole ou les oreillons. Contre le nouveau coronavirus, les chercheurs ont privilégié dans l’urgence l’utilisation de médicaments déjà existants, mais les résultats sont «souvent décevants».

«Il faut traiter les symptômes et attendre le vaccin. Quand tous les gros labos s'y mettent, en général, ça marche. C'est un vrai espoir», conclut-il auprès du quotidien francilien. sputniknews.com 24 mai 2020

Coronavirus : les essais cliniques avec l'hydroxychloroquine suspendus, le test européen Discovery également concerné - Franceinfo 26 mai 2020

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé avoir suspendu "temporairement" les essais cliniques avec l'hydroxychloroquine qu'elle mène avec ses partenaires dans plusieurs pays, par mesure de précaution. AFP 26 mai 2020

Totalitarisme. Big Brother = Big Data = Big Pharma.

LVOG - Ce matin j'ai adressé un nouveau message au professeur Raoult, dans lequel je lui ai communiqué l'article Shocking Report from Medical Insiders.

Le professeur Raoult contre-attaque et dénonce "une dérive des journaux de recherche médicale" - Yahoo 25 mai 2020

Dans une vidéo publiée ce lundi sur YouTube, le professeur Raoult a réagi à la polémique et défendu sa position. “Ici, il nous est passé plus de 4 000 malades dans les mains, ne croyez pas que je vais changer d’avis parce qu’il y a des gens qui font du big data, qui est une fantaisie complètement délirante, qui prend des données dont on ne connaît pas du tout la qualité et mélange tout”, affirme ainsi l’infectiologue.

“Comment voulez-vous qu’une étude foireuse faite avec du big data change ce que nous avons vu ?, interroge Didier Raoult. Des électrocardiogrammes, ici, nous en avons fait 10 000 chez les malades qui ont eu cette maladie. 10 000 électrocardiogrammes qui ont tous été vus par l’équipe d’un cardiologue spécialisé dans l’analyse électrique du coeur...”

Raoult dénonce une “dérive” de la presse médicale

“Je ne vais pas changer d’avis parce qu’il y a une publication, quel que soit le journal dans lequel elle sort, maintient le directeur de l’IHU de La Timone. C’est plus une question de savoir s’il existe une dérive des journaux de recherche médicale, ce que je crois, comparable à ce qu’on a vu chez les médias généralistes, dans laquelle la réalité est tordue de telle manière qu’à la fin, ce qui est rapporté n’a plus rien à voir avec ce qui est observable.”

“Moi, il n’y a rien, à part peut-être l’Alzheimer, qui effacera ce que j’ai vu de mes yeux. Le reste, ce qui se publie dans la littérature, c’est complètement déraisonnable, poursuit le professeur Raoult. Si d’un coup, il suffisait que quelqu’un publie une bêtise pour que j’oublie tout ce qu’on a fait pendant deux mois et demi, je serais devenu fou. Donc je ne vais pas changer d’avis parce qu’il y a des gens qui nous disent ‘nous qui n’avons pas vu de malades, nous vous disons ce qu’il s’est passé, alors que vous qui avez vu des malades, vous ne savez pas ce qu’il s’est passé’.” Yahoo 25 mai 2020

Vidéo. 4000 patients traités VS Big Data : qui croire ? - 25 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=DZFN3DryH68

- Christian Estrosi dénonce le «lynchage médiatique» contre le professeur Raoult - sputniknews.com 22 mai 2020

«Je suis plus derrière ceux qui agissent que ceux qui commentent». Invité de BFM TV et RMC, le maire LR de Nice Christian Estrosi a réaffirmé son soutien au directeur de l'IHU de Marseille. Pour lui, Didier Raoult, «le plus grand chercheur» de France, est victime d'un «lynchage médiatique».

«Parfaite ou imparfaite, il y avait une solution. Je ne comprends pas pourquoi on s'est livré à cet espèce de lynchage médiatique de quelqu'un qui travaille, de quelqu'un qui ne veut pas se mêler de tous ces débats, de quelqu'un qui, au lieu de passer son temps à être un commentateur sur les plateaux de télévision, préfère se consacrer à ses patients», a défendu Christian Estrosi.

Pour l’élu LR, les acteurs du «monde scientifique» ne sont que des «commentateurs».

«Je ne les vois pas enfermés du matin au soir dans leurs laboratoires, mais je les vois surtout occuper tous les plateaux de télévision. [...] Je suis plus derrière ceux qui agissent que ceux qui commentent», a-t-il conclu. sputniknews.com 22 mai 2020

Coronavrius : un collectif de médecins réclame la liberté de prescrire la bithérapie du P. Raoult - 21 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=TnosUU19UAc

Etude à l’appui, un collectif de médecins affirme que la bithérapie azithromycine/hydroxychloroquine développée par le Professeur Raoult à Marseille est efficace contre le COVID 19. Il réclame la liberté de prescrire pour soigner les patients éligibles à ce protocole.

Gérard Guillaume, médecin rhumatologue : "il n'y a pas de deuxième vague ! l'épidémie est finie" - 19 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=9Mi5n2YR7Hs

Violaine Guérin -"Le conseil scientifique a des intérêts dans l'industrie pharmaceutique" - 19 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=Fh-GFweteig

Tripatouillage avoué déjà pardonné !

- Coronavirus: L'Espagne soustrait 2.000 décès à son bilan - Reuters 26 mai 2020

Le coordinateur de l'urgence sanitaire, Fernando Simon, a précisé que des décès avaient été comptabilisés plusieurs fois et que des patients que l'on croyait morts du Covid-19 avaient en fait succombé à d'autres maladies. Reuters 26 mai 2020

Totalitarisme. Big Brother vous surveille, mais c'est pour votre sécurité. La servitude volontaire. Boycott !

Coronavirus : l'application StopCovid pourrait être disponible dès ce week-end - Franceinfo 26 mai 2020

Le gouvernement va-t-il bénéficier d'une nouvelle arme contre le nouveau coronavirus dans les jours à venir ? L'application de traçage StopCovid, destinée à repérer la propagation du coronavirus, sera disponible dès le week-end prochain si les parlementaires l'approuvent. C'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'Etat au Numérique, Cédric O, au Figaro (article payant), lundi 25 mai.

"Sous réserve du vote au Parlement, l'application pourrait être disponible dans les magasins d'application d'Apple et d'Android ce week-end", déclare-t-il.

L'application sera basée sur une participation volontaire. Franceinfo 26 mai 2020

LVOG - En attendant qu'elle soit généralisée ou rendue obligatoire en fonction du nombre de décérébrés qui se seront portés volontaires. N'est-ce pas ce qu'ils ont osé faire avec les vaccins ? A suivre.

Totalitarisme. Répression, c'est "nécessaire" pour votre sécurité, comme la privation de liberté.

LVOG - Encore une mesure liberticide.

Sécurité routière : Désormais, le permis sera automatiquement retenu en cas d’infraction avec un téléphone au volant - 20 Minutes 22 mai 2020

A partir de ce vendredi, si vous commettez une infraction sur la route et que vous étiez en possession de votre téléphone portable à la main, votre permis de conduire sera automatiquement retenu. Toutes les infractions sont concernées par cette mesure, que cela soit un défaut de clignotant, le franchissement d’une ligne continue, un excès de vitesse, un refus de priorité aux piétons ou un dépassement dangereux.

Au-delà des 72 heures de rétention, le préfet pourra prononcer une suspension de permis pouvant aller jusqu’à six mois et même un an en cas d’accident, de conduite en état d’alcoolémie ou après usage de stupéfiant. Une sanction drastique, mais nécessaire pour la Sécurité routière selon qui le téléphone au volant est responsable d’un accident corporel sur 10 et multiplie les risques d’accident par trois. Amende de 135 euros pour les établissements de nuit sans éthylotests

D’autres mesures, qui avaient été prises lors d’un conseil interministériel de la Sécurité routière en janvier 2018, entrent également en vigueur ce vendredi après publication la veille du décret d’application au Journal officiel. Ainsi, la durée maximale d’obligation de ne conduire qu’un véhicule équipé d’un éthylotest anti-démarrage (EAD), qui impose de souffler dans un éthylotest et bloque le véhicule si l’alcoolémie est trop élevée, passe de six mois à un an. Cette mesure est prononcée comme alternative à la suspension du permis de conduire.

L’obligation de mise à disposition d’éthylotests dans les établissements de nuit est, elle, renforcée et expose désormais les contrevenants à une amende de 135 euros. En revanche, il n’est plus obligatoire de posséder un éthylotest dans son véhicule. 20 Minutes 22 mai 2020

Le régime policier sait faire preuve de mansuétude.

- Suisse : 5 mois de prison avec sursis pour avoir blanchi 35 millions de dollars - LePoint.fr 23 mai 2020

Il vaut mieux habiter le centre-ville de Montréal, Madrid, Barcenole, Rome, Athène qu'un bidonville de Buenos Aires

Les autorités argentines ont décrété lundi la mise en quarantaine totale du bidonville de Villa Azul, qui compte environ 3.000 habitants dans la banlieue de Buenos Aires, pour tenter de freiner la propagation du coronavirus. "Le quartier a été encerclé par les forces de sécurité. Personne n'est autorisé à en sortir, sauf pour des raisons de santé", a expliqué à l'AFP une source du gouvernement provincial de Buenos Aires.

A Montréal, épicentre de la pandémie de coronavirus au Canada, le centre-ville a repris des couleurs lundi avec la réouverture des magasins de la célèbre rue Saint-Catherine, après deux mois de confinement.

En Espagne, Madrilènes et Barcelonais ont retrouvé leurs parcs et terrasses, tandis que les habitants des autres régions moins touchées par la pandémie peuvent retourner sur les plages. Les terrasses ont rouvert en Grèce et en Bavière tandis qu'en Italie, piscines et salles de sport sont à nouveau accessibles. AFP 26 mai 2020

Quand soudain la réalité repris ses droits.

En Italie, le travail au noir lourdement impacté par la crise sanitaire - Euronews 22 mai 2020

Dans le quartier de Quarticciolo, dans la banlieue est de Rome, 70 % des résidents vivaient jusqu'à il y a quelques mois du travail au noir, un marché parallèle ancré dans la réalité italienne. Mais lorsque le confinement a été décrété, tout s'est arrêté pour les artisans, charpentiers ou femmes de ménage travaillant sans contrat. N'ayant droit à aucune aide, ils viennent grossir les files d'attentes devant les banques alimentaires ou auprès des producteurs offrant quelques paniers.

Gian Maria Fare dirige le centre d'études Eurispes. Pour lui, l'économie souterraine a été favorisée par les dysfonctionnements de l'administration italienne et une fiscalité élevée. Elle représenterait 35 % du PIB italien.

« Avec ces revenus non déclarés, des familles entières achetaient leur nourriture, se déplaçaient, en d'autres termes elles vivaient une vie normale et bien que l'on parle d'économie souterraine, elles participaient à l'économie dans son ensemble, de la même manière que l'économie criminelle se fond dans l'économie globale », explique-t-il. Euronews 22 mai 2020

Ceci explique cela. D'où vient le coronabusiness, à quel moment ? Une crise peut en cacher une autre.

Ces milliardaires américains qui se sont enrichis pendant la pandémie - francetvinfo.fr 22 mai 2020

Les milliardaires américains continuent de s'enrichir pendant que la pandémie de Covid-19 détruit des dizaines de millions d'emplois aux Etats-Unis, selon des données compilées par deux centres de réflexion. Entre le 18 mars et le 19 mai, les 600 ultra-riches américains ont ainsi vu leur fortune augmenter de 434 milliards de dollars (398 milliards d'euros), soit une hausse de près de 15% en deux mois, selon ces données publiées par le magazine Forbes (en anglais), jeudi 21 mai.

Les mesures de confinement de la population, la fermeture des restaurants et des magasins ont fait bondir les achats en ligne et le besoin de rester connecté via les réseaux sociaux. Conséquence ? La valeur de plusieurs titres a flambé en Bourse depuis le 16 mars, notamment ceux d'Amazon (45%), de Facebook (près de 60%), de Netflix (46%) ou d'Apple (31%). Et cela ne semble pas s'arrêter puisque les titres Amazon et Facebook ont atteint cette semaine leur plus haut historique.

Entre mars et mai, la fortune de Jeff Bezos (Amazon) a par exemple augmenté de plus de 30% et atteint désormais 147,6 milliards de dollars (135 milliards d'euros). Celle de Mark Zuckerberg, patron de Facebook, a bondi de plus de 46% et atteint 80 milliards de dollars (73,5 milliards d'euros), selon le rapport (en anglais) d'Americans for Tax Fairness et de l'Institute for Policy Studies Program for Inequality, qui ont compilé les données de Forbes. francetvinfo.fr 22 mai 2020

LVOG - La plupart des internautes confondent la capitalisation boursière des entreprises et leur chiffre d'affaires.

Commentaires d'internautes.

1- Voilà pourquoi ils soutiennent le confinement et la surveillance des populations.

2- "Messieurs les journalistes, vos chiffres alarmistes sont vrais mais... c'est pas beau de prendre en référence le point le + bas de mars, et non le + haut de janvier.

Ainsi Apple +31% depuis mars mais... 0% depuis janvier.

Facebook, Netflix et Amazon, c'est respectivement +7% +23% et +30% depuis janvier. C'est bien certes, mais beaucoup moins que vos chiffres spectaculaires, et c'est évidemment dû au confinement.

Si on avait découvert par exemple que les écrans étaient cancérigènes, elles se seraient au contraire effondrées. Enfin, avec votre mode de raisonnement, je vous annonce que Total a "flambé" de 45% depuis le 18 mars ! Bon, le titre avait perdu 65% depuis janvier..."

3- Ce que l'article ne dit pas c'est qu'entre début mars et le 18 la bourse a perdu plus de 35 %. Le 18 était le point le plus bas.

CAC 40 janvier 6 000 pts 18 mars 3 750 pts 22 mai 4 444 pts.

Donc oui la bourse (les riches) a beaucoup gagné depuis le 18 mars mais pas autant qu'elle a perdu !

4- Dans le même temps la FED explose son bilan de 7000 milliards de dollars. Ce qui, encore une fois, prouve que l'endettement se fait au détriment des plus faibles pour engraisser les plus riches. ça fait 20 ans qu'ils font ça et que ça s'aggrave à chaque crise...jusqu'à quand?

- Cela ne peut étonner personne. Toutes les grandes crises ont permis à des riches de devenir plus riches. Dans le cas présent cela se fait sur le dos du commerce local, dans le cas des guerres c'est souvent grâce à des compromissions avec l'ennemi. Mais que le bon petit peuple se rassure les riches appauvris sont encore très riches mais surtout ils continueront tous ensemble à imposer leurs décisions aux populations par pantins interposés.

Tout ne se passe pas forcément comme ils l'avaient prévu... heureusement pour nous.

Plan de relance européen: les pays du Nord rejettent la proposition franco-allemande - LeFigaro.fr 23 mai 2020

Les Pays-Bas, l’Autriche, la Suède et le Danemark ont adressé samedi matin à la Commission leur proposition. Dans ce document, ils confirment leur opposition au principe de transferts budgétaires vers les pays les plus touchés par la crise du coronavirus.

Dans ce document que Le Figaro a pu consulter, les pays du Nord se disent certes favorables à la création d’«un fonds d’urgence temporaire et unique pour soutenir la reprise économique et la résilience de nos secteurs de santé aux éventuelles vagues futures» qui, grâce à des emprunts réalisés par la Commission, viendrait renforcer le budget européen. Mais, comme le répétait ces derniers jours le chancelier autrichien Sebastian Kurz et comme il l’a encore déclaré vendredi soir sur Bild TV, ils rejettent le principe des dettes mutualisées et l’option selon laquelle le soutien de l’UE aux pays les plus affectés par la crise du coronavirus prendrait la forme de dons comme le veulent Paris et Berlin, ainsi que les pays du sud. «Nous proposons de créer un fonds de relance d’urgence basé sur une approche ‘prêt pour prêt’, conforme aux principes fondamentaux du budget de l’UE», est-il écrit dans le document.

Les quatre pays proposent également d’encadrer ce fonds de relance. Ainsi, devra-t-il être limité à deux ans et devra-t-il veiller à réduire le risque financier des États membres en cas de défaut d’un pays bénéficiaire des prêts. D’autres conditions sont également fixées: «évaluation approfondie des besoins» des secteurs et segments les plus touchés par la crise, «engagement ferme en faveur des réformes» de la part des pays bénéficiaires, soutien à la recherche et à l’innovation ainsi qu’au pacte vert et à la transition numérique pour soutenir la reprise, respect de l’État de droit, etc.

Les quatre pays posent, par ailleurs, leurs conditions en ce qui concerne le budget européen pour la période 2021-2027 qui va être remanié, afin de tenir compte de la crise du coronavirus. Il n’est pas souhaitable, selon eux, d’aboutir à «une augmentation significative» de ce budget. Car, estiment-ils, «des fonds supplémentaires pour l’UE, quelle que soit la manière dont ils sont financés, pèseront encore plus sur les budgets nationaux». Comme ils l’avaient déjà fait en février, lors du désastreux Conseil européen consacré au budget, ils appellent à nouveau à faire des économies «en redéfinissant les priorités dans les domaines qui sont les moins susceptibles de contribuer à la reprise». LeFigaro.fr 23 mai 2020


DEUXIEME PARTIE RÉSERVÉE AUX MILITANTS DE PRÉFÉRENCE.

J'ai reçu un courriel d'un revenant, du militant qui m'avait harcelé pendant des années avant que je bloque son adresse. Depuis il en a changé pour finalement me resservir le même vomi belliqueux cent fois réchauffé, j'ai bloqué cette adresse également pour ne plus être importuné par ce cinglé. Je ne supporte pas les procès d'intention, la malhonnêteté.

Il y a des gens qui n'ont jamais appris à lire et qui enseigne la lecture, en voici un exemple pathétique. Et ce n'est certainement pas un hasard si ce sont les mêmes qui vouent un culte démesuré ou aveugle à saint Marx, Lénine, Trotsky et à leurs héritiers autoproclamés.

Marx avait commis de grossières erreurs dans la rédaction du Capital qu'Engels eut le temps de corriger avant publication. Engels avoua à F. Mehring (1893), bien que le terme ne me plaise pas, qu'avec Marx il avait négligé la forme, " la manière dont se constituent ces représentations idéologiques — politiques, juridiques et autres — ainsi que les actions conditionnées par elles (...) ce qui a fourni à nos adversaires l'occasion rêvée de se permettre des interprétations fausses et des altérations (...) et la faute ne m'est toujours apparue que post festum.", négligence toujours exploitée de nos jours manifestement. Lénine s'exclamera qu'il avait commis d'innombrables erreurs, et si certaines furent sans conséquences, on est en droit d'affirmer ce ne fut pas obligatoirement le cas dans tous les cas de figure.

Loin de moi l'idée de leur reprocher. Bref, si on ajoute que leurs enseignements remontent à une époque déjà lointaine ou sans rapport avec la nôtre à bien des égards, les reproduire fidèlement ne peut conduire dans bien des cas qu'à commettre des contresens ou des erreurs gravissimes inexcusables quand on les répète à l'infini, là où justement excellent nos dirigeants.

Quelle que soit l'époque ou la situation, on ne peut envisager son évolution qu'en fonction des conditions et des rapports qui prévalent entre différents facteurs en fonction de leur nature et de leurs contradictions, au delà ce serait spéculer sur quelque chose qui n'existe pas, exercice qui certes présente pour certains l'avantage de faire surgir n'importe quoi du néant, mais qui en aucune manière nous renseignera utilement sur la situation et comment on pourrait changer.

De la même manière qu'on ne nie pas que le présent soit le produit du passé, on sait qu'il s'orientera dans une certaine direction dans le futur à partir des mêmes lois générales du mouvement ou la dialectique, sans pour autant pouvoir déterminer à l'avance de quelle manière et dans quelle direction se dénoueront des rapports qui n'existent pas encore au moment où on aborde cette question, sans savoir quelles conditions prévaudront pour les influencer, à moins bien sûr d'être un devin !

C'est ainsi que quelque chose qui paraissait totalement invraisemblable ou impossible un jour, se réalisera ou deviendra possible un jour ou l'autre. On ne fera pas l'affront de rappeler aux lecteurs que cela se produit en permanence dans la nature, l'histoire ou la vie des hommes. Pourquoi ? Parce que des conditions qui n'existaient pas ou qui n'étaient pas mûres pour qu'un évènement se produise se sont trouvées réunies, soit soudainement ou accidentellement, y compris par hasard quand on ne peut pas les expliquer, cela existe aussi et oui, soit à l'issue d'un long et périlleux processus. L'improbable ne signifie pas obligatoirement impossibilité, sauf quand entre les deux existe un océan incommensurable constituant un obstacle à jamais infranchissable.

On atteint là la limite de la connaissance telle qu'on peut la concevoir sur des bases purement matérielles ou objectives existantes, qui lui donnent à fois un caractère absolu et relatif, puisque ces bases évolueront avec le temps, la connaissance n'est pas figée, sauf pour les ignorants ou ceux qui la manipulent.

Quand on dit que la connaissance des hommes est limitée, c'est à la fois vrai et faux, mais c'est surtout la faculté des hommes à y accéder qui est grandement entravée ou limitée.

Dans l'exercice qui suit, mon contradicteur, qui m'a traité en charlatan, s'est employé à en faire la démonstration.

- Les gens les plus dangereux à cet égard sont ceux qui ne veulent pas comprendre que, si elle n'est pas indissolublement liée à la lutte contre l'opportunisme, la lutte contre l'impérialisme est une phrase creuse et mensongère. (L'impérialisme, stade suprême du capitalisme - Lénine (1916))

Extrait de la causerie du 20 mai 2020

- La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus. Quand le mensonge devient la vérité, il n'y a pas de retour en arrière par Prof Michel Chossudovsky - Mondialisation.ca, 18 mai 2020

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire. »

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

LVOG - Je ne connaissais pas ce document de Lénine, qui fut rédigé la même année où fut publié L'impérialisme stade suprême du capitalisme, dans lequel on trouvait un passage pratiquement identique. Que disait Lénine, sinon que le capitalisme "explosera" avant que la formation d'"une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme voie le jour, thèse que l'auteur de cet article n'a pas rejeté.

Alors je me demande pourquoi après avoir reproduit cet article, un sympathisant ou militant du POID m'a accusé à tort de soutenir la thèse de l'ultra-impérialisme, sinon qu'il n'assume pas les prises de position du POID en faveur du confinement et du port du masque partout, et surtout d'en partager les conséquences sur le plan social et psychologique pour les travailleurs avec Macron et son gouvernement. A ma connaissance, personne n'a obligé le POID à soutenir ces mesures liberticides aux conséquences antisociales désastreuses.

N'ayant aucun argument à m'opposer, il n'a rien trouvé de mieux que vouloir me faire passer pour un renégat du marxisme qui aurait adopté la théorie de l'ultra-impérialisme de Kautsky. Quand Kauksky adopta cette théorie ce fut pour farder l'impérialisme de qualités qu'il n'aura jamais, de manière à rendre respectable ou fréquentable les opportunistes, la social-démocratie devenue social-impérialiste. Or, non seulement je me suis toujours refusé à reconnaître la moindre vertu au capitalisme sachant qu'il était le produit d'un processus historique inconscient, et loin de chercher à redorer le blason de la social-démocratie je l'ai caractérisé de droite pour qu'aucune ambiguïté ne subsiste sur sa nature réactionnaire.

Quant à l'ultra-impérialisme, Lénine affirma qu'effectivement le capitalisme s'orientait dans cette direction, en précisant toutefois qu'il pourrait se réaliser temporairement (Des "trêves" entre des guerres), sans pour autant que les contradictions entre les différents impérialistes ne disparaissent et donnent lieu à de nouvelles guerres, et qu'en aucun cas il pourrait être mené à son terme. Sur ce point précis, l'analyse de Lénine datant de 104 ans, je vais faire l'idiot, je ne suis pas sûr qu'il ferait en 2020 exactement la même analyse, sauf le prendre également pour un imbécile

A la même époque les Etats-Unis d'Europe étaient hypothétiques, toutes les institutions financière internationales que nous connaissons aujourd'hui et auxquelles participent tous les Etats n'existaient pas non plus, c'était la Grande-Bretagne qui dominait le marché mondial, le dollar n'avait pas encore acquis le statut de monnaie internationale, la planche à billets n'était pas encore apparue en dernier ressort comme la seule planche de salut du capitalisme en crise, les armes nucléaires et la plupart des armes bactériologiques et chimiques qui existent aujourd'hui étaient inconnues au début du XXe siècle, aucune armée impérialiste n'avait non plus n'avait eu recours à une armée de barbares sanguinaires pour déstabiliser des pays et massacrer leurs peuples, hormis la presse écrite, il n'existait à l'époque de Lénine aucun des moyens de communication modernes, la population comptait 1 milliard d'habitants, 7,5 milliards en 2020, personne n'aurait pu imaginer qu'un siècle plus tard quelques dizaines d'hyper riches possèderaient autant de richesses que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, etc. Bref, la société et le monde telles qu'ils existaient en 1917 sont définitivement révolus, hormis la division de la société en classes et l'Etat, et encore faudrait-il aussi prendre en compte leurs transformations...

J'ignore ce que voulait dire Lénine par "le capitalisme deviendra son contraire", sinon le socialisme, mais au cas où par malheur ce ne serait pas le socialisme qui se réaliserait, qu'est-ce que cela pourrait bien être, question qu'on est en droit de se poser un siècle plus tard me semble-t-il. Force est d'en déduire que le capitalisme n'a cessé de s'orienter dans "le sens d’un monopole corporatif mondial", c'est tout du moins ce qu'on peut constater quotidiennement, toujours sur fond de guerre larvée entre les différents impérialistes, Américain, Russe, Chinois, Français, Britannique essentiellement.

Force est aussi de constater que l'oligarchie financière s'est largement émancipé du pouvoir des Etats auxquels elle dicte dorénavant sa loi, ou la politique économique et sociale qu'ils doivent adopter sous peine de représailles ou de sanctions, et elle s'est dotée d'institutions politiques pour promouvoir sa politique à travers le monde ou plutôt l'imposer à tous les peuples. Elle s'est dotée d'institutions politiques telle le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et le Council Foreign Relation (CFR), ainsi qu'une multitude de fondations, d'ONG, de think tanks qui tous ont pour seul objectif de promouvoir ses intérêts dans le monde. S'y trouvent associés des personnalités de tous les continents, y compris des Russes et des Chinois, qui dans leur pays respectif oeuvrent à la promotion de la stratégie néolibérale de l'oligarchie financière anglo-saxonne.

Depuis le coup d'Etat du 11 septembre 2001 jusqu'à la machination au coronavirus en 2020, on a pu observer comment la totalité des médias mondiaux avaient adopté en choeur la version de Bush et de l'OMS, ce qui montre assez clairement que le curseur sur l'échelle de la probabilité de l'établissement d'un gouvernement mondial s'était nettement déplacé en faveur de sa réalisation, ou tout du moins qu'un consensus mondial s'était chaque fois dégagé comme si tous les Etats avaient soudainement perdu leur indépendance, temporairement. A force que ce soit temporaire et que cela se répète depuis une vingtaine d'années au moins, montre suffisamment que cette tendance s'est renforcée.

On doit ajouter également, que jamais dans le passé le mouvement ouvrier international n'a été aussi corrompu ou pour ainsi dire inexistant lors de chacun de ses évènements importants, pour avoir adopté les mêmes positions que tous les chefs d'Etat des puissance impérialistes, de sorte que l'un des principaux obstacles à la stratégie de l'oligarchie a pratiquement disparu.

Quand on dresse le tableau de la situation et qu'on met cote à cote tous ces facteurs et leur évolution, on est bien obligé d'admettre que ce qui paraissait inimaginable autrefois l'est beaucoup moins de nos jours, sans pour autant en tirer la conclusion que l'oligarchie serait sur le point de gagner la guerre de classe comme l'avait indiqué Warren Buffett il y a de cela déjà quelques années, mais elle s'en rapproche dangereusement puisqu'on ne voit vraiment ce qui permettrait d'inverser cette tendance.

Vous remarquerez que je me suis simplement livré à un rapide constat sans chercher à interpréter ou manipuler tel ou tel facteur, les faits suffisent amplement. Cette polémique qui provient du déni de ces faits ou qui sont systématiquement écartés de toute analyse politique par les opportunistes ou les charlatans, durera aussi longtemps que la Russie et la Chine ne seront pas intégrées dans la stratégie américaine ou n'auront pas adopté le même modèle de société totalitaire.

On peut encore ajouter qu'à l'occasion des mystifications climatique et virale, l'oligarchie avait manifesté son objectif de détruire des pans entiers du capitalisme et de ravaler le niveau de vie de la population tout en projetant de la réduire en esclavage.

Personnellement, je n'ai jamais fait référence à cette notion d'ultra-impérialisme, pour la bonne raison que j'estime que la stratégie de l'oligarchie rompt avec le capitalisme pour avoir violé ses lois de fonctionnement en s'octroyant un pouvoir sans partage qui la destine à devenir le maître du monde, en se libérant des contraintes de l'économie pour ainsi dire par décret royal. Qui pourrait contester son pouvoir ? Personne.

Ce sont des fous qui disposent de pouvoirs leur permettant d'orienter l'évolution du monde, en édictant des règlements de police qui ont valeur de règlement intérieur, où la population est prisonnière et totalement asservie. Elle n'existe plus non plus, il n'existe plus que des comportements qu'il suffit de brider pour avoir la paix sociale. Ils sont des ennemis farouches de la connaissance. Avec leur philosophie, tout ce qui était humain disparaît.

On est dans une autre dimension, c'est autre chose et quelque chose d'inachevée, c'est planétaire. A suivre.

L'épisode du confinement aura été le 4 août du trotskysme.

La décision de confiner la population et de lui faire porter un masque n'a pas été prise par Macron pour des raisons sanitaires ou de santé publique, mais purement idéologiques. Et dès lors qu'on soutenait ces mesures, on en partagerait les conséquences qui en découleraient inévitablement sur le plan social et psychologique pour les travailleurs.

Mais nous dira-t-on le confinement et le masque auraient permis d'éviter de faire des milliers de morts supplémentaires, foutaises, argument fallacieux s'il en est, sachant que Macron et son gang mafieux avaient décidé à l'avance qu'il devrait y avoir un maximum de morts pour valider la théorie de la pandémie, pour terroriser la population et la rendre docile pour qu'ils puissent appliquer la suite de leur programme entièrement tourné contre les intérêts des travailleurs, sachant qu'ils allaient refuser de tester systématiquement les personnes à risque, sachant qu'ils allaient interdire la vente libre de la seule molécule accessible à tous présentant une efficacité pour lutter contre le coronavirus, la chloroquine ou hydroxychloroquine, qu'ils allaient interdire aux médecins de ville de la prescrire à leurs patients, qu'ils allaient refuser de recommander au personnel de la santé de prendre cette molécule à titre prophylactique, qu'ils allaient refuser d'en généraliser la diffusion dans les maisons de retraites, autant de mesures qui si elles avaient été prises auraient permis de sauver au bas mot plus de 10.000 vies.

Dans le passé aussi loin qu'on remonte, jamais le confinement de la population n'a permis d'empêcher un virus de se répandre parmi la population, c'était une imposture, en revanche il allait avoir des conséquences dramatiques sur les plans social et psychologique pour l'ensemble des travailleurs en jetant des millions de travailleurs au chômage et en en précipitant autant dans la précarité et la pauvreté parfois extrême.

En conclusion, en prétendant éviter le pire avec ces mesures autoritaires, à l'arrivée nous aurons eu le pire sur les deux plans avec un maximum de morts et de chômeurs.

En admettant que l'absence de confinement aurait conduit au nombre de morts recensés aujourd'hui ou davantage encore, qui d'une manière ou d'une autre seraient morts à court terme puisqu'en fin de vie et généralement en très mauvaise santé, le virus de la grippe les aurait tués cette année ou l'année suivante, sachant qu'il arrive un moment où il faut bien mourir de quelque chose et qu'il est rare de mourir dans son lit pendant son sommeil quand on est parvenu à un âge très avancé, cela n'aurait-il pas été préférable plutôt que fournir un prétexte à l'oligarchie qui lui permet de franchir une nouvelle étape vers l'instauration d'un modèle de société totalitaire qu'il serait pratiquement impossible de combattre et de sortir une fois ce projet bien avancé

Il est permis ou plutôt fortement recommandé de se poser certaines questions. Chut !

Aucun attentat depuis 5 mois sur le territoire des puissances impérialistes occidentales, comme c'est curieux, c'est à croire qu'un petit virus aurait suffi pour avoir raison du terrorisme... à moins que les donneurs d'ordre ou ceux qui l'instrumentalisent aient mieux à faire en ce moment ou en avaient décidé autrement.

Ils ont fermé les frontières, confinés des peuples entiers, réduits au chômage des centaines de millions de travailleurs, et les voilà qui déconfinent et rouvrent les frontières, tout en affirmant que le nombre de cas de contaminations n'a jamais été aussi nombreux dans le monde et en agitant le spectre d'une seconde vague là où le coronavirus a déjà sévi, privilégiant le tourisme et les sports de masse comme le football, comme si de rien n'était ou comme si cette épidémie à peine digne de la grippe saisonnière était terminée... Il faut donc en déduire qu'ils auraient atteint les objectifs qu'ils s'étaient fixés à cette étape. Car il y en aura d'autres déjà annoncées, telles le traçage numérique ou la mise sous surveillance policière de la totalité de la population ; la vaccination fortement recommandée, ou pire, obligatoire ; la hausse prévisible ou persistante du chômage ; la hausse des prix ; la prolongation des dérogations au droit du travail accordées aux patrons ; la poursuite ou l'accélération de l'application des mesures adoptées dans le cadre de l'imposture au réchauffement climatique d'origine anthropique, cela pourrait se traduire par la mise en faillite de secteurs entiers de l'économie ; l'augmentation des impôts ou des taxes ; la réduction des budgets alloués par l'Etat nécessaires au fonctionnement des services publics, leur privatisation ; la chasse aux idées déviantes sur les réseaux dits sociaux ou leur censure systématique, etc.

Il y a quelques jours, je me suis dit qu'on vivait sous un régime fasciste, dès lors que notre liberté de mouvement était entravée.

C'est l'oligarchie qui nous l'impose. Ce n'est pas un fascisme à caractère nationaliste, mais transnational, comme la finance, c'est son mode de gouvernance sur le plan politique, son idéologie, son programme pour se sauver du désastre qui l'attendait avec le capitalisme.

Pourquoi n'arrive-t-on à la combattre ? Peut-être parce qu'on en est resté à une analyse du capitalisme devenue en partie désuète, pour n'avoir pas intégré l'évolution de certains facteurs qui ont contribué à son développement, et qui à un moment donné se sont transformés en leurs contraires ou devaient le conduire à sa perte.

Il en va ainsi de la démographique exponentielle mondiale avec l'ensemble des conséquences qui devaient en découler, notamment au niveau des besoins des peuples à satisfaire, qui allaient devenir plus que jamais incompatibles avec la concentration toujours plus grande des richesses entre quelques mains.

Le pendant de la démographique exponentielle mondiale a bien sûr été le développement des forces productives et de la division du travail, qui devaient contribuer à amplifier toutes les contradictions du fonctionnement du capitalisme jusqu'à ébranler ses fondements ou les inégalités entre les classes, alimentant la lutte de classe des exploités que l'oligarchie devait neutraliser à l'aide de ses nombreux agents au sein du mouvement ouvrier ou à la lisière de celui-ci, allant jusqu'à créer de nouveaux instruments qu'elle pourrait instrumentaliser pour multiplier à l'infini les agents qu'elle pourrait manipuler.

Le nouveau cycle de développement des forces productives et de la division du travail à partir des années 70 allait se réaliser au détriment de ceux déjà existants, préfigurant ce qui allait se généraliser à terme à partir du début des années 2000 et s'accélérer en 2919 et 2020, une régression sociale sans fin associée à l'imposition d'un mode de vie croulant sous des charges financières incompressibles, conformément à un modèle de société basé sur la peur et la surveillance croissante de tous ses membres privés des libertés les plus fondamentales. Ce qui jusque là avait pu être caractérisé de facteur progressiste ou de bienfait pour la civilisation humaine, bien qu'anarchique et cruel, se développait dorénavant au détriment de sa survie, en ne présentant plus que des aspects négatifs, monstrueux ou barbares.

On pourrait aussi citer la baisse inexorable de la part du capital variable dans la production de la plus-value due à la mise en oeuvres des formidables découvertes scientifiques et technologiques réalisées au cours du XXe siècle, de sorte que les capitalistes pour s'en sortir n'ont plus d'autre alternative que produire toujours davantage, de rationaliser toujours plus la production, ce qui nécessite de disposer de capitaux toujours plus importants ou d'être toujours plus riches, de sorte qu'ils seront en mesure de dicter leurs lois au reste de la planète.

Cette gigantesque richesse accumulée leur servira à acheter ou corrompre, à prendre le contrôle politique de tous les Etats ou institutions, qui à leur tour adopteront des lois qui leur seront favorables, condition qui doit garantir la pérennité de leur hégémonie sur l'ensemble de l'économie mondiale. Cet objectif autrefois improbable a été atteint.

Pour y parvenir l'oligarchie devait aussi s'assurer du contrôle de tous les moyens de communication, des principaux médias qui conditionnent les consciences des peuples, afin que seule leur idéologie pénètre quotidiennement dans chaque foyer, et faire en sorte que quels que soient les évènements qui pourraient se produire dans l'avenir et dont elle serait à l'origine, les voix qui en révèleraient la véritable nature soient systématiquement étouffées ou marginalisées, censurées, de sorte que la majorité les assimilent à des tenants de la théorie du complot, à des ennemis, à des traîtres.

On est passé d'une société où ses membres vivaient dans l'insouciance la plus complète, dont la principale satisfaction ou l'idéal consistait à consommer avidement de tout et de n'importe quoi sans discernement, tout du moins pour ceux qui en avaient les moyens, soit la majorité, affichant ou exprimant bruyamment leur individualisme effréné et leur pitoyable suffisance sur les réseaux dits sociaux, méprisant ou haïssant ceux qui ne leur ressemblaient pas, à une société aux abois, menacée, effrayée par un ennemi invisible, tétanisée, réduite au silence, fermée et enfermée, privée de toute liberté, dont les membres ont fait preuve d'une docilité à réjouir les pires dictateurs, marchant au pas ou obéissant aveuglément aux injonctions des tyrans qui les gouvernaient comme lobotomisés, dépourvus de toute volonté ou conscience, errant comme des fantômes dans un monde triste et morbide définitivement rendu inhospitalier, inhumain, au point de se dire qu'un tel changement même temporaire, n'aurait pas pu se produire si ses membres n'y avaient pas été minutieusement préparés psychologiquement de longue date, expérience qui ne restera pas sans conséquences ou sans laisser de profondes traces à défaut d'en tirer des enseignements pour l'avenir, hélas !

La situation que nous connaissons est inédite, mais il y en a toujours parmi nous pour le nier et lui infliger des recettes du passé, cela ne fonctionne pas, mais ils s'en foutent, soit qu'ils n'aient aucune imagination, soit qu'ils s'en contentent.

Tous les facteurs que nous avons nommés plus haut ne se comportent plus comme dans le passé, absolument aucun ne peut être traité comme autrefois. Dès lors pour les aborder, cela nécessite de procéder à une révolution de l'état des lieux et non de notre mode de pensée, tout dépend de ce qu'on entend par là ou de la conception qu'on en a. Si on fait allusion aux faits qui devraient en être à l'origine, y changer quoi que ce soit serait forcément dommageable, pour autant qu'on les a conçus dans leur évolution ou au sein du processus historique ; si maintenant notre mode de pensée demeurait figé, obtus, étroit, borné par des dogmes et des formules obsolètes gravées dans le marbre, s'y accrocher ou n'y rien changer signerait notre arrêt de mort ou nous condamnerait à ne rien comprendre à la situation, et donc à ne jamais trouver la voie et les moyens pour renverser l'ordre établi.

A des niveaux différents selon la génération à laquelle on appartient, selon le milieu social dont nous somme issus, selon notre statut social présent, la société ou le monde tels que nous les avons connus jusqu'aux alentours de la fin du XXe siècle n'existent plus ou ils ont connu de telles transformations qu'on ne peut plus les aborder de la même manière, tout du moins avec les connaissances ou avec les critères d'autrefois, tout scientifique sérieux vous le dira si vous n'êtes pas convaincus.


Le 28 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Comment faites-vous pour tenir le cap et garder le moral au fond de votre trou en Inde du Sud ?

Pardi, je pense à vous, au meilleur des hommes ! Et des femmes si vous y tenez, elles, je les aime c'est différent ! On se détend un peu.

Ma compagne est absente pour 9 jours, elle est partie aider une de ses soeurs qui s'est démise un genou en tombant à cause d'une vache, un accident domestique ! On ne vit pas tout à fait dans le même monde, mais en faisant un petit effort on peut se comprendre, je parle de vous et moi, avec ma compagne c'est plus compliqué mais on y arrive en faisant preuve de beaucoup de patience et d'imagination, comme quoi, hein !

Voilà un bon exercice pour mettre à l'épreuve ces facultés, allez à la rencontre de gens qui ne nous ressemblent pas du tout.

Je connais en revanche un tas de gens qui prétendent me ressembler et avec lesquels je ne m'entends pas du tout, cherchez l'erreur ! Après de longues années d'expérience, je peux pratiquement me mettre à la place de n'importe qui, ce qui n'est pas donné à tout le monde apparemment.

En allant chercher de l'essence hier matin, j'ai constaté que certains magasins vendant de l'alcool étaient ouverts, je suis passé devant sans m'arrêter, c'est un truc qui m'est passé, apparemment aussi, vaut mieux être prudent ! En attendant je me sens mieux, et les neurones fonctionnent aussi bien que mon foie que j'entretiens.

Sachant que la vieillesse est le pire moment de l'existence à passer, autant faire en sorte qu'il soit le plus agréable possible, ce qui est impossible quand on est en permanence malade. La maladie est une chose, tant qu'elle n'est pas bien grave, on peut la supporter et réduire son traitement au minimum. Là où cela se gâte, c'est quand elle empire, vous allez vous soigner d'un côté pour vous détruire de l'autre, et vous risquez de ne jamais en sortir, alors vaut mieux essayer de ne jamais en arriver à cette extrémité là. Il me reste la clope à éliminer, quelle saloperie ! Je mange aussi de moins en moins et j'ai encore perdu 1 kilo, un peu à cause de la chaleur accablante le premier depuis un an environ, en tout j'en ai perdu 8, il m'en reste encore une dizaine à perdre pour redevenir un jeune homme. On a idéalisé la science et la technologie, la médecine notamment, on est des ânes ! C'est toujours mieux que des moutons !

Plus le monde devient pourri, plus j'ai l'impression de gagner en sérénité, et cela n'a rien à voir avec un quelconque renoncement à quoi que ce soit ou une sorte de lassitude qui me conduirait à tout relativiser ou accepter, quelle horreur, j'en crèverais sur le champ ! Non, je suis sur le pied de guerre. Je suis un peu provocateur sur les bords pour susciter des réactions de type immunitaires contre la bêtise humaine, aussi je vis comme une provocation intolérable cette mystification au coronavirus, cela provoque chez moi une réaction épidermique violente, un peu comme toute humiliation imposée.

Abus de pouvoir, un euphémisme pour caractériser un régime fascisant, le régime de Macron, de la Ve République.

Ce que vient de révéler cet épisode, c'est exactement ce que j'avais soulevé, à savoir que l'embourgeoisement des masses combiné au conditionnement des consciences constituait le noeud du problème que nous avions à résoudre. Nos dirigeants nient l'un et l'autre, ce qui ne devrait pas vous étonner.

Force est de constater que la résistance au totalitarisme se manifeste principalement hors du mouvement ouvrier, dorénavant orienté uniquement vers la corporatisme tous courants politiques confondus.

Vidéo. ÁFRICA SE REVELA CONTRA EL NUEVO ORDEN MUNDIAL (en français) - 21 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=YfifjjCcTYM&feature=emb_title

A bas les GAFAM !

Covid Infos :

- Notre page Facebook est inaccessible car elle a été supprimée par Facebook au bout de 24 heures d’existence, sans la moindre explication.

Apparemment le concept de liberté d’expression leur échappe un peu. covidinfos.net


31 pages au format pdf

PREMIERE PARTIE.

Quand leurs désirs sont des ordres. Aux militants qui sont restés bloquer au XIXe siècle.

Le POI et le POID comptent parmi leurs militants et sympathisants de nombreux vieillards, ayant adopté les conceptions de la société et de la lutte de classe que leur avaient léguées leurs prédécesseurs et qui dataient de la première moitié du XXe siècle, sans se donner la peine de chercher à comprendre ni comment le capitalisme avait évolué ni pourquoi la société avait connu tant de profondes transformations, au point qu'il suffirait de se plonger ou replonger dans les écrits des marxistes d'autrefois pour trouver miraculeusement les réponses à toutes les questions qui se posent à nous aujourd'hui ou pour affronter tous les défis que nous avons à relever, et à leur tour ils ont transmis ce mode de penser dogmatique ou monolithique aux générations suivantes de militants ou à leurs propres rejetons, qui évidemment se retrouvent confrontés à des contradictions dont la nature leur échappe...

Ils vivent dans un monde fantasmagorique qu'ils se sont fabriqués, et tout ce qui n'en fait pas partie doit en être exclu impitoyablement, ce qui les amène à vivre dans le déni permanent de pans entiers de la société ou coupés de la réalité, au point que toute discussion sérieuse avec eux, libre et fraternelle est absolument inenvisageable. On a vu il y a quelques jours qu'ils continuaient à caractériser le PS de gauche par exemple. Si un jour celui que vous considériez être votre ami violait et massacrait votre fille, continueriez-vous de le traiter en ami, vous et moi certainement pas, eux oui, c'est choquant, mais ils sont ainsi. Cela vaut pour le NPA et LO et d'autres formations issues de ces partis.

Ils en sont restés au capitalisme de grand-papa, et à saint Marx qui ne méritait pas cela. On conçoit parfaitement que notre ignorance délimite notre horizon, c'est valable pour tout le monde, à ceci près qu'il y en a qui s'emploient à essayer de repousser ces limites, tandis que d'autres s'y complaisent ou s'y accrochent, ils appartiennent à cette catégorie là. Ils savent que le capitalisme n'existe pas de toute éternité, mais ils ont oublié qu'il n'était pas inéluctable que le socialisme le remplace, même Trotsky, auquel ils vouent littéralement un culte, y fit référence à plusieurs reprises, on verra cela dans la seconde partie de cette causerie.

Ils ne veulent pas en entendre parler, parce que cela signifierait que du capitalisme pourrait naître un modèle de société totalitaire - pour reprendre une expression de Trotsky - qui ne reposerait plus exactement sur les rapports sociaux qui accompagnèrent le développement du capitalisme, c'est moi qui le précise, puisqu'ils nous ramèneraient à l'époque jadis de l'esclavagisme, cette précision est de Trotsky, ajoutons dont il serait extrêmement difficile de sortir.

Si les choses étaient aussi simplistes qu'ils les présentent, on ne voit ni comment ni pourquoi un destin aussi tragique pourrait nous échoir. En réalité, elles sont beaucoup plus compliquées, et plus le temps passe plus elles le deviennent. Le temps pourrait jouer en notre faveur comme il arrive parfois, sauf que là de toutes évidences c'est le contraire qui est en train de se produire, le passage qui suit le prouve amplement.

Bill Gates - « Tout d’abord, nous devons adopter une approche nationale cohérente du confinement. Malgré l’insistance des experts de la santé publique, certains États et comtés n’ont pas encore complètement fermé leurs portes. Dans certains États, les plages sont encore ouvertes, dans d’autres, les restaurants servent encore des repas aux tables…

Les dirigeants du pays doivent être clairs : la fermeture signifie la fermeture de tout. Jusqu’à ce que le nombre de cas commence à baisser dans toute l’Amérique – ce qui pourrait prendre 10 semaines ou plus – personne ne peut continuer à fonctionner comme si de rien n’était ou relâcher le confinement. Toute confusion sur ce point ne fera qu’étendre la douleur économique, augmenter les chances que le virus revienne et causer plus de morts…

Pour mettre fin à la maladie, nous aurons besoin d’un vaccin sûr et efficace. Si nous faisons tout correctement, nous pourrions en avoir un en moins de 18 mois, ce qui serait le vaccin le plus rapide jamais mis au point. Mais la création d’un vaccin n’est que la moitié de la bataille. Pour protéger les Américains et les habitants du monde entier, nous devrons fabriquer des milliards de doses ». (« Bill Gates : Here’s how to make up for lost time on covid-19 », Washington Post)

Voici une autre lettre de Gates au cas où il y aurait des doutes sur ses intentions : « L’une des questions qui me sont le plus souvent posées ces jours-ci est de savoir quand le monde pourra revenir à ce qu’il était en décembre, avant la « pandémie » de coronavirus. Ma réponse est toujours la même : quand nous aurons un médicament presque parfait pour traiter le COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète aura été vaccinée contre le coronavirus ». (« Bill Gates – Gates Notes »)

Mais de quoi parle-t-il ? Gates n’est pas un médecin, un scientifique, un épidémiologiste ou un élu qui définit une politique. C’est un riche dilettante qui a gagné des milliards en dominant impitoyablement l’industrie du logiciel. C’est tout. Cela fait-il de lui un expert en maladies infectieuses ? Est-ce que cela lui donne le droit d’ordonner le confinement de 328 millions d’Américains ?

Non, mais les tentacules de Gates sont également enroulés autour des médias (ce qui l’aide à façonner l’opinion publique), comme le souligne cet extrait d’un article de Lew Rockwell :

« La Fondation Gates accorde des subventions de plusieurs centaines de milliers et souvent de millions de dollars à des organisations médiatiques telles que NBCUniversal, Al Jazeera, BBC, Viacom (CBS) et Participant Media … Gates et la Fondation Gates sont tous deux des actionnaires importants de Comcast, … ainsi que … MSNBC et NBC News …

En 2009, le New York Times a rapporté que la Fondation Gates s’associait à des entreprises médiatiques pour écrire et façonner des histoires afin « d’intégrer » des messages dans les émissions en prime time :

« Elle [la Fondation Gates] est moins connue pour son influence en coulisses sur l’attitude du public à l’égard de ces questions, en aidant à façonner des scénarios et à insérer des messages dans des divertissements populaires comme les émissions de télévision ER, Law & Order : SVU and Private Practice… »

« Sa richesse énorme et la portée des sociétés médiatiques mères semblent exempter Gates des obligations de divulgation habituelles. … Il donne des interviews de softball dans l’émission Vox, soutenue par Comcast, sans révéler qu’il est un investisseur important de Comcast. Parce que sa participation dans les sociétés de médias est suffisamment blanchie, on suppose qu’elle ne mérite pas d’être mentionnée ». (« Bill Gates, HR6666, Remdesivir, Deaths in Italy », Lew Rockwell) Bill Gates a des contacts essentiels dans les médias, les soins de santé mondiale et la politique. S’il veut que ses opinions soient largement diffusées, il n’a qu’à le dire. Cela dit, nous ne saurons peut-être jamais si le confinement était son idée, mais il a certainement le pouvoir de le faire appliquer s’il le souhaite. Et pour ceux qui restent sceptiques sur ce point, considérez ces mots d’avertissement tirés de l’excellente série vidéo en trois parties de James Corbett sur la pourriture de Microsoft intitulée « Bill Gates and the Population Control Grid » :

« La prise de contrôle de la santé publique que nous avons documentée dans « Comment Bill Gates a monopolisé la santé mondiale » et la pression particulièrement effrontée pour vacciner tous les habitants de la planète que nous avons documentée dans « Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde » n’était pas, à la base, une question d’argent.

La richesse inimaginable que Gates a accumulée est maintenant utilisée pour acheter quelque chose de bien plus utile : le contrôle. Le contrôle non seulement des organismes de santé mondiale qui peuvent coordonner un programme mondial de vaccination, ou des gouvernements qui vont mandater une telle campagne sans précédent, mais le contrôle de la population mondiale elle-même ». (James Corbett, The Off-Guardian)

Le confinement est une question de pouvoir ; un pouvoir politique brut entre les mains d’oligarques non élus et non responsables... (Le confinement est-il le plus grand désastre politique de l’histoire des États-Unis? par Mike Whitney - Mondialisation.ca, 22 mai 2020)

LVOG - Intéressant, n'est-ce pas ? Nos braves trotskystes ont montré qu'ils étaient bornés au point de soutenir le confinement de la population et d'en redemander, donc je n'invente rien, hélas ! Gates a agi avec ses amis banquiers en maître du monde, Hitler aussi sans pour autant que cela change quoi que ce soit au fonctionnement du capitalisme, à ceci près qui change la donne, qu'Hitler n'en était pas le maître. Autrefois l'oligarchie en eut besoin, de nos jours elle s'en passe, et c'est elle qui se charge directement d'imposer sa politique, parce qu'elle a acquis suffisamment de pouvoir pour s'émanciper de tous les facteurs historiques qui pouvaient entraver ses manoeuvres, désormais elles les façonnent en fonction de ses besoins et de son agenda, laissant aux Etats le soin d'en gérer au mieux les conséquences, d'assurer essentiellement un service de police ou de répression, ce facteur permettant à lui seul de déterminer la nature de l'Etat, fasciste ou fascisant. L'Etat a cessé d'être au service du capitalisme, d'un ou plusieurs secteurs du capitalisme ou de l'économie, il est devenu uniquement un instrument entre les mains d'une ploutocratie toute puissante n'ayant de compte à rendre à personne.

Nous vivons dans un monde dystopique dès lors que la lutte des classes ne remplit plus son rôle historique progressiste.

Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'il est impossible de lui échapper et dont les dirigeants peuvent exercer un pouvoir généralement sans contraintes sur des citoyens qui ne peuvent pas atteindre le bonheur. (Sur Internet)

- 1984, de G. Orwell publié le 8 juin1949

- Le Meilleur des mondes est un roman d'anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Il paraît en 1932.

- Fahrenheit 451 est un roman de science-fiction dystopique de Ray Bradbury publié en 1953

Totalitarisme. Le doigt dans l'engrenage infernal. La délation ou le fascisme numérique. Etes-vous volontaire ?

- La Cnil donne son feu-vert à l'application de traçage StopCovid - Euronews 26 mai 2020

L'autorité administrative indépendante chargée de veiller aux libertés informatiques en France a donné son feu vert mardi à la mise en place de StopCovid, l'application controversée de traçage de contacts voulue par le gouvernement pour lutter contre l'épidémie du coronavirus. Mais cet avis favorable ne parvient pas à rassurer les détracteurs de l'application, qui craignent une violation de certaines libertés. Euronews avec AFP 26 mai 2020

- Coronavirus : le Parlement donne son feu vert à l'application de traçage StopCovid - Franceinfo 28 mai 2020

Le Parlement a approuvé, mercredi 27 mai, l'application de traçage StopCovid, censée aider à lutter contre la propagation du coronavirus, en traçant les "cas contacts". Franceinfo 28 mai 2020

- LeTemps.ch : « A Singapour, le traçage par app dégénère en surveillance de masse » - covidinfos.net 10 mai 2020

« Singapour lance un nouveau service liberticide, baptisé SafeEntry. » C’est ainsi qu’un article paru dans le journal suisse Le Temps décrit l’application lancée par le gouvernement singapourien pour « tracer les personnes porteuses de la maladie. » A noter que la France s’inspire de l’exemple singapourien pour son application « StopCovid ». Extraits.

« En lançant le 20 mars son application, Singapour est l’un des premiers, si ce n’est le premier Etat – Chine mise à part – à lancer un programme de traçage du virus. Le programme TraceTogether, développé par l’Etat, est proposé de manière volontaire et anonyme. Il se base sur la technologie Bluetooth pour détecter si deux individus sont restés à proximité l’un de l’autre durant plus de quinze minutes. » […]

« La suite sera beaucoup plus compliquée. De nombreux experts pensaient que les Singapouriens, réputés pour leur discipline, leur acceptation des règles et leur utilisation importante des technologies, allaient utiliser en masse TraceTogether. Il n’en est rien: un peu plus d’un million de personnes la téléchargent, soit environ 20% des 5,6 millions habitants de la cité-Etat. On est loin des 60% espérés, un taux jugé par de nombreux scientifiques comme nécessaire pour endiguer la propagation du virus. » […]

« Peu satisfait par ce résultat, le gouvernement Singapourien en a alors décidé d’e « finir avec la base volontaire. La cité-Etat annonce une mesure drastique : l’obligation de s’enregistrer lorsque l’on pénètre dans un bâtiment public, via le système SafeEntry. […] Obligation qui sera étendue aux centres commerciaux, aux entreprises, aux gares et les parcs. »[…]

https://covidinfos.net/covid19/letemps-ch-a-singapour-le-tracage-par-app-degenere-en-surveillance-de-masse/852/

Lire l’article original :

– A Singapour, le traçage par app dégénère en surveillance de masse covidinfos.net 10 mai 2020

https://www.letemps.ch/economie/singapour-tracage-app-degenere-surveillance-masse?fbclid=IwAR0W12zKqn_Qrp51D3zm0DV7CWp2pW_omGex_LZM9t-bbWDKqujeXwVGONo

- «Milice», «dictature orwellienne»: bientôt 60.000 Italiens chargés de surveiller le déconfinement? - sputniknews.com 27 mai 2020

Un ministre et un maire italiens ont proposé la création d’un corps «d’assistants civiques», composé de 60.000 volontaires. Ces derniers seraient entre autres chargés de veiller au respect des règles du déconfinement. L’idée a suscité un tollé, ses opposants y voyant notamment une proposition dangereuse.

Dans le détail, ces «assistants civiques» seraient notamment chargés de veiller au respect des consignes des autorités par rapport au déconfinement.

«Dans cette nouvelle phase, ils facilitent le contrôle de l’accès aux parcs ou aux marchés, comptant le nombre de personnes qui entrent ou sortent, ou expliquent les règles d’accès aux plages quand elles rouvriront», a précisé Antonio Decaro dans un communiqué publié le 25 mai. sputniknews.com 27 mai 2020

Faites tomber les masques. Aux décérébrés, aux charlatans, aux imposteurs, aux manipulateurs qui ont réclamé le port du masque partout et soutenus le confinement.

- Jusqu’à quand les individus sains vont-ils porter un masque qui entrave leur respiration et qui les fait réavaler du gaz carbonique nocif, éjecté à l’expiration? Jusqu’à ce que la température monte à 30º Celsius, qu’ils s’évanouissent, respirent difficilement et se croient infectés de covid-19 ? Mondialisation.ca, 26 mai 2020

LVOG - En acceptant le confinement, vous avez renoncé volontairement à tous vos droits, toutes vos aspirations, à votre liberté. Partant de là, vous espérez quoi pour vous, vos enfants ou petits-enfants ? Si vous espérez vivre un jour dans un monde meilleur et plus juste en conservant le même mode de penser, vous vous faites de graves illusions, votre sort sera pire que tout ce que vous avez pu imaginer, dites-vous bien que vous en étiez encore qu'aux amuse-gueules et que ce qui vous attend est un cauchemar infernal. Stop ou encore, à vous de décider, vite, très vite.

Faites tomber les masques. Quand la gauche fait pire que la droite, elle devient d'extrême-centre.

LVOG - L'extrême-centre incarne le clan le plus à droite ou radical de l'oligarchie, son extrême droite, l'Etat profond.

- "Un crétin": Biden tacle Trump en plaçant le port du masque au coeur de sa campagne - AFP 27 mai 2020

- USA/Election: La confédération syndicale AFL-CIO soutient Biden - Reuters 27 mai 2020

L'AFL-CIO, plus grande confédération syndicale des Etats-Unis, a apporté mardi son soutien au démocrate Joe Biden en vue de l'élection présidentielle américaine du 3 novembre. Reuters 27 mai 2020

- Ségolène Royal supprime en douce ses tweets pro-chloroquine - LePoint.fr 27 mai 2020

Après la parution d'une nouvelle étude défavorable à la chloroquine, l'ex-ministre a subitement fait un ménage de printemps sur son compte Twitter. LePoint.fr 27 mai 2020

Coronabusiness.

- Coronavirus: La Commission européenne veut un budget de 1.100 milliards d'euros et un fonds de 750 milliards d'euros pour la relance - Reuters 27 mai 2020

Le plan de relance post-pandémie liée au coronavirus dévoilé mercredi par la Commission européenne propose de nouvelles taxes destinées à abonder un budget pluriannuel commun qui serait porté à 1.100 milliards d'euros sur sept ans, en complément d'un fonds de relance doté de 750 milliards d'euros.

Le projet de l'exécutif européen pour relancer une économie européenne malmenée par cette crise sanitaire mentionne la possibilité de mettre en place une nouvelle taxe sur le numérique, une taxe carbone sur les importations ainsi qu'une taxe sur les entreprises. Reuters 27 mai 2020

LVOG - Au total dans le monde ils doivent déjà approcher les 10.000 milliards de dollars, entre 2008 et 2020 les faux monnayeurs s'étaient distribués entre 25 et 30.000 milliards de dollars. Ils ne peuvent pas juguler la crise ou la faillite du capitalisme, à la limite ils sont prêts à l'accentuer pour en finir une bonne fois pour toute avec toute menace de changement de régime, sans prendre de risques inconsidérés sachant qu'en face il n'existe aucune force organisée capable de les concurrencer ou de les renverser. Jusqu'à quand ?

Si on doit se poser la question, il faut rester lucide et ne pas faire naître d'espoirs inconsidérés dans la tête des travailleurs ou des militants... Nos ennemis ne contrôlent pas seulement la situation, ils savent parfaitement à quoi s'en tenir sur l'état de nos forces, affaiblies comme jamais, divisées, disloquées, gangrenées par l'opportunisme ou le corporatisme, épuisées, démoralisées...

Confirmation. L'Organisation Mafieuse de la Santé est une officine de Big Pharma.

L’OMS, qui «a plusieurs fois mis en garde contre une pandémie», lance une fondation - sputniknews.com 27 mai 2020

Une nouvelle fondation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Fondation de l’OMS, sera créée pour attirer des fonds de la part de donateurs du monde entier...

Selon le directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus, la nouvelle Fondation de l’OMS permettra de lever davantage de fonds et de financer des programmes de santé malgré le fait que seuls 20% de son budget proviennent des contributions des États membres, «tandis que plus de 80% sont des contributions volontaires, qui sont généralement affectées à des programmes spécifiques». sputniknews.com 27 mai 2020

Parole de médecin. The Lancet = Industrie Pharmaceutique.

COVID-19: le côté obscur de la science révélé par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 26 mai 2020

Extrait. En novembre 2019, encore The Lancet publiait la tribune du docteur Patricia Garcia intitulée Corruption in global health: the open secret, PDF, dans laquelle l’auteure relevait :

« La corruption fait partie intégrante des systèmes de santé. Tout au long de ma vie de chercheuse, de spécialiste en santé publique et de ministre de la santé, j’ai pu constater que la malhonnêteté et la fraude étaient ancrées partout. Mais bien qu’elle soit l’un des principaux obstacles à la mise en place d’une couverture médicale universelle à travers le monde la corruption est rarement évoquée ouvertement. »

Nous retrouvons un discours similaire dans une autre grande revue médicale internationale, BMJ (British Medical Journal) :

Dr Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal :

- « La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité. »

- « La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. Je pense que c’est honteux. »

Revenons à l’HCQ (L’hydroxychloroquine) et à cette étude du LANCET de ce 22 mai.

Ont participé au financement de l’étude (page 9) :

« Abbott, Medtronic, Janssen, Mesoblast, Portola, Bayer, Baim Institute for Clinical Research, Nupulse CV, FineHeart, Leviticus, Roivant et Triple Gene« , c’est à dire des entreprises privées ayant intérêt à discréditer l’HCQ.

Participent au financement de la Harvard Médical School dont est issu l’auteur principal de l’étude :

La fondation Bill et Melinda Gates, la revoilà !
Mark Zuckerberg (Facebook)
Lakshmi N. Mittal (ArcelorMittal)
La fondation Rockefeller (faut-il encore la présenter ?) [14].

Tous impliqués dans des projets de vaccination contre le Covid 19, des projets à plusieurs milliards de dollars de bénéfice et, si l’on en croit certains milieux bien informés, un prétexte pour mettre en place une série de mesures inavouables (contrôle des populations, eugénisme, hold-up financier mondial) [15].

L’ensemble de ces informations est accessible dans l’étude elle-même et sur les sites de la Harvard Business School ou sur les sites des fondations évoquées plus haut. Mondialisation.ca, 26 mai 2020

- Un infectiologue marocain étrille l’étude de The Lancet critiquant la chloroquine - sputniknews.com 26 mai 2020

Un infectiologue marocain a révélé cinq limites d’un point de vue méthodologique et épistémologique de l’étude publiée par The Lancet sur l’efficacité de la chloroquine, remettant en cause ses conclusions, selon Médias 24. Il a présenté les résultats qu’il a lui-même obtenus avec ce protocole.

L’épidémiologiste et infectiologue marocain, le Pr Jaâfar Heikel, directeur général d’une clinique privée qui soigne dans le cadre d’un volontariat les malades atteints du Covid-19 à Casablanca, a réagi à l’étude publiée par The Lancet concernant l’efficacité du protocole basé sur l’hydroxychloroquine et l'azithromycine.

Dans une déclaration au site d’information Médias 24, le Pr Heikel a montré les limites de cette étude et par conséquent a remis en question sa valeur scientifique.

Le Maroc va ériger une base militaire à la frontière avec l’Algérie «Attention, il faut bien comprendre que ce n’est pas une étude clinique mais une analyse de registres [informatisés] de données de différents hôpitaux et pays. C’est évidemment une publication importante qu’il faut considérer pour ce qu’elle vaut ni plus ni moins», a-t-il indiqué, ajoutant que «si vous avez bien lu, ce n’est pas une étude ou un essai clinique mais l’analyse statistique de données de registres [informatisés]».

Dans le même sens, le spécialiste a affirmé qu’il «faut attendre la publication de la grande série mondiale, celle de Raoult et celles d’autres équipes de différents pays, basées vraiment sur la recherche clinique et thérapeutique et non pas sur l’analyse de données de dossiers informatisés».

Les problèmes de la méthodologie suivie

Pour étayer son analyse, le Pr Jaâfar Heikel a cité cinq limites, reconnues selon lui, même par les rédacteurs de l’étude publiée par The Lancet.

La première est le fait qu’«ils ne peuvent associer la mortalité au traitement car ils n’ont pas d’autres informations sur les morbidités cardiovasculaires ou certains facteurs de risques». Et d’expliquer qu’«en effet, lorsque certaines caractéristiques cliniques n’étaient pas informatisées [mais reportées] sur les registres [manuels], les auteurs ont considéré qu’elles étaient absentes chez le patient!» «Ceci est une hypothèse qui de facto biaise dans une certaine mesure l’analyse pronostic», a-t-il souligné.

Le Maroc emprunte près de 200 millions d’euros pour acheter des missiles sol-air à la France Selon lui, les rédacteurs de l’étude n’ont également pas «mesuré le segment QT [segment représentant la dépolarisation myocardique sur le tracé de l’électrocardiographe (ECG), ndlr]».

Par ailleurs, le Pr Heikel a rappelé que les patients retenus dans l’étude «sont de continents différents et avec des souches virales différentes (plusieurs variantes existent de virulence différente probablement, et en Afrique c’est encore plus vrai)».

Les deux dernières limites avancées par le spécialiste sont «les posologies et les durées de traitement différentes» et le fait que «plusieurs auteurs dont le principal reconnaissent être payés ou recevoir une rémunération ou des fonds par des laboratoires ou autres entreprises».

Les résultats obtenus au Maroc

Après l’Algérie, le Maroc encense l’efficacité de la chloroquine contre le Covid-19 Partant du principe que toute étude statistique a besoin d’un point de vue méthodologique et épistémologique d’être vérifiée par des faits et des essais cliniques avec des données de protocoles identiques (stade maladie, posologie et durée de traitement approprié), Jaâfar Heikel a expliqué que «cela voudrait dire que les millions de personnes [atteintes du] Covid-19 qui ont pris l’hydroxychloroquine ont guéri spontanément ou par autre chose».

Ainsi, en conclusion, le Pr Heikel a déclaré qu’«honnêtement, je ne peux parler que de mon expérience avec 3.200 patients dans la région de Casablanca en coordination avec la direction régionale de la Santé». «Nous avons 94,3% de guérison, 5,7% de cas graves dont 2,8% de létalité. Par ailleurs, [nous avons enregistré] 0,8% d’effets indésirables sérieux et 12% d’effets indésirables mineurs», a-t-il précisé. «Ça, ce sont des faits même si évidement nos patients sont en moyenne plus jeunes (45 ans) et que nous traitons tout cas positif qui a été dépisté même asymptomatique», a-t-il conclu. sputniknews.com 26 mai 2020

En complément

Vidéo. Corinne Reverbel -"L'étude reCoVery en cours va montre les effets positifs de l'hydroxychloroquine - 26 mai 2020

https://www.youtube.com/watch?v=EZhup-LgOlo

Dans quel monde vivons-nous ?

- Le prix Nobel de chimie Michael Levitt se demande « comment avons-nous pu être dupés à ce point ? » - covidinfos.net 6 mai 2020

Le professeur Michael Levitt, lauréat du prix Nobel de chimie et biophysicien de Stanford, affirme dans cette interview qu’il n’y a pas de preuve évidente que le Covid-19 provoque des pertes massives de vies humaines. Et que les personnes qui décèdent de cette maladie sont celles qui étaient de toute façon en danger de mort même sans le virus. Selon lui nous serions victimes d’une « panique du Covid-19 ». Extraits.

« …La grippe a été presque totalement absente l’hiver dernier et, d’une certaine manière, les décès de covid-19 compensent cette absence… Comme il n’y a pas eu de saison de grippe sérieuse cette année, beaucoup de personnes fragiles sont encore en vie et elles sont évidemment la première cible du coronavirus. »

« Il va être très intéressant de revenir sur ces six mois dans un an et nous nous demanderons probablement comment avons-nous pu être dupés à ce point. Parce qu’il y a eu beaucoup de reportages très très irresponsables, même dans des journaux dits de haute qualité comme le New York Times.[…] La question clé sera […] quel est le nombre total de décès dans le monde au cours de cette période ? Est-il sensiblement plus élevé que celui des années précédentes ? Je ne le sais pas, mais je ne serais pas surpris si l’excès était très très faible. »

« Il ne m’est pas évident qu’un confinement total soit nécessaire ou même souhaitable. On cause … d’énormes dommages psychologiques aux enfants… les crises de panique sont maintenant très fréquentes, … puis il y a bien sûr le coût économique. »

« Les estimations des [premières] modélisations étaient incroyablement fausses. Regardez ce qui s’est passé en Angleterre et aux États-Unis. Le groupe de modélisation de l’Imperial College a déclaré très clairement qu’il prévoyait 2 millions de décès aux États-Unis et 500 000 au Royaume-Uni. Quelques semaines plus tard, ils sont revenus sur ces chiffres: Oh non non non, nous voulions dire 20 000. [Donc] chaque année, pendant la saison de la grippe, on va devoir mettre la société en confinement. … Pensez-vous que ce soit une bonne idée ? »

https://covidinfos.net/covid19/le-prix-nobel-de-chimie-michael-levitt-se-demande-comment-avons-nous-pu-etre-dupes-a-ce-point/787/

- « Le problème que nous avons, c’est la peur, nous devons mettre fin à la psychologie de la peur » selon le Pr. Sikora - covidinfos.net 25 mai 2020

Le professeur Sikora est un médecin britannique spécialisé en oncologie, notamment doyen et professeur de médecine à l’Université de Buckingham, il affirme dans cette interview que même sans le virus « beaucoup de gens qui sont morts, tristement, seraient morts exactement au même moment » et que même sans confinement « les résultats définitifs en Suède ne seront pas différents des nôtres ». Extraits et vidéo.

« Il n’y a pas de doute, la situation s’améliore partout dans le monde. L’Europe se ré-ouvre maintenant. L’Autriche, le premier pays à avoir réouvert le 14 Avril, n’a pas connu de deuxième vague, pas d’augmentation de cas […] pas de problèmes. Les restaurants et cafés commencent à ré-ouvrir littéralement aujourd’hui. »

« De mon point de vue, nous devons mettre un terme à la pandémie, et nous devons mettre fin à la psychologie de la peur que nous avons construit durant cette pandémie. »

« […] le problème que nous avons, c’est la peur, la peur de ce qui pourrait arriver, la peur de protéger le système de santé, une peur qui pourrait en fait faire plus de victimes, parce que les gens dans ma spécialité, le cancer, ne viennent plus. Les patients atteints du cancer ont disparu depuis Avril, et il semble qu’ils ne reviendront pas en Mai. Il faut les faire revenir. »

« Mon opinion est que le virus commence à fatiguer, soit qu’il change, soit que nous avons changé, où c’est une combinaison entre le virus qui se fatigue et une immunité de groupe qui s’annonce »

« Ce que l’on peut voir, c’est que partout dans le monde, si l’on regarde les pics et les courbes épidémiques, elles s’effondrent toutes plus ou moins au même moment après que tout ait commencé… »

« Les preuves au sujet [de l'utilité] des masques sont justes inexistantes, dans un sens comme dans l’autre […]. Je pense que c’est une décision individuelle. »

Dans une interview à The Morning sur la chaîne britannique ITV, il a également ajouté la chose suivante :

« Pour les patients atteints du cancer, le calcul est simple. Si nous devons attendre jusqu’à Septembre pour commencer à traiter à nouveau les patients atteints du cancer, à peu près 50,000 mourront de leur cancer, ce qui est plus que ceux ayant malheureusement perdu la vie jusqu’à maintenant à cause de la pandémie. » covidinfos.net 25 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/le-probleme-que-nous-avons-cest-la-peur-nous-devons-mettre-fin-a-la-psychologie-de-la-peur-selon-le-pr-sikora/1133/

Sources : Interview ‘Lockdown TV’ :

https://www.youtube.com/watch?v=uk2YZfnsOPg

https://www.youtube.com/watch?v=EQ-ATT_Cd6M

- « Stoppez la Panique » – Cinq faits-clés sur le Covid-19 par le Dr. Scott Atlas - covidinfos.net 21 mai 2020

Scott W. Atlas, médecin, est chercheur principal à l’Institut Hoover de l’Université Stanford et ex-neuroradiologiste en chef au Centre médical de l’Université Stanford. L’article originellement publié en anglais a été partagé plus d’un million de fois, voici sa version française intégrale, traduite par l’IEDM :

Nous avons les données – Stoppez la panique et mettez un terme aux confinements !

On semble commencer à endiguer graduellement la tragique pandémie de COVID-19. Des dizaines de milliers d’Américains sont décédés et nos concitoyens ont besoin de décideurs politiques raisonnables qui auront le courage d’ignorer la panique et de s’appuyer sur les faits. Les leaders doivent examiner les données accumulées pour voir ce qui est réellement arrivé – plutôt que des projections hypothétiques –, combiner ces preuves empiriques avec les principes fondamentaux de la biologie établis depuis des décennies et, ensuite, remettre judicieusement le pays en marche. Cinq faits clés sont actuellement ignorés par ceux qui réclament le maintien d’un confinement quasi total.

Fait 1 : Une écrasante majorité de la population ne court aucun risque important de mourir de la COVID-19

Selon la récente étude sur les anticorps qu’a menée l’université Stanford, on estime actuellement que le taux de létalité en cas d’infection est probablement de 0,1 à 0,2 pour cent, un risque nettement plus bas que les estimations antérieures de l’Organisation mondiale de la Santé qui étaient 20 à 30 fois plus élevées et avaient motivé les politiques d’isolement. À New York, un épicentre de la pandémie qui dénombre plus du tiers de tous les décès aux États-Unis, le taux de mortalité chez les gens âgés de 18 à 45 ans est de 0,01 pour cent ou de 10 par 100 000 personnes. Par contre, les gens âgés de 75 ans ou plus présentent un taux de mortalité 80 fois plus élevé. Pour les moins de 18 ans, ce taux est de 0 par 100 000 personnes. Parmi toutes les personnes décédées dans l’État de New York, les deux tiers étaient des patients de plus de 70 ans; plus de 95 pour cent avaient plus de 50 ans et environ 90 pour cent de tous les défunts souffraient d’une maladie sous-jacente. Parmi les 6570 cas confirmés de décès lié à la COVID-19 sur lesquels on a mené jusqu’à ce jour une enquête complète visant les maladies sous-jacentes, 6520, soit 99,2 pour cent, présentaient une telle maladie. Si vous ne souffrez pas déjà d’une maladie chronique sous-jacente, vous courez un faible risque de mourir, peu importe votre âge. De plus, les jeunes adultes et enfants jouissant d’une santé normale ne courent presque aucun risque de contracter quelque maladie grave en raison de la COVID-19.

Fait 2 : Protéger les gens plus âgés, vulnérables, évite le surpeuplement des hôpitaux.

Nous pouvons tirer des enseignements sur l’utilisation des hôpitaux en examinant les données de la ville de New York, le point chaud de la COVID-19, où plus de 34 600 personnes ont été hospitalisées jusqu’à maintenant. Chez les moins de 18 ans, le taux d’hospitalisation lié au virus est de 0,01 pour cent, soit 11 par 100 000 personnes; chez les 18 à 44 ans, il est de 0,1 pour cent. Même chez les gens âgés de 65 à 74 ans,il y a eu hospitalisation dans seulement 1,7 pour cent des cas. Au sujet des 4103 patients qui ont reçu un diagnostic confirmé de COVID-19 et présentaient des symptômes suffisamment sérieux pour demander des soins médicaux, la Dre Leora Horwitz, du Centre médical de NYU, a conclu que « l’âge est de loin le plus fort facteur de risque en matière d’hospitalisation ». Même les premiers rapports de l’OMS signalaient que 80 pour cent de tous les cas étaient bénins, et des études plus récentes indiquent un taux d’infection nettement plus généralisé et un plus faible taux de maladie grave. La moitié des personnes ayant subi un test d’infection qui s’est révélé positif n’éprouvent pas le moindre symptôme. En grande majorité, les personnes plus jeunes et autrement en bonne santé ne nécessitent pas de soins médicaux substantiels.

Fait 3 : Les politiques d’isolement total empêchent le développement d’une immunité collective – un facteur crucial –, ce qui prolonge le problème.

Des décennies de science médicale nous ont appris qu’une infection permet aux gens de développer une réponse immunitaire, de sorte que l’infection est contrôlée dans l’ensemble de la population par une « immunité de groupe ». L’immunisation de la population est le véritable objectif pour les autres infections virales. Dans le cas présent nous savons que les soins médicaux ne sont même pas requis pour la vaste majorité des personnes infectées. Le virus est si faible que la moitié des personnes infectées sont asymptomatiques, comme l’ont démontré les données initiales du navire Diamond Princess et, ensuite, celles d’Islande et d’Italie. On a faussement décrit ce virus comme un problème nécessitant un isolement collectif. Concrètement, les personnes infectées exemptes de maladie grave sont les vecteurs immédiatement disponibles pour l’établissement d’une immunité généralisée. En transmettant le virus à d’autres membres du groupe à faible risque qui développeront des anticorps, ces personnes bloquent les voies d’accès menant aux gens les plus vulnérables, ce qui, en définitive, mettra fin à la menace. En étendant l’isolement de la population générale, on empêcherait le développement de cette immunité de masse.

Fait 4 : Des gens meurent parce que d’autres soins médicaux ne sont pas prodigués

Des soins de santé essentiels destinés à des millions d’Américains sont actuellement mis de côté et des gens meurent afin d’aider des patients « potentiels » et d’endiguer la propagation. La plupart des États et de nombreux hôpitaux ont suspendu des actes médicaux et chirurgies « non essentiels ». Cela empêche le diagnostic de maladies mortelles, comme les cancers, des biopsies de tumeurs non découvertes et des anévrismes cérébraux. Des traitements, notamment des soins d’urgence, pour les maladies les plus graves ont aussi été annulés. Des patients atteints du cancer ont retardé leur chimiothérapie. On estime que 80 pour cent des chirurgies du cerveau ont été laissées en plan. Des patients ayant subi un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque aigus ont perdu la chance d’être traités, certains en meurent et beaucoup risquent une invalidité permanente.

Fait 5 : Nous sommes en présence d’une population à risque clairement définie qui peut être protégée par des mesures ciblées.

Des preuves accablantes provenant du monde entier démontrent uniformément qu’un groupe clairement défini — les gens plus âgés et ceux souffrant de maladies sous-jacentes — court un plus grand risque d’être hospitalisé et de mourir de la COVID-19. Un objectif atteignable consiste à cibler ce groupe par une politique d’isolement et à contrôler les personnes qui interagissent avec lui. Les résidents des centres d’hébergement, les plus à risque, devraient être les plus simples à protéger systématiquement contre les personnes infectées, puisqu’ils vivent déjà dans des espaces confinés. Les fondements de la biologie et les preuves dont nous disposons déjà militent pour une stratégie plus ciblée : protéger les gens qu’on sait vulnérables, demander aux personnes légèrement malades de s’isoler et ouvrir la plupart des lieux de travail et des petites entreprises en prenant certaines précautions pour les groupes plus nombreux15. On permettrait ainsi les relations sociales essentielles au développement d’une immunité chez ceux qui courent un risque minimal de conséquences graves tout en sauvant des vies, en évitant le surpeuplement des hôpitaux et en limitant les dommages qui s’accumulent lors d’un isolement total. Cessons d’occulter les preuves empiriques pour tout miser sur des modèles hypothétiques. Les faits ont toute leur importance. covidinfos.net 21 mai 2020

Source, traduction et références : IEDM

https://www.iedm.org/wp-content/uploads/2020/05/lepoint092020_fr.pdf

Article original :

The data is in — stop the panic and end the total isolation

https://thehill.com/opinion/healthcare/494034-the-data-are-in-stop-the-panic-and-end-the-total-isolation

- « Comment se fait-il qu’on cherche à empêcher des médecins de soigner leurs patients comme ils l’entendent ? » - alternativesante.fr 20 mai 2020

Le sociologue Laurent Mucchielli mène sa propre enquête depuis fin mars sur la gestion française de la crise du Covid-19. Alors que l’application StopCovid doit être débattue à l’Assemblée nationale le 27 mai, et que les autorités sont de plus en plus critiquées, nous avons interrogé cet expert des questions de sécurité directeur de recherches au CNRS (Laboratoire méditerranéen de sociologie, Aix-Marseille Université). Entretien sans détour avec Laurent Mucchielli, qui nous livre ses premières investigations.

Quels sont d'après vous les risques pour la liberté individuelle ou la vie privée qu’entraînerait StopCovid, ce système de traçage des contacts des personnes contaminées par le virus ? Cette application peut-elle amener des bénéfices sanitaires réels dans la lutte contre le virus ?

LM : Dans mon travail de recherche sur la vidéosurveillance, j’avais déjà documenté ce phénomène de crédulité vis-à-vis des technologies. Notre époque contemporaine vit dans un mythe technologique, la croyance que les technologies révolutionnent tout et améliorent fondamentalement nos vies. Cette crédulité est alimentée d’un côté par le marketing des industriels qui produisent ces technologies, et de l’autre par des responsables politiques qui promettent aux électeurs : « C’est formidable, vous serez ainsi mieux protégés, c’est pour votre bien ».

Mais lorsqu’on analyse la réalité, que l’on cherche à évaluer réellement le bénéfice de ces technologies, on s’aperçoit qu’il est minime, et que ce n’est pas rentable pour les finances publiques. On comprend aussi que ce système nous aveugle sur d’autres façons de gérer les problèmes de société qui rendraient plus actifs les citoyens, en recréant de la solidarité entre eux plutôt qu’en les maintenant dans une position de passivité, d’isolement et de peur, avec une technologie qui réglerait nos problèmes humains et sociaux à notre place. L’application StopCovid est caractéristique de cette déresponsabilisation.

Ces technologies sont par ailleurs très intrusives, elles menacent notre vie privée, elles infantilisent et déresponsabilisent l’individu. Alors que l’idéal démocratique me semble au contraire de chercher la progression en termes d’autonomie et de liberté sur la base d’une certaine confiance qu’on accorde fondamentalement à l’individu.

L’application StopCovid sera(it) installée sur la base du volontariat selon les autorités : que penser de cette notion de liberté de choix alors que la peur et les appels bruyants au civisme ont été omniprésents, et la crise sanitaire gérée de manière si verticale ?

Pour que ces outils puissent fonctionner dans un cadre démocratique, il faudrait que nous soyons dans une situation sociale et politique différente. On peut comparer la situation de la France avec celle de la Corée du Sud qui a déployé un « tracking » technologique du Covid. En Corée, il existe un large consensus dans la société autour de la stratégie politico-sanitaire, avec une agence gouvernementale crédible et respectée qui pilote la crise. La situation est très différente en France où nous constatons, au contraire, la défiance d’une majorité de la population à l’égard du gouvernement et des institutions, comme le montrent les enquêtes d’opinion. Dans un tel contexte, il est difficile d’imaginer le succès d’une application, telle que StopCovid, qui demanderait une adhésion massive de la population pour fonctionner efficacement.

Vous avez commencé à mener une enquête sociologique sur la gestion française de ce coronavirus. Qu’est-ce qui l’a motivée et quels sont vos champs d’investigation ?

J’ai commencé, en effet, à la fin du mois de mars, une « enquête en temps de crise ». Je travaille beaucoup mais dans des délais courts et dans un domaine que je ne connaissais pas beaucoup avant la crise, en assumant donc des risques d’erreur ou d’incomplétude. Je les réduis cependant grâce à la constitution informelle d’une petite équipe qui permet de partager les informations et de contrôler collectivement notre production éditoriale. Au départ, deux événements m’ont interpellé : d'une part la manière dont est née et a été nourrie la « polémique Raoult » et d'autre part les décrets du 25-26 mars 2020, qui restreignaient la liberté de prescrire des médecins de ville, laissant comme seule alternative aux malades de prendre du paracétamol en attendant que ça passe, ou d’appeler le 15 pour être hospitalisé en cas d’aggravation. Il me semblait que c’était intellectuellement irrationnel et moralement condamnable.

Ce qui m'a frappé concernant la polémique Raoult, c'est à quel point les débats se sont très vite cristallisés autour de sa personnalité. Les élites intellectuelles et les médias, parisiens essentiellement, se sont fixés à ce que j’appelle le stade « people » et qui me paraissait superficiel. Certes, l’homme est narcissique, il se considère le meilleur et ne se prive pas de le dire. Et on peut critiquer sa communication avec une certaine façon de se mettre en scène. Mais ça ne nous dit rien sur le bien-fondé ou non de son propos. Et puis Raoult n’est pas n’importe qui en virologie, c’est un des meilleurs spécialistes du monde ! Ensuite, dans sa volonté de rassurer et d’éviter la panique, il a sous-estimé l’ampleur de l’épidémie au début (« moins de morts que par accidents de trottinette »), mais il est très loin d’être le seul. Tout cela a masqué le fond, à savoir le fait que Raoult a adopté la posture fondamentale du médecin qui dit : il y a un nouveau virus, je dépiste les gens, j’isole les personnes infectées, je teste des traitements in vitro puis in vivo, je soigne et je suis mes patients. C’est évidemment ce qu’il fallait faire. Et on lui répond : « Tais-toi ! ». Je trouve ça délirant.

Qu’est-ce qui s’est joué à votre sens dans cette personnalisation à outrance et cette polarisation ?

Pour comprendre l’erreur des élites intellectuelles et des journalistes, je pense que deux choses ont joué un rôle déterminant. D’abord, il se joue un peu la même chose que ce que j’avais observé au début de la crise des gilets jaunes ; il y a une sorte de mépris de classe, un mépris élitiste, intellectuel, envers le succès populaire de Raoult : « Ces gens ne savent pas, ils suivent bêtement un “gourou” qui aurait un “remède miracle” ». Alors que la plupart des gens ne sont ni idiots ni complotistes. Je crois au contraire qu’ils ont juste du bon sens et qu’ils ont compris la posture fondamentale de médecin dont je parlais. Ces expressions « gourou » et « remède miracle » sont des inventions de journalistes qui disent bien le sentiment de supériorité intellectuelle d’une certaine élite croyant devoir éclairer la stupide populace.

Ensuite, il y a eu une politisation simpliste. Raoult a été catalogué « homme de droite » du fait des soutiens politiques qu’il a reçus dans la région Sud, surtout dans les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes. Mais c’est un débat qui n’a pas lieu d’être ici. Lorsque je vais voir un médecin, c’est que je l’estime compétent pour me soigner, je ne me demande pas quelles sont ses opinions politiques. Cette politisation a constitué une autre erreur majeure d’une grande partie des élites parisiennes.

Vous dites avoir déclenché votre enquête suite aux décrets du gouvernement du 25-26 mars dernier, limitant fortement, pour les médecins de ville, la possibilité de prescrire à leurs patients de l'hydroxychloroquine. Plus récemment, certains se sont vus rappelés à l’ordre pour la prescription d’autres médicaments à leurs patients. Qu’est-ce que ça vous inspire ?

Ce décret m’a effectivement choqué et surtout fait réfléchir. Comment se fait-il qu’on cherche à empêcher les médecins de base de soigner leurs patients comme ils l’entendent ? Certes, il est normal et même souhaitable que les autorités politiques et sanitaires d’un pays donnent des directives générales de santé publique, des Medical guidelines. Et il est normal et souhaitable qu’elles coordonnent et harmonisent la prise en charge hospitalière. Mais voilà que, en France, elles ont aussi décidé en pleine crise de ne pas s’appuyer sur les quelque 130 000 médecins libéraux (dont 100 000 généralistes), alors que pour la plupart des citoyens le médecin de famille est le premier référent. C’est une situation quasiment unique dans le monde. Se priver de ces personnes est incompréhensible en terme stratégique. De plus, c’est totalement infantilisant pour les médecins. Enfin, ce n’est pas rationnel. On ne peut pas dire qu’il y a une incertitude sur l’efficacité des traitements possibles, qu’on lance des études statistiques pour en savoir plus, et en même temps interdire aux médecins de base d’utiliser les médicaments disponibles pour soigner les malades qui se présentent à eux dans l’immédiat. Outre le problème éthique (comment décider de ne rien faire face à un malade qui est devant vous, sous prétexte que la science n’a pas encore livré ses calculs définitifs ?), l’attitude logique de quelqu’un qui ne sait pas est de ne fermer aucune porte, de se dire que toutes les idées sont bonnes à prendre et qu’on va chercher tous ensemble. Les médecins libéraux ont bien compris tout ça d’ailleurs. L’action du collectif « Laissons les médecins prescrire » est très révélatrice. Et leur pétition a eu un grand succès auprès des personnels soignants.

Comment comprendre donc ces décisions du ministère de la Santé ? Je ne vois que deux explications possibles : soit c’est de l’incompétence/panique de la part des instances politico-sanitaires, soit elles voulaient empêcher les médecins d’utiliser le protocole Raoult. Les deux pouvant se cumuler.

Vous avez constitué une équipe de recherche, quels sont vos premiers chantiers d'investigation ?

J’ai commencé mon enquête avec une ancienne journaliste, amie de longue date que je considère un peu comme une lanceuse d’alerte. Nous avons profité d’un petit lieu de publication : mon blog de Mediapart . Et si la parution de notre premier article le 29 mars nous a valu un torrent d’insultes de la part des élites intellectuelles et journalistiques, elle nous a aussi rapporté des soutiens immédiats de la part de personnes qui se posaient les mêmes questions que nous. J’ai ainsi pu former rapidement une petite équipe comprenant, outre la journaliste et moi, quatre médecins, un anthropologue, un économiste et un géophysicien. Et nous avons travaillé sur les enjeux qui se profilent derrière cette polémique Raoult.

Le premier est celui de l’industrie pharmaceutique et des enjeux financiers qui se cachent derrière les médicaments. C’est un problème dont je parlais déjà longuement dans mon manuel universitaire Sociologie de la délinquance (Armand Colin, 2018). Comme dans l’industrie agro-alimentaire, dans l’agriculture, dans la construction automobile et bien d’autres secteurs encore, les enjeux financiers sont très présents dans la santé publique. Très vite nous avons compris que la plupart des médecins qui cherchaient à balayer les propositions du Dr Raoult, et que l’on voyait beaucoup dans les médias, avaient en réalité de forts liens d'intérêt avec le laboratoire pharmaceutique américain Gilead qui cherche à imposer un médicament très onéreux dont il détient le brevet : le Remdesivir. S’il y parvient, ce sera le « jackpot » financier. Et si certains ont la mémoire courte, d’autres se souviendront du fait que Gilead a déjà fait le coup il y a quelques années dans la lutte contre l’hépatite C*.

Au vu de vos premières recherches, comment cette crise vient-elle éclairer les tensions entre santé publique et intérêt industriel des laboratoires pharmaceutiques ? Et comment cette histoire va-t-elle se terminer selon vous ?

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la santé ne fonctionne hélas pas différemment des autres domaines de la vie économique et sociale. Les grands laboratoires pharmaceutiques privés ne sont pas de simples partenaires des États qui fabriqueraient des médicaments et les proposeraient sur un marché public. Ce sont des multinationales hyperpuissantes, cotées en Bourse qui, pour conquérir des parts de marché et faire un maximum de profits pour leurs dirigeants et leurs actionnaires, mettent en œuvre des stratégies industrielles globales avec non seulement de la propagande commerciale mais aussi du trafic d’influence à destination des agences sanitaires et des médecins pour favoriser la prescription de leurs produits et, si possible, se construire des monopoles. Je crains que cette réalité n’ait joué un rôle majeur dans la question du traitement médical du Covid, rôle qui n’est peut-être pas terminé d’ailleurs, puisqu’il risque de se prolonger à travers la question du vaccin.

Mon rôle, et j’y tiens beaucoup, est celui d’un chercheur-citoyen. Je me suis posé des questions, j’ai eu des doutes, j’ai fait un travail de recherche dans l’urgence qu’imposait la situation (les gens mourraient !). Une partie de mes confrères et la totalité des journalistes « mainstream » (y compris la rédaction de Mediapart d’ailleurs) ont traduit « il soutient Raoult », ce qui est une interprétation ras-du-plancher. L’avenir dira si j’ai vu juste ou pas, ou en partie. Ce que j’espère surtout c’est que les journalistes se réveilleront, et que les parlementaires joueront enfin leur rôle à travers une grande commission d’enquête. Nos démocraties sont en crise. C’est peut-être une occasion de se ressaisir un peu.

* NDLR : le sofosbuvir vendu 43 000 euros pour 12 semaines de traitement. Voir par exemple le bras de fer qui les a opposés à l'association Médecins du monde. alternativesante.fr 20 mai 2020

La foire aux cadavres !

- Décès dus au Covid-19 : le nombre officiel de morts en France est-il surestimé ? - covidinfos.net 27 avril 2020

En France comme dans de nombreux pays se pose la question des morts attribuées au Covid-19. On sait notamment qu’en Italie on ne fait pas de différence entre « les personnes mortes DU virus et celles mortes AVEC le virus », on sait qu’en Allemagne le président de l’institut Robert Koch a confirmé que le pays comptait « toute personne décédée testée positive au coronavirus comme une victime du Covid-19, que le virus soit responsable ou non de la mort. » Et c’est le cas dans beaucoup d’autres pays.

Qu’en est-il dans l’hexagone ?

Les morts en EHPAD

Concernant les morts en EHPAD et autres structures équivalentes voici ce que l’on trouve sur le rapport du « Point épidémiologique hebdomadaire national » de L’INSEE du 23 avril. Ce tableau vaut pour la période du 1er mars au 20 avril 2020 :

On notera que la majorité des cas sont des « cas possibles » et par ailleurs que d’après le tableau aucun décès n’a été à déplorer dans le personnel des instituts concernés, malgré 31907 « cas » cumulés.

Quelle est la différence entre un « cas possible » et un « cas confirmé » ?

– Cas confirmé COVID-19 : « toute personne, symptomatique ou non, avec un prélèvement confirmant l’infection par le SARS-CoV-2 parmi les personnes résidentes ou les membres de personnel d’un EMS/EHPA. » Traduction : toute personne qu’elle soit malade (symptomatique) ou non est considérée comme un cas confirmé à partir du moment où un membre du personnel ou un résident a été testé positif au Covid-19. Autrement dit, un cas testé positif dans une résidence transforme immédiatement l’ensemble des personnes de la résidence en « cas confirmés », qui seront donc comptabilisés dans les statistiques du COVID-19.

– Cas possible COVID-19 : « fièvre (ou sensation de fièvre) avec des signes respiratoires (comme la toux, un essoufflement ou une sensation d’oppression thoracique) OU autre tableau clinique compatible avec le COVID-19 selon le médecin, parmi les personnes résidentes ou les membres de personnel d’un EMS/EHPA. » Traduction : toute personne résidant dans une structure type EHPAD dans laquelle « des résidents » ou « des membres de personnel » présentent des signes pouvant laisser supposer un cas de COVID-19 est considérée comme « cas possible ». Autrement dit, si un résident (ou un employé) tousse, tous les occupants de la résidence deviennent des « cas possibles », et sont comptabilisés dans les statistiques du COVID-19.

Population générale : les patients sont-ils tous testés ?

Réponse en page 6 du rapport :

« Les patients présentant des signes de COVID-19 ne sont plus systématiquement confirmés par un test biologique. Selon les recommandations ministérielles du 13 mars 2020, la réalisation de prélèvements a` visée diagnostique n’est recommandée que pour certains patients et il convient notamment de tenir compte des comorbidités, de la profession (professionnels de santé) et du tableau clinique. »

Traduction : depuis le 13 mars, tous les cas de « COVID-19 » n’ont pas besoin d’être confirmés par un test virologique ce qui implique que n’importe quelle maladie avec des symptômes comparables (grippe principalement, mais aussi divers maux d’hiver) peut être inclue dans ce décompte.

Autres éléments intéressants dans ce même rapport :

Voici ce qu’on y lit à la page 7 :

« A noter que la mise en place d’un processus de qualité en lien avec les ARS et les cellules régionales (vérification et validation des données et amélioration de la qualité de la saisie dans les établissements) a mis en évidence une sur-déclaration et surestimation des cas cumulés chez les résidents et le personnel depuis le début de la mise en place de la surveillance. Ces ajustements ont été réalisés le 20 avril 2020. »

Et à la page 23 : « Un excès de la mortalité toutes causes est observe´ au niveau national et est particulièrement marque´ depuis la semaine 13 dans les régions Grand Est et Ile-de-France. La part de la mortalité attribuable a` l’épidémie de COVID-19 reste cependant à déterminer. » Est-ce que l’INSEE cherche à prouver une surmortalité ?

Interrogé par Libération, voici ce que Patrick Guérin, épidémiologiste et président d’Open Health Company, l’organisme qui coordonne la surveillance mondiale de la grippe a dit : «Il faut noter l’effort de transparence de l’Insee mais qui semble vouloir chercher la démonstration d’une forte surmortalité. Le choix est fait de comparer les données à mars 2019, où la mortalité était faible, alors que, par exemple, en janvier 2017, le nombre mensuel total de morts toutes causes confondues a été de 68 816 personnes. Un chiffre énorme qui s’explique par un virulent épisode grippal. De même, l’augmentation de la population qui implique une hausse des décès n’est pas prise en compte pour relativiser ces chiffres »

L’article explique également : « Avant le 31 mars, les établissements de santé ne pouvaient déclarer un cas comme lié au coronavirus que s’il avait été prouvé par un test biologique. Depuis, ils le peuvent aussi si avec pour seule preuve «un scanner thoracique évoquant un diagnostic Covid-19», d’après Santé publique France. Avec le risque d’intégrer d’autres infections respiratoires dans ces chiffres. » covidinfos.net 27 avril 2020

https://covidinfos.net/covid19/deces-dus-au-covid-19-le-nombre-officiel-de-morts-en-france-est-il-surestime/502/

Sources :

Libération : « Covid-19 : que disent les nouveaux chiffres de décès de l’Insee ? » du 10 avril 2020 par Aude Massiot

https://www.liberation.fr/france/2020/04/10/covid-19-que-disent-les-nouveaux-chiffres-de-deces-de-l-insee_1784845

SantePubliqueFrance.fr : Point épidémiologique hebdomadaire du 23 avril 2020

https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/04/COVID19_PE_20200423.pdf

- « Le chiffre de la mortalité due au coronavirus est un faux chiffre » selon le Dr. Lass - covidinfos.net 25 mai 2020

Interviewé par le site Spiked, Yoram Lass, médecin, chercheur, et ancien directeur général du ministère de la Santé Israélien dénonce « le lavage de cerveau de populations entières » et une « hystérie monumentale. » Extraits.

« C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne d’une autre épidémie – le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné le lavage de cerveau de populations entières. Les résultats sont la peur et l’anxiété, et une incapacité à regarder les données réelles. Et donc, vous avez tous les ingrédients pour une hystérie monumentale.[…] »

« Ce n’est rien de plus qu’une épidémie de grippe si l’on se penche sur les chiffres et les données, mais les personnes qui sont dans un état d’anxiété sont aveugles. Si c’était moi qui prenais les décisions, j’essaierais de donner aux gens les vrais chiffres. Et je ne détruirais jamais mon pays.[…] »

« Le chiffre de la mortalité due au coronavirus est un faux chiffre. La plupart des gens ne meurent pas du coronavirus. Ceux qui enregistrent les décès changent simplement la cause du décès. Si les patients sont morts de leucémie, de cancer métastatique, de maladie cardiovasculaire ou de démence, ils inscrivent coronavirus. De plus, le nombre de personnes infectées est faux, car il dépend du nombre de tests. Plus vous faites de tests, plus vous avez de personnes infectées.[…] »

« Si vous regardez la courbe du coronavirus sur un graphique, vous verrez qu’elle ressemble à un pic. Le coronavirus arrive très vite, mais il s’en va aussi très vite. La courbe de la grippe est superficielle car elle met trois mois à passer, mais le coronavirus met un mois. Si vous comptez le nombre de personnes qui meurent en termes de surmortalité vous verrez que pendant la saison du coronavirus, nous avons eu une surmortalité qui est environ 15 % plus importante que l’épidémie de grippe ordinaire de 2017.[…] »

« Par rapport à cette augmentation, les mesures draconiennes sont de proportions bibliques. Des centaines de millions de personnes souffrent. Dans les pays en développement, beaucoup mourront de faim. Dans les pays développés, beaucoup mourront du chômage. Le chômage, c’est la mortalité. Plus de personnes mourront à cause de ces mesures que du virus.[…] »

« N’importe quel expert raisonnable […] vous dira que le confinement ne peut pas changer le nombre final de personnes infectées. Il ne peut que modifier le taux d’infection. Et certains affirment qu’en modifiant le taux d’infection et en « aplanissant la courbe », nous avons évité l’effondrement des hôpitaux. […] Mais regardez la Suède. Pas de confinement et pas d’effondrement des hôpitaux. L’argument en faveur du confinement s’effondre.[…] »

« Si vous regardez les chiffres, en 2017, 25 000 Italiens sont morts de complications liées à la grippe. Aujourd’hui, environ 30 000 personnes y sont mortes du coronavirus. C’est donc un chiffre comparable. Vous ne devriez pas ruiner un pays pour des chiffres comparables.[…] » covidinfos.net 25 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/le-chiffre-de-la-mortalite-due-au-coronavirus-est-un-faux-chiffre-selon-le-dr-lass/1151/

Source :

– Spiked.com : ‘Nothing can justify this destruction of people’s lives’

https://www.spiked-online.com/2020/05/22/nothing-can-justify-this-destruction-of-peoples-lives/

- LeMonde.fr reconnaît qu’il est « impossible d’établir avec précision le nombre de victimes du Covid-19 » covidinfos.net 2 mai 2020

Dans un article daté du 2 mai, le site internet du « quotidien de référence » reconnaît qu’« il est aujourd’hui impossible d’établir avec précision le nombre de victimes du Covid-19 en France. »

Et l’article d’expliquer « précisément » : « Soyons clairs : il est aujourd’hui impossible d’établir avec précision le nombre de victimes du Covid-19 en France. Les chiffres en temps réel avancés çà et là sont tantôt des hypothèses qui risquent d’être infirmées une fois l’épidémie achevée, tantôt l’addition de décès attribués avec certitude ou presque au virus, mais qui omet des milliers de cas. »

Alors « soyons clairs » : la citation ci-dessus ne l’est pas du tout « claire ». Et on est par ailleurs en droit de s’interroger sur ce qu’est une « certitude ou presque ». À priori, par définition, une « presque » certitude n’est justement pas une certitude. Est-ce que les « décès attribués avec certitude ou presque au virus », sont des personnes qui sont « presque mortes » du virus, ou des personnes qui sont mortes du « presque virus » ?

Quoiqu’il en soit, à lire l’article, on pourrait déduire que l’apocalyptique nombre de morts que l’on nous sert chaque jour depuis des semaines ne repose sur aucun calcul sérieux, voire qu’il ne correspond à aucune réalité, quelle qu’elle soit.

On appréciera enfin l’utilisation de l’expression « chiffres avancés ça et là » dont on pourrait se demander si elle révèle une forme subtile et salutaire d’auto-critique de la part des journalistes du « fameux » journal.

Vous êtes confus ?

C’est normal.

https://covidinfos.net/covid19/lemonde-fr-reconnait-quil-est-impossible-detablir-avec-precision-le-nombre-de-victimes-du-covid-19/648/

Lire l’article : LeMonde.fr

https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/05/02/coronavirus-en-france-avoir-un-bilan-final-prendra-plusieurs-mois_6038434_3244.html

- Un médecin et sénateur américain révèle avoir été poussé à déclarer mortes du Covid-19 des personnes non testées - covidinfos.net 10 avril 2020

Le docteur et sénateur de l’état du Minnesota Scott Jensen a affirmé dans une interview télévisée le 07 avril 2020 avoir reçu des directives du ministère de la santé américain l’enjoignant à indiquer les décès comme étant causé par le virus Covid-19 que le patient décédé ait été testé positif ou non, et donc que la présence du virus soit avérée ou non.

L’objectif étant que tous les décès liés à « des pneumonies et maladies de type grippal soient enregistrés comme des cas de Covid-19 qu’il y ait eu un test ou non ».

Interrogé sur le pourquoi de ces directives qu’il a par ailleurs qualifié de « ridicules », le Dr Scott Jensen a répondu :« Eh bien, la peur est un moyen formidable de contrôler les gens, et cela m’inquiète. Je suis inquiet parce que s’ils sont suffisamment effrayés la capacité des gens à penser par eux-mêmes peut être paralysée …» covidinfos.net 10 avril 2020

Sources :

https://www.powerlineblog.com/archives/2020/04/how-honest-is-the-covid-fatality-count.php

https://off-guardian.org/2020/04/10/watch-dr-scott-jensen-reveals-ridiculous-covid19-guidance/

https://www.youtube.com/watch?v=lsRay1wInBg

A bas le port du masque !

- « Rendre le port du masque obligatoire serait la mesure de trop » pour Laurence Simon - covidinfos.net 25 mai 2020

Laurence Simon, professeur de lettres et éditorialiste, estime dans le magazine Causeur que « Rendre le port du masque obligatoire serait la mesure de trop » et que « Certains d’entre nous ne trouvent plus désormais de sentiment d’exister que dans la peur. » Extraits.

« Nous avons été traqués jusque sur les sentiers les plus déserts, là où précisément le risque sanitaire était nul. Nous avons été placés sous la menace d’amendes, mirobolantes […] »

« La population a été désorientée par les palinodies continuelles de ses gouvernants ; tétanisée par des mises en accusation répétées qui nous désignaient comme des enfants pas sages et bons pour le fouet ; plongée dans un état de psychose par des discours alarmistes à souhait, enflés d’hyperboles guerrières, et par la grand messe vespérale, le rabâchement quotidien des chiffres de la mortalité par coronavirus jamais mis en perspective rationnelle avec d’autres chiffres significatifs, opération pourtant essentielle à toute démarche scientifique, qui aurait permis de relativiser la gravité de l’épidémie qui nous a touchés.[…] »

« Certains d’entre nous ne trouvent plus désormais de sentiment d’exister que dans la peur, de jouissance que dans la contrainte et la punition qu’ils peuvent voir infligées aux autres »

« Jamais nos gouvernants ne se sont vraiment adressés à nous comme à des citoyens adultes, libres, éclairés et responsables. Pour la première fois peut-être, on a regretté de n’être pas Allemands ou Suédois… On nous a même affirmé sans rire que se laver les mains était un acte héroïque. C’est dire à quel degré de bêtise et de veulerie nous avons été ravalés – et quelle vanité en même temps nous enfle : nous sommes prêts d’éclater.[…] »

« Céder à la tentation démagogique en rendant le port du masque obligatoire, serait faire courir un risque délétère à toute la société. Nous sommes des animaux sociaux. Voir le visage de l’autre, c’est la condition pour se reconnaître en lui, pour l’aimer et le respecter, pour vivre en confiance avec lui […]. »

« Mais qui se lève pour défendre notre liberté d’abord, notre fraternité ensuite ? Où sont les hommes et les femmes de courage et de bon sens, qui osent résister à la psychose ambiante ? »[…] covidinfos.net 25 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/rendre-le-port-du-masque-obligatoire-serait-la-mesure-de-trop-pour-laurence-simon/1146/

Source :

– Causeur.fr : Ne laissons pas notre société s’enliser dans une vie amoindrie et névrotique

https://www.causeur.fr/masques-societe-francaise-176882

- Pour le Pr. Bhakdi, un vaccin contre le coronavirus serait « inutile et dangereux » et les masques sont des « nids à microbes » - covidinfos.net 7 mai 2020

Dans une nouvelle interview à la chaîne de télévision allemande Servus TV, le professeur émérite de l’Université Johannes-Gutenberg de Mayence Sucharit Bhakdi dénonce une « campagne de peur intolérable » menée par les médias ainsi qu’une « campagne de désinformation irresponsable ». Extraits et vidéos.

Selon le professeur Bhakdi, « les masques pour la population générale ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être des « nids à microbes » plus nuisibles qu’autre chose »

Il explique que « la crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus » mais également qu’un vaccin contre le coronavirus serait « inutile et dangereux, comme c’était déjà le cas pour la grippe porcine. »

Il pointe également la responsabilité de L’OMS, qui selon lui « n’a jamais assumé la responsabilité des nombreuses mauvaises décisions qu’elle a prises au fil des ans ». covidinfos.net 7 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/pour-le-pr-bhakdi-un-vaccin-contre-le-coronavirus-serait-inutile-et-dangereux/839/ Coronavirus: premier bilan de l'utilisation de l'hydroxychloroquine au Sénégal - rfi.fr 3 mai 2020

Au Sénégal, les premiers résultats préliminaires de l’étude à propos de l’utilisation de la chloroquine pour traiter les patients atteints par le coronavirus sont désormais connus. La molécule a été prescrite à certains malades de l’hôpital de Fann à Dakar par le professeur Moussa Seydi. Le 2 mai, le médecin a rendu public ses premières conclusions. D’après un échantillon de 181 patients, l’hydroxychloroquine permettrait une guérison plus rapide.

Dans le panel de 181 patients pris en charge par Moussa Seydi, tous les malades ont survécu. Cet échantillon a été divisé en trois catégories. Le premier type de patients correspond aux témoins, ceux qui n’ont pas pris d’hydroxychloroquine. La moitié d’entre eux est sortie au bout de 13 jours de l’hôpital.

Il y a ensuite ceux qui se sont vu prescrire la molécule. Avec de la chloroquine, la guérison est plus rapide. Il faut onze jours, soit 48 heures de moins à la moitié de ces patients, pour éradiquer le virus. Enfin, un dernier groupe minoritaire s’est vu administrer, en complément, de l'azithromycine. Il s'agit d'un antibiotique pour éviter une surinfection. Ceux-là ont quitté l’hôpital au bout de neuf jours seulement, explique Moussa Seydi. Pour lui, ces résultats sont encore préliminaires mais satisfaisants.

« Chez tous les patients qui ont bénéficié du traitement à base d'hydroxychloroquine et qui ont consulté précocement, aucune complication n'a été notée, encore moins de cas de décès, a-t-il déclaré. Nous allons continuer notre prise en charge avec l'hydroxychloroquine et l'azithromycine ».

Dans le même temps, le professeur a mené une deuxième étude dans laquelle 362 patients ont reçu uniquement de l’hydroxychloroquine. Le but est d'évaluer les effets secondaires de la substance. Seuls douze malades ont présenté des effets indésirables. rfi.fr 3 mai 2020

Testez votre esprit critique.

- Selon le Dr. Richard Capek « l’épidémie de Corona » serait en fait une « épidémie de tests » - covidinfos.net 28 mars 2020

Selon plusieurs chercheurs, l’augmentation de cas positifs serait tout simplement due à l’augmentation du nombre de personnes testées. La quantité de personnes « infectées » augmente proportionnellement au nombre de personnes testées.

Le chercheur allemand Dr. Richard Capek avance dans cet article que « l’épidémie de Corona » est en fait une « épidémie de tests » et que le ratio de personnes « infectées » est « probablement constant ou à peine changeant » depuis le 9 mars aux USA.

Même son de cloche à l’institut Robert Koch : l’augmentation du nombre de cas serait due à l’augmentation du nombre de personnes testées. covidinfos.net 28 mars 2020

A bas le confinement !

- La modélisation qui annonce 60000 vies sauvées grâce au confinement démontée dans le Journal International de Médecine - covidinfos.net 6 mai 2020

Edouard Philippe l’a affirmé le 28 avril devant l’assemblée, le confinement aurait sauvé « plus de 60000 vies ». Cette affirmation est basée sur une modélisation des chercheurs de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique (EHESP).

Trois autres chercheurs ont analysé ladite modélisation et arrivent à la conclusion que ses résultats sont « systématiquement amplifiés » et que « personne ne peut s’appuyer raisonnablement sur ce type d’étude pour justifier » un confinement.

Les trois chercheurs en question, Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert et Jean-François Toussaint, expliquent dans le Journal International de Médecine que « les limites statistiques de cette modélisation ne sont probablement pas mineures. » […] Et que « la modélisation amplifie systématiquement les résultats à mesure que le temps passe. »

Les méthodes et résultats de la « modélisation utilisée […] diverge significativement des valeurs observées les deux derniers jours : elle surestime donc les variables mesurées. »

En extrapolant la méthode de la modélisation ils notent : « Poursuivre ce type de modélisation jusqu’au 11 mai aboutit à près de trois millions de décès hospitaliers. […] En ce qui concerne le nombre d’hospitalisations, peut-être aurait-on dépassé le 11 mai… la taille de la population française. »

Et de conclure : « l’utilisation [de cette méthode] doit donc rester prudente quant aux conclusions à en tirer et personne ne peut s’appuyer raisonnablement sur ce type d’étude pour justifier une mesure dont nous n’avons pas fini de mesurer les impacts sanitaires, économiques et sociaux. Alors que l’angoisse et la peine affectent des milliers de familles, il est sans doute préférable d’éviter d’induire de telles erreurs, surtout si elles altèrent la décision publique. » covidinfos.net 6 mai 2020

Lire l’article complet :

– Journal International de la médecine : Etude critique d’une modélisation des effets du confinement

https://www.jim.fr/medecin/jimplus/e-docs/etude_critique_dune_modelisation_des_effets_du_confinement__182808/document_edito.phtml

- La docteur Nicole Delépine fustige une « propagande honteuse » et un confinement qui « a entrainé bien des drames et des morts » - covidinfos.net 12 mai 2020

Dans un long article consacré aux effets de l’épidémie et du confinement, la Docteur Nicole Delépine s’alarme des conséquences délétères de « l’enfermement policier » subi par la population, tant du point de vue de la santé physique que de la santé mentale, dénonçant un « propagande honteuse », ainsi que « la perte de tout bon sens et la mise au placard du serment d’Hippocrate. » Extraits.

« Cette maladie n’est pas la peste, et traiter simplement les malades au début aurait permis de calmer l’épidémie et d’éviter de nombreux séjours en réanimation. Mais il fallait sûrement que l’épidémie persiste pour continuer d’espérer vendre 7 milliards de doses de vaccins[…]. Evidemment la désinformation sur l’effet des traitements du Pr Raoult et de bien d’autres (…) bat son plein car pas question de priver Big pharma et affidés de tant de milliards de bénéfices et de surveillance électronique bien utile en dictature. » […]

Ce qu’elle dit sur la santé mentale : « Impactée pour 20 ans ou plus d’après les psychiatres et pédopsychiatres qui appellent au secours de ce confinement inique, depuis son début, dans un silence assourdissant, absents des grands médias. Le retentissement psychologique des mesures de confinement pourrait être très important. » Et de citer son confrère le Dr Bocher : « le confinement va à l’opposé des principes de soin dans les hôpitaux psychiatriques » […]

Sur les hôpitaux débordés : « Les services hospitaliers privés et publiques totalement vides depuis le confinement. Réflexion confirmée par un médecin de Bichat, hôpital parisien. Les urgences hors Covid sont vides ! Il y a une baisse considérable du nombre d’AVC et d’accident ischémique transitoire à l’hôpital depuis le début de la crise du Covid-19. Pas d’urgences, des services vides y compris dans les grands hôpitaux parisiens dont les internes témoignent de leur ennui… Pendant ce temps-là grand cirque médiatique sur les lits débordés…. » […]

Sur le traitement des cancers : « La crise du Covid19, qui rappelons-le, ne semble pas devoir tuer dans le monde plus de personnes que la grippe saisonnière habituelle met en danger de nombreux patients chroniques, dont les cancéreux au premier plan. […] Au-delà des pertes objectives de chances de survie, l’état psychologique du patient laisse craindre des abandons de traitement, des suicides ou intention dont certains ont évoqué la possibilité de façon itérative sur les réseaux sociaux. Ils iront grandir le lot des personnes fortement impactées sur le plan psychologique par l’enfermement policier. » […]

Sur le retour des enfants à l’école : « Déjà 2 mois et certains parents voudraient poursuivre cette prison terrible pour leurs petits, manipulés par la propagande honteuse, répétitive des messages télévisés. Non, ce confinement n’a pas été nécessaire, il n’a pas sauvé de vies, bien au contraire comme le démontrent les mortalités comparées des pays ayant confiné à la française (Italie, Espagne, Belgique), et de ceux ayant, comme toujours dans l’Histoire, isolé et traité les malades (Allemagne, Pays-Bas, Corée du Sud etc.). » […]

« Mais toute la profession dans sa soumission aveugle nuit aux patients qu’elle chérit d’habitude. Sidération des peuples, sidération des médecins, il faut en sortir et vite. Chaque journée d’obéissance à ce confinement délétère pour tous est responsable de nouveaux drames et de nombreux décès. Mr Pascal Praud chaque soir, sur CNews justifie ce cirque par le célèbre « sauvez des vies », mais le compteur n’est pas au point. » […]

« Ce coronavirus mis en exergue pour des raisons de gros sous, vente prévue de 7 milliards de vaccins, et de mise sous tutelle de la population, a comme signe clinique majeur la perte de tout bon sens et la mise au placard du serment d’Hippocrate. » […] covidinfos.net 12 mai 2020

Lire l’article original :

– Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ?

https://www.medias-presse.info/covid19-et-confinement-aveugle-combien-de-morts-evitables-dr-nicole-delepine/120366/amp/

Vidéo. Docteur Nicole Delepine interviewée par André Bercoff sur Sud Radio, 11 Mai. Elle parle notamment de la rentrée des écoles.

https://www.youtube.com/watch?v=t910y6-x4AQ

A lire également.

- Covid-19 : le Sénégal ne renonce pas à l'hydroxychloroquine - 27 mai 2020

https://www.lepoint.fr/afrique/covid-19-le-senegal-ne-renonce-pas-a-l-hydroxychloroquine-27-05-2020-2377281_3826.php#xtor=CS3-190

- Le professeur Didier Raoult n'est pas encore seul - 27 mai 2020 https://www.lepoint.fr/afrique/le-professeur-didier-raoult-n-est-pas-encore-seul-27-05-2020-2377259_3826.php

- La dangerosité de l’hydroxychloroquine : une fable politico-médiatique ? - financialafrik.com 11 mai 2020

https://www.financialafrik.com/2020/05/11/la-dangerosite-de-lhydroxychloroquine-une-fable-politico-mediatique/

Une étude espagnole « massive » démontre que les personnes confinées ont été davantage infectées que les personnes non confinées

https://covidinfos.net/covid19/une-etude-espagnole-massive-demontre-que-les-personnes-confinees-ont-ete-davantage-infectees-que-les-personnes-non-confinees/1090/

Nous avons vu l’équivalent « d’un an de tentatives de suicide au cours des quatre dernières semaines » s’alarment des soignants californiens

https://covidinfos.net/covid19/nous-avons-vu-lequivalent-dun-an-de-tentatives-de-suicide-au-cours-des-quatre-dernieres-semaines-salarment-des-soignants-californiens/1137/

Ils sont dépités ! Macron, Philippe, Véran : Dégagez !

Didier Raoult face à David Pujadas : Ses punchlines amusent les internautes - Yahoo 27 mai 2020

A l’exception de quelques détracteurs, le professeur Raoult compte de nombreux alliés.

A l’exception de quelques détracteurs, le professeur Raoult compte de nombreux alliés. D’ailleurs, après avoir remis à sa place David Pujadas à plusieurs reprises car ce dernier lui coupait la parole, il s’est amusé à défier le journaliste. Lorsque la question sur l’étude Lancet et sur la décision du Haut conseil de la santé publique est tombée, le virologue a rétorqué qu’il aimerait savoir à qui les Français faisaient le plus confiance, lui ou Olivier Véran ?

En tout cas, il faut reconnaître que la tendance générale sur Twitter était en la faveur du professeur Raoult... Yahoo 27 mai 2020

Commentaires d'internautes.

- "Incroyable ces journaleux qui ne sont même pas fichus de faire un travail d'analyse de 5mn:

1) L'étude Lancet a été menée comme celles biaisées d'entrée en France: A savoir qu'ils ont pris des personnes dans un état grave !

*Raoult administre son protocole dès les 1ers symptômes pour limiter la charge virale.

2) L'étude Lancet n'a utilisé que la chloroquine.

*Raoult administre un cocktail, le deuxième médicament est un antibiotique (azythro qqchose)

3) Pour ceux qui connaissent un peu le monde des études médicales, le panel exposé dans l'étude de Lancet est plus que suspect pour le résultat homogène et systématique par continent

*Pour être claire, il y a une très forte probabilité que l'étude ait été truquée

4) Depuis qq années Lancet est de plus en plus noyauté par les lobbies pharmaceutiques et perd de sa légendaire indépendance

Conclusion: Vu les intérêts économiques derrières (vaccin à vendre à la Terre entière et antiviral à 400€) il est clair que Raoult est l'homme à abattre pour de très gros intérêts financiers.

Bravo à Raoult de tenir!

Il devient détestable de noter que les journaleux ne sont plus que des agents de propagande."

- "Raoult dit quelque chose de très intéressant : "Les "médias" classiques sont complètement déconnectés de la réalité, et en arrivent à dire le contraire de ce qui se passe". Ce n'est malheureusement pas nouveau, mais c'est vrai qu'en Occident, ça atteint des proportions inquiétantes..." Equateur: manifestation contre les bas salaires et les coupes budgétaires en pleine pandémie - AFP 26 mai 2020

Des centaines de personnes, dont des syndicalistes, des étudiants et des fonctionnaires, marchent vers le palais du gouvernement dans la capitale équatorienne pour protester contre la baisse des salaires, le chômage et les coupes budgétaires mises en place pendant le confinement imposé au pays pour tenter d'enrayer la propagation du coronavirus. AFP 26 mai 2020 Coronavirus: au Chili, le sursaut de révolte des plus démunis AFP 27 mai 2020

Des habitants d'un quartier de Santiago au Chili affrontent la police alors qu'ils manifestent pour réclamer de l'aide au gouvernement pour faire face à la pandémie de coronavirus. AFP 27 mai 2020




DEUXIEME PARTIE RÉSERVÉE AUX MILITANTS DE PRÉFÉRENCE.

Pour revenir brièvement sur un des volets de la causerie d'avant-hier, tous les courants qui se réclament du trotskysme ont soutenu la machination au coronavirus initiée par l'oligarchie financière, la mesure policière du confinement, puis le port du masque obligatoire partout. Bien entendu, ils refusent d'assumer la responsabilité de leurs conséquences sociales et politiques. Les faits étant les faits, on va enfoncer le clou dans le cercueil de ce courant politique qui comme les précédents socialiste ou communiste a été totalement dénaturé et détourné de son objectif politique.

Et dire qu'on s'en est bien sorti sans le connaître. Vous aurez le droit d'applaudir plus tard!

J'ai découvert par hasard un portail sur le Covid-19 en lisant des commentaires à la suite d'un article de presse, dans lequel se trouvent rassembler les témoignages de médecins ou professeurs en médecine du monde entier dénonçant et démontant pièce par pièce cette mystification, le confinement et le port du masque, leurs dangers pour la population...

Je reproduis dans cette causerie certains articles, et je fournis les adresses d'autres articles trop longs pour figurer ici, mais à lire également car très instructifs, ils posent des questions intéressantes que nos détracteurs préfèrent ignorer. Ces témoignages ont d'autant plus de valeur, qu'ils proviennent de médecins qui ne se connaissaient pas.

Par ailleurs, et cela n'aura échappé à aucun militant ou travailleur, aussi surprenant que cela puisse paraître pour certains, choquant pour d'autres, ce sont des personnalités de droite ou même d'extrême droite qui ont adopté des positions correctes sur l'ensemble de ces questions ou qui se sont dressés contre Macron et le gouvernement, pour des raisons diverses qui n'étaient pas forcément liées directement à l'idéologie dont ils se réclament, dans la mesure où elles entraient pour l'occasion en conflit avec leurs intérêts personnels, qu'ils appartiennent ou non au corps médical, déterminant quel type d'intérêts ils entendaient préserver qui est une autre question ou qui ne nous intéresse pas ici, car nous estimons que l'urgence était de faire cesser le plus tôt possible cette mascarade sordide qui porte atteinte à l'indépendance de la classe ouvrière, donc à sa résistance et à son combat contre le régime.

Il est révélateur et tout à fait navrant que ce ne soit pas des personnalités de gauche ou d'extrême gauche qui aient condamné cette machination destinée à enrichir davantage une poignée d'oligarques et à accroître leur pouvoir tentaculaire sur le monde... Ils auront été en dessous de tout et ils ont déserté ce combat, dont acte. Entre nous, nous n'en attendions pas davantage de leur part pour avoir appelé à refonder le mouvement ouvrier depuis déjà de nombreuses années.

On aurait pu ajouter quelque chose à la causerie d'hier.

Le capitalisme est passé du stade de la libre concurrence à celui du monopole ou de l'impérialisme, pour atteindre de nos jours celui de la transnationalité, ce qui signifie qu'un quarteron d'oligarques mafieux et criminels disposent dorénavant d'une fortune et d'un pouvoir politique tellement colossal, y compris militaire, qu'ils peuvent agir à leur guise en toute impunité en transgressant les lois des Etats qu'ils ont eux-mêmes contribué à faire adopter ou en profitant des failles existant dans les législations en vigueur, en se servant des relais occultes aux quatre coins du monde qu'ils ont constitués au fil du temps, la City de Londres, l'Etat du Delaware aux Etats-Unis, l'ensemble des paradis fiscaux, la BRI, ainsi que les banques centrales qu'ils contrôlent ou qui pour ainsi dire leur appartiennent, ainsi que la planche à billets, la monnaie en circulation, ce qui leur permet d'influencer directement l'orientation de l'économie mondiale et de façonner la société à leur image détestable.

Il est maintenant admis par exemple que les GAFAM disposent d'un pouvoir hors de contrôle. Ils n'ont de compte à rendre à personne. Ils dictent leurs exigences aux différents gouvernements des puissances occidentales et leurs vassaux qui s'exécutent ou s'empressent de les satisfaire, avec les conséquences sociales désastreuses qui en découlent pour tous les peuples. S'ils disposent d'un pouvoir transnational, dont celui de fomenter des guerres et des coups d'Etat, des machinations en tout genre, climatique ou virale par exemple, de paralyser l'économie mondiale pour mieux en assurer le contrôle, c'est leur obsession, c'est parce qu'ils contrôlent également les principales officines de l'ONU (Le GIEC et l'OMS...) et l'Otan, le Pentagone, etc. ce qui leur a permis de s'émanciper autoritairement des contraintes ou des contradictions relatives au capitalisme dont dépendait jusque là la lutte des classes, ce qui explique pourquoi elle a pris une telle tournure chaotique et incompréhensible pour la plupart des travailleurs ou militants, qui ne comprennent pas où ils veulent en venir, qui au mieux n'ont rien vu venir et continuent de croire que rien n'aurait changé dans les rapports entre les classes, donc il serait inutile ou néfaste de modifier notre analyse de la situation mondiale et notre conception de la lutte de classes qui manifestement nous ont conduit à la situation actuelle, qui au pire l'admettrait, mais refuserait obstinément d'en tenir compte, considérant à voix basse et c'est important de le préciser, que de toutes manières nous aurions perdu la guerre de classes, et que par conséquent il allait bien falloir s'adapter au modèle de société totalitaire qui est en train de se mettre en place, quitte à renier nos principes les uns après les autres en attendant des jours meilleurs, qui dans ces conditions n'arriveront jamais évidemment.

Reconnaître certains faits en les torturant pour qu'ils deviennent compatibles avec notre théorie transformée en dogme ou pour ainsi dire fossilisée, ou les nier tout simplement, n'a jamais signifié qu'on serait en mesurer de tirer le moindre enseignement politique de la situation comme on vient de le voir. Qu'on ne parvienne pas à imaginer qu'il arrive un moment où la quantité se transformant en qualité de nouveaux rapports puissent surgir de la situation ou voir le jour indépendamment de ceux qui existaient précédemment, c'est ne rien comprendre au processus dialectique qui préside à l'évolution de l'histoire de la civilisation humaine.

Il ne s'agit pas là d'une construction purement intellectuelle ou idéologique qui serait détachée de la réalité objective comme voudrait nous le faire croire nos contradicteurs qui nous accusent de fabuler, car la réalité objective ne se limite pas aux rapports établis entre les classes sous le régime capitalisme, elle demeure inséparable du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme, elle en est l'expression parvenue à un certain stade du développement des forces productives, qu'il est justement question de détruire en masse pour en assurer le contrôle en instaurant un régime totalitaire planétaire ou de se libérer de ce carcan en passant au socialisme universel.

Nous poursuivons le même but que nos ennemis, à ceci près qu'au lieu qu'il profite à une minorité de nantis, il profiterait à l'ensemble de la population. Eux en ont conscience, nous pas. Eux ils ne reculent devant aucun moyen pour parvenir à leur fin, nous on s'y refuse. Eux ils savent ce qu'ils veulent, nous, nous savons rien, comment pourrait-on le savoir ou comment pourrait-il en être autrement dans ces conditions-là, quand on se réfugie dans un déni permanent de la réalité.

Si nos besoins sociaux ou nos aspirations démocratiques, à la liberté, peuvent se passer de toute justification pour être légitimes, qu'est-ce qui empêcherait nos ennemis d'en faire autant, je vous le demande. Oui mais entre le vouloir et le pouvoir il existe une marge, effectivement.

Si nous ne parvenons pas à les réaliser, ne serait-ce pas parce qu'on ne parvient pas à le concevoir, à réduire cette marge ? Nos ennemis ne s'embarrassent pas de considérations sociales ou morales, ils créent de toutes pièces les instruments qui vont leur permettre d'exercer leur domination sur l'humanité entière ou d'orienter son destin. Tandis que nous en sommes encore à chercher notre salut dans des formules devenues stériles qui signent notre arrêt de mort.

Finalement, tous les cas de figure ont été envisagés par les marxistes, ce qui ne voulait pas dire que tous seraient réalisables.

Trotsky - Si l'on considère, au contraire, que la guerre actuelle provoquera non point la révolution mais la déchéance du prolétariat, il n'existe alors qu'une autre issue à l'alternative: la décomposition ultérieure du capitalisme monopoliste, sa fusion ultérieure avec l'Etat et la disparition de la démocratie, là où elle s'est encore maintenue, au profit d'un régime totalitaire. L'incapacité du prolétariat à prendre en mains la direction de la société pourrait effectivement dans ces conditions mener à l'émergence d'une nouvelle classe exploiteuse issue de la bureaucratie bonapartiste et fasciste. Ce serait, selon toute vraisemblance, un régime de décadence, qui signifierait le crépuscule de la civilisation. (...)

LVOG - "La disparition de la démocratie (...) au profit d'un régime totalitaire" est un fait quasiment acquis quand on voit ce qui s'est passé aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Grèce, en Italie, en France, demain en Espagne et ailleurs. C'est également le totalitarisme qui ponctue le fonctionnement de toutes les institutions internationales financières ou politiques. Mais point de nouvelle classe, un gang d'oligarques, parmi les plus riches, les mieux organisés, les plus puissants dictent leurs lois au monde entier avec plus ou moins de succès, c'est la tendance générale.

Trotsky - Si le prolétariat mondial apparaissait effectivement incapable de remplir la mission que le cours du développement place sur ses épaules, il ne resterait alors rien d'autre à faire que de reconnaître ouvertement que le programme socialiste, construit sur les contradictions internes de la société capitaliste, s'est avéré une pure utopie. Il faudrait alors, évidemment, élaborer un nouveau programme "minimum" pour défendre les intérêts des esclaves de la société bureaucratique totalitaire.

Existe-t-il, toutefois, des données objectives à ce point inébranlables ou, du moins, assez convaincantes pour nous contraindre aujourd'hui à refuser les perspectives de la révolution socialiste? Là est la question. (Défense du marxisme - L. Trotsky)

LVOG - Je ne partage pas du tout cette appréciation de Trotsky. Ce n'est pas parce que le prolétariat mondial ne serait pas parvenu à remplir sa mission jusqu'à présent, que "le programme socialiste" serait en cause, à moins qu'il ait comporté de graves erreurs que nos dirigeants par la suite n'ont cessé de reproduire. Et les conditions n'étaient peut-être pas aussi favorables à la révolution socialiste qu'on l'avait cru, ce qui pose la question de savoir si l'analyse de la situation mondiale était correcte ou non, apparemment non. C'est donc tout le programme qui aurait mérité d'être corrigé. Et puis il fallait peut-être aussi se méfier de cette tendance à faire preuve d'un optimisme révolutionnaire un peu trop hâtif et injustifié, qui pouvait induire en erreur, même avec un programme juste. Contrairement à ce que Trotsky affirma là, même sous un régime esclavagiste, l'objectif politique des esclaves était de mettre un terme à ce régime, au lieu de se contenter d'un "programme "minimum" pour défendre les intérêts des esclaves" qui devait les conduire à s'en accommoder.

Quand on évoque le socialisme, rares sont les militants qui sont vraiment sur la même longueur d'onde ou qui parlent de la même chose.

Quand on discute avec un travailleur et qu'on envisage de le recruter pour mener le combat politique pour le socialisme, il faudrait commencer d'emblée par mettre les point sur les i ou lui retirer toutes illusions sur ce qu'il pourrait entendre par là, ce que généralement on se passe de faire pour ne pas les effrayer ou les décourager.

Ne vous attendez pas à le voir de votre vivant, n'espérez pas en tirer un quelconque profit personnellement, c'est un long chemin semé d'embûches qui réserve bien des surprises, il vaut mieux le savoir dès le début. Tout au plus si vous vous engagez dans cette voie, cela vous permettra de donner un sens à votre vie et de conserver votre dignité, c'est inestimable, c'est quelque part réaliser un idéal accessible à peu de gens. Il faudra vous en contenter sachant que vous ne devrez compter que sur vous-même pour demeurer à la hauteur de ses exigences, car vous ne serez pas mieux loti que les autres travailleurs qui eux aussi ne doivent compter que sur eux-mêmes pour assurer leur survie et celle de leur famille, ce que je veux dire par là, c'est que personne ne pourrait venir à bout à votre place des illusions qui un jour pourraient vous perturber ou vous envahir, vous faire douter, d'où l'intérêt de savoir à quoi s'en tenir ou prendre les devants pour éviter que ce genre de situation se produise ou savoir quoi faire en pareil cas, pour qu'elle ne dégénère pas ou que cette expérience tourne court ou n'ait servi à rien, ce qui serait dommage pour tout le monde. Si vous ne vous sentiez pas capable d'assumer cette responsabilité, rien ne vous obligerait à vous engager dans cette voie qui comporte des contraintes, comme il en existe dans la vie en général, cela n'a rien d'extraordinaire en soi, mais il faut le savoir ou en avoir conscience maintenant, car plus tard il serait fatalement trop tard, on a acquis suffisamment d'expérience pour le savoir.

Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'on ne devient pas socialiste, parce qu'on aurait décidé d'adopter le socialisme, les choses ne se passent jamais ainsi dans la réalité. On ne devient pas médecin du jour au lendemain, sans avoir suivi assidûment les cours de médecines pendant de longues années. Ceux qui veulent brûler les étapes feront sans doute des charlatans, mais certainement pas des militants conscients et socialistes.

Trotsky - Bertrand Russel croit, il est vrai, qu'un Etat victorieux pourrait, en conclusion de la guerre, unifier le monde entier dans un étau totalitaire. Mais même si une telle hypothèse se vérifiait, ce qui est plus que douteux, une "unification" militaire ne serait pas plus stable que la paix de Versailles. Les soulèvements nationaux et les pacifications qui s'ensuivraient déboucheraient sur une nouvelle guerre mondiale, qui pourrait creuser le tombeau de la civilisation. Ce ne sont pas nos voeux subjectifs, mais la réalité objective qui indique que la seule issue pour l'humanité est la révolution socialiste mondiale. L'alternative, c'est la rechute dans la barbarie. (id)

LVOG - Si les conditions pour que se produise une nouvelle guerre mondiale sont devenues hypothétiques car elle serait apocalyptique, en revanche elle peut revêtir différentes formes tout aussi dévastatrices pour l'humanité et la livrer à la barbarie.

Trotsky - Tout homme cultivé, depuis Darwin, se targue d'être "évolutionniste". Mais le véritable évolutionniste doit appliquer l'idée de l'évolution à ses propres formes de pensée. La logique élémentaire, fondée à l'époque où l'idée même d'évolution était à peu près inexistante, est évidemment insuffisante pour la connaissance des processus évolutifs. La logique de Hegel est la logique de l'évolution.

Mais il faut se rappeler que le concept même d'"évolution" est terriblement déformé et châtré par les professeurs d'université et les journalistes libéraux qui en font une espèce de "progrès" pacifique. Celui qui a compris que l'évolution procède au travers de la lutte de forces antagonistes que la lente accumulation des changements fait éclater à un moment donné la vieille enveloppe et mène à la catastrophe, à la révolution; celui qui a appris enfin à appliquer les lois générales de l'évolution à la pensée elle-même, celui-là est un dialecticien, à la différence de l'évolutionniste vulgaire. (id)

LVOG - Il y a quelques jours, j'écrivais qu'il ne fallait pas effrayer les travailleurs avec la catastrophe à venir, car elle pouvait être grosse d'une révolution. Les travailleurs ne sont même plus maîtres de leur corps ou de leur santé, on leur a retiré ce droit légitime, le droit de se soigner librement, ils n'ont plus rien, ils doivent mourir, c'est arrivé au cours des 4 derniers mois. Comment caractérise-t-on un tel régime ? De fasciste.

S'ils n'ont plus rien, certains peuvent être tentés par le socialisme, l'espoir n'est pas perdu. Quand on cherche, en creusant la réalité on trouve.

Imposer une discipline à quelqu'un, c'est comme lui imposer un uniforme. On peut s'en imposer une à soi-même, c'est même parfois conseillé pour réguler notre soif débordante d'existence et éviter des emportements dommageables qui pourrait tourner aux châtiments corporels. Malheur à vous si vous avez échoué dans un Ehpad, on vous supprimera ! Cet assassinat en masse est digne du fascisme.

Ni balle, ni gaz, ni matraque, un truc invisible et inodore, il fallait y penser.


Le 31 mai 2020

CAUSERIE ET INFOS

Demain on mettra des documents en ligne, permettez-moi de profiter un peu de mon dimanche pour me reposer, merci.


29 pages au format pdf

Le coronavirus dénommé Covid-19 n'aura été finalement qu'un virus du type de celui de la grippe, ce que nous savions pratiquement depuis le début de cette machination.

Le constat est consternant, sans appel et très préoccupant : La mystification au coronavirus vient de démontrer de manière magistrale qu'absolument tous les partis politiques étaient corrompus, sans exception, aucun n'a passé cette épreuve avec succès, tous se sont vautrés dans la désinformation, les mensonges les plus grossiers et éhontés qui soient. Leur cause : C'est uniquement leur misérable boutique, leur statut et leurs intérêts individuels.

Tous les éléments que nous portons à la connaissance des lecteurs le prouvent un peu plus chaque jour qui passe, sauf à nier à nouveau la réalité des faits, du terrain rapportée par des médecins intègres, oui cela existe, comme il existe aussi encore des militants ouvriers honnêtes dont j'estime faire partie.

Voilà le contexte extrêmement difficile ou délicat dans lequel nous continuons malgré tout notre combat politique, pratiquement seul envers et contre toutes les forces organisées de l'extrême droite à l'extrême gauche incluse, en s'exposant à des insultes ou à un lynchage de la part des uns et des autres. Inutile pour autant de les juger, les faits s'en chargent et ils sont suffisamment accablants.

Rien ni personne ne nous fera dévier de notre objectif : Le renversement du régime en place ou la prise du pouvoir par la classe ouvrière, l'établissement d'une République sociale, l'abolition du capitalisme, le socialisme, la fin du règne de l'exploitation de l'homme par l'homme.

Question légitime que peuvent se poser des lecteurs : Mais pourquoi vous en prenez-vous à ces braves dirigeants du mouvement ouvrier ? Parce qu'ils avancent masqués pour mieux nous, vous tromper. Ensuite, j'interviens dans le cadre de la lutte de classe du mouvement ouvrier, de ma propre classe, la classe ouvrière, et je ne tiens pas à être identifié à ces dirigeants.

La théâtralisation mise en oeuvre ici ou là dans cette causerie (et d'autres) sert à rendre plus vivant, plus humain et dynamique un exercice où font défaut l'image et le son, histoire de rappeler aux lecteurs qu'au-delà l'écran il existe une personne en chair et en os.

Les résultats des études qui sont en train de sortir dans plusieurs pays, montrent que le recours au confinement et au port du masque par la population n'était pas du tout justifié, comme nous n'avons cessé de le répéter, pire, ces mesures auront eu des effets encore plus néfastes pour la population.

Tous les acteurs politiques qui ont soutenu ces mesures ont joué avec la peur et la vie de la population, il faut en avoir conscience, ces faits sont donc d'une extrême gravité. Les positions qu'ils ont adoptées en choeur n'ont pas été prises par souci de préserver la santé ou le bien-être des gens, pas du tout, mais uniquement pour satisfaire des besoins d'ordre idéologique dictés par l'oligarchie financières, puisque c'est elle qui en fut à l'origine et les revendiqua, on a publié les documents qui l'attestent et il en figure de nouveaux dans cette causerie, donc on n'invente absolument rien.

Maintenant, ce n'est pas parce que le mouvement ouvrier nous a abandonné ou trahi une nouvelle fois, qu'il faudrait nous lamenter sur notre triste sort, nous ne sommes pas seul loin de là, car au niveau mondial la résistance s'organise pour affronter l'oligarchie financière, cette causerie en fait l'écho à son niveau.

Voilà qui devrait inciter les lecteurs et les militants à en faire de même. Je les invite également à envoyer des courriels de soutien ou de témoignage à tous ces médecins, scientifiques, journalistes ou intellectuels qui refusent de se taire, d'être les complices et les victimes des impostures d'un régime mondial fascisant ou totalitaire, sans tenir compte des contradictions qui peuvent exister par ailleurs dans leur discours ou des désaccords que vous pourriez avoir avec eux, ne soyons pas sectaire envers ceux qui montrent un tel courage, sanctionnons plutôt les lâches, méprisons ceux qui nous ont livrés pieds et mains liés à la cruauté sans nom de l'oligarchie qu'ils prétendent combattre, en réalisant un consensus sordide avec Macron.

Lettre du docteur Denis Agret à la population. Au nom de la peur… d’un virus, au nom de la peur de la mort ! - 25 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/au-nom-de-la-peur-la-lettre-dun-medecin-urgentiste-aux-francais/1158/

Le Pr. Bhakdi lance une association des « Professionnels médicaux et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie » - 28 mai 2020

https://www.mshfd.org/fr/professionnels-medicaux-et-scientifiques-pour-la-sante-la-liberte-et-la-democratie/

Commence ici la causerie que j'avais préparée les deux derniers jours et que j'ai actualisée ce matin.

Bonne lecture, bon courage, bon moral, bonne continuation. Nous vaincrons !

Quoi de neuf docteur ? Une carotte et un bâton !

S'ils envisageaient un nouveau confinement en octobre prochain, c'est à la guerre civile qu'il faudrait se préparer...

Détendez-vous, relaxe, cool, soyez zen, respirez à fond, ne déprimez pas, reprenez-vous, que la confrérie des Diafoirus et autres bonimenteurs aillent au diable ! La foi réside en vous et nulle part ailleurs, dans votre détermination à combattre l'obscurantisme ou l'ignorance dans laquelle on veut nous enfermer pour nous empêcher de prendre en mains notre destin.

Voilà le genre de conneries ou de saloperies où certains en sont arrivés :

- Je suis militant ouvrier, je combats pour l'interdiction des licenciements, donc j'ai soutenu avec zèle le confinement et je regrette qu'il ne se soit pas prolongé plus longtemps pour envoyer au chômage davantage de travailleurs. Camarades travailleurs tenez bon, je suis à vos côtés, faites-moi confiance...

Ne vous marrez pas, c'est très sérieux, Daniel Gluckstein vient de s'en féliciter dans l'éditorial de La Tribune des travailleurs du 27 mai.

Et n'ayez pas le bourdon.

La cloche, l'épidémie forme une cloche, comme notre vie, c'est cloche ! Cela sonne bien, applaudissez ! La bénédiction en moins, s'il vous plaît, ayez pitié de cette vieille cloche. Non, ne pleurez pas, ce serait indigne de bénitier!

Savez-vous pourquoi un pauvre ne doit pas être trop maigre ? Parce qu'il doit faire des réserves pour les jours sans, je cherche à justifier mon surpoids, je déconne, quoique je m'emploie à le réduire.

Je voulais vous dire que j'appréciais que vous ne m'écriviez pas, car cela montre au moins que je ne vous forçais pas la main ! On se détend, n'applaudissez pas maintenant, vous pourriez le regretter ! Si on ne se soulage pas un peu dans ce monde de dingues, on est foutu.

Pensez à tous ceux qui dépriment, cela ne donne pas vraiment envie de les imiter ou de leur ressembler, n'est-ce pas ?

Tenez, il y a un truc qu'on peut dire et qui est politiquement incorrect. On vivait quand même mieux un demi-siècle en arrière, peut-être pas sous toutes les latitudes, quoiqu'à cette époque les intéressés ne savaient pas quel bonheur ils avaient de se passer de tout ce qu'il leur manquait... parce qu'ils l'ignoraient, du coup ils étaient plus heureux qu'aujourd'hui ! Je vous dis cela parce que j'ai cela sous les yeux quotidiennement, je l'ai vécu en Inde aussi, un travailleur français pauvre, mais un nanti tout de même, rien ne m'échappe, surtout quand je suis le premier concerné.

Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, on sait que les générations à venir vivront forcément beaucoup plus mal que nous, si aucun changement de régime n'intervenait très rapidement, et là cela concerne les peuples sous toutes les latitudes. Si cela ne fait pas réfléchir intensément, c'est à désespérer. Quand on affirme que la civilisation humaine est à la croisée des chemins, c'est à cela que l'on pense.

C'est la lutte de classes qui est le carburant du progrès, alors si elle est en panne ou bloquée, neutralisée par la classe des exploiteurs et des oppresseurs, forcément cela va mal se passer pour les générations à venir. Raison de plus pour ne pas laisser des dirigeants faillis et corrompus la kidnapper et nous tenir en otage plus longtemps.

L'épisode du coronavirus aura été une formidable défaite pour la classe ouvrière et le mouvement ouvrier international, la pire depuis le 11 septembre 2001 quand en choeur nos dirigeants se rangeront comme un seul homme derrière G. Bush.

Quel parti a-t-il tiré ce bilan ? Aucun, et pour cause, nos dirigeants ont capitulé sans combat en rase campagne. Quel militant en a tiré cet enseignement politique ? Je l'ignore, aucun peut-être parce qu'ils y avaient été préparés de longue date. Depuis l'élection de Macron a deux reprises au moins j'ai affirmé que dans ces conditions il fallait s'attendre à connaître une période de réaction sur toute la ligne d'au moins un demi siècle en m'inspirant de l'expérience américaine, on vient d'en avoir confirmation.

Macron vient d'interdire l'usage en France du seul traitement existant contre le Covid-19, la chloroquine ou hydroxychloroquine, alors que cette molécule a été mise sur le marché il y a 70 ans et a été prescrite à des milliards de personnes dans le monde.

Comment caractérisez-vous un tel régime qui préfère voir mourir des patients plutôt que les soigner ? Fasciste.

Quel parti dit ouvrier a-t-il publié un communiqué pour dénoncer cette mesure digne du régime de Vichy contre laquelle se sont dressés de très nombreux médecins ? Aucun. Dès lors, leur silence témoigne de leur complicité avec Macron contre le droit accordé jusque là à chaque médecin de prescrire librement le traitement le plus approprié pour soigner leurs malades.

Quel militant ouvrier digne de ce nom peut-il tolérer une telle compromission ou collusion d'intérêts entre leurs dirigeants et le représentant de l'oligarchie ou des trusts pharmaceutiques responsables de la mort inutile de milliers de citoyens ? Aucun sous peine de s'avilir à jamais ou de trahir son engagement politique ou son idéal.

Il n'est pas exagéré de qualifier de coup d'Etat fasciste l'enfermement de l'ensemble des travailleurs sous un faux prétexte.

Je renouvelle mon appel à tous les militants ouvriers à constituer une nouvelle tendance au sein du mouvement ouvrier qui soit fidèle au socialisme.

J'ai envie de dire à ceux qui hésitent, peu importe nos faiblesses ou nos lacunes, on ne fera jamais pire que ces dirigeants. Qu'avez-vous à perdre franchement, à part votre dignité si vous restez dans ces partis qui en terme d'imposture, trahison ou cynisme rivalisent avec les sociaux-libéraux et les staliniens.

Dès la fin des années 70, ils prévoyaient la chute de la Ve République d'une semaine à l'autre pour ceux qui s'en souviennent encore, j'en faisais alors partie, selon leur théorie l'heure de la révolution avait sonné, vous connaissez la suite un demi-siècle plus tard. Jamais à les entendre un président de la République et une majorité parlementaire issus d'un autre parti que le parti de l'ordre, à l'époque l'UDR, le parti de de Gaulle, aujourd'hui LR, ne pourrait gouverner sous la Ve République, les faits démentirent de manière cinglante et continue cette analyse foireuse parmi tant d'autres et ainsi de suite. Ils allèrent jusqu'à se lier organiquement au PS et lui donner un Premier ministre sous la Ve République, qui sera notamment le champion des privatisations. Plus tard ils lui firent cadeaux de la MNEF et de l'UNEF, entre temps ils allaient s'encanailler avec la franc-maçonnerie dont Trotsky disait qu'il fallait la brûler. Le PS n'étant pas aussi ingrat qu'on pourrait le croire envers ses larbins, leur offrit de nombreux postes rémunérés de permanents au sein de FO pendant plus d'un demi-siècle, pour finalement partager la présidence de la Libre Pensée ou avoir un pied dedans et un pied dehors de cette grande famille social-démocrate décomposée.

Quand on fait le bilan du courant trotskyste lambertiste 70 ans plus tard, on s'aperçoit qu'en permanence il ne s'est agi que de manoeuvres ou manigances d'appareils, d'accords secrets passés entre des dirigeants dans le dos des militants, de théories foireuses, de double langage, de réformisme éhonté ou de gauchisme selon, de manière à garantir à vie le statut privilégié d'une poignée de dirigeants inamovibles et corrompus parvenus à évincer leurs concurrents en recourant à des méthodes déloyales, à des coups tordus, voire des menaces physiques, violant les statuts de leur parti, interdisant le droit de tendance dans leur parti, désignant leurs successeurs ou les membres de leur cour à la manière de monarques, le fonctionnement de leur parti ou ses instances relevant davantage du verticalisme, où ce qui remonte de la base finit dans une poubelle, tandis que ce qui descend de la direction doit atterrir dans le cerveau des militants ainsi conditionnés, au point par exemple qu'ils en arriveront à prendre le confinement imposé par Macron pour une mesure sanitaire indispensable, saine, salutaire, humaine, progressiste, sociale, juste comme il faut, ils iront même jusqu'à en redemander, c'est pour dire.

Vous me direz que parvenu à ce stade de confusion, on ne peut plus rien pour eux. On veut croire pourtant que certains pourraient profiter de cet épisode pour refuser de participer plus longtemps à cette sordide imposture, car ce qui vient de se passer avec cette déclaration de guerre de Macron au peuple à laquelle leurs dirigeants n'ont pas répondu est trop grave, des milliers de personnes sont mortes qui pourraient encore être en vie, je ne pense pas aux plus âgées, mais aux plus jeunes qui ont été sacrifiées, assassinées. Cela vaut pour les militants des autres partis, puisqu'il n'y en a pas un qui se soit distingué des autres, tous ont rejoint le consensus national derrière Macron. C'est aussi cela le fascisme, quand il n'existe plus de véritable opposition organisée face au régime. Vous vous souvenez de ce qu'on avait dit sur l'extrême-centre, vous pouvez constater qu'on n'avait rien inventé ou exagéré.

Maintenant je conçois qu'il soit parfois difficile de se repérer, quand on voit qu'il y a des gens qui ont des avis différents sur le confinement, le masque ou le traçage. Il ne faut pas y prêter trop d'attention, ce sont des gens qui font passer leurs intérêts individuels avant leurs intérêts idéologiques ou leur conscience de classe. Je pense bien sûr aux médecins qui peuvent adopter des positions contradictoires, parce qu'ils ont peur pour eux et leurs proches. Rien ne permet de justifier ces mesures liberticides. Je me suis bien marré en observant les ronds de jambes embarrassés de journalistes, d'intellectuels ou de néostaliniens reconvertis au maoïsme vantant hier la "Route de la soie", et aujourd'hui le confinement à la chinoise, difficile pour eux de s'attaquer à Macron après cela ! Excellent, on raffole de ce genre de situations où les masques des opportunistes tombent tout seuls.

Vous voyez qu'il ne faut pas prendre la situation au tragique, on peut s'en sortir si on s'en donne les moyens. Tout est fait minutieusement pour vous démontrer le contraire, à vous de savoir ce que vous voulez vraiment.

Le passage suivant avait été rédigé la veille, je le conserve parce qu'il est instructif. Je ne fais pas exprès d'employer un ton professoral, désolé, une déformation professionnelle de la dernière heure, car quand j'étais gosse j'étais parvenu à détester l'école, pour finalement terminer ma carrière professionnelle comme professeur de français, comme quoi la vie réserve bien des surprises et il faut l'aborder modestement.

L'épisode du coronavirus aura été une cruelle épreuve pour les imposteurs en tout genre sur le plan politique, et au-delà sur le plan individuel pour tout un chacun, qui se figurait que par miracle, il serait épargné par la déliquescence du capitalisme qui entraîne dans son sillage vers l'abîme toute la société.

C'était peine perdue sur tous les tableaux et sonnait comme un violent rappel à l'ordre, que nul ne peut se réfugier indéfiniment dans l'hypocrisie ou le déni de la réalité sans devoir en payer un jour les conséquences désagréables ou désastreuses.

Cette soudaine provocation (au coronavirus) aura tellement pris au dépourvu les différents acteurs politiques, qu'ils se lâcheront, se révèleront tels qu'ils étaient véritablement, nous offrant un spectacle peu ragoûtant ou carrément pitoyable, que viendra consacrer à son apothéose un consensus national de l'extrême droite à l'extrême gauche sur la nécessité d'enfermer la totalité de la population et de lui imposer le port d'un masque, marque suprême de l'infamie partagée dont seul un régime tyrannique ou fasciste a le secret. Dès lors, chacun comprendra très bien pourquoi aujourd'hui aucun de ces acteurs dits de gauche ou d'extrême gauche osera le caractériser ainsi, plus tard peut-être, qui sait, sachant qu'ils osent tout ou que cela ne leur coûterait rien.

Ils ne changeront rien à leur orientation politique, ne vous faites pas d'illusions. Ils auront vite fait d'oublier cet épisode embarrassant comme tant d'autres, de la même manière qu'ils ont enterré tous ceux du passé qui contredisaient leurs analyses de la société ou des rapports entre les classes ou avec l'Etat. Ils vont réclamer des sous, et ils vont continuer de participer aux institutions (ou aux différentes élections) comme si absolument rien ne s'était passé depuis quatre mois. Des partis qui se sont aussi gravement compromis, il n'y a rien à en attendre. Engels et Lénine tinrent ce discours autrefois, mais tout le monde l'a oublié, leurs dirigeants savent qu'ils peuvent compter sur l'amnésie ou sur l'ignorance de leurs militants.

La preuve en est, par exemple, que le POID a déjà réhabilité le PS comme parti de gauche, sans guillemets, à quoi bon s'embarrasser de précautions devenues inutiles au point où ils en sont. On comprend qu'à défaut de rompre avec le régime et de l'affronter, ce qu'aurait signifié la dénonciation de la mystification de la pandémie virale, le rejet du confinement et du masque, il renoue avec le pire opportunisme qui ne les avait jamais quitté, quoi de plus naturel en somme.

Vous aurez également remarqué que ceux qui entre autres refusèrent de se réjouir de la libération d'Alep en Syrie, sont les mêmes qui refusèrent de soutenir l'Irak, la Libye, qui furent Charlie, qui réclamèrent hier la prolongation du confinement, le maintien de la fermeture des écoles, qui voulurent faire porter des masques à toute la population dans la rue ou les lieux publics, qui ont cautionné la version idéologique de la pandémie fabriquée dans les hautes sphères de l'oligarchie financière. Applaudissez, non, pas vous voyons, les Gates, Rockefeller, Link, Soros, Buffett et leurs amis ! C'est mérité, non ?

Cette provocation aura permis de montrer que le mouvement ouvrier était devenu un agent de la réaction ou qu'il n'existait pas un seul syndicat ou parti indépendant du capital. Libre à chacun ensuite de s'en accommoder ou non, et surtout de l'assumer. C'est là que les choses se gâtent généralement, et pas seulement pour les militants.

Dans la vie quotidienne ou sur le plan strictement individuel on est confronté aux mêmes alternatives ou choix, c'est d'ailleurs une des seules libertés qu'il nous reste, quand toutes les autres ont foutu le camp ou demeurent au stade de l'utopie.

On a passé sa vie à se forger tant bien que mal une personnalité, et voilà qu'un évènement vient la heurter de plein fouet, qui nous oblige à regarder la réalité en face. On conçoit que ce soit un terrible choc pour ceux qui n'y sont pas habitués. On s'était paré hypocritement de tant d'illusions qu'on avait fini par se croire invulnérable, au point que toute atteinte à notre intégrité physique nous semblait inconcevable, oubliant même qu'on était de simples mortels, aussi incroyable que cela puisse paraître, alors évidemment en présence d'une expérience aussi soudaine que violente, la panique devait nous emporter.

Je dois avouer que j'ai pris plus d'une fois un malin plaisir à user de provocations envers des gens, histoire de les faire réagir ou de débusquer l'hypocrisie qui leur servait de bonne conscience, éventuellement pour les faire réfléchir, et sans en attendre un quelconque avantage personnel, sachant à l'avance qu'ils risquaient de mal le prendre, ce qui ne loupa pas dans la plupart des cas sans que je renonce pour autant à ce stratagème. Vous me direz que ce n'est pas la meilleure méthode pour se faire des amis ou des relations. Certes, j'en conviens, mais vaut mieux encore être seul que mal entouré, on dit aussi vivre seul que mal accompagné, car de toutes manières nous sommes toujours seul, on n'a qu'une vie, cet épisode aussi vient de le rappeler à chacun d'entre nous, n'est-ce pas ?

Voyez-vous, je pars du principe que, quel que soit notre statut social, les idées et le comportement de chaque personne ou travailleur auront des conséquences positives ou nuisibles sur la nature et le fonctionnement, l'orientation de la société dans laquelle nous vivons, et absolument personne ne peut y échapper. Cela va faire hurler les ouvriéristes enfermés dans leur dogme, qui se figureront que c'est là porter un jugement injuste, parce qu'ils considèrent sans faire preuve de la moindre nuance, qu'en toute circonstance les hommes seraient capables du meilleur ou du pire, or l'épisode que nous venons de vivre vient justement (une nouvelle fois) de leur rappeler que dans la réalité il en était tout autrement ou rarement ainsi, désolé. Quand le pire a été cultivé en permanence, vous ne voudriez tout de même pas que le meilleur l'emporte soudainement, il n'y a que lors d'une révolution qu'un tel exploit peut se réaliser, et encore, il n'est pas inépuisable.

Qu'un pauvre vole un riche, il est dans son droit, c'est légitime, il n'y a rien à redire. Mais qu'un pauvre vole un autre pauvre auquel fera défaut ce qu'il lui a volé, cela on ne peut pas l'admettre ou alors il faut cautionner la barbarie. Vous saisissez la différence. Quand un Indien me vole, comme cela m'est arrivé une multitude de fois en 26 ans, c'est normal puisqu'il estime qu'en tant que Blanc, étranger, Français, je suis forcément plus riche que lui, cela me contrarie, mais finalement je ne peux pas lui en vouloir. En adoptant cet état d'esprit je ne suis pas plus tolérant ou généreux que quelqu'un d'autre, je n'ai absolument aucun mérite, je m'en tiens à la situation et aux rapports qui existent entre nous ou qu'on nous a imposés. Il ne me viendrait pas à l'idée d'aller voler un plus pauvre que moi ou une personne qui partage les mêmes conditions que moi, en revanche, un riche je ne dis pas non et ce serait légitime, même si je m'en abstiens.

J'ai eu l'occasion d'observer quotidiennement tout cela pendant des décennies autour de moi, et j'en ai tiré des enseignements qui me sont également utiles sur le plan politique. Moi, je pars ou je parle de la réalité, de ce que nous vivons, et non de ce qui figure dans des livres aussi savants soient-ils ou de ce que je voudrais qui soit.

Quand je recours à la provocation envers certaines personnes, c'est parce que leur comportement m'agace au plus haut point. Car j'ai l'impression ou plutôt j'ai acquis la certitude qu'elles me prennent pour un demeuré ou qu'elles se moquent de moi, tout cela parce que je m'exprime très librement, cela les met en confiance, elles pensent donc pouvoir en profiter, mais elles se trompent lourdement ! Je sais pertinemment que de leur côté elles ne me disent pas vraiment ce qu'elles pensent. Quelles que soient les précautions ou les artifices dont elles peuvent s'entourer ou user pour le maquiller, c'est un truc que j'ai appris à flairer à force de concentrer toute mon attention sur l'attitude des personnes avec lesquelles j'avais des échanges, leur mimique, leur langage et sa tonalité ô combien révélateur, et plus je vais pousser loin la provocation, plus elles vont se retrouver acculer à lâcher ce qu'elles pensaient réellement qui contredira l'impression qu'elles avaient voulu donner d'elle-même précédemment ou leurs propres idées, autrement dit, elles seront prises en flagrant délit d'hypocrisie ou de mensonge, situation très inconfortable, qui se soldera souvent par une rupture ou des insultes ou les deux à la fois, de la part d'esprits médiocres qui se croient supérieurs aux autres.

J'ai horreur de cette attitude qui consiste à croire qu'on pourrait inconsidérément abuser des autres ou les mépriser à leur insu. J'aime bien remettre ces gens-là à leur place, en fait ce sont eux qui sont conduits à se remettent eux-mêmes à leur place, je leur sers de guide uniquement, ne vous marrez pas, j'ai peut-être l'air de m'en amuser, mais je peux vous assurer que c'est rarement un moment agréable à passer ! (Applaudissement !)

Pourquoi vous donnez-vous autant de peine, me direz-vous peut-être ? Parce que j'aime les gens en général et sans eux on ne serait rien, voilà tout, et cela me fait de la peine qu'ils se donnent tant de peine pour se mentir à eux-mêmes et nous pourrir la vie au passage, puisque notre sort est lié qu'on le veuille ou non.

Je vous concède que lorsqu'on n'en a rien à foutre des autres, l'affaire est réglée, on vous raconte n'importe quoi, vous racontez n'importe quoi, match nul, mais ce sont là des relations de merde qui font qu'on finit par vivre dans un monde de merde, est-ce cela que nous désirons ? Si on milite pour en arriver à ce genre de rapports, vaut mieux s'abstenir ou faire autre chose franchement. On n'est pas venu au monde pour supporter cela non plus, si le sens de la vie devait se réduire à cela, à quoi bon.

Vous savez, cela me fait penser à tous ces gens qui prennent les autres pour des cons, et qui n'imagineront pas un seul instant qu'ils pourraient être les cons de quelqu'un. La plupart des gens parlent à tort et à travers de ce qu'ils ne connaissent pas sans se donner la peine de lire ou d'étudier quoi que ce soit. Au mois d'avril j'ai lu plus de 700 articles et j'ai publié une causerie de 222 pages. Cela ne prouve rien, je vous l'accorde volontiers, cependant cela donne une certaine légitimité pour s'exprimer, non ?

Populisme d'extrême gauche jusqu'à la caricature ou ces agents de la stratégie de la psychose collective.

NPA 6 mai 2020 - « Du fric pour l’hôpital public ! ». Pour les services publics, pour nos salaires, tou-te-s ensemble !

L’angoisse n’en a pas disparu pour autant. La sortie du «déconfinement» à partir du 11 mai inquiète. Les choix gouvernementaux de remettre les enfants à l’école, pour favoriser le retour à tout prix des parents au travail, crée toutes les conditions favorables à l’arrivée dans un système hospitalier fragilisé et épuisé d’une « seconde vague » de patientEs Covid qui le déborderait encore plus que la précédente, même si elle est de moindre ampleur.

...mais qu’en sera-t-il si, comme on peut le prévoir, le déconfinement non maitrisé du 11 mai, sans les mesures d’accompagnement indispensables, provoque un nouvel afflux vers les services hospitaliers ?

De ce point de vue, l’absence de masques distribués gratuitement à la population...

LVOG - La totale ou la panoplie complète du parfait propagandiste du régime fascisant, l'écriture inclusive en prime ! Comment faut-il caractériser ce courant politique ? De réactionnaire, mais encore ?

Témoignage d'une jeune médecin parisienne urgentiste.

- « Depuis un mois les urgences sont désertes », « Ceux qui se font passer pour des héros abusent » - covidinfos.net 11 mai 2020

Une jeune médecin parisienne témoigne pour Le Point en forme de « coup de gueule », « s’agace de voir certains collègues s’ériger en héros et entretenir la peur. » et l’affirme : « C’est terminé, je n’applaudirai plus mes confrères, le soir, à 20 heures ». Extraits et vidéo.

« On fait le job, et c’est normal. […] Ça va sûrement choquer que je dise ça, mais ceux qui se font passer pour des héros abusent.[…] Personnellement, je n’ai juste pas fait grand-chose, par rapport à d’habitude. Pour être honnête, je ne suis pas submergée et je ne l’ai jamais été. Pourtant, j’étais au « front », en « première ligne », comme on dit aujourd’hui. »

Selon elle, « certains médecins détournent à présent leur savoir et leur pouvoir pour alimenter une psychose collective qui va nous coûter cher sur le plan médical, social, psychologique et économique… et c’est dégueulasse. »

« Notre boulot de médecin, c’est aussi de rassurer les gens. En tout cas, ce n’est certainement pas d’affoler la population.[…] Quand on est en bonne santé, on ne devrait pas se complaire dans le confinement, le repli et la docilité. »

« Elle « commence seulement » à mesurer les conséquences insoupçonnées que deux mois de confinement ont produites chez ses patients. Elle cite, pêle-mêle, la dépression, la douleur physique, les insomnies, la peur de se faire soigner, les retards de diagnostic, l’isolement, les angoisses massives, « y compris chez les enfants ». « Le pire, c’est que personne n’ose se plaindre alors que ce qu’on vit est très difficile, même quand on n’est pas malade. »

« Certains médecins exagèrent en leur faveur la situation réelle dans les hôpitaux pour renforcer leur pouvoir, leur ego, et obtenir un intéressement financier…. il y a un décalage entre ce que rapportent certains médias et la réalité du terrain… depuis un mois… les urgences sont désertes. »

« Quand on a hérité du statut de héros, on n’est pas pressé d’en sortir ! », et de conclure qu’ « on ne pourra pas s’empêcher de vivre indéfiniment. Il y a un équilibre à trouver entre le risque lié au virus et les risques que l’on prend en prolongeant l’enfermement. » covidinfos.net 11 mai 2020

Le Point. - Le Dr Laurence Peignot, médecin généraliste à Paris (18e arrondissement), 33 ans, trois ans d'exercice en libéral, a « un petit souci avec ça ». « Qu'on s'entende bien : j'ai beaucoup d'admiration pour mes collègues hospitaliers qui, aux urgences et en réanimation, se sont donnés sans compter pour soigner les gens, affrontant la mort, luttant au péril de leur vie, se sacrifiant, pour certains, face à un virus qu'ils ne connaissaient pas. » Elle les a d'ailleurs applaudis « 43 soirs de suite, à [sa] fenêtre ». Mais maintenant, elle pense que « ça suffit ».

« Ça va sûrement choquer que je dise ça, mais ceux qui se font passer pour des héros abusent », juge-t-elle. Ils seraient d'ailleurs minoritaires, parmi ses collègues, à prendre ces applaudissements vespéraux pour argent comptant. À l'écouter, ils seraient au contraire nombreux, comme elle, à être « un peu gênés avec ça ».

Elle ne milite dans rien, si ce n'est dans un cours de théâtre ; elle n'est encartée à aucun parti. Mais elle trouve ça « triste », cet « endormissement généralisé, cette docilité, ce manque de révolte ». Car « quand on vous prend votre liberté, qu'on vous oblige à mettre un masque dans les transports, même si c'est indispensable, ce n'est pas quelque chose de normal, ni d'anodin. On a le droit de dire qu'on n'est pas content, qu'on est en colère, que c'est dur. On a le droit de se plaindre, ça fait du bien. C'est ce que je fais avec ma petite bafouille. »

Hier, elle a « vu passer un tweet » dans lequel un urgentiste de l'AP-HP réclamait des fonds pour acheter des stéthoscopes. « Je me suis dit : il abuse carrément, ce mec. Des tas de gens sont dans la panade et attendent de pouvoir rebosser et, nous, on est en train de demander des sous en jouant sur la peur des gens. » Là encore, du haut de ses 33 ans et de son statut de « généraliste », elle a trouvé ça « dégueulasse ». Elle ironise : « Tout le monde a compris que nous étions indispensables. Ce n'est peut-être pas la peine d'en rajouter et d'en profiter ! »

« Or, il y a un décalage entre ce que rapportent certains médias et la réalité du terrain. Les internes que je côtoie me racontent leur stage hospitalier : les services qui ont été réorganisés pour accueillir les patients atteints du Covid ont été pleins durant deux ou trois semaines, au plus fort de la vague. Mais, depuis un mois, ce n'est plus du tout le cas. Les urgences sont désertes ; en tout cas, ceux qui, parmi mes patients, y ont fait un passage ont été traités plus rapidement que jamais. Je regrette donc de voir certains de mes confrères inquiéter davantage une population déjà à cran pour arriver à leurs fins, aussi légitimes soient-elles. Si ça continue, un jour, les gens nous diront : vous nous avez fait flipper pendant des semaines et ça se retournera contre nous ! » lepoint.fr 11 mai 2020

Les deux faces de la même pièce ou une farce en guise de "face à face".

Éric Zemmour face à Michel Onfray : "Remarquable", "fantastique", "captivant"... Un débat respectueux et bienveillant applaudi par les internautes - Yahoo 30 mai 2020

LVOG - Tout était dit ici :

Yahoo - ...même si Éric Zemmour et Michel Onfray sont deux personnalités ayant initialement des points de vues politiques diamétralement opposés, ils se sont rejoints sur la plupart des idées. Certaines personnes s’attendaient donc à plus d’intensité lors de ce face à face, qui était finalement trop “calme” pour eux... Yahoo 30 mai 2020

Nissan en Espagne. Les syndicats vendus avaient accepté l'inacceptable.

AFP - Après des mois de conflit, ils avaient obtenu l’attribution de nouveaux véhicules à fabriquer, tout en acceptant une importante réduction de salaires et une dégradation de leurs conditions de travail. AFP 28 mai 2020

LVOG - En France aussi chez Ford, PSA, Renault ou Continental et dans bien d'autres grandes entreprises ou multinationales, et ce n'était pas seulement les syndicats jaunes qui avaient signé ces accords scélérats scellant le destin de leurs travailleurs sans en tirer le moindre enseignement ou avantage politique, car c'est cela qu'on met en cause...

Vous êtes trop bon monseigneur. Banalisation de la pauvreté. Dites merci et applaudissez !

- Face à la hausse de la pauvreté, l'Espagne instaure un revenu minimum vital - AFP 29 mai 2020

Pablo Iglesias, vice-Premier ministre espagnol et chef de file de Podemos, annonce la création d'un "revenu minimum vital" pour lutter contre une pauvreté encore aggravée par la crise du coronavirus qui a fait exploser la demande d'aide alimentaire. Il est fixé à 462 euros par mois pour une personne seule, et jusqu'à 1.015 euros pour une famille.

Il a été adopté en conseil des ministres ce vendredi et devrait profiter à 2,3 millions de personnes dès début juin.

850 000 familles sont concernées. L'aide mensuelle, entre 460 et 1000 euros, pourra être demandée dès le 1er juin, y compris par les migrants et les demandeurs d'asile. Coût pour Madrid, 3 milliards d'euros.

Avec au moins 22%, le pays est le second, ou le troisième selon les sources - en taux de pauvreté au niveau européen derrière la Roumanie.

La Banque d'Espagne a révélé dans son dernier rapport qu'au moins 12 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté.

Avec la crise sanitaire, des milliers de foyers qui se trouvaient juste au dessus du fameux seuil ont perdu leurs emplois et ont du se résoudre à demander l'aide des associations locales et des paroisses catholiques... Madrid et Barcelone en particulier ont constaté ce phénomène. AFP et euronews 29 mai 2020

LVOG - A lire ou relire dans cette page ce qu'aurait pensé Engels de cet acte de "bienfaisance" qui sera salué comme il se doit par nos dirigeants à l'opposé d'Engels : L’attitude de la bourgeoisie à l’égard du prolétariat. - La situation de la classe ouvrière en Angleterre (F. Engels -1845)

Il faut être de mauvaise foi ou intéressé, pour ne pas constater qu'il existe aucun parti digne de se revendiquer du marxisme ou du socialisme en Espagne comme en France ou ailleurs.

Comment ils vous préparent psychologiquement au pire... pour que vous acceptiez de bon coeur de nouveaux sacrifices.

LVOG - Quand on lit attentivement cet article et d'autres, que disent-ils, que dans tel ou tel secteur la situation renvoie au quatrième trimestre de 2019, à 2013, à 1968... pour finalement annoncer en moyenne un recul ou une contraction de l'économie de 4%, ce qui ne les empêche pas d'évoquer un effondrement... contrôlé, une catastrophe... programmé, il faut bien justifier la facture du service après-vente de la machination au coronavirus imposée aux travailleurs...

France: Contraction du PIB inédite depuis 1968 au deuxième trimestre, le pire reste à venir - Reuters 29 mai 2020

L'économie française s'est finalement contractée moins qu'estimé initialement au cours d'un premier trimestre marqué par l'instauration du confinement mi-mars, s'enfonçant malgré tout dans une récession qui devrait encore s'aggraver au deuxième trimestre. Reuters 29 mai 2020

LVOG - Que c'est dit en termes choisis et mesurés, à croire qu'ils ont peur de se brûler avec l'incendie qu'ils ont déclenché ou de devoir se contredire dans quelques mois...

Les entreprises qui ont moins produit ont écoulé leur stock, elles ont ainsi réalisé des économies substantielles. Les personnes qui ont suspendu certaines dépenses vont les reprogrammer. En laissant leur argent à la banque au lieu de le dépenser, les banques en ont profité pour spéculer avec et réaliser des profits.

Dans certains pays comme l'Inde, pourquoi les banques rémunèrent-elles les comptes courants à hauteur de 4% environ ? Parce qu'elles s'en servent, pardi, c'est de l'argent disponible gratuitement, génial, non ? Et c'est valable dans tous les pays.

Pourquoi on ne peut pas les encadrer ? Réponse.

Cadres, traders, sportifs professionnels… qui sont les salariés du privé les mieux payés ? Capital 29 mai 2020

En France, pas moins de 163.000 salariés du privé gagnaient plus de 8.680 euros net par mois en 2017, selon l’Insee. Et tout en haut de l’échelle, les 1.000 salariés les mieux rémunérés percevaient pas moins de… 89.530 euros net par mois !

L’institut est tout de même parvenu à faire ressortir quatre grandes catégories : les dirigeants d’entreprise, les autres cadres à haute responsabilité, les cadres des organismes bancaires et des marchés financiers, les sportifs professionnels. Capital 29 mai 2020

Instrumentalisation et démagogie. Ils en avaient plus que marre !

Le plan de déconfinement plébiscité par les Français - lefigaro.fr 30 mai 2020

Commentaires d'internautes.

1- On est surtout content de pouvoir retrouver notre liberté qu’on nous a volé car si je suis condamné à tort et qu’on me libère ce n’est pas pour cela que je vais aller embrasser le juge !

2- Pardi ! On est content ! Mais pas pour longtemps . Hé bien moi j'ai la rage. Un gouvernement qui joue sur la peur, le mensonge, qui se défausse sur des pseudos experts scientifiques, joue sur la maladie en enlevant la liberté aux citoyens par incompétence, lenteur à la décision et lâcheté, me donne la nausée.

Efficacité du confinement et étude de prévalence sérologique en Espagne - mediterranee-infection.com 14 mai 2020

Une étude a été menée par les autorités espagnoles sur 60 983 personnes, détectant les anticorps contre le COVID-19. Un résultat en particulier a attiré notre attention : les travailleurs actifs ont été séparés en deux groupes : les « travailleurs essentiels », n’étant donc pas confinés à la maison, comparés aux autres travailleurs actifs, confinés en Espagne. La différence est très intéressante : les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

Ces données basées sur des études massives permettent de réfléchir sur l’importance du confinement à domicile qui, en Espagne, n’a pas fait la preuve de son efficacité, alors que la fermeture des lieux de rassemblement collectifs (stades, salles de concert, lieux de culte…) pendant ces périodes épidémiques est pleine de bon sens.

Ceci rejoint les données que nous avons à l’IHU, où seulement 3,5% du personnel, pourtant au contact permanent des malades, présente des anticorps témoins d’une infection, diagnostiquée ou non.

Source : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infecction por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

Le confinement rend la population générale « vulnérable à de nouveaux pathogènes » selon la Pr. Gupta - covidinfos.net 28 mai 2020

Interviewé par UnHerdTV, Sunetra Gupta, professeur britannique d’épidémiologie à l’université d’Oxford, notamment spécialisée dans l’étude des agents infectieux responsables du VIH ou de la grippe, a estimé « probable que le pathogène était déjà considérablement répandu au sein de la population au moment où le confinement a été mis en place », et que le confinement était quelque chose de « très dangereux, du point de vue de la vulnérabilité de la population toute entière ». Extraits et vidéo.

« Dans presque tous les contextes, on a vu l’épidémie croître, puis diminuer et mourir. Presque comme une horloge. Différents pays ont eu des politiques de confinement différentes, et pourtant nous observons partout un comportement similaire […]. Pour moi, cela suggère que la force principale à l’oeuvre, c’est le développement d’une immunité. Je pense que c’est une explication plus simple, plutôt que d’essayer de dire que le confinement, à différents degrés, jusqu’à l’absence de confinement, a eu le même effet partout. »

« A moins d’avoir un très bon cadre statistique en place […] il est assez difficile de déterminer de façon définitive […] le niveau total d’exposition de la population [au virus]… »

« …mon point de vue personnel, tant que la question n’est pas tranchée : je dirais qu’il est probable que le pathogène soit arrivé plus tôt que nous ne le pensons, et qu’il était déjà considérablement répandu au sein de la population au moment où le confinement a été mis en place. »

« Le nombre de cas, on ne peut absolument pas s’y fier, car c’est complétement dépendant du nombre de tests qui sont effectués. Je ne comprends pas pourquoi il y a pu avoir un tel engouement sur les cas. Je ne pense pas que les données sur le nombre de cas devraient être présentées, elles ne devraient même pas faire partie de cette discussion. »

« Il est possible que l’on s’en serait mieux sorti si l’on n’avait rien fait du tout, ou si l’on avait fait quelque chose de différent, c’est-à-dire de protéger les gens fragiles, d’avoir pensé à protéger les gens fragiles il y a 30 ou 40 ans, quand on a commencé à réduire le nombre de lits d’hôpitaux. Donc l’origine de tout ça remonte à très très loin. Si nous avions un système de santé publique suffisamment financé, avec suffisamment de capacité pour ce genre d’évènement, je pense qu’on s’en serait beaucoup mieux sorti… »

« Qui est à risque ? Nous avons plus d’informations à ce sujet maintenant, comparé à ce que nous savions en Mars, et il est de plus en plus clair que la majorité des décès a lieu chez les personnes âgées, et ceux qui ont des comorbidités et autres maladies sous-jacentes. […] Cela donne des indications sur comment protéger les personnes vulnérables, et comment sortir du confinement tout en protégeant ceux qui sont vulnérables au Covid, mais aussi en protégeant ceux qui sont vulnérables au confinement. »

« L’autre chose à dire, c’est que de rester dans un état de confinement est quelque chose qui je pense est très dangereux, du point de vue de la vulnérabilité de la population toute entière, vis-à-vis de nouveaux pathogènes. En fait, nous avons déjà vécu dans un état proche du confinement, il y a environ un siècle de ça. Et c’est ce qui, je pense, a créé les conditions favorables pour que la grippe espagnole se répande et fasse 50 millions de victimes. »

« Je pense qu’il est très dangereux de parler du confinement, sans reconnaître le coût énorme que le confinement a sur d’autres segments de la population. […] La vérité, c’est que le confinement est un luxe, c’est un luxe que les classes moyennes peuvent se permettre, que les pays avec de hauts revenus peuvent se permettre, au détriment des plus pauvres, et des pays les moins développés… » covidinfos.net 28 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/le-confinement-rend-la-population-generale-vulnerable-a-de-nouveaux-pathogenes-selon-la-pr-gupta/1195/

Coronavirus: en Indonésie, l'humiliation comme sanction pour non respect des mesures sanitaires - AFP 30 mai 2020

Les autorités indonésiennes utilisent l'humiliation publique comme sanction contre les personnes ne respectant pas les mesures de protection contre le Covid-19, alors que le pays se bat pour contenir la recrudescence des infections. AFP 30 mai 2020

Assassinat ordinaire sous des régimes fascisants.

LVOG - Un de plus, c'est tellement banal aux Etats-Unis. Mais dans le contexte particulier de la machination au coronavirus cela peut prendre une tournure explosive, à moins qu'il fasse l'objet d'une manipulation de l'Etat profond via les fascistes du Parti démocrate...

Les Etats-Unis sous tension après la mort d'un homme noir aux mains de la police - AFP 29 mai 2020

Les autorités américaines ont décidé jeudi d'envoyer des renforts à Minneapolis pour contrer de nouvelles violences après deux nuits de heurts entre la police et des manifestants révoltés par la mort d'un Noir suite à son interpellation musclée.

Le gouverneur de l'Etat du Minnesota a signé un décret pour autoriser l'intervention de la garde nationale dans cette ville du nord des Etats-Unis. Deux cent policiers de l'Etat, ainsi que des hélicoptères, vont également être envoyés sur place.

"La mort de Gorge Floyd doit apporter de la justice et des réformes de fond, pas plus de morts et de destruction", a estimé Tim Walz dans un communiqué, alors que de nouvelles manifestations sont prévues en fin de journée.

Cet Afro-Américain de 46 ans est décédé lundi soir juste après avoir été arrêté par la police, qui le soupçonnait d'avoir voulu écouler un faux billet de 20 dollars.

Lors de l'intervention, il a été plaqué au sol par un agent qui a maintenu son genou sur son cou pendant de longues minutes. "Je ne peux plus respirer", l'entend-on dire sur un enregistrement de la scène, devenu viral. AFP 29 mai 2020

Décès de George Floyd: les manifestations se multiplient malgré un policier inculpé - AFP 30 mai 2020

Derek Chauvin et les trois autres agents impliqués dans le drame ont été licenciés et des enquêtes fédérales et locales ont été ouvertes pour établir leurs responsabilités.

M. Chauvin est accusé d'avoir commis un acte cruel et dangereux ayant causé la mort et d'homicide involontaire, a précisé le procureur du comté de Hennepin, où se trouve Minneapolis.

Ce développement fait suite à une troisième nuit d'émeutes dans cette grande ville du Minnesota, dans le nord du pays, où des manifestants réclament que justice soit rendue.

La Garde nationale a été déployée pour tenter de ramener le calme et un couvre-feu décrété à partir de vendredi soir, de 20H00 locales jusqu'à 06H00 le lendemain, alors qu'un commissariat a été incendié dans la nuit et plusieurs commerces pillés. AFP 30 mai 2020

- Un Palestinien tué à Jérusalem par la police israélienne qui le croyait armé - AFP 30 mai 2020

L'eugénisme commence par les plus pauvres.

L'impossible lutte contre le coronavirus dans les bidonvilles d'Amérique latine - AFP 28 mai 2020

Eugénisme. Quand les vaccins et les médicaments contenant de l'aluminium vous rendent malade.

Alzheimer : la maladie favorisée par l'aluminium ? - Yahoo 29 mai 2020

Une nouvelle étude confirme le lien entre la survenue de la maladie d’Alzheimer et l’exposition à l’aluminium. En 2014, le chercheur Christopher Exley avait déjà établi un lien entre les deux et préconisait des doses maximums d’aluminium pour chaque personne.

Dans le Journal of Alzheimer’s Disease, lui et son équipe ont publié les résultats d’une nouvelle étude selon laquelle des dépôts trop importants d’aluminium pourraient favoriser l’apparition de la maladie d’Alzheimer dite “familiale”, comme le dévoile Science Post. Aujourd’hui, la maladie d’Alzheimer reste la plus fréquente des maladies neurodégénératives. Près de 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année.

L’équipe de scientifiques a remarqué que les patients atteints de démence affichaient un taux plus important d’aluminium que les autres. Mais ce n’est pas tout. Les chercheurs ont mis en évidence une co-localisation avec la protéine bêta-amyloïde. Un phénomène qui pourrait favoriser l’apparition de la maladie d’Alzheimer comme l’explique Science Post.

Des dépôts d’aluminium

Pour parvenir à ces conclusions, ils ont analysé les tissus cérébraux stockés dans la banque des cerveaux d’une université colombienne. Tous partageaient une mutation spécifique et souffraient d’une forme familiale de la maladie d’Alzheimer. Comme le précise, Science Post, “cette mutation engendre un niveau élevé de bêta-amyloïde mais également un début précoce de la maladie.”

“La microscopie à fluorescence spécifique à l'aluminium a confirmé la présence d'un nombre important de dépôts d'aluminium dans le tissu cérébral de tous les donneurs dans les quatre lobes et dans la matière grise et blanche”, assurent les chercheurs. Ainsi, selon les résultats, 42% des tissus ont été considérés comme significatifs. D’autres études doivent maintenant être réalisées afin de confirmer ces hypothèses. Yahoo 29 mai 2020

Commentaires d'internautes.

1- Demandez-vous pourquoi il y a toujours davantage de gens qui sont hostiles à la vaccination. Depuis le temps que la question est posée, les représentants des laboratoires n'ont jamais voulu donné la véritable raison pour laquelle ils utilisaient des adjuvants à base d'aluminium dans leurs vaccins.

2- Il me semble bien avoir déjà lu ça dans Science & Vie... Quand? Ca devait être en 1985 ou1986... Bon et maintenant on est en quelle année, là ?

3- Hypocrites criminels. Et pourquoi faire surface avec cela maintenant après tant d'années ? Parce que l'on veut vous imposer de "meilleurs" vaccins à base de nano-technologie et de modifications génétiques.

LVOG - Remarque qui ne manque pas de perspicacité, à suivre.

4- Aluminium = Poison. Et comme pratiquement tous les vaccins qu'ils inoculent à tour de bras dès le plus jeunes âge des enfants...

Sinon, je sais que cette maladie épouvantable se soigne avec la substance psychoactive du THC que contient le cannabis. Il aurait un effet neuroprotecteur contre ce ''système'' de dégâts cérébraux. Mais personne n'en dit jamais mot. Je me demande bien pourquoi.

LVOG - J'en suis témoin depuis 45 ans, et effectivement mon cerveau fonctionne normalement ! Et au moins cela ne pourrit pas le foie et ne fait pas grossir comme l'alcool. Et éventuellement, c'est gratuit !

Ce qui est incroyable avec ce truc-là, c'est qu'il fait littéralement voler en éclats les limites de l'imagination, et si on l'utilise à bon escient en le combinant avec une observation attentive de la réalité, notre niveau de conscience peut progresser très rapidement, dans le cas contraire on peut sombrer dans la mégalomanie ou la folie, non mais il faut quand même le savoir. Ceux qui en prennent uniquement pour se distraire ou s'amuser, peuvent aussi devenir dépressifs ou faire des crises d'épilepsie.

En fait, on se retrouve confronté à une autre difficulté, les matériaux jaillissent sans cesse sous forme d'idées, de questions ou d'hypothèses, qu'il faut identifier et traiter avant qu'ils disparaissent. Quoiqu'on en pense, c'est un formidable accélérateur de la pensée qui peut conduire à la confusion ou à la clarté. Alors quand on a le cerveau un peu lent ou mal formaté au départ comme le mien, cela peut rendre d'énormes services. Autrement il permet de se détendre, ce qui n'est pas un luxe dans ce monde pourri ! Autres qualités, c'est un aphrodisiaque et un somnifère, sans les effets indésirables de la pornographie et des somnifères et autres antidépresseurs. Je ne cherche pas à vous vendre ce truc, je suis objectif, c'est tout.

Intox. Hystérie anti-chinoise pour justifier une imposture. L'OMS déjà privatisée ou financée à hauteur de 80% par les trusts pharmaceutiques dont la plupart sont made in USA.

- Trump annonce la fin des relations entre les États-Unis et l'OMS - Le HuffPost 30 mai 2020

Le président américain Donald Trump a annoncé ce vendredi 29 mai mettre fin à la relation entre son pays et l’OMS, qu’il accuse depuis le début de la pandémie de coronavirus de se montrer trop indulgente avec Pékin.

Avant même les annonces américaines, l’OMS avait accéléré les efforts pour attirer d’autres fonds pour répondre à la pandémie, en lançant à la mi-mars un fonds solidaire qui a attiré depuis près de 215 millions de dollars (196 millions d’euros). Le HuffPost 30 mai 2020

LVOG - Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles. Et Trump est déjà (ou toujours) en campagne électorale...

La manipulation de trop.

- Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… par Éric Verhaeghe - lecourrierdesstrateges.fr 24 mai 2020

https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/05/24/hydroxychloroquine-les-aut

Extrait.

L’hydroxychloroquine est-elle dangereuse ? Une étude de la revue The Lancet le soutient. J’ai rapidement regardé le parcours de chacun de ses auteurs. Aucun n’est vierge de conflit d’intérêt dans ce dossier, et chacun d’eux a des relations d’intérêt patentes avec des concurrents de l’hydroxychloroquine. Voilà un point de détail qui mérite tout de même d’être noté…

Selon la revue « scientifique » The Lancet, l’hydroxychloroquine est inefficace et même dangereuse pour traiter le coronavirus. Une étude, qu’aucun journaliste ni commentateur politique n’a lue, mais qu’ils citent tous comme preuve de la méchanceté de Didier Raoult et de l’incapacité du petit peuple à se gouverner lui-même, le prouverait à partir d’un échantillonnage particulièrement amusant (officiellement, elle intègre 96.000 patients, mais seulement 15.000 d’entre eux ont été traités à l’hydroxychloroquine). L’étude, menée aux États-Unis, est signée par quatre noms : Mandeep Mehra, Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka et Amit Patel. L’étude du curriculum vitae de chacun des signataires de l’étude en dit long sur l’objectivité de leurs résultats.

Mandeep Mehra anime des conférences pour Gilead…

On se souvient de la rivalité, évoquée dans ces colonnes, entre Gilead, producteur de l’infortuné Remdesivir qui peine à prouver son efficacité contre le coronavirus malgré des investissements colossaux, et l’hydroxychloroquine, pauvre petit médicament minable, inventé il y a 70 ans, et qui n’est aussi hype que les élites parisiennes le voudraient. Il se trouve que l’étude qui démolit l’hydroxychloroquine a été pilotée par Mandeep Mehra, qui a donné une interview dans France-Soir. Le quotidien français se sent obligé de préciser que l’intéressé a tout de même, début avril, animé une conférence organisée par Gilead. Non ? Vraiment…

Ce doit être une coïncidence… d’ailleurs, l’intéressé indique qu’il n’y aucun conflit d’intérêt dans cette affaire. Comment ne pas le croire !

Il se trouve quand même que les coïncidences ne s’arrêtent pas là (et nous sommes sans doute loin de l’exhaustivité sur ce chapitre…). Selon son parcours renseigné sur Linkedin, Mehra dirige le centre de cardiologie de l’hôpital de Brigham (à Boston), qui a testé le Remdesivir à grand renfort de publicité. Voilà donc un médecin qui travaille main dans la main avec Gilead, rival des remèdes de Raoult, qui produit une étude pour dire que Raoult est un charlatan…

Comment imaginer qu’il pourrait y avait un conflit d’intérêt nuisant à l’objectivité scientifique dans cette histoire ?

Mandeep Mehra a déclaré n'avoir aucun conflit d'intérêt avec les laboratoires et que cette étude a été financeé sur les fonds de dotation propres de chaire de professeur. Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début Avril 2020 dans le cadre du Covid-19. France Soir Tweet

Sapan S Desai, le marchand de tests pour coronavirus…

Autre auteur particulièrement objectif dans cette étude, Sapan S. Desai, dont les coordonnées professionnelles sont données par Business Wire (encore un autre acte d’intense investigation qui n’était manifestement pas à la portée de la presse française, toujours prête à donner des leçons de déontologie à la terre entière). Et que découvre-t-on ? Que Sapan Desai est à la tête d’une entreprise de santé appelée Surgisphere, qui produit des tests pour dépister le coronavirus…

Là encore, il faudrait fameusement gonflé pour imaginer qu’un gars à la tête d’une entreprise qui entend dépister le coronavirus à grande échelle voudrait décourager un produit prévenant cette maladie au moyen d’arguments que personne ne va vérifier…

Frank Ruschitzka, le vieux compagnon de route de Gilead

Les liens de Frank Ruschitzka, le très discret cardiologue de Zurich, avec Gilead, sont moins facilement apparents. On notera que le centre de cardiologie de Zurich, où il opère, a testé, en 2010 le Darusentan, produit par Gilead. Cette collaboration ne s’est pas arrêtée là. Gilead semble être un financier régulier de l’université de Zurich, comme l’indique un article scientifique de 2019 sur le SIDA, publié dans la prestigieuse revue Nature.

Ceci ne signifie pas que Ruschitzka ait sciemment menti dans une étude. Mais on notera simplement qu’il appartient à une entité subventionnée par Gilead, en lutte ouverte contre l’hydroxychloroquine, et qu’il n’est pas le seul à pouvoir être suspecté de conflit d’intérêt dans l’article publié par The Lancet.

"the University of Zurich received research grants from Gilead Science, Roche, and Merck Sharp & Dohme for studies that Dr. Metzner serves as principal investigator, and advisory board honoraria from Gilead Sciences." Nature Tweet

Amit Patel, l’inconnu de l’Utah… qui milite pour Merck

Enfin, le quatrième signataire de l’étude est un peu connu praticien de Nashville, Amit Patel, qui vient de signer une étude sur l’efficacité d’un médicament produit par Merck, l’Ivermectine, dans la lutte contre le coronavirus. Voilà qui ne ressemble pas, non plus, à un conflit d’intérêt !

On remarquera que l’intéressé a écrit, sur le réseau social Reddit, un post tout à fait éloquent sur le sujet : « It is sold under the brand name Stromectol, and produced by Merck. Merck’s stock traded SIDEWAYS yesterday. Remember how Gilead stock shot up over 15% overnight off of a RUMOR?? This has strong evidence to do more than just maybe work, and it’s not harsh on the system like an antiviral or choloroquinine. » (Il est vendu sous la marque Stromectol, et produit par Merck. Les actions Merck ont peu bougé hier. Souvenez-vous comment l’action Gilead a fait un bond de 15% hier sur la foi d’une rumeur. Il y a pourtant une évidence d’efficacité plus solide qu’un simple peut-être).

Autrement dit, Amit Patel n’est pas simplement un chercheur qui cherche, c’est aussi un chercheur qui investit en bourse, fait des calculs sur les cours, et roule pour ceux de Merck… lecourrierdesstrateges.fr 24 mai 2020

Il n'y aura bientôt plus que les faschos Macron, Philippe et Véran qui ne douteront de rien.

- Coronavirus : Des scientifiques doutent de l’étude de « The Lancet » sur la chloroquine - 20 Minutes 29 mai 2020

Des dizaines de scientifiques ont publié une lettre ouverte exprimant leurs « inquiétudes » sur les méthodes de la vaste étude parue dans The Lancet, ayant conduit à la suspension d’essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Le retentissement de cette étude a « conduit de nombreux chercheurs à travers le monde à examiner minutieusement, en détail, la publication en question », écrivent les auteurs de la lettre ouverte publiée jeudi soir. « Cet examen a soulevé à la fois des inquiétudes liées à la méthodologie et à l’intégrité des données », soulignent-ils avant de faire une longue liste de points problématiques, du refus des auteurs de donner accès aux données à l’absence d'« examen éthique ». 20 Minutes 29 mai 2020

- Coronavirus et chloroquine : le Pr Froguel critique l'étude du Lancet - Yahoo 29 mai 2020

La communauté scientifique s’oppose autour de ce traitement. Interrogé par France Bleu Hauts-de-France, le Professeur Philippe Froguel, professeur au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres, a également réagi suite aux résultats parus dans la revue scientifique. S’il précise ne pas être pro-Raoult, il conteste la méthode de l’étude : “Les données sont trop bizarres, pas fiables. On ne sait même exactement d'où elles viennent, comment ils se les sont procurées. Du coup, les conclusions ne peuvent pas être fiables”. Il va encore plus loin en estimant que “ce papier est une merde en grande partie fabriquée par une firme inconnue qui voulait se faire de la pub”. Il accuse la revue d’être “le tabloïd de la presse médicale. Ils font le buzz avec des données fake. La science, ce n'est pas ça ! Et la presse française a repris sans réfléchir cet article. Nous n'avons plus de journalistes scientifiques”.

Dès la révélation de cette étude, le gouvernement a immédiatement réagi et a décidé d’abroger les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de cette molécule contre la Covid-19 à l’hôpital en France. De son côté, l’Organisation mondiale de la Santé a annoncé la suspension des essais cliniques. Des décisions qui irritent le Pr Froguel comme il l’explique à France Bleu : “Ils ont réglé leurs comptes avec Raoult mais ils l'ont fait sans se rendre compte qu'ils utilisaient pour cela The Lancet, qui a quelque part ridiculisé la science française avec cet article. C'est un règlement de comptes politique pour arrêter la prescription désorganisée de choloroquine”. Yahoo 29 mai 2020

- Chloroquine: Raoult contre-attaque sur le fond à l'étude du Lancet (et il n'est pas le seul) - huffpost.com 29 mai 2020

Ces derniers jours, le microbiologiste français iconoclaste Didier Raoult, grand défenseur de la chloroquine, a vivement critiqué l’article publié dans The Lancet, avec des arguments de fond. Son bras droit, Philippe Parola, estime que “tout ce qui est dedans est soit faux, soit imprécis, soit maladroit, soit frauduleux”.

Une étude qui, nous le rappelions il y a quelques jours, n’est pas exempte de défauts. Le fait de comparer des centaines d’hôpitaux aux protocoles différents peut clairement créer d’importants biais rendant caducs les résultats. Et même les auteurs relevaient que la hausse de mortalité devait être prise avec beaucoup de pincettes.

Mais ce n’est pas tout. Ces derniers jours, de nombreux chercheurs ont repéré des failles encore plus importantes et étranges, notamment dans l’origine des données.

Dans un communiqué, Surgisphere a défendu l’intégrité de ses données et affirmé qu’elles viennent d’hôpitaux qui collaborent avec elle. Mais “nos accords d’utilisation des données ne nous permettent pas de les rendre publiques”, a ajouté la société, précisant avoir déjà indiqué clairement que l’étude présentait des “limites”.

...on peut se demander si prendre des décisions radicales à partir de la publication d’une seule étude, qui plus est qui n’est pas un essai clinique bien encadré, est la bonne solution. Un débat plus éthique que scientifique qui s’applique autant aux adorateurs qu’aux contempteurs de la chloroquine. huffpost.com 29 mai 2020

- Ces pays africains qui ont décidé de continuer à soigner le Covid-19 avec l'hydroxychloroquine - francetvinfo.fr 28 mai 2020

La plupart déclarent obtenir des résultats probants avec une molécule pour laquelle ils ont opté depuis le début de la pandémie.

Le Nigeria, l'Algérie, le Maroc, le Sénégal ou encore le Tchad comptent parmi les premiers pays du continent africain à faire savoir qu'ils continuent de traiter la maladie à coronavirus avec l'hydroxychloroquine. Des annonces qui interviennent après que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé la suspension temporaire des essais cliniques portant sur la molécule, le temps que "la question de la sécurité soit examinée".

Ainsi, au lendemain de l’annonce de l'OMS, le Nigeria a indiqué qu’il poursuivrait ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine. A l'antenne de la chaîne de télévision nigériane TVC, la patronne de l'agence nigériane du médicament (Nafdac), Mojisola Adeyeye, a indiqué que l’hydroxycloroquine semblait donner des résultats probants quand elle était utilisée au début de la maladie.

Bien que les informations sur le Covid-19 évoluaient au quotidien, le professeur Mojisola Adeyeye a affirmé que trois phases de la maladie avaient été identifiées : un premier stade, une phase intermédiaire et une phase plus sévère. "Il est très probable que l'hydroxychloroquine fonctionnera" au premier stade et "en partie" dans la phase intermédiaire. En outre, "des données prouvent que l'hydroxychloroquine a fonctionné pour de nombreux patients atteints de Covid-19".

Ce qui justifie la poursuite des essais cliniques qui ont démarré au Nigeria.

La chloroquine est toujours au cœur de l’offre thérapeutique contre la maladie à coronavirus au Royaume chérifien pour des raisons similaires à celles du Nigeria. "Les avis divergent, a confié le ministre marocain de la Santé Khalid Aït Taleb au journal L’Economiste dans un article daté du 27 mai 2020. Mais l’essentiel est que la chloroquine intervient dans l’inactivation virale." Selon lui, "le virus infecte l’hôte en s’introduisant dans la cellule en plusieurs étapes. Une des étapes est inhibée par la chloroquine", a-t-il expliqué.

L’Economiste rappelle que Khalid Aït Taleb a "acté" depuis le 8 avril 2020, "le démarrage du traitement à la chloroquine et le contrôle de guérison chez les patients de Covid-19". Le traitement étant autorisé, précise le média marocain, "pour les cas possibles de Covid-19 symptomatiques, sans attendre les résultats de virologie, et tout en envisageant l’arrêt du traitement si le test s’avère négatif".

Des résultats "satisfaisants"

L'Algérie voisine ne désavoue pas non plus la chloroquine. Comme le rapporte le journal El Watan dans sa parution du 27 mai 2020, "15 000 patients diagnostiqués par PCR (test de dépistage) et scanner à ce jour" bénéficient de ce traitement.

"La décision de (le) mettre en place a été prise par le conseil scientifique depuis le mois de mars (2020) et les résultats à ce jour sont satisfaisants pour les patients traités", a déclaré au journal algérien le professeur Smail Mesbah, infectiologue et membre du Comité scientifique du suivi de l’évolution de la Covid-19.

Ce protocole de soin a été adopté "après avoir pris connaissance de l’expérience chinoise, des travaux du CDC (Centre pour la prévention et le contrôle des maladies) à Atlanta, aux Etats-Unis, et ceux du Pr Didier Raoult à Marseille", a précisé pour sa part au quotidien le Dr Mohamed Yousfi, chef du service infectiologie de l’hôpital de Boufarik (Blida).

En Afrique subsaharienne, le Sénégal ne renonce pas non plus à la chloroquine. "Le traitement avec l'hydroxychloroquine va continuer au Sénégal, l'équipe du professeur Seydi maintient son protocole thérapeutique", a indiqué le Dr Abdoulaye Bousso, directeur du Centre des opérations d'urgences sanitaires, dans un courrier adressé à l'AFP.

Une démarche confirmée par le professeur Moussa Seydi, l’infectiologue qui coordonne la prise en charge des malades du Covid-19, et qui avait récemment publié des résultats encourageants sur l’usage du médicament. Le Sénégal utilise l’hydroxychloroquine depuis le 19 mars, précise le site Dakaractu, "c’est-à-dire 17 jours après le diagnostic du premier cas de coronavirus".

Enfin, au Tchad, "en attendant des recherches approfondies avec des résultats probants, nous continuons notre protocole", à savoir la chloroquine associée à l'antibiotique azithromycine, a déclaré également à l'AFP le professeur Ali Moussa, chargé de la prise en charge de la pathologie dans le pays.

Stop ! Le protocole adopté fidèle en partie à celui du Pr. Raoult, aurait révélé l'innocuité et l'efficacité de cette molécule.

Coronavirus: Sanofi suspend le recrutement de patients pour deux études sur l'hydroxychloroquine - Reuters 29 mai 2020

Sanofi a annoncé vendredi suspendre temporairement le recrutement de nouveaux patients dans le cadre de ses deux essais cliniques sur l'hydroxychloroquine et suspendre la livraison de ce médicament en raison des interrogations sur ses effets secondaires.

Sanofi avait lancé deux essais cliniques randomisés et contrôlés sur l'hydroxychloroquine pour le COVID-19.

Le premier devait tester 210 patients aux États-Unis, en France, en Belgique et aux Pays-Bas qui n'étaient pas hospitalisés et qui souffraient du stade précoce de la maladie.

Le second était axé sur les patients hospitalisés atteints de COVID-19 modéré à sévère en Europe. Il était prévu d'inclure environ 300 patients. Reuters 29 mai 2020

En complément. Quelques blogs où s'informer aussi.

Blog du Dr Gérard Maudrux

https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/

https://jdmichel.blog.tdg.ch/

Lettre ouverte par le prof Eberlin et 25 autres chercheurs brésiliens.

https://conexaopolitica.com.br/ultimas/brazilian-scientists-and-academics-write-an-open-letter-on-the-science-of-the-coronavirus-pandemic/

Quand ils ont voulu nous faire passer des testicules pour des lanternes.

Les tests: talon d’Achille du château de cartes COVID-19 Par Dr Pascal Sacré - Mondialisation.ca, 28 mai 2020

Extrait.

« L’outil n’est pas le problème, c’est ce que nous en faisons. »

Des tests pas aussi fiables que ça !
Des faux négatifs (vrais malades non dépistés)
Des faux positifs (des malades qui n’en sont pas)
Des tests qui repèrent des fragments de virus et non le virus lui-même !
Des tests qui ne quantifient pas la charge virale, l’élément le plus important
Des kits de tests infectés par le virus lui-même : vous pourriez l’attraper en vous faisant dépister !

Tests pour le diagnostic de la présence du coronavirus SRAS-CoV-2

1- La RT-PCR

Pour Reverse Transcription-Polymerase Chain Reaction, inventée en 1985 par le prix Nobel de chimie (1993) Kary Mullis.

Quelques définitions avant d’aller plus loin :

La sensibilité du test est la facilité avec laquelle le test identifie la cible.

La spécificité du test est la capacité du test à identifier la cible et pas une autre.

Le test idéal est à la fois très sensible (100%) et très spécifique (100%).

La RT-PCR est-elle très sensible et très spécifique ? Cela dépend.

Faux négatifs : la RT-PCR revient négative pour le SRAS-CoV-2 alors que le patient est pourtant infecté. Moins le test est sensible, plus il y aura de faux négatifs

Faux positifs : la RT-PCR revient positive pour le SRAS-CoV-2 alors que le patient n’est pourtant PAS infecté. Moins le test est spécifique, plus il y aura de faux positifs.

Première déception, la RT-PCR ne détecte pas le virus, mais une trace génétique (ARN) de ce virus, ce qui n’est pas la même chose.

Un test RT-PCR positif n’indique pas nécessairement la présence de virus complet. Or c’est le virus complet, intact, qui est l’acteur transmissible de la maladie COVID-19.

Ainsi que la FDA l’admet [5], la détection d’ARN viral par la technique de la RT-PCR ne traduit pas obligatoirement une infection virale active (avec syndrome clinique) !

Deuxième déception, la RT-PCR ne permet pas de quantifier la charge virale puisqu’elle amplifie (multiplie) artificiellement le matériel génétique détecté. Elle dit seulement que le virus est présent ou non, et encore, des traces de virus, pas le virus complet.

Troisième déception, la technique est complexe et ses limites nombreuses ! Encore plus pour détecter les virus ARN comme dans le cas du SRAS-CoV-2.

« L’interprétation des résultats de PCR est difficile. Toute PCR doit être effectuée sur un prélèvement de bonne qualité et adapté à l’indication. Dans le cadre de certaines infections virales, une PCR positive n’est pas synonyme de maladie… Le dialogue entre le clinicien et le microbiologiste est primordial pour un bon diagnostic. » (RMS, 2007, Vol 3).

Dans la plupart des cas, les cellules étudiées proviennent des voies respiratoires supérieures, et sont prélevées au moyen d’un long coton-tige introduit dans les fosses nasales, assez profondément [6]. On dit que pour être efficace, le geste doit être douloureux pour la personne testée.

Si les cellules contiennent le plus petit fragment nucléique (ARN) du coronavirus SRAS-CoV-2, la théorie dit qu’il sera détecté par la RT-PCR. Mais pas que le patient est forcément malade et atteint du COVID-19 !

Dans cet article de la Revue Médicale Suisse de 2005 [7], on y lit que :

« Pour certaines infections, les tests PCR sont considérés comme une méthode de référence alors que pour d’autres, ils sont seulement une aide au diagnostic. Un contact avec le laboratoire effectuant l’analyse est important afin d’interpréter les résultats PCR correctement. »

Pour les infections respiratoires,

« La sérologie (analyse sanguine-voir plus bas) reste cependant la preuve définitive d’une infection ayant causé une réponse immune et est donc toujours considérée…comme un test de référence. »

Pour les coronavirus, la culture est difficile et la détection par RT-PCR est la technique de choix.

Mais de nombreuses étapes sont nécessaires pour amorcer puis amplifier le matériel génétique spécifique et c’est un processus complexe et très sophistiqué, comportant de nombreuses occasions de se tromper ou de fausser le résultat [8] :

Une mauvaise manipulation, un équipement mal calibré ou contaminé (venant de la personne testée, du technicien de laboratoire ou de l’environnement), une erreur de conservation ou d’acheminement et tout le résultat peut être compromis.

Les tests PCR peuvent être faussés lorsque l’échantillon est contaminé par d’autres souches, notamment bactériennes.

Il existe un risque non négligeable de faux négatifs, comme le rapporte le site Alternatif Bien-Être [9] :

1- Le test est mal fait

2- Le virus est ailleurs (pas dans le site où le prélèvement est effectué)

3- Les tests n’ont pas été homologués

4- Le virus mute déjà

Il existe un risque encore plus élevé de faux positifs, comme le souligne la journaliste indépendante Pryska Ducoeurjoly [10] qui se base sur la Revue Médicale Suisse (8 avril 2020) et la revue française Prescrire [11].

2- Test antigénique rapide

Une variante de la PCR dont le résultat peut prendre 24 à 48h avant d’être connu, est un test antigénique plus rapide (résultats en 15 minutes), certifié par l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé en Belgique [12]. Il permet la mise en évidence d’antigènes (protéines virales), toujours au départ d’un prélèvement nasopharyngé.

C’est par contre beaucoup moins spécifique !

Dans une étude, seuls 50% des patients confirmés positifs par la RT-PCR étaient détectés par ce test antigénique.

Ce test n’est pas conseillé par l’OMS dans le dépistage de la maladie COVID-19.

C’est tout dire.

Tests pour la confirmation de l’infection virale et son suivi

1- Les tests sérologiques

Ces tests reposent sur une prise de sang suivie d’une analyse dans un laboratoire spécialisé.

On recherche la présence d’anticorps développés par le patient. Cela permet de savoir si la personne a vraiment été en contact avec le SRAS-CoV-2 (IgM) et si elle s’est immunisée contre lui (IgG).

C’est le test que beaucoup de Belges attendent avec impatience et qui sera en priorité réservé aux personnels soignants.

2- Les tests ELISA

Ces tests sérologiques particuliers (des dizaines d’échantillons traités en une fois) sont réalisés dans les laboratoires universitaires pour suivre l’évolution des anticorps au cours du temps et apprécier le type et la durée d’immunité induite par l’infection due au SRAS-CoV-2.

Quel est le tarif de ces tests en Belgique ?

Pour le test de détection moléculaire (PCR), l’INAMI rembourse 46,81 EUR.
Pour le test de détection d’antigènes, l’INAMI rembourse 16,72 EUR.
Pour le test de détection d’anticorps (test sérologique), l’INAMI rembourse 9,60 EUR.

Ces montants incluent tous les frais liés au test : le matériel de prélèvement, l’appareillage, les réactifs, les frais d’investissement, la surveillance de la qualité, les frais de personnel, la supervision, le matériel de protection, les frais de transport, etc.

Il n’y a aucune part à charge du patient (pas de ticket modérateur) [13].

Des kits de prélèvements infectés !

Comme si ce n’était pas suffisant, nous apprenons que des lots de kits de détection sont infectés par le SRAS-CoV-2 !

Notamment aux USA [14], au Québec [15], au Royaume-Uni [16], en Afrique (Tanzanie) [17]…

« Alors que le nouveau coronavirus commençait à se propager à travers le pays, les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont envoyé début février aux différents États des kits de tests contaminés, selon une enquête fédérale. »

« Des milliers d’écouvillons commandés par Québec pour dépister la COVID-19 se sont avérés potentiellement contaminés… On a découvert une contamination fongique sur plusieurs écouvillons. Ceux-ci viendraient d’une livraison reçue de la Chine selon Nicolas Vigneault, porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux. »

« Un lot de tests de dépistage du coronavirus, sur les millions attendus par le Royaume-Uni, a été contaminé par le virus lui-même. Le gouvernement britannique avait commandé à un laboratoire des lots de tests de dépistage du coronavirus. Mais un de ceux-ci a été infecté par… le Covid-19 lui-même, explique le Telegraph, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination malencontreuse. La livraison de ces tests a immédiatement été annulée. »

« Le Président tanzanien estime que l’épidémie du Coronavirus n’a pas encore l’ampleur que lui collent les chiffres officiels. Selon lui, les données sur la Covid-19 seraient trafiquées par des autorités alarmistes, a-t-il dénoncé, dans son discours… Il affirme avoir lui-même secrètement testé une chèvre, une caille et une papaye mais qu’à son grand étonnement, les résultats se sont avérés positifs. Il met donc en doute la fiabilité des tests. Ces résultats positifs sur des animaux et même végétaux sont, pour lui, la preuve que des personnes déclarées positives au virus pourraient ne pas en être porteur en réalité. Cela voudrait dire que la situation réelle n’est pas aussi alarmante en Tanzanie. »

Cela fait beaucoup d’erreurs, partout dans le monde, vous ne trouvez pas ?

Bizarre, l’absence d’écho dans les principaux journaux occidentaux.

C’est très grave pourtant, et cela remet en cause toute la campagne de dépistage massif de ce coronavirus.

L’avis d’un expert international

John P. A. Ioannidis n’est pas n’importe qui sur la scène médicale internationale.

« John P. A. Ioannidis est un professeur de médecine et un chercheur de l’école de médecine et de l’école d’humanité et de sciences de l’université Stanford. Directeur du Stanford Prevention Research Center, il codirige, avec Steven N. Goodman, le Meta-Research Innovation Center at Stanford. » Wikipédia [18].

C’est un des spécialistes les plus reconnus de l’épistémologie en matière de santé.

Il est formel :

« Alors que la pandémie de coronavirus s’installe, nous prenons des décisions sans données fiables. » [19]

Il confirme que les tests PCR utilisés dans la crise COVID-19 ne sont pas aussi fiables que ça, malgré les efforts déployés par les médias et par nos instituts de santé (Sciensano en Belgique) pour nous le faire croire.

Voyez son interview en anglais : Perspectives on the Pandemic | Dr. John Ioannidis Update: 4.17.20, à la minute 27 pour ses commentaires sur les tests PCR dans le contexte de la maladie COVID-19.

En résumé

Quel fiasco.

Les tests de diagnostic représentés surtout par la RT-PCR, technique d’amplification génique, ont loin d’avoir la fiabilité espérée, fiabilité pourtant cruciale dans une crise comme celle que nous traversons.

Même positif, le test RT-PCR ne traduit que la mise en évidence d’un fragment ARN du coronavirus SRAS-CoV-2, pas la maladie COVID-19 elle-même. Pour dire cela, il faut un tableau clinique correspondant ! Il faut envisager toutes les autres pathologies du patient et s’il meurt, en tenir compte avant d’attribuer le décès au COVID-19 !

C’est effrayant quand on imagine les conséquences peut-être injustifiées résultant de décisions prises sur base de ces tests !

Confinements/mises en quarantaine
Mesures liberticides sans précédent
Bouleversements hospitaliers et des centres de soins
Diagnostics graves peut-être assénés à tort à des personnes terrorisées en réalité en bonne santé
Distanciation sociale aux conséquences lourdes sur les rapports humains
Impact économique et social majeur dont on ignore aujourd’hui la portée réelle
Suspension de toutes les activités sociales (écoles, restaurations, loisirs)
Projets de traçage et de flicage de populations entières

Je pense que face à autant de folie auto-entretenue, malgré le virus de la peur qui s’est largement répandu, le meilleur antidote est de garder son calme.

Revenir à du bon sens.

Réévaluer la véritable portée de cette maladie (mortalité inférieure à 3% au 26 mai 2020-[20]).

Le coronavirus SRAS-CoV-2 devra prendre sa juste place parmi tous les autres problèmes de santé, ni plus, ni moins.

Et nous, puissions-nous rapidement revivre sans masques, sans distance sociale et sans lois liberticides excessives.

Et prendre la leçon de tant d’erreurs. Mondialisation.ca, 28 mai 2020

D'autres articles à lire.

- Pour le Pr. Vernazza « La plupart des personnes figurant dans les statistiques sur le coronavirus ne sont pas mortes de la maladie Covid-19. »

https://covidinfos.net/covid19/pour-le-pr-vernazza-la-plupart-des-personnes-figurant-dans-les-statistiques-sur-le-coronavirus-ne-sont-pas-mortes-de-la-maladie-covid-19/1066/

- « Bilan du Covid-19 : Aurions-nous succombé à la panique ? » interroge le Pr. Toussaint - covidinfos.net 29 mai 2020

https://covidinfos.net/covid19/bilan-du-covid-19-aurions-nous-succombe-a-la-panique-interroge-le-pr-toussaint/1206/

- « C’est 7 milliards d’individus qu’il va falloir vacciner » affirme la fondation de Bill Gates. Vraiment ?

https://covidinfos.net/covid19/cest-7-milliards-dindividus-quil-va-falloir-vacciner-affirme-la-fondation-de-bill-gates/940/

Quelle vague emportera-t-elle le régime ?

- « On est à des kilomètres d’une nouvelle vague » estime le Dr. Freund - covidinfos.net 29 mai 2020

Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Interviewé le 27 Mai sur Europe 1 il estime notamment que la possibilité d’une « nouvelle vague » est très lointaine. Extraits et vidéo.

« Sur le terrain, on se rend compte depuis des semaines et des semaines qu’il n’y a quasiment plus aucun cas d’infection aigüe, d’infection récente au coronavirus. »

« Dans certains endroits, le confinement n’était pas absolu, et on aurait eu des signaux avant-coureurs s’il y avait une reprise de l’épidémie. Pour l’instant il n’y en a aucun. »

Les clusters d’infection qui subsistent sont « normaux » :

« De toute façon ces clusters ne sont pas du tout inquiétants. C’est évident que le virus existe encore, et il y a des cas épars comme ça, il va y avoir un cluster de 40 personnes dans un abattoir. Mais on est à des kilomètres d’une reprise épidémique, on est à des kilomètres d’une nouvelle vague parce qu’il y a des clusters par-ci par-là. »

Sur le déconfinement, le Pr. Freund est optimiste :

« Je pense qu’il faut relâcher au maximum, enfin de plus en plus, les mesures restrictives actuelles […]. Je pense qu’il faut être assez confiant et assez optimiste, et permettre aux gens de retrouver le plus vite possible une activité normale. »

Quant au retour du virus à l’automne prochain :

« [Le virus] pourrait muter, mais dans un sens comme dans l’autre. La plupart des coronavirus sont tout à fait bénins, comme vous le savez. Donc là, il y a eu une espèce d’hérésie, il est devenu méchant, mais qu’est-ce qui nous dit que s’il remute la saison prochaine, il ne va pas remuter comme un gentil coronavirus classique. »

La question de l’immunité est également abordée :

« Au début de l’épidémie, on est un service très exposé, on est aux urgences […] il y a eu un collègue, médecin ou interne, malade tous les 3 jours, avec un test positif […] Au bout de 2 semaines, une fois que 10 à 15% de mes collègues ont été contaminés, on a assisté à zéro nouvelle contamination. »

« On se rend compte quand même que ce virus ne cible pas tout le monde. Que ce virus ne peut pas, à priori, infecter 100% des personnes qu’il va rencontrer. Et sur des expériences plus ou moins personnelles et rapportées, on se rend compte qu’il y a une catégorie, un pourcentage de la population, qui n’est pas touché. Peut-être parce qu’il est déjà immunisé. »

« Ce qui avait été dit initialement, c’est qu’il fallait […] 60% d’immunisés pour que le virus ne circule plus, or on était inquiet parce qu’on ne voyait que 10% de sérologie positive. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’il y a probablement des personnes qui sont immunisées sans sérologie positive. Prenez par exemple les enfants. Les enfants, pour une raison qu’on ignore un petit peu, sont quasiment tous protégés contre ce virus, pourtant si vous leur faites une sérologie, ils seront négatifs. Donc il y a probablement une autre immunité qui fait que le virus ne ciblera pas tout le monde. »

https://covidinfos.net/covid19/on-est-a-des-kilometres-dune-nouvelle-vague-estime-le-dr-freund/1210/

Totalitarisme. Tout ce qui « va à l’encontre des recommandations de l’OMS » sera censuré dixit le PDG de YouTube.

- L’épidémiologiste et professeur Knut Wittkowski censuré par YouTube - covidinfos.net 21 mai 2020

Après la vidéo du Dr. Dan Erickson, que vous pouvez voir ici, c’est au tour de celle du professeur Knut Wittkowski d’être censurée par YouTube (vidéo visionnable en bas de cet article). Dans cette vidéo réalisée par les documentaristes de Journeyman Pictures et vue plus d’un million de fois, le Pr. Wittkowski exprimait son sceptiscisme quant aux mesures de confinement et défendait l’intérêt de « l’immunité collective »… Le site Spiked s’est fait l’écho de cette censure dans un article récent baptisé « Pourquoi YouTube censure les scientifiques ? ».

Extraits.

« La censure des médias sociaux est devenue excessive depuis l’arrivée de la pandémie Covid-19. YouTube a été particulièrement actif dans la censure. Le mois dernier, son PDG a déclaré que la plateforme supprimerait « tout ce qui n’est pas médicalement fondé » ou qui « va à l’encontre des recommandations de l’OMS ». En conséquence, YouTube censure désormais non seulement les théoriciens de la désinformation ou de la conspiration, mais aussi les scientifiques respectables qui contestent les réponses du gouvernement au Covid-19. »

« YouTube a retiré une vidéo mettant en scène Knut Wittkowski, un épidémiologiste qui critique férocement les mesures de confinement. La vidéo avait été visionnée plus de 1,3 million de fois avant d’être supprimée. Selon Wittkowski, la seule explication de YouTube pour le retrait était que la vidéo violait les « règles de la communauté ». »

« Dans la vidéo, Wittkowski affirme que la seule façon d’arrêter Covid-19, en l’absence de vaccin, est de permettre au public de développer une immunité collective. »

« En supprimant la vidéo, YouTube a franchi une étape importante. YouTube interfère désormais avec le débat scientifique. Le point de vue de Wittkowski sur l’immunité collective n’est peut-être pas celui de la plupart des gouvernements occidentaux, mais il s’inscrit bien dans le courant dominant. Même les épidémiologistes d’État, comme le Suédois Anders Tegnell, considèrent l’immunité collective comme une stratégie viable. »

https://covidinfos.net/covid19/lepidemiologiste-et-professeur-knut-wittkowski-censure-par-youtube/1128/

L'autre parasite à éradiquer : L’ONGisme.

L’ONGisme: du néolibéralisme au «regime change» par Ahmed Bensaada - Mondialisation.ca, 28 mai 2020

Extrait. Bien que leur genèse soit beaucoup plus ancienne, les entités regroupées sous le vocable d’organisations non gouvernementales (ONG) ont eu un essor fulgurant dans les années 80 et 90 du siècle dernier et leurs domaines d’intervention se sont diversifiés : urgence humanitaire, alimentation, droits de l’homme ou environnement.

D’après les spécialistes, cet accroissement coïncide avec la montée du néolibéralisme impulsé durant les années Reagan-Thatcher. Selon la militante Ana Minski,

« la prolifération des ONG au Sud, dans les années 1990, est indubitablement liée à l’affaiblissement des capacités gouvernementales à fournir des services publics, résultat des politiques néolibérales qui se sont imposées dans le contexte d’un capitalisme mondialisé et fortement financiarisé ».

À cause des politiques d’austérité et de réduction des dépenses publiques, les gouvernements se sont tournés vers les ONG pour fournir des services à bas prix, services qu’ils assuraient naguère dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la culture, etc. Abondant dans ce sens, l’écrivaine indienne Arundhati Roy précise que les ONG distribuent « au compte-gouttes, sous forme d’aide ou de bénévolat, ce à quoi les gens devraient normalement avoir droit ». Ce qui amène certains spécialistes à qualifier les ONG de « cheval de Troie » du néolibéralisme.

Avec la fin de la Guerre froide, les ONG ont été utilisées à d’autres desseins. Il s’agissait de la « démocratisation » des pays de l’Est anciennement dans le giron soviétique, afin de les extraire de l’influence russe. Dans cet objectif, les États-Unis ont déployé un arsenal d’organismes spécialement dédiés à cette tâche. Citons, à titre d’exemple : l’USAID (United States Agency for International Development), la NED (National Endowment for Democracy) et ses quatre satellites, Freedom House et l’Open Society. À part ce dernier qui est privé, tous les autres organismes sont financés directement ou indirectement, partiellement ou entièrement par le gouvernement américain.

Les satellites de la NED sont bien connus : l’IRI (International Republican Institute), le NDI (National Democratic Institute), le Solidarity Center et le CIPE (Center for International Private Enterprise).

Pour se prévaloir de la dénomination d’ONG, une organisation doit satisfaire au moins aux cinq conditions suivantes : l’origine privée de sa constitution, le but non lucratif de son action, son indépendance financière, son indépendance politique et la notion d’intérêt public de sa mission. Dans le cas de ces organismes américains et des groupes qu’ils financent dans les pays visés, ces conditions ne sont jamais réunies.

L’utilisation de ces organismes a prouvé l’efficacité du « soft power » étasunien dans les opérations de « regime change ». Cela a été manifeste dans les révolutions colorées en Serbie, en Géorgie ou en Ukraine. Lors du « printemps » arabe, ces mêmes organismes américains d’« exportation » de la démocratie ont été impliqués en Tunisie, en Égypte, en Libye, en Syrie et au Yémen et le résultat désastreux de leur implication est maintenant connu, tout particulièrement dans les trois derniers pays.

Le modus operandi de cette « démocratisation » est toujours le même. Des activistes locaux, regroupés ou non dans des ONG locales sont choisis, financés, formés et réseautés dans leur région d’appartenance (dans le cas des pays arabes, il s’agit de la région MENA – Middle East and North Africa). Lors d’éventuelles protestations populaires légitimes causées par de réels problèmes sociaux, ces activistes se mettent aux premières loges des manifestations et tentent de les diriger selon des agendas concoctés à l’étranger.

Pour illustrer ce propos, citons des activistes comme Slim Amamou (Tunisie), Mohamed Adel (Mouvement du 6 avril – Égypte), Ali Ramadan Abouzaakouk, (Libya Human and Political Development Forum – Libye), Aussama Monajed (Movement for Justice and Development – Syrie) et Tawakkol Karman (Women Journalists Without Chains – Yémen).

En Algérie, plusieurs ONG locales financées par les organismes américains ont été très visibles lors des manifestations, aussi bien en 2011 que lors du Hirak, en 2019-2020. Il s’agit, entre autres, de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), du Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ), du Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), etc. Il est quand même curieux de constater que les ONG qui reçoivent des subsides étrangers sont toutes sur la même longueur d’onde concernant leurs revendications.

Il faut savoir que de telles activités sur le sol américain sont régies par le « Foreign Agents Registration Act » qui est une loi américaine exigeant l’enregistrement des lobbyistes représentant des intérêts politiques ou économiques étrangers.

Finalement, il ne faut absolument pas croire que les ONG américaines sont les seules actives sur le sol algérien. D’autres, européennes, y sont très présentes.

Faut-il alors légiférer pour encadrer, contrôler voire interdire le financement étranger des ONG en Algérie? C’est certainement un point sur lequel il est impératif de se pencher sérieusement dans un avenir très proche. Mondialisation.ca, 28 mai 2020